FR2750881A1

FR2750881A1 - Article de sport de type patin disposant de moyens de reglage en hauteur du pied de l'utilisateur

Info

Publication number: FR2750881A1
Application number: FR9609050A
Authority: FR
Inventors: Rene Borel
Original assignee: Salomon SAS
Current assignee: Salomon SAS
Priority date: 1996-07-12
Filing date: 1996-07-12
Publication date: 1998-01-16

Abstract

Article de sport comportant une chaussure (5) formée d'une coque (10) et d'une semelle externe associée à une platine supérieure d'un châssis sur une partie inférieure duquel sont disposées des roues de patinage, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens de réglage (31) de la position angulaire du pied du patineur par rapport au sol, agissant sur la différence de hauteur ( DELTAh) entre l'appui du talon (T) du pied du patineur et son appui plantaire (P) au niveau des métatarses, de manière à obtenir une variation d'angle ( alpha) allant d'une position du pied parallèle au sol, vers une position relevée du talon (T) par rapport à l'appui plantaire (P).

Description

ARTICLE DE SPORT DE TYPE PATIN DISPOSANT DE MOYENS
DE REGLAGE EN HAUTEUR DU PIED DE L'UTILISATEUR
La présente invention concerne un article de sport de type patin, tel que patin à roulettes ou à
roues en ligne comportant une chaussure associée à une platine supérieure d'un châssis sur une partie
inférieure duquel sont disposés les organes de patinage.

L'évolution de la technique dans ce domaine a conduit à réaliser un certain nombre de réglages tels que par exemple, le réglage angulaire en direction longitudinale du châssis par rapport à la chaussure.

En revanche, il n'a jamais été proposé des moyens de réglage de la position angulaire du pied du patineur par rapport au sol.

En effet, il est généralement admis qu'il est préférable que le pied du patineur soit le plus bas possible sur toute sa longueur afin que le pied se trouve le plus près possible du sol.

Or, selon une première phase de la démarche inventive, il a été constaté que plus le talon est soulevé par rapport à l'appui plantaire, plus le patin devient maniable. Ceci est particulièrement intéressant pour la pratique du hockey ou en présence de situations variées telles qu'offertes par le patin en ville ou sur rue.

Par contre, il est vrai que pour la pratique de la vitesse ou pour effectuer des courses de longue distance, il est préférable que le pied soit le plus près possible du sol.

C'est sur la base de ces constatations que l'invention se propose de réaliser un patin comportant une chaussure formée d'une tige et d'une semelle externe associée à une platine supérieure d'un châssis sur une partie inférieure duquel sont disposés le ou les organes de patinage, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens de réglage de la position angulaire du pied du patineur par rapport au sol, agissant sur la différence de hauteur entre l'appui du talon du pied du patineur et son appui plantaire au niveau des métatarses, de manière à obtenir une variation d'angle allant d'une position du pied sensiblement plane ou parallèle au sol vers une position relevée de l'appui du talon par rapport à l'appui plantaire.

Les avantages d'un réglage de la différence de hauteur entre l'appui au niveau des métatarses et l'appui au niveau du talon sont les suivants:
- plus la différence de hauteur est faible (comprise entre environ 11 et 13 mm), plus le patin est stable, d'où des phases de poussée plus longues et des amplitudes de mouvement plus grandes. Ceci est particulièrement préconisé pour la pratique de la vitesse, des courses de longue distance (entre 15 et 200 km), la pratique de l'entraînement sur route, sur piste cyclable,...etc.,
- une différence de hauteur intermédiaire comprise entre 14 et 17 mm procurera un patin polyvalent (pratique de type "fitness"). Celui-ci permettra de faire aussi bien de la longue distance ou de la moyenne distance que des jeux tels que le hockey par exemple ou tout simplement les déplacements permettant de remplacer le vélo (déplacements en ville, pour le plaisir, pour faire des courses,...etc.),
- une différence de hauteur maximum sera par contre réservée aux disciplines nécessitant une très grande maniabilité comme par exemple le hockey. Dans ce cas, la différence de hauteur pourra atteindre 25 mm.

