FR2764327A1 - Plaque metallique de fermeture d'une trappe de visite - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une plaque (11) métallique de fermeture d'une trappe de visite (3) aux dimensions prédéterminées permettant l'accès à l'intérieur d'un candélabre (1).Cette plaque est en matériau métallique présentant une élasticité importante, notamment en acier inoxydable ou en acier à ressort, elle est rapprochée à force à l'encontre de son élasticité vers la paroi externe (14) du candélabre (1). L'invention est utilisable en éclairage public, notamment pour la fermeture des trappes de visite des candélabres.

Description

La présente invention concerne une plaque métallique de fermeture d'une trappe de visite aux dimensions prédéterminées permettant l'accès à l'intérieur d'un candélabre ou d'un poteau creux de section ronde ou polygonale, du genre à avoir une surface délimitée pour juste couvrir avec un petit débordement la face externe du candélabre ou du poteau creux en bordure de la dite trappe de visite.

Dans le domaine de l'éclairage public, les candélabres métalliques comportent habituellement une trappe de visite située vers le bas. Cette trappe est destinée au montage et à l'entretien des appareils électriques de branchement du candélabre sur le réseau.

Les candélabres sont habituellement en acier ou en aluminium et leur porte métallique servant à l'occultation est fabriquée en même temps que le fût du candélabre et est en conséquence dans la même matière. Ces portes sont situées à hauteur des pare-chocs de voitures. Elles sont donc très souvent détériorées ou déformées de façon accidentelle. Un léger voile dans leur géométrie empêche alors le remontage. Lorsqu'elles sont abîmées ou détériorées, leur remplacement est difficile, d'autant que leur géométrie est adaptée à celle du candélabre, elle-même très différente d'une installation à l'autre selon les caractéristiques de la rue, des éclairements requis, ou de l'environnement. Une nouvelle porte doit être reconstruite par le fournisseur de candélabres en tenant compte des caractéristiques dimensionnelles du candélabre installé. Devant cette difficulté, il est très difficile de se procurer les portes de remplacement. Les trappes de visite des candélabres restent alors ouvertes, ce qui est inesthétique et présente un réel danger électrique pour les piétons.

Les entreprises chargées de la maintenance des candélabres préfèrent le plus souvent remplacer la porte défaillante par une plaque en tôle d'aluminium ou une plaque en plastique cerclée autour du fùt du candélabre au moyen d'un ruban en acier ou vissée avec des pattes s'accrochant sur le poteau. Ces systèmes réalisé avec des moyens de dépannage sont inesthétiques et sont d'un prix important de mise en oeuvre avec un résultat non satisfaisant
D'autre systèmes de portes connus s'adaptent sur un chambranle montable sur les trappes de visite des poteaux. Le prix de tels systèmes est aussi trop important. De tels systèmes présentent de surcroît des parties saillantes formant des obstacles dangereux au passage des piétons.

Ces moyens sont donc mal adaptés; ils sont de mise en place difficile, ils sont inesthétiques et ne conviennent pas au remplacement des portes manquantes quel que soit le modèle de candélabre. En outre le coût de remplacement est trop important.

Pour palier à ces défauts, la plaque de fermeture objet de l'invention est avantageusement en matériau métallique présentant une élasticité importante, notamment en acier inoxydable ou en acier à ressort, elle est cintrée verticalement de façon cylindrique afin que son rayon de cambrure soit inférieur au rayon du modèle de poteau ayant la plus petite section pour la dite dimension de trappe de visite prédéterminée et elle est rapprochée à force à l'encontre de son élasticité vers la paroi externe du candélabre ou du poteau creux comportant une telle trappe de visite.

