FR2771714A1 - Bouchon pour recipient comprenant un corps et une tete peripherique - Google Patents

Abstract

Bouchon pour récipient comprenant un corps (1) sensiblement cylindrique et une tête (2) emmanchée, collée ou surmoulée sur ledit corps, caractérisé en ce que ladite tête est en forme de collerette et comprend un orifice central traversant (6) dans lequel est logée une partie (1A) dudit corps.Ce bouchon permet de laisser respirer le vin et peut être retiré avec ou sans tire-bouchon.

Description

L'invention a trait à un bouchon pour récipient, notamment utilisé pour la fermeture de bouteilles dans le domaine agroalimentaire. Un bouchon comprend généralement un corps sensiblement cylindrique à section circulaire réalisé dans une matière souple telle qu'un bloc de liège.

Par le brevet FR-B-2 715 634, il est connu d'équiper un bouchon de liège d'une capsule en matière plastique surmoulée sur le corps. Ce bouchon connu peut être utilisé dans le domaine des spiritueux, mais ne trouve que peu d'applications dans le domaine du vin car la capsule qu'il comprend ne permet qu'une "respiration" réduite du liquide contenu dans la bouteille, puisqu'elle est pratiquement étanche. Ce bouchon connu ne peut pas être extrait de la bouteille avec un tirebouchon, alors que l'ouverture d'une bouteille de vin ou d'alcool grâce à un tire-bouchon fait partie des traditions de certains pays. En outre, le bouchon connu ne peut être utilisé que dans le cas du bouchage et ne connaît pas d'application dans le domaine des bouchons verseurs. Une fois en place sur le goulot d'une bouteille, ce bouchon connu ne peut pas être modifié. Un changement de marque ou une opération promotionnelle ne peuvent pas être reportés sur le bouchon sans un reconditionnement complet du produit, ce qui s'avère délicat et couteux. Par ailleurs, le bouchon connu n'est pas utilisé dans le domaine des vins pétillants ou champagnisés car il est habituel, dans ce domaine, d'employer un bouchon coiffé par une capsule cerclée par un fil métallique. Enfin, le bouchon connu n'est pas équipé d'un dispositif d'inviolabilité.

C'est à ces inconvénients qu'entend plus particulièrement remédier l'invention en proposant un bouchon amélioré, comprenant une tête collée ou surmoulée qui permet la respiration d'un liquide enfermé dans le récipient qu'il obture, une ouverture facile à la main ou avec un tire-bouchon et, éventuellement, une utilisation comme bouchon verseur.

Dans cet esprit, l'invention concerne un bouchon pour récipient comprenant un corps sensiblement cylindrique et une tête emmanchée, collée ou surmoulée sur ledit corps, caractérisé en ce que ladite tête est en forme de collerette et comprend un orifice central traversant dans lequel est logée une partie dudit corps.

Grâce à l'invention, le bouchon bi-matière obtenu combine les avantages de la matière naturelle qu'est le liège et de la matière de la tête, notamment de la matière plastique, sans que les avantages propres de chaque matériau ne diminuent les avantages de l'autre matériau. Ainsi, ce bouchon laisse respirer le vin à travers l'orifice traversant de la tête, permet l'utilisation d'un tire-bouchon en introduisant celui-ci dans le corps à travers l'orifice de la tête, permet une préhension améliorée du bouchon grâce à la tête et peut être utilisé lors de la mise en bouteille d'un vin ou d'un alcool sans appareil d'embouteillage spécifique. Le bouchon de l'invention permet également de reboucher facilement et efficacement une bouteille entamée, ce qui est avantageux en plein air, mais également dans le domaine de la restauration rapide où le consommateur peut emporter une bouteille entamée, comme cela se pratique parfois dans les cantines d'entreprises.

L'utilisateur peut également choisir de réutiliser plusieurs fois le bouchon conforme à l'invention qui peut être manipulé, au choix, par sa tête ou avec un tire-bouchon. Ceci s'avère particulièrement pratique pour les personnes qui achètent leur vin en vrac chez un caviste en utilisant leurs propres bouteilles et bouchons. Un bouchon conforme à l'invention est compatible avec un cachetage à la cire tel que pratiqué, notamment, pour les vins ou spiritueux. En effet, la surface supérieure du corps, le plus souvent en liège, réagit correctement avec la cire. De plus, la cire reste compatible avec l'utilisation d'un tire-bouchon. On peut en outre réaliser la tête en matière plastique transparente, ce qui est très discret sous la cire.

Dans le cas d'une tête ou collerette surmoulée, aucune colle ne risque d'être dégradée par élévation de température lors de l'application d'une cire fondue.

