FR2590599A1 - Poste de couture a plat. - Google Patents

Abstract

Poste de travail de couture à plat pour introduire une bande élastique ou de renforcement dans un ourlet. Selon la présente invention, un guide 3 permet la formation de l'ourlet dans le tissu 4 et la mise en place de la bande 5, un couteau raseur 6 découpant le bord de l'ourlet avant la couture, un couteau guillotine séparant les articles cousus, qui après séparation sont repris pour un dispositif d'empilage 23. Applications : gain de temps de fabrication par suppression de l'opération de mise en place et de fixation provisoire de la bande élastique 5. (CF DESSIN DANS BOPI)

Description

POSTE DE COUTURE A PLAT
La présente invention a pour objet un poste de travail de couture du type "à plat" destiné en particulier, mais non exclusivement, à la couture d'une bande notamment élastique destinée à constituer la ceinture d'un vêtement ou sous-vêtement. Ces bandes élastiques ont pour but de maintenir le vêtement sur le corps, sans accessoires tels que ceintures ou bretelles.

On sait que dans la technique traditionnelle la pose d'une bande élastique ou laminette exige deux opérations : une première opération au cours de laquelle la laminette est positionnée par rapport au tissu constituant le vêtement à l'aide d'un fil de bâti, puis une seconde opération au cours de laquelle la bande est réellement incluse par couture dans un ourlet fermé par un surjet, cette opération étant suivie d'une coupe de la partie d'ourlet rabattue mais non cousue.

Ces opérations sont longues, exigent un transfert de poste de travail, et sont par suite coûteuses.

Bien entendu, il existe des machines à coudre de types variés et pouvant réaliser des coutures dans des positions variables.

Dans la plupart des machines destinées à la formation des ourlets, un couteau raseur est prévu au-dessus de la table de travail à droite des aiguilles. Toutefois, on connaSt un type de machine fabriqué par la Société RIMOLDI dans laquelle un couteau raseur est disposé, en avant et à gauche des aiguilles de la tête de couture, ce couteau présentant une lame verticale animée d'un mouvement alternatif par une bielle reliée au différentiel de la machine et une contre-lame horizontale fixe, ce dispositif permettant de couper un ourlet de largeur régulière par rapport au bord externe du vêtement, lorsque celui-ci est tourné côté extérieur vers le haut de la machine.

La présente invention a pour objet de remédier aux inconvénients résultant de la nécessité de procéder à deux opérations et de changer de poste de travail pour effectuer ces opérations. Elle a pour but un poste de travail de couture à plat permettant d'une part l'introduction d'une bande élastique ou non dans un ourlet en une seule opération et sur une seule machine, les pièces ainsi cousues étant automatiquement empilées.

Selon la présente invention, le poste de couture comprenant une machine à coudre, une table de travail, sur laquelle les pièces à coudre progressent par l'entratnement des grilles de la machine, sur la table de celle-ci, un couteau raseur étant disposé au-dessous de ladite table et faisant saillie sur une hauteur égale à une épaisseur de tissu, est caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif d'alimentation continue d'une bande élastique, disposé au-dessous de la table, un guide pour l'introduction de la pièce à coudre, un couteau guillotine, disposé derrière la machine à coudre pour couper la bande élastique et un dispositif d'empilage automatique disposé à la sortie de la table.

Ainsi, les opérations de pose d'un bord, qu'il s'agisse d'une ceinture élastique, d'un tour de jambes ou de tours de cou ou de bras non élastiques, sont effectuées très rapidement, ce qui permet de gagner du temps en soulageant la fatigue des ouvrières dont le seul travail consiste à guider la pièce à coudre, celle-ci se retrouvant automatiquement empilée en vue de son acheminement sur le poste de travail suivant.

