FR2510435A1 - Machine de formage a rouleaux avec des tetes reglables dans la direction longitudinale - Google Patents

Abstract

LA MACHINE SELON L'INVENTION COMPORTE UN BATI 5 ET DES TETES DE FORMAGE 6 QUI PEUVENT ETRE FIXEES DANS DIFFERENTES POSITIONS SUIVANT LA LONGUEUR DU BATI. LES TETES DE FORMAGE SONT ENTRAINEES A PARTIR D'UNE LIGNE D'ARBRES 10 QUI S'ETEND SUR TOUTE LA LONGUEUR DU BATI, PAR L'INTERMEDIAIRE DE PIGNONS CONIQUES 21, 22. LES PIGNONS CONIQUES MONTES SUR L'ARBRE SONT CONSTITUES CHACUN PAR UN PIGNON ET UN COLLIER CLAVETES ENSEMBLE. LE PIGNON ET LE COLLIER PEUVENT ETRE SEPARES CHACUN EN DEUX PARTIES SUIVANT UN PLAN QUI CONTIENT LEUR AXE. CETTE DISPOSITION PERMET DE REGLER LA POSITION SUIVANT LA LONGUEUR DE LA LIGNE D'ARBRES ET DE LES DEMONTER FACILEMENT.

Description

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Machine de formage à rouleaux avec des tètes réglables dans la direction longitudinale La présente invention se rapporte aux machines

de formage à rouleaux dans lesquelles une pièce métal-

lique allongée à usiner est déplacée dans la direction longitudinale en passant par des paires successives de rouleaux de formage pour que sa section transversale

soit amenée une configuration voulue; plus particuliè-

rement, l'invention concerne une machine de formage à

rouleaux comprenant un bati allongé qui supporte plu-

sieurs tètes de formage comportant chacune une paire d'arbres à rouleaux sur lesquels sont montés des rouleaux de formage, l'une au moins des tètes de formage pouvant

être positionnée dans l'une quelconque choisie de plu-

sieurs positions suivant la longueur du bâti et ses ar-

bres à rouleaux pouvant 8 tre accouplés pour être entrat-

nés par une ligne d'arbres qui s'étend le long d'un ctté

du bâti.

Une machine de formage à rouleaux du type géné-

ral auquel l'invention seapplique cormporte un bâti al-

longé ou une table sur laquelle sont montées plusieurs tètes de formage comprenant chacune une paire d'arbres

à rouleaux parallèles disposés transversalement par rap-

port à la table Deux rouleaux montés sur les arbres à rouleaux de chaque tête ont des profils complèmentaires et engagent des faces opposées d'une pièce métallique

allongée pour amener sa section transversale a la confi-

guration vculue, correspondant pratiquement au profil des rouleaux Des jeux successifs de rouleaux engagent

la pièce pour en modifier progressivement la forme jus-

qu'à ce qu',elle soi t amenée au profil souhaité.

Les arbres à rouleaux de chaque tète sont mis en rota-

tion dans des sens opposés de manière que lorsque la

paire de rouleaux met en forme la pièce, il coopère éga-

lement pour l'avancer dans la direction longitudinale

d'une tète de formage à une autre.

Etant donné qu'une pièce suboit un changement

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de profil chaque fois qu'elle est engagée par des rou-

leaux de formage coopérant, la partie de la pièce qui se trouve entre une paire de rouleaux et une autre est soumise à une certaine contrainte Dans les machines de for;lage à rouleaux antérieures, les diverses tètes de formage étaient fixes sur le bâti à des intervalles

uniformes le long de ce dernier et il arrivait quelque-

fois que la distance fixe entre deux têtes de formage

voisines était trop courte pour le changement de for-

me qui avait été imposé à la pièce en passant de l'une

l'autre de ces têtes Dans ce cas, il était néces-

saire d'enlever les rouleaux d'une trte de formage de

manière qu'il y ait une plus grande longueur de la piè-

ce entre des paires de rouleaux actives Souvent, deux têtes de formage ou davantage étaient libérées de cette manière suivant la longueur du b Ati et il arrivait fréquemment dans ce cas que les autres têtes de formage actives de la machine étaient trop peu nombreuses pour

l'opération de formage requise de sorte qu'une autre ma-

chine de formage cornplète devait être utilisée pour ob-

tenir le nombre total nécessaire des tètes de formage en fonctionnement En général, une seule ou quelques têtes de formage de la seconde machine étaient utilisées

et les autres restaient disponibles.

Cela veut dire qu'en pratique, un atelier qui avait à effectuer toute une variété de travaux de formage au rouleau devait disposer de deux machines normales de formage aux rouleaux alignés l'une derrière l'autre; alors que le besoin réel n'était que d'une seule machine avec une distance accrue entre certaines de ces tètes

de formage et une augmentation correspondante de la lon-

gueur du bâti.

