FR2584340A1 - Dispositif pour la fabrication sur tables de plaques minces en resine synthetique armee de fibres de verre - Google Patents

Abstract

CE DISPOSITIF COMPREND UN CHARIOT 3 MOBILE SUR UNE POUTRE HORIZONTALE 4 PORTEE, TRANSVERSALEMENT A L'AXE LONGITUDINAL D'UNE TABLE 5 SUR LAQUELLE DOIT ETRE REALISEE LA PLAQUE, PAR UN BATI 6 EN FORME DE PORTIQUE, CE CHARIOT 3 SUPPORTANT LUI-MEME UN PISTOLET 2 DONT LA BUSE ASSURE LA DISTRIBUTION, A DEBIT CONSTANT ET SOUS FORME DE PULVERISATION, D'UNE RESINE DURCISSABLE MELANGEE A SON DURCISSEUR ET A SON CATALYSEUR ET CONTENANT AUSSI LES FIBRES DE L'ARMATURE, LE CHARIOT 3 ETANT ENTRAINE ALTERNATIVEMENT DANS UN SENS ET DANS L'AUTRE SUR UNE COURSE SENSIBLEMENT EGALE A LA LARGEUR DE LA PLAQUE EN COURS DE REALISATION AU MOYEN D'UNE CHAINE SANS FIN 26 TENDUE HORIZONTALEMENT ENTRE DEUX PIGNONS 27 DONT L'UN, MOTEUR, EST ENTRAINE PAR UN MOTEUR HYDRAULIQUE 28, LA POMPE ETANT ELLE-MEME ENTRAINEE PAR UN MOTEUR ELECTRIQUE ANTIDEFLAGRANT. LE BATI 6 EST EQUIPE DE ROUES MOTRICES APTES A ASSURER SON ENTRAINEMENT TRANSVERSALEMENT A LA GLISSIERE 4 ET DE GALETS DE GUIDAGE 24 APTES A PRENDRE APPUI CONTRE LES BORDS LONGITUDINAUX 5A DES TABLES 5.

Description

DISPOSITIF POUR LA FABRICATION SUR TABLES DE PLAQUES MINCES
EN RESINE SYNTHETIQUE ARMEE IDE FIBRES DE VERRE
La présente invention a pour objet un dispositif pour la fabrication sur tables de plaques minces en résine synthétique armée de fibres de verre.

Actuellement, pour réaliser des plaques en résine synthétique armée de fibres de verre ou similaires telles que celles destinées à constituer les parements internes et/ou externes de panneaux, on utilise des dispositifs comprenant, un chariot mobile sur une poutre horizontale lui servant de glissière et portée, transversalement à l'axe longitudinal d'une table sur laquelle doit être réalisée la plaque considérée, par un bâti en forme de portique, ce chariot supportant lui-même un pistolet dont la buse assure la distribution à débit constant et sous forme de pulvérisation, d'une résine durcissable mélangée à son durcisseur et à son catalyseur et contenant aussi les fibres de l'armature, le chariot étant entraîné alternativement dans un sens et dans l'autre sur une course sensiblement égale à la largeur de la plaque en cours de réalisation au moyen d'une chaîne sans fin, tendue horizontalement entre deux pignons dont l'un, moteur, est entraîné par un moteur hydraulique ou pneumatique, la pompe qui fournit le fluide sous pression d'alimentation du moteur étant elle-même entraînée par un moteur électrique antidéflagrant, des organes de fin de course commandant automatiquement l'inversion de l'alimentation du moteur hydraulique par l'intermédiaire d'un distributeur, un déplacement longitudinal relatif entre la table et le bâti en forme de portique combiné à celui du chariot sur sa glissière assurant la distribution de la résine armée de fibres sur toute la surface de la table (5) correspondant à celle de la plaque.

La résine le plus couramment utilisée est une résine polyester.

Le bâti en forme de portique porte généralement, en plus des organes précités, des rouleaux ébulleurs pressés contre le parement en formation pour chasser l'air éventuellement prisonnier dans des bulles formées dans la résine, les rouleaux dont l'axe commun est celui de la glissière du chariot étant portés par une poutrelle montée pivotante autour d'un axe parallèle à son axe longitudinal et qu'un vérin mécanique, hydraulique ou pneumatique tend à faire pivoter dans le sens correspondant à l'application de rouleaux contre le parement.