Le réglage de différence de hauteur selon l'invention permet donc au patineur, dans le premier cas, d'affiner les réglages en fonction de la puissance de la technique et de la distance à parcourir, et dans le second cas, de pouvoir régler son patin (dit polyvalent) en fonction de la discipline qu'il préfère pratiquer. Dans ce second cas, la pratique de type "fitness" s'effectuera autour d'une différence de hauteur de 15 mm, et la pratique du hockey nécessitera plutôt une différence de hauteur située entre 18 et 20 mm, voire même 25 mm.

On comprend bien par là que plus la différence de hauteur des appuis plantaires et talon est importante, plus le patin est maniable, en revanche, plus cette différence de hauteur est faible, plus le patin est stable.

La présente invention concerne également les caractéristiques qui ressortiront au cours de la description qui va suivre, et qui devront être considérées isolément ou selon toutes leurs combinaisons techniques possibles.

Cette description donnée à titre d'exemple non limitatif, fera mieux comprendre comment l'invention peut être réalisée, en référence aux dessins annexés sur lesquels:
- la figure 1 est une vue de côté d'un patin à roues en ligne selon un aspect externe traditionnel,
- la figure 2 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure montrant des moyens de réglage intemes selon l'invention dans un premier exemple de réalisation,
- la figure 3 est une vue schématique en coupe longitudinale montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 4 est une vue schématique en coupe longitudinale montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 5 est une vue schématique en coupe longitudinale montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 6 est une vue schématique en coupe transversale d'une chaussure montrant des moyens de réglage internes selon une variante de réalisation,
- la figure 7 est une vue schématique en coupe longitudinale montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 8 est une vue schématique en coupe longitudinale montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- les figures 9 et 10 représentent schématiquement une vue de dessous de la semelle d'une chaussure conforme à l'invention et une vue schématique en coupe transversale de celle-ci montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 11 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure montée sur son châssis et montrant des moyens de réglage externes situés entre ladite chaussure et ledit châssis, selon un exemple de réalisation,
- la figure 12 est une vue schématique en coupe transversale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 13 est une vue en coupe transversale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 14 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 15 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 16 est une vue schématique en coupe transversale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 17 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 18 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 19 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 20 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 21 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 22 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage selon une variante de réalisation,
- la figure 23 est une vue en coupe longitudinale schématique d'une chaussure et d'un châssis montrant des moyens de réglage extemes disposés entre les roues et le châssis, selon un exemple de réalisation.

D'une manière générale, le patin représenté sur la figure 1 est constitué d'un châssis 1 de section transversale en forme de U et constitué de deux flasques latéraux 2 sur lesquels sont fixées les roues 4, et d'une platine de montage 3 sur laquelle est fixée, par sa semelle externe 6, la chaussure 5.

La chaussure 5 est constituée par une coque 10 prolongeant ladite semelle externe 6. Cette coque est relativement rigide et s'étend selon le présent exemple jusqu'au niveau des malléoles à partir desquels s'étend un collier articulé 13, s'étendant vers le haut jusqu'au bas du mollet et entourant tout le bas de jambe. Le collier est ouvert à sa partie avant pour permettre la mise en place du pied dans la chaussure et est muni de moyens de serrage 15 de type connus en soi. Par ailleurs, la coque 10 comporte sur sa partie avant une ouverture 1 1 destinée également au passage du pied et d'un système de fermeture 20 de type connu en soi pour la fermeture de la chaussure proprement dite et le serrage du pied. La chaussure pourrait également être construite de façon différente, en ayant par exemple une partie coque couvrant tout le pied, ou au contraire une partie coque plus réduite et se limitant seulement à la partie semelle externe 6.