Il est probable que le rendement et la souplesse

des machines de formage à rouleaux pourraient être matériel-

lement améliorés si elles étaient prévues avec des têtes de formage réglables dans différentes positions suivant la longueur du bâti de la machine Mais jusqu'à présent,

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cette possibilité de réglage a soulevé certains pro-

blèmes qui n'ont pas reçu de solution évidente.

Les différents arbres à rouleaux d'une machine-

de formage à rouleaux doivent tourner en synchronisme et, pour cette raison, et pour des raisons de rendement,

tous les arbres à rouleaux doivent être entratnés à par-

tir d'une source commune de force motrice Des chbbnes-

dtentranement ont été utilisées sur certaines machines de formage à rouleaux, mais un entraînement par chaîne tend à délivrer un couple saccadé ou fluctuant et à d'autres égards, il est indésirable dans une machine de formage à rouleaux Le mécanisme d'entraînement préféré consiste en un arbre tournant avec des accouplements par engrenage avec les arbres à rouleaux des différentes

têtes de formage Dans une disposition antérieure couran-

te, chaque ttte de formage portait un court tronçon d'arbre d'entraînement faisant saillie vers l'avant et

vers l'arrière et les courts tronçons des têtes de for-

mage voisines le long du bfti étaient accouplés par des longueurs modulaires d'arbres qui étaient clavetées par leurs extrémitésopposéessur les tronçons respectifs des tètes de formage Pour maintenir la concentricité des

nombreux éléments d'arbres, chaque tête de formage com-

portait des paliers dans lesquels tournaient ses tron-

çons d'arbres et chaque longueur modulaire d'arbre devait passer dans un palier qui était supporté par un support fixe sur le bâti de la machine En raison de ces nombreux paliers, éléments d'arbres et accouplements, ce système antérieur de transmission de couple pour des machines de

formage à rouleaux était non seulement compliqué et coû-

teux mais également, sur le plan pratique, extrêmement peu souple en ce qu'il ne perrmettait pas facilement des

décalages réglables des têtes de for-age dans des posi-

tions différentes le long du bâti.

Il apparalt ainsi que la réalisation d'une ma-

chine de formage à rouleaux avec une ou plusieurs têtes de formage pouvant être positionnées dans des positions

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différentes suivant la longueur du bâti de la machine pose le problème essentiel de réaliser un mécanisme ou

une structure simple, peu cotteuse et souple de trans-

mission de couple d'un moteur aux arbres à rouleaux de chacune de ces têtes de formage, en toute position dans

laquelle elle peut être positionnée.

Selon l'invention, l'arbre courant jusqu'à pré-

sent constitué par de nombreux éléments d'arbres et ac-

couplements est remplacé par une ligne d'arbres tournante qui s'étend pratiquement sur toute la longueur du bâti de la machine et qui consiste en un seul ou en quelques longs éléments d'arbres La rotation de la ligne d'arbres, est transmise aux arbres à rouleaux des différentes tttes de formage par des pignons coniques sur la ligne d'arbres unp O ur chaque tote de formage et engrenant chacun avec

son pignon conique sur sa tête de formage Avec cette dis-

position, pour qu'une tête de formage soit réglable en différentes positions suivant la longueur de la ligne d'arbres, le pignon conique pour cette tête de formage doit évidemment ttre réglable de façon correspondante le

long de la ligne d'arbres 1 Iais cette possibilité de ré-

glage du pignon conique pose des problèmes qui sont évi-

dentspour l'homme de l'art.

Chaque pignon conique, en toute position dans laquelle il eut être placé, doit évidemmnnt être en bon accouplement de transmission de couple avec la ligne d'arbres, susceptible de transférer une force motrice substantielle de la ligne d'arbres au pignon conique

mené Un accouplement à clavette-entre l'arbre et le pig-

non conique est hors de question, non seulement en raison de la difficulté de tailler une mortaise suivant toute la longueur d'un long arbre mnais, ce qui importe davantage, par le fait que la présence de la mortaise sur l'arbre en rotation serait destructive pour tous les paliers dans lesquels passe l'ar,7 re Une autre considération qu'il faut conserver en mrér Soire est que les pignons coniques sont sujets à des dommages et à des ruptures de temps à

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autre et que le remplacement d' un pignon conique ne

doit pas imposer que le long arbre soit glissé axia-

lement sur le côté par le pignon conique endommagé et

tous les autres ainsi que les paliers.