Selon un premier mode de réalisation de l'invention, la tête a une surface annulaire supérieure affleurant avec une surface d'extrémité du corps. Grâce à cet aspect de l'invention, la surface supérieure du bouchon monté est sensiblement plane, ce qui convient au domaine des vins tranquilles.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, la tête est disposée autour du corps dans une position telle qu'une extrémité de ce corps s'étend au-delà de la tête, à l'opposé de sa partie principale, Ceci permet d'obtenir un aspect particulier utilisable, notamment, pour équiper des bouteilles, des carafes ou des flacons destinés à la décoration, à la parfumerie ou au conditionnement de certains spiritueux comme le
Cognac.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, l'orifice traversant est à section globalement circulaire, le diamètre de cet orifice étant sensiblement égal au diamètre du corps à section circulaire. Ainsi, le corps est maintenu en position par rapport à la tête par coopération de formes. Aucun interstice dans lequel pourrait s'accumuler des impuretés n'est créé.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, l'extrémité du corps porte, sur une face exposée visible à travers l'orifice traversant, des informations techniques, sanitaires ou commerciales. Cet aspect de l'invention permet de se servir de cette face exposée comme support d'informations, éventuellement avant le collage ou le surmoulage de la tête, ce qui est plus simple et de prix de revient moindre que les procédés classiques de marquage des capsules en matière plastique. Il est également possible de prévoir que la tête porte, sur une face exposée et/ou une jupe, des informations techniques, sanitaires ou commerciales. Les informations sont avantageusement écrites à l'encre, gravées ou pyrogravées sur le corps en liège ou sur la tête.

Selon un autre aspect de l'invention, la tête comprend une multiplicité de nervures radiales en prise avec la surface périphérique externe du corps, ces nervures s'étendant sur la partie de l'épaisseur de la tête, à distance de l'orifice traversant. Ces nervures ont pour fonction d'améliorer la fixation de la tête sur le corps. Elles n'interfèrent pas avec l'orifice traversant de la tête, ce qui permet de conserver une surface exposée du corps globalement en forme de disque.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, les nervures sont inclinées par rapport à la normale de la surface externe au point de contact entre chaque nervure et cette surface externe, les nervures étant réparties autour du corps avec des orientations différentes par rapport à cette normale.

L'inclinaison des nervures par rapport à cette normale leur permet d'être sensiblement normales à la surface externe du corps lorsque celui-ci est déformé par un couple exercé sur la tête par un utilisateur alors que le corps du bouchon adhère à l'intérieur du goulot et ce, quelles que soient la direction du couple exercé sur la capsule et la déformation qui en résulte éventuellement.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, les nervures sont doubles et comprennent deux branches orientées différemment par rapport à la normale. Chaque nervure est ainsi apte à réagir efficacement par rapport aux deux sens de rotation éventuelle de la tête par rapport au corps.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, la tête comprend une bague circulaire surmoulée sur le corps. Cette bague améliore encore l'accrochage de la tête sur le corps et permet, éventuellement, de se dispenser de mouler des nervures.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, le corps est percé d'un orifice longitudinal traversant apte à recevoir une paille ou un tube verseur. Dans ce cas, l'orifice central de la tête ou collerette en matière plastique entoure l'orifice longitudinal du corps et permet l'introduction de la paille ou d'un tube verseur après la mise en place de la tête ou collerette.

Selon un autre aspect avantageux de l'invention, le corps porte, sur sa surface radiale extérieure, une gorge périphérique de réception d'une partie de la tête. Cette gorge a pour fonction d'améliorer l'ancrage de la tête sur le corps.

Selon un autre aspect de l'invention, la tête comprend un moyen de fixation amovible d'un habillage du corps. L'habillage permet d'améliorer les caractéristiques esthétiques du bouchon de l'invention. On peut, en particulier, prévoir que cet habillage est une pastille clipsée sur la tête au voisinage de sa surface d'extrémité. On peut également prévoir que l'habillage est une coiffe clipsée sur une surface radiale périphérique de la tête. Avantageusement, l'habillage comprend un orifice central de passage d'une extrémité du corps du bouchon.

Il est aussi possible de prévoir que cet habillage est pourvu de zones de réception d'un cerclage métallique. Selon une autre variante, l'habillage se prolonge par une jupe destinée à être rendue solidaire d'un récipient, la zone de raccordement entre l'habillage et la jupe étant sécable. Cette variante incorpore ainsi un dispositif d'inviolabilité permettant de détecter une ouverture du bouchon.

Selon un autre aspect avantageux, l'habillage porte des informations techniques, sanitaires ou commerciales.

