FR2637000A1

FR2637000A1 - Dispositif d'aplomb d'angles et d'alignements

Info

Publication number: FR2637000A1
Application number: FR8812687A
Authority: FR
Inventors: Jean Darfeuille
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1987-01-28
Filing date: 1988-09-28
Publication date: 1990-03-30

Abstract

Le dispositif selon l'invention, particulièrement adapté pour obtenir simultanément les aplombs, les alignements et l'intervalle entre joints, des maçonneries III d'une bâtisse à construire, partant des fondations II, ou des soubassements V; se caractérise par un ensemble rectiligne à sa phase fermée, rectiligne et oblique à sa phase déployée, formant trépied. Composé d'éléments tubulaires A, B, C, D, E, F, dont les opérations de mise en place et de réglage, sont favorisées, grâce aux platines d'assise 1 et 7, à l'ensemble rotulé 2, 3 et 4, aux éléments coulissants femelles B et mâles C, pivotant sur des vis traversantes 23, munies de poignée de prise, permet le serrage ou le desserrage des bagues 20, unissant les éléments femelles B à l'élément principal A, sur lequel ces bagues 20 coulissent; le tout permettant le réglage en longueur, facilite l'obtention de l'aplomb optimum, suivant la ligne de foi 30, grâce à l'élément amovible F porte-niveaux à bulle 33, coulissant sur les éléments A et D, et pourvus de tous les équipements existants sur la bague 16 porte-cordeau IV.

Description

Dispositif d'aplomb d'angles et aliqnements :
La présente invention concerne un dispositif permettant d'assurer instantanément les aplombs d'angles ainsi que les alignements des murs de maçonneries et autres, au départ des fondations et durant leur édification.

Traditionnellement, pour la mise en oeuvre d'un mur en maçonnerie réalisé de manière conventionnelle,par exemple, à partir de briques ou de parpaings, le personnel de chantier commence à mettre en oeuvre les murs constituant les angles d'une bâtisse en construction ; ceux-ci devant servir de référence pour les différents alignements auxquels toute la structure maçonnée sera contrainte. Et pour ce faire, les moyens actuellement utilisés sont le fil à plomS, le bastaing ou la volige, accessoires employés depuis toujours, longs à mettre en place, et rendant un service aléatoire, quant au fil à plomb, il demeure encore le seul outil valable, mais son emploi répétitif durant le montage des maçonneries, occasionne de nombreuses ruptures dans les cadences de mise en oeuvre, ayant pour conséquence un surcroît sensible du temps de main d'oeuvre.

La présente invention se propose de remédier à ces inconvénients, pour y parvenir , elle a pour objet un dispositif permettant désormais d'éviter toutes pertes de temps, de par sa rapidité de mise en place, sa rationalité et pouvant parfaitement répondre aux critères de précisions qu'exige la mise en oeuvre de toutes maçonneries au départ des fondations.

La dite invention se caractérise en un système tubulaire rectiligne composé de plusieurs éléments A. B. C. D. E. et
F., comportant chacun différents équipements facilitant la mise en place et la fixation rapide du présent dispositif,en prenant pour assise les fondations d'une bâtisse en construction, gracie à des chevillettes métalliques de maintien, utilisées couramment dans le bâtiment; ou des bastaings (bois), fixés horizontalement à l'aide des dites chevillettes, au droit de chacun des angles de la dite bâtisse en construction, et ce, dans le cas ou les premiers rangs de maçonneries périphériques sont déjà réalisés, par exemple, cas d'un vide sanitaire ou autres impératifs.

La mise en oeuvre des maçonneries peut désormais s'effectuer d'une façon sure quant à la précision et rapide de par l'installation du dispositif conforme à l'invention, ce qui est facilement réalisable, puisqu'il aura suffit de régler l'aplomb verticalement de l'élément tubulaire rectiligne A, après avoir ajusté à longueur souhaitée pour cet effet chacun des éléments tubulaires rectilignes B et C, ces derniers coulissants respectivement l'un dans l'autre, afin d'adapter les futurs angles de murs à l'aplomb et à l'alignement définis par le dispositif.

Le mode d'exécution de la présente invention décrit cidessus à titre d'exemple, est nullement limitatif en référence aux dessins annexés dans lesquels :
Sur la planche I/6, la figure I est une vue schématique en perspective montrant le dispositif replié et verrouillé à sa base, offrant un ensemble monolithique avant ou après son utilisation.

Sur les planches 2/6 et 3/6, les figures 2 et 3,sont des vues schématiques en perspective, montrant le dispositif déployé, mis en place, et fixé à l'aide de clous à béton ou de chevillettes métalliques, pour utilisation, sur les fondations Il de la bâtisse en construction, côtés extra-muros, d'une part et intra-muros d'autre part, soit en angle rentrant dans le cas d'un bâtiment en forme de L, étant donné que le présent dispositif offre la possibilité de se déployer dans les deux sens, afin de couvrir tous les cas d'espèces d'angles qui peuvent se présenter dans une construction.

Sur les planches -/6 et 5/6, les figures " et 5, sont des vues schématiques en perspective, montrant le dispositif déployé, mis en place et fixé pour utilisation, également cotés extra-muros et intra-muros, sur des tronçons de bastaings (bois)
VII maintenus sur les maçonneries de soubassements V, déjà réalisés,à laide de chevillettes métalliques VIII, dans le cas d'un vide sanitaire IX, ou autres impératifs ; chacune des platines d'assise I et 7 du présent dispositif, est neutralisée par des clous enfoncés dans les dits tronçons de bastaings VII à travers des trous 6 dont les dites platines I et 7 sont perforées.

Sur la planche 6/6, la figure 6 est une vue détaillée, représentant l'éclaté du dispositif, avec la numérotation de t à 33, de chacun de ses composants, ainsi que la dénomination par lettres alphabétiques allant de A à F, de ses principaux éléments constituant la structure principale du dispositif conforme à l'invention.

La matière dont est constitué le présent dispositif, est à priori, métallique, mais pourrait éventuellement être en tout autre matériau suffisamment résistant, de sections appropriées, dont les profilés constituant la structure principale du dispositif dont il est question, peuvent êtres autres que tubulaires.

Les deux murs III, constituant l'un des angles de la future bâtisse à construire, reposant sur les fondations II, que l'on peut voir sur les planches 2/6 et 3/6, en figures 2 et 3, ainsi que les deux autres murs III constituant également l'un des angles d'une bâtisse à construire, reposant sur des soubassements V, par l'intermédiaire d'un plancher VI, dans le cas d'un vide sanitaire IX ou autres impératifs ;-que l'on peut voir sur les planches z/6 et 5/6, en figures / et 5; ces dits murs III, sont réalisés de manière conventionnelle, par exemple, à partir de briques, parpaings, pierres ou autres, et dans ce cas, comme indiqué sur les dessins, en figures2, 3, A et 5, planches 2/6, 3/6, /6 et 5/6, le dispositif a été mis en place avant le commencement de la mise er oeuvre de ces dits murs III, afin de déterminer l'aplomb d'angle grâce à la ligne de foi 30 des éléments tubulaires rectilignes A et D, ainsi sue les alignements des futurs nurs de la bâtisse à construire, à l'aide des cordeaux IV, attachés aux oeillets I8 de la bague coulissante I6 ou du fourreau coulissant F, porte niveaux à bulle 33, suivant l'option choisie par l'utilisateur; la dite bague coulissante 16 ou le dit fourreau F, sont immobilisés à la demande sur l'élé- ment tubulaire rectiligne A ou D, selon la hauteur des rangs de maçonneries III déjà effectués. La dite bague coulissante I6 ou le dit fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, sont équipés chacun d'eux,de vis pointeau I2 permettant leur neutralisation par serrage de ces dernières, sur les dits éléments tubulaires rectilignes A ou D.