53 Un autre facteur de complication est que chaque pignon conique sur la ligne dlarbres, lorsqu'il transfére un couple à son pignon conique mené, impose

une force latérale relativement élevée à la ligne d'ar-

bres, et que pour éviter une courbure de la ligne d'ar-

bres sous l'effet de cette force, l'arbre doit être

supporté rigidement au voisinage de chaque pignon coni-

que Le dispositif qui assure ce support dans la ligne dtarbres ne doit pas gêner le décalage des têtes de formage d'une position à une autre suivant la longueur de cet arbre, ni le décalage correspondant du pignon

conique pour les têtes de formage respectives.

Compte tenu de toutes ces considérations,

l'objet général de l'invention est de proposer une ma-

chine de formage à rouleaux simple, pratique et peu coteuse, comportant des têtes de formage qui peuvent être positionnées dans l'une quelconque de différentes positions suivant la longueur du bâti de la machine et comprenant une ligne d'arbres qui s'étend pratiquement sur toute la longueur du bâti et qui comprend un ou quelques longs éléments d'arbres; les arbres à rouleaux de chaque tote de formage sont entrainés par un pignon

conique sur la tote de formage qui engrène avec un pig-

non conique sur la ligne d'arbres; le pignon conique pour chaque tête de formage est réglable facilement

suivant la longueur de la ligne d'arbres pour s'adap-

ter à n'importe laquelle des différentes positions dans

lesquelles la tête de formage peut être placée.

Un autre objet plus spécifique de l'invention est de proposer un pignon conique par lequel un couple

peut être tra nsmis d'une ligne d'arbres à un pignon co-

nique correspondant et qui est très facilement réglable d'une position à une autre suivant la longueur de la

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ligne d'arbres avec l'assurance d'un bon accouplement

de transmission de couple entre lui et la ligne d'ar-

bres dans n'importe quelle position, ce pignon conique

ayant ltautre avantage de pouvoir être facilement enle-

vé de la ligne d'arbres sans qu'il soit nécessaire d'im- primer un mouvenent de glissement axial relatif entre lui

et l'arbre.

Un autre objet spécifique de l'invention est de proposer un pignon conique fendu suivant sa longueur qui peut tre accouplé coaxialement par serrage sur un arbre dans toute position voulue de sa longueur, pour etre contraint de tourner avec lui, ce pignon conique étant formé en deux parties qui peuvent Atre séparées suivant un plan contenant son axe pour 'tre facilement enlevé de l'arbre mais avec néanmoins des dents qui sont

régulièrement espacées et com plete ment uniformes, y com-

pris les dents voisines du plan sur ces cetés opposés.

Il apparatt ainsi que l'objet essentiel de

l'invention est de réaliser une machine de forlnage à rou-

leaux qui est beaucoup plus souple que les machines co parables disponibles jusqu'à présent et grâce à laquelle toute une variété d'opérations de formnnage peuvent 8 tre effectuées avec un investissement relativement modeste,

étant donné qu'une seule machine selon l'invention, cor-

portant un bâti relativement plus long que ceux des ma-

chines courantes jusqu'à présent et comportant des t 8 tes de formage réglables le long de ce bâti peut effectuer de nombreuses opérations de formage pour lesquelles deux

machines antérieures C'taient nécessaires jusqua'à présent.

D'autres caractéristiques et avantages de

l'invention appara tront au cours de la description qui

va suivre d'un exemple de réalisation et en se référant aux dessins annexéssur lesquels:

La Figure 1 est une vue en perspective simpli-

fiée d'une machine de formage à rouleaux réalisée selon les principes de l'invention, la Figure 2 est une vue en élévation dans la direction du trajet de la pièce, de l'une des t tes de

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formage de la machine de formage à rouleaux selon l 'invention, la Figure 3 est une vue de dessus de la tête de formage de la Figure 2, la Figure 4 est ule vue en élévation de la tête de formage, à partir de son c 8 te intérieur ou d' entrainement, la Figure 5 est une vue en élévation de la tète de formage, par son c 8 té extérieur, la Figure 6 est une coupe partielle suivant le plan de la ligne 6-6 de la Figure 2, la Figure 7 est une coupe du dispositif de

transmission d'une tête de formage, par lequel ses ar-

bres à rouleaux sont entraînés à partir de la ligne d'arbres, la Figure 8 est une vue en perspective à grande échelle de l'un des pignons coniques démonté de la ligne d'arbres, par lequel sont entraînés les arbres à rouleauxd'une tète-de formage, la Figure 9 est une vue de ctté du pignon conique assemblé sur la ligne d'arbres, la Figure 10 est une autre vue en élévation du pignon conique, mais tourné de 90 par rapport à sa position de la Figure 9, et avec une partie coupée, la Figure 11 est une coupe suivant le plan de la ligne 11-11 de la Figure 10, et la Figure 12 est une coupe suivant le plan

de la ligne 12-12 de la Figure 10.