L'invention sera mieux comprise et d'autres avantages de celle-ci apparaîtront plus clairement à la lumière de la description qui va suivre de neuf modes de réalisation d'un bouchon conforme à son principe, donnée uniquement à titre d'exemple et faite en référence aux dessins annexés dans lesquels
- la figure 1 est une vue en perspective éclatée d'un bouchon conforme à un premier mode de réalisation de l'invention
- la figure 2 est une coupe longitudinale du bouchon de la figure 1, les deux pièces étant assemblées
- la figure 3 est une coupe selon la ligne III-III à la figure 2
- la figure 4 est une coupe analogue à la figure 3 pour un bouchon conforme à un second mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 5 est une coupe analogue à la figure 3 pour un bouchon conforme à un troisième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 6 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un quatrième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 7 est une coupe selon la ligne VII-VII à la figure 6
- la figure 8 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un cinquième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 9 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un sixième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 10 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un septième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 11 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un huitième mode de réalisation de l'invention ;
- la figure 12 est une vue de dessus du bouchon de la figure 11;
- la figure 13 est une coupe analogue à la figure 2 pour un bouchon conforme à un neuvième mode de réalisation de l'invention et
- la figure 14 est une vue de dessus du bouchon de la figure 13.

Le bouchon représenté à la figure 1 comprend un corps 1 sensiblement cylindrique à section circulaire réalisé dans un morceau de liège et une tête 2 destinée à être emmanchée sur ce corps. La tête 2 est pourvue d'une jupe 3 définissant sa surface radiale externe et permettant une bonne préhension du bouchon une fois celui-ci en place dans le goulot d'une bouteille. La face interne de la jupe 3 porte des nervures 4 s'étendant en direction de la surface externe 5 du corps 1 et venant au contact ou en prise avec celle-ci.

Conformément à l'invention, un orifice traversant 6 est ménagé dans la tête 2 pour recevoir une extrémité 1A du corps 1. Grâce à la présence de l'orifice 6, une fois la tête 2 en place sur le corps 1, l'extrémité 1A du corps 1 est accessible par l'extérieur du bouchon. En particulier, la partie d'extrémité 5A de la surface 5 est exposée à l'air libre lorsque le bouchon de l'invention est monté sur une bouteille. En d'autres termes, la tête 2 est en forme de collerette disposée autour de la partie 1A du corps 1.

Ce bouchon est conforme aux habitudes des différents pays producteurs ou consommateurs de vins ou de spiritueux. En effet, dans certains pays de l'Europe de l'Ouest, notamment la
France, l'Italie ou l'Espagne, il est habituel de boucher une bouteille de vin grâce à un bouchon de liège qui laisse respirer le vin au cours de son vieillissement. Ce bouchon peut être retiré grâce à un tire-bouchon. Ce bouchon est également conforme aux habitudes alimentaires des pays dans lesquels le tire-bouchon ne fait pas partie de la tradition du vin, tels que, notamment, les Etats-Unis, le Japon ou la Chine.

L'aspect naturel du liège est conservé et visible de l'extérieur, ce qui est conforme à la nouvelle approche écologique des marchés dans laquelle les spécificités naturelles des produits sont mises en avant. Dans le cas d'espèce, le fait que le bouchon est en liège apparaît dès le premier regard. Pratiquement toutes les qualités de liège naturel, colmaté ou aggloméré, éventuellement revêtu de paraffine ou de silicone, peuvent être utilisées pour la fabrication du corps 1 en étant découpées à la longueur et au diamètre voulus.

On comprend aisément que la géométrie et la couleur de la tête ou collerette 2 peut être facilement modifiée de façon à personnaliser le bouchon aux armes du producteur de vin ou de spiritueux, ou en fonction du type d'alcool contenu dans la bouteille.

La surface supérieure 2A de la tête ou collerette 2 est affleurante avec la surface 5A, de sorte que la surface supérieure d'un bouchon monté sur une bouteille est en forme de disque et comprend une partie centrale en liège et une bordure en matière plastique.

L'orifice 6 est à section globalement circulaire et son diamètre est sensiblement égal au diamètre du corps 1, de sorte que la liaison entre le corps 1 et la tête 2 est solide.

L'orifice 6 pourrait également être à section polygonale, l'extrémité 1A du corps 1 étant alors taillée avec une section correspondante. Ceci permet de transmettre efficacement un couple de la tête 2 au corps 1 par coopération de formes.

On peut prévoir que de la colle est disposée sur le bord de l'orifice 6 pour améliorer l'immobilisation de la tête 2 par rapport au corps 1. Pour éviter l'emploi de colle, la tête ou collerette 2 peut également être surmoulée sur le bouchon 1 et immobilisée grâce aux nervures 4. Ces nervures qui s'étendent entre la jupe 3 et le corps 1 en dessous de l'orifice 6 ne sont pas visibles lorsque le bouchon est en place sur une bouteille.

