FR2688536A1 - Poteau tubulaire. - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un poteau tubulaire notamment destiné à être employé pour la fabrication de candélabres et comme support de pancartes, de panneaux et analogues, caractérisé en ce qu'il est constitué d'au moins un profil (2) longitudinal de section droite en forme de "C" relativement fermél présentant deux ailes d'extrémité (5) généralement parallèles entre elles, ledit profil (2) en "C" coopérant avec au moins une tôle pliée, cintrée ou roulée, par exemple en forme de virole (6) ou de flan (13), pour présenter deux bords libres qui sont rabattus vers l'intérieur de ladite tôle de manière à former deux pinces (9) venant envelopper, normalement par coulissement, les ailes d'extrémité (5) dudit profil (2) en "C", lequel a sa concavité tournée vers l'extérieur du poteau de sorte à former une échancrure (10) s'étendant longitudinalement le long de ce dernier et permettant, le cas échéant, le passage de câbles et/ou la fixation d'objets divers.

Description

POTEAU TUBULAIRE
La présente invention concerne un poteau tubulaire notamment destiné à être employé pour la fabrication de candélabres, de poteaux de lignes électriques ou de caténaires, et comme support de pancartes, de panneaux et analogues.

On connaît les poteaux tubulaires en acier galvanisé ou galvanisé peint actuellement employé pour la réalisation des candélabres d'éclairage qui sont implantés le long des routes ou des rues. De même, on connaît les mâts, généralement moins élevés, qui servent à accrocher divers panneaux, pancartes et autres moyens d'informations à une hauteur adéquate pour qu'ils puissent être lus sans difficulté par une personne à pied, ou depuis un véhicule.

On connaît enfin les mobiliers d'extérieur, dits mobiliers urbains, qui sont installés le long de certaines voies de circulation pour servir d'abri et/ou de panneaux d'affichage. Les poteaux employés pour la réalisation de ces infrastructures sont le plus souvent des poteaux tubulaires fabriqués à partir d'une tôle d'acier cintrée ou pliée sur elle-même, selon une génératrice de la forme longitudinale à obtenir, par exemple un cylindre, un cône ou un prisme ; les deux bords libres de la tôle ainsi pliée ou cintrée sont alors soudés, ce qui est une opération toujours longue, coûteuse et qui demande un savoir-faire particulier dès que l'on confectionne des poteaux de grande hauteur.

D'un autre côté, dans la fabrication des candélabres, un certain nombre d'exigences techniques viennent grever la résistance mécanique des poteaux ainsi fabriqués. En particulier, il est courant, si ce n'est obligatoire, de prévoir à la base du poteau une trappe d'accès latérale, ou porte, permettant d'accéder aux armoires d'alimentation électrique des dispositifs d'éclairage situés le long ou au sommet dudit poteau cette porte d'accès, qui affaiblit considérablement la résistance mécanique de ce dernier, nécessite d'employer une tôle d'épaisseur surdimensionnée, ce qui aggrave les coûts de fabrication et les coûts de transport (en raison du poids supplémentaire).

Enfin, on comprend que pour des raisons de sécurité et de qualité, l'opération de soudage des poteaux doit impérativement être faite en usine, ce qui implique que l'on expédie des poteaux complètement terminés vers les zones d'implantation ; compte tenu de leur structure tubulaire, le rapport volume/poids transporté conduit à un surdimensionnement inutilement onéreux des moyens de transport.

