FR2693067A1 - Appareil radiotéléphonique pour double système, cellulaire et sans fil, et procédé de mise en Óoeuvre, permettant une réduction du temps de contrôle de canal. - Google Patents

Abstract

Un téléphone sans fil cellulaire (101) selon l'invention peut recevoir des communications téléphoniques cellulaires par l'intermédiaire d'un système téléphonique cellulaire (105, 107) et recevoir des communications téléphoniques sur un système (115) possédant une zone de desserte radio limitée. Pour réduire la durée passée pour le contrôle du canal radio du système à zone de desserte limitée, il est produit un signal de positionnement temporel qui représente la durée passée pour le contrôle du canal radio. Pendant le contrôle, un nombre prédéterminé de mots de données émis sur ce canal radio sont reçus. Lorsqu'un premier mot reçu est détecté, une valeur de temps de contrôle permise est ajustée de façon à être la somme de la valeur du signal de positionnement temporel et du produit d'un nombre prédéterminé de mots reçus à détecter et du temps nécessaire pour chaque mot. Cette valeur réajustée du temps de contrôle est comparée avec la valeur du signal de positionnement temporel et, lorsque la valeur réajustée du temps de contrôle est égale ou supérieure à la valeur du signal de positionnement temporel, le contrôle du canal radio cesse.

Description

La présente invention concerne de façon générale les téléphones portatifs et, plus particulièrement, un téléphone portatif d'un modèle amélioré qui peut recevoir des communications à la fois dans un système téléphonique sans fil et dans un système téléphonique cellulaire.

Une partie de la présente description peut être rapportée à la demande de brevet des Etats-Unis d'Amérique n' 07/832118 déposée le 02juin 1992 au nom de Schellinger et al., qui a été cédée à la demanderesse.

Un système téléphonique sans fil comporte typiquement un combiné sans fil, portatif, et un poste de base sans fil, connecté au système téléphonique d'une société de téléphone (TELCO) à l'aide de lignes téléphoniques terrestres. Au poste de base sans fil, a été affecté un numéro de téléphone du réseau, qui permet à l'abonné d'émettre et de recevoir des communications à l'aide du combiné portatif sans fil à une distance limitée vis-à-vis du poste de base, par exemple dans le domicile de l'abonné. Toutefois, en raison de sa portée limitée, le combiné portatif sans fil offre à l'abonné des communications radiotéléphoniques relativement locales.

La possibilité d'effectuer des communications radiotéléphoniques à ltextérieur de la portée du système téléphonique sans fil peut également être foumie à l'abonné par l'intermédiaire d'un système téléphonique cellulaire. Un système téléphonique cellulaire comporte typiquement des unités d'abonné cellulaires (unités mobiles ou unités portatives) et des stations de base cellulaires connectées au système TELCO par l'intermédiaire d'un ou plusieurs réseaux de commutation cellulaires. Chaque unité d'abonné cellulaire se voit attribuer un numéro de téléphone cellulaire qui permet à l'abonné d'émettre et de recevoir des communications dans la large étendue des stations de base cellulaires, par exemple dans toute la zone métropolitaine.Toutefois, le coût d'utilisation du service téléphonique cellulaire est généralement plus élevé que celui du service téléphonique sans fil.

Pour limiter cet inconvénient, on peut faire en sorte qu'un radiotéléphone fasse accès à la fois à la zone étendue du système téléphonique cellulaire et, lorsque l'abonné est à son domicile, au poste de base sans fil, qui est moins coûteux. il est également possible de faire accès à un système téléphonique microcellulaire dans les endroits où un tel système offre une desserte radio.

Un radiotéléphone qui émet et reçoit des communications à la fois dans un système cellulaire et dans un système sans fil doit offrir la possibilité de sélectionner le système dans lequel il va être amené à fonctionner. Une sélection automatique du système peut être réalisée sur la base de paramètres qui sont avantageux pour l'abonné. ll est important que le radiotéléphone, quel que soit le système sélectionné, ne rate pas de communications qui lui sont adressées.

C'est pourquoi il existe un besoin pour un système radiotéléphonique qui permette à un abonné de recevoir des communications entrantes à la fois via un système à portée réduite, comme un système sans fil, et via un système à zone étendue, comme un système téléphonique cellulaire, sans perte excessive de communications entrantes.

Selon l'invention, un appareil radiotéléphonique reçoit des messages de préférence sur un premier système radiotéléphonique ayant une zone de couverture radio limitée et, sinon, reçoit des messages sur un système radiotéléphonique cellulaire ayant une zone de couverture radio étendue. L'appareil téléphonique établit une valeur pour le temps qu'il faut pour contrôler un canal radio associé au système à zone de couverture limitée et commence le contrôle de ce système. Un signal de positionnement temporel est produit, lequel représente la durée passée pour le contrôle du canal radio. Pendant le contrôle, un nombre prédéterminé de mots de données émis sur le canal radio associé au système à zone de couverture radio limitée sont reçus.Lorsqu'un premier mot de données reçu est détecté, il est effectué un réajustement de la valeur du temps de contrôle de façon que celle-ci soit la somme de la valeur du signal de positionnement temporel produit et du produit du nombre prédéterminé de mots reçus à détecter par la valeur de temps prédéterminée relative à chaque mot. Cette valeur réajustée du temps de contrôle est alors comparée à la valeur du signal de positionnement temporel produit. Le contrôle du canal radio cesse lorsque la valeur réajustée du temps de contrôle devient égale ou supérieure à la valeur du signal de positionnement temporel produit.

La description suivante, conçue à titre d'illustration de l'invention, vise à donner une meilleure compréhension de ses caractéristiques et avanatages; elle s'appuie sur les dessins annexés, parmi lesquels:
la figure 1 est un schéma fonctionnel de la configuration de fonctionnement d'un radiotéléphone portatif dans lequel on peut faire accès à l'aide du même radiotéléphone portatif à plusieurs systèmes, comprenant à la fois un système cellulaire et un système sans fil;
la figure 2 est une carte schématique qui montre une disposition typique de zones desservies par les systèmes sans fil, microcellulaire et cellulaire;
la figure 3 est un schéma fonctionnel d'un poste de base sans fil qui peut employer l'invention;
la figure 4 est un schéma fonctionnel d'un radiotéléphone portatif qui peut employer l'invention;;
les figures 5 et 6 sont des organigrammes du processus utilisé par le radiotéléphone portatif de la figure 4 lorsque ce dernier n'est pas engagé dans une commutation;
la figure 7 est un diagramme temporel du format de données émis sur un canal de sous-données par le poste de base sans fil;
les figures 8, 9 et 10, prises ensembles, constituent l'organigramme du processus de minimisation du temps de contrôle d'un autre canal du système par le radiotéléphone portatif de la figure 4;
les figures 11, 12 et 13 constituent, ensemble, un organigramme schématisant le processus de sélection de priorité du système, qui peut être employé dans le radiotéléphone portatif de la figure 4;
la figure 14 est un diagramme temporel du processus de balayage des systèmes qui peut être employé dans le radiotéléphone portatif de la figure 4.

Un schéma fonctionnel général d'une application de l'invention est présenté sur la figure 1. Un radiotéléphone portatif cellulaire sans fil (PCC) 101 est représenté, qui est en mesure de communiquer avec un système radiotéléphonique cellulaire classique 103, possédant plusieurs stations de base cellulaires 105 et 107 se trouvant en des emplacements géographiquement séparés, mais disposés de manière à assurer la desserte radiotéléphonique d'une large zone géographique. Les stations de base cellulaires sont couplées à un terminal de commande 109 qui assure la coordination entre les différentes stations de base cellulaires, notamment en ce qui concerne le transfert d'un équipement d'abonné cellulaire mobile et portatif et qui effectue la commutation des communications et l'interconnexion avec le réseau téléphonique public (appelé ici "TELCO") 111.

