FR2586787A1 - Dispositif de support a assembler soi-meme pour y disposer librement des objets utiles ou decoratifs - Google Patents

Abstract

DISPOSITIF DE SUPPORT, A ASSEMBLER SOI-MEME, POUR Y DISPOSER LIBREMENT DES OBJETS UTILES OU DECORATIFS. L'INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF DE SUPPORT A ASSEMBLER SOI-MEME, PERMETTANT DE FIXER DES OBJETS UTILES OU DECORATIFS ET DE VARIER SANS DOMMAGE LEUR DISPOSITION. IL EST CONSTITUE, EN PARTIE, DE PARALLELEPIPEDES 15 PRESENTANT UNE FACE CARREE DE DIMENSIONS CORRESPONDANT A UNE MESURE DE REFERENCE ETABLIE POUR UN MODELE DONNE ET COMPORTANT UNE STRUCTURE TOURNANTE INCORPOREE 17 AVEC UNE CAGE 3 CONCUE POUR RECEVOIR UN PIVOT SUPPORTANT UN OBJET UTILE OU DECORATIF ET, EN PARTIE, DE PARALLELEPIPEDES AVEC OU SANS CAGE 3 NE COMPORTANT PAS DE STRUCTURE TOURNANTE INCORPOREE MAIS DONT LES DIMENSIONS CORRESPONDENT A LA MESURE DE REFERENCE ETABLIE 1 POUR LE MODELE CONCERNE OU A UNE FRACTION SEQUENTIELLE DE CELLE-CI 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, L'ENSEMBLE ETANT SERRE CONTRE UN CHASSIS 38 PAR UNE BARRE D'APPLIQUE 37.

Description

La présent invention concerne un dispositif de support pour basrelief, rondes bosses, statuettes ou autres objets décoratifs. Ce dispositif est destiné à favoriser la décoration à partir de pièces détachées à monter soi-même. Dans de nombreux cas l'invention facilite le travail du sculpteur.

La décoration des meubles (par exemple) grace à des bas-relief, rondes bosses, et autres figurines en trois dimensions ressort généralement de l'initiative de l'artiste et elle est définitive, même lorsqu'il assagit de réalisation sur commandes. En effet, les supports traditionnels ne sont pas conçus pour changer fréquemment, facilement et sans dommage les motifs ornementaux.

Une plaque perforée, par exemple, répond mal au problème posé par la décoration réalisée à partir d'éléments détachables à monter soi même. Elle permet, certes, de fixer ou de déplacer un ou plusieurs objets à sa surface sans la détériorer davantage, mais les trous déjà existants bafouent par leur seule présence les règles élémentaires de l'esthétique et l'alignement préétabli des perforations ne permet pas de positionner un objet avec précision en le fixant, par exemple, entre deux rangées de perforations, sinon, en faisant un trou supplémentaire qui, rompant avec la symétrie générale, se remarquera si l'objet vient à être déplacé ou supprimé.

D'autres supports ne permettent pas de concilier la necessité d' un encrage solide avec l'intérêt pour l'amateur désirant réaliser lui même sa décoration à partir d'élément détachables, d'un support respectant les règles élémentaires de l'esthétique tout en offrant la possibilité de retirer, de déplacer, de changer et d'agencer selon sa convenance et la fantaisie du moment, autant de fois qu'il le voudra et de façon très précise, des objets en n'importe quel point d'une surfaçe solide et plane sana qu'il s'en suive la moindre détérioration pour le support ni pour les objets. Le dispositif de support, selon l'invention apporte tous ces avantages plus celui, pour tout amateur éventuel, d' enrichir sa collection ornementale ou décorative au fur et à mesuré de ses possibilités financières.

Par ailleurs, le dispositif selon l'invention permet d'éviter les difficultés rencontrées par le sculpteur pour fignoler l'arrière des rondes bosses car, dans ce cas, il permet de travailler les figurines à l'aise dans toutes les dimensions avant de les accoler aux supports.

S'il s'agit d'oeuvres complexes en trois dimensions mettant en jeu plusieurs sujets plus ou moins imbriqués comme ce peut être le cas, par exemple, pour des sportifs au cours d'une melée de rugby, au cours d'un combat de lutte gréco-romaine ou, plus couramment encore s'il 81 agit de personnages se livrant à des jeux érotiques, l'artiste trouvera l'avantage de sculpter et éventuellement de mouler séparement les statuettes et l'amateur aura le privilège de choisir ses personnages, de les positionner ou de les agencer à sa convenance.