Une machine de formage à rouleaux réalisée selon l'invention comporte un bâti 5 allongé, en forme de table, et plusieurs têtes de formage 6 qui sont

montées sur le bâti à des intervalles suivant sa lon-

gueur Chaque tête de formage 6 comporte des arbres à rouleaux 7 et 8 supérieur et inférieur, parallèles entre eux, qui sont disposés en travers du bâti 5 et qui peuvent tourner dans des sens opposés Des rouleaux 9, 9 ' sont clavetés coaxialement sur les arbres 7 et 8,

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et engagent les faces opposées d'une pièce métallique If allongée pour l'amener au profil voulu et la déplacer

suivant sa longueur en passant par les tètes successi-

ves de formage 6 le long du bâti Les arbres à rouleaux

7, 8 des différentes tètes de formage 6 sont mis en ro-

tation par une ligne d'arbres 10 qui s'étend pratique-

ment sur toute la longueur du bâti 5, sur l'un de ses

cetés, et qui est elle-même mise en rotation par un mo-

teur 11 La ligne d'arbres 10 peut consister, de la manière représentée, en un seul long élément d'arbre supporté près de ses extrémités opposées par des paliers 12 qui sont fixés sur le bâti 5 Bien entendu, l'arbre peut consister en deux ou quelques longueurs d'arbres accouplés bout à bout, mais dans tous les cas, ii est préférable que son diamètre soit uniforme sur toute sa longueur. Chaque t 9 te de formage 6 comporte des pièces de cage 14 et 15, intérieure et extérieure supportant

les arbres à rouleaux 7, 8 près de leurs extrémités in-

térieure et extérieure La pièce de cage intérieure 14 q Ui est disposée sur le c 8 té du bâti 5 le long duquel se trouve la ligne d'arbre 10, supporte un dispositif de transmission 19 ainsi que des paliers 16 et 17 pour

les extrémités intérieures des arbres à rouleaux 7 et 8.

La pièce de cage extérieure 15 qui est disposée près du côté opposé du bâti 5 est essentiellement un support pour des paliers 16 ', 17 ' aux extrémités extérieures des arbres à rouleaux 7, 8 Selon une disposition connue, les paliers 16, 16 ' pour l'arbre à rouleau supérieur 16 sont réglables vers le haut et vers le bas dans leurs pièces de cage 14, 15 respectives de manière que des

rouleaux de formage 9 de dimensions et de forme diffé-

rentes puissent être regus dans la tête de for;çage.

Sur la pièce de cage intérieure 14, le dispo-

sitif de transmission 19 par lequel les arbres à rouleaux 7, 8 sont mis en rotation à partir de la ligne d'arbres

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comporte un pignon conique mené 21 qui engrène avec un pignon conique 22 sur la ligne d'arbres Le pignlon

conique mené 21 peut être fixé sur l'extrémité intérieu-

re de l'arbre à rouleau inférieur 8 pour l'entraîner directement; et le dispositif de transmission 19 peut en outre comporter des pignons droits sur les arbres à rouleaux supérieur et inférieur coopérant avec des

pignons droits intermédiaires pour former un train d'en-

grenage 24 par lequel l'arbre à rouleau supérie ur 7

est entr"né à partir de l'arbre à rouleau inférieur 8.

Les pignons intermédiaires du train d'engrenage 24 sont

agencés d'une manière connue pour s'adapter aux diffé-

rentes positions verticales dans lesquelles larbre à

rouleau supérieur 7 peut être réglé.

Dans le cas présent, chacune des têtes de for-

mage 6 peut tre décalée de façon réglable dans l'une quelconque choisie de plusieurs positions différentes suivant la longueur du bti 5, pour adapter la machine aux conditions d'une pièce particulière à former et à la forme qui doit lui tre donnée Dans ce but, les pièces de cage intérieure et extérieure 14, 15 de chaque tête de formage sont fixées sur le bâti 5 par des boulons 26 qui traversent les parties de base des pièces de cage et qui pénètrent dans des trous taraudés 27 du bâti Les

trous 27 sont disposés à des intervalles réguliers sui-

vant la longueur du bâti pour offrir un grand nnbre de

positions différentes dans lesquelles chaque tête de for-

mage peut être positionnée Par exemple, la distance

entre les trous 27 est 37,5 ou 50 mmn.

A chaque tête de formage, le pignon conique 22 pour cette tête, lorsqu'il transmet le couple au pignon conique mené 21, impose à la ligne d'arbres 10 une force de réaction latérale qui tend à courber cet arbre Cette force latérale est compensée par une pièce 30 support d'arbre vertical rigide sur la pièce de cage intérieure 14 de la tète de formage, maintenant la ligne d'arbres juste devant le -pignlon conique 22 à l'opposé du pignon conique mené 21 La partie inférieure 31 de la pièce 30 support d'arbre est fixée de façon amovible sur la pièce de cage intérieure 14, par exemple par des boutons 32; et sa partie supérieure comporte une entail- le ou une encoche 33 en forme de C qui s'ouvre vers le

pignon conique mené 21 et dans laquelle la ligne d'ar-

bres 10 est ajustée de manière à pouvoir tourner Un graisseur 34 sur la pièce support d'arbre 30 assure la

lubrification de sa surface en contact avec l'arbre.