Il est à préciser qu'à chaque angle de murs III, d'un ouvrage en construction, un dispositif conforme à l'invention, doit être mis en place, soit dans la majeure partie des cas, une future battisse à construire, comprend quatre anales minimum, donc quatre dispositifs conformes à l'invention seront installés, reliés entre eux par les dits cordeaux IV, définissant les alignements des futures maçonneries, au moment du montage de chacun des rangs de celles-ci.

On remarquera également que le dispositif est solidement maintenu en sa base, grâce à des chevillettes métalliques
VIII, telles celles figurant sur les planches 4/6 et 5/6 en figures 4 et 5: enfoncées profondément jusqu'à la tête formant coin, dans les fondations II, éventuellement1 on pourra intercaler des petites cales de bois favorisant ainsi le serrage; le présent dispositif peut être aussi fixé et ancré en sa base au moyen de clous à béton enfoncés à travers les trous 6, dont les platines d'assise I et 7 sont percées; ces dits clous à béton étant enfoncés soit dans les fondations II, soit dans les tron çons de bastaings (bois) VII, selon les différents cas que l'on peut rencontrer.

La parfaite verticalité du dispositif conforme à l'in- vention est assurée par la ligne de foi 30, des éléments tubulaires rectilignes A et D, après réglage à longueur des deux jam- bes de maintien mises en position oblique, constituees chacune par deux éléments tubulaires rectilignes B et C, coulissants l'un dans l'autre, sachant que l'élément B est femelle et l'élément C est malte, et leur ensemble pouvant être neutralisé par une-vis pbintçeu I2, après avoir déterminé la longueur souhaitée.Ces dites jambes de maintien sont reliées en leurs têtes ou leurs extrémités supérieures, soit celles de chacun des éléments tubulaires rectilignes femelles B, aux éléments tubulaires rectilignes A ou D, par des bagues coulissantes 20,sur les dits éléments
A ou D, stabilisées sur ces derniers, grâce au serrage des vis pointeau 23, munies de poignées de prise, après l'obtention du réglage parfait et définitif de l'ensemble du présent dispositif.

Dans la généralité des cas, les dites bagues coulissantes 20, doivent être neutralisées au faîtage de l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, comme indiqué sur les planches 2/6, 3/6, /6 et 5/6 en figures 2, 3, z et 5, afin de bénéficier du maximum de hauteur libre pour le coulissement de la bague I6 porte cordeau IV ou du fourreau F porte niveaux à bulle 33 et également porte cordeau IV ; sur les éléments tubulaires rectilignes verticaux A et D.

Suivant le choix de l'utilisateur, la verticalité op
timum de l'ensemble éléments A et D s'obtiendra soit à l'aide du
fil à plomb traditionnel ou du niveau à maçon, en prenant pour
référence la ligne de foi 30. Ou alors , soit à l'aide du four reau coulissant F, porte niveaux à bulle 33, collés sur ce dernier, amovible, s'adaptant par coulissement sur les dits éléments tubulaires rectilignes A et D, assurant ainsi à ces derniers,une verticalité infaillible, qui se vérifie en permanence au rur et à mesure du montage des maçonneries III, puisque le dit fourreau F fait office d'attache cordeau IV, étant équipé d'un oeillet 18 et de vis pointeau I2, offrant ainsi les mêmes fonctions que la bague coulissante I6.

Par ailleurs, ces éléments fourreau F ou bague I6 possèdent un équipement particulier consistant en un ensemble tube 26 et tige 27 légèrement recourbée en sa partie supérieure et pliée à 90' en sa partie inférieure et se terminant en forme de pointe, le dit tube 25 soudé sur l'une des arêtes du fourreau coulissant F ou de la bague coulissante 16, est perforé d'un trou 26 au droit duquel est soudé une rondelle ou écrou fileté I5 destiné à recevoir une vis pointeau I2 prévue pour le serrage ou le desserrage de cette dite tige 27, coulissant et pivotant sur elle-meme, dans le dit tube 26.

Cet écuipement décrit ci-dessus permet d'obtenir si multanément, l'intervalle régulier entre deux joints horizontaux des maçonneries III : à savoir, à partir de 1 'arête supérieure du rang de maçonneries III déjà réalisé et l'arête supérieure du futur rang de maçonneries III à mettre en oeuvre.En effet, après avoir réglé la tige 27 à la hauteur désirée par rapport à l'oeil- let 16, accroche cordeau IV, en s'étant basé comme référence sur le premier rang de maçonneries III déjà exécuté, et en ayant pris soin d'orienter la pointe ou curseur de la partie inférieure recourbée à 90", de la dite tige 27, de manière à venir effleurer l'arrête supérieure du rang de maçonneries III existant, une fois ceci obtenu,on serrera la tige 27 à l'aide de la vis pointeau I2, ce qui donnera automatiquement le positionnement exact de l'oeillet I8 accroche cordeau IV, ce dernier se trouvant ainsi exactement à l'alignement prévu pour le montage du nouveau rang de maçonneries III à mettre en oeuvre, et il en sera de mê- me pour chacun des nouveaux rangs de maçonneries III à monter.

Conformément à l'invention, le dispositif comprend plusieurs éléments tubulaires rectilignes A, 2, C, D, E et F, équipés chacun de divers accessoires décrits ci-après.

L'élément tubulaire rectiligne A : comprend plusieurs équipements, tels : une platine d'assise de base T, perforée de trous 6, destinés à recevoir les clous à béton, de maintien de la dite platine d'assise de base t. En sa partie inférieure figurent des trous I3, et environ aux 2/3 de sa hauteur figure un trou 14, destinés à recueillir d'une part, soit les dits trous I3, les crochets I0, soudés chacun, en partie inférieure, sur chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C constituant une par- tie des jambages du présent dispositif conforme à l'invention,et d'autre part, en ce qui concerne le trou I4, ce dernier recevra le crochet 19, soudé sur la bague coulissante I6, celle-ci spécifiquement prévue pour s'adapter sur l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, dans le cas où l'utilisateur n'opte pas pour le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, ce dernier étant également pourvu d'un crochet I9 destiné à s introduire dans un trou 31 existant à mi-hauteur sur le dit élément tubulaire rectiligne D ou réhausse ; ce qui dans ce cas, élimine la bague I6, cette dernière n'offrant plus d'intérêt, étant remplace par le dit fourreau F, bien entendu, suivant le choix de 1 utilisateur, puisque ce dernier bénéficie de ces deux possibilités.Rappelons ici que la platine d'assise de base T, comprend également un crochet 5 ou téton d'accrochage soudé verticalement sur la dite platine d'assise I, ce dit crochet ou téton 5 est prévu pour retenir l'élément tubulaire rectiligne E ou manchon faisant partie intégrante de l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse. Tous ces différents équipements, à savoir : trous
I3, I4 et 31, téton d'accrochage 5, crochets IO et I9, ont pour rôle principal , d'assurer le verrouillage de l'ensemble du dispositif, lors du repliage de celui-ci après son utilisation, tel qu'il se présente en figure I sur la planche I/6.