Le dispositif selon l'invention offre tous ces avantages et il revient au décorateur ou au sculpteur d'exercer son talent pour en exploiter toutes les possibilités.

Avec quelques variantes de détails, le dispositif selon l'invention peut être utilisé verticalement, fixé le long d'un mur ou d'un meuble quelconque pour l'encrage des bas-relief et des rondes bosses par exemples ou horizontalement, posé sur une cheminée, sur une commode etc, ou intégré à un meuble spécialement conçu à cet effet pour l'encrage de figurines, de statuettes etc.

Le dispositif de support selon l'invention est formé d'un nombre variable de parallélépipèdes réunis grace à une barre de serrage, chaque parallélépipède possédant au moins une face présentable,de forme en principe carrée, bénéficiant d'une finition particulièrement soignée et dont les dimensions correspondent à une mesure de référence établie pour un modèle donné. Ce sont des parallélépipèdes intégraux, indivisibles.

La face présentable d'un parallelepipede peut également être de forme rectangulaire, à condition que le petit c8té du rectangle corés ponde à une fraction séquebtielle de la mesure de référence, entendu que les differentes fractions séquentielles permettent de reconstituer sur un dispositif un nombre entier de parallélépipèdes avec une face présentable de forme carrée, dont les dimensions correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné. Ce sont des parallé lépipèdes séquentiels.

Certains parallélépipèdes incluent une cage ouverte au centre de leur face présentable s'il s'agit de pallélépipèdes intégraux, indivisibles. Lorsqu'il s'agit d'ensembles séquentiels, la cage peut se trouver déplacée par rapport au centre si l'on retire ou si l'on déplace un ou plusieurs éléments séquentiels.

L'utilité des parallélépipèdes séquentiels est donc de permettre le déplacement de leur propre cage,lorsquils en possedent une, par rapport au centre théorique d'une surface carrée qu'ils constituent ou qu' ils permettent de reconstituer si on les regroupe. Avec ou sans cage, ils peuvent également servir à décaler l'alignemèht d'un ou de plusieurs parallélépipèdes intégraux, indivisibles par rapport aux autres.

Les cages sont destinées à loger un pivot solidaire d'un objet décoratif ou d'un objet utile spécialement conçu à cet effet. Un fil de fer par exemple, lui-même solidarisé à l'infrastructure du pivot peut servir pour la totalité ou pour une partie de l'armature d'un objet décoratif en plâtre.

Le nombre de parallélépipèdes incluant une cage ouverte sur leur face présentable peut être défini en fonction du nombre d'objets à fixer sur le dispositif de support. Les parallélépipèdes qui ne possèdent pas de cage ouverte sur la face présentable assurent néanmoins la continuité et lthomogénéité de l'ensemble de la surface présentable.

Selon une autre version préférencielle de l'invention, certains parallélépipèdes intégraux, indivisibles, sont de forme cubique et possèdent deux faces suceptibles d'être présentées, l'une munie d'une cage et l'autre n'en comportant pas.

La cage et le pivot correspondant sont généralement de forme cylindrique lorsque le dispositif de support est destiné à être utilisé horizontalement, de façon à permettre l'orientation des objets décoratifs dans toutes les directions. Ils seront de forme par exemple hexagonale ou octogonale, lorsque le dispositif de support est destiné à être utilisé verticalement de façon à favoriser la stabiliter de l'objet décoratif, même quand celui-ci se trouve monter en porte--faux sur un pivot unique, de la même manière qu'une clé à molette placée sur un écrou le long d'une paroi verticale peut se maintenir en position horizontale, malgré le poids du manche en porte-à-faur..

La fixation du pivot dans la cage est assurée par une tige de section inférieure à celle du pivot qu'elle prolonge dans la direction opposée à celle de l'objet décoratif. Elle comporte un filetage à son extrémité afin de recevoir un écrou. En conséquence, les parallélépipèdes dotés d'une cage comprtent également un évidement permettant le passege de cette tige filetée jusqu'à la partie opposée à la face présentable sur laquelle s'ouvre la cage.