Dans les dispositifs connus, le bâti en forme de portique est fixe et chaque table est entraînée sous lui à vitesse constante, ce qui implique une infrastructure importante et un local d'une longueur au moins égale à deux fois celle de la table la plus longue.

Dans le dispositif selon l'invention, qui est du type de celui précité le bâti est équipé de roues motrices aptes à assurer son entraînement transverslament à la glissière et de galets de guidage aptes à prendre appui contre les bords longitudinaux des tables.

Chaque table étant fixe, la surface d'encombrement d'une installation comportant le dispositif n'est pas égale au double de celle des tables mais égale à celle des tables augmentée seulement de la surface de dégagement du portique qui est évidemment, considérablement moindre que celle d'une table. En outre, l'autoguidage du portique par des galets d'axes verticaux prenant appui contre les bords longitudinaux des tables élimine la nécessité de rails de guidage au sol.

Suivant une forme d'exécution simple de l'invention, pour l'entraî- nement de roues motrices du bâti , il est prévu un moteur hydraulique supplémentaire alimenté à travers un distributeur et dont l'arbre de sortie est relié à celui des roues motrices par l'intermédiaire des jeux de pignons et chaînes nécessaires à la transmission du mouvement dans le rapport désiré des vitesses.

Suivant une variante d'exécution perfectionnée de l'invention destinée à permettre l'utilisateur de ce dispositif avec plusieurs tables de même largeur non disposées bout à bout, les roues motrices sont montées de façon escamotable et le bâti en forme de portique est équipé de roues de support à pivot dont les génératrices d'appui sont décalés vers le haut par rapport à celles des roues motrices en position active.

Ainsi, le dispositif peut être déplacé manuellement dans ntim- porte quelle direction lorsqu'il n'est plus engagé sur une table, notamment pour être engagé sur une autre table à côté de la précédente.

Avantageusement, il est prévu quatre roues motrices, quatre roues de support à pivot et quatre galets de guidage.

Par exemple, chaque paire de roues motrices situées d'un même côté du bâti est portée par un bras horizontal support de palier constituant l'un des quatre côtés d'un parallélogramme déformable dont la côté opposé fixe est constitué par une poutre du bâti formant longeron, un vérin hydraulique ou pneumatique articulé entre deux axes parallèles à ceux des roues motrices et des côtés du parallélogramme déformable et dont l'un est porté par le bâti et l'autre par l'un des côtés mobiles de ce parallélogramme, étant prévu pour permette de déplacer verticalement les roues motrices entre une position basse active et une positon haute escamotée.

De toute façon l'invention sera bien comprise, à l'aide de la description qui suit en référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemple non limitatif, une forme d'exécution de ce dispositif
Figure 1 en est une vue de face en élévation
Figure 2 en est une vue de côté en élévation
Figure 3 en est une vue en plan par dessus.

Le dispositif de l'invention est destiné à la fabrication de plaques minces en résine synthétique armée de fibres de verre telles que celles utilisées pour constituer les parements des panneaux isothermiques dont l'âme est en mousse de matière plastique expansée telle que la mousse de polyuréthane ou similaire.

Chaque plaque mince est fabriquée, de manière connue en soi, par pulvérisation, à l'aide d'un pistolet approprié sur une table horizontale dont les dimensions correspondent au moins à celles de la plaque en fabrication, des composants de la résine considérée, telle qu'une résine polyester, et des fibres de verre destinées à en constituer l'armature.

Ce pistolet, d'un type connu, qui, sur le dessin, est désigné par la référence (2), est porté par un chariot (3) mobile le long d'une poutre horizontale (4) lui servant de glissière et disposée transversalement au-dessus d'une table horizontale (5). Naturellement, la largeur de la table (5) est au moins égale à celle de la plaque en fabrication, la longueur de la poutre ou glissière (4) est supérieure à la largeur de la table (5) et la course du chariot (3) sur la glissière (4) qui, de préférence, est réglable, est fixée à une valeur correspondant à la largeur de la plaque à fabriquer.