Le bord de la pièce à rendre élastique est introduit dans le guide où il vient entourer la laminette qui se déplace en direction rectiligne. Après cet enroulement, la partie de tissu excédentaire est coupée par le couteau raseur et l'ourlet est fermé par une couture. La couture est ainsi effectuée à plat, sans perte de temps et de matière.

melon une autre caractéristique de l'invention, on dispose sur la table de travail, à l'entrée de celle-ci, un premier détecteur détectant la présence ou non d'une pièce de tissu, et un second détecteur immédiatement devant les aiguilles de couture, lesdites cellules étant reliées à un automate de commande de la machine à coudre et de ses organes périphériques.

D'autres caractéristiques et avantages de la présente invention apparaîtront au cours de la description qui va suivre d'un mode particulier de réalisation, donné uniquement à titre d'exemple non limitatif, en regard des dessins qui représentent - la Fig 1, une vue en perspective d'un poste de couture selon l'invention - la Fig 2, un schéma par blocs du poste de travail - la Fig 3, une vue de guide - les Fig 4 des schémas montrant l'évolution respective de la laminette et du tissu tricoté dans le cas de la couture d'un sous-vêtement ; - la Fig 5, une vue par dessous de cette table.

Sur la Fig 1, on voit que sur une table 1 est fixée une machine à coudre 2. Devant la machine à coudre, dans le sens du déplacement du tissu, est disposé un guide 3 à l'intérieur duquel sont entraînées d'une part une pièce à coudre 4 et une bande élastique ou laminette 5 qui est débitée par un dispositif disposé en dessous de la table de travail 1.

L'ensemble laminette tissu passe ensuite sur la lame d'un couteau raseur 6 qui coupe et régularise la partie de tissu excédentaire par rapport à la largeur de l'ourlet. Le couteau raseur est constitué par une lame mobile entraînée par la machine à coudre et une contrelame horizontale qui apparait sur la Fig 1. Le couteau 6 peut, si la machine n'est pas munie du mécanisme adéquate, être entrainé dans son mouvement alternatif vertical par un moteur indépendant. Un dispositif d'aspiration 9 présente une ouverture au voisinage immédiat du couteau 6. Ce dispositif débouche ensuite vers l'extérieur par un conduit souple 18. Le tissu arrive ensuite sous la tête de couture 7 de la machine 2 qui, dans le cas présent, comprend deux aiguilles 8 espacées de quelques millimètres et un pied presseur 9 qui permet de régler la pression des griffes.Bien entendu, un crochet non représenté ferme l'ourlet du côté intérieur du vêtement en liant les deux fils de couture distribués par les aiguilles 8.

Derrière la tête de couture 7, on distingue un couteau 16 du type à guillotine qui a.pour but de couper la partie de bande reliant deux articles à ce stade des opérations. La laminette, constituée par une bande continue, n'est coupée qu'après que la couture ait été effectuée. La partie avant de la pièce cousue comme il vient d'être indiqué entre dans une glissière 10 et, sous son propre poids, prend une position sensiblement verticale c'est-à-dire qu'elle pend le long de la glissière 10, puis, au-delà, sur une surface 22. La partie supérieure de la pièce, par exemple la ceinture, est maintenue par une butée 21 dans un plan vertical déterminé.

La table 1 comprend, dans sa partie avant, un détecteur 11 constitué par exemple par une cellule à photodiode qui a pour but de signaler la présence de tissu sur la table de la machine. Elle comprend également, en avant de la tête de couture, une seconde cellule 12 qui a pour but de signaler le passage de la fin de la pièce à coudre. Comme représenté sur la Fig 2, ces deux cellules sont reliées à un automate 13 ou circuit temporisé de commande automatique prenant en charge l'ensemble des organes constituant le poste de travail.