La présente invention vise à remédier à ces inconvénients en proposant un nouveau poteau tubulaire pouvant être transporté en pièces détachées pour être assemblé pratiquement sur le lieu d'implantation, grâce à des opérations de montage simplifiées, tout en offrant des caractéristiques nouvelles et innovantes pour l'agencement des appareillages électriques et de leurs périphériques.A cet effet, ce poteau tubulaire est caractérisé en ce qu'il est constitué d'au moins un profil longitudinal de section droite en forme de C relativement fermé, présentant deux ailes d'extrémité, ledit profil en "C" coopérant avec au moins une tôle pliée, cintrée ou roulée, par exemple en forme de virole ou de flan, pour présenter deux bords libres qui sont rabattus vers l'intérieur de ladite tôle de manière à former deux pinces venant envelopper, normalement par coulissement, les ailes d'extrémité dudit profil en "C", lequel a sa concavité tournée vers l'extérieur du poteau de sorte à former, le long de ce dernier, une échancrure longitudinale permettant, le cas échéant, le passage de câbles et/ou la fixation d'objets divers.

Par profil en "C", on entendra tout profil fermé ayant deux bords libres normalement repliés pour former des ailes de fixation. La section droite la plus générale d'un tel profil pourra donc être inscrite dans un rectangle, un carré, un cercle, une ellipse, un polygone ou tout autre forme géométrique moins courante.

De cette manière, le poteau suivant l'invention ne nécessite aucune soudure, ce qui diminue bien sûr considérablement les coûts de main-d'oeuvre. De même, étant donné qu'il est possible de loger les câbles et les coffrets d'alimentation électrique dans la ou les échancrures formées le long du poteau, lorsqu'il est monté, il devient inutile de prévoir la découpe d'une porte d'accès à la base du poteau ; de ce fait, le poteau peut être confectionné avec une tôle, par exemple en acier, de moindre épaisseur. Entr'autres avantages, le profil en "C" et la tôle pliée, cintrée ou roulée, par des techniques courantes normalement connues de l'homme du métier ordinaire, peuvent être séparément transportés avec un encombrement moindre, le coût du transport étant par conséquent réduit d'une façon significative.Enfin, l'implantation du poteau peut être considérablement simplifiée puisque, le cas échéant, il suffit de prévoir que la base du poteau formé soit, sur une certaine hauteur, laissée libre de tout assemblage avec un ou plusieurs profils en "C" ; de cette manière, la base du poteau peut être emmanchée ou glissée directement autour d'une ou de plusieurs embases en "C", identiques aux profils en "C" et préalablement ancrées dans le sol, soit par une technique classique d'enfouissement d'un massif en béton, soit par un ancrage pyrotechnique.

Une fois que les parties constitutives du poteau ont été glissées l'une dans l'autre, les ailes d'extrémité du profil en "C" et les deux pinces de la tôle pliée, cintrée ou roulée peuvent être boulonnées ou rivetées mais, préférentiellement, , lesdites pinces sont agrafées par un serrage régulièrement réparti le long du poteau.

Suivant une variante particulièrement avantageuse de l'invention, l'agrafage des pinces de la virole et des ailes d'extrémité du profil en "C" est effectué de manière à réaliser une ondulation régulière et alternative des deux bords latéraux de l'échancrure du poteau ; il est ainsi pratiqué, au moment de l'agrafage, un déport ou emboutissage latéral de quelques millimètres, alterné dans un sens puis dans l'autre, par rapport au plan moyen vertical des ailes d'extrémité du profil en "C", qui sont enserrées dans les pinces de la virole. Cette ondulation ou emboutissage forme une succession de butées d'arrêt contribuant au blocage et à l'indexation verticale des objets que l'on désire fixer le long de l'échancrure longitudinale du poteau.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée à la fabrication de poteaux formés d'un seul profil en "C" coopérant avec une seule virole, obtenue par pliage, cintrage ou roulage d'une tôle sur pratiquement 360 , mais concerne également les poteaux constitués de plusieurs profils en "C" servant à assembler un même nombre de flans plats, cylindriques ou polyédriques.

