FR2617381A1

FR2617381A1 - Chaussure, notamment de ski alpin a tige articulee

Info

Publication number: FR2617381A1
Application number: FR8709972A
Authority: FR
Inventors: Claude Perrioud
Original assignee: Salomon SAS
Current assignee: Salomon SAS
Priority date: 1987-07-03
Filing date: 1987-07-03
Publication date: 1989-01-06
Anticipated expiration: 2007-07-03
Also published as: DE3822380A1; FR2617381B1; IT8821180A0; IT1217981B; JPH01198502A; US4910892A

Abstract

La chaussure comporte une tige 12, 13 articulée autour d'un axe transversal 11 sur un bas de coque 10 et un dispositif de contrôle de la raideur des déplacements en basculement de la tige 12, 13 par rapport au bas de coque 10. Ce dispositif comprend sous forme de poutre double deux lames 1, 2 de flexion solidaires à une extrémité respectivement entre elles et de la tige 12, 13 ou du bas de coque 10 par un ancrage 3. Leur autre extrémité coopère avec un organe d'actionnement 5 porté par le bas de coque 10 ou la tige 12, 13 respectivement. L'organe 5 fait varier élastiquement l'écartement des lames 1, 2 en réponse aux efforts de basculement de la tige 12, 13 tant vers l'avant que vers l'arrière.

Description

t 2617381 La présente invention est relative aux chaussures pour la

pratique du ski alpin du type comportant un bas de coque rigide surmonté

d'une tige entourant le bas de jambe.

Dans de telles chaussures, généralement en matériau plastique moulé, la tige peut comporter plusieurs parties: manchette, capot arrière,

éventuellement articulées sur le bas de coque autour d'un axe transversal.

Un axe d'articulation peut, le cas échéant, ne pas être matérialisé mais la tige doit pouvoir fléchir par rapport au bas de coque au moins selon un certain degré selon les conditions d'utilisation, ce qui équivaut à

une articulation.

La direction générale de la tige, appelée, pour simplifier, "l'axe de la tige", est inclinée vers l'avant par rapport à la verticale, dont le bas de coque est solidaire, d'un certain angle appelé "angle d'avancée". Cet angle d'avancée pst susceptible de varier autour d'une valeur moyenne selon les circonstances momentanées de l'utilisation du fait de l'articulation de la tige sur le bas de coque. Dans l'ensemble, plus le skieur est de haut niveau, et travaille en position très fléchie, plus il souhaite un angle d'avancée moyen (statique) élevé, celui-ci pouvant être de l'ordre de 13 à 200 et parfois même atteindre 250, alors que pour le skieur touriste, un angle de 8 à 15 est généralement estimé optimal. Par ailleurs, selon la discipline pratiquée et l'état de la neige, le skieur souhaite plus ou moins de souplesse dans l'articulation de la tige sur le bas de coque, c'est-à-dire de facilité de variation de l'angle d'avancée sous l'effet des sollicitations. Ainsi on préfère une assez grande raideur pour la compétition, sur neige dure ou sur glace, et assez de souplesse sur neige poudreuse, pour mieux pouvoir doser les appuis, et en

descente pour ménager la musculature et rechercher la position skis à plat.

Ces considérations se traduisent par le fait que, de plus en

plus nombreux, les skieurs éprouventle besoin de pouvoir disposer non seule-

ment de chaussures caractérisées par un angle d'avancée moyen correspon-

dant à leurs critères personnels, mais aussi dont la raideur de l'articu-

lation de la tige sur le bas de coque soit fonction croissante de la solli-

citation qu'ils exercent sur la tige, ce qui va dans le sens du confort et

de la sécurité-des utilisateurs.

On a donc cherché à satisfaire ces exigences par des disposi-

tifs permettant de contrôler cette faculté de flexion. De nombreuses propo-

sitions ont été faites.