Le principe généralement appliqué pour la fabrication de ces plaques consiste, tandis que le chariot (3), par un mouvement alternatif sur sa glissière (4) fait balayer, par le pistolet (2), toute la largeur de la plaque en fabrication, à engendrer entre la table (5)et la glissière (4) un mouvement relatif transversal à l'axe longitudinal de la glissière (4) et dont la vitesse est réglée en fonction de celle du chariot (3), du débit du pistolet (2) et de l'épaisseur désirée de la plaque.

Selon l'invention, chaque table (5) est fixe tandis que la glissière (4) est portée par un bâti (6) en forme de portique apte à enjamber une table (5) et à être déplacé, à vitesse constante, sur toute la longueur de cette table (5). A cet effet, dans le dispositif de l'invention, le bâti (6) est équipé de quatre roues (7) d'axe horizontal parallèle à la glissière (4) et dont au moins une est motrice. Dans l'exemple illustré sur le dessin, les quatre roues (7) sont motrices. Elles sont disposées par paires, chaque paire étant disposée d'un côté du bâti (6), et chaque roue (7) de chaque paire étant coaxiale à la roue (7) correspondante de l'autre paire.

L'entraînement des roues (7) est réalisé à partir d'un moteur hydraulique (8) placé à l'intérieur d'un caisson (9) contenant l'ensemble hydraulique porté par le bâti (6) à un niveau supérieur à celui des tables (5). Ce moteur (8) entraîne, par l'intermédiaire de trois jeux (11, 12, 13) de paires de pignons réducteurs reliés entre eux par chaînes respectivement (1 la, 12a, 13a), un arbre horizontal moteur (14) sur chaque extrémité duquel est calé un pignon (15) relié par une chaîne (16) à un pignon (17) calé sur l'axe (18) de l'une des roues (7) de l'une des paires latérales de roues. L'arbre (18) de chacune des roues (7) considérée porte, calé sur lui, un pignon (19) relié par une chaîne (21) à un pignon (22) calé sur l'arbre (23) de l'autre roue (7) de la paire considérée.

Ainsi, l'arbre moteur (14) entraîne bien les quatre roues motrices (7) à une vitesse déterminée par la vitesse du moteur (8) et les rapports de réduction définis par les paires de pignons (11), (12) et (1 3).

Par ailleurs, le bâti (6) porte latéralement quatre galets de guidage (24) d'axe verticaux (25) aptes à assurer le guidage du bâti (6) le long de la table (5) en service, par appui contre les bords latéraux longitudinaux (5a) de cette table (5).

Dans l'exemple illustré sur le dessin, le chariot (3) supportant le pistolet (2) et monté mobile sur la glissière (4) est entraîné à partir d'une chaîne sans fin (26) tendue horizontalement entre deux pignons d'axes horizontaux (27) dont chacun est placé à l'une des extrémités de la glissière (4), l'un des pignons (27), celui de droite sur la figure 3, étant calé sur l'arbre de sortie d'un moteur (28) qui de préférence, pour des raisons de sécurité, est, comme le moteur (8), un moteur hydraulique.Pour ces mêmes raisons de sécurité, la pompe hydraulique (29) fournissant l'huile hydraulique sous pression pour l'alimentation des deux moteurs (8) et (28) est entraînée par un moteur électrique (31) de type anti-déflagrant logé, avec tout l'ensemble nécessaire à la commande hydraulique des moteurs (8) et (28), et notamment la bâche (32), à l'intérieur du caisson (9). L'ensemble du circuit hydraulique est contrôlé par un distributeur (33). Deux organes fin de course (3a) du chariot (3), portés par la glissière (4), de positions réglables et destiné à commander l'inversion du moteur (28), permettent de régler à volonté en amplitude et en position la course du chariot (3).

Il a été indiqué précédemment que ce bâti (6) en forme de portique était destiné à être déplacé au-dessus d'une table (5) destinée à recevoir la résine et les fibres de verre projetées par le pistolet (2), nécessaires à la réalisation de la plaque en cours de fabrication. Pour permettre l'utilisation facile du même bâti (6) sur d'autres tables (5) disposées par exemple à proximité de celle précitée, ce qui présente l'avantage d'échelonner la fabrication quasi-simultanée de plusieurs plaques sans être retardé inutilement par le temps de prise de la résine, d'une part, les roues motrices (7) sont escamotables, et d'autre part, le bâti (6) est équipé de roues porteuses (34) de type à pivots et qui sont de préférence au nombre de quatre.On comprend aisément qu'avec une telle disposition, il est possible, lorsque le bâti (6) est dégagé d'une table (5), en escamotant les roues motrices (7) pour qu'il soit supporté par ses roues à pivots (34), de le faire circuler manuellement d'une table à l'autre.

