FR2673654A1 - Procede de rehausse pour cadres et elements pour sa mise en óoeuvre. - Google Patents

Abstract

Procédé de rehausse pour cadres se trouvant au niveau du revêtement d'un sol, dans lequel l'on place sur le support (11) sain au moins un élément préfabriqué destiné à recevoir ledit cadre (12), ledit élément étant écarté d'environ 1 à 3 cm dudit support et étant percé d'au moins un orifice (4) permettent le coulée de part en part de l'élément d'un liant dont la fluidité est telle que la coulée permette au liant de s'insérer substantiellement entre l'élément et le support et d'enrober l'ensemble, et les éléments spécialement conçus pour sa mise en œuvre.

Description

La présente invention concerne un procédé de rehausse de cadre et de nouveaux éléments pour sa mise en oeuvre.

Dans le domaine des travaux publics et plus particulièrement celui des travaux d'aménagement des golfs, on connaît différents procédés et moyens permettant de rehausser ou de réparer les scellements de tampons, de cadres ou d'autres pièces se trouvant au niveau de l'enrobé. Ces pièces ont diverses utilisation. Elles permettent l'accès, tant sur la chaussée que sur les trottoirs, aux égouts ou i des vannes par exemple. De tels regards sont habituellement constitués d'une plaque métallique, généralement carrée ou ronde, en fonte, amovible, obturant un cadre. Ce cadre est lié par un mortier & un caisson, généralement en béton.Lorsque l'on installe un nouveau revêtement de sol, ces pièces se trouvent plus basses que le nouveau niveau du revêtement, et il est donc indispensable de les rehausser A niveau. Les procédés de rehausse classique mettent en oeuvre essentiellement des mortiers et résines s prise normale, semi-rapide ou rapide. Ces mortiers, micro-bétons ou résines sont pour certains sans retrait et de très haute résistance ; ils doivent être coulés sur place.

Les mortiers de scellement doivent résister d'une part à la poussée naturelle du terrain gui les entoure et d'autre part à des charges verticales telles que celles occasionnées par des véhicules pouvant rouler sur les pièces de surface.

A ce jour, pour réaliser ces rehausses lors dtune réfection de tapis enrobé ou pour réparer un scellement dégradé ou un tampon ou une autre pièce cassée, on dégarnit Itenrobé, on descelle le vieux tampon de manière & nettoyer le coffre pour obtenir un support sain et propre, on met en place, cale le cadre, on coffre et on coule le mortier à l'extérieur du coffrage afin de sceller le nouveau tampon, cadre, etc...

Ce procédé classique présente les inconvénients suivants
a) Sa mise en oeuvre est très aléatoire car les dosages sur chantier sont imprécis et de ce fait, les mortiers sont souvent friables et insuffisamment résis tante,
b) t'intendanco cn main-d'oeuvre (nombre des personnes) et le matériel (ciment, sable, gravier, ciment prompt...) sont disproportionnés avec l'ampleur des travaux à effectuer,
c) Les délais de remise en circulation sont plus ou moins longs suivant le mortier employé, et
d) On emploie une grande quantité de mortier.

Des recherches ont été réalisées pour permettre un retour le plus rapide possible à une circulation normale après l'intervention.

On a ainsi mis au point
des mortiers ou micro-bétons a prise rapide1 non-prémélangés a du gravier ; de tels mortiers sont cependant très coûteux.

- des résines non-prémélangées a du gravier.

Ces résines ne sont pas applicables sur des supports mouillés et sont dtune préparation complexe, hécessitant de mélanger résine, durcisseur et gravier. Leur cotit est également important.

Il serait souhaitable de pouvoir rehausser un tampon ou cadre en conservant les dimensions d'origine, quelle que soit la profondeur, de façon simple et rapide, avec une main-dtoeuvre et un court de matériel réduits, afin d'interrompre la circulation un minimum de temps, tout en obtenant des résistances initiales et finales élevées pour permettre rapidement le passage de véhicules
C'est pourquoi la présente invention a pour objet un procédé rehausse pour cadres Be trouvant au niveau du revêtement d'un sol, caractérisé en ce que lwon place sur le support sain au moins un élément préfabriqué destiné & recevoir ledit cadre, ledit élément Btnt écarte d'environ 1 à 3 cm dudit support et étant percé d'au moins un orifice permettant la coulée de part en part de l'élément d'un liant dont la fluidité est telle que la coulée permette au liant de s'insérer substantiellement entre l'élément et le support et d'enrober l'ensemble.

