FR2647836A1 - Escalier a marches decalees - Google Patents

Abstract

Type de répartition des marches pour réduire l'encombrement d'un escalier. Cet escalier permet d'accéder à un étage supérieur ou inférieur avec des marches de même hauteur et de même profondeur qu'un escalier droit classique tout en réduisant de moitié l'encombrement dû à l'escalier. Son originalité tient au fait que ses marches sont affectées à l'usage exclusif du pied gauche ou du pied droit; les premières ayant leurs bords d'attaque à hauteur du milieu des secondes et vice-versa, il en résulte que chaque marche a une hauteur effective équivalente au double de la hauteur d'une marche normale, mais l'usager n'en est pas indisposé puisque, sur un escalier normal, chacun de ses pieds aurait tout de même gravi les échelons deux à deux. Le dispositif selon l'invention est particulièrement destiné à la pose d'escaliers dans des locaux n'ayant pas été prévus à cet effet, et particulièrement s'ils sont exigus. Ce type d'escalier pourrait être fabriqué de façon standard ou sur mesures.

Description

La présente invention concerne un type d'escalier permettant d'atteindre un étage supèrieur, tout en occupant un mirimum de surface au sol
Un escalier classique est composé de marches d'enviren vingt centimètres de haut, et trente centimètres de profondeur . Ce qui fait que, avec une largeur, par exemple de cinquante centimètres, pour atteindre une hauteur de deux mètres quarante, cet escalier utiliserait une Frofondeur totale de trois mètres trente,(onze fois trente centimètres), il occuperait donc une surface au sol de un mètre soixante-quinze au carrè, (1,75 m@)
La figure 1 illustre cet exemple
Un escalier en colimaçon, réalisant la même performance, occuperait, lui, un cercle oe un mètre de diamètre, soit, une surface au sol de zéro mètre soixante-dix-huit au carrè, (0,78 m@)
la figure 2 illustre cet exemple
On connait également "l'échelle de meunier", un escalier qui mène rapidement, doc avec une forte pente, à l'étage supèrieur, ceci, avec une relative aisance, car la pointe du pied peut pénètrer dans le "creux" qui est pratiqué sous la marche supèrieure ; mais qui se descend difficilement, voire, dangereusement, car le talon ne peut pas, lui, s'introduire dans le creux en question . Néanmoins, ce type d'escalier, toujours pour les mêmes performances, occuperait, au mieux, une longueur de un mètre quinze, soit une surface au sol ce zéro mètre quatre-vingt-huit au carrè (0,86 m@), surface proche de celle occupée par le colimaçon, mais de forme rectangulaire
La figure 3 illustre cet exemple
Ces trois types d'escaliers ont cependant un point commun :
C'est que l'on ne pose jamais les deux pieds sur la même marche ......

De cette constatation résulte l'invention ici concernée
Sa principale caractèristique rèside dans le fait que le pied gauche et le pied droit ne pratiquent pas les mêmes arches :celles-ci peuvent donc etre ravancèes les unes par rapport aux autres, au mieux, de la mcitiè de leur profondeur normale, ce qui accroit la pente de l'es- calier sans modifier ni la hauteur, ni la profondeur de chaque marche, et a pour résultat de donner un escalier ayant la même pente qu'une "échelle de meunier", as aussi aisè à descendre qu'à non e
La figure 4 illustre cet exemple
Une observation impromptue d'individuas dits "gaucher" ou "droitier", conduit à constater que les un prèfèrent attaquer un escalier du pied gauche et se tenir à la rampe de gauche, tandis que les autres font l'in vers . D'où l'ption suivante qui consiste à concevoir un escalier à trois rangs se marches décalèes comme décrit précedemment, ce qui réaligne, évidemment. les marches se trouvant à l'extèrieur
Si l'on élimine maintenant l'hypothèse d'un escalier n'ayant que cinquante centimètres de large, on peut envisager la possibilitè de croiser quelqu'un qui descend l'escalier alors qu'on le monte et qui plus est, la possibilitè qu'un "gaucher" croise dans l'escalier un "droitier"; ce qui nous amène à envisager un nombre supérieur de marches gauches et de marches droites; ce nombre ne pouvant être limitè que par le fai cu'au dèpart nous étions sensès être limitès par la surface à occu per
La figure 5 illustre cet exemple

Claims (5)

1. férentes rangèes de marches sont décalèes en profondeur et en hauteur.

   caractérisè en ce qu'il comporte au moins deux rangèes de marches dècalèes
2. 2) Dispositif, selon la revendication 1, c@@@ctèrisé en ce que les dif

   tout en disposant de marches de profondeur et de hauteur normales ,

   à pied, selon une pente plus forte qu'avec un escalier classique,

   REVENDICATIONS 1) Dispositif permettant d'accèder à un étage supèrieur ou infèrieur,
3. 3) Dispositif selon la revendication 2 , caractèrisé en ce que ces rangées

   de marches sont décalèes d'au plus, la moitiè de la profondeur d'une marche
4. 4) Dispositif selon les revendications 2 et 3 , caractèrisé en ce que

   les marches d'une même rangée ont, les unes par rapport aux autres,

   une hauteur effective @equivalente a deux fois la hauteur d'une marche

   d'escalier classique
5. 5) Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que cet escalier

   s'il a au moins trois rangèes de marches, peut être pratiquè aussi bien

   par un individu "gaucher" que par un individu "droitier"