En particulier, dans le cas le plus simple d'un poteau à deux profils en "C" maintenus dos à dos à une certaine distance l'un de l'autre, il est possible de monter sur ces profils tout un ensemble de tôles pliées ou profilées, à une ou plusieurs faces cylindriques, rectangulaires ou trapézoïdales. De cette manière, on peut tout à fait reconstituer un poteau conique de section octogonale, comparable à ceux actuellement réalisés par soudage. Dans ce cas, la fabrication du poteau peut consister à former une virole cylindrique ou tronconique quasi-prismatique à sept faces pleines et une face ouverte, avec des bords libres formés en pinces pour venir envelopper, par coulissement, les ailes d'extrémité d'un profil en "C" de dimensions transversales identiques à celles de la face ouverte ; on comprendra d'ailleurs que le fond du profil en "C" est alors lui-même rectangulaire ou trapézoïdal. Après agrafage, le poteau obtenu présente un aspect similaire à celui des poteaux octogonaux classiques avec l'avantage d'avoir au moins une échancrure latérale courant longitudinalement de bas en haut, ce qui permet d'y loger les appareillages électriques, les câbles et plus généralement d'y fixer par emboîtement tout type d'éclairage ainsi que tout panneau ou pancarte à usage informatif ou publicitaire.Avantageusement, la face avant ouverte d'une échancrure peut être masquée par un capot ou un jonc, le cas échéant réalisée dans une matière plastique de manière à être facilement retiré.

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront mieux de la description qui va suivre de plusieurs exemples de réalisation d'un poteau tubulaire donnés à titre d'exemples non limitatifs en référence aux dessins annexés sur lesquels
- la figure 1 est une vue de montage éclatée en perspective d'un poteau octogonal conforme à un premier mode d'exécution de l'invention,
- la figure 2 illustre l'implantation d'un poteau octogonal, sensiblement identique à celui de la figure 1, sur un ancrage préalablement fixé dans le sol,
- la figure 3 est une vue en coupe transversale d'un poteau hexagonal réalisé à partir de deux profilés en "C" servant au maintien deux flans diédriques,
- la figure 4 est une vue en perspective d'un poteau formé et implanté dans le sol, sur lequel on a représenté, en traits pleins, un panneau indicateur monté le long d'une échancrure latérale du poteau et, en traits mixtes, le même panneau en situation de montage,
- la figure 5 illustre enfin une disposition de l'invention relative à l'agencement d'une crémaillère s'étendant longitudinalement au fond de l'échancrure formée par l'ouverture d'un profil en "C" constituant un poteau.

Selon une première variante de l'invention représentée sur la figure 2, un poteau 1 octogonal est constitué de deux parties assemblées sans soudure, à savoir
- un profil 2 de section droite en forme de "C", présentant un fond 3 rectangulaire, deux côtés latéraux 4 et deux ailes d'extrémité 5, normalement parallèles audit fond 3 ;
- une tôle pliée ou virole 6, de section octogonale, présentant sept faces pleines 7 et une face 8 ouverte ; les deux bords libres de la virole 6, qui délimitent verticalement le face ouverte 8, sont rabattus vers l'intérieur de la virole 6 pour former des pinces 9 de dimensions adéquates destinées à recevoir, par coulissement, les ailes d'extrémité 5 du profil 2 en "C".

Après engagement des ailes d'extrémité 5 dans l'entrejeu des pinces 9, ce qui permet de reconstituer un poteau octogonal complet, la zone de recouvrement des trois parois de l'assemblage est agrafée par pincement avec, subsidiairement, quoique non obligatoirement, un effet d'emboutissage tendant à repousser alternativement les zones de pincement successives vers l'intérieur puis vers l'extérieur dudit poteau 1. On observera que cet assemblage faisant participer trois parois à l'assemblage, à savoir la paroi d'une branche 5 du profil en "C" et les deux parois d'une pince 9, renforce considérablement la structure du poteau 1 et permet d'accrocher des objets relativement lourds sur l'échancrure 10 ainsi formée le long dudit poteau 1.