Les parallélépipèdes integraux et indivisibles dotés d'une cage appartiennent à deux ordres : - les uns comportent une structure tournante incorporée. Le fait qu'ils possèdent un cylindre démontable n'entre pas en ligne de compte pour leur classification car ils ne peuvent être utilisés sur le dispositif selon l'invention, que lorsque tous les éléments qui les composent sont assemblés correctement et leur face présentable est toujours de forme carrée avec les dimensions qui correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné.

Les autres parallélépipèdes intégraux, indivisibles, dotés d'une cage sont compactes, ce sont des monoblocs dans tout le-sens du terme, d'où leur désignation : parallélépipèdes intégraux, indivisibles, monoblocs.

Un parallélépipède intégral, indivisible, comportant une structure tournante incorporée possède généralement une seule face présentable.

Le corps du parallélépipède forme un boitier évidé de façon à loger une structure tournante matérialisée essentiellement par un cylindre occupant le volume maximal au sein du boitier. Ce cylindre est disposé de façon à loger que l'une des faces de sa circonférence, considérée en tant que ligne courbe et plane, affleure exactement au niveau de la face présentable du parallélépipède et sa finition est harmonisée avec celle de la surface présentable du dispositif. Le cylindre est maintenu à ce niveau grace à deux cdlerettes dont l'épaisseur correspond à celle du pivot. L'une est située sur le cylindre à l'affleurement de la face présentable et se loge dans un évasement du boitier, de forme correspondante à la collerette.

Pour faciliter le montage, la collerette opposée à la face présentable fera partie d'une pièce circulaire rapportée et fixée par vissage sur le cylindre. Le cylindre ainsi maintenu de niveau peut néanmoins tourner sur lui-mêmes au sein du boitier. I1 comporte un rayon orientable dont l'infrastructure est aménagée de telle façon que le pivot supportant un objet décoratif et la tige filetée qui le prolonge puissent prendre position en n'importe quel point situé sur ce rayon.

Une cavité partant du bo wextérieur du cylindre jusqu'au centre, en le dépassant légèrement et allant depuis la face présentable jusqu' à la face opposée, permet de déplacer la tige filetée à la perpendiculaire du rayon orientable. Cette infrastructure inesthétique est maquée sur la face présentable du cylindre par un cache de nême longueur cue le rayon orientable et qui se présente en coupe en forme de queue d'aronde dont la partie rétrécie affleure la face présentable. La largeur de ce cache est supérieure à celle de la cavité livrant passage a la tige filetée. Elle doit être suffisante pour que la cage puisse être aménagée dans le cache lui-même.La finition du cache est identique à celle de la face présentable dont Il fait partie mais on comprend que son côut reste dérisoire par rapport à celui de l'ensemble du parallélépipède à ie structure tournante incorporée. On considère ce côut comme négligeable, ce qui permet, au chou, d'offrir à l'amateur s - soit une série de caches dotés chacun d'une cage perforée d'avance à une distance chaque fois différente de l'extrémité du cache - soit une série de couvercles vierges dont la cage sera perforée à la demande de façon ponctuelle et précise par le vendeur ou par l'utilisateur lui-même. I1 est ainsi possible de positionner le pivot supportant l'objet décoratif en n'importe quel point du rayon orientable.

Un contre cache de même longueur que le rayon orientable et en forme de queue d'aronde et dont la partie rétrécie est orientée dans le sens opposé à la face présentable prend place dans un logement de forme correspondante sur la plaque circulaire rapportée par vissage sur le cylindre.

I1 est doté d'une perforation dont le centre concorde avec celui de la cage située dans le cache qui affleure à la face présentable et son diamètre correspond à celui de la tige filetée qui passe au travers de lui de façon à éviter le ballotage de la tige en empêchant qu'elle se déplace de façon désordonnée dans la cavité tout au long du rayon orientable.

Nous savons que cette tige filetée reçoit un écrou à son extrémité qui en l'occurence dépasse légèrement le contre cache0 Quatre pieds situés dans les angles à l'opposé de la face présentable assurent, pour ce type de parallèlépipède comportant une structure tournante incorporée, l'es- pace necessaire à l'emplacement variable de cet écrou sans que sa présence nuise à la stabilité du parallélépipède.