Selon le concept général de l'invention, le patin précité comporte des moyens de réglage de la position angulaire du pied du patineur par rapport au sol, agissant sur la différence de hauteur entre le plan T d'appui du talon du pied du patineur et le plan P d'appui plantaire du même pied au niveau des métatarses, de manière à obtenir une variation de l'angle oc, défini par les deux plans P et T, allant d'une position du pied sensiblement plane et parallèle au sol S vers une position relevée du plan d'appui du talon T par rapport au plan d'appui plantaire P. Ce concept général est illustré schématiquement par la figure 2 montrant des moyens de réglage disposés à l'intérieur de la chaussure 5 entre la coque 10/semelle exteme 6 et une semelle inteme 30.

II est important de noter que dans tous les exemples de réalisation qui seront cités ci-après, les moyens de réglage sont généralement disposés au niveau du talon ou du plan d'appui du talon, mais il est bien entendu qu'ils pourraient être disposés au niveau de l'appui plantaire lui-même.

Selon l'exemple de réalisation représenté sur la figure 2, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par une poche d'air 31 gonflable à volonté, disposée entre le fond de coque 10/semelle externe 6 et la semelle interne 30.

Dans ce cas, L'angle d'inclinaison a ayant pour effet de relever le talon du patineur est obtenu par gonflage de la poche d'air 31, pour un type de patinage donné évoqué ci-dessus, un autre type de patinage pouvant être obtenu par dégonflage de cette poche 31.

Selon une variante de réalisation représentée sur la figure 3, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T et sont constitués par un organe de manoeuvre externe 41 agissant dans un sens sensiblement vertical, interposé entre un point fixe 42 de la coque 10 sur lequel il prend appui et un prolongement 43 de la semelle interne 40 saillant vers l'extérieur de la coque 10, ladite semelle 40 s'articulant autour d'un point d'articulation fixe 44 situé sensiblement au niveau de l'axe d'articulation des métatarses.

En l'occurrence, L'organe de manoeuvre 41 est constitué par un bouton moleté se prolongeant par une vis de réglage 45 coopérant en vissage avec un trou fileté du prolongement 43.

Selon l'exemple de réalisation représentée à la figure 4, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T de la coque 10 et sont constitués par une cale 51 formant un coin, interposée entre le fond de coque 10 et la semelle inteme 50, ladite cale 51 étant susceptible d'être actionnée dans un sens longitudinal par l'intermédiaire d'un organe de manoeuvre 52 traversant une partie arrière de la coque 10 et prenant appui sur celle-ci, pour la variation de hauteur du plan d'appui du talon T.

Egalement, dans ce cas, L'organe de manoeuvre 52 est constitué par une vis coopérant avec un trou fileté correspondant de la coque 10. Egalement, on notera comme cela est visible sur le dessin de la figure 4 que la semelle interne 50 comporte dans une partie correspondant à la cale 51 une partie inclinée 53 de pente identique à la pente du coin 51.

Selon une variante de réalisation représentée sur la figure 5, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par un parallélogramme déformable 61 interposé entre le fond de coque 10 et la semelle interne 60, ledit parallélogramme étant actionné depuis l'extérieur de la coque par un organe de manoeuvre 62 traversant une partie arrière de celle-ci.

Le parallélogramme déformable 61 est constitué par quatre bras articulés entre eux, la liaison des deux bras supérieurs étant en liaison avec la semelle 60 alors que les deux bras inférieurs sont en liaison avec le fond de coque 10.

Dans ce cas comme dans le cas précédent de la figure 3, le point d'articulation de la semelle inteme 60 est constitué par l'axe d'articulation 63 disposé sur le fond de coque 10 et définissant le plan d'appui plantaire P.

Selon une variante de réalisation représentée à la figure 6, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par deux éléments 71A et 71B en forme de coins, actionnés en déplacement transversal l'un vers l'autre, par l'intermédiaire d'un organe de manoeuvre 72 traversant latéralement la coque 10, lesdits coins 71A et 71B agissant simultanément sur une partie inférieure de la semelle interne 70 de section correspondante.

Egalement, dans ce cas, L'organe de manoeuvre 72 est une vis actionnée par un bouton de commande, la partie filetée de cette vis ayant des pas contraires afin de provoquer le rapprochement ou l'éloignement simultané des coins 71A et 71 B.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 7, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon
T et sont constitués par une came rotative 81 disposée sur le fond de la coque 10 et actionnée depuis l'extérieur par un organe de manoeuvre 82 de manière à être mise en contact progressif avec une rampe correspondante 83 ménagée sous la semelle inteme 80.