Dans l'exemple illustré sur le dessin, chaque paire de roues (7) est portée par un longeron horizontal (35) constituant l'un des côtés d'un parallélogramme déformable dont le côté opposé (36) est constitué par une fraction d'un longeron du bâti (6) auquel le côté (35) précité est articulé au moyen de deux bras parallèles (37). Les quatre axes d'articulation (38) de ce parallèlogramme déformable sont évidemment parallèles entre eux et parallèles à la glissière (4), c'est-à-dire parallèles aux axes des roues motrices (7).Un vérin (39) hydraulique ou pneumatique articulé, d'une part, sur un axe (41) porté par le bâti (6), et d'autre part, sur un axe (42) porté par un élément du parallélogramme déformable (35, 36, 37) permet de déplacer les roues motrices (7) entre une position active telle qu'illustrée sur la figure 2 en traits pleins et une position escamotée telle qu'illustrée en traits mixtes sur cette même figure.

Dans cet exemple, l'axe (42) est porté par une traverse supplémentaire horizontale (43) du parallélogramme (35, 36, 37), c'est-à-dire parallèle aux côtés (35) et (36) de ce parallélogramme.

Comme cela ressort de l'examen de la figure 2, l'entraînement des roues motrices (7) par l'arbre moteur (14) et par l'intermédiaire des pignons (15, 17, 19 et 22) et des chaînes (16 et.21) est rendu possible par le fait que les axes de l'arbre moteur (14) et ceux (18 et 23) des pignons (19 et 22) sont confondus avec les axes d'articulation (38) correspondants des côtés du parallèlogramme déformable (35, 36, 37).

Cette disposition permet évidemment les déformations du parallélogramme déformable sans modification des distances entre pignons.

Aux dispositifs connus de type précité sont généralement associés des rouleaux ébulleurs d'axes horizontaux, pressés contre la table en aval du pistolet, de manière à écraser et éliminer les bulles d'air éventuellement emprisonnés dans la résine.

Dans les dispositifs de l'invention, de tels rouleaux sont prévus mais ils sont animés d'un mouvement alternatif parallèle au plan de la table, ce qui les rend beaucoup plus efficaces.

Dans ce dispositif les axes des rouleaux ébulleurs (44) qui sont disposés en quinconce sur deux rangées parallèles à la glissière (4) sont portés par une poutre transversale (45) articulée sur deux tourillons (46) d'axe commun parallèle à la glissière (4) dont chacun est porté par un coulisseau (47) monté sur une glissière (48) orientée perpendiculairement à la glissière (4).

Deux vérins pneumatiques ou hydrauliques (49) dont chacun est articulé d'une part sur un axe (51) porté par l'un des coulisseaux (47) et d'autre part sur un axe (52) porté par un bras (53) solidaire de l'extrémité correspondante à la poutre transversale (46) tend normalement à faire pivoter la poutre transversale (45) dans le sens de la flèche (54) de manière à appliquer les rouleaux (44) contre la résine préalablement pulvérisée sur la table (5) en service. Ces mêmes vérins (49) permettent aussi le relevage des rouleaux (44) lorsque le bâti (6) arrive en bout d'une table (5) ou est engagé sur une autre table (5).

Comme le montrent aussi les figures 2 et 3 chaque extrémité de la poutre transversale porte une chape (55) d'axe (56) parallèle à la poutre (45) sur lequel est articulée, par l'une de ses extrémités, une bielle (57) dont l'autre extrémité est articulée sur un excentrique ou maneton (58) d'axe parallèle à la poutre (45) est porté par un arbre (59) parallèle, lui aussi, à la poutre transversale (45).

Cet arbre (59) est entraîné en rotation à partir du moteur hydraulique (8) et par l'intermédiaire d'un premier pignon (61) calé sur l'arbre de sortie du moteur hydraulique (8) et relié par une chaîne (62) à un second pignon (63) calé sur l'arbre (59).

