FR2619138A1 - Bloc de beton pour mur de soutenement - Google Patents

Abstract

Le bloc selon l'invention comprend un corps 1 sensiblement parallélépipédique, dont la face inférieure comprend deux nervures antéro-postérieures 8, 9 bordant ladite face, et dont la face supérieure comprend deux nervures antéro-postérieures 11, 12 bordant ladite face. Des nervures transversales 14, 15 dépassent dans le creux inférieur central 10 séparant les nervures antéro-postérieures inférieures 8, 9. Des rainures transversales 19, 20 sont ménagées dans les nervures antéro-postérieures 11, 12 de la face supérieure. Les blocs sont empilés en quinconce, les nervures inférieures 8, 9 s'encastrant dans le creux supérieur central 13 séparant les nervures supérieures 11, 12; les nervures transversales 14, 15 s'encastrent dans les rainures supérieures 19, 20.

Description

BLOC DE BETON POUR MUR DE SOUTENEMENT
La présente invention concerne des blocs de-béton utilisés pour construire facilement et de façon peu coûteuse une structure de mur de soutènement. Les blocs selon l'invention sont utilisables pour la réalisation de murs de soutènement de grande ou faible hauteur, de murs de pied de talus, de murs de quai, de murs d'escalade, ou pour la préparation de sites de construction.

Plus spécialement, l'invention se rapporte à des blocs de béton destinés à la réalisation de murs de soutènement de type poids, dans lesquels les blocs sont empilés généralement sans apport de mortier ou de liant. Un tel type de bloc est par exemple décrit dans le brevet FR
A-2 544 764. Dans ce document, les faces inférieure et supérieure du bloc portent un profil antéro-postérieur tell ligne brisée, définissant des moyens d'emboitement complémentaires à effet antéro-postérieur s'opposant à la translation relative anteso-postérieure des blocs lorsqutils sont empilés les uns sur les-autres. Ainsi, les blocs sont empilés en chevrons, et se trouvent bloqués les uns par rapport aux autres dans le sens antéro-postérieur.

I1 s'avère toutefois que les formes connues de blocs de béton pour murs de soutènement ne permettent pas de réaliser des murs suffisamment résistants. Les demandeurs ont constaté que ces défauts de résistance résultent notamment d'un manque de liaison entre les blocs dans le sens transversal, c'est-à-dire dans le sens de la longueur du mur.

D'autre part, ces blocs ne permettent pas de réaliser une façade de mur présentant suffisamment de variété, car les blocs ont toujours la même position les uns par rapport aux autres lorsqu'ils sont empilés.

La présente invention a notamment pour objet d'éviter les inconvénients des blocs de béton connus, en proposant de nouvelles formes de blocs permettant d'améliorer très sensiblement les qualités mécaniques de l'emboîtement des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres pour former un mur ; la résistance mécanique du mur ainsi formé est ainsi considérablement augmentée. En particulier, les blocs sont solidarisés les uns aux autres d'une part dans le sens antéropostérieur ou sens de la profondeur du mur, mais également dans le sens transversal ou sens de la longueur du mur.

Selon un autre aspect de l'invention, les formes particulières de blocs selon l'invention améliorent sensiblement la cohésion des blocs par rapport aux matières qui sont disposées en arrière des blocs lorsque le mur est formé : la cohésion est assurée soit avec le remblai ou la terre que le mur est destiné à soutenir, soit avec une autre rangée de blocs formant le mur. 11 en résulte que le bloc formant la façade apparente du mur risque beaucoup moins de basculer vers l'avant et de se détacher du mur.

Selon un autre aspect de l'invention, les formes particulières de bloc selon l'invention présentent des moyens d'emboîtement qui sont bien protégés contre les chocs ; il en résulte que la manutention des blocs peut être opérée sans précaution particulière, sans risque de détérioration des moyens d'emboîtement prévus sur les faces supérieure et inférieure des blocs.

Selon un autre aspect de l'invention, les formes de blocs sont également adaptées à un scellement, c'est-à-dire à l'utilisation de colle ou de mortier entre les faces-jointives des blocs.

Pour atteindre ces objets ainsi que d'autres, le bloc selon la présente invention comporte des faces supérieure et inférieure de formes particulières : - les faces inférieure et supérieure comportent des moyens d'emboîtement complémentaires à effet antéro-postérieur opposant à la translation relative antéro-postérieure des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres, - les faces inférieure et supérieure comportent en outre des moyens d'emboîtement complémentaires à effet transversal s'opposant à la translation relative transversale des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres, - les moyens d'emboîtement des faces inférieure et supérieure sont conformés pour permettre l'emboîtement relatif de la face inférieure d'un bloc posé sur deux demi-faces supérieures de deux blocs adjacents disposés côte à côte dans le sens transversal, de sorte que les blocs peuvent être empilés en quinconce.