Selon l'exemple de la figure 8, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T et sont constitués par un organe de poussée verticale 91 traversant le fond de coque 10 et actionné depuis l'extérieur par un élément de manoeuvre 92 de manière à agir sur la semelle inteme 90 sous laquelle il prend appui.

L'élément de manoeuvre 90 est également constitué par un bouton de commande se prolongeant par un axe fileté traversant un trou fileté correspondant du fond de coque 10.

Selon l'exemple de réalisation représenté sur les figures 9 et 10, les moyens de réglage sont disposés au niveau de la zone du talon et sont constitués par une pluralité de plots 101, de hauteur choisie, interposés entre le fond de la coque 10 et des logements correspondants 102 ménagés sous la semelle interne 100 dans lesquels ils se positionnent, l'utilisation de plots 101 de différentes hauteurs permet de régler la hauteur du plan d'appui du talon T.

Selon les exemples de réalisation qui vont suivre et représentés par les figures 1 1 à 19, les moyens de réglage sont disposés à l'extérieur de la chaussure 5, entre le châssis 1 et la coque 10, ou semelle 6, au niveau de la zone d'appui du talon T et/ou de l'appui plantaire P.

Plus particulièrement, selon l'exemple de la figure 11, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par un organe de manoeuvre exteme 121 agissant dans un sens sensiblement vertical, interposé entre un point fixe 122 d'une partie arrière du châssis 1 sur lequel il prend appui et une partie arrière 123 de la coque 10, de manière à entraîner celle-ci en pivotement angulaire autour d'un point d'articulation fixe 124 situé au niveau des métatarses.

L'organe de manoeuvre externe 121 est constitué par une vis coopérant avec un trou fileté correspondant de la partie arrière 123 de la coque 10.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 12, les moyens de réglage en hauteur sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par un organe de manoeuvre externe 131 en forme de vilebrequin dont une partie centrale 132 en forme de U est en liaison avec un élément correspondant 133 du châssis 1 et dont des extrémités opposées 134 et 135 sont en liaison avec des ailes latérales correspondantes 136 et 137 de la coque 10 qu'elles traversent pour recevoir de part et d'autre des éléments de commande en rotation 138 et 139.

Selon l'exemple de réalisation représenté sur la figure 13, les moyens de réglage en hauteur sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par une pièce de calage 141 en forme de U engagée transversalement dans un sens horizontal entre le fond de coque 10 et le châssis 1, les branches parallèles 142 et 143 du U formant la pièce de calage 141 étant d'épaisseurs différentes, de manière à obtenir la différence de hauteur recherchée, par retournement de ladite pièce de calage 141 sur elle-même.

Selon l'exemple de réalisation représenté sur la figure 14, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par un organe de commande 152 externe, traversant une partie fixe du châssis en forme de rampe 151 pour agir en traction ou en poussée dans un sens longitudinal sur la coque 10 rendue mobile grâce à un organe d'appui vertical 153 porté par la coque 10 et un organe de coulissement longitudinal 154 situés à l'avant au niveau du plan P d'appui plantaire et des métatarses, ladite coque 10 comportant dans la zone du plan d'appui du talon T une partie formant une rampe 155 complémentaire à celle 151 du châssis 1 avec laquelle elle coopère vers une position relevée (flèche A) lors d'une traction (flèche B) sur la coque 10.

L'organe de commande 152 est constitué par un bouton de manoeuvre se prolongeant par une tige filetée en prise avec une partie correspondante de la coque 10 de manière à l'entraîner d'une part, en translation longitudinale et d'autre part, en soulèvement ou en abaissement vertical en glissant sur la rampe 151 du châssis 1.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 15, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T et sont constitués par un organe de commande externe 162 apte à agir en traction ou en poussée longitudinale sur une pièce mobile 161 formant rampe, intercalée entre le châssis 1 et une rampe complémentaire 163 solidaire du fond de coque 10 au niveau du plan d'appui du talon T, de manière à provoquer le basculement de celle-ci autour d'un point d'articulation fixe 164 situé entre la coque 10 et le châssis 1 dans la zone du plan d'appui plantaire au niveau des métatarses.