Le PCC 101 est également en mesure de communiquer avec une station de base microcellulaire 113, qui est une cellule auxiliaire de moindre puissance et de capacité limitée, assurant toutefois la desserte radiotéléphonique publique de zones distinctes, comme des centres commerciaux, des aéroports, etc.

La station de base microcellulaire 113 est couplée au système téléphonique à lignes terrestres TELCO 111, de sorte que des communications peuvent être adressées au TELCO.

Le PCC 101 offre en outre la possibilité de communiquer avec un poste, ou station, de base sans fil 115 et d'émettre des communications radiotéléphoniques par l'intermédiaire de celle-ci, laquelle réalise une interconnexion par ligne téléphonique privée avec le TELCO 111 pour l'utilisateur du PCC 101. Comme précédemment noté, la station de base sans fil 115 et le PCC 101 assurent ensemble une desserte de portée radio limitée, classiquement appelée le service téléphonique sans fil. Ce système est en train de se répandre de façon générale, car il utilise classiquement peu de canaux radio dans la bande radio haute fréquence (heu).

L'abonné à un service radiotéléphonique est en droit d'attendre que le service radiotéléphonique lui soit dispensé partout où il se déplace sur le territoire des Etats-Unis d'Amérique et que ce service soit fourni au coût le plus bas. il est également en droit d'attendre que le service radiotéléphonique soit réalisé dans une unité portative aussi compacte et aussi peu coûteuse que possible. Le PCC 101 est configuré de façon unique pour satisfaire cette exigence. De plus, la station de base sans fil 115 est spécialement conçue pour réaliser une interconnexion téléphonique avec la ligne téléphonique du domicile de l'abonné lorsque ce dernier se trouve avec le PCC 101 dans les limites de la portée radio de la station de base sans fil 115.

En plus de pouvoir s'accorder sur les canaux de signalisation du système cellulaire, le PCC 101 contrôle le canal de sous-données de signalisation de la station de base sans fil 115 en vue d'obtenir des informations supplémentaires. Si le PCC se trouve dans une zone où il a accès au service cellulaire normal sur un canal de commande, alors le contrôle du canal de sous-données amène à lâcher le canal de commande du système cellulaire. En abandonnant le canal de commande, le PCC peut manquer des messages importants du canal de commande.

(Un exemple peut être un "appel de personne" du téléphone cellulaire.) Ainsi, le temps passé sans contact avec le canal de commande devient critique s'il doit se prolonger. L'invention permet au PCC de réduire son temps de contrôle du canal de sous-données et de revenir au canal de commande cellulaire le plus tôt possible.

La figure 2 représente la disposition typique de zones de desserte pour le système sans fil, le système microcellulaire et le système cellulaire. La zone de desserte du système sans fil est la plus petite et se trouve à l'intérieur du système microcellulaire. Le système microcellulaire possède une couverture intermédiaire et peut se situer à l'intérieur du système cellulaire. La zone de desserte de chacun des systèmes peut dépendre, sans y être limitée, du nombre de stations de base de chaque système, de la hauteur de l'antenne de chaque station de base et du niveau de puissance utilisé par chaque système. L'utilisateur du PCC peut effectuer des transferts entre les diverses zones de desserte.Le PCC peut passer d'un système à l'autre en fonction de la position du radiotéléphone portatif, de la disponibilité du système et des préférences de l'utilisateur, les éléments ci-dessus indiqués n'étant pas limitatifs.

Les zones de desserte des systèmes ne sont pas limitées à la disposition particulière représentée sur la figure 2. Une zone de desserte peut être indépendante d'une autre zone de desserte ou bien être en chevauchement partiel avec une ou plusieurs des autres zones de desserte.

Du point de vue conceptuel, la station de base sans fil 15 est un système cellulaire miniaturisé offrant un seul canal de signalisation pour émettre des messages de données sortants d'une manière analogue à celle utilisée pour le canal de signalisation cellulaire sortant classique, et elle reçoit des demandes de service de la part d'une unité éloignée, par exemple le PCC 101. Des demandes de service correctes sont admises avec l'affectation d'un canal vocal (effectuée via le canal de commande) sur ce dernier ou sur une deuxième fréquence radio sur laquelle le PCC 101 a reçu instruction d'accorder sa communication téléphonique.

La mise en oeuvre d'une station de base sans fil est représentée, dans son principe, sur la figure 3. Un émetteur classique 301 et un récepteur classique 303 respectivement destinés à être utilisés dans les bandes de fréquence de 869 à 894 et de 824 à 849 MF, qui sont utilisées pour les services cellulaires classiques, sont connectés à une antenne commune 305 par l'intermédiaire d'un duplexeur 307. Le niveau de puissance de sortie de l'émetteur 301 est limité à environ 6 mW de manière à minimiser les interférences avec d'autres services et d'autres stations téléphoniques sans fil. La sélection de la fréquence du canal est mise en oeuvre par un synthétiseur de fréquence 309 qui est commandé par une unité logique 311.A l'intérieur de l'unité logique 311, se trouve un microprocesseur 313, par exemple le microprocesseur 68 HC 11 de la société Motorola,
Inc., ou un microprocesseur analogue, qui est connecté à des dispositifs classiques de mémorisation 315 emmagasinant le programme de fonctionnement du microprocesseur, les éléments d'identification de base et de personnalisation, et d'autres éléments particuliers. Les données reçues et émises sont codées/décodées et appliquées entre le récepteur 303, l'émetteur 301 et le microprocesseur 313 par un équipement 317 d'interface de signalisation. Les instructions du microprocesseur sont transportées et mises en oeuvre par un équipement de commande 319.

L'interface avec la ligne téléphonique terrestre du domicile de l'utilisateur est classiquement réalisée via une interface 321 du type TELCO. L'alimentation électrique est fournie par le secteur sous forme de courant alternatif, avec l'aide d'une batterie électrique de réserve (tout cela étant indiqué par l'alimentation 323).

Le PCC 101 est un émetteur-récepteur radiotéléphonique portatif qui est représenté sous forme de schéma fonctionnel sur la figure 4. Un récepteur radio 401, qui peut recevoir la bande de fréquence comprise entre 869 et 894 MF et un émetteur 403, qui peut émettre sous faible puissance (environ 6 mW dans le mode de réalisation préféré) sur des fréquences comprises entre 824 et 849 MHz, sont connectés à l'antenne 405 du PCC 101 par l'intermédiaire d'un duplexeur 407. Le canal de fréquence radio particulier qui doit être utilisé par l'émetteur 403 et le récepteur 401 est déterminé par le microprocesseur 409 et est indiqué au synthétiseur de fréquence 441 par l'intermédiaire du circuit d'interface 413.Les signaux de données reçus par le récepteur 410 sont décodés et appliqués au microprocesseur 409 par le circuit d'interface 413 et les signaux de données à émettre par l'émetteur 403 sont produits par le microprocesseur 409 et mis au format approprié par l'interface 413 avant d'être émis par l'émetteur 403. Le statut de l'émetteur 403 ou du récepteur 401, permettant le fonctionnement, est validé ou invalidé par l'interface 413. L'interface commande aussi des diodes d'émission de lumière 415 et 417 servant à indiquer à l'utilisateur quel système le PCC 101 est en train de recevoir. L'équipement audio réservé à l'utilisateur, à savoir la sortie du microphone et l'entrée du haut-parleur, est commandé par un circuit 419 de traitement audio.