Par cadres" l'on entend les cadres ou tampons servant de support a une plaque d'obturation d'un regard, d'une chambre ou d'une chemine donnant accès par exemple a un égout ou ê une vanne.

Le revêtement de sol pourra être selon le cas en ciment ou d'autre nature, mais généralement en bitume.

Une fois ôté le cadre, on doit enlever le maximum du précédent liant, généralement du mortier, pour obtenir un support sain, en général constitué d'un caisson de béton. Un support sain sera substantiellement plat et débarrassé des reliquats friables du mortier précédent.

Par ment préfabriqué", l'on entend un élément élaboré a l'avance, prt à l'emploi ; cet élément pourra être en toute matière adaptée à l'usage précité, telle que résine, fibre, mais de préférence béton, notamment précontraint.

Dans sa mise en oeuvre, cet élément devra Entre écarté d'environ 1 à 3 cm du support, l'écartement étant conditionné par la fluidité du liant et dans une certaine mesure par le nombre, la taille et la forme des orifices
Des orifices plus nombreux et s'évasant vers le bas permettent l'utilisation de liants moins fluides. Il n'est pas souhaitable de dépasser un écartement de 5 cm.

L'orifice a pour fonction de permettre au liant, par coulée, de traverser ment de part en part, de s'insérer entre l'élément et le support, et de déborder vers le côté opposé au regard, chambre ou cheminée pour enrober le support et l'élément du côté extérieur. Il sera disposé de manière i permettre le coulage du liant, toutes les diverses pièces, ê savoir éléments selon l'invention et cadre, étant an place.

Le liant peut âtre de toute nature t ctest de préférence un liant hydraulique tel qu'un mortier hydraulique. On retient tout particulièrement comme liants les mortiers commercialisés par la société MBT (Sorgues-Prance) sous la référence GIF 26 et SET 45.

Sa fluidité doit permettre, par une coulée sans reprise, de stinsérer substantiellement dans la quasi totalité du volume entre ltélément et le support, à savoir dans une cavité d'au plus environ 3 cm de haut, dont la hauteur dépend des irrégularités du support dues par exemple à certains restes du mortier précédent.

Le liant ayant traversé de part en part l'élément, est bloqué dans son avancée vers l'intérieur de la chambre par un coffrage mis en place dans la chambre, contre les parois de la chambre et contre les éléments selon l'invention. Il peut couler néanmoins vers l'ex térieur de l'ensemble et ainsi l'enrober. la fouille sera la plus étroite possible pour minimiser la quantité de liant utilisé.

Les éléments mis en oeuvre dans le procédé auront des caractéristiques de résistance la pression, la flexion ou la torsion adaptées b leur fonction. Pour une utilisation pour chaussée sur laquelle circulent voitures et camions, leur résistance ê la compression sera de préférence supérieure à 15 MPa, et a 1,5 MPa en flexion et traction en 24 h 48 h. Les éléments pourront être si désiré armés, par exemple d1acier.

Afin de permettre un positionnement à ras du revêtement, et par exemple afin de respecter l'horizon talité, ment préfabriqué comporte de préférence au moins un organe réglable de mise à niveau et d'écartement vis-a-vis du support. Les organes de réglages sont bien connus et dans une forme simple peuvent par exemple se trouver sous la forme d'une vis et un filetage femelle.

On pourra par exemple incorporer a l < élément une plaque comportant le filetage lors de son élaboration, puis lui adjoindre une vis pour permettre le réglage.

Selon le type du cadre, l1élément pourra entre unique, ce sera par exemple le cas pour le regard d'une vanne. Il pourra adopter toute forme adaptée, telle qu'une forme carrée, ronde, ovale ou toute autre. Dans le cas d'un cadre de grande taille, il pourra être intéressant d'utiliser plusieurs éléments préfabriqués. Les éléments seront complémentaires, de manière, une fois assemblés, t avoir sensiblement l'apparence d'un élément uniques Un élément unique circulaire pourra par exemple recevoir sur sa face inférieure deux ergots d'une hauteur d'environ 2 cm et recevoir un organe de réglage.

I1 pourra de préférence recevoir trois organes de réglage. Ceux-ci seront avantageusement disposés symétriquement à 120.

Dans le cas oA l'on met en oeuvre plusieurs éléments préfabriqués ceux-ci sont avantageusement d'une taille et d'un poids tels qu'ils pourront être manipulés par une seule personne. Il est ainsi possible de rehausser des cadres de grande taille avec un personnel réduit au minimum.