L'automate 13 a pour but de commander l'empileur 15, la machine à coudre 2 et ses différents organes périphériques à savoir, le couteau guillotine 16, une centrale pneumatique ou une source extérieure d'air comprimé et d'aspiration dont les vannes sont commandées par l'étage 27, qui délivre une pression ou une dépression d'air aux endroits nécessaires pour le fonctionnement du poste et, en particulier, sur les soufflettes 19 (Fig 5) et sur l'aspirateur de déchets 9,18 disposé comme celà sera décrit par la suite au voisinage immédiat du couteau raseur 6, devant les aiguilles, ce qui dégage parfaitement les rasures de l'ourlet. Un tableau de commande 14 (Fig 5) permet d'indiquer à l'automate 13 les différents paramètres propres aux articles à coudre.Le couteau à guillotine 16 peut être commandé pneumatiquement, mais il peut également être commandé par un vérin électromagnétique ou analogue. Parallèlement à son action sur la machine à coudre 2, l'automate agit sur la mise en route d'un moteur 20 disposé au-dessous de la table, ce moteur ayant pour but de débiter la laminette à une vitesse qui est réglable indépendamment de la vitesse de fonctionnement de la machine à coudre. En effet, c'est la différence de vitesse entre les griffes de la machine (non représentées) et le débit de la laminette par le moteur 20 qui va provoquer la tension désirée de celle-ci lors de la couture afin d'obtenir des fronces régulières. Pratiquement, la laminette 5 va servir de véhicule au bord de la pièce 4 avant que la solidarisation par couture soit réalisée.Mais bien entendu, les articles doivent ensuite être séparés et c'est pourquoi la tête de couture est suivie par un couteau 16 qui, en coupant la bande élastique, sépare les articles cousus.

Le dispositif empileur 15 est un appareil simplifié fonctionnant selon les principes décrits dans le brevet nO 85 06478 du 29 Avril 1985 au nom de la demanderesse pour "Dispositif d'empilage de pièces textiles". On n'a représenté sur la Fig 1 que le bras mobile 23 de l'empileur. Celui-ci est animé d'un mouvement de pivotement par rapport à son support au sol, ledit support étant lui-même mobile par rapport à la table d'empilage proprement dite. Lors de la couture d'une pièce, la partie avant descend sur la glissière 10, puis sur la surface 22. La surface 22 sert de butée au bras mobile 23.

La partie médiane de la pièce à coudre arrive ainsi au niveau du bras 23. Le bras 23 vient alors porter contre la surface de butée 22, le mouvement du bras 23 étant commandé par l'automate 13 en fonction de l'information de passage du bord avant de la pièce communiquée par la cellule 12 et d'un réglage de taille qui est introduite dans l'automate 13 par le tableau de commande 14. Dans son mouvement vers la surface 22, le bras 23 vient pincer la pièce de tissu au niveau de sa partie médiane. La couture de la partie arrière de la pièce continuant la pièce est encore poussée vers l'avant et, guidée par le guide 10, vient en quelque sorte se plier sur la barre 23. Cette disposition permet d'obtenir l'empilage de pièces pliées en deux. Elle n'est cependant pas nécessaire et tout autre dispositif d'évacuation des pièces peut être disposé à la sortie du poste de couture.

La Fig 3 représente en perspective le guide 3 qui constitue un élément essentiel du poste de travail et a pour but de permettre l'enroulement du bord du vêtement 4 autour de la bande élastique 5. Le guide 3 est constitué par deux bandes, par exemple en métal, conformées en hélice, un espace 21 dont la largeur est égale à la somme des épaisseurs de la -bande élastique et de deux nappes de tissu. Les Figs 4a et 4c sont des sections réalisées selon les plans verticaux mentionnés sur la Fig 3. La partie du tissu 4, constituant le bord d'un article doit, pour recouvrir la bande 5, accomplir un mouvement hélicoïdal qui fasse tourner le bord du tissu au fur et à mesure de la progression de celui-ci à l'intérieur du guide 3.Selon une caractéristique de l'invention, la bande 5 se déplace en direction longitudinale depuis l'entrée de la table jusqu'à la sortie de celle-ci en effectuant un demi-tour. On introduit donc le bord droit de l'article à coudre dans la fente 31 et, le tissu 4 étant en contact avec la bande élastique qui présente un fort coefficient de frottement se déplace dans la meme direction. A la sortie du guide 3, le tissu est latéralement maintenu et guidé par une surface verticale de guidage 32.