Selon un mode de réalisation particulier de l'invention, les moyens d'emboîtement complémentaires à effet latéral comprennent - deux nervures supérieures antéro-postérieures bordant la face supérieure du bloc et séparées l'une de l'autre par un creux supérieur central, - deux nervures inférieures antéro-postérieures bordant la face inférieure du bloc et séparées l'une de l'autre par un creux inférieur central, - la largeur de chaque nervure antéro-postérieure étant légèrement inférieure au quart de la distance séparant les faces latérales du bloc.

Selon un mode de réalisation avantageux, la face postérieure du bloc comprend un prolongement postérieur inférieur définissant un redent s'opposant au basculement du bloc vers l'avant.

Selon un mode de réalisation particulier, lé bloc comprend également, sur sa face antérieure, un prolongement antérieur supérieur complémentaire du prolongement postérieur inférieur, permettant I'emboi- tement et l'encastrement de la face antérieure du bloc dans la face postérieure d'un bloc juxtaposé.

D'autres objets, caractéristiques et avantages de la présente invention ressortiront de la description suivante de modes de réalisation particuliers, faite en relation avec les figures jointes, parmi lesquelles - la figure 1 est une vue de face d'un bloc selon un premier mode de réalisation - la figure 2 est une vue de côté en coupe selon le plan B-B du bloc de la figure 1 - la figure 3 est une vue de dessus du bloc de la figure 1 - la figure 4 est une vue de dessous du bloc de la figure 1 - la figure 5 est une vue de face d'un bloc selon un second mode de réalisation - la figure 6 est une vue de côté en coupe du bloc de la figure 5 - la figure 7 est une vue de dessus du bloc de la figure 5 - la figure 8 est une vue de dessous du bloc de la figure 5 - la figure 9 est une vue de face partielle d'un mur montrant l'imbrication des blocs les uns sur les autres - la figure 10 est une vue de côté en coupe selon le plan A-A d'un mur selon un premier mode de réalisation de l'invention ; et - la figure 11 est une vue de côté en coupe d'un mur selon un second mode de réalisation de l'invention.

Comme le représentent les figures, le bloc selon la présente invention comprend un corps 1 sensiblement parallélépipédique limité par une face antérieure 2, une face postérieure 3, une face inférieure 4, une face supérieure 5, et deux faces latérales 6 et 7.

La face inférieure 4 des blocs comprend deux nervures inférieures antéro-postérieures 8 et 9, à section sensiblement rectangulaire ou trapézoidale, bordant la face inférieure du bloc, et séparées l'une de l'autre par un creux inférieur central 10. Les nervures 8 et 9 occupent toute la profondeur du bloc.

La face supérieure 5 des blocs comprend, de manière similaire, deux nervures supérieures antéro-postérieures 11 et 12, de section sensiblement rectangulaire ou trapézoidale, bordant la face supérieure 5 du bloc et séparées l'une de l'autre par un creux supérieur central 13.

Les nervures 11 et 12 occupent toute la profondeur de la face supérieure 5.

La largeur L1 de chaque nervure est légèrement inférieure au quart de la distance L2 séparant les faces latérales 6 et 7 du bloc. Il en résulte que la largeur des creux 10 et 13 est légèrement supérieure à la moitié de la distance L2, de sorte que deux nervures inférieures telles que la nervure 8 peuvent s'insérer simultanément dans un creux supérieur tel que le creux 13, et que deux nervures supérieures telles que la nervure 11 peuvent s'insérer simultanément dans un creux inférieur tel que le creux 10.

Dans les modes de réalisation représentés sur les figures, les blocs comprennent des logements ménagés dans les nervures supérieures 11 et 12 et des tenons correspondants dépassant dans le creux inférieur central 10. Ainsi, la face inférieure 4 comprend, dans le creux inférieur 10, une première paire de tenons 14 et 15 disposés en une position sensiblement centrale, et une seconde paire de tenons 16 et 17 en une position postérieure de la face. Dans le mode de réalisation représenté, les tenons sont des nervures transversales, dont la hauteur est inférieure à la hauteur des nervures antéro-postérieures inférieures 8 et 9, et dont la section est arrondie. Les tenons se raccordent selon leurs bords extérieurs aux nervures respectives 8 ou 9, et sont séparés l'un de l'autre vers le centre du bloc par un espace 18 central.

Les nervures antéro-postérieures supérieures 11 et 12 comprennent des logements destinés à recevoir les tenons des faces inférieures.

Dans le mode de réalisation représenté sur les figures 2 et 3, les nervures comprennent chacune une paire de logements, respectivement 19 et 20, disposée chacune en partie centrale de la nervure, et en forme d'une paire de rainures transversales comme le représentent les figures.