En effet, les nervures s'étendent à partir du bas de la jupe 3, sur une hauteur h inférieure à l'épaisseur totale e de la tête 2.

On note à la figure 3 que les nervures 4 sont toutes inclinées par rapport à la normale N à la surface 5 au point de contact P entre chaque nervure 4 et la surface 5. Cette inclinaison résulte du fait que chaque nervure est formée d'une lamelle courbe dont les deux surfaces latérales ont des rayons de courbure R et R' différents. Ces rayons de courbure R et R' sont généralement compris entre 5 et 30 mm. Le caractère incliné des nervures 4 par rapport à la normale de la surface 5 leur permet de réagir efficacement en cas de déformation de l'extrémité supérieure 1A du corps du fait d'un effort de rotation exercé sur la jupe 3 alors que le corps 1 serait coincé ou collé dans le goulot d'une bouteille. Les nervures s'opposent à cette déformation en pénétrant dans la surface 5, ce qui augmente ainsi la force d'immobilisation de la tête ou collerette 2 par rapport au corps 1.

Pour permettre aux nervures de pénétrer efficacement dans le corps 1 quel que soit le sens du couple exercé sur la collerette, on peut prévoir que les nervures 4 sont réparties autour du corps 1 avec des orientations différentes par rapport à la normale N. En particulier, comme il apparaît à la figure 3, les nervures sont réparties dans les quatre cadrans angulaires avec des orientations globalement constantes par rapport à la normale N et différentes entre les cadrans contigus. Le nombre de dents de chaque cadran peut être variable d'un cadran à l'autre.

Comme la surface SA du bouchon est exposée en permanence, elle peut porter des informations techniques, sanitaires ou commerciales telles que l'année de production du vin, son origine ou son taux d'alcool. Ces informations peuvent être inscrites sur la surface 5A avant ou après la mise en place de la tête 2. Les informations peuvent être écrites à l'encre ou pyrogravées, ce qui permet une production avec une cadence importante, y compris sur le site d'embouteillage.

De plus, la tête 2 peut également porter des informations du même type sur la surface 2A ou sur la jupe 3. Ces informations peuvent être inscrites à l'encre ou gravées. La matière utilisée pour la tête 2 qui lui confère une couleur ou un aspect mat, brillant ou granuleux permet également une différentiation aisée des contenus des récipients sur lesquels elle peut être montée. Le gravage des informations sur la tête 2 peut être adapté aux non-voyants, par exemple réalisé en
Braille.

Selon une variante de l'invention, on peut prévoir de marquer ou graver la surface 5 du corps 1 dans sa partie cylindrique comme cela est déjà l'usage dans le domaine du vin.

Cette possibilité est d'autant plus intéressante que la tête 2 peut être réalisée en matière plastique transparente, ce qui permet une bonne lisibilité du texte ou des dessins portés sur le corps 1. Comme le corps 1 subit moins de déformations à l'embouteillage que les bouchons classiques, le texte ou les dessins portés sur la surface 5 ne sont pratiquement pas déformés, que le bouchon soit en place ou qu'il ait été retiré du goulot.

Ainsi, l'impact publicitaire des informations portées sur le corps ou sur la tête est amélioré par rapport à celui d'un bouchon uniquement en liège qui est généralement jeté après débouchage.

Dans le second mode de réalisation représenté à la figure 4, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 50. Ce mode de réalisation diffère du précédent en ce qu'une jupe externe 53 de la tête 52 porte des nervures radiales 54 orientées vers la surface extérieure 55 du corps 51 et disposées par paires avec des orientations différentes par rapport à la normale N au point de contact P entre chaque nervure 54 et la surface 55.

Dans le troisième mode de réalisation de l'invention représenté à la figure 5, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 et 2 portent des références identiques augmentées de 100. Dans ce mode de réalisation, la tête 102 est munie d'une jupe externe 103 à partir de laquelle s'étendent également vers l'intérieur des nervures 104 qui viennent en contact avec la surface externe 105 du corps 101.

Les nervures 104 sont doubles et comprennent chacune deux branches 104A et 104B orientées différemment par rapport à la normale N au point de contact P entre chacune des branches 104A et 104B et la surface 105.

L'orientation des nervures des second et troisième modes de réalisation de l'invention permet de répondre efficacement à toute déformation de la partie supérieure du corps 51 ou 101 lorsque celui-ci est bloqué dans le goulot d'une bouteille.