Un ensemble rotulé 2, 3 et 4, assurant la liaison du dit élément à à la platine d'assise de base I, donne la faculté au présent élément tubulaire rectiligne A, de pouvoir s'articuler en tous sens, facilitant ainsi le réglage de l'aplomb de verticalité, défini par sa ligne de foi 30.

Une bague coulissante I6, possédant un oeillet I8 d'accrochage cordeau IV, ainsi qu'une vis pointeau I2 se vissant ou se dévissant à la demande dans une rondelle ou écrou fileté I5, soudé au droit d'un trou I7, prévu pour permettre le passage de l'ensemble de la dite vis pointeau I2, favorisant le blocage sur les éléments tubulaires rectilignes A et D. Sur l'une des arêtes de cette bague coulissante I6, est soudé verticalement, un tube 26 percé d'un trou 28 au droit duquel est soudé une rondelle ou écrou fileté 15 destiné à recevoir une seconde vis pointeau I2, offrant la possibilité de bloquer la tige coulissante et pivotante 27 sur elle-même, dans ce dit tube 26.La particularité de la forme de cette tige 27, à savoir, légèrement recourbée à sa partie supérieure, et pliée à 90 en se terminant en pointe à Sa partie inférieure ; a un but bien précis, d'une part, éviter qu' elle sorte du tube 26 et d'autre part, qu'elle fasse office de curseur au moment du mesurage des intervalles des joints horizontaux des rangs de maçonneries III.

L'élément tubulaire rectiligne F ou fourreau coulissant
F porte niveaux à bulle 33 : indépendant et amovible, spécifiquement prévu pour déterminer infailliblement et simultanément, et ce, dans tous les sens, l'aplomb de verticalité du dispositif conforme à l'invention, lors de sa mise en place;remplaçant la bague coulissante I6 porte cordeau IV, dans le cas où le choix de l'utilisateur s'est porté sur le présent fourreau coulissant F, ce dernier étant pourvu de divers équipements semblables en partie, o ceux figurant sur la bague coulissante I6.Tels : que deux vis pointeau I2 se vissant ou se dévissant à la demande dans des rondelles ou écrous filetés 15, soudés chacun sur deux faces contiguës, au droit d'un trou I7 prévu sur chacune des dites faces, permettant le passage des dites vis pointeau I2, favorisant ainsi le blocage dans les deux sens, de l'ensemible du présent fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, sur les éléments tubulaires rectilignes A et D.Ce double serrage permet au dit fourreau F, à chaque manoeuvre, d'épouser parfaitement la verticalité de l'ensemble éléments ,4 et D, définie et vérifiée avec précision à tous moments, gracie aux deux niveaux à bulle 33, collés chacun sur les deux mêmes faces contigues, sur lesquelles se trouvent les vis pointeau I2 et au dessus de ces dernières ; les dits niveaux à bulle 33 sont protégés chacun par une équerre 32 soudée en sa partie supérieure.

Sur l'une des arêtes du présent fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, est fixé par soudure, le même appareillage figurant sur la bague coulissante I6 support cordeau IV, à savoir pour mémoire, un ensemble tube 26 perforé d'un trou 98, au droit duquel est soudé une rondelle ou écrou fileté I5 dans le quel s'engage une vis pointeau I2, neutralisant la tige 27, coulissante et pivotante dans le dit tube 26, facilitant ainsi les opérations de mesure des intervalles entre les joints horizontaux des rangs de maçonneries III.

D'autre part, sur l'autre arête du dit fourreau F, soit celle opposée à celle sur laquelle se trouve l'appareillage décrit ci-dessus, existance d'un oeillet I8 support cordeau IV, et sur l'une des faces restée libre, incliné obliquement vers le bas fixation par soudure d'un crochet 19 destiné à pénètrer dans le trou 31 figurant à mi-hauteur sur l'élément tubulaire rectiligne
D ou réhausse, permettant à celle-ci d'être fixée sur l'ensemble du dispositif conforme à l'invention, lorsque ce dernier se trouve eu stade replié et verrouillé avant ou après son utilisation.

Les éléments tubulaires rectilignes femelles B; devant recevoir par coulissement, les éléments tubulaires rectilignes mules C, constituent la partie supérieure des jambages, dont le positionnement est toujours oblique, lors de l'utilisation du dispositif conforme à l'invention, Ils possèdent chacun à leur ex trinité supérieure une bague coulissante 20, percée d'un trou 25 au droit duquel est soudé une rondelle ou écrou fileté 21, devant recevoir une vis pointeau traversante 23, formant axe de rotation, munie d'une poignée de prise en forme de U favorisant les opérations de serrage ou de désserrage ; l'extrémité supérieure de chacun des présents éléments tubulaires rectilignes femelles B, est perforée de part en part d'un trou 21 de manière à permettre à la vis pointeau 23 de traverser l'ensemble, il est prévu également une seconde rondelle ou écrou fileté 21, soudé au droit du trou 21, coté extérieur de l'extrémité supérieure du dit élément femelle B, afin que ce dernier soit pris en sandwich et serré fortement, neutralisant ainsi définitivement la dite bague coulissante 20 sur l'élément tubulaire rectiligne D, ou réhausse, et au faîtage de cette dernière ; cette opération s'effectuant au moment de la mise en place, du réglage de l'aplomb de verticalité et de la fixation de l'ensemble du présent díspositif, toutes ces manoeuvres s'exécutant simultanément.

A l'extrémité inférieure des dits éléments tubulaires rectilignes femelles , figure sur chacun d'eux un trou 22 au droit duquel est soudé une autre rondelle ou écrou fileté I5, dans lequel une autre vis pointeau I2 doit se visser, afin d'as surer le blocage de l'élément tubulaire rectiligne mâle C, lorsque tous les réglages et aplomb de verticalité ainsi que toutes les fixations au sol et ailleurs, de l'ensemble du dispositif conforme à l'invention, sont obtenus.