Chacune des nervures transversales présente une section lui permettant de recevoir un tenon tel que le tenon 14. Les deux nervures de chaque paire de nervures sont décalées l'une par rapport à l'autre, dans le sens antéro-postérieur du bloc, d'une distance que l'on peut déterminer à volonté. Cette distance détermine le décalage antéro-postérieur possible de deux blocs empilés l'un sur l'autre, comme on le verra plus loin.

Dans le mode de réalisation représenté sur les figures 6 et 7, chacune des nervures supérieures-antéro-postérieures 11 et 12 comprend deux paires de rainures transversales, une première paire telle que les paires 19 et- 20 du mode de réalisation précédent, et une seconde paire 21 et 22 au voisinage de l'extrémité antérieure des nervures antéropostérieures. - Ces secondes paires de nervures sont conformées comme les premières paires de nervures 19 et 20.

Dans tous les modes de réalisation, les nervures transversales débouchent dans le creux supérieur central 13, mais s'interrompent avant la face l-atérale correspondante 6 ou 7 du bloc, réservant une portion pleine telle que les portions 23 de nervure antéro-postérieure représentées sur les figures 1, 5, 3 et 7. La largeur des portions pleines telles que la portion 23 est légèrement inférieure à la moitié de la largeur de l'espace 18 représenté sur les figures 1 et 5.

Selon un autre mode de réalisation de l'invention, on peut prévoir des logements ménagés dans les nervures antéro-postérieures inférieurea 8 et 9 inférieures 8 et 9 du bloc, coopérant avec des tenons -correspondants.

dépassant dans le creux supérieur central 13 du bloc.

Selon un autre mode de réalisation, on peut prévoir des logements dans le creux inférieur 10 du bloc, coopérant avec des tenons dépassant des nervures antéro-postérieures supérieures 11 et 12 du bloc.

Dans les modes de réalisation qui ont été représentés, les logements tels que les logements 19, 20, 21 et 22 sont assemblés par paires. On définit ainsi deux séries de logements, décalées l'une par rapport à l'autre dans le sens antéro-postérieur, définissant chacune une position d'emboitement des blocs les uns sur les autres On peut bien entendu, sans sortir du cadre de l'invention, prévoir une seule série de logements, de sorte qu'il n'y aurait qu'une seule position d'emboltement des b blocs les uns sur les autres. On peut également prévoir plus de deux séries de logements, définissant ainsi trois ou un plus grand nombre de positions d'emboîtement décalées les unes par rapport aux autres dans le sens antéro-postérieur.

La face postérieure 3 des blocs comprend un prolongement postérieur inférieur 24, définissant un redent 25 s'opposant au basculement du bloc vers l'avant.

Dans le mode de réalisation représenté sur la figure 2, le bloc selon l'invention comprend une face antérieure 2 plane. Un tel bloc est utilisé pour réaliser la face antérieure visible du mur de soutènement, dans les cas où l'on veut une face lisse. Le face antérieure 2 peut également comprendre des reliefs décoratifs, non représentés sur les figures.

Dans le mode de réalisation représenté sur la figure 6, la face antérieure 2 du bloc comprend un prolongement antérieur supérieur 26, complémentaire du prolongement postérieur inférieur 24 de la face postérieure 3. Cette forme permet l'encastrement et l'emboîtement de la face antérieure 2 du bloc dans la face postérieure 3 d'un bloc juxtaposé.

La figure 9 représente, en vue de face, l'emboîtement des blocs posés les uns sur les autres. On voit que deux nervures antéropostérieures 8 et 9 s'encastrent dans un creux postérieur 13, et que les blocs sont décalés en quinconce. Les tenons s'engagent dans les logements correspondants.

Les figures 10 et li illustrent les possibilités de décalage antéro-postérieur des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres. Sur la figure 10, les tenons inférieurs sont encastrés dans les séries antérieures de logement de face supérieure, de sorte que les faces antérieures des blocs sont en alignement les unes par rapport aux outres. Par contre, sur la figure 11, les tenons inférieurs des blocs sont engagés dans les séries postérieures de logement correspondantes, de sorte que les blocs supérieurs sont décalés postérieurement par rapport aux blocs inférieurs.

On voit également, sur les figures 10 et 11, l'encastrement des faces de contact verticales des blocs, c'est-à-dire des faces postérieures des blocs antérieurs dans les faces antérieures des blocs postérieurs.

Les blocs selon la présente invention peuvent etre réalisés en béton, ou en toute autre matière appropriée.

Leurs corps peuvent hêtre pleins, comme le représente la figure 11.

En alternative, on peut prévoir un creux interne, tel que le creux 30 représenté sur la figure 10.