I1 est possible de prévoir que les nervures 4, 54 ou 104 pénètrent partiellement dans le corps 1, 51 ou 101 par suite du serrage des nervures de la tête sur le corps relativement souple en liège, lors d'un assemblage par emmanchement ou par collage, ou par suite de la pression d'injection du matériau formant la tête 2, 52 ou 102, dans le cas de surmoulage, ceci améliorant encore l'ancrage du corps par rapport à la capsule.

I1 est également possible de prévoir qu'une tête ou collerette porte, dans différents secteurs angulaires, des nervures selon une combinaison quelconque des modes de réalisation des figures 3 à 5.

Dans le quatrième mode de réalisation de l'invention représenté aux figures 6 et 7, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 150. Dans ce mode de réalisation, un corps 151 en liège est équipé d'une tête 152 en forme de collerette pourvue d'une jupe 153. La tête 152 comprend également une bague circulaire 157 définissant avec la partie supérieure de la tête 152, un orifice central 156 de réception de l'extrémité supérieure 151A du corps 151. Comme dans le mode de réalisation des figures 1 à 3, une surface annulaire supérieure 152A est prévue affleurante avec une surface d'extrémité 155A du corps 151. La bague circulaire 157 est surmoulée sur le corps 151, ce qui permet un bon ancrage de la tête 152 sur le corps 151. Grâce à cet ancrage satisfaisant, il n'est pas nécessaire de prévoir des nervures entre la jupe 153 et la bague 157, de sorte que l'extrémité supérieure 160A du goulot 160 d'une bouteille peut être reçue dans l'espace annulaire 158 ménagé entre les éléments 153 et 157.

Dans le cinquième mode de réalisation de l'invention, représenté à la figure 8, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 200. Dans ce mode de réalisation, un corps 201 est entouré d'une tête ou collerette 202 pourvue d'une jupe 203. Une extrémité 201A du corps 201 s'étend à travers un orifice central 206 de la tête 202 au-delà de cette tête à l'opposé de la partie principale 201B du corps 201. Au niveau d'une zone intermédiaire 201C du corps 201, il est prévu une gorge 201D périphérique sur la surface externe 205 du corps 201. La gorge 201D est prévue pour recevoir une partie bombée d'une bague circulaire 207 faisant partie de la tête ou collerette 202. Un espace annulaire 208 est ménagé entre les éléments 203 et 207 pour recevoir la partie supérieure d'un goulot non représenté.

Le fait que l'extrémité 201A du corps 201 dépasse au-delà de la collerette 202 permet de conférer au bouchon de ce mode de réalisation un aspect esthétique particulier qui souligne la présence du corps en liège au centre de la collerette en matière plastique. On note que la surface supérieure 202A de la collerette 202 est bombée, ce qui rappelle le caractère arrondi de l'extrémité 201A du corps 201.

Conformément à un aspect particulièrement avantageux de l'invention, le corps 201 est également pourvu d'un orifice longitudinal 201E disposé sensiblement au centre du corps 201 et prévu pour recevoir un tube verseur 209. Ainsi, le bouchon conforme à ce mode de réalisation peut être utilisé pour le dosage d'alcool, de sirop de fruits, d'huile d'assaisonnement ou de vinaigre.

I1 est également possible de prévoir qu'un tube d'évent traverse le corps 201 pour permettre le déversement du liquide contenu dans le récipient sur lequel est monté le bouchon sans interruption ni à-coups. Un conduit extrudé selon un profilé à deux filières permet d'obtenir un résultat équivalent.

Selon un mode de réalisation non représenté de l'invention, l'orifice longitudinal 201E pourrait être utilisé pour relier l'intérieur du récipient à l'extérieur grâce à une paille, ce qui permet à un utilisateur de monter temporairement un bouchon conforme à l'invention sur une bouteille telle qu'une bouteille de jus de fruits ou de cola, pour en obturer partiellement le goulot, tout en permettant de boire à la paille. Ceci est particulièrement utile lorsque l'on souhaite boire à la paille dans un véhicule en cours de déplacement.

Dans le sixième mode de réalisation de l'invention représenté à la figure 9, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 250.

Dans ce mode de réalisation, un corps 251 est entouré au niveau de son extrémité supérieure 251A par une tête ou collerette 252. Le corps 251 comprend une gorge 251D de réception d'un bourrelet interne 252s de la tête ou collerette 252. Un orifice central 256 est ménagé dans la tête 252 pour recevoir l'extrémité 251A du corps 251 qui est affleurante avec une surface d'extrémité 252A de la tête 252.