En fonction de la hauteur a rattraper il peut être nécessaire de mettre en oeuvre plusieurs couches d'éléments préfabriqués. C'est pourquoi la présente demande a également pour objet le procédé dessus décrit caractérisé en ce que l'on met en oeuvre au moins deux couches d'éléments préfabriqués a savoir une couche supérieure de finition et au moins une couche de rehausse simple.

L'élément prEfabriqud supérieur aura avantageusement une section sensiblement en forme de "L" formant une cuvette pour recevoir le cadre. Dans le cas d'une réalisa- tion en plusieurs éléments, certains éléments peuvent ne pas avoir cette section en tlL" au niveau de la jonction avec ment adjacent. La partie verticale du lits, a aussi pour fonction d'économiser la quantité de liant à prise rapide, très coteux.

La présente invention a également pour objet des éléments préfabriqués monolithes spécialement conçus pour la mise en oeuvre du procédé dessus décrit, caractérisé en ce qu'ils ont une section en forme de 11L15, une forme correspondant ê celle du regard & recevoir, sont pourvus d'un évidement central correspondant s la chambre du regard et en ce qu'ils comportent un orifice permettant la coulée par le haut d'un liant, la taille et la forme de l'orifice permettant en une coulée continue d'enrober l'ensemble support ment préfabriqué.

Lorsque l'on dit que l'élément comporte un orifice l'on entend qu'il a au moins un orifice et peut bien évidemment en comporter plusieurs. Par exemple, dans le cas d5éléments de grandes tailles, et en fonction de la fluidité du liant, les éléments pourront comporter un orifice environ tous les 40 cm. Li orifice pourra être de taille et de forme adaptée, ne devant pas nuire à la résistance des éléments. Il peut entre de forme évasée à sa partie inférieure afin de faciliter l'étalement du liant.

La présente demande a également pour objet les kits préfabriqués pour la mise en oeuvre du procédé cidessus décrit, caractérisés en ce qu'ils comprennent deux types d'éléments coopérant entre eux qui, assemblés, forment un élément correspondant à un élément monolithique tel que ci-dessus décrit. Cette coopération entre les éléments pourra se faire selon un certain nombres d'as- semblages bien connus en menuiserie, tels que par exemple et de préférence du genre entailles à mi-bois en croix. Ces entailles à mi-bois seront dans ce cas réalisées aux extrémités des éléments.

Dans le cas classique d'un cadre carré ou rectangulaire, un kit selon l'invention comprendra par exemple 4 éléments, 2 de chaque type.

Les éléments ci-dsssus décrits trouvent leur application dans le cas ot une seule couche est nécessaire pour rattraper la dénivélation. Dans le cas ou la dénivéla- tion à rattraper est importante, il est nécessaire d'utili- ser un deuxième type d'éléments, analogues à ceux cidessus, sauf qu'ils n'ont pas pour fonction de recevoir le cadre.

C'est pourquoi la présente invention a également pour objet des éléments supplémentaires de rehausse pour' les éléments ci-dessus décrits caractérisés en ce qu t ils ont une structure analogue à l'exception de leur section qui correspond seulement à la base du "t',, les autres caraùtéristiques restant identiques.

Dans un tel cas, il est nécessaire que les orifices soient placés aux mêmes emplacement pour permettre l'écoulement du liant jusqu'au niveau du support et son étalement substantiel entre les différentes couches d'éléments.

lies éléments seront de préférence fabriqués en atelier, afin de notamment pouvoir en contrôler la qualité et d'utiliser un matériel approprié. On réalisera, par exemple,' an micro-béton fibre et dosé à 400 kg de ciment, qui sera coulé dans des moules comportant une partie de l'organe de réglage et étuvé, si les pièces doivent être utilisées rapidement sur chantier, afin d'obtenir les résistances requises dans le délai de 48 heures. Ces pièces pourront être armées, par exemple d'acier.

Les éléments de rehausse peuvent étire mis en oeuvre comte suit
Dans le cadre d'une réfection de chaussée, on décaisse l'enrobé neuf, descelle le cadre ou le tampon jusqu'd rattraper le support sain et le nettoie de toute partie friable.

On retire le cadre ou le tampon, et le souffle afin d'avoir un support propre. Dans le cas ou l'on utilise un mortier hydraulique, on humidifie le support et les réhausses à coeur. Dans le cas où l'on utilise une résine on suit les prescriptions du fabricant concerné.