Les éléments tubulaires rectiliqnes mâles C : pénétrant chacun par coulissement dans chacun des éléments tubulaires rectilignes femelles B, constituent la partie inférieure des jambages du dispositif conforme à l'invention. Ces dits éléments mâles C sont respectivement équipés en leur base, d'un ensemble platine d'assise 7 pliée à l'équerre et perforée de trous 6 des tinés à recevoir les clous à béton de maintien, dans le cas ou les chevillettes métalliques VIII,également de maintien, ne sont pas employées.Cette dite platine d'assise 7 en forme de L,percée d'un trou 8, est solidarisée à la base de chacun des dits éléments tubulaires rectilignes mêles C, également percés de part en part d'un trou tt, par un axe de rotation 9 traversant les dits trous 8 et tS, servant ainsi de pivot au présent ensemble platine d'assise 7, de manière à ce que ce dit ensemble obtienne en toute liberté, l'adhérence optimum sur les fondations II, ou sur les tronçons de bastaings (bois) VII, suivant les différents cas qui s'imposent lors de l'installation de l'appareil conforme à l'invention.

on loin de cet ensemble platine d'assise 7, toujours vers l'extrémité inférieure dé chacun des présents éléments males C, existence d'un crochet I0, assurant le verrouillage de 1 ensemble du dispositif, avant ou après son utilisation, grâce GJx trous I3 situés vers la base de l'élément tubulaire rectiligne principal A, comme indiqué plus haut dans la description de ce dernier,
Les éléments tubulaires rectilignes D et E : forment un ensemble monolithique consistant en une réhausse, soit l'élé- ment tubulaire rectiligne D faisant fonction de femelle, dans laquelle la partie mâle, soit l'élément tubulaire rectiligne E, est enfilé et maintenu définitivement par points de soudure. Cette partie mâle E, est destinée à s'engager par coulissement dans la partie supérieure et à l'intérieur de celle-ci, de l'élément tubulaire rectiligne principal ,As, dont la ligne de foi 30 doit coincider automatiquement avec celle du présent élément D ou réhausse étant donné la similitude des profilés, assurant ainsi la parfaite continuité verticale de l'ensemble du dispositif conforme à l'invention.

Précisons ici que le nombre de réhausses, telle celle décrite ci-dessus, n'est pas limitatif, dans le cas où la bâtisse en construction dépasse la hauteur courante.

Dans l'hypothèse où l'utilisateur n'opte pas pour la solution du fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33,préférant rester sur un choix plus modeste, à savoir, celui de la bague coulissante I6, porte cordeau IV ; le présent élément tubulaire rectiligne D ou réhausse est équipé d'une bague coulissante 16, possèdant une rondelle ou écrou fileté I5 soudé au droit d'un trou I7 dont la dite bague I6 est percée, afin d'y recevoir une vis pointeau I2 perméttant le serrage ou le désserrage de cette bague coulissante I6 sur la dite réhausse D.

La présente bague coulissante I6 spécifiquement prévue pour s'adapter sur cet élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, est dotée d'un crochet I9 soudé obliquement vers le haut, sur celle-ci, ce dit crochet I9 étant prévu pour s'introduire, dans le trou IL existant sur l'une des faces de l'élément tubulaire principal r:, à peu près aux 2/3 de sa hauteur, de façon à maintenir cette dite réhausse constituée par ces présents éléments tubulaires rectilignes D et E,tous deux solidarisés par soudure sur le dispositif, lorsque celui-ci se trouve à sa phase verrouillée, après ou avant son emploi, comme décrit plus haut à la rubrique concernant l'élément A, et suivant la présentation du dispositif concorme à l'invention,sur la planche I/6 en figure I.

La dite bague coulissante I6 équipée du crochet I9, devra impérativement etre fixée au faîtage de l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, durant l'utilisation du dispositif, afin de ne pas gêner le positionnement définitif des bagues coulissantes 20, ces dernières devant occuper également la partie haute de la dite réhausse D. Pour ce faire, dans la présente solution, se référer aux planches 2/6 et 3/6 en figures 2 et 3.

Les planches 4/6 et 5/6, figures 4 et 5 présentent le dispositif conforme à l'invention avec la solution du fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, ce dernier ayant l'avantage de réunir et de remplir les fonctions de la bague coulissante I6 porte cordeau IV d'une part etdela bague coulissante I6 dotée du crochet 19 d'autre part, en conséquence de quoi ces dernières se trouvent systématiquement éliminées, et de ce fait, ce crochet I9 qui se trouve donc également sur le dit fourreau coulissant F, viendra s'introduire dans le trou 31 situé à mi-hauteur sur l'une des fa- ces du présent élément tubulaire rectiligne D.

Au faîtage du présent élément tubulaire rectiligne D, fixation d'un bouchon plastique 29 de protection, enfoncé à force, afin d'éviter l'introduction de tous corps étrangers, tels que ciment, plate, terre ou autres,durant l'utilisation du dispositif sur le chantier.

Processus de mise en place,de réglage et de fixation du dispositif d'aplomb d'anales et d'aliqnements, conforme à 1' invention : pour déterminer les aplombs de verticalité ainsi que les alignements des futures maçonneries d'une bâtisse à construire, on procède de la manière suivante
On présente à chacun des angles des fondations II ou des soubassements V déjà réalisés, un dispositif conforme à l'in vention,fermé et verrouillé par les crochets de verrouillage IO, soudés à 1E partie inférieure de chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C, ces crochets IO étant introduits dans les trous-I3 apparents à la base de l'élément tubulaire rectiligne principal ,t, avec la réhausse constituée par les éléments tubulaires rectilignes D et E, leur ensemble fixé sur le présent dispositif, à l'aide du crochet 5 ou téton d'amarrage faisant partie de la platine d'assise de base T, ce dit crochet 5 pénétrant verticalement dans l'élément tubulaire rectiligne E ou manchon de liaison ; et du crochet 19 soudé sur la bague coulissante I6, spécifique pour s'adapter par coulissement sur l'élément tubulaire rectiligne D, appelé réhOusse, dans le cas ou l'utilisateur n'a pas opté pour la solution du fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, ce dernier possédant également ce crochet I9, qui dans un cas comme dans l'autre, pénêtre obliquement d'une part, dans le trou IA existant à environ aux 2/3 de la hauteur de l'élément tubulaire rectiligne principal , solution bague coulissante 16, ou dans le trou 3I se trouvant à ni-hauteur sur 1' une des faces du dit élément D, d'autre part solution fourreau coulissant F.Pour plus de précisions , consulter les planches 1/6 et 6/6, en figures I et 6.

Ensuite on desserre les vis traversantes 23 munies de poignées de prise, d'une part, ces dites vis 23 ayant une fonc tion d'axe de rotation, chacune d'entre elles faisant respectivement partie des bagues coulissantes 20, et la ou les vis pointeau
I2, d'autre part, ces dernières fixant soit la bague coulissante I6 sur laquelle figure le crochet I9, sur l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, soit fixant le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33 sur lequel figure également le dit crochet I9, sur l'élément tubulaire rectiligne principal A, suivant l'un ou l'autre cas, l'ensemble tubulaire rectiligne D et E se trouve libéré, ce qui permet d'adapter ou d'introduire immédiatement le manchon E dans l'élément tubulaire rectiligne principal .t, et ce, par le faltage de ce dernier.