Ainsi une plaque de fermeture objet de l'invention s'adapte facilement sur tout modèle de candélabre comportant les mêmes dimensions prédéterminées de trappe de visite, même si le candélabre est de section ronde ou polygonale et quelque soit sa conicité. Les installateurs peuvent donc disposer de plaques de fermeture en stock de façon à pourvoir rapidement au remplacement des portes abîmées. En outre sa construction notamment en tôle inoxydable ou en tôle d'acier à ressort lui confère une rigidité importante la mettant à l'abri de toute nouvelle détérioration. Enfin l'aspect de la tôle en acier inoxydable est proche de celui de l'aluminium ou de la tôle zinguée habituellement utilisée pour la fabrication du fût des candélabres, ce qui lui permet d'être esthétiquement acceptable dans la plupart des cas.

L'invention sera mieux comprise, et d'autres buts, caractéristiques, détails et avantages de celle-ci apparaîtront plus clairement au cours de la description explicative qui va suivre faite en référence aux figures annexées données uniquement à titre d'exemple et dans lesquelles:
La figure 1 représente une vue éclatée et en perspective d'une plaque de fermeture, objet de l'invention, d'une trappe de visite d'un candélabre et d'une porte de type habituel.

La figure 2 représente une vue en perspective de la même plaque de fermeture.

La figure 3 est une vue en coupe d'un candélabre rond.

La figure 4 représente une vue en coupe de la même plaque de fermeture prédisposée sur un candélabre de section polygonale.

La figure 5 est une vue en perspective et en éclaté d'un élément de la plaque de fermeture objet de l'invention.

En référence à la figure 1, les candélabres métalliques 1 sont le plus souvent réalisés en tôle d'aluminium ou en tôle d'acier galvanisée. lls ont habituellement une section transversale 2 ronde ou polygonale, notamment octogonale. ils comportent une trappe de visite 3 permettant l'accès à l'intérieur du candélabre, notamment pour les travaux de raccordement électrique du candélabre au réseau électrique ou pour l'entretien de l'appareillage 4 de raccordement. Cette trappe de visite 3 a le plus souvent des cotes usuelles prédéterminées. La hauteur des trappes de visite 3 est la même pour toute une gamme de modèles de candélabres neufs ou anciens; quels que soient les constructeurs de candélabres, dans un même pays. A des dimensions prédéterminées de trappe de visite correspond donc de très nombreux modèles différents de candélabres 1 se différenciant les uns des autres par leur métal, leur forme géométrique, leur conicité, leur section.

Cette trappe de visite est habituellement fermée par le constructeur de candélabre au moment de son élaboration par une porte 5 dont le pourtour 6 est ajusté pour occulter complètement la trappe de visite 3. La porte se démonte habituellement facilement lorsque le candélabre nécessite un entretien interne en dévissant deux vis 7 actionnant un dispositif de verrouillage constitué par des pattes 8 s'accrochant à l'intérieur du candélabre, sur les bords haut et bas 9 et 10 de la trappe de visite 3, sur la surface intérieure 1A du candélabre.

Ces portes sont très souvent détériorées, en particulier lorsqu'elles sont accidentées par des automobilistes. En effet, elles se déforment facilement à cause de la nature du métal employé, qui est de même nature que celle du candélabre pour des raisons de construction et d'homogénéité dans la présentation du candélabre. Elles sont alors déformées et leur géométrie étant faussée, elles ne peuvent plus se monter sur les trappes de visite 3. Tout l'appareillage 4 est alors accessible pour les piétons, ce qui constitue un réel danger électrique pour eux. De plus, I'ouverture de la trappe de visite 3 restant béante est inesthétique.

En référence avec la figure 2, L'objet de l'invention est une plaque métallique 11 de fermeture de la trappe de visite 3, destinée à remplacer les portes défaillantes 5 et à se monter en lieu et à la place de celles-ci. Pour cela, la plaque métallique 11 est de préférence en tôle inoxydable ou en tôle d'acier à ressort, matériaux présentant une élasticité importante. Sa surface est délimitée pour couvrir avec un petit débordement (d), la face externe du candélabre en bordure de la trappe de visite 3. En se référant à la figure 1, on observe que lorsque la plaque 11 est en place sur le candélabre 1, tel que représenté en 12 par la ligne discontinue, les bords externes 13 de la plaque 11 débordent sur la face externe 14 du fût du candélabre de ce débordement d, de façon à couvrir les bords 15 de la trappe de visite 3.