T La pièce support d'arbre 30 est en contact avec l'arbre 10 autour de la moitié de sa circonférence, le maintenant ainsi contre toute déformation vers le haut et vers le bas ainsi que contre toute courbure latérale mais, étant donné qu'elle n'entoure pas l'arbre 10, elle peut être déplacée latéralement dans unsens et dans l'autre par rapport à l'arbre Ainsi, lorsqu'une tête de formage 6 doit être décalée jusqu'à une nouvelle position le long du bâti, sa pièce support d'arbre 30 peut être

facilement enlevée, de sorte que la pièce de cage inté-

rieure 14 correspondante est totalement dégagée de la

ligne d'arbres 10, ce qui facilite le repositionnement.

Comme cela apparaîtra ci-après, lorsqu'une tête de formage 6 est décalée d'une position à une autre, son pignon conique 12 peut être glissé axialerient le long

de la ligne d'arbres 10, si cela est souhaité, mais cha-

que pignon conique 22 peut aussi être dégagé complètement

de la ligne d'arbres, rapidement, facilement et sans né-

cessité d'un décalage axial relatif A cet effet, chaque pignon conique 22 comporte un pignon 36 et un collier coaxial 37 et chacune de ces pièces, à son tour, comporte deux parties complémentaires, respectivement 36 a, 36 b et

37 a, 37 b qui peuvent être séparées l'ume de l'autre sui-

vant un plan qui contient l'axe de la pièce,,mais qui

3.5 sont normalement assemblées par des boulons qui traver-

sent ce plan.

il 2510435

1 1 2 5 1 0 4 35

Le pignon 36, lorsqu'il est assemblé, comporte une face avant 39 tronconique coaxiale sur laquelle sont formées les dents, et un corps arrière coaxial 40 que traversent les boulons 41 pour assembler les deux parties 36 a, 36 b Après l'assemblage, lorsque les boulons

41 sont fermement serrés, le pignon 36 comporte un alé-

sage 42 dont le diamètre est tel qu'il peut coulisser

sur l'arbre 10.

Le collier 37 est serré sur l'arbre 10, directe-

ment derrière le pignon 36, pour maintenir ce dernier de manière qu'il engrène avec le pignon conique mené 21 et pour transmettre la rotation de l'arbre au pignon 36

par un assemblage à languettes et rainures qui sera dé-

crit ci-après.

Les deux parties 36 a, 36 b qui constituent le pignon 36, sont faites à partir d'ébauches qui comportent des surfaces d'appui planes sur le plan de séparation,

l'axe de la pièce se trouvant dans ce plan.

A la réalisation du pignon 36, les ébauches qui constituent les deux parties 36 a, 36 b sont finies pour

obtenir une planéité précise sur leurs surfaces respec-

tives qui doivent se trouver sur le plan de séparation

et elles sont percées et taraudées pour recevoir les bou-

lons de serrage 41 par lesquels elles sont serrées ferme-

ment l'une contre l'autre avèc les surfaces planes en contact Après ce montage, l'ensemble constitué par les deux parties d'ébauche 36 a, 36 b est alésé ou usiné par

toute autre manière pour obtenir le pignon 36 terminé.

De préférence, le pignon conique comporte un no bre pair de dents qui sont positionnées par rapport aux parties 36 a, 36 b de manière que le plan de séparation se situe à r:ii-cherlin entre des dents voisines de chaque coté du pignon En raison de son assemblage coulissant sur la ligne d'arbres 10, les surfaces opposées des parties 36 a, 36 b du pignon 36 sont fermément serrées l'une contre l'autre, après l'assemblage sur l'arbre, de sorte que l'espacemient régulier et la configuration des dents sont

maintenues malgré que ce pignon soit fait en deux par-

ties. Le collier 37 est réalisé pratiquement de la

mnme manière que le pignon 36, avec ses parties d'ébau-

che 37 a, 37 b assemblées par les boulons 45 L'alésage

concentrique 43 dans le collier, formé avant que les par-

ties 37 a, 37 b soient séparées, a un diamètre très légè-

rement inférieur à celui de la ligne d'arbres 10 (c'est-

à-dire un assemblage serré) Après que l'ensemble de collier a été alésé, les surfaces planes opposées des parties 37 a, 37 b sont descendues dans une certaine mesure de sorte que lorsque ces pièces sont assemblées à nouveau autour de la ligne d'arbres 10, les boulons 45 du collier peuvent 9 tre bloqués pour serrer les pièces en assemblage àfriction sur l'arbre La manière préférée de descendre

les surfaces opposées des pièces 37 a, 37 b consiste à ef-

fectuer un trait de scie dans le collier alésé, sur son plan de séparation, de manière que l'épaisseur du trait de scie définisse la distance approximative entre les pièces

37 a, 37 b lorsqu'elles sont serrées sur l'arbre 10.