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- 2 - Parmi celle-ci, on peut citer les chaussures décrites dans la demande FR 2 583 271 ou le brevet FR 2 569 088 qui marquent un net progrès par rapport à la technique antérieure connue. Dans ces documents, il est fait appel à des organes de flexion se présentant sous la forme de poutres élastiques doubles fixées d'une part sur le bas de coque et dont une partie au moins d'autre part, coopère en contact mobile avec une surface

ou rampe jouant un rôle de came, et portée par la tige de la chaussure.

Dans le premier cas, la poutre double de flexion est de direction géné-

rale transversale par rapport à la chaussure. Dans le second, elle est

de direction générale longitudinale.

Ces deux dispositifs donnent parfaitement satisfaction dans le contrôle de la raideur en basculement vers l'avant de la tige par rapport au bas de coque mais ne prennent nullement en compte la raideur de l'articulation dans le sens d'un basculement inverse, c'est-à-dire vers l'arrière lorsque le skieur vient en appui postérieur. Or, cette situation de flexion vers l'arrière, si elle n'est pas contrôlée, peut s'avérer extrêmement gênante pour la sécurité et le confort du skieur, surtout dans

des circonstances particulièrement difficiles comme c'est le cas en compd-

tition par exemple. Il est donc essentiel de pouvoir disposer d'organes permettant la maîtrise et le contrôle en basculement de la tige tant vers

l'avant que vers l'arrière par rapport à la coque.

C'est un dispositif permettant cette maîtrise bidirectionnelle

qui fait l'objet de la présente invention.

Les caractéristiques de l'invention, reprises dans la revendi-

cation 1 et certains avantages sont exposés dans la description qui suit

de certains modes d'exécution et pour l'intelligence de laquelle on se référera aux dessins dont: - la figure 1 montre schématiquement un dispositif de contrôle de raideur vers l'avant selon la technique connue, - la figure 2 illustre schématiquement le principe de fonctionnement, à effet bidirectionnel d'un dispositif selon l'invention, - les figures 3A et 3B représentent deux variantes d'un autre mode d'exécution conforme à l'invention, - les figures 4, > et 6 montrent schématiquement, différents modes de réalisation d'un moyen de réglage du dispositif selon l'invention, - la figure 7 représente une chaussure du type à entrée arrière montrant un exemple de mise en oeuvre de l'invention, - la figure 8 montre en prespective le capot arrière équipé conformément à l'invention, de la chaussure de la figure 4,

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- les figures 9 et 10 sont similaires à la figure 8 avec le mode d'exécu-

tion et les positions correspondant aux figures 3A et 3B, - la figure ll illustre un autre mode de mise en oeuvre d'un dispositif

selon les figures 3A et 3B.

La figure 1 illustre l'état de la technique tel qu'exposé par exemple dans le brevet FR 2 569 088 déjà évoqué. Une poutre double, par exemple en forme de diapason présente deux branches élastiques 1, 2 destinées à travailler en flexion. Celles-ci sont solidaires entre elles à une extrémité o elles sont solidaires par un ancrage 3 d'un point du

bas de coque ou de la tige de la chaussure équipée de ce dispositif.

A leur autre extrémité, les poutres 1, 2 coopèrent avec un organe 5 soli-

daire respectivement de la tige ou du bas de coque de la chaussure. Cet organe se présente sous la forme d'une rampe ou chemin de came double, sollicitant élastiquement à l'écartement en flexion les deux branches 1 et 2 lorsque la tige bascule vers l'avant par rapport à la coque de la chaussure. Un curseur 6 déplaçable le long des deux branches 1, 2 permet de jouer sur la raideur du dispositif.Comme on le voit, ce dispositif n'est actif que dans un sens, celui ou rapprochement de l'ancrage 3 par rapport à l'organe 5, donc dans le sens de ce qu'il est convenu d'appeler une flexion avant. Dans le sens opposé, ou flexion arrière, le dispositif

est parfaitement sans effet.