Ces différentes opérations préliminaires effectuées, on desserre simultanément les vis pointeau I2, chacune d'elles située à la partie inférieure de chacun des éléments tubulaires rectilignes femelles 2, dont la partie supérieure est reliée respectivement aux bagues coulissantes 20 par l'intermédiaire des vis traversantes de rotation 23, munies de poignées de prise.

Ces dites vis pointeau I2 ainsi desserrées, donnent la faculté à chacun des éléments tubulaires rectilignes mules C, de coulisser aisément à l'intérieur des dits éléments femelles 5, leur ensemble constituant les jambages du présent dispositif conforme à l'invention,
Désormais, le pivotement de ces dits jambages peut s' opérer librement par rotation sur les axes des dites vis traversantes 23, permettant d'orienter obliquement ces jambages ou éléments femelles B et mâles C, dens les deux sens, suivant les différentes natures d'angles qui se présentent lors de la mise en oeuvre d'un bâtiment, de façon à ce que ces derniers forment arcs-boutants par rapport à l'ensemble éléments tubulaires rectilignes principal A et D, considéré comme point central, donnant ainsi à l'ensemble du dispositif,l'aspect d'un trépied, en ayant bien entendu, au préalable, neutralisé à la fois les bagues coulissantes 20 au maximum le plus près possible du fartage de l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, à l'aide des vis traversantes 23 munies de poignées de prise, soit juste au dessous de la bague coulissante I6, lorsque celle-ci est utilisée ; et réglé le plus possible à longueur souhaitée les deux jambages ou éléments tubulaires rectilignes femelles B et mâle C, grâce au concours des vis pointeau I2 que l'on aura serrées alors en premier lieu, et ce, au moment de la présentation de l'ensemble du dispositif conforme à l'invention, soit sur les fondations II, soit sur les tronçons de bastaings VII, tout cela maintenu par des clous à béton et des chevillettes métalliques VIII, suivant les différents cas qui s'imposent.

Avant de fixer définitivement l'ensemble du dispositif par l'intermédiaire des platines d'assise I située d'une part, à la base de l'élément tubulaire rectiligne principal A, et 7 situées respectivement à la base de chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C, d'autre part; sur les fondations Il ou les tronçons de bastaings VII, on positionnera dans tous les sens, le plus verticalement possible, l'ensemble principal constitué par les éléments tubulaires rectilignes A et D, en faisant plus ou noins coulisser chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C dans chacun des éléments tubulaires rectilignes femelles
B.Ceci obtenu, on serrera chacune des vis pointeau I2, afin de neutraliser provisoirement les ensembles ou jambages représentes

par les dits éléments femelles B etYC, et dans le meme temps, on filera définitivement, les platines d'assise de base t et 7, sur les fondations II ou les soubassements V, toujours par l'interme- diaire de tronçons de bastaings VII, dans ce deuxième cas,
Dés cue toutes ces manutentions et manoeuvres de réglages préliminaires décrits ci-dessus sont effectués on procède alors à la verticalité optimum de l'ensemble éléments principaux
A et D, en prenant pour référence la ligne de foi 30.Pour ce faire, suivant le choix de l'utilisateur, deux manières s'impo- sent, å savoir, la première, soit d'utiliser le fil à plomb traditionnel, ou de se servir du niveau à maçon que l'on applique verticalement au droit de la ligne de foi 30 ; la seconde, de loin la plus rationnelle, étant d'utiliser le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, que l'on règle et que l'on fixe à hauteur souhaitée par l'utilisateur, sur l'élément tubulaire rectiligne principal sE, par coulissement et serrage des vis pointeau I2.Ces différentes opérations se déroulent dans l'un ou 1 autre ces, en faisant coulisser respectivement plus ou moins chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C dans les éléments tubulaires rectilignes femelles B, déjà précisé précédennent,jus- qu'à obtention parfaite de la verticalité définitive de l'ensem- ble des éléments tubulaires rectilignes principau A et D, repré- sentée par la ligne de foi 30 acquise, grâce, soit au fil à plomb traditionnel, soit au niveau à maçon, ou soit aux niveaux à bulle 33 figurant sur le fourreau coulissant F.Dès lors on pourra procéder au serrage définitif des vis pointeau I2, reliant et fixant les dits éléments femelles B et mâles C.

Précisons ici que l'élément tubulaire rectiligne prin- cipal A est facilement orientable durant les réglages généraux du présent dispositif conforme à l'invention ; du fait de son équipement rotulé existant à sa base, constitué par les accessoires 2, 3 et A, favorisant ainsi tous les mouvements de celuici, qui sera neutralisé par le serrage de l'ensemble des vis traversantes 23 munies de poignées, immobilisant les bagues coulissantes 20, eu droit du faîtage del'élément tubulaire rectiligne
D ou réhausse ; et le serrage des vis pointeaux 12 paralisant les éléments femelles B et mâles C, régidifiant ainsi l'ensemble du dispositif, après optention de tous les réglages optima.Signalons que ce principe de bagues coulissantes 20 sur les éléments tubulaires rectilignes A et D, associé au principe des éléments tubulaires rectilignes râles C, coulissant dans les éléments tubulaires rectilignes femelles B, apporte les avantages certains d'une très grande souplesse de réglage.

Désormais, au moment de l'édification du premier rang de maçonneries III, de la bâtisse à construire, on mettra en tension les cordeaux IV d'alignement, que l'on aura pris soin d'attacher au préalable sur les oeillets I8, existants soit sur la bague coulissante I6, soit sur le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, toujours suivant l'option choisie par l'utilisateur, l'une ou l'autre se trouvant toujours sur l'élément tubulaire rectiligne principal A. Ainsi l'alignement du premier rang de maçonneries III sera assuré.

Dans le processus de la mise en oeuvre des maçonneries
III de l'ouvrage à édifier, il faut savoir que chacun des angles de ces dites maçonneries III doit tangenter la ligne de foi 30 assurant en permanence la verticalité des éléments tubulaires rectilignes principaux A et D. Tel le présent dispositif conforme à- l'invention , mis en situation d'utilisation, se présente sur les planches 2/6, 3/6, /6 et 5/5 en figures 2, 3, M et 5.

Dès le montage du second rang de maçonneries III, on pourra mettre en application la mesure fixe de l'intervalle défini par la hauteur d'un rang des dites maçonneries III soit entre l'angle de base et l'angle supérieur de celles-ci, dans le sens verticsl,grâce à l'appareillage prévu à cet usage et décrit ciaprès, existant aussi bien sur la bague coulissante I6, porte cordeaux IV, que sur le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33.Donc il suffira de desserer la vis pointeau 12, afin de libérer la tige 27 et de faire simultanément coulisser et pivoter sur elle-m8me cette dernière dans le tube 26, soudé sur 1' une des arêtes, soit de la bague coulissante I6 porte cordeau I8/, soit du fourreau coulissant F. porte niveaux à bulle 33 ; durant cette manoeuvre, on fera en sorte d'orienter la partie inférieure de la dite tige 27,pliée à 90' et se terminant en pointe faisant office de curseur, de manière à ce que ce dernier vienne effleurer l'arête supérieure du premier rang de maçonneries III déjà réalisé, de façon à ce que l'intervalle de cette dite arête et le cordeau IV attacha à l'oeillet IS, corresponde exactement à la hauteur du premier rang pistant des présentes maçonneries
III . Ceci acquis, on neutralisera définitivement la tige 27 dans cette position, à l'aide de la vis pointeau I2, offrant et assurant ainsi infailliblement et en permanence, une régularité de joints à intervalles égau et un alignement optimum des dites maçonneries III du bâtiment en construction, et ce , sur toute la continuité de l'ensemble des éléments tubulaires rectilignes principaux R et D, et pendant toute la réalisation de l'ouvrage.