Dans ce cas, l'organe de commande 162 est constitué par une vis en prise avec une partie filetée correspondante 165 du châssis 1, la pièce mobile 161 en forme de rampe étant traversée par ladite vis mais solidaire en translation de celle-ci.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 16, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par une cale réversible 171 intercalée entre le châssis 1 et le fond de coque 10, ladite cale 171 comportant sur l'une de ses faces une pluralité de plots 172 de hauteur supérieure à la profondeur de deux logements correspondants 173 de la coque 10 et une autre pluralité de plots 174 réalisée sur la face opposée de ladite cale 171 de hauteur identique à celle des mêmes logements 173 de la coque 10 de manière à surélever le plan d'appui du talon T par rapport au châssis 1 dans un cas et à le ramener sensiblement dans le même plan que celui-ci dans l'autre.

Le châssis 1 comporte des logements correspondants 175 de hauteur égale à celle des plots 172 de plus grande hauteur.

Une vis de liaison 176 traverse le fond de coque 10 pour se visser dans un écrou 177 correspondant inférieur du châssis 1.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 17, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par un axe cylindrique excentré 181 traversant le châssis 1 transversalement et dont les extrémités coopèrent avec des lumières correspondantes 182 réalisées sur des ailes latérales 183 de la coque 10, de manière à provoquer le surélèvement de celle-ci par
rapport à un axe d'articulation 184 situé dans la zone du plan d'appui plantaire P des métatarses, lors d'une action en rotation sur ledit axe excentré 181.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 18, les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon T et sont constitués par une cale amovible 191 en forme de coin destinée à être intercalée entre le châssis 1 et le fond de coque 10, son maintien en place étant assuré par l'intermédiaire d'une vis de liaison 192 traversant la coque 10 pour venir se visser dans le châssis 1.

Dans ce cas, la différence de hauteur est obtenu en insérant ou en n'insérant pas la cale 191 entre la coque 10 et le châssis 1.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 19, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T et sont constitués par un axe transversal 201 traversant simultanément des lumières oblongues 202 et 203 inclinées dans des sens opposés ménagées respectivement sur des prolongements latéraux supérieurs du châssis 1 et des prolongements latéraux inférieurs de la coque 10.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 20, les moyens de réglage sont constitués par deux axes transversaux 211 traversant simultanément et librement deux premières lumières oblongues concaves 212 ménagées sur les flancs latéraux d'une extension supérieure 213 du châssis 1 et de deux secondes lumières oblongues convexes 214 ménagées sur les flancs latéraux d'une extension inférieure 215 de la coque 10, lesquels flancs sont en contact glissant avec les flancs latéraux du châssis 1, lesdites lumières concaves 212 et convexes 214 pouvant avoir toutes positions relatives de l'une par rapport à l'autre, entre celle donnée par un écartement maximum des axes 211 lorsqu'ils se trouvent aux extrémités des lumières 212 et 214 et celle donnée par un écartement minimum desdits axes 211 lorsqu'ils se trouvent côte à côte aux centres des mêmes lumières 212 et 214, l'immobilisation selon une position choisie s'effectuant par l'intermédiaire de moyens de bridage associés aux axes 211.

Selon l'exemple de réalisation de la figure 21, les moyens de réglage sont constitués par une première cale 221A d'épaisseur donnée disposée fixement à l'avant du châssis 1 dans la zone du plan d'appui plantaire P et d'une seconde cale 221 B d'épaisseur supérieure à la première disposée fixement à l'arrière du même châssis 1, la coque 10 étant fixée sur ce dernier par l'intermédiaire d'un axe central 222 formant rotule disposé entre les deux cales 221A et 221B et autour duquel la coque 10 peut être déplacée en rotation, selon la différence de hauteur souhaitée, entre le plan d'appui du talon
T et le plan d'appui plantaire P.