Suivant une caractéristique complémentaire de l'invention, le profil 2 en "C" et la virole 6 sont formés par pliage de tôles métalliques, par exemple en acier galvanisé ; préférentiellement, on emploiera un procédé autorisant le pliage après galvanisation tel que, en particulier, le procédé de galvanisation faisant l'objet du brevet FR-2 323 772. De cette manière, la fabrication d'un poteau consistera à galvaniser des tôles plates avant de les plier, de les cintrer ou de les rouler ; ceci simplifie considérablement le procédé car, ainsi que l'on peut l'imaginer, le traitement de tôles pliées ou cintrées ne peut se faire que par des procédés classiques de galvanisation au trempé.

Hormis l'acier galvanisé ou galvanisé peint, on pourra bien sûr former des tôles en aluminium ou en acier inoxydable. Lorsque le poteau est de forme cylindrique et de hauteur limitée, on pourra également employer des viroles 6 et des profils 2 en "C" directement forgés par un procédé d'extrusion.

On décrira maintenant, en référence à la figure 2, un exemple d'implantation d'un poteau octogonal 1 le long d'une voirie. A cet effet, on a ancré dans le sol, soit par enfouissement, soit par le biais d'un ancrage pyrotechnique, une embase de fixation 11 dont la forme correspond à la partie inférieure du profil 2 en "C" ayant servi à l'assemblage dudit poteau 1 ; dans ce cas, on aura pris soin de laisser, à la base du poteau 1, une zone non assemblée de longueur adéquate pour qu'elle puisse être facilement engagée autour de ladite embase 11. La fixation au sol du poteau 1 consiste alors à procéder à un agrafage des ailes d'extrémité 12 de l'embase 11 en forme de "C" avec la partie inférieure des pinces 9 de la virole 6.Le cas d'un poteau comportant plusieurs profils 2 en "C" serait bien entendu identique ; en particulier, plusieurs embases de fixation 11 seraient alors ancrées dans le sol pour correspondre à la géométrie du poteau.

Une autre réalisation d'un poteau conforme à l'invention est illustrée sur les figures 1 et 3. Dans cette variante, le poteau comporte deux profils 2 en "C", agencés dos à dos à une certaine distance l'un de l'autre, leurs fonds 3 étant disposés parallèles et symétriques par rapport à une ligne médiane. Ces deux profils 2 servent à assembler deux flans 13, respectivement triédriques et diédriques dont les bords latéraux sont rabattus pour former des pinces 9 où viennent s'engager les ailes d'extrémité 5 respectives des deux profils 2 en "C". Bien entendu, la forme diédrique ou diédrique des flans 13 n'est pas limitative, ces derniers pouvant avoir un plus grand nombre de faces, elles-mêmes planes ou cylindriques.

On comprendra que tous les poteaux 1 fabriqués conformément aux enseignements de la présente invention présentent toujours au moins une échancrure 10 s'étendant longitudinalement de bas en haut sur toute leur longueur.

Cette ou ces échancrures 10 peuvent servir au passage de câbles et, ainsi qu'il est représenté sur la figure 4, à la fixation, à diverses hauteurs, de panneaux indicateurs 14. A cet effet, ces derniers sont pourvus d'une queue de fixation 15, en forme de té, que l'on vient engager sur chant dans l'échancrure 10 avant de la faire pivoter d'un quart de tour pour engager la barre du té derrière la paroi la plus interne des pinces 9, délimitant les bords latéraux de ladite échancrure 10.Suivant une caractéristique particulièrement avantageuse de l'invention déjà signalée plus haut, l'agrafage desdites pinces 9 autour des ailes d'extrémité 5 des profils 2 en "C" est effectuée de sorte à ce que la zone de recouvrement soit légèrement ondulée, c'est-à-dire alternativement emboutie dans un sens et dans l'autre ; ces ondulations forment un ensemble de butées prévenant le glissement vertical des panneaux indicateurs 14.

Sur la figure 4, on a également représenté un capot de protection 17 que l'on vient par exemple clipper dans l'échancrure 10 pour protéger et isoler cette dernière de l'extérieur. Ce capot 10 peut également jouer un rôle esthétique.