Dans ce mode de réalisation, la surface radiale périphérique 252C de la tête 252 est globalement tronconique dans sa partie inférieure avec un angle d'inclinaison a de l'ordre de 100. Un bourrelet externe 252D est prévu sur la surface 252C et permet le clipsage d'une coiffe 260 recouvrant à la fois l'extrémité 251A du corps 251 et la collerette 252. Cette coiffe permet de modifier, selon les choix du fabricant ou du distributeur du produit, l'aspect du bouchon en masquant la surface d'extrémité 255A du corps 251. Un crantage ou un dispositif analogue peut être prévu pour bloquer la coiffe 260 en rotation autour de l'axe de symétrie du corps 251. On peut porter des informations commerciales ou publicitaires sur la coiffe 260. Les différentes coiffes 260 à monter sur ce bouchon peuvent être réalisées en des matériaux différents ou en des couleurs correspondant à un code couleur facilitant leur différenciation. Cette signalétique par couleur apporte un aspect de sécurité, notamment en cas d'application pour des produits d'entretien.

Le fait que la coiffe 260 n'est pas en contact avec le liquide, ni même avec le corps 251, permet l'emploi de matériaux variés pour sa fabrication tels que des bois exotiques ou des matières plastiques parfumées.

Si la coiffe est réalisée en matière plastique transparente, on concilie l'aspect 'naturel' d'un corps en liège avec un caractère "sophistiqué" ou "moderne".

On comprend que la respiration du liquide tel que du vin, contenu dans le récipient sur lequel peut être monté le bouchon de ce mode de réalisation est possible à travers l'extrémité 251A et l'espace compris entre la coiffe 260 et la surface 252C. On peut également prévoir que la coiffe 260 est ajourée puisqu'elle ne doit pas être étanche. Ceci facilite la "respi ration du liquide, participe à l'esthétique de la coiffe et peut répondre à un impératif économique par réduction du coût matière.

On comprend également qu'il est toujours possible de retirer la coiffe 260 lorsqu'il est nécessaire d'extraire le bouchon, notamment avec un tire-bouchon.

Dans le septième mode de réalisation de l'invention représenté à la figure 10, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 300. Dans ce mode de réalisation, un corps 301 a son extrémité 301A logée dans un orifice central 306 d'une tête 302 en forme de collerette. La tête 302 comprend une jupe 303 et un bourrelet 302B destiné à pénétrer dans une gorge 301D du corps 301. Pour améliorer encore la solidité de la coiffe 302, on peut prévoir que des ailettes 304 sont prévues entre le bourrelet 302B et la jupe 304.

La surface supérieure 302A de la tête 302 se prolonge radialement vers le centre du corps 301, de sorte qu'elle recouvre partiellement l'extrémité 301A en définissant une ouverture 311, située juste au-dessus de la surface d'extrémité 305A du corps 301.

Une pastille 312 est prévue pour être clipsée dans l'ouverture 311 au niveau de la surface d'extrémité 305A de façon à masquer cette surface. Comme la coiffe 260, la pastille 312 peut comporter les informations techniques, commerciales sanitaires ou publicitaires ou être transparente afin de souligner l'aspect naturel du liège visible à travers l'ouverture 311.

Les bouchons conformes aux modes de réalisation des figures 9 et 10 peuvent être montés chacun sur une ligne d'embouteillage avec un unique réglage de la ligne. La coiffe 260 ou la pastille 312 peuvent ensuite être clipsées sur les têtes 252 ou 302, sur des lignes différentes, leur forme et leur qualité étant adaptées au niveau de gamme recherché. En d'autres termes, la coiffe ou la pastille permettent d'adapter un bouchon unique, formé du corps et de la tête, à diverses utilisations.

Le clipsage de la coiffe ou de la pastille peut intervenir plusieurs mois après la mise en bouteille, ce qui permet de gérer efficacement un lancement promotionnel, un anniversaire ou une demande particulière d'un distributeur en personnalisant les coiffes ou pastilles immédiatement avant leur commercialisation.

Dans les modes de réalisation des figures 8 à 10, les gorges ménagées dans la surface radiale extérieure des corps ont été représentées avec une forme arrondie, il est bien entendu que ces gorges peuvent avoir toutes formes au choix du fabricant et, notamment, un fond plat ou triangulaire. La forme de cette gorge peut être définie en fonction des facilités de réalisation dans le corps et des pressions de surmoulage utilisées.

Dans le huitième mode de réalisation de l'invention représenté aux figures 11 et 12, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 350. Un corps 351 est entouré par une tête 352 en forme de collerette. Une extrémité 351A du corps 351 s'étend à trav champagne ou de cidre.

