FR2475969A1 - Outil de chevillage - Google Patents

Abstract

L'OUTIL DE CHEVILLAGE COMPREND DES PREMIER ET SECOND ELEMENTS 1, 2 AYANT DES SURFACES PARALLELES OPPOSEES PROPRES A ENSERRER ENTRE ELLES UNE PREMIERE PIECE A PERCER GENERALEMENT PLANE. LE PREMIER ELEMENT 1 POSSEDE UNE PARTIE 5 PERPENDICULAIRE AUX SURFACES PARALLELES QUI SERT DE BUTEE AU CHANT D'UNE SECONDE PIECE A PERCER. DANS LE SECOND ELEMENT 2 EST PRATIQUE AU MOINS UN TROU 8 DE GUIDAGE DE FORET, DONT L'AXE EST PERPENDICULAIRE AUX SURFACES PARALLELES. DANS LE PREMIER ELEMENT 1 EST PRATIQUE AU MOINS UN TROU 6 DE GUIDAGE DE FORET, DONT L'AXE EST PERPENDICULAIRE A LA PARTIE 5.

Description

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OUTIL DE CHEVILLAGE

La présente invention a trait à un outil de chevillage comprenant des premier et second éléments dans chacun desquels est pratiqué au

moins un trou.

Ces outils peuvent être utilisés pour guider le perçage de trous dans deux pièces en bois à usiner afin que les trous dans une pièce soient alignés avec les trous dans l'autre pièce et puissent recevoir

des chevilles pour assembler lesdites pièces.

Selon l'invention, il est prévu un outil de chevillage dans lequel le premier élément et le second élément ont des surfaces parallèles opposées respectives et dans lequel le premier élément possède une partie substantiellement perpendiculaire aux surfaces parallèles, l'axe du ou de chaque trou du premier élément étant perpendiculaire à la partie du premier élément et l'axe du ou de chaque trou du second

élément étant perpendiculaire aux surfaces parallèles.

Les surfaces parallèles opposées reçoivent entre elles une première pièce à percer généralement plane, et une seconde pièce à percer généralement plane est positionnée de sorte que son chant bute contre la partie perpendiculaire du premier élément. Les pièces sont ainsi disposées parallèlement entre elles et superposées, et peuvent être

espacées par une partie du premier élément formant entretoise.

Les trous sont utilisés pour guider un foret de perçage de trous dans les pièces. Des premiers trous sont alors percés dans la face de la première pièce et dans le chant de l'autre pièce. L'outil est ensuite déplacé le long des pièces d'ouvrage et d'autres trous sont percés tout en maintenant les pièces d'ouvrage dans les mêmes positions relatives. Ainsi, lorsque le chant percé de la seconde pièce est aligné avec la face percée de la première pièce, les séries respectives

de trous sont alignées pour recevoir des chevilles.

De préférence, les axes des trous ou de chaque paire de trous

correspondants dans lespreimier et second éléments sont concourants.

Ainsi, durant le perçage de trous dans les deux pièces, la colingarité des ces trous est réalisée afin que les chants latéraux des pièces

soient alignés durant cette opération.

-2 - De préférence, les premier et second éléments sont réunis par des moyens permettant un déplacement relatif entre eux. Ces moyens peuvent servir de butée pour le chant de la première pièce. Les trous dans les premier et second éléments sont de préférence disposés de sorte que la distance entre un trou pratiqué dans la première pièce et le chant de celle-ci est égale à la distance entre un trou pratiqué dans

la seconde pièce et la face de celle-ci.

L'invention est maintenant décrite plus en détail selon plusieurs

modes de réalisation préférés, en référence aux dessins annexes corres-

pondants, dans lesquels: - la Fig. 1 est une vue en perspective d'un outil de chevillage selon un premier mode de réalisation de l'invention; - la Fig. 2 est une vue en coupe de l'outil de la Fig. 1 en utilisation; - la Fig. 3 est une vue en perspective de l'outil de la Fig. 1 pour une autre utilisation; - la Fig. 4 est une vue en perspective d'un outil de chevillage selon un second mode de réalisation de l'invention; - la Fig. 5 est une vue en perspective éclatée d'un outil de chevillage selon un troisième mode-deTrêalisation de l'invention; et

- la Fig. 6 représente l'outil de la Fig. 5 après assemblage.

L'outil de chevillage représenté sur les dessins annexés comprend un premier élément 1 et un second élément 2 monté à coulissement par

rapport au premier élément 1 sur des tiges 3 fixées au premier élément.

Le premier élément 1 possède une partie 4 formant entretoise qui est généralement perpendiculaire à une partie 5 formant guide. Dans la partie de guidage 5 sont pratiqués deux trous 6 de diamètres différents revêtus de garnitures trempées 7 pour guider des forets de diamètres

différents correspondants.