Si une seule couche d'éléments est nécessaire, on met en place les éléments de finition qui forment la rehausse, les règle d l'aide des organes de réglage, place le cadre, afin que celui-ci arrive au niveau de la chaussée.

Dans le cas de rattrapage d'une hauteur importante, on met en place en premier les rehausses pour profondeur importante d'épaisseur adaptée, pour finir par la réhausse de finition et on place le cadre ou tampon afin que celui-ci soit au niveau de la chaussée.

On procède alors au coulage du mortier ou de la résine jusqu'au point haut du cadre qui sera au niveau de la chaussée, afin d'assembler et de sceller le tout (rehausses + cadre) de manière que l'ensemble ne fasse plus qu'un avec la chambre.

La présente invention permet donc une rehausse aisée, rapidement opérationnelle et peut coûteuse. En effet, quelle que soit la taille du cadre, la taille des éléments peut être prévue de manière qu'ils puissent être manipulés par une personne seule ; l'utilisation de liant très coûteux est très réduite et on obtient rapidement des résistances importantes, permettant par exemple de rétablir la circulation routière dans les meilleurs délais.

L'invention sera mieux comprise si on se réfère aux dessins annexés sur lesquels
la figure 1 représente en perspective un type d1élément de finition dans le cas dtun ensemble s 4 éléments,
la figure 2 représente en perspective le type complémentaire de celui de la figure 1,
les figures 3 et 4 représentent en perspective des éléments de rehausse simple,
la figure 5 représente en perspective un ensemble d'éléments selon 1'invention. Le cadre A partie supérieure n'est pas représenté, ni le support de la partie intFrieure,
la figure 6 représente en perspective la coupe d'un élément monolithique selon l'invention.

La figure 1 représente en perspective un type d'éléments de finition. L'élément est une barre et a une section transversale en forme de "t". tes extrémités I et 2 ne comportent que la barre du "L" et leur épaisseur est la moitié de celle au niveau de la section en "L", pour réaliser un assemblage de type en mi-bois avec le second type d'éléments. La partie horizontale 3 de l'élément est destinée à recevoir le cadre. La hauteur de la partie verticale de l'élément est telle que le cadre arrive à son niveau supérieur, une fois en place L'élément est percé verticalement d'un orifice 4 destiné & la coulée du liant, le cadre étant en place.Le cadre lui-m & e sert de paroi à certaines parties de l'orifice, au niveau de l'appui horizontal 5 du cadre et de la tranche 6 du cadre.

L'orifice est prévu en face des pattes de scellement inférieures du cadre, si de telles pattes existent.

Les extrémités de l'élément comportent deux trous 7, permettant l'accès au filetage, l'utilisation de vis (non représentées) permettant le réglage de l'ensemble d'éléments.

Dans le cas dtun réalisation en béton précon- traint, on pourra incorporer une plaque avec filetage lors de la fabrication. Les extrémités, 1, 2 devront avoir une épaisseur minimum d'environ 2,5 cm.

La figure 2 représente le type complémentaire de l'élément de la figure lê C'est encore un élément de finition, donc également destiné à la couche supérieure d'un ensemble d5éléments. Les extrémités de la partie horizontale du "L" sont aussi du type entaille à mi-bois.

cet élément a les mêmes caractéristiques, sauf que ses extrémités comportent un trou 7 sans filetage, permettant simplement le passage de la vis de réglage. On pourra prévoir plusieurs longueurs de vis, selon l'amplitude du réglage et pour éviter de dépasser le niveau du haut de la partie verticale de l'élément. L'élément ici représenté ne comprend qu'un orifice de coulée.

Les figures 3 et 4 représentent des éléments de rehausse simple. Leur structure est analogue i celle des éléments des figures 1 et 2, mais leur section n'est pas en "L". Ia s'agit de simples barres. leurs orifices coincident avec ceux des éléments ci-dessus.

La figure 5 représente en perspective un ensemble d'éléments selon la présente invention en 2 couches (I) et (II), comportant chacune 4 éléments. Chaque couche est disposée environ parallèlement au revêtement. La couche supérieure (I) est la couche de finition et elle reçoit le cadre (non représenté). La couche inférieure (Il), de rehausse simple, se trouve du côté du support.