Dans le mode de réalisation préféré, le microprocesseur 409 est un microprocesseur 68 HC 11, disponible auprès de la société Motorola, Inc., qui effectue les fonctions de traitement nécessaires sous commande de programmes emmagasinés dans une mémoire morte (ROM) classique 421. Des éléments caractéristiques du PCC 101 sont emmagasinés dans une mémoire morte reprogrammable électriquement effaçable (EEPROM) 423 (ces éléments pouvant également être mémorisés dans une EEPROM interne au microprocesseur) et ils comprennent le numéro d'attribution (NOM) nécessaire pour le fonctionnement dans un système cellulaire classique et l'identification de base (BlD) nécessaire pour le fonctionnement avec la station de base sans fil de l'abonné.

L'émetteur 403 du PCC 101 est en mesure d'émettre sur toute l'étendue de puissance de sortie qui est nécessaire pour le fonctionnement dans un système cellulaire classique. Cette étendue de puissance de sortie comprend six niveaux fixes d'amplitude de puissance de sortie s'échelonnant d'un haut niveau de puissance de sortie valant environ 600 mW à un bas niveau de puissance de sortie de 6 mW. Cette étendue à six niveaux fixes de la puissance de sortie est validée lorsque le PCC 101 se trouve dans le mode système cellulaire.

Selon le mode de réalisation préféré de l'invention, le PCC 101 est compatible avec le système sans fil et le système cellulaire 103. Pour réaliser ceci, on permet au PCC 101 de fonctionner à la fois dans un système sans fil et dans un système cellulaire en employant, dans le mode de réalisation préféré, des fréquences téléphoniques cellulaires seulement.

Cet agencement du radiotéléphone offre plusieurs avantages souhaitables à l'utilisateur. Tout d'abord, le PCC 101 peut, en combinaison avec la station de base sans fil 115, acheminer automatiquement une communication entrante au système téléphonique dans lequel le PCC 101 est placé, sans aucun inconvénient pour l'utilisateur. En deuxième lieu, le PCC 101 peut, en combinaison avec la station de base sans fil 115, acheminer automatiquement une communication en cours du système sans fil au système cellulaire, ou inversement, lorsque le PCC 101 se déplace entre les deux systèmes.

Les figures 5 et 6 prises ensemble constituent un organigramme décrivant le procédé utilisé par le PCC 101 de la figure 4. Selon un mode de réalisation de l'invention, le PCC 101 et la station de base sans fil 115 agissent en coopération, comme décrit dans l'organigramme des figures 5 et 6, pour acheminer une communication entrante au système téléphonique sans fil ou au système téléphonique cellulaire 103 en fonction de la localisation du PCC 101.

Comme représenté sur la figure 5, le PCC 101 peut se trouver dans l'état libre dans le système téléphonique cellulaire 103, indiqué au bloc 501, ou bien dans le système téléphonique sans fil, indiqué au bloc 503. Lorsqu'il est dans l'un ou l'autre état libre, le PCC 101 est en état de recevoir une communication entrante. Dans le cadre de la description, on suppose que le PCC 101 se trouve dans l'état libre du système téléphonique cellulaire 103, au bloc 501. Au bloc 505, le PCC 101 décide de rester dans son état libre du système téléphonique cellulaire 103 en revenant au bloc 501 ou bien de passer dans le système téléphonique sans fil en recherchant un poste de base sans fil acceptable, au bloc 507.Si l'opération de recherche trouve un poste de base sans fil acceptable 115, comme déterminé au bloc 509, le PCC 101 envoie un message de rattachement (une tentative fate par le
PCC de se rattacher à la station de base sans fil) à la station de base sans fil 115, au bloc 511. Sinon, le PCC 101 revient à l'état libre du système téléphonique cellulaire, au bloc 501.

La station de base sans fil 115 est normalement en attente dans un état libre. Dès réception du message de rattachement, la station de base sans fil 115 détermine si le PCC 101 peut être accepté. Si le PCC 101 peut être accepté, la station de base sans fil 115 envoie un message d'acceptation au PCC 101, envoie son propre numéro téléphonique de ligne terrestre au PCC 101, et revient dans son état libre. Si le PCC 101 n'est pas accepté par la station de base sans fil 115, cette dernière envoie un message de rejet (un non-rattachement du PCC par la station de base sans fil) au PCC 101 et revient à son état libre.

Comme on peut le voir sur la figure 5, le PCC 101 détermine si un message d'acceptation (rattachement du PCC) a été reçu, au bloc 513. Si le message d'acceptation a été reçu, le PCC 101 reçoit le numéro téléphonique de ligne terrestre de la station de base sans fil 115, au bloc 515. Sinon, le PCC 101 revient dans son état libre dans le système téléphonique cellulaire 103, au bloc 501.

Ainsi, la station de base sans fil 115 se voit notifier la décision du PCC 101 de passer dans le système téléphonique sans fil, et la station de base sans fil 115 répond en donnant au PCC 101 son numéro téléphonique de ligne terrestre.

Comme on peut le voir sur la figure 5, le PCC 101 détermine si le numéro téléphonique de ligne terrestre ou le numéro téléphonique cellulaire de l'utilisateur possède une priorité d'acheminement de communication, au bloc 517.

La priorité d'achemincment de communication fait référence à la préférence de l'utilisateur pour le système (cellulaire ou à ligne terrestre) dans lequel une communication entrante est acheminée d'abord avant le transfert au deuxième système si le PCC 101 n'est pas positionné de manière appropriée. Puisque l'utilisateur est disponible à la fois via un numéro téléphonique cellulaire et un numéro téléphonique de ligne terrestre, il serait approprié de ne fournir qu'un seul des numéros téléphoniques à l'autre partie en vue de l'émission de communications entrantes à destination de l'utilisateur. Ainsi, un unique numéro téléphonique peut être utilisé par l'autre partie pour atteindre le PCC 101 de l'utilisateur dans le système téléphonique cellulaire ou le système téléphonique sans fil.

Si le numéro téléphonique cellulaire possède la priorité d'acheminement de communication, le PCC 101 envoie le numéro téléphonique cellulaire au numéro téléphonique de ligne terrestre de l'unité de base sans fil, au bloc 519, et attend dans l'état libre du système téléphonique sans fil, au bloc 503. Ainsi, une communication entrante acheminée au numéro téléphonique cellulaire de l'utilisateur est automatiquement envoyée au numéro téléphonique de ligne terrestre de la station de base sans fil 115 lorsque le-PCC 101 est localisé dans le système téléphonique sans fil.

Si le numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur possède une priorité d'acheminement de communication, le PCC 101 envoie un message d'envoi de communication à l'unité de base sans fil, qui lui donne instruction d'envoyer le numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur (qui a été envoyé à la station de base sans fil) au numéro téléphonique de ligne terrestre de l'unité de base sans fil, au bloc 521, et attend dans l'état libre du système téléphonique sans fil, au bloc 503. Si un message d'envoi de communication est reçu par la station de base sans fil 115, cette dernière effectue un envoi de communication à distance du numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur au numéro téléphonique de ligne terrestre de la station de base sans fil 115 et revient dans son état libre.Ainsi, une communication entrante acheminée au numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur est automatiquement envoyée au numéro téléphonique de ligne terrestre de la station de base sans fil 115 lorsque le PCC 101 est localisé dans le système sans fil. Si le PCC 101 est mis hors tension, l'utilisateur peut encore recevoir des communications entrantes par l'intermédiaire de tout téléphone associé au numéro téléphonique de la station de base.