Comme on peut l'observer à la figure 3 représentant la coupe d'un candélabre 1 selon le plan A-A, la plaque 11 est cintrée verticalement de façon cylindrique, c'est-à-dire qu'elle est cambrée selon une portion de cylindre de rayon R. Lorsque la plaque est en attente d'installation, ce rayon de cambrure R est inférieur au rayon R1 du candélabre du modèle de poteau de plus petite section habituellement trouvée dans les catalogues des constructeurs pour les dimensions d'une trappe de visite prédéterminée.

Comme la plaque 11 est en tôle élastique, il faut appliquer un effort F sur l'ensemble de la plaque 11 à l'encontre de son élasticité et de sa cambrure de rayon R pour l'obliger à se conformer à la surface externe 14 du candélabre 1, de fanon à en approcher sa face interne 16 jusqu'à réduire à son minimum l'interstice 19 entre les bords haut et bas 17 et 18 de cette face interne 16 avec les bords hauts et bas 9 et 10 de la trappe de visite 3.

Cet interstice 19 correspond à l'espace entre l'un des bords 9 ou 10 de la plaque 1 1 et la paroi externe 14 au niveau de la trappe de visite du candélabre. Lorsque le candélabre a une section polygonale telle que représentée en coupe selon le même plan A-A à la figure 4, cet interstice 19 correspond à la zone représentée en hachures entre la face interne 16 de la plaque 11 et la face externe 14 du candélabre.

Cette élasticité de la plaque 11 permet de conformer la plaque 11 à tous modèles de candélabres de section 2 ronde ou polygonale, notamment octogonale, dans la mesure où le rayon R1 du cercle circonscrit à la section du candélabre est supérieur au rayon R de cambrage de la plaque 11. Elle permet en outre aux bords 13 de la plaque de venir complètement en appui sur tout le pourtour de la trappe de visite quelque soit la conicité du poteau ou candélabre 1. Au niveau du bas 10 de la trappe de visite, si le poteau est conique, le diamètre du cercle circonscrit à la section du candélabre est plus grand qu'au niveau de son haut 9.

L'élasticité de la plaque de fermeture objet de l'invention permet une déformation différenciée du haut 17 et du bas 18 de la plaque 11, ce qui lui donne la possibilité de s'adapter aux différentes conicités de la plupart des modèles existants de poteaux.

En France, la hauteur habituelle des trappes de visite des candélabres est de 30cl, 50cm ou 60 cm. Pour fermer une trappe de visite de 60 cm de haut, une tôle aura favorablement une épaisseur comprise entre 1 et 1,2 mm et pour fermer une trappe de visite de 50 cm de haut, elle aura une épaisseur comprise entre 0.8 et 1 mm. Ainsi la plaque de fermeture 11 aura une élasticité suffisante pour s'adapter sur la plupart des modèles de candélabres, sans atteindre une déformation importante dépassant la limite d'élasticité du métal, même si elle est montée sur les candélabres ayant une grande section. Elle possède en outre une rigidité importante lui permettant de résister aux chocs.

En référence avec la figure 2, la plaque métallique de fermeture objet de l'invention comprend en outre latéralement sur sa face interne 16 des pions de positionnement 22. Ces pions 22 comprennent une partie saillante 23. Ces pions sont fixés par leur extrémité 24 contre la face interne 16 de la plaque 3 selon les moyens habituels de fixation, par rivetage, par soudure ou par sertissage.

Selon la même figure, on observe que la plaque 11 comprend sur sa face interne 16 le long de son bord supérieur 17 un joint élastique 25, notamment du genre joint alvéolaire autocollant, se déformant lorsqu'il est écrasé contre la paroi de la face interne 16.

La plaque 11 comprend en outre un ou plusieurs verrous 26 solidaires de la plaque 11 vers le haut 17 et vers le bas 18 de cette plaque 11.