Les dimensions du bloc peuvent être variables. Pour des applications usuelles, on peut par exemple prévoir des blocs dont la hauteur, la largeur et la profondeur sont sensiblement égales à un mètre. Les dimensions respectives des moyens d'emboîtement tels que les nervures, les rainures, les logements, les tenons, peuvent avoir des dimensions choisies de manière appropriée selon les applications. On peut par exemple choisir des dimensions telles que représentées à l'échelle sur les figures.

La présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation qui ont été explicitement décrits, mais elle en inclut les diverses variantes et généralisations contenues dans le domaine des revendications ci-apres.

Claims (11)

REVENDICATIONS

1 - Bloc monolithique de construction, comprenant un corps (1) sensiblement parallélépipédique limité par une face antérieure (2), une face postérieure (3), une face inférieure (4), une face supérieure (5), et deux faces latérales (6, 7), les faces inférieure (4) et supérieure (5) comportant des moyens d'emboîtement complémentaires à effet antéropostérieur s'opposant à la translation relative antéro-postérieure des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres, caractérisé en ce que a) les faces inférieure (4) et supérieure (5) comportent en outre des moyens d'emboîtement complémentaires à effet transversal (8, 9, 11, 12) s'opposant à la translation relative transversale des blocs lorsqu'ils sont empilés les uns sur les autres, b) les moyens d'emboîtement des faces inférieure et supérieure sont conformés pour permettre l'emboîtement relatif de la face inférieure (4) d'un bloc posé sur deux demi-faces supérieures (5) de deux blocs adjacents disposés côte à côte dans le sens transversal, de sorte que les blocs peuvent être empilés en quinconce.

2 - Bloc selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens d'emboîtement complémentaires à effet transversal comprennent - deux nervures supérieures antéro-postérieures (11, 12) bordant la face supérieure (5) du bloc et séparées l'une de l'autre par un creux supérieur central (13), - deux nervures inférieures antéro-postérieures (8, 9) bordant la face inférieure (4) du bloc et séparées l'une de l'autre par un creux inférieur central (10), - la largeur (L1) de chaque nervure antéro-postérieure étant légèrement inférieure au quart de la distance (L2) séparant les faces latérales (6, 7) du bloc.

3 - Bloc selon la revendication -2, caractérisé en ce que les moyens d'emboîtement complémentaires à effet antéro-postérieur comprennent des logements (20) ménagés dans les nervures supérieures antéropostérieures, et des tenons (14, 15, 16, 17) correspondants dépassant dans le creux inférieur central (10).

4 - Bloc selon la revendication 2, caractérisé en ce que les moyens d'emboîtement complémentaires à effet antéro-postérieur comprennent des logements ménagés dans les nervures inférieures antéro postérieures (8, 9), et des tenons dépassant dans le creux supérieur central (13).

5 - Bloc selon la revendication 2, caractérisé en ce que les moyens d'emboîtement complémentaires à effet antéro-postérieur comprennent des logements ménagés dans le creux inférieur central (10), et des tenons dépassant des arêtes supérieures antéro-postérieures (11, 12).

6 - Bloc selon l'une quelconque des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que les logements sont des rainures transversales (19, 20) dans lesquelles s'emboîtent des tenons (14, 15, 16, 17) en forme de nervures transversales à profil complémentaire, les nervures transversales ayant une hauteur inférieure à la hauteur des nervures antéropostérieures, et ayant un sommet à section arrondie.

7 - Bloc selon la revendication 6 dans son rattachement à la revendication 3, caractérisé en ce que les rainures (19, 20) ont une longueur inférieure à la largeur des nervures antéro-postérieures (11, 12) et débouchent dans le creux supérieur central (13), de sorte que la rainure est interrompue avant d'atteindre la face latérale correspondante du bloc, réservant une portion pleine (23).

8 - Bloc selon l'une quelconque des revendications 3 à 7, caractérisé en ce qu'il comprend au moins une série de tenons s'engageant alternativement dans au moins une première et une seconde série de logements, la première et la seconde série de logements étant décalées l'une par rapport à l'autre dans le sens antéro-postérieur, pour définir au moins deux positions relatives d'emboîtement des blocs empilés les uns sur les autres.

9 - Bloc selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la face postérieure (3) comprend un prolongement postérieur inférieur (24) définissant un redent (25) s'opposant au basculement du bloc vers l'avant.

10 - Bloc selon la revendication 9, caractérisé en ce que la face antérieure (2) comprend un prolongement antérieur supérieur (26) complémentaire du prolongement postérieur inférieur (24), permettant l'emboîtement et l'encastrement de la face antérieure (2) du bloc dans la face postérieure (3) d'un bloc juxtaposé.

11 - Mur de soutènement, caractérisé en ce qu'il comprend un empilage de blocs selon l'une quelconque des revendications 1 à 10.