L'accouplement à languettes et rainures entre le pignon 36 et le collier 37 consiste de préférence en

des rainures 46 débouchant axialement vers l'arrière for-

mées dans la face arrière du pignon et en des rainures 47 débouchant axialement vers l'avant formées dans la face

avant du collier, avec des clavettes 49 en forme de bar-

rettes qui sont placées dans les rainures opposées des

pièces respectives.

Les rainures 46, 47 dans chacune des pièces 36, 37 débouchent sur les côtés opposés de l'alésage de l'arbre 42, 43, elles sont allongées radialement pal rapport à la pièce et leurs longueurs sont perpendiculaires au plan de séparation de la pièce Comme le montre la Figure, les rainures 47 dans le collier 37 se terminent à une courte distance de la périphérie pour définir des épaulements 50 limitant radialement le déplacement vers l'extérieur des clavettes 49 Bien entendu, les rainures 46 du pignon 36

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peuvent avoir une forme similaire.

Il apparait ainsi qu' un pignon conique 22 peut 8 tre décalé d'une position à une autre le long de

la ligne d'arbres 10, en desserrant simplement les bou-

lons de blocage 45 des colliers 37 et en glissant le col- lier et le pignon axialement le long de l'arbre Par ailleurs, l'ensemble du pignon conique 22, au seulement le pignon 36 peut 8 tre à volonté enlevé entièrement de la ligne d'arbres sans perturber d'autres parties de

la machine.

Il apparait ainsi en regard de la description

faite ci-dessus en regard des dessins que l'invention concerne une machine de formage à rouleaux qui est moins compliquée et moins coteuse en ce qui concerne son mécanisme d 1 entrafnement que les machines antérieures tout en étant néanmoins plus souple Il apparait tout particulièrement que l'invention apporte une machine de formage à rouleaux c Qmportant des tètes de formage qui

peuvent 9 tre facilement décalées dans différentes posi-

tions le long du bâti de la machine, avec un mécanisme d'entraenement des arbres à rouleaux de chaque tête de formage permettant que ce repositionnement des tètes

se fasse rapidement et facilement.

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Claims (3)

REVENDICATIONS

1 Machine de formage à rouleaux, comprenant un bâti allongé ( 5) et plusieurs tètes de formage ( 6) espacées à des intervalles le long dudit bâti, chaque

tête de formage comprenant une cage ( 14, 15) qui sup-

porte une paire d'arbres à rouleaux ( 7, 8) disposés laté- ralement et sur lesquels sont supportés des rouleaux de formage ( 9, 9 ') et un dispositif de transmission ( 19) pour mettre en rotation lesdits arbres à rouleaux ( 7,

8), machine caractérisée en ce qu'elle comporte un dis-

positif ( 26, 27) de fixation amovible coopérant sur le-

dit bâti ( 5) et sur la cage ( 14, 15) d'au moins une tête de formage ( 6) pour fixer ladite cage ( 14, 15) sur le bâti ( 16) dans l'une quelconque choisie de plusieurs positions suivant la longueur du bâti ( 5), une ligne d' arbres tournante (o 10) s'étendant suivant la longueur

d'un coté du bâti ( 5) devant lesdites positions, un pig-

non conique mené ( 21) sur ladite tte de formage ( 6) pour mettre en rotation ses arbres à rouleaux ( 7, 8) par l'intermédiaire de son dispositif de transmission ( 19), ledit pignon conique ( 21) ayant un axe parallèle aux axes des arbres à rouleaux ( 7, 8), et un pignon conique ( 22) pouv ant être fixé sur ladite ligne d'arbres ( 10) dans l' une quelconque choisie desdites positions pour

transmettre la rotation de ladite ligne d'arbres (l O) au-

dit pignon conique mené ( 21), ledit pignon conique ( 22) comportant un pignon ( 36) avec un alésage concentrique ( 42) d'un dia -'tre qui lui permet de coulisser sur ladite

ligne d'arbres ( 10) et avec une face avant ( 39) tronco-

nique concentrique sur laquelle sont formées des dents pour engrener avec les dents dudit pignon conique mené ( 21) ledit pignon ( 36) comportant deux pièces de pignon ( 38 a, 38 b) séparables l'une de l'autre suivant un plan

qui contient l'axe du pignon ( 36) et une vis ( 41) tra-

versant ledit plan et asse:mblant normale'ient lesdites pièces ( 36 a, 36 b), ledit pignon ( 3 c) comportant 1 alp:m