Grace à son rayon orientable, un parallélépipède comportant une structure tournante incorporée offre la possibilité de positionner la cage sur une partie importante de sa surface utile et dans bien des cas, pour régler la distance entre deux objets, on pourra positionner l'un d'eux sur un parallélépipède intégral monobloc dont le c8ut de fabrication est nettement moins élevé.

Les parallélépipèdes séquentiels dotés d'une cage ont également 1' avantage d'un côut de fabrication peu élevé mais ils n'offrent pas la même souplesse d'utilisation et la même possibilité de précision pour positionner la cage que les parallélépipèdes intégraux comportants une structure tournante incorporée.

Les parallélépipèdes séquentiels dépourvus de cage permettent quand à eux de décaler l'alignement d'un ou de plusieurs paralléllépipèdes intégraux indivisibles par rapport aux autres.

Cet ensemble de parallélépipèdes, trés variable en nombre, est maintenue en place grace à une barre d'applique qui le presse fermement contre un bâti par l'intermédiaire mécanique de tiges filetées. Lorsque le nombre de parallélépipèdes devient trop important entre le bâti et une barre d'applique celle-ci prend le relais du bati en servant de support à une seconde barre d'applique par l'intermédiaire de nouvelles tiges filetées prenant appui sur elle, etc.

La figure I représente un parallélépipède intégral monobloc (I)
indivisible de forme cubique/avec une face présentable (2) munie d'une cage (3) et une face présentable (4) dépourvue de cage.

La cage (3) se prolonge par un conduit (5) destiné à recevoir une tige filetée. Ce conduit(5) débouche sur une cavité plus large (6) destinée à loger un écrou et une rondelle sans déséquilibrer le parallélépipède.

La figure 2 représente un parallélépipède séquentiel (7 - 8 - 9) muni d'une cage (3) située à l'origine au centre de la face présentable (2) en déplaçant une fraction (7) ou deux fractions ( 7 - 8) de ce parall.élé- pipède séquentiel on peut soit, reconstituer une surface présentable de forme carrée (2) mais la cage (3) n'occupera plus le centre de la nouvelle configuration, soit encore séparer les parties séquebtielles (7 - 8 - 9) et les disposer à des emplacements divers, plus ou moins éloigne sur le dispositif.Là encore, la cage (3) ne sera plus au centre de la séquence (7 - 8
la figure 3 montre, détachés, différents parallélépipèdes séquentiels (IO - II - I2 - I3 - 14) non pourvus de cages et pouvant former, lorsqu' on les réunit une surface présentable de forme carrée dont les dimensions correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné.

les differentes fractions sequentielles ne sont pas forcement d'égale valeur.

La figure 4 montre un parallélépipède intégral indivisible avec structure tournante incorporée (I5) avant le montage des différents éléments qui le composent. Le parallélépipède (I5) est évidé de façon à former un boitier (I6) pouvant contenir un cylindre (I7) celui-ci va swéva- sant vers la partie oui forme sa face présentable (2) de façon à former une collerette (I8) qui se pose dans un logement (I9) de ,orme correspondante sur le boitier (in). En contre partie, une plaque circulaire (20) est rapportée par vissage grace a des vis (21). Elle est de forme évasée tout autour de facon à reproduire une collerette (22) identique à la collerette (I8),

prend place en sens inverse dans un logement de forme correspondante(23) sur le boitier (I6) dans la partie opposée à la face présentable (2).

Une cavité (24) sur le cylindre (I7) permet de placer et de déplacer une tige filetée tout au long du rayon orientable (25). Cette cavité (24) est masquée sur la face présentable (2) par un cache (26) tout au long du rayon orientable (25). Le cache 26) dont l'épaisseur correspond à celle de la collerette (I8) se glisse dans son logement (27) sur le cylindre (17). I1 est percé d'un trou formant nne cage (3) pouvant receptionner un pivot solidaire d'un objet décoratif.

Sur la plaque circulaire (20) rapportée à l'opposé de la face présentable (2) un contre cache (28) prend place dans un logement (29) de forme correspondante. Un orifice (30) de même diamètre que la tige filetée prolongeant le pivot permet le passage de celle-ci à travers le contre cache (28) et assure la stabilité de la tige.