Une deuxième façon d'envisager le réglage de la différence de hauteur peut consister à avancer ou reculer les cales 221A et 221B par rapport à l'axe 222.

Selon l'exemple de réalisation représenté sur la figure 22, les moyens de réglage sont disposés au niveau du talon T et sont constitués par un support intermédiaire 231 sur lequel est rapportée la coque 10 et qui est articulé en 233 sur le châssis 1 dans la zone du plan d'appui plantaire P, un élément de manoeuvre 232 agissant dans un sens vertical étant interposé entre la partie arrière dudit support 231 et une partie correspondante du châssis 1.

Selon ce cas de figure, la commande de l'organe 232 s'effectue par vissage dans la partie arrière du support intermédiaire 231, ceci ayant pour effet de faire basculer vers l'avant la coque 10 autour du point d'articulation 233 situé à l'avant du châssis 1.

Contrairement aux exemples de réalisation représentés ci-dessus, les moyens de réglage de la figure 23 sont disposés à l'extérieur de la chaussure entre le châssis 1 et les roues de patinage 4. Ces moyens de réglage sont constitués par des lumières oblongues verticales 241 réalisées sur le châssis 1 et dans lesquelles sont susceptibles de coulisser les axes de roue 242 au cours d'un réglage, à l'exception de celui de la première roue 4A constituant un axe de pivotement angulaire vis à vis de l'ensemble des autres roues 4, lesdits axes 242, lesdites lumières verticales 241 étant associées à des lumières oblongues 243 d'une tirette 245 à actionnement longitudinal, dont la première lumière située à l'avant est horizontale alors que les autres sont successivement inclinées selon des angles différents, tendant progressivement vers la verticale, de manière qu'un actionnement de la tirette 245 dans un sens longitudinal ou dans l'autre, entraîne le rehaussement ou l'abaissement du châssis 1 d'où de la coque 10, par rapport aux roues 4.

Bien entendu, la présente invention n'est pas limitée à une application à des patins à roues en ligne telle que représentée sur les figures, mais peut également être envisagée pour tout type de patin à roues ou à roulettes, ou article de sport de glisse de type patin, tel que par exemple patin à glace, pour lesquels les mêmes types de problèmes devraient être résolus.

Claims

REVENDICATIONS

1- Article de sport de type patin comportant une chaussure (5) formée d'une tige ou coque (10) et d'une semelle externe (6) associée à une platine supérieure (3) d'un châssis (1) sur une partie inférieure duquel sont disposées le ou les organes de patinage (4), caractérisé en ce qu'il comporte des moyens de réglage (31 à 241) de la position angulaire du pied par rapport au sol, agissant sur la différence de hauteur (Ah) entre le plan d'appui du talon (T) du pied et son plan appui plantaire (P) au niveau des métatarses, de manière à obtenir une variation d'angle (o:) allant d'une position du pied sensiblement plane vers une position relevée de l'appui du talon (T) par rapport à l'appui plantaire (P).

2- Article de sport selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de réglage (31 à 111) sont disposés à l'intérieur de la chaussure (5) entre la semelle exteme (6)/coque (10) et une semelle inteme (30 à 110) au niveau de l'appui du talon etlou de l'appui plantaire (P).

3- Article de sport selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une poche d'air (31) gonflable à volonté, disposée entre la semelle externe (6)/coque (10) et la semelle interne (30).

4- Article de sport selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de manoeuvre externe (41) agissant dans un sens sensiblement vertical, interposé entre un point fixe (42) de la coque (10) sur lequel il prend appui et un prolongement (43) de la semelle interne (40) saillant vers l'extérieur de la coque (10), ladite semelle (40) s'articulant autour d'un point d'articulation fixe (44) situé au niveau des métatarses.

5- Article de sport selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une cale (51) formant un coin, interposée entre le fond de coque (10) et la semelle interne (50), ladite cale (51) étant susceptible d'être actionnée dans un sens longitudinal par l'intermédiaire d'un organe de manoeuvre (52) traversant une partie arrière de la coque (10) et prenant appui sur celle-ci.