La Fig 4 représente le poste de couture vu par dessous. On distingue sur cette figure le moteur 20 de débit de la bande élastique 5. C'est le débit de laminette 5 par le moteur 20 qui permet de régler la tension de celle-ci et ainsi la proportion des fronces sur la ceinture. Au cours des opérations de couture à plat, la largeur de chaque article par rapport au bord de celui-ci, lorsqu'il est étalé sur la table, varie. Etant donné que la pièce n'est maintenue que par un seul bord, au moins les parties les moins larges ont tendance, sous l'influence de la tension faisant glisser la pièce 4 sur la table 1, à se relever et par suite à ne pas se présenter sous la tête de couture 7 dans une position appropriée, c'est-à-dire à plat.A cet effet, on prévoit avantageusement des soufflettes 19, telles que celle qui est représentée sur la Fig 5, qui aplatissent le tissu sur la table en lui appliquant un jet d'air comprimé convenablement orienté.

Pratiquement, dans un prototype réalisé, ces soufflettes sont au nombre de trois dont l'une est disposée près de la tête de couture de la machine. Bien entendu, ces soufflettes sont reliées par des tuyaux (non représentés) à la centrale pneumatique (non.représentée)ou plus généralement à une source d'air comprimé qui peut être extérieure à la machine. Un électroaimant 17 commande le couteau à guillotine 16.

Le fonctionnement du poste de couture est le suivant
Au début de la couture d'une pièce, la machine à coudre et l'empileur sont au repos. L'introduction du bord avant d'une pièce à l'intérieur du guide 3 provoque l'apparition d'un signal sur la cellule 11. Ce signal est appliqué sur l'entrée de l'automate 13. Il provoque le déclenchement d'un cycle de l'empileur 15 c'est-à-dire l'avance en direction de la machine à coudre du bras de pliage 23 et le pivotement de ce bras dans une première position permettant au tissu de glisser sur la surface 22. Lorsqu'il n'y a plus de tissu au-dessus de la cellule 11, la retombée du signal provoque l'arrêt automatique de la machine.

L'appui sur la pédale de commande de la machine (non représentée) provoque le démarrage de la machine et actionne l'aspiration 18 et les soufflettes 19. Il déclenche également la mise en route du moteur 20 qui commence le débit de la laminette 5, le relâchement de la pédale provoquant l'arr8t du moteur de la machine. Mais le signal 11 peut également être utilisé pour commander la mise en route de la machine et l'introduction de l'air comprimé dans les organes utilisateurs, la pédale de commande pouvant alors être supprimée.

La laminette 5 est entraînée par les griffes de la machine, et elle entraîne à l'intérieur du guide 3 la partie avant de la pièce 4 qui progresse sur la table 1, la pièce pouvant glisser aisément sur la table. Lorsque la pièce 4 arrive au-dessus de la cellule 12, celle-ci-émet un signal qui reste sans action sur le déroulement des opérations, c'est-à-dire que la couture proprement dite commande, le couteau raseur 6 découpant la partie excédentaire de l'ourlet, cette partie étant aspirée par l'orifice 18 de l'étage d'aspiration pour être rejetée dans une caisse. La disposition de cette aspiration est importante. En effet, dans les machines connues, l'aspiration était effectuée derrière les aiguilles de sorte que les déchets pouvaient, soit être pris dans la couture, soit gêner celle-ci.