Le boitier (Ió) se prolonge par quatre pieds (31) stués dans les angles pour ne pas gener la mise en place de l'écrou à l'extrémité de la tige filetée.

Les dimensions d'une arête du boitier (I6) allant de la face présentable (2) à son opposé plus le pied (31) oui 12 prolonge son identique à la longueur d'une arête allant de la face présentable (2) à l'opposé, pour tout autre parallélépipède placé sur le dispositif et qui ne serait pas doté de pied.

Au montage, on procède de la façon suivante : - on prend un cache (26) dont la cage (3) est localisée en fonction de l'effet recherché.

- on introduit le cache (26) dans le logement (27).

- on prend un contre cache (28) dont l'orifice (30) devant servir de passage à la tige filetée correspond-à la position de la cage (3) sur le cache (26) et on l'introduit dans son logement (29). On introduit le cylindre (I7) dans le boitier (I6). On visse la plaque circulaire rapportée (20). Le cache (26) et le contre cache (28) se trouvent ainsi enchassés dans le boitier (I6). Le parallélépipède à structure tournante (I5) est prêt à recevoir le pivot solidaire de l'objet décoratif dans sa cage (3) et à le fixer dans son infrastructure.

La figure 5 représente un pivot (32) prolongé par une tige filetée (33) avec une rondelle (34) et un écrou (35). Selon la nature de l'objet décoratif, un fil de fer (36) pouvant servir d'armature pour figurines en plâtre ou plus généralement un fer d'ancrage(36) soudé sur la tige filetée (33) permet de solidariser l'objet décoratif avec le pivot (32).

La tige filetée (33) au montage, s'introduit dans le conduit (5) sur les parallélépipèdes monoblocs (I) ou séquentiels (9) et dans une cavité (24) s'il s'agit d'un parallélépipède avec struture tournante incorporée (15). Le pivot (32) prend place dans la cage (3)::
La figure 6 représente un parallélépipède intégral monobloc et indivisible (I) pourvu d'un caĕ (3) sur la face présentable (2), des pa- rallélépipèdes seollentiels (7 - 8 - 9) dont un (o) muni d'une cage (3) occupant 1 6entre théorique ae la séquence ici 1'cgrôpée, des parallélépipèdes séquentiels (IO - II - I2 - I3 - I4) dépourvus de cages, ici regroupés, un parallélépilède inté-;ralS indivisible (15) avec structure tournante incorporée.

On remarque que les parallélépipèdes (7 - 8 - 9) d'une part, (IO II - I2 - 13 - I4) d'autre part forment des séquences dont la face présentable (2), lorsqu'ils sont réunis, et de forme carrée et correspond aux dimensions de référence pour le dispositif concerné, ces dimensions étant les même que celles des parallélépipèdes intégraux (I - I5).

L'ensemble des parallélépipèdes est maintenu en place grace à une barre d'applique (37) prenant appui sur un chassis (38) par l'intermédiaire de tiges filetees (39) avec rondelles (40) et écrous (4I).

La figure 7 donne un exemple non limitatif d'utilisation des parallélépipèdes séquentiels. En déplacant un ou plusieurs éléments (7 - 8) on décale l'emplacement de la cage (3) lorsqu'ils en possède une (9), par rapport au centre théorique d' une séquence regroupée dont la surface présentable est de forme carrée. Avec ou sans cage les parallélépipèdes séquentiels (7 - 8 - 9 - IO - II - I2 - I3 - I4) permettent de dé caler en abolisse et en ordonnée un ou plusieurs parallélépipèdes intégraux, indivisibles.Ici le parallélépipède intégral, indivisible avec structure tournante incorporée (I5) se trouve décale en ahcisse. par le parallélépipède séquentiel (I4) et en ordonnée par le parallélépipède/ (7). Le rayon orientable (25) et la cage (3) sont placés de telle manière que cette dernière occuppe un emplacement qui serait occupé par l'intersection de quatre angles droits appartenantenant à quatre parallélépipèdes intégraux, indivisibles, différents s'il n'y avait les parallélépipèdes séquentiels. La cage (3) pourrait occuper le même emplacement si elle et le rayon orientable (25) étaient disposés de façon différente et si le parallélépipède séquentiel (I3) était déplacé entre le séquentiel (I4) at l'intégral indivisible (I5) qui se trouverait lui-même décalé contre le séquentiel (I2).