La figure 2 illustre le principe de fonctionnement d'un mode d'exécution de l'invention dérivé du dispositif qui-vient d'être évoqué mais pour l'obtention d'un effet bidirectionnel. On retrouve une poutre double ancrée comme précédemment à une extrémité 3 sur le bas de coque ou sur la tige de la chaussure. Les deux branches 1, 2, solidaires entre elles du côté de l'ancrage 3 et qui peuvent ensuite ne présenter entre elles qu'un léger jeu pour en minimiser le frottement relatif, sont cette fois de préférence superposées. Elles s'écartent, en plan, au voisinage deleur extrémité libre pour se rejoindre en formant,toujours en plan, une pince qui vient enserrer latéralement mais avec jeu longitudinal un

organe 5 solidaire de la tige ou du bas de coque respectivement. De préfé-

rence, cet organe 5 se présentera comme un plot de section circulaire et les faces internes des branches de la pince présenteront une surface courbe

de plus faible courbure que le plot, de manière à former deux rampes pro-

gressives de part et d'autre de l'organe 5 en direction longitudinale.

Ces deux rampes pourraient aussi être planes et former ainsi un dièdre dont les deux plans s'appuieraient en position moyenne sur l'organe 5 mais

la forme courbe est néanmoins préférable.

Lors d'un basculement vers l'avant de la tige par rapport à 1,, l'=gnb 1P 'rrnpnp 5 tendent à se raDorocher, ce qui -4- écarte par flexion élastique les deux branches 1 et 2 de la pince et maitrise ainsi l'amplitude et la résistance de ce basculement. En cas de basculement vers l'arrière, l'ancrage 3 et l'organe 5 tendent à s'éloigner, ce qui induit également un écartement élastique des deux branches 1, 2 de la pince et maitrise ce basculement. Comme à la figure 1, un curseur 6 pinçant les deux branches 1, 2 permet le réqlage du point d'encastrement effectif des deux branches

1, 2, donc de la raideur de la chaussure.

Les figures 3A et 38 illustrent le principe de deux variantes d'un autre mode de réalisation de l'invention. Le dispositif est identique à celui de l'art antérieur décrit plus haut, sauf en ce qui concerne'Eis

extrémités des deux branches], 2, opposées à l'ancrage 3. A ces extrémi-

tés, sur chaque branche 1, 2 est articulée une biellette 7, 8. Les biel-

lettes 7, 8 sont elles-mêmes articulées entre elles 9 à leur autre extré-

mité en un point situé dans le plan de symétrie du dispositif. Sur l'arti-

culation 9, est encore articulé un organe 5, par exemple présentant la forme d'une tige, ancré sur la partie de la chaussure, tige ou bas de

coque, qui ne porte pas l'ancrage 3.

La longueur des biellettes 7, 8 peut être choisie telle qu'en position moyenne, l'articulation 9 soit alignée avec les articulations des biellettes sur les branches 1 et 2. Un basculement vers l'avant provoquera un rapprochement de l'articulation 9 de l'ancrage 3 et un basculement vers l'arrière un éloignement. Dans un cas comme dans l'autre, ceci se traduira par un rapprochemcnt par flexion élastique des cxtrédmidtés des

deux branches l, 2.

Si la longueur des biellettes 7, 8 est plus grande, on se trduvera soit oans la situation de la figure 3A, soit dans celle de la figure 3B. Dans le cas de la figure 3A, un basculement avant se traduira par un rapprochement des extrémités des branches 1, 2, et un basculement

vers l'arrière par un écartement de ces branches 1, 2. L'effet sera évidem-

ment l'inverse dans la situation de la figure.3B.

Comme précédemment i.un curseur 6 permet de régler la lon.gueur

active des branches 1, 2, donc la raideur du dispositif. - -

Cependant, du fait que les branches 1, 2 travaillent en flexion

élastique en rapprochement et en éloignement de leurs extrémités, le cur-

seur 6 pourra avantageusement comporter une butée d'appui interne 20, telle

que visible dans la figure 4, en plus de ses ailes latérales 21 qui cons-

tituent la butée d'appui externe comme dans le cas des figures précédentes; ainsi, le curseur 6 permet de régler la longueur active des branches 1, 2 -5- pour les deux sens de flexion de ces dernières. Bien entendu, on peut aussi prévoir un réglage distinct de la longueur active des branches selon leur sens de flexion. A cet effet, dans l'exemple représenté en figure 5, le curseur 6 coopère avec une butée d'appui interne 25 mobile en position par rapport à ce dernier par l'intermédiaire d'une vis 26 que l'on peut monter dans l'un ou l'autre des trous de positionnement 27 que comporte le curseur et qui peut être engagée, par son extrémité vissée, dans l'un des trous taraudés dont est pourvue la butée d'appui 25j Encore,la butée d'appui interne 30, représentée en figure 6, peut être prévue pour dépasser