La cellule 12 intervient dans la détection du bord avant de la pièce à coudre qui va pénétrer sous la tête de couture 7. Elle déclenche l'actionnement du couteau 6 lorsque l'article passe sous la tête du couteau de la machine. Elle intervient également dans le processus lorsqu'elle détecte le passage du bord arrière de la pièce 4. Elle délivre alors un signal de commande à l'automate 13. Le signal appliqué sur l'automate 13 provoque la continuation du cycle d'empilage qui s'était interrompu lorsque les organes avaient atteint la position d'attente mentionnée ci-dessus. Comme indiqué précédemment, à la sortie de la machine à coudre, la pièce est guidée par un tablier 22. Le rouleau de pressage et de support 23 vient alors porter contre le tablier 22. La pièce 4 continuant d'avancer, se plie autour du rouleau 23. Au bout d'un temps déterminé, la pince de l'empileur vient saisir la pièce et la dépose sur la pile en formation, comme indiqué dans le brevet sus-mentionné, indépendamment du fonctionnement de la machine à coudre. Le signal 12, délivré par la cellule 12, ou signal de fin de couture, est également appliqué sur l'automate 13.

Celui-ci envoie au couteau 16 une instruction qui provoque la coupure de la laminette et, par suite, la séparation de l'article.

La machine est alors prête pour l'introduction d'une nouvelle pièce.

Il va de soi que de nombreuses variantes peuvent être introduites notamment par substitution de moyens techniquement équivalents, sans pour autant sortir du cadre de l'invention.

Claims (7)

REVENDICATIONS

10 Poste de couture comprenant une machine à coudre1 une

table de travail, sur laquelle les pièces à coudre

progressent par l'entratnement de griffes, un couteau

raseur étant disposé au-dessous de ladite table et

faisant saillie à partir de celle-ci sur une hauteur

égale à une épaisseur de tissu caractérisé en ce qui

comprend un dispositif (20) d'alimentation d1une bande

(5), disposé au-dessous de la table, un guide (3) pour

l'introduction de la pièce à coudre (4), un couteau

guillotine (16), disposé derrière la machine à coudre 52)

pour couper la bande (5) et un dispositif d'aspiration

des déchets de coupe (9,18) placé à proximité du couteau

raseur (6).

20 Poste de couture selon la revendication 1, caractérise en

ce que la sortie de la table (1) présente une glissez

(10) surplombant un surface de butée (22) contre laquelle

vient porter en fonction de l'avancement de la couture

d'une pièce (4), à intervalles déterminés, le bras (231)

d'un dispositif d'empilage (15).

30 Poste de couture selon l'une des revendications 1 ou 2,

caractérisé en ce qu'un premier détecteur (11) est placé

à l'entrée de la table (i) le détecteur (11) détectant la

présence ou non d'une pièce de tissu (4) sur la table 1,

un second détecteur (12) placé immédiatement devant les

aiguilles (8) de la machine (2), les détecteurs (11,12)

étant reliés d'une part à un automate (13) de commande de

la machine à coudre, de ses organes périphériques et du

fonctionnement séquentiel du dispositif d'empilage cl5), 40 Poste de couture selon l'une quelconque des

revendicatiohs précédentes, caractérisé en ce que le

guide (3) est constitué par deux surfaces hélicoldales

dégageant entre elles un espace (31) dans lequel

pénétrent la bande (5) et le bord de la pièce (4) de

sorte que ce bord vienne entourer la bande (5) et former

un ourlet dont le bord est rasé par le couteau (6) et

surjeté par les aiguilles (8) de la machine (2).

50 Poste de couture selon la revendication 4, caractérisé en ce que la bande (5) effectue une rotation d'un demi-tour à l'intérieur du guide (9).

60 Poste de couture selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce qu' il

comprend au moins une soufflette (19) reliée à une

centrale pneumatique pour rabattre par insufflation

d'air comprimé le tissu (4) à plat sur la table (1).

70 Poste de couture selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que le

fonctionnement du débiteur (20) de bande (5) est indexé

sur le fonctionnement de la machine (2), lui-même

déclenché par un signal émis par le détecteur (11-).

80 Poste de couture selon l'une quelconque des

revendications précédentes, caractérisé en ce que le

tissu (4) est entraîné sur la table par la bande (5)

elle-meme entratnée par les griffes de la machine (2)

avant son introduction sous la tête de couture (7).