Comme on peut le voir sur la figure 6, le PCC 101 décide, au bloc 523, de rester dans son état libre du système téléphonique sans fil, auquel cas il revient au bloc 503, ou de passer dans le système téléphonique cellulaire 103, en passant au bloc 525. Au bloc 525, le PCC 101 détermine si le numéro téléphonique cellulaire du PCC 101 possède la priorité d'acheminement de communication, ou bien si c'est le numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur. Si le numéro téléphonique cellulaire possède la priorité d'acheminement de communication, alors, au bloc 527, le PCC 101 envoie un message d'envoi de communication d'annulation au système cellulaire et le PCC 101 revient attendre dans l'état libre du système cellulaire, au bloc 501. Ainsi, une communication entrante acheminée au numéro téléphonique cellulaire de l'utilisateur appelle directement le PCC 101 placé dans le système téléphonique cellulaire 103.

Si le numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur possède la priorité d'acheminement de communication, le PCC 101 envoie un message d'envoi de communication à la station de base sans fil 115 afin d'envoyer le numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur au numéro téléphonique cellulaire du PCC 101, au bloc 531. Si le PCC 101 n'est pas en mesure d'établir la communication avec la station de base sans fil 115, le PCC 101 peut effectuer l'envoi de la communication en effectuant un appel téléphonique cellulaire. Ainsi, une communication entrante acheminée au numéro téléphonique de ligne terrestre de l'utilisateur est envoyée au numéro téléphonique cellulaire du PCC 101 placé dans le système téléphonique cellulaire 103.

Les opérations radiotéléphoniques ci-dessus indiquées ne se limitent pas aux seuls systèmes téléphoniques cellulaire et sans fil. Le radiotéléphone peut fonctionner dans au moins deux systèmes radiotéléphoniques lorsqu'il serait souhaitable qu'un PCC 101 commute entre les systèmes. Les raisons pour lesquelles ceci serait souhaitable peuvent comporter, sans limitation, des problèmes de zone de couverture, de coût du service ou de qualité du service.

Puisqu'au moins deux systèmes coexistent (le système cellulaire classique et le système sans fil) et peuvent avoir des couvertures radio en chevauchement, il est important que la hiérarchie des priorités soit établie. On peut attendre du système sans fil qu'il soit un système moins coûteux que le système cellulaire classique, puisqu'il est lié, par l'intermédiaire de la connexion de ligne terrestre du domicile de l'utilisateur, au réseau public TELCO par un câblage classique. II est très vraisemblable que le système sans fil sera le système préféré lorsque le PCC 101 se trouvera à l'intérieur de la zone desservie par la station de base sans fil 115. Ainsi, dans le mode de réalisation préféré, la priorité est donnée au service par la station de base sans fil. Toutefois, l'utilisateur peut choisir une autre hiérarchie de priorités s'il le souhaite.

La station de base sans fil 115 émet un message de signalisation sortant sur un canal radio qui est sélectionné de façon à ne pas présenter d'interférences avec les canaux radio utilisés dans le système cellulaire local 103. Ce message est identique à celui émis dans le système classique, en ce que son but est d'indiquer l'identité du système sans fil et d'aider le PCC 101 à déterminer son caractère disponible. Le format du message sortant de la station de base sans fil 115 sur son canal de signalisation est tel que présenté sur la figure 7. Dans le mode de réalisation préféré, des informations sont émises en mots sur un canal radio en provenance de la station de base sans fil 115. Chaque mot contient une séquence prédéterminée connue de bits de données (S) de synchronisation, cette séquence étant suivie par les bits de données transportant le message (MSG).Facultativement, un mot peut contenir aussi une séquence de points (D), qui précède la séquence de synchronisation. La séquence de points et la séquence de synchronisation sont émises en codage NRZ (sans retour à zéro), tandis que le message est émis en codage Manchester. Pendant la recherche, le PCC 101 se verrouille sur un canal particulier qui peut contenir des informations émises par la station de base sans fil 115. S'il n'est pas en mesure de décoder un mot pendant le laps de temps nécessaire à l'émission d'un certain nombre de mots, il suppose que des données ne sont pas présentes sur le canal et continue l'opération de recherche. Puisque le PCC 101 peut arriver sur le canal au milieu d'un mot, il doit se trouver sur le canal pendant une durée permettant l'émission de W+1 mots afin qu'on puisse garantir sa présence sur le canal pendant W mots complets.Dans cette description, on utilisera l'expression "trame" pour indiquer W mots. Dans le mode de réalisation préféré, la taille de la trame est de deux mots.

Le message de mots comporte une zone d'identification de base (ciaprès Bled), qui agit de la même manière que l'identification de système classique (ci-après SID) qui est employée dans les systèmes cellulaires. Le BID est programmé dans la mémoire 315 de la station de base sans fil sous la forme d'un numéro qui est propre à chaque station de base sans fil. Ce BID unique réalise la caractérisation particulière de chaque station de base sans fil, si bien que le PCC 101 et la station de base sans fil 115 d'un abonné fonctionneront ensemble sans qu'il soit possible à des utilisateurs non autorisés d'obtenir l'accès.

Pour assurer une meilleure sécurité et une meilleure protection contre les interférences, le BID est émis de façon continue à un niveau sous-audible sur le canal vocal pendant que la transmission des signaux vocaux a lieu. Le PCC 101 reçoit et décode le BID et vérifie l'appariement entre le BID émis de façon sousaudible et le BID de sa station de base sans fil 115 associée. Aussi longtemps que les BID sont appariés, la conversation se poursuit sur le canal vocal. Dès détection d'un désaccord, le signal audio reçu par le PCC 101 est rendu muet et l'émetteur 403 du PCC cesse d'être codé. Après une durée prédéterminée de réception d'un
BID incorrect par le PCC 101 et l'absence, en découlant, d'une émission du PCC 101 reçu par la station de base sans fil 115, il est mis fin à la communication.

Dans le cas où la priorité établie pour le PCC 101 est que la station de base sans fil 115 constitue le premier trajet voulu pour une commnication téléphonique de l'abonné et que le système cellulaire classique (ou le système microcellulaire) est choisi en deuxième, alors, le processus de mise en oeuvre de cette priorité est représenté sur la figure 14. Ce qui est décrit sur la figure 14 correspond à la réception, par le récepteur 401 du PCC, du canal ou du groupe de canaux de signalisation sortants émis par le système cellulaire, l'unité de base sans fil et le système microcellulaire, relativement au temps. Ce diagramme facilite la compréhension de la priorité de recherche employée dans le mode de réalisation préféré de l'invention.

Le récepteur 401 du PCC peut être en train de contrôler (1401) le train de message sortant qui est en train d'être émis par le canal de signalisation du système cellulaire (ce canal ayant été choisi parmi les différents canaux de signalisation cellulaires de façon classique). Au moment approprié, le récepteur 401 du
PCC reçoit instruction de son microprocesseur 409 de s'accorder sur la fréquence ou l'une des fréquences utilisées par la station de base sans fil 115, au titre de canal de sous-données de signalisation. Le récepteur 401 du PCC recherche (1403) le ou les canaux de sous-données de sortie de l'unité de base sans fil, pendant une durée t2.Si le train de données de signalisation n'est pas reçu avec une qualité suffisante, le récepteur 401 du PCC se réaccorde sur le canal de signalisation précédemment sélectionné du système cellulaire 103. ll reste accordé sur ce canal de signalisation (1405) pendant une durée t1, avant de tenter une autre recherche d'un canal de signalisation de l'un des autres systèmes. La relation entre t1 et t2 est telle qu'un message cellulaire de recherche de personne (c'est-à-dire une communication radiotéléphonique ou une autre demande émise) qui est répété, classiquement, après une pause de 5 s, ne sera pas manqué du fait que le récepteur 401 du PCC recherchait un autre système pendant les deux durées d'émission de message de recherche de personne cellulaire.Le temps t1 doit être supérieur à la somme de la pause existant entre les deux recherches de personne et de Ia durée typique d'émission des deux recherches de personne. Le temps t2 doit être inférieur au temps séparant les deux recherches de personne. Si le temps de pause est de 5s et que le temps typique d'émission d'une recherche de personne est de 185,2 ms, t1 doit être supérieur à 5,3704 s et t2 doit être inférieur à 5 s. Après contrôle du canal de signalisation du système cellulaire pendant une durée t1, le récepteur 401 du
PCC peut recevoir l'instruction de s'accorder sur le canal de signalisation ou les canaux de signalisation, séquentiellement, du système microcellulaire, comme représenté en 1407. Si un canal approprié de signalisation microcellulaire n'est pas trouvé pendant la recherche des fréquences prédéterminées du canal de signalisation, le récepteur 401 du PCC se réaccorde sur le canal de signalisation du système cellulaire, comme représenté en 1409.