Suivant une dernière caractéristique de l'invention qui sera maintenant décrite en référence à la figure 5, une crémaillère 18 peut être normalement réalisée par perçage d'un ensemble de trous dans le fond 3 des profils 2 en "C" ; cette crémaillère 18, qui s'étend préférentiellement sur toute la hauteur du poteau 1, peut servir au déplacement d'un robot le long dudit poteau 1.

De cette façon, il devient possible de procéder à certaines opérations de remplacement d'un éclairage défaillant sans intervention humaine toujours dangereuse en altitude.

Il convient enfin de remarquer qu'il est indifférent de réaliser les poteaux conformes à l'invention en une seule ou en plusieurs pièces qui, dans ce dernier cas, seront emboîtées ou seront assemblées au moyen d'un joint de forme adéquate. De même, les ailes 5 du profil en "C", qui sont généralement non jointives afin de limiter une échancrure 10 suffisamment large, pourraient pratiquement se toucher, réduisant l'échancrure 10 à une largeur nulle, ou presque nulle. Une telle disposition ne sortirait bien entendu pas du cadre de la présente invention.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1 - Poteau tubulaire notamment destiné à être employé pour la fabrication de candélabres, de poteaux de lignes électriques ou de caténaires, et comme support de pancartes, de panneaux et analogues, caractérisé en ce qu'il est constitué d'au moins un profil (2) longitudinal de section droite en forme de "C" relativement fermé, présentant deux ailes d'extrémité (5), ledit profil (2) en "C" coopérant avec au moins une tôle pliée, cintrée ou roulée, par exemple en forme de virole (6) ou de flan (13), pour présenter deux bords libres qui sont rabattus vers l'intérieur de ladite tôle de manière à former deux pinces (9) venant envelopper, normalement par coulissement, les ailes d'extrémité (5) dudit profil (2) en "C", lequel a sa concavité tournée vers l'extérieur du poteau de sorte à former une échancrure (10) s'étendant longitudinalement le long de ce dernier et permettant, le cas échéant, le passage de câbles et/ou la fixation d'objets divers.

2 - Poteau tubulaire selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il est constitué de plusieurs profils (2) en "C" servant à assembler un même nombre de flans (13) plats, cylindriques ou polyédriques.

3 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les pinces (9), formées par rabattage des bords libres de la ou des tôles, et les ailes d'extrémité (5) du ou des profils (2) en "C" sont boulonnées ou rivetées.

4 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les pinces (9), formées par rabattage des bords libres de la ou des tôles, et les ailes d'extrémité (5) du ou des profils (2) en "C" sont agrafées par un serrage réparti le long du poteau.

5 - Poteau tubulaire selon la revendication précédente, caractérisé en ce que l'agrafage des pinces (9) et des ailes d'extrémité (5) du ou des profils (2) en "C" est effectué de manière à réaliser une ondulation régulière et alternative le long des deux bords latéraux de l'échancrure (10) dudit poteau.

6 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la face avant ouverte de l'échancrure (10) est masquée par un capot (17) ou un jonc pouvant facilement être retiré.

7 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'une crémaillère (18) est réalisée par perçage d'un ensemble de trous dans le fond (3) des profils (2) en "C".

8 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les profils (2) en "C", les viroles (6) et les flans (13) sont formés par pliage de tôles métalliques, par exemple en acier galvanisé.

9 - Poteau tubulaire selon la revendication précédente, caractérisé en ce que les profils (2) en "C", les viroles (6) et les flans (13) sont galvanisés avant pliage.

10 - Poteau tubulaire selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est fixé au sol par le moyen d'au moins une embase de fixation (11) dont la forme correspond à la partie inférieure des profils (2) en "C" ayant servi à l'assemblage dudit poteau (1).

11 - Poteau tubulaire selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la ou les embases de fixation (11) sont ancrées par enfouissement dans le sol.

12 - Poteau tubulaire selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la ou les embases de fixation (11) sont ancrées dans le sol par un moyen d'ancrage pyrotechnique.