Pour faciliter le repérage, résumons les références aux dessines: (I) parallélépipède intégral, indivisible, monobloc.

(2) face présentable pourvue d'une cage (3) cage.

(4) face présentable dépourvue de cage.

(5) conduit pour la tige filetee.

(6) logement de l'écrou.

(7) (8) (9) parallélépipèdes séquentiels dont un (9) muni d'une cage.

(Io) (11) (I2) (I3) (I4) parallélépipèdes séquentiels dépourvus de cage.

(I5) parallélépipède intégral indivisible avec structure tournante in incorporée (I6) boitier contenant la structure tournante incorporée.

(I7)cylindre.

(I8) collerette du cylindre(I7).

(I9) logement de la collerette sur le boitier(I6).

(20) plaque circulaire rapportée.

(21) vis fixant la plaque circulaire (20) sur le boitier (I6) (22) collerette sur la plaque rapportez (20).

(23) logement de la collerett (22) sur le boitier (I6).

(24) cavité permettant le deplacement d'une tige filetée (33) le long du rayon orientable (25).

(25) rayon orientable.

(26) cache.

(27) logement du cache (26) sur le cylindre (I7).

(28) contre cache.

(29) logement du contre cache (28).

(30) passage de la tige filetée (33) à travers le contre cache (28).

(31) pied du boitier.

(32) pivot, en principe solidarisé avec un objet décoratif.

(33) tige filetée prolongeant le pivot (32).

(34) rondelle.

(35) écrou.

(36) appendice métallique pour l'encrage ou l'armature d'un objet decoratif.

(37) barre d'applique.

(38) chassis (39) tige filetée serrant la barre d'applique (37) sur le chassis (38).

(40) rondelle.

(41) écrou pour le serrage de la barre d'applique (37).

Claims (21)

REVENDICATIONS

1) Dispositif de support pouvant servir à fixer des objets décoratifs et des objets utiles, caractérisé par des parallélépipèdes intégraux indivisibles (15) montés sur un châssis (38) et comportant une face présentable (2) de présentation particulièrement soignée de forme carrée dont les dimensions correspondent à une mesure établie pour un modèle donné, avec une structure tournante incorporée composée d'un cylindre (17) tournant dans un boitier (16) et. sur le cylindre (17), un rayon orientable (25) dont l'infrastructure comporte tout au long une cavité étroite (24) ouvrant un libre passage allant d'une surface plane du cylindre (17) à l'autre surface plane, ainsi qu'un logement (27), plus large que la cavité étroite (24) et situé à son extrémité du côté de la surface présentable (2X, pouvant recevoir un cache (26), formant une queue d'aronde dont la partie rétrécie affleure la surface présentable (2), percé d'une cage (3) et un autre logement (29) situé à l'autre extrémité de la cavité (24) à l'opposé de la surface présentable (2) pouvant recevoir un contre-cache (28) de forme et de dimensions identiques au cache (26) et percé d'un orifice (30) dont le centre concorde avec celui de la cage (3).

2) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce qu'il comporte, conjqintement montés sur un châssis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes intégraux et indivisibles (1) servant de socle, caractérisés en ce qu'ils offrent au moins une face présentable de finition particulièrement soignée (2) ou (4) de forme carrée dont les dimensions correspondent à une mesure établie pour un modèle donné, mais sans structure tournante incorporée.

3) Dispositif selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un chassis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes offrant chacun une face présentable de finition particulièrement soignée et composant des séquences divisibles (7-89 ou 10-11-12-13-14) formant ainsi des fractions diverses ayant individuellement des formes rectangulaires mais susceptibles de former, lorsqu'elles sont réunies, des surfaces présentables de forme carrée dont les dimensions correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné.

4) Dispositif selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un châssis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes intégraux monoblocs indivisibles (1) offrant une face présentable unique de finition soignée (2) de forme carrée dont les dimensions correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné avec une cage (3) creusée dans la masse, affleurant au centre de la-face présentable (2) et prolongée dans le sens opposé de la face présentable (2) par un conduit (5) pour tige filtée et un logement d'écrou (6).