La recherche des canaux de sous-données de signalisation (1411) de la station de base sans fil 115 qui aboutit à la découverte d'un train de données de signalisation satisfaisant des exigences de qualité voulues entraîne le fait que le récepteur 401 du PCC continue de contrôler le canal de signalisation sans fil. Le récepteur 401 du PCC reste sur le canal de signalisation sans fil sans rechercher un autre système jusqu'à ce que le PCC 101 ne puisse plus recevoir le signal émis par l'unité de base sans fil pendant une durée continue de 5 s.

L'effet de ce processus de priorité est de donner la priorité à la station de base sans fil 115 dans le PCC 101. Une fois que le canal de signalisation de la station de base sans fil 115 a été découvert, le PCC 101 reste accordé sur ce canal.

Ainsi, lorsque le PCC 101 a été initialement accordé sur le système cellulaire, il commutera automatiquement sur la station de base sans fil lorsqu'il est possible de faire accès à cette station de base sans fil. Dès que le récepteur 401 du PCC a trouvé le canal de sous-données de signalisation de l'unité de base sans fil, il reste accordé sur ce canal. Lorsque l'émetteur-récepteur du PCC a d'abord été accordé, sa première recherche de canaux de sous-données de signalisation est pour le ou les canaux de signalisation préétablis de la station de base sans fil 115. Naturellement, l'utilisateur peut passer au-delà de la hiérarchie de recheche de priorité automatique en appliquant un code particulier au PCC 101.De cette manière, l'utilisateur peut faire rechercher les canaux de signalisation du seul système cellulaire, les canaux de signalisation de la seule unité de base sans fil, les canaux de signalisation du seul système microcellulaire, ou bien des combinaisons de ces systèmes. L'utilisateur peut également émettre une communication en imposant du premier coup le système de son choix.

Une fois que le canal de signalisation d'un système est en cours de contrôle, une indication visuelle en est donnée à l'utilisateur de l'émetteur- récepteur du PCC. Dans le mode de réalisation préféré, cet indicateur est formé par un groupe de diodes d'émission de lumière (LED) 415, 417, l'une d'elles s'allumant de façon particulière pour indiquer sur quel système l'émetteur-récepteur du PCC est accordé. D'autres indicateurs peuvent aussi être employés pour véhiculer la même information. Par exemple, un identificateur de système peut apparaître dans l'affichage numérique du PCC 101, ou bien un symbole clignotant (avec des vitesses de clignotement différentes) peut être utilisé.Néanmoins, cette indication permet à l'utilisateur de déterminer dans quel système il se trouve et de décider s'il souhaite terminer la communication radiotéléphonique dans le système indiqué.

On se reporte maintenant aux figures 11, 12 et 13, qui représentent, sous forme d'organigramme, le processus suivi par le PCC 101 dans la réalisation de la priorité de recherche. Cette opération est exécutée par le microprocesseur 409 à partir de son programme de travail emmagasiné dans la ROM 421. Dès la mise sous tension, en 1101, l'équipement radio positionne à 0 le compteur de recherche cellulaire. Cette variable est utilisée pour assurer que des pertes anormales de synchronisation de mots ou d'autres raisons amenant un nombre excessif de recherches cellulaires n'empêchent pas le PCC 101 de rechercher les canaux de la station de base sans fil 115.Après repositionnement du compteur de recherche cellulaire, le canal (ou les canaux) de signalisation prédéterminé de la station de base sans fil 115 est recherché, en 1103, pour déterminer si le PCC 101 se trouve dans les limites de la portée d'une station de base sans fil, si le canal de signalisation reçu possède le BID correct, et éventuellement si le canal de signalisation possède une qualité suffisante. Le PCC 101 décide si tous ces critères ont été satisfaits en 1105. Si les critères ont été satisfaits, on passe dans le mode de fonctionnement "sans fil" et l'utilisateur en est avisé par l'allumage de la LED qui est associée au mode sans fil, en 1107.L'émetteur-récepteur du PCC reste dans le mode de traitement de fonctions du type sans fil, en 1109, qui comprend le contrôle du canal de signalisation de l'unité de base sans fil, l'émission et la réception de communications radiotéléphoniques, et le changement de canal (transfert) entre lui-même et l'unité de base sans fil, jusqu'à ce que la synchronisation ou le BID aient été perdus entre ltémetteur-récepteur du PCC 101 et la station de base sans fil 115 (comme cela est détecté en 1111).

Si la synchronisation ou l'appariement des BID se perdent, le processus passe à la vérification de l'existence d'une communication radiotéléphonique en cours du PCC 101, en 1113. Si le PCC 101 n'était pas engagé dans une communication, le processus passe à la recherche des canaux de signalisation du système cellulaire ; si le PCC 101 était engagé dans une communication, plusieurs tentatives sont faites pour réengager la communication dans le mode sans fil. Le compteur de recherche de l'unité de base sans fil est repositionné en 1115 et il est vérifié en 1117 afin qu'il soit déterminé si le compteur a dépassé le nombre maximal de recherches de l'unité de base sans fil (dans le mode de réalisation préféré, ce nombre maximal est égal à 2). Les canaux sans fil sont recherchés, en 1119, comme décrit pour 1103, et les résultats sont vérifiés en 1121.Si le canal de signalisation provenant de la station de base sans fil 115 est trouvé, la communication téléphonique sans fil reprend. Sinon, le compteur de recherche de l'unité de base sans fil est incrémenté, en 1123, et il est recontrôlé, du point de vue du dépassement du maximum, en 1117. Si le compteur de recherche de l'unité de base sans fil dépasse le nombre maximal, le PCC 101 met fin au mode sans fil et tente de rechercher les canaux de signalisation du système cellulaire 103.

La recherche cellulaire commence avec l'opération 1125, dans laquelle on peut également entrer depuis le test 1105. Tout d'abord, le compteur de recherche de l'unité de base sans fil est repositionné (mis à 0) en 1125, afin qu'on puisse repérer le moment où la dernière communication sans fil a pris fin. Le compteur de recherche cellulaire est incrémenté (on ajoute 1) en 1127, puisqu'une recherche cellulaire est sur le point de commencer. Le PCC 101 recherche les canaux de signalisation du système cellulaire, en 1129, selon les règles classiques.

Un test est effectué en 1131 pour déterminer si un canal de signalisation approprié est présent dans la liste des fréquences des canaux de signalisation cellulaires recherchées par le PCC 101. Si aucun canal n'est acceptable, une LED "no svc" (à savoir, pas de service), s'allume, en 1133, et le processus revient à la recherche des canaux de signalisation sans fil, en 1101. Si un canal de signalisation du système cellulaire se révèle acceptable, une LED indiquant un mode "en service" s'allume et toutes les autres LED indicatives du service s'éteignent, en 1135. Le compteur de recherche cellulaire est repositionné, en 1137, pour déterminer le moment où la dernière recherche cellulaire s'est achevée. L'organigramme passe ensuite à la "tâche d'état libre" modifiée, 1138, du système cellulaire.