La figure 5 représente une vue éclatée de ce verrou 26 qui comprend favorablement une cage 30 dans laquelle peut se mouvoir librement un doigt 31. Ce doigt est actionné par une vis 33 vissée dans un écrou 34 comprenant de part et d'autre un axe 35 traversant en 36 le doigt 31 dans une partie médiane de ce doigt. Ce doigt 31 comprend vers son extrémité 32 un axe 43 coulissant dans deux rainures latérales 44 de la cage 30. Le doigt comprend à son autre extrémité 37 une surface d'appui 38. La tête 39 de la vis 33 est accessible au travers d'un trou 40 pratiqué dans la plaque 11. Son autre extrémité 41 est axée dans un évidemment 42 de la cage 30, et elle prend appui sur les bords de cet évidemment 42. L'écartement entre le trou 40 et l'évidement 42 est identique à la longueur de la vis 33. On comprend aisément qu'en manoeuvrant la vis 33 maintenue en position entre les évidements 40 et 42, I'écrou se déplace dans le sens de la flèche K, vers le haut ou vers le bas selon le sens de rotation donné à la vis 33. Cet écrou 34 entraîne dans son déplacement le doigt 31 dont l'extrémité 38, par pivotement autour de l'axe 43, est destinée à venir en appui contre les bords internes de la trappe de visite 3 et à exercer une force G s'opposant à l'élasticité F de la plaque 11 de façon à permettre son rapprochement du candélabre et son verrouillage.

Le mode de fonctionnement de la plaque de fermeture objet de la présente invention se comprend aisément. Pour pouvoir rapprocher la plaque 11 de la surface externe du candélabre, il faut exercer manuellement un effort F sur la plaque 11. Les bords latéraux 13 de la plaque 1 1 prennent alors appui sur la surface externe 14 du candélabre, ce qui a pour effet d'agrandir le diamètre R de la plaque 11 jusqu'à ce que l'ensemble de la plaque 1 1 vienne au contact de la surface 14 de façon à occulter complètement la trappe de visite 3. En augmentant cet effort F, on comprime le joint 25 qui finira d'occulter tous les interstices 19, notamment comme le montre la figure 4, si le candélabre a une section polygonale.

Lors de cette opération d'approche de la plaque 11, les débordements 23 des pions 22 servent à bien positionner la plaque 11 en regard de la trappe de visite 3 en venant notamment prendre appui sur les bords latéraux 15 de la trappe 3. Ainsi quand la plaque 11 est en place sur la trappe de visite 3, elle ne peut pas se dégager latéralement de sa position, ce qui n'est habituellement pas le cas des systèmes de portes connus.

La plaque est ensuite verrouillée en position au moyen des verrous 26. Le doigt 31 est d'abord en position d'ouverture, celle indiquée sur la figure 5 en traits pleins. Dans cette position, les extrémités 38 des doigts 31 des deux verrous placés en haut et en bas de la plaque 11 offre un dégagement maximum pour leur introduction dans la trappe de visite 3 entre ses bords haut et bas9et 10.

Le verrou 26 est ensuite fermé en vissant la vis 33 au travers du trou 40, c'est-à-dire que l'opérateur est situé à l'extérieur de la plaque 11. Cette manoeuvre a pour effet de faire pivoter l'extrémité 38 vers sa position représentée en traits discontinus sur la figure 5. L'extrémité 38 prend appui sur la surface intérieure 2A du candélabre 1, ce qui a pour effet de verrouiller la plaque 11 en position de façon à occulter complètement la trappe de visite 3.

L'avantage de la plaque de fermeture objet de l'invention est qu'elle est montable sur tous types de candélabres ayant une trappe de visite 3 définie, quelle que soit sa conicité et sa section, sans avoir à tenir compte de leur géométrie. Elle permet en particulier le remplacement aisé des portes abîmées pour la plupart des candélabres déjà installés sur les voies de circulation, ce qui offre beaucoup de simplicité de mise en oeuvre pour les services chargés de l'entretien de l'éclairage public. Il suffit qu'ils aient quelques plaques de fermeture en stock pour assurer l'entretien immédiat de toutes les portes détériorées.