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un collier ( 37) constitué par des pièces de collier complémentaires ( 37 a, 37 b) s'engageant sur la ligne

d'arbres ( 6) sur ses c 5 tés opposés, et des vis ( 45) as-

semblant normalement lesdites pièces de collier ( 36 a, 36 b) pour fixer par serrage le collier ( 37) sur la ligne d'arbres ( 10), vers l'arriére contre ledit pignon ( 36), et ledit pignon ( 36) comportant enfin un dispositif d'appui ( 47, 46, 49) disposé excentriquement sur une face avant dudit collier ( 37) et sur une face arrière dudit pignon ( 36) pour contraindre ce dernier à tourner

avec le collier ( 37).

2 Machine selon la revendication 1, caractéri-

sée en ce que ledit pignon ( 36) comporte des dents dis-

posées symétriquement par rapport audit plan, les dents qui sont adjacentes audit plan, de chaque c 6 té du pignon ( 36) étant espacées de distanceségalesdes cotés opposées

dudit plan.

3 Machine selon la revendication 1, caracté-

riséeen ce que ledit collier ( 37) lorsque ses pièces sont assemblées pour être fixées par serrage sur ladite ligne d'arbres ( 10) comporte un alésage ( 43) d'une dimension telle qu'il est serré a frottement sur ladite ligne d'arbres (l O) et lesdites pièces de collier ( 37 a, 37 b) comportent des surfaces planes opposées qui sont espacées

l'une de l'autre et qui sont sur lescbtésopposéset paral-

lèles à un plan qui contient l'axe dudit alésage ( 43).

4 Machine selon la revendication 3, caractéri-

sée en ce que ledit dispositif d'appui coopérant ( 47, 46, 49) est constitué par une paire de rainures allongées radialement ( 46, 47) dans la face arrière dudit pignon

( 36) et dans la face avant dudit collier ( 37), les rai-

nures ( 46, 47) de chacune desdites pièces ( 36, 37) se trouvant sur les côtés opposés de l'alésage ( 42, 43) et

s'étendant suivant leur longueur perpendiculairement au-

dit plan entre lesparties ( 36 a, 36 b; 37 a, 37 b)de la pie-

ce et une paire de clavettes ( 49) en forme de barrettes reçue chacune dans l'une des rainures ( 46, 47) de chacune

desdites pièces.

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Machine selon la revendication 1, carac- térisée en ce qu'elle comporte une pièce ( 30) support d'arbre fixée de façon amovible sur la cage ( 14, 15) de ladite t 9 te de formage ( 6) et engageant la ligne d'arbres (O 10) sur environ la moitié de sa circonférence pour supporter les forces latérales imposées sur ledit arbre (îo) par des réactions aux couples transmis

par le pignon conique ( 22).

6 Dispositif d'entraînement pour une machine

comprenant une ligne d'arbres ( 1 O) allongée dont le dia-

mètre est uniforme sur toute sa longueur, ledit dispo-

sitif d'entrainement ( 22) étant destiné à transmettre la rotation dudit arbre ( 10) à une pièce menée ( 21, 19, 7, 8) et qui peut être fixée dans l'une quelconque choisie de plusieurs positions suivant la longueur de l'arbre ('O) et qui comporte ul pignon conique mené ( 21) qui tourne sur un axe perpendiculaire à l'axe dudit arbre (îO), dispositif d'entra nement caractérisé en ce qu'il comporte un pignon conique ( 36) pouvant couiisser concentriquement en entourant ledit arbre (O 10) et avec une face avant ( 39) dentée tronconique pouvant engrener avec ledit pignon conique mené ( 21), ledit pignon ( 36)

étant formé par deux parties ( 36 a, 36 b) qui sont sépa-

rables suivant un plan qui contient son axe et qui sont assembleesde façon démontable par des vis ( 41) traversant ledit plan, un collier ( 37) pouvant être serré sur ledit arbre (O 10) derrière et contre ledit pignon ( 36) pour être contraint de tourner avec l'arbre (îO) et pour maintenir le pignon ( 36) contre tout déplacement axial hors de 1 ' entra 4 nement avec ledit pignon conique mené ( 21) et un dispositif d'appui ( 47, 46, 49) disposé excentriquement sur une partie avant dudit collier ( 37) et sur une partie

arrière dudit pignon ( 36) pour obliger ce dernier à tour-

ner avec ledit collier ( 37).