5) Dispositif selon les revendications 1 et 2 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un châssis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, monoblocs, cubiques et indivisibles (1) offrant une face présentable (2) pourvue d'une cage (3) et une face présentable (4) dépourvue de cage, les deux faces présentables étant de forme carrée avec chacune des dimensions correspondantes à la mesure de référence établie pour le modèle concerné.

6) Dispositif selon les revendications 1-2 et 5 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un châssis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, monoblocs et indivisibles (1) n'offrant qu'une face présentable (4) de forme carrée avec des dimensions correspondant à la mesure de référence établie pour le modèle concerné, mais sans cage.

7) Dispositif selon les revendications 1-2-3-4 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un châssis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes séquentiels et séparables (7-8-9) dont l'un (9) comportant une cage (3) creusée dans sa masse et affleurant à sa face présentable (2), prolongée dans le sens opposé à la face présentable (2) par un conduit (5) pour tige filtée et un logement d'écrou (6) avec la possibilité de déplacer la cage (3) le conduit (5) et le logement d'écrou (6) par rapport au centre théorique de la séquence -lorsqu'elle regroupe toutes ses fractions (7-8-9) et constitue ainsi une face présentable (2) de forme carrée dont les dimensions correspondent à la mesure de référence établie pour le modèle concerné- en procédant par déplacement d'une ou de plusieurs fractions séquentielles (7-8).

8) Dispositif selon les revendications 1-2-3 caractérisé en ce qu'il comporte, conjointement montés sur un chassis (38) un nombre variable de parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15), eux-mêmes comportant une structure tournante incorporée (17) et un nombre variable de parallélépipèdes intégraux et indivisibles (1) plus des parallélépipèdes séquentiels et séparables ne comportant pas de cage (10-11-12-13-14) et susceptibles d'être utilisés pour décaler l'alignement des parallélépipèdes intégraux et indivisibles (1 et 15) dont les faces présentables (2), de forme carrée, ont les dimensions correspondant à la mesure de référence établie pour le modèle concerne.

9) Dispositif selon les revendications 1-2-3-4-5-6-7-8 caractérisé en ce qu'il comporte réunis sur un châssis (38) des parallélépipèdes intégraux et indivisibles (15) dotés d'une structure tournante incorporée -des parallélépipèdes intégraux monoblocs (1), indivisibles dotés d'une face présentable (2) unique avec une cage (3)- des parallélépipèdes intégraux, monoblocs, cubiques et indivisibles (1) offrant une face présentable (2) munie d'une cage (3) plus une seconde face présentable (4) dépourvue de cage -des parallélépipèdes intégraux, monoblocs et indivisibles (1) n'offrant qu'une seule face présentable dépourvue de cage (4)- des parallélépipèdes formant une séquence divisible (7-8-9) constituant une fois réunis une surface présentable de forme carrée (2) ayant les dimensions de référence établies pour le modèle concerné avec sur l'une des fractions séparables (9) une cage (3) -des parallélépipèdes formant une séquence divisible (10-11-12-13-14) constituant une fois réunis une surface présentable de forme carrée (4) ayant les dimensions de référence établies pour le modèle concerné et aucune de ces fractions ne possédant de cage.

10) Dispositif de support selon les revendications précédentes prises dans leur ensemble, caractérisé par un châssis (38) sur lequel l'ensemble des parallélépipèdes sont disposés accolés et serrés grâce à une barre de serrage ou barre d'applique (37) par l'intermédiaire de tiges filtées (39) avec rondelles (40) et écrous (41).

11) Dispositif de support selon la revendication 10 caractérisé par une seconde barre d'applique (37 bis) prenant appui sur la première barre d'applique (37) par l'intermédiaire d'autres tiges filtées (39 bis).

12) Dispositif selon les revendications 1-4-5-7 et 9 caractérisé par des éléments femelles, en l'occurence les cages (3) creusées dans les caches (26) eux-mêmes montés sur les parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15) comportant une structure tournante incorporée et un rayon orientable (25) ou dans la masse des parallélépipèdes ne comportant pas de structure tour nante incorporée (1 ou 9), associés à des éléments mâles de formes et de dimensions correspondantes aux cages (3), en l'occurence les pivots (32) prolongés chacun d'un côté par une tige filtée (33) pouvant se loger indifféremment dans la cavité (24) prévue à cet effet dans le cylindre des structures tournantes incorporées (17) ou dans le conduit (5) foré dans la masse des parallélépipèdes ne comportant pas de structure tournante incorporée (1 ou 9) avec la possibilité de recevoir une rondelle (34) et un écrou (35) et de l'autre côté, prolongé par un appendice métallique (36) servant à l'accrochage ou à la fixation d'un objet utile ou d'un objet décoratif.