Comme il apparaît plus clairement sur la figure 12, la coiffe 360 est pourvue d'ajours 362 permettant de diminuer son poids et donc son prix de revient en matière et d'améliorer son esthétique.

Par ailleurs, des rainures 363 sont ménagées sur la surface extérieure de la coiffe 360 et constituent des zones de réception d'un fil métallique ou muselet 1I classiquement utilisé pour réaliser un cerclage du bouchon sur le goulot d'une bouteille de vin pétillant, de champagne ou de cidre.

Dans le neuvième mode de réalisation de l'invention représenté sur les figures 13 et 14, les éléments analogues à ceux du mode de réalisation des figures 1 à 3 portent des références identiques augmentées de 400. Dans ce mode de réalisation, un corps 401 est entouré au niveau de son extrémité supérieure 401A par une tête ou collerette 402 pourvue d'un orifice central 406 de réception de cette extrémité. La tête 402 est pourvue d'une jupe 403 et de nervures 404 d'ancrage sur le corps 401. La surface radiale périphérique 402C de la tête 402 porte un bourrelet 402D de clippage d'une coiffe 410 dont la surface supérieure 410A se prolonge radialement vers le centre du corps 401, de sorte qu'elle recouvre partiellement l'extrémité 401A de ce corps. La coiffe 410 se prolonge par une jupe 411 destinée à être fermement clippée sur le goulot 412 d'une bouteille grâce à des bourrelets internes 411A et 411B coopérant avec des collerettes ou "carnettes" 412A et 412B du goulot 412.

Comme il apparaît plus clairement à la figure 14, la zone de raccordement 410B entre la partie principale 410C de la coiffe 410 et la jupe 411 est pourvue d'ajours 413 qui rendent cette zone sécable, notamment lors d'un mouvement d'arrachement de la coiffe 410 par rapport à la tête 402. Ceci constitue donc un dispositif d'inviolabilité dans la mesure où il est nécessaire de retirer la coiffe 410 pour enlever le bouchon formé des éléments 401 et 402 et que ceci résulte dans la rupture de la zone 410B. Même si le bouchon est ré-introduit dans le goulot 412 et si la coiffe 410 est remise en place, il est possible de détecter cette ouverture de la bouteille.

On note que les formes extérieures des têtes des modes de réalisation des figures 9 et 11 à 14 sont identiques, de sorte que les différentes coiffes envisagées peuvent être utilisées sur ces différentes têtes. On note également que les têtes 352 et 402 des deux derniers modes de réalisation sont identiques elles diffèrent dans leur utilisation par leur positionnement par rapport au corps sur lequel elles sont montées. On comprend également qu'il serait possible d'équiper le dispositif du mode de réalisation des figures 13 et 14 d'une pastille analogue à la pastille 312 du mode de réalisation de la figure 10 car la tête 402 recouvre partiellement la surface d'extrémité 405A du corps 401.

Dans les modes de réalisation décrits, le corps du bouchon a été présenté en liège, mais il est également possible d'utiliser un corps en matière plastique moulé, tel que par exemple en polypropylène ou dans une matière plastique contenant des agents gonflants.

On note qu'une tête pourvue d'un orifice central de diamètre donné peut être adaptée sur des corps de diamètres variés en retaillant ces corps aux dimensions de l'orifice de la tête. Ainsi, une tête pourra plus ou moins pénétrer dans le corps sur lequel elle est montée en fonction du diamètre de celui-ci. Des têtes ou collerettes identiques peuvent être utilisées pour des bouchons destinés à équiper des bouteilles dont les goulots sont de diamètres différents, en installant ces têtes ou collerettes sur les parties supérieures des corps des bouchons et en retaillant les parties inférieures de ces corps en fonction des diamètres des bouteilles à équiper.

L'orifice central de la tête ou collerette a été présenté à section circulaire. I1 peut cependant être à section polygonale en fonction de la section du corps.

L'invention a été présentée avec des têtes ou collerettes réalisées en matière plastique, elle est cependant applicable à des têtes ou collerettes en bois ou en métal, ces têtes pouvant être aisément collées sur un corps. Une tête ou collerette en métal pourra avoir une forme extérieure munie de dents, ce qui peut évoquer la périphérie d'une capsule utilisée notamment avec des bières.

Pour les vins pétillants, le champagne ou le cidre, le corps peut avoir une forme adaptée aux habitudes du domaine en question, en particulier une section verticale globalement conique et/ou évasée, éventuellement pourvue d'une couche inférieure rapportée sur la partie principale du corps et destinée à venir en contact avec le liquide.