L'ensemble des éléments ménagent en leur centre un passage prolongeant la chambre inférieure 8, par exemple une bouche d'égout. On distingue 2 types d'éléments de finition coopérant par leur extrémité (du genre entaille & mi -bois)
Ces éléments sont caractérisés par une section transversale (! ltexception de l'extrémité d'un des 2 types) en ménageant ainsi une cuvette destinée & recevoir le cadre.

On nta pas sur ce schéma d1ensemble représenté les éléments de réglage. Ceux-ci peuvent étire situés sur les éléments supérieurs et/ou inférieurs. La couche de finition est écartée en 9 d'environ 2 cm de la couche de rehausse simple grace & ces éléments de réglage (et éventuellement un ou plusieurs éléments fixes). La couche de rehausse simple est elle même écartée en 10 d'environ 2 cm du support. Les orifices n'ont pas non plus été représentés.

La figure 6 représente un élément monolithique en coupe et en perspective selon l'invention. t1 élément est d'une pièce, a une section en forme de "L", comporte plusieurs orifices 4 ; deux sont ici représentés. Pour régler 14cartement 10 entre l'élément et le support 11, on a prévu ici une vis 12 de réglage s'insérant dans le trou 7 fileté. Lors de la coulée du liant, le cadre 13, destiné lui mime ê recevoir un obturateur 14 que l'on peut ôter par exemple en insérant en 15 un crochet, est mis en place. On ne voit donc plus au niveau supérieur qu'une partie de l'orifice 4, par laquelle il est possible de couler le liant.

Lesdits orifices 4 ont été prévus à l'origine de manière à correspondre aux emplacements des pattes 16 de scellement du cadre (13). tors de la coulée le liant s'insère en 9-10 entre le support et l'élément, ainsi qu'en 17 entre le support 11, l'élément et le nouvel enrobé 18. Le liant ne peut pas couler dans la chambre inférieure 8, en raison du coffrage qui aura été installé préalablement à la coulée.

Claims (7)

REVENDICATIONS 1. Procédé de rehausse pour cadres se trouvant au niveau du revêtement d'un sol, caractérisé en ce que l'on place sur le support (11) sain au moins un élément préfabriqué destiné & recevoir ledit cadre (13), ledit élément étant écarté (9-10) d'environ 1 6 3 cm dudit support et étant percé d'au moins un orifice (4) permettant la coulée de part en part de l'élément d'un liant dont la fluidité est telle que la coule permette au liant de s'insérer substantiellement entre l'élément et le support (11) et d'enrober l'ensemble.
1. 2. Procédé selon la revendication 1, carac térisé en ce que l'élément préfabriqué comporte un organe (12) réglable de mise à niveau et d'écartement vis-à-vis du support.
2. 3. Procédé selon la revendication I ou 2 caractérisé en ce que l'on met en oeuvre un élément préfabriqué unique.

   4, Procédé selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce que l'on met en oeuvre plusieurs éléments préfabriqués

   5. Procédé selon la revendication 3 ou 4 caractErisd en ce que l'on met en oeuvre au moins deux couches d'éléments préfabriqués & savoir une couche (I) supérieure de finition et au moins une couche (II) de rehausse simple.
3. 6. Procédé selon l'une des revendications 1 à 5 , caractérisé en ce que l'élément préfabriqué supérieur a une section sensiblement en forme de "t',, formant une cuvette pour recevoir le cadre (13).
4. 7. Elément préfabriqué monolithique pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé en ce qu'il a une section en forme de "L", une forme correspondant à celle du cadre (13) & recevoir, est pourvu d'un évidement central correspondant & la chambre (8) du regard et en ce qu'il comporte un orifice (4) permettant la coulée par le haut d'un liant, la taille et la forme de l'orifice permettant en une coulée continue d'enrober l'ensemble support(l1 > -élément préfabriqué.

   8. Kit d'éléments préfabriqués pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications i à 6, caractérisé en ce qu'il comprend deux types d'éléments coopérant entre eux qui, assemblais, forment un élément analogue & celui de la revendication 7.
5. 9. Eléments selon la revendication 7 ou 8, caractérisés en ce qu'ils comportent au moins un élément (12) réglable de mise à niveau et d'écartement (10) vis-à- vis du support (11).
6. 10. Eléments selon la revendication 8 ou 9, caractérisés en ce que la liaison entre les éléments de types différents est du genre à entailles d'extrémité 8 mis bois en croix.
7. 11. Eléments supplémentaires de rehausse pour les éléments selon l'une des revendication 7 à 10, caractérisés en ce qu'ils ont une structure analogue à lsexception de leur section, qui est sensiblement rectangulaire.