Claims

RE\IEDDICATI0N3, ~ I) Selon le revendication I du brevet principal N'870 I90 du 2E Janvier I9Z7, dispositif présentant un ensemble composé de plusieurs tronçons tubulaires rectilignes A, B, C, D, E et F, amovibles et formant trépied, une fois ouverts ; servant à déter miner rationnellement et rapidement les aplombs, les alignements ainsi que les intervalles verticaux de toutes maçonneries à édi fier, d'une future bâtisse à construire.Ce dispositif conforme à l'invention est mis en place avec une parfaite verticalité, grâce à sa ligne de foi 30 et à ses niveaux à bulle 33, figurants sur l'élément tubulaire rectiligne amovible F, ou fourreau cou lissant, s'adaptant par coulissement sur les éléments tubulaires rectilignes principaux A et D, suivant le choix de l'utilisateur.

2) Dispositif selon la revendication I, caractérisé en ce qu'

il comprend un ensemble tubulaire rectiligne composé de plusieurs

éléments tubulaires rectilignes A, B, C, D, E et F, présentant

des fonctions de coulissements et de pivotements ou d'articula

tions par l'intermédiaire de divers axes 3 et 9 et de vis tra

versantes 23 munies de poignées de prise celles-ci faisant éga

lement office d'axes de rotation ; ces différents agencements et

assemblages favorisent la mise en place de chacun des dits élé-

ments A, 8, C: D et E. Les dits éléments tubulaires rectilignes

ss et C, étant solidement maintenus en leur base sur les fonda

tions II ou les soubassements V, par l'intermédiaire de tronçons

de bastings (bois) VII, selon les cas qui s'imposent.
3) Dispositif selon la revendication I ou 2, caractérisé en

ce qu'il comprend des platines d'assise I et 7, perforées de

trous 6 destinés à recevoir les clous à béton de fixation de cel

les-ci sur les fondations II, ou sur les tronçons de bastings

(bois) VII, chacune de ces dites platines I et 7, étant respecti

vement reliée à la base de chacun des éléments tubulaires recti

lignes A et C.En ce qui concerne la platine d'assise I, celle-ci

est fixée à la base de l'élément principal A, avec une légère to

lérance de jeu, par un ensemble rotulé 2, 3 et 4 formant axe,per

mettant Q la présente platine d'assise t en forme d'équerre dans

le plan horizontal, de pivoter sur elle-même. muant aux platines

d'assise 7, pliées à l'équerre, leur donnant la forme d'un L,ces dernières sont reliées et fixées respectivement à chacun des éléments tubulaires rectilignes mâles C per un axe 9 traversant le trou ill d'une part1 situé à la base de chacun des dits éléments mâles C, et le trou 8 situé dans la partie relevée ou verticale de chacune des dites platines 7, d'autre part ; leur permettant de pivoter sur ces dits axes 9, dans le plan vertical.

z.) Dispositif selon les revendications I à 3, caractérisé en ce que les noyens de sa mise en place, s'obtiennent grâce aux platines d'assise t et 7, par l'intennédiaire desquelles celuici est solidement maintenu sur les fondations II, par des clous à béton ou à la rigueur des chevillettes métalliques VIII, pro- fondément enfoncés dans les dites fondations II de la bâtisse à construire ; ou sur les tronçons de bastings (bois)u;ces derniers fics sur les soubassements V, par les dites chevillettes métal- liques VIII et bien entendu, dans ce second cas, la fixation des platines d'assise 1 et 7 est assurée par les clous à béton, également enfoncés profondément dans les dits tronçons de bas tincs (bois) VII, à travers les trous 6, prévus à cet effet.
5) Dispositif selon l'une quelconque des revendications I:à 4 caractnris^- en ce qu les deux jambes représentées chacune par les éléments tubulaires rectilignes femelle t et male C, sont pourvues respectivement en leur tête, soit chacun des éléments

B, d'une bague co'jlissante 2G, de jonction, coulissant aussi bier sur l'élément tubulaire rectiligne principal ^., que sur 1 élément tubulaire rectiligne D ou réhausse.Ces dites bagues coulissantes 20, sont chacune perce d'un trou 25, au droit duquel est soude un rondelle ou écrou fileté 21, destiné à recevoir une vis traversante 23 munie de poignée de prise en forme de U, facilitant les manoeuvres de serrage ou de desserrage, durant la mise en place et le réglage du présent dispositif conforme à 1' invention, cette dite vis 23 faisant office d'axe de pivot sur lequel tourne l'élément tubulaire rectiligne femelle 8, percé lui-même de part en part, en sa partie supérieure, d'un trou 24 au droit duquel, soit sur la face extérieure, est également soudé une rondelle ou écrou fileté 21, semblable à celui qui fait partie de la bague coulissante 20, afin de permettre à la vis traversante 23, de s'introduire dans l'ensemble et de lui donner toute l'efficacité d'un serrage optimum.
6) Dispositif selon les revendications I à 5, caractérisé en ce qu'il comprend un ensemble de mécanismes décrits dans ces dernières, lui donnant toutes possibilités d'obtention de réglage des aplombs de verticalité du fait de la très grande souplesse de ces dits mécanismes, grâce à la faculté de coulissement vertical de haut en bas ou de bas en haut, des bagues coulissantes 20,spécialement adaptées sur l'élément tubulaire rectiligne principal A et sur l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, faisant la continuité du dit élément principal A, lui-même favorisé par son système rotulé 2, 3 et 4, situé à sa base, le reliant directement à la platine d'assise f, en lui donnant toutes latitudes de mouvementsd'orientation verticales jusqu'à l'acquisition du parfait aplombde verticalité, qui s'obtient en premier lieu avec le concours de l'élément tubulaire rectiligne F ou fourreau coulissant porte niveaux à bulle 33, celui-ci spécifiquement adapté par coulissement sur les dits éléments tubulaires rectilignes principaux A et D, suivant bien entendu, le choix de l'utilisateur, puisque ce dernier peut avoir recours soit au fil à plomb traditionnel, soit au simple niveau à maçon, l'un et l'autre pouvant parfaitement suivre la ligne de foi 30, bien sûr, cette dernière solution est beaucoup plus rudimentaire.Egalement le principe des deux jambages, chacun respectivement représenté par 1' ensemble des éléments tubulaires rectilignes femelle B et mêle C, coulissant l'un dans l'autre, favorise davantage encore tous les processus de réglages du dispositif conforme à l'invention1 qui, au préalable a été neutralisé en ses bases par l'intermédiaire des platines d'assise T et 7, sur les fondations II ou sur les soubassements V, en ayant pris soin, en première approche,d'atteindre déjà une verticalité primaire de l'ensemble des éléments tubulaires rectilignes principaux A et D. Lorsque ces dits aplombs de verticalité sont parfaitement réglés et contrlés,on procède alors au serrage des vis traversantes 23, munies de poignées de prise, venant ainsi bloquer en tête de l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, chacune des bagues coulissantes 20, et par voie de conséquence, chacun des ensembles des éléments tubulaires rectilignes femelle B et mâle C, positionnés obliquement, eux mêmes solidarisés et neutralisés par la vis pointeau I2 se vissant dans une rondelle ou écrou fileté I5, soudé au droit d'un trou 22 existant à la partie inférieure de chacun des dits éléments tubulaires rectilignes femelles B.