Par un choix approprié des pignons (61) et (63) ont peut obtenir la fréquence désirée du mouvement alternatif des coulisseaux (47) et par conséquent des rouleaux ébulleurs (44).

Comme il va de soi l'invention ne se limite pas à la seule forme d'exécution montré ci-dessus à titre d'exemple, mais en embrasse au contraire toutes les variantes de réalisation similaires ou équivalentes.

Claims (6)

REVENDICATIONS

1- Dispositif pour la fabrication, sur tables, de plaques minces en résine synthétique armée de fibres de verre ou similaire du type comprenant un chariot (3) mobile sur une poutre horizontale (4) lui servant de glissière et portée, transversalement à l'axe longitudinal d'une table (5) sur laquelle doit être réalisée la plaque considérée, par un bâti (6) en forme de portique, ce chariot (3) supportant lui-même un pistolet (2) dont la buse assure la distribution à débit constant et sous forme de pulvérisation, d'une résine durcissable mélangée à son durcisseur et à son catalyseur et contenant aussi les fibres de l'armature, le chariot (3) étant entraîné alternativement dans un sens et dans l'autre sur une course sensiblement égale à la largeur de la plaque en cours de réalisation au moyen d'une chaîne sans fin (26) tendue horizontalement entre deux pignons (27) dont l'un, moteur, est entraîné par un moteur hydraulique ou pneumatique (28), la pompe (29) qui fournit le fluide sous pression d'alimentation du moteur étant elle-même entraînée par un moteur électrique (31) antidéflagrant, des organes de fin de course (3a) commandant automatiquement l'inversion de l'alimentation du moteur hydraulique (28) par l'intermédiaire d'un distributeur, un déplacement longitudinal relatif entre la table (5) et le bâti (6) en forme de portique combiné à celui du chariot (3) sur sa glissière (4) assurant la distribution de la résine armée de fibres sur toute la surface de la table (5) correspondant à celle de la plaque caractérisé en ce que le bâti (6) est équipé de roues motrices (7) aptes à assurer son entraînement transversalement à la glissière (4) et de galets de guidage (24) aptes à prendre appui contre les bords longitudinaux (5a) des tables (5).

2- Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce que pour l'entraînement de roues motrices (7) du bâti (6), il est prévu un moteur hydraulique supplémentaire (8) alimenté à travers un distributeur (33) et dont l'arbre de sortie est relié à celui des roues motrices (7) par l'intermédiaire des jeux de pignons (11, 12, 13, 15,, 17, 19, 22) et chaînes (I la, 12a, 13a, 16, 21) nécessaires à la transmission du mouvement dans le rapport désiré des vitesses.

3- Dispositif selon la revendication 2 caractérisé en ce que les roues motrices (7) sont montées de façon escamotable et le bâti (6) en forme de portique est équipé de roues de support à pivot (34) dont les génératrices d'appui sont décalées vers le haut par rapport à celles des roues motrices (7) en position active.

4- Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce qu'il est prévu quatre roues motrices (7), quatre roues de support à pivot (34) et quatre galets de guidage (24).

5- Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que chaque paire de roues motrices (7) situées d'un même côté du bâti (6) est portée par un bras horizontal support de palier (35) constituant l'un des quatre côtés d'un parallèlogramme déformable dont le côté opposé fixe (36) est constitué par une poutre du bâti (6) formant longeron, un vérin hydraulique ou pneumatique (39) articulé entre deux axes (41, 42) parallèles à ceux des roues motrices (7) et des côtés du parallèlogramme déformable (35, 36, 37) et dont l'un (41) est porté par le bâti (6) et l'autre par l'un des côtés mobiles de ce parallèlogramme, étant prévu pour permettre de déplacer verticalement les roues motrices (7) entre une position basse active et une position haute escamotée.

6- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, du type comportant des rouleaux ébulleurs (44) normalement pressés contre la table (5) en service et portés par une poutre pivotante (45) du bâti caractérisé en ce que les tourillons (46) d'articulation de la poutre (45) sont portés par des coulisseaux (47) animés d'un mouvement alternatif orienté perpendiculairement à la glissière (4).