6- Article de sport selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un parallélogramme déformable (61) interposé entre le fond de coque (10) et la semelle interne (60), ledit parallélogramme étant actionné depuis l'extérieur de la coque par un organe de manoeuvre (62) traversant une partie arrière de celle-ci.

7- Article de sport selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par deux éléments (71A) et (71B) en forme de coins, actionnés en déplacement transversal l'un vers l'autre, par l'intermédiaire d'un organe de manoeuvre (72) traversant latéralement la coque (10), lesdits coins (71A) et (71B) agissant simultanément sur une partie inférieure de la semelle interne (70) de section correspondante.

8- Article de sport selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une came rotative (81) disposée sur le fond de coque (10) et actionnée depuis l'extérieur par un organe de manoeuvre (82) de manière à être mise en contact progressif avec une rampe correspondante (83) ménagée sous la semelle interne (80).

9- Article de sport selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de poussée verticale (91) traversant le fond de coque (10) et actionné depuis l'extérieur par un élément de manoeuvre (92) de manière à agir sur la semelle interne (90) sous laquelle il prend appui.

10- Article de sport selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une pluralité de plots (101) de hauteur choisie interposés entre le fond de coque (10) et des logements correspondants (102) ménagés sous la semelle inteme (100) dans lesquels ils se positionnent.

11- Article de sport selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de réglage (121 à 231) sont disposés à l'intérieur de la chaussure (5) entre le châssis (1) et la coque (10) au niveau du plan d'appui du talon (T) et/ou du plan d'appui plantaire (P).

12- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de manoeuvre exteme (121) agissant dans un sens sensiblement vertical, interposé entre un point fixe (122) d'une partie arrière du châssis (1) sur lequel il prend appui et une partie arrière (123) de la coque (10), de manière à entraîner celle-ci en pivotement angulaire autour d'un point d'articulation fixe (124) situé au niveau des métatarses.

13- Article de sport selon l'une des revendications 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de manoeuvre externe (131) en forme de vilebrequin dont une partie centrale (132) en forme de U est en liaison avec un élément correspondant (133) du châssis (1) et dont des extrémités opposées (134 et 135) sont en liaison avec des ailes latérales correspondantes (136 et 137) de la coque (10) qu'elles traversent pour recevoir de part et d'autre des éléments de commande en rotation (138 et 139).

14- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une pièce de calage (141) en forme de U engagée transversalement dans un sens horizontal entre le fond de coque (10) et le châssis (1), les branches parallèles (142) et (143) du U formant la pièce de calage (141) étant d'épaisseurs différentes, de manière à obtenir la différence de hauteur (Ah) recherchée, par retoumement sur elle-même.

15- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de commande (152) externe, traversant une partie fixe du châssis en forme de rampe (151) pour agir en traction ou en poussée dans un sens longitudinal sur la coque (10) rendue mobile grâce à un organe d'appui vertical (153) porté par la coque (10) et de coulissement longitudinal (154) situés à l'avant dans la zone (P) des métatarses, ladite coque (10) comportant dans la zone du plan d'appui du talon (T) une partie formant une rampe (155) complémentaire à celle (151) du châssis (1) avec laquelle elle coopère vers une position relevée lors d'une traction sur la coque (10).

16- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un organe de commande externe (162) apte à agir en traction ou en poussée longitudinale sur une pièce mobile (161) formant rampe, intercalée entre le châssis (1) et une rampe complémentaire (163) solidaire du fond de coque (10) au niveau du plan d'appui du talon (T), de manière à provoquer le basculement de celle-ci autour d'un point d'articulation fixe (164) situé entre la coque (10) et le châssis (1) dans la zone (P) des métatarses.

17- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une cale réversible (171) intercalée entre le châssis (1) et le fond de coque (10), ladite cale (171) comportant sur l'une de ses faces une pluralité de plots (172) de hauteur supérieure à la profondeur de deux logements correspondants (173) de la coque (10) et une autre pluralité de plots (174) réalisée sur la face opposée de ladite cale (171) de hauteur identique à celle des mêmes logements (173) de la coque (10) de manière à surélever le plan d'appui du talon (T) par rapport au châssis (1) dans un cas et à le ramener dans le même plan que celui-ci dans l'autre.

18- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un axe cylindrique excentré (181) traversant le châssis (1) transversalement et dont les extrémités coopèrent avec des lumières correspondantes (182) réalisées sur des ailes latérales (183) de la coque (10), de manière à provoquer le surélèvement de celle-ci par rapport à un axe d'articulation (184) situé dans la zone des métatarses, lors d'une action en rotation sur ledit axe excentré (181).

19- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par une cale amovible (191) en forme de coin destinée à être intercalée entre le châssis (1) et le fond de coque (10), son maintien en place étant assuré par l'intermédiaire d'une vis de liaison (192) traversant la coque (10) pour venir se visser dans le châssis (1).

20- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un axe transversal (201) traversant simultanément des lumières oblongues (202 et 203) inclinées dans des sens opposés ménagées respectivement sur des prolongements latéraux supérieurs du châssis (1) et des prolongements latéraux inférieurs de la coque (10).

21- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont constitués par deux axes transversaux (211) traversant simultanément et librement deux premières lumières oblongues concaves (212) ménagées sur les flancs latéraux d'une extension supérieure (213) du châssis (1) et de deux secondes lumières oblongues convexes (214) ménagées sur les flancs latéraux d'une extension inférieure (215) de la coque (10), lesquels flancs sont en contact glissant avec les flancs latéraux du châssis (1), lesdites lumières concaves (212) et convexes (214) pouvant avoir toutes positions relatives de l'une par rapport à l'autre, entre celle donnée par un écartement maximum des axes (211) lorsqu'ils se trouvent aux extrémités des lumières (212 et 214) et celle donnée par un écartement minimum desdits axes (211) lorsqu'ils se trouvent côte à côte aux centres des mêmes lumières (212 et 214), l'immobilisation selon une position choisie s'effectuant par l'intermédiaire de moyens de bridage associés aux axes (211).

22- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont constitués par une première cale (221A) d'épaisseur donnée disposée fixement à l'avant du châssis (1) dans la zone des métatarses et d'une seconde cale (221B) d'épaisseur supérieure à la première disposée fixement à l'arrière du même châssis (1), la coque (10) étant fixée sur ce dernier par l'intermédiaire d'un axe central (222) formant rotule disposé entre les deux cales (221A et 221 B) et autour duquel la coque (10) peut être déplacée en rotation, selon la différence de hauteur (Ah) souhaitée, entre le plan d'appui du talon et le plan d'appui plantaire (P).

23- Article de sport selon la revendication 1 ou 11, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés au niveau du plan d'appui du talon (T) et sont constitués par un support intermédiaire (231) sur lequel est rapportée la coque (10) et qui est articulée sur le châssis (1) dans la zone des métatarses, un élément de manoeuvre (232) agissant dans un sens vertical étant interposé entre la partie arrière dudit support (231) et une partie correspondante du châssis (1).

24- Article de sport selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont disposés à l'extérieur de la chaussure (5) entre le châssis (1) et des roues de patinage (4).

25- Article de sport selon la revendication 1 et 24, caractérisé en ce que les moyens de réglage sont constitués par des lumières oblongues verticales (241) réalisées sur le châssis (1) et dans lesquelles sont susceptibles de coulisser les axes de roue (242) au cours d'un réglage, à l'exception de celui de la première roue (4A) constituant un axe de pivotement angulaire vis à vis de l'ensemble des autres roues, lesdits axes (242) et lesdites lumières verticales (241) étant associés à des lumières oblongues (243) d'une tirette (241) à actionnement longitudinal, dont la première lumière située à l'avant est horizontale alors que les autres sont successivement inclinées selon des angles différents, tendant progressivement vers la verticale, de manière qu'un actionnement de la tirette (245) dans un sens longitudinal ou dans l'autre, entraîne le rehaussement ou l'abaissement du châssis (1) d'où de la coque (10), par rapport aux roues (4).