Désormais le tout se trouve ainsi rigidifié.
7) Dispositif selon les revendications I, 2, 5 et 6, caractérisé en ce qu'il comprend un élément tubulaire rectiligne F ou fourreau coulissant indépendant, comportant deux niveaux à bulle 33, collés respectivement chacun sur chacune des deux faces con tiguës du dit fourreau F, soit un niveau à bulle 33 par face, à 1 partie supérieure duquel est soudée une équerre de protection 32, soit une par niveau 33, dans le cas de chutes.Ce présent fourreau coulissant F, s'adapte par coulissement, sur l'élément tubulaire rectiligne principal A, et en continuité, sur l'élé- ment tubulaire rectiligne D ou réhausse, lorsque ce dernier, éga- lement indépendant, est enfilé par emmnnchement au faîtage du dit élément principal A, grace à ltélément tubulaire rectiligne

E faisant office de manchon de liaison et de maintien, lié intérieurement par points de soudure bouchonnée dans la partie inférieure du prisent élément tubulaire rectiligne D ou réhausse.

Précisons ici que le dit fourreau coulissant F, porte niveaux à bulle 33, sera obligatoirement adapté sur l'élément tubulaire rectiligne principal ,^, avant les bagues coulissantes 9nss reli ant en leur partie supérieure les éléments tubulaires rectilignes femelles 2, ptr l'intermédiaire des vis traversantes 23, soit au dit élément principal ;, ou soit à l'élément D ou réhausse.En effet, ces dites bagues coulissantes 20 devant imoé- rativement être fixées au faîtage du présent élément tubulaire rectiligne D, lors de la neutralisation générale et définitive du dispositif conforme à l'invention; lorsque ce dernier se trouve en situation d utilisation.
8) Dispositif selon les revendications I, 6 et 7, caractérisé en ce que l'élément tubulaire rectiligne F, ou fourreau coulissant, équipé de niveaux à bulle 33, est neutralisé sur l'élé- ment tubulaire rectiligne principal ^, à hauteur visuelle pour l'utilisateur, par des vis pointeau I2, soit une par face conti gue. à l'autre, dont les manoeuvres de serrage ou de desserrage de chacune d'elle, est assuré par une rondelle ou écrou fileté I5 soudé au droit d'un trou I7, à travers lequel l'extrémité des dites vis pointeau 12, passe et vient bloquer ensemble élément coulissant F sur l'élément principal A, dont les aplombs de ver ticalité sont désormais obtenus grace au concours des dits ni vu bulle 33, et ce , dans toutes les orientations référen- ces par 1. ligne de foi 30 se prolongeant en partie haute sur l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, ce dernier déjà mis en place et fixé au faîtage du présent élément tubulaire rectiligne principal A
9) Dispositif selon la revendication 8, caractérisé en ce que l'élément tubulaire rectiligne F ou fourreau coulissant porte niveaux à bulle 33, possède un appareillage de mesure ayant pour but de déterminer une fois pour toutes les intervalles entre deux joints horizontaux séparant chaque rang de maçonneries III.

Ce dit appareillage est constitué d'un tube 26, soudé sur l'une des arêtes du présent fourreau coulissant F, ce tube 26 reçoit une tige coulissante et pivotante 27, sur elle-même, dont le blocage ou le déblocage s'effectue à la demande par une vis pointeau 12 qui se visse dans une rondelle ou écrou fileté I5, sou d au droit d'un trou 28, dont le dit tube 26 est pourvu, cette tige coulissante et pivotante 27 est légèrement recourbée à sa partie supérieure, afin qu'elle ne puisse sortir du tube 26 et pliée à 906 à sa partie inférieure, et qui se termine en pointe faisant office de curseur.En effet, lorsqu'un premier rang de maçonneries III est réalisé, il suffit de déplacer le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, vers le haut, ce dit fourreau coulissant F étant doté d'un oeillet 18 attache cordeau IV, soudé sur l'arête opposée à celle sur laquelle figure le dit appareillage ci-dessus décrit: de manière à ce que la pointe deb dite tige 27 après orientation désirée de celle-ci, vienne effleurer l'arête supérieure du premier rang de maçonneries III effectué, en ayant pris soin au préalable, de mesurer l'intervalle du premier et du second joint de ce dit premier rang, par rapport au cordeau IV mis en tension et attaché à l'oeillet 18 et à la pointe ou curseur de le tige 27, qui aura été bloquée à l'aide de la vis pointeau I2, après obtention de la hauteur du dit intervalle.Ce dernier ainsi défini, servira de référence pour tous les futurs rangs de maçonneries III à mettre en oeuvre jusqu'à l'achèvement total de l'ouvrage concernant ce lot de ma çonneries III.

I0) Dispositif selon la revendication 9, caractérisé dans le cas où l'utilisateur n'a pas opte pour la solution du fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33 , en ce qu'il comprend une bague coulissante 16 porte cordeau IV, pourvu d'un oeillet I8 pour y attacher le dit cordeau IV, soudé sur une des arêtes de cette présente bague coulissante I6, dont la fixaticn sur les éléments tubulaires rectilignes principaux A et D ou réhausse, s'effectue Far l'intermédiaire d'une vis pointeau I2 dont le serrage ou le desserrage s'opèrent à la demande, sont favorisés par une rondelle ou écrou fileté I5 soudé au droit du trou I7, permettant le blocage ou le déblocage de la dite bague coulissante I6 porte cordeau IV d'alignements des rangs de maçonneries III à édifier de la bâtisse en construction. La présente bague coulissante I5 est dotée également du même appareillage spécifique,prévu pour définir la mesure des intervalles entre deux joints horizontaux séparant chacun des rangs de maçonneries III, ce dit appareillage existant sur le fourreau coulissant F, porte niveaux à bulle 33, et décrit dans la revendication précédente, soit la 9. Rappelons eue dans la majeure partie des cas,une bâtisse à construire comprend au minimum quatre angles, donc quatre dispositifs conformes à l'invention sont nécessaires.