relativement les ailes latérales 21 du curseur auquel elle.est.:rendue.'-

solidaire. De même, quoique non représentés, la butée d'appui interne 20, , 30 et/ou le curseur peuvent être prévus réglables en position sur la

partie de la chaussure équipée du dispositif, indépendemment l'un de l'autre.

On peut aussi prévoir un curseur 6 Dourvu uniquement d'une butée d'appui

interne 20, 25, 30 sans butée d'appui externe 21.

Pour la facilité de compréhension des exemples de mise en oeuvre du dispositif représenté aux figures suivantes, on citera le curseur

6 sans indiquer les détails de construction qu'il est susceptible de pré-

senter et que nous venons de décrire dans les figures 4, 5 et 6.

La figure 7 montre de façon schématique une chaussure équipée d'une dispositif tel que ceux qui viennent o'être décrits. On reconnait un bas de toque 10 sur lequel est articulée autour d'un axe transversal ll une tige constituée d'une manchette 12 et d'un capot arrière 13. Sur le bas de coque 10, à l'arrière, se trouve-ancré en 3 un dispositif de contrôle de l'un des-types qui viennent d'être évoqués. La poutre double 1, 2 monte depuis le talon, derrière le tendon d'Achille, jusqu'à l'organe solidaire du capot arrière 13.

La figure 8 montre le capot arrière 13 ainsi équipé, de préfé-

rence de son côté intérieur, d'un dispositif selon la figure 2 niais o les axes de l'ancrage 3 sur le bas de coque (non représenté) et de l'organe 5

sont orthogonaux.

Les figures 9 et 10 sont similaires mais avec des dispositifs selon les figures 3A et 3B respectivement. Cette fois, l'ancrage 3 se trouve sur le capot arrière 13 et l'organe 5 est solidaire du bas de

coque (non représenté).

La figure 11 montre une autre chaussure selon l'invention o un dispositif de contrôle de la raideur en basculement selon la figure 3B est disposé du côté avant. L'ancrage 3 est sur l'avant du bas de coque 10

et-l'organe 5 est disposé sur la manchette 12 au-dessus du cou-de-pied.

Il est clair de ce qui précède qu'à partir des principes des - 6 - figures 2, 3A et 3B, d'autres variantes peuvent être envisagées sans qu'il soit utile de les décrire par le détail. Notamment, un dispositif de contrôle de la raideur en basculement de la tige par rapport à la manchette pourrait aussi bien être disposé sur un seul flanc ou sur chaque flanc de la chaussure. Par ailleurs, les deux branches 1, 2 du dispositif peuvent être solidarisées par un moyen de fixation au voisinage de l'ancrage 3 ou être

venues d'une seule pièce pour constituer la poutre double.

Il va de soi que les branches l, 2 pourront présenter une section

variable en vue d'obtenir un contrôle de la raideur croissant avec l'ampli-

tude de la flexion.

-7 -

Claims

R E V E N D I C A T I O N S

1.- Chaussure, notamment de ski alpin, comportant une tige (12, 13) au moins partiellement articulée autour d'un axe transversal (11) sur un bas de coque (10) et un dispositif de contrôle de la raideur des déplacements en basculement de la tige (12, 13) par rapport au bas de coque (10), comprenant deux branches ou lames de flexion (1, 2) solidaires par une extrémité (3),respectivement entre elleset par un ancrage de la tige (12, 13) ou bas de coque (10), caractérisée par le fait que les deux branebes. ''''

bcooperent par leur autre extrémité avec un organe d'appui ou d'actionne-

ment (5) porté respectivement par le bas de coque (10) ou la tige (12, 13) faisant varier élastiquement leur écartement en réponse à un effort de basculement de la tige (12, 13) par rapport auubas de coque (10), aussi

bien vers l'avant.que vers l'arrière.