7 Dispositif selon la revendication, carac-

térisé en ce que ledit collier ( 37) consiste en deux

pièces de collier ( 37 a, 37 b) et des vis ( 45) par les-

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quelles les deux pièces de collier ( 37 a, 37 b) sont as-

semblées, lesdites piè es de collier ( 37 a, 37 b) lors-

qu'elles sont serrées sur ledit arbre ( 10) définissant un alésage concentrique ( 43) dans ledit collier ( 37) ajusté à frottement sur ledit arbre ( 10) et comprenant

des surfaces planes opposées qui sont parallèles et es-

pacées des cetés opposés d'un plan qui contient l'axe

dudit alésage ( 43).

8 Dispositif selon la revendication 6, carac-

térisé en ce que ledit dispositif d'appui ( 47, 46: 49)

comporte des clavettes ( 49) en forme de barrette main-

tenues dans des fentes ( 47, 46) allongées radialement, dans des surfaces opposées, tournées axialement dudit

collier ( 37) et dudit pignon ( 36).

9 Machine de fozr-ilage à rouleaux comprenant un

bâti allongé ( 5) et plusieurs têtes de formage ( 6) espa-

cées à des intervalles le long dudit bâti ( 5), chaque tète de formage ( 6) comprenant deux arbres à rouleaux ( 7, 8) disposés latéralemlent sur lesquels des rouleaux de formage ( 9, 9 ') sont supportés, un pignon conique ( 21)

pouvant tourner sur un axe parallèle à celui desdits ar-

bres à rouleaux ( 7, 8) et par lequel lesdits arbres à rouleaux ( 7, 8) sont mis en rotation, et unle cage ( 14,

) qui supporte lesdits arbres à rouleaux ( 7, 8) et le-

dit pignon conique ( 21), machine caractérisée en ce qu' elle comporte un dispositif de fixation ( 26, 27) amovible coopérant sur ledit bâti ( 5) et sur la cage ( 14, 15) d'au moins une tête de formage ( 6) pour fixer ladite cage ( 14, 15) sur le bâti ( 5) dans l'une quelconque choisie de plusieurs positions suivant la longueur du bâti ( 5) une ligne d'arbres ( 10) tournante s'étendant suivant la longueur d'un ceté du bâti ( 5) devant lesdites positions et supportée dans des paliers ( 12) près de ses extrémités opposées,la ligne d'arbres ( 10) ayant un diamiètre uniformue sur pratiquement toute sa longueur entre lesdits paliers ( 12), un pignon conique ( 22) pouvant être fixé de fagon

amovible sur ladite ligne d'arbres (lo) en l'une quel-

conque choisie desdites positions pour transmettre la

rotation de ladite ligne d'arbres (o 10) audit pignon co-

nique ( 21), et une pièce support d'arbre ( 30) fixée de façon amovible sur la cage ( 14, 15) de ladite tète de formage ( 6) et comportant une entaille ( 35) en arc de cercle dans laquelle est reçue la ligne d'arbres (io) et qui définit une surface incurvée qui engage la ligne

d'arbres (lo) autour d'environ la moitié de la circonfé-

rence pour supporter les forces latérales imposées à la-

dite ligne d'arbres (o 10) en réaction au couple transmis

par le pignon conique ( 22).

Machine selon la revendication 9, carac-

térisée en ce que ledit pignon conique ( 22) comporte un pignon ( 36) constitué par deux pièces de pignon ( 36 a, 36 b) qui sont normalement assemblées par des vis ( 41) et qui coopèrent pour définir une partie avant de pignon comprenant une partie tronconique ( 39) tournée vers 1 ' avant sur laquelle sont formées des dents, une partie arrière ( 40) cylindrique coaxiale dans laquelle passent lesdites vis et un alésage ( 42) s'étendant coaxialement

dans lesdites parties avant et arrière et dont le dia-

mètre est tel qu'il peut coulisser sur la ligne d'arbres ( 10 O), lesdites pièces ( 36 a, 36 b) étant séparables suivant un plan qui contient l'axe dudit alésage ( 42), ledit pignon conique ( 22) comportant en o'utre un collier ( 37) constitué par deux pièces de collier ( 37 a, 37 b) qui sont normalement assemblées par les vis de serrage ( 45) et qui coopèrent pour définir un alésage de collier ( 43) qui est ajusté à frottement sur la ligne d'arbres (Io), lesdites pièces de collier ( 37 a, 37 b) comportant des

surfaces parallèles opposées espacées sur les cités op-

posés d'unl plan qui contient ledit alésage de collier ( 43)

et un dispositif d'appui ( 47, 46, 49) excentrique coopé-

rant sur une surface avant dudit collier ( 37) et une sur-

3 face arrière opposée dudit pignon ( 36) de manière que ce dernier soit maintenu contre toute rotation par rapport

audit collier ( 37).