13) Dispositif selon les revendications 1-4-5-7 et 9 caractérisé par des éléments femelles, en l'occurence les cages (3) creusées dans les caches (26) eux-mêmes montés sur les parallélépipèdes intégraux, indivisibles (15) comportant une structure tournante incorporée et un rayon orientable (25) ou dans la masse des parallélépipèdes ne comportant pas de structure tournante incorporée (1 ou 9), associés à des éléments mâles de formes de dimensions correspondantes aux cages (3), en l'occurence les pivots (32) prolongés chacun -d'un côté par une tige filtée (33) pouvant se loger indifféremment dans la cavité (24 prévue à cet effet dans le cylindre des structures tournantes incorporées (17) ou dans le conduit (5) foré dans la masse des parallélépipèdes ne comportant pas de structure tournante incorporée (1 ou 9) avec la possibilité de recevoir une rondelle (34) et un écrou (35)- et de l'autre côté, prolongé par un appendice métallique (36) servant d'armature à un objet décoratif.

14) Dispositif selon les revendications 1-4-5-7-9-12 et 13 caractérisé par des éléments femelles, en l'occurence les cages (3) de forme cylindrique, creusées dans les caches (26) ou dans la masse des parallélépipèdes (1 ou 9), associés à des éléments mâles, en l'occurence les pivots (32) de dimension correspondante aux cages (3) et de forme cylindrique.

15) Dispositif selon les revendications 1-4-5-7-9-12 et 13 caractérisé par des éléments femelles, en l'occurence les cages (3) de forme polygonale creusées dans les caches (26) ou dans la masse des parallélépipèdes (1 ou 9), associés à des éléments mâles, en l'occurence les pivots (32) de forme et de dimensions correspondantes aux cages (3).

16) Dispositif selon les revendications 1-4-5-7-9-12 et 13 caractérisé par des éléments femelles, en l'occurence les cages (3) de forme cylindrique avec sur leur face intérieure des cannelures longitudinales, associées à des éléments mâles, en l'occurence les pivots (32) de forme cylindrique avec sur leur face extérieure des cannelures longitudinales pouvant s'intercaler entre celles figurant sur la paroi intérieure des cages (3).

17) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par un évasement du cylindre (17) formant collerette (18) et prenant place dans un logement (19) de forme correspondante sur le boitier (16).

18) Dispositif selon la revendication 1 caractérisé par une plaque circulaire rapportée (20) fixée grâce à des vis (21) sur le cylindre (17), à l'op- posé de la face présentable (2) et comportant le logement d'un contre-cache (29) ainsi qu'une collerette (22) trouvant place dans un évidement de forme correspondante (23) sur le boitier (16).

19) Dispositif selon les revendications précédentes prises dans leur ensemble caractérisé par des parallélépipèdes (15-1-7-8-9-10-11-12-13-14) serrés horizontalement contre un châssis (38) grâce à une barre d'applique (37) et deux tiges filtées (39) munies de rondelles (40) et d'écrous (41) avec un capot masquant la barre d'applique (37) les tiges filtées (39) les rondelles (40) les écrous. (41) et éventuellement le châssis (38).

20) Dispositif selon les revendications précedentes prises dans leur- ensemble caractérisé par des parallélépipèdes (1S-1-7-8-9-10-11-12-13-14) serrés verticalement contre un châssis (38) grâce à une barre d'applique (37) et deux tiges filtées (39) munies de rondelles (40) et d'écrous (41) avec un capot masquant la barre d'applique (37) les tiges filtées (39) les rondelles (40) les écrous (41) le châssis (38).

21) Dispositif selon les revendications précedentes prises dans leur ensemble caractérisé par des parallélépipèdes (1S-1-7-8-9-10-11-12-13-14) serrés contre un châssis (38) muni de trous permettant sa fixation sur un meuble ayant un emplacement prévu pour loger l'ensemble du dispositif.