Claims (19)

REVENDICATIONS

1. Bouchon pour récipient comprenant un corps (1, 151, 201 ; 251 ; 301 ; 351 ; 401) sensiblement cylindrique et une tête (2 ; 152 ; 202 ; 252 ; 302 ; 352 ; 402) emmanchée, collée ou surmoulée sur ledit corps, caractérisé en ce que ladite tête est en forme de collerette et comprend un orifice central traversant (6 ; 156 ; 206 ; 256 ; 306 ; 356 ; 406) dans lequel est logée une partie (1A ; 151A ; 201C ; 251A ; 351C ; 401A) dudit corps.

2. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite tête (2 ; 152 ; 252 ; 302 ; 402) a une surface annulaire supérieure (2A, 152A, 302A) affleurant avec une surface (5A ; 155A ; 255A ; 305A) d'extrémité (1A ; 151A ; 251A ; 301A ; 401) dudit corps (1 ; 151 ; 251 ; 301 ; 401).

3. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite tête (202 ; 352) est disposée autour dudit corps (201 351) dans une position telle qu'une extrémité dudit corps (201A, 351A) s'étend au-delà de ladite tête, à l'opposé de la partie principale (201B ; 351B) dudit corps.

4. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ledit orifice traversant (6 ; 156 ; 206 ; 256 ; 306 ; 356 406) est à section globalement circulaire, le diamètre dudit orifice étant sensiblement égal au diamètre dudit corps (1 ; 151 ; 201 ; 251 ; 301 ; 351 ; 401) à section circulaire.

5. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite extrémité (1A) dudit corps (1) porte, sur une face (5A) exposée visible à travers ledit orifice traversant (6), des informations techniques, sanitaires ou commerciales.

6. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite tête (2) porte, sur une face d'extrémité (2A) et/ou sur une jupe (3), des informations techniques, sanitaires ou commerciales.

7. Bouchon selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que ladite tête (2 ; 52 ; 102 ; 352 ; 402) comprend une multiplicité de nervures radiales (4 ; 54 ; 104 354 ; 404) en prise avec la surface périphérique externe (5 55 ; 105) dudit corps (1 ; 51 ; 101 ; 351 ; 401), lesdites nervures s'étendant sur une partie (h) de l'épaisseur (e) de ladite tête, à distance dudit orifice traversant.

8. Bouchon selon la revendication 7, caractérisé en ce que lesdites nervures (4 ; 54 ; 104) sont inclinées par rapport à la normale (N) à ladite surface externe (5 ; 55 ; 105) au point de contact (P) entre chaque nervure et ladite surface externe, lesdites nervures étant réparties autour dudit corps avec des orientations différentes par rapport à ladite normale.

9. Bouchon selon la revendication 8, caractérisé en ce que lesdites nervures (104) sont doubles et comprennent deux branches (104A, 104B) orientées différemment par rapport à ladite normale (N).

10. Bouchon selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que ladite tête (152 ; 202 ; 302) comprend une bague circulaire (157 ; 207 ; 302B) surmoulée sur ledit corps (151 201 ; 301).

11. Bouchon selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit corps (201) est percé d'un orifice longitudinal traversant (201E) apte à recevoir une paille ou un tube verseur (209).

12. Bouchon selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que ledit corps (201 ; 251 ; 301) porte, sur sa surface radiale extérieure, une gorge périphérique (201D 251D ; 301D ) de réception d'une partie (207 ; 252B ; 302B) de ladite tête (202 ; 252 ; 302).

13. Bouchon selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite tête (252 ; 302 ; 352 ; 402) comprend un moyen (252D ; 302A ; 352D ; 402D) de fixation amovible d'un habillage (260 ; 312 ; 360 ; 410) dudit corps (251 ; 301 ; 351 ; 401).

14. Bouchon selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit habillage est une pastille (312) clipsée sur ladite tête (302) au voisinage de ladite surface d'extrémité (255A).

15. Bouchon selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit habillage est une coiffe (260 ; 360 ; 410) clipsée sur une surface radiale (252C ; 352C ; 402C) de ladite tête (252 ; 352 ; 402).

16. Bouchon selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit habillage (360) comprend un orifice central (361) de passage d'une extrémité (351A) dudit corps (351).

17. Bouchon selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit habillage est pourvu de zones (363) de réception d'un cerclage métallique.

18. Bouchon selon la revendication 13, caractérisé en ce que ledit habillage (410) se prolonge par une jupe (411) destinée à être rendue solidaire du récipient (412), la zone de raccordement (410B) entre ledit habillage et ladite jupe étant sécable.

19. Bouchon selon l'une des revendications 13 à 18, caractérisé en ce que ledit habillage (260 ; 312) porte des informations techniques, sanitaires ou commerciales.