2.- Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par le fait que les deux lames de flexion (1, 2) constituent les branches d'une poutre

double.

3.- Chaussure selon la revendication 2, caractérisée par le fait que les deux branches ou lames de flexion (1, 2) sont solidarisées entre

elles au voisignage de l'ancrage (3) par un moyen de fixation.

4.- Chaussure selon la revendication-2, caractérisée par le fait que les deux branches ou lames de flexion (1, 2) sont venues d'une seule

pièce constituant la poutre double.

5.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 4,

caractérisée par le fait que les deux branches ou lames de flexion (1, 2)

présentent à leurs extrémités opposées à l'ancrage (3) une forme consti-

tuant une pince enserrant élastiquement en direction transversale mais

avec jeu longitudinal l'organe d'actionnement (5).

6.- Chaussure selon la revendication 5, caractérisée parIle fait

que l'organe (5) se présente sous la forme d'un plot de section circu-

-laire.

7.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 4,

caractérisée par le fait qu'à l'extrémité de chaque branche ou lame de flexion (1, 2) est articulée une biellette (7, 8), les biellettes (7, 8) étant elles-mêmes articulées entre elles (9) et à un organe (5) solidaire du bas de coque (10) ou de la tige (12, 13) de la chaussure, en un point

(9) situé entre les extrémités des branches (1, 2).

8.- Chaussure selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'articulation (9) des biellettes (7, 8) et de l'organe (5) est, en _ _ _z...... _.... _ 1.A;AAA'_t h _11 D (t7. R ' _ 6 _

sur les branches (1, 2).

9.- Chaussure selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'articulation (9) des biellettes (7, 8) et de l'organe (5) est située du côté de l'ancrage (3) par rapport aux articulations des biellettes (7, 8) sur les branches (1,2). 10.- Chaussure selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'articulation (9) des biellettes (7, 8) et de l'organe (5) est située

du côté opposé à l'ancrage (3) par rapport aux articulations des biellet-

tes (7, 8) sur les branches (1, 2).

Il.-Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 10,

caractérisée par le fait qu'un curseur (6) enserrant les branches (1, 2) est déplaçable le long de ces branches (1, 2) pour varier la raideur du dispositif. 12.- Chaussure selon la revendication 11, caractérisée pal le fait que le curseur (6) enserre les branches (1,2) par des ailes latérales

(21) qui constituent la butée d'appui externe.

13.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 11 et

12, caractérisée par le fait que ie curseur (6) comporte une butée d'appui

interne (20, 25, 30).

14.- Chaussure selon la revendication 13, caractérisée par le fait que la butée d'appui interne (25) est réglableen position par rapport

aux ailes latérales (21) du curseur (6).

15.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 11 à

14, caractérisée par le fait que le curseur (6) est réglable en position

sur la partie de chaussure équipée du dispositif.

16.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 13 à

,.caractérisée par le fait que la butée d'appui interne (25) est- réglable

en position sur la partie de chaussure équipée du dispositif.

17.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 16,

caractérisé par le fait que la tige comprend une manchette (12) et un capot arrière (13) et que le dispositif de contrôle de la raideur est disposé

entre le capot arrière (13) et le bas de coque (10).

18.- Chaussure selon Ia revendication 17, caractérisée.par le fait que le dispositif de contrôle de la raideur est disposé du côté

intérieur du capot arrière (13).

19.- Chaussure selon la revendication 17, caractérisé par le fait que le dispositif de contrôle de la raideur est disposé du côté

extérieure du capot arrière (13).

-9-

20.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 16,

caractérisée par le fait que le dispositif de contrôle de la raideur est disposé sur l'avant de la chaussure entre le bas de coque (10) et la tige

(12, 13) de la chaussure.

21.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 16,

caractérisée par le fait quiun dispositif de contrôle de la raideur est disposé sur au moins un flanc de la chaussure entre la tige (12, 13) et

le bas de coque (10).