La tâche 1138 a pour objet initial de déterminer si le moment est venu d'une recherche sans fil forcée, en 1139. Une recherche sans fil forcée a lieu si la minuterie de recherche d'unité de base sans fil a dépassé CBRT. CBRT est le temps écoulé de recherche d'unité de base sans fil et est fixé à 60 s dans le mode de réalisation préféré. Pour qu'une recherche sans fil forcée se produise, il faut que le compteur de recherche cellulaire ait dépassé le nombre maximal de recherches cellulaires consécutives, qui est fixé à 6 dans le mode de réalisation préféré. Cette nouvelle recherche doit s'effectuer, puisque le PCC 101 serait alors bloqué dans une boucle sans fin si la vérification n'était pas fate ici, et l'équipement radio attraperait le canal cellulaire et perdrait la synchronisation des mots de manière continue. Si la recherche sans fil forcée n'est pas nécessaire, le PCC 101 passe au test, en 1141, servant à déterminer si la synchronisation de mots cellulaire est présente. Si la synchronisation de mots n'est pas présente, le PCC 101 recherche le système cellulaire en partant de 1127. Le repositionnement de la minuterie de recherche d'unité de base sans fil, en 1125, est sauté, puisque l'unité de base sans fil n'était pas recherchée.

Si la synchronisation de mots est présente, il est déterminé, en 1143, si un accès au système est nécessaire (c'est-à-dire l'émission d'une communication, une réponse à un appel de personne ou un autre accès dirigé au système ceIlulaire).

Si un accès au système est nécessaire, une tentative est faite pour faire classiquement accès au système cellulaire en 1146. Un accès réussi entraîne un retour au processus après la mise sous tension. Un accès non réussi, par exemple la réception d'une demande de recherche de personne suivie d'une tentative non réussie de réponse, comme déterminé en 1148, conduit à un retour à la recherche du canal de signalisation du système cellulaire.

Si un accès au système n'est pas jugé nécessaire en 1143, un test est effectué en 1145 pour déterminer si une recherche cellulaire doit avoir lieu. Une recherche cellulaire se produit si la minuterie de recherche cellulaire va au-delà de 300 s et si la minuterie de recherche sans fil dépasse le temps de recherche minimal. Le temps de recherche minimal est la valeur minimale de t1, soit 5,3704 s dans le précédent exemple. Le fait d'effectuer le test sur la minuterie de recherche sans fil assure au PCC 101 une chance de recevoir une des deux émissions potentielles du même appel de recherche de personne. Lorsqu'une recherche cellulaire a lieu, le PCC 101 passe en 1127, ce qui saute le repositionnement de la minuterie de recherche de l'unité de base sans fil, en 1125.

Si la recherche cellulaire n'est pas nécessaire, un test est effectué en 1147 pour déterminer si une recherche d'unité de base sans fil doit avoir lieu. Une recherche d'unité de base sans fil a lieu si la minuterie de recherche d'unité de base sans fil dépasse CBRT et si la minuterie de recherche cellulaire dépasse le temps de recherche minimal. Le temps de recherche minimal est de 5,3704 s. Le fait d'effectuer le test sur la minuterie de recherche cellulaire assure au PCC 101 une chance de recevoir l'une des deux émissions potentielles du même appel de recherche de personne. La valeur de CBRT (ce qui signifie minuterie de recherche d'unité de base sans fil) doit être supérieure à t1, qui vaut 5,3704 s. On a pris pour
CBRT une valeur de 60 s dans le mode de réalisation préféré.Si la recherche d'unité de base sans fil n'est pas nécessaire, le processus reprend au début de la tâche d'état libre 1138. Ceci constitue le test indiqué en 1139.

Si une recherche sans fil est nécessaire, le processus commence par repositionner, en 1149, le compteur de recherche cellulaire. Cest également le premier état d'une recherche cellulaire forcée qui est décidée en 1139. Le compteur de recherche cellulaire est repositionné en 1149 pour assurer qu'une recherche sans fil forcée n'est pas décidée sans nécessité en 1139. Après le repositionnement du compteur de recherche cellulaire, le ou les canaux de sous-données de signalisation de la station de base sans fil 115 sont balayés, ou recherchés, en 1151, comme décrit pour 1103. Si le test effectué en 1153 détermine que la base a été trouvée, on entre dans le mode sans fil et l'utilisateur en est averti en 1107. Si l'unité de base sans fil n'est pas trouvée, le PCC 101 doit revenir au canal de commande précédent, en 1155.On retarde ensuite l'acquisition de la synchronisation de mots, en 1157. La minuterie de recherche d'unité de base sans fil est repositionnée, en 1159, pour indiquer le moment où la dernière recherche d'unité de base sans fil s'est produite. Enfin, le processus reprend au début de la tâche d'état libre, 1138, au test 1139.

On revient à la figure 7. On peut noter que le canal de sous-données est constitué d'un certain nombre de mots. Le mot du canal de sous-données est représenté selon le format suivant : la séquence de points (D), puis la zone de synchronisation (S), puis les bits de données du message du canal de sous-données (MSG). Un nombre N de ces mots constitue une trame.

Une particularité de l'invention est que la trame aide à déterminer le temps de contrôle du canal de sous-données. Pour qu'un message de "recherche de personne" du système cellulaire ne soit pas manqué pendant que le PCC est en train de rechercher le canal de sous-données de signalisation de la station de base sans fil, il faut que le temps de contrôle soit inférieur à t2. Plus ce temps est court, et moins une "recherche de personne" cellulaire est susceptible d'être manquée.

Lorque le PCC quitte le canal de commande du système cellulaire et tente de se placer sur le canal de sous-données à partir duquel une trame de données peut être obtenue, on peut supposer que la séquence suivante d'évènements va se produire.

Dans des conditions idéales, le PCC acquiert le canal de sous-données au début d'un mot, de sorte que le mot est détecté. Ceci donne un temps de contrôle nécessaire égal à une durée de trame, c'est-à-dire le temps de contrôle minimal nécessaire à la réception d'une trame:
Temps de contrôle minimal = temps de trame.

Dans des conditions qui ne sont idéales, le PCC acquiert parfois le canal de sous-données (705) au cours d'un mot, si bien que ce mot n'est pas détecté. Ceci donne un temps de contrôle qui vaut un temps de trame plus un temps de mot, soit la durée 707, qui va jusqu'à la trame suivante et jusqu'au mot suivant. Le temps de contrôle maximal nécessaire pour recevoir une trame est donc le suivant
Temps de contrôle maximal = temps de trame + temps correspondant à 1 mot.

Les conclusions précédentes reposent sur certaines conditions idéales.

Toutefois, dans des conditions réelles, un nombre infini de scénarios peuvent se jouer. Néanmoins, le temps de contrôle du canal de sous-données doit tomber dans les limites suivantes:
Temps de trame 5 temps de contrôle s temps de trame +
temps correspondant à 1 mot
D'autres affinements des conditions existantes peuvent être appliqués lors de la détermination du temps de contrôle du canal de sous-données. Les deux scénarios qu'il faut la peine d'examiner sont celui des conditions idéales et celui obéissant à des conditions autres qu'idéales.

Conditions idéales
Il y a deux moments intéressants, le moment d'entrée et le moment de sortie. On considère d'abord le moment d'entrée. Le moment d'entrée est en grande partie déterminé par le moment où l'équipement radio acquiert le canal de sousdonnées. Dans ces conditions idéales, l'équipement radio staccordera sur le canal de sous-données et détectera le premier mot, ce qui donne le temps de contrôle suivant:
Temps de contrôle = temps de trame.

En tenant compte de la séquence de points (D), qui peut ne pas être essentielle à la la détection d'un mot valable (selon l'algorithme de détection des mots), on peut réduire le temps de contrôle de façon à obtenir ce qui suit:
Temps de contrôle = (-temps de séquence de points) + temps de trame.