II) Dispositif selon les revendications I et de 6 à IO, caractérisé en ce que la bague coulissante I5 porte cordeaux IV oc le fourreau coulissant F porte niveaux à bulle 33, suivant le choix de l'utilisateur, sont dots l'un et l'autre d'un oeillet I8 destiné à l'accrochage du dit cordeau IV d'alignement, ainsi que du système particulier décrit à la revendication 9, ayant pour objet principal d'assurer la fixité des reports d'intervalles dont le premier a été déterminé une fois pour toutes par le pre mier rang des naçonneries III déjà réalisé faces ces impératifs une fois cuis, à savoir, alignements et intervalles, serviront de guides et de références à chaque fois qu'un nouveau rang de ma çonneries III s'édifiera1 et ce , jusqu'à l'achèvement total de la mise en oeuvre de ces dites maçonneries III.

12) Dispositif selon les revendications I à II, caractérisé en ce qu'il comprend un système de verrouillage représenté par les crochets 10, soudés respectivement chacun obliquement à la base de chacun des éléments tubulaires rectilignes mêles C. Ces dits crochets IO devant pénétrer chacun dans un trou I3, dont l'élément tubulaire rectiligne principal , est perforé à sa partie inférieure sur deux de ses faces contiguës, soit un trou IO par face ; assurant ainsi le blocage de l'ensemble du dispositif conforme à l'invention, lorsque tous les éléments tubulaires rectilignes A, B et C, sont regroupés, ne formant plus qu'un ensem ble tubulaire rectiligne rigide et monolithique, neutralisé grâ- ce aux bagues coulissantes 20 que l'on fait coulisser verticalement vers le haut de l'appareil, soit au faîtage de l'élément tubulaire rectiligne principal A, et que l'on immobilise sur ce dernier, à l'aide des vis pointeau traversantes 23, munies de poignées de prise, obtenant ainsi le blocage définitif de Ces cro- chets 10 orientés obliquement vers le haut, dans ces trous I3.

I3) Dispositif selon les revendications I et 2 et de 5 à I2, caractérisé en ce qu'il comprend un ensemble réhausse constituA par les éléments tubulaires rectilignes femelle D et male E, liés entre eux par point de soudure bouchonnée,et terminé à son fartage, soit celui de l'élément femelle D, par un bouchon plastique 29, de protection, enfoncé à force, évitant ainsi toutes introductions de corps étrangers, tels que ciment, prêtre ou autres, durant lutilisation du dispositif sur le chantier, ce dit ensemble se fixant sur le dispositif lorsque ce dernier est replié sur lui-même:: gracie, d'une part, au crochet ou téton 5, soudé verticalement sur la platine d'assise I, ce dit téton 5 pan3trant dans l'élément tubulaire rectiligne E ou manchon de maintien, a'. Sa partie inférieure, et d'autre part, au crochet I9 soudan obliouenent vers le haut, sur une bague coulissante I6, spécifiquement adaptée uniquement sur l'élément tubulaire rectiligne D ou rhcsse, ce dit crochet I9 devant s'introduire dans le trou I4, qui figure sur l'une des faces de l'élément tubulaire rectiligne principal A, à peu près eus 2/3 de s hauteur, en entraînant par coulissement vers le haut, la dite bague coulissante 16 sur le dit élément D, cette opération effectuée, on neutralise alors cette bague coulissante I6 par l'intermédiaire d'une vis pointeau 12 dont elle est équipée, le blocage et le déblocage de cette dite vis pointeau I2, s'opérant grâce à une rondelle ou écrou fileté I5 soudé au droit du trou I7 dont l'une des faces de la bague 16 est percée.Ce principe de verrouillage général, comme on peut le voir sur la planche I/6 en figure I, décrit dans la précédente revendication I2, ainsi que dans la présente revendication I3, permet de maintenir l'ensemble du dispositif, fermé, avant ou après son utilisation, ayant pour avant targes le commodité de son transport et des diverses nanutentions cu'il impose.

I4) Dispositif selon les revendications I à I3, caractérisé en ce que l'élément tubulaire rectiligne F ou fourreau coulissant porte niveaux à bulle 33, est doté également d'un crochet 19, soudé obliquement vers le bas sur l'une de ses faces, permettant de maintenir l'élément tubulaire rectiligne D ou réhausse, sur l'ensemble du dispositif conforme à l'invention, lorsque ce dernier se trouve à sa phase fermée et verrouillée. Cette autre solution, selon qu'elle a été adoptée par l'utilisateur, élimine carrément d'une part la solution de la bague coulissante I5 porte cordeau IV, et d'autre part, celle de la bague coulissante 16 équipée du crochet I9, spécifique pour le maintien de l'en- semble tubulaire rectiligne D et E sur le présent dispositif fermé et verrouillé.En effet,puisque ce dit fourreau coulissant

F porte niveaux à bulle 33, directement adapté par coulissement sur l'élément tubulaire rectiligne principal A, assume à lui seul toutes les fonctions que remplissent ces dites bagues cou glissantes 16, à savoir, support cordeau IV, porte niveaux à bul- le 33, possession d'un crochet I9, et également pouvant assurer la fixité des reports d'intervalles de chaque rang de maçonneries

III a' mettre en oeuvre.

15) Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, se caractérise, dans le cas présent, en ce qui concerne le maintien de l'ensemble tubulaire rectiligne n et E ou r- hausse sur le dispositif replié sur lui-meme et verrouillé, et que pour ce faire > on amène la base de l'élément E ou manchon, sur le téton 5, existant sur la platine d'assise t, ensuite, on fait coulisser vers le haut, le fourreau coulissant F porte ni veaux à bulle 33, de manière à faire coïncider le trou 31 figurant à mi-hauteur sur l'une des faces de l'élément tubulaire rectiligne D, avec l'extrémité de l'embout du crochet I9, afin d'y introduire ce dernier, en faisant légèrement coulisser le présent fourreau F vers le bats, jusqu'à engagement total du dit crochet I9 dans le dit trou 3I, dont le blocage complet de l'ensemble se finalise par le serrage des deux vis pointeau 12, sur l'élément tubulaire rectiligne principal ..

Is) Dispositif selon toutes les revendicationsxdéfinies, soit de I à I5, caractérisé en ce qu'il est réglable en longueur, de par sa conception, consistant en un système tubulaire rectiligne rigide en partie, coulissant et articulé en d'autres, avec tous réglages Gppropriés, parfaitement adopte pour la mise en oeuvre de toutes maçonneries III d'un ouvrage ou d'une bâtisse à édifier, comme indiqué sur les planches 2/6, 3/6, o/6 et 5/6 en figures 2, 3, 4 et 5, pouvant ainsi définir simultanément, aussi bien les aplombs de verticalité que les alignements et les intervalles entre chaque joint de celles-ci. L'angle des murs III ou l'arête verticale du dit angle, doit tangenter les lignes de foi 30, des éléments tubulaires rectilignes principaux e: et D, ces dernières devant coincider et se prolonger automatiquement, lors de l'emmanchement de l'élément tubulaire rectiligne male E dans la partie haute de l'élément tubulaire rectiligne principal et central P..