Enfin, il est à remarquer que le métal utilisé pour l'élaboration de la plaque 11, notamment si elle est en acier inoxydable, est facilement soudable électriquement par point, et qu'une soudure réalisée n'entraîne pas d'oxydation du métal. Cette caractéristique est intéressante pow la fixation des pions 22 ou de la cage 30 des verrous 26 qui seront avantageusement fixés par soudure électrique sur la plaque 11. Ainsi, la plaque 11 fixée en position sur le candélabre 1 présente, sur sa face externe 20, uniquement les deux orifices 40 d'accès aux vis 33, et aucun autre organe de fixation des différents éléments de fixation ou de positionnement. La plaque 11 est donc très esthétique.

Claims (8)

REVENDICATIONS

1. Plaque métallique de fermeture, d'une trappe de visite (3) aux dimensions prédéterminées permettant l'accès à l'intérieur d'un candélabre ou d'un poteau creux (1) de section ronde ou polygonale, du genre à avoir une surfice délimitée pour couvrir avec un petit débordement périphérique (d) la face externe (14) du candélabre ou du poteau creux en bordure de la dite trappe de visite (3), caractérisée en ce qu'elle est en tôle métallique présentant une élasticité importante, notamment en acier inoxydable ou en acier à ressort, en ce qu'elle est cintrée verticalement de façon cylindrique selon un rayon R et en ce qu'elle est rapprochée à force à l'encontre de son élasticité vers la paroi externe (14) du candélabre ou du poteau creux (1) comportant une telle trappe de visite (3).

2. Plaque métallique de fermeture selon la revendication 1 caractérisée en ce que son rayon de cambrure (R) est inférieur au rayon R1 du modèle de poteau (1) ayant la plus petite section au niveau de la dite trappe de visite (3) de dimension prédéterminée.

3. plaque métallique de fermeture selon la revendication 1 caractérisée en ce qu'elle comprend latéralement sur sa face interne (16) s'étendant vers l'intérieur du candélabre ou poteau creux (1), des pions de positionnement (22) par appui sur les bords latéraux (15) délimitant la dite trappe de visite (3).

4. Plaque métallique de fermeture selon la revendication 3 caractérisée en ce que les pions (22) sont rivetés, sertis ou soudés sur la face interne (16) de la plaque et présentent une partie saillante (23).

5. plaque métallique de fermeture de trappe d'accès selon la revendication 1 caractérisée en ce qu'elle comporte un joint élastique (25), notamment du genre joint alvéolaire autocollant, posé en bordure sur sa face interne (16) colmatant l'interstice 19 avec la paroi externe (14) du candélabre ou poteau creux, au moins sur sa partie haute (17).

6. Plaque métallique de fermeture selon les revendications 1 et 2 caractérisée en ce que pour fermer une trappe de visite (3) de 60 cm de haut, sa tôle a une épaisseur comprise entre 1 et 1,2 mm et pour fermer une trappe d'accès de 50 cm de haut, elle a une épaisseur compnse entre 0.8 et 1 mm.

7. Plaque métallique de fermeture selon la revendication 1 caractérisée en ce qu'elle est constituée en matériau soudable électriquement.

8. plaque métallique de fermeture selon les revendications précédentes caractérisée en ce qu'elle comprend un ou plusieurs verrous (26) qui sont des doigts (31) pivotants autour d'une cage (30) solidarisée sur sa face interne (16), actionnés par une vis (33) dont la tête (39) est accessible de l'extérieur de la plaque métallique (11) au travers d'un orifice (40) réalisé dans la plaque (11), et comprenant une extrémité (38) prenant appui sur la tacle interne (2A) du candélabre ou poteau creux, près des bords (9,10) de la trappe de visite (11).