On considère maintenant le moment de sortie. Le moment de sortie peut être déterminé par la réception d'une trame entière de données. Toutefois, si la synchronisation (S) du dernier mot d'une trame ne peut pas être détectée (selon l'algorithme de détection des mots), alors le temps de contrôle peut être réduit du temps de message (MSG), ce qui donne ce qui suit:
Temps de contrôle = (-temps de séquence de points) + temps de trame
(temps de mot - temps de message).

Ceci constitue le temps de contrôle minimal du canal de sous-données.

Conditions autres qu'idéales
il existe de nouveau deux moments intéressants, le moment d'entrée et le moment de sortie. On considère d'abord le moment d'entrée. Le moment d'entrée est déterminé dans une grande mesure par le moment où l'équipement radio acquiert le canal de sous-données.Comme précédemment établi, dans des conditions autres qu'idéaies, l'équipement radio cellulaire acquiert parfois le canal de sous-données (705) au cours d'un mot, si bien que ce mot n'est pas détecté.

Dans les plus mauvaises conditions, le mot tout entier peut ne pas être détecté, ce qui donne la formule suivante:
Temps de contrôle = temps de trame + temps correspondant à 1 mot.

Ceci est le temps de contrôle maximal du canal de sous-données.

On considère maintenant le moment de sortie (709), où le PCC sort du canal de sous-données. (11 faut naturellement noter que, si le PCC détecte un mot comportant un message ou le BID voulu, le PCC restera accordé sur ce canal de signalisation de sous-données et ne reviendra pas au système cellulaire.) Le moment de sortie peut être déterminé par la réception d'une trame entière de données.

Toutefois, si la synchronisation du dernier mot d'une trame ne peut pas être détecté (selon l'algorithme de détection des mots), alors le temps de contrôle peut être réduit du temps de message (MSG) du dernier message, puisque l'absence de synchronisation (S) rend la partie MSG du dernier mot non détectable; alors:
Temps de contrôle = temps de trame + temps correspondant à 1 mot
(temps de mot - temps de message)
En examinant donc les conditions idéales et les autres conditions, on peut donc représenter le temps de contrôle du canal de sous-données de la manière suivante:
(-temps de séquence de points) + temps de trame - (temps de mot - temps de
message) s temps de contrôle s temps de trame + temps correspondant à 1 mot.

Le temps de contrôle du canal de sous-données doit tomber quelque part à l'intérieur des limites ci-dessus indiquées.

De nouveau, lorsqu'on examine le temps de contrôle, les deux moments intéressants sont le moment d'entrée (705) et le moment de sortie (709).

Le moment d'entrée est, pour la plus grande partie, entièrement arbitraire, puisqu'il dépend du moment où le canal de commande est abandonné et de celui où le canal de sous-données est acquis. Toutefois, il est possible de contrôler le moment de sortie à partir de l'information fournie sur le canal de sous-données. Cette information comporte le format de mot et le format de trame.

Ainsi, si l'on prend en considération l'information fournie et les limites temporelles du contrôle, on peut voir que le processus présenté sur les figures 8, 9 et 10 réduit le temps de contrôle du canal de sous-données. Les deux fonctions principales de ce processus sont: 1) dès la détection du premier mot, on recalcule le temps de contrôle. (Le temps de contrôle établit le moment de sortie.) 2) Au moment de l'entrée dans le dernier mot possible, si la synchronisation ne peut pas être détectée au moment voulu, on fixe la condition de sortie. (La présence ou l'absence de la synchronisation dans le dernier mot peut influer sur le moment de sortie.)
Les figures 8, 9 et 10, prises ensemble, représentent l'organigramme du processus de contrôle de positionnement temporel du canal de sous-données.Dès l'arrivée sur le canal de sous-données, le contrôle de positionnement temporel commencera au bloc 801. Au premier passage, toutes les variables associées sont initialisées, au bloc 803. Le temps de contrôle est fixé à la valeur maximale:
Temps de contrôle = temps de trame + temps de 1 mot.

La valeur de comptage correspondant aux mots restants et la valeur de comptage de la minuterie sont effacées. Les indications "premier mot reçu" et "fin de recherche" sont positionnées sur "faux".

La première exécution et les exécutions suivantes des blocs 805 et 807 contrôlent les diverses conditions de sortie. Si, au bloc 805, la valeur de comptage du compteur dépasse le temps de contrôle ou bien si, au bloc 807, une indication "fin de recherche" ayant la valeur "vrai" est détectée, le processus de contrôle du canal de sous-données fait une sortie, au bloc 833. Sinon, un état de traitement du processus de détection de mots est demandé, au bloc 809, et le traitement se poursuit, au bloc 811.

Si, au bloc 811, l'indication "premier mot reçu" est "faux", alors, au bloc 813, l'état de traitement est équivalent à "mot détecté". L'indication "premier mot reçu" est positionnée à la valeur "vrai", au bloc 815. Pour déterminer le nombre de mots qui restent à détecter, la valeur de comptage des mots restants est calculées au bloc 817 (la valeur de comptage des mots restants est amenée à être représentée par un nombre entier). La valeur de comptage des mots restants est calculée à partir du temps de détection du premier mot, du temps de contrôle maximal (temps de contrôle tel que défini par défaut dans le bloc 803), et le temps de mot (la division représentée dans la formule est une division entière):
Mots restants = (temps de contrôle - comptage minuterie)/temps de mot.

Ensuite, au bloc 819, la valeur de comptage calculée des mots restants est contrôlée, afin qu'il soit assuré que la valeur de comptage est inférieure à la taille de la trame. Si l'entrée dans les données se produit de manière à tomber au début d'un mot, la condition idéale pour rapporter le temps de contrôle au temps de trame peut être utilisée. Si la valeur de comptage est déterminée, au bloc 819, comme étant égale à la taille de la trame, la valeur de comptage des mots restants est ajustée dans le bloc 821.

Le temps de contrôle est recalculé dans le bloc 823. Le nouveau temps de contrôle est calculé à l'aide du temps "premier mot reçu" (valeur de comptage) de la minuterie, de la valeur de comptage des mots restants et du temps de mot:
Temps de contrôle = comptage minuterie + (mots restants * temps de mot).

L'effet de ce nouveau calcul est de réduire la durée passée pour contrôler le canal de sous-données. Comme représenté schématiquement sur la figure 7, le moment de sortie 709 est déplacé, dans le temps, au moment de sortie 715, ce qui réduit le temps de contrôle de la différence de temps, soit 717, entre le moment de sortie initiale 709 et le moment de sortie recalculé 715. (Le temps de contrôle est utilisé dans le bloc 805 pour déterminer la sortie) Après ce nouveau calcul, le traitement se poursuit dans le bloc 825. Sinon, si, au bloc 811, l'indication "premier mot reçu" est "vrai" ou bien, si, dans le bloc 811, l'indication "premier mot" est "faux" et que, au bloc 813, l'état de traitement n'indique pas "mot détecté", le traitement se poursuit dans le bloc 825.

Dans le bloc 825, si la valeur de comptage de la minuterie est supérieure ou égale au temps de contrôle moins le temps de message et si l'état de traitement, du bloc 827, indique que "synchronisation détectée" n'est pas "vrai", c'est-à-dire que la synchronisation (S) du dernier mot possible ne peut pas être détectée, l'indication "fin de recherche" est positionnée sur "vrai", en 829. Ceci amène une réduction du temps de contrôle par déplacement du moment de sortie du point 715 au nouveau point de sortie 711, comme représenté schématiquement sur la figure 7. Le processus se poursuit jusqu'au bloc 831, où est effectuée une incrémentation de la minuterie, puis tout le processus se répète depuis le bloc 805.

Sinon, si la valeur de comptage de la minuterie est, au bloc 825, inférieure au temps de contrôle moins le temps de message, ou bien si la valeur de comptage de la minuterie est, au bloc 825, supérieure ou égale au temps de contrôle moins le temps message et que l'état de traitement du bloc 827 indique que "synchronisation détectée" est "vrai", le traitement se poursuit au bloc 831, où une incrémentation de la minuterie est effectuée, puis tout le processus se répète depuis le bloc 805.

Bien entendu, l'homme de l'art sera en mesure d'imaginer, à partir de l'appareil et du procédé dont la description vient d'être donnée à titre simplement illustratif et nullement limitatif, diverses variantes et modifications ne sortant pas du cadre de l'invention.

Claims (9)

REVENDICATIONS

1. Appareil radiotéléphonique qui reçoit des messages de préférence sur un premier système radiotéléphonique (115) possédant une zone de desserte radio limitée et qui reçoit aussi bien des messages sur un deuxième système radiotéléphonique (105) possédant une zone de desserte radio étendue, l'appareil étant caractérisé en ce qu'il comprend::

un moyen (409) servant à établir une valeur de temps de contrôle;

un moyen servant à contrôler pendant une certaine durée un canal radio associé au premier système radiotéléphonique;

un moyen servant à produire un signal de positionnement temporel représentatif de la durée passée pour le contrôle dudit canal radio;

un moyen servant à recevoir pendant ledit contrôle un nombre prédéterminé de mots de données émis sur ledit canal radio associé audit premier système radiotéléphonique;

un moyen servant à détecter un premier mot de données reçu;

un moyen servant à réajuster ladite valeur de temps de contrôle de façon qu'elle soit la somme de la valeur dudit signal de positionnement temporel produit et du produit d'un nombre déterminé de mots reçus à détecter et d'une valeur prédéterminée de temps pour chaque mot;;

un moyen servant à comparer la valeur dudit temps de contrôle avec la valeur dudit signal de positionnement temporel produit; et

un moyen servant à faire cesser le contrôle dudit canal radio lorsque ladite valeur de temps de contrôle réajustée est égale ou supérieure à ladite valeur du signal de positionnement temporel produit.

2. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un moyen (409) servant à calculer ledit nombre prédéterminé de mots à détecter, ledit moyen de calcul comportant un moyen qui sert à produire la valeur égale à la différence entre ledit signal de positionnement temporel produit et ladite valeur établie de temps de contrôle et un moyen servant à arrondir ladite valeur de différence produite à la valeur entière égale ou inférieure à ladite valeur de différence produite.

3. Appareil selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend:

un moyen servant à déterminer que le dernier mot de données est en train d'être reçu;

un moyen servant à déterminer que ledit dernier mot de données ne peut pas être détecté; et

un moyen qui répond au fait qu'il est déterminé que ledit dernier mot de données ne peut pas être détecté en faisant cesser le contrôle dudit canal radio.

4. Procédé de réduction du temps de contrôle de canal pour un appareil radiotéléphonique qui reçoit des messages de préférence sur un premier système radiotéléphonique ayant une zone de desserte radio limitée et qui reçoit aussi bien des messages sur un deuxième système radiotéléphonique ayant une zone de desserte radio étendue, le procédé étant caractérisé en ce qu'il comprend les opérations suivantes:

établir une valeur de temps de contrôle;

contrôler pendant une certaine durée un canal radio associé au premier système radiotéléphonique::

produire un signal de positionnement temporel représentatif de la durée passée pour le contrôle dudit canal radio;

recevoir pendant ledit contrôle un nombre prédéterminé de mots de données émis sur ledit canal radio associé audit premier système radiotéléphonique;

détecter un premier mot de données reçu;

réajuster ladite valeur de temps de contrôle de façon qu'elle soit la somme de la valeur dudit signal de positionnement temporel produit et du produit d'un nombre prédéterminé de mots reçus à détecter et d'une valeur prédéterminée de temps pour chaque mot;

comparer la valeur dudit temps de contrôle avec la valeur dudit signal de positionnement temporel produit; et

faire cesser le contrôle dudit canal radio lorsque ladite valeur réajustée de temps de contrôle est égale ou supérieure à ladite valeur du signal de positionnement temporel produit.

5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend en outre ltopération consistant à calculer ledit nombre prédéterminé de mots à détecter en produisant la valeur de la différence entre ledit signal de positionnement temporel produit et ladite valeur établie de temps de contrôle et en arrondissant ladite valeur de différence produite à la valeur entière égale ou inférieure à ladite valeur de différence produite.

6. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend les opérations suivantes:

déterminer que le dernier mot de données est en train d'être reçu;

déterminer que ledit dernier mot de données ne peut pas être détecté; et

faire cesser ledit contrôle dudit canal radio en réponse au fait qu'il a été déterminé que ledit dernier mot ne pouvait pas être détecté.

7. Appareil radiotéléphonique qui reçoit des messages de préférence sur un premier système radiotéléphonique (115) ayant une zone de desserte radio limitée et qui reçoit aussi bien des messages sur un deuxième système radiotéléphonique (105) ayant une zone de desserte radio étendue, ledit appareil étant caractérisé en ce qu'il comprend::

un moyen (409) servant à établir une valeur de temps de contrôle;

un moyen servant à contrôler pendant une certaine durée un canal radio associé au premier système radiotéléphonique;

un moyen servant à produire un signal de positionnement temporel représentatif de la durée passée pour le contrôle dudit canal radio;

un moyen servant à recevoir pendant ledit contrôle un nombre prédéterminé de mots de données émis sur ledit canal radio associé audit premier système radiotéléphonique;

un moyen qui répond à ladite valeur de temps de contrôle et audit signal de positionnement produit en déterminant qu'un dernier mot de données est en train d'être reçu;

un moyen servant à déterminer que ledit dernier mot de données ne peut pas être détecté; et

un moyen qui répond au fait qu'il est déterminé que ledit dernier mot ne peut pas être détecté en faisant cesser le contrôle dudit canal radio.

8. Appareil selon la revendication 7, caractérisé en ce que ledit moyen de contrôle comprend en outre un moyen servant à réajuster ladite valeur de temps de contrôle de façon qu'elle soit la somme dudit signal de positionnement temporel produit et du produit d'un nombre prédéterminé de mots reçus à détecter et d'une valeur prédéterminée de temps pour chaque mot.

faire cesser le contrôle dudit canal radio en réponse au fait qu'il est déterminé que ledit dernier mot ne peut pas être détecté.

déterminer que ledit dernier mot de données ne peut pas être détecté; et

déterminer, en réponse à ladite valeur de temps de contrôle réajustée et audit signal de positionnement temporel produit, qu'un demier mot de données est en train d'être reçu;

réajuster ladite valeur de temps de contrôle de façon qu'elle soit la somme de la valeur dudit signal de positionnement temporel produit et du produit d'un nombre prédétemminé de mots à détecter et d'une valeur prédéterminée de temps pour chaque mot; ;

recevoir pendant ledit contrôle un nombre prédéterminé de mots de données émis sur ledit canal radio associé audit premier système radiotéléphonique;

produire un signal de positionnement temporel représentatif de la durée passée pour contrôler ledit canal radio;

contrôler pendant une certaine durée un canal radio associé au premier système radiotéléphonique;

établir une valeur de temps de contrôle;

9. Procédé de réduction du temps de contrôle d'un canal pour un appareil radiotéléphonique qui reçoit des messages de préférence sur un premier système radiotéléphonique ayant une zone de desserte radio limitée et qui reçoit aussi bien des messages sur un deuxième système radiotéléphonique ayant une zone de desserte radio étendue, le procédé étant caractérisé en ce qu'il comprend les opérations suivantes::