Dans le second élément 2 sont pratiqués deux trous 8 également revêtus de garnitures trempées 9 pour guider des forets. Les axes des trous 8 sont perpendiculaires aux axes des trous 6 pratiqués dans le premier élément 1. L'axe de chaque trou 8 et l'axe de l'un des trous 6 correspondants concourent et les trous de chaque paire correspondante

ont le même diamètre pour recevoir des forets au diamètre correspondant.

Ainsi, dans le cas du mode de réalisation représenté sur la Fig. 1 o

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les côtés 10 et Il du second élément 2 sont respectivement coplanaires aux côtés 12 et 13 du premier élément 1, la distance de chaque trou 6 au côté le plus proche,12 ou 13, est égale à la distance du trou

correspondant 9 au c6té le plus proche 10 ou 11.

La Fig. 2 représente l'outil de chevillage de la Fig. 1 lors de son utilisation pour le perçage de première et seconde pièces en bois à usiner 14 et 15, généralement planes. La première pièce 14 est disposée parallèlement au-dessus de la seconde pièce 15, l'entretoise 4 servant à les écarter l'une de l'autre. Le chant de la première pièce 14 bute contre les tiges 3 qui jouent ainsi le rôle de butée

pour cette pièce. Le chant de la seconde pièce 15 bute contre la sur-

face interne 16 de la partie de guidage 5. La distance entre chaque trou 8 et le plan contenant les génératrices de contact entre les tiges 3 et le chant de la première pièce 14 est égale à la distance entre le trou correspondant 6 et la surface inférieure 17 de l'entretoise 4 contre laquelle est appliquée la surface latérale de la seconde

pièce 15. Lesdites distances peuvent différer pour des trous de dia-

mètres différents de façon à pourvoir à l'utilisation d'une cheville

de diamètre différent pour des pièces de profondeur différente.

Afin de pratiquer les trous dans les pièces 14 et 15, un foret est introduit dans chaque trou 6 et 8 de diamètre correspondant et y est ainsi guidé pour pratiquer des trous à la profondeur désirée dans les pièces 14 et 15. L'outil de chevillage est ensuite déplacé le long

des chants des pièces 14 et 15, qui demeurent aux mêmes positions re-

latives, et est périodiquement stoppé pour permettre le perçage d'autres trous dans les pièces 14 et 15. Le second élément 2 peut être fixé sur les tiges 3 à la position montrée à la Fig. 2 par des moyens de serrage - non représentés- tels que vis sans tête ou filetage des tiges 3 coopérant avec des écrous. Lorsque le nombre désiré de trous a été pratiqué dans les pièces 14 et 15, l'outil est retiré et des chevilles peuvent être introduites dans les trous de l'une des pièces. L'autre pièce est ensuite présentée devant la partie chevillée de la première pièce et reçoit dans ses trous les chevilles. Les deux pièces sont

ainsi réunies au moyen d'un assemblage d'aboutement chevillé.

La Fig. 3 représente un autre procédé d'utilisation de l'outil de chevillage de la Fig. 1- pour réaliser des trous alignés en vue d'un assemblage chevillé. A cette fin, le second élément 2 est muni d'une -4 -

partie 18 ayant deux surfaces latérales 19 s'étendant perpendiculaire-

ment à une. surface.terminale 20. Les surfaces latérales 19 sont res-

pectivement coplanaires aux génératrices internes en regard des trous 8 respectifs. Afin de convertir l'outil représenté sur la Fig. 1 pour une uti- lisation telle que celle illustrée à la Fig. 3, le second élément 2

est retiré des tiges 3 et enfilé sur ceux-ci au moyen de trous 21 pré-

vus à cet effet. L'outil est ainsi disposé comme montré à la Fig. 3.

Une pluralité de trous est pratiquée dans lechantd'une7première pièce 22 et chaque trou reçoit une cheville respective 24 (dont une seule est montrée à la Fig. 3). La première pièce 22 est ensuite posée à plat sur une

seconde pièce 23 à laquelle elle doit être assemblée. L'outil de che-

village est ensuite placé sur l'autre surface de la seconde pièce 23, la surface terminale 20 étant disposée à plat contre le chant 25 de la première pièce 22. L'outil est glissé longitudinalement au-chant jusqu'à ce que la surface latérale correspondante 19 bute contre la cheville 24. Le trou correspondant 8 qui est aligné avec cette surface 19 en contact avec la cheville 24 peut ensuite être utilisé pour guider un foret perçant la surface supérieure de la seconde pièce 23. Cette procédure est répétée pour chaque cheville 24 et trou dans le chant 25 de la pièce 22, les première et seconde pièces demeurant dans la même disposition relative. Lorsque des trous correspondant à la totalité

des chevilles 24 ont été pratiqués dans la surface supérieure de la -

seconde pièce 23, l'outil est retiré et les deux pièces 22- et 24 peuvent à nouveau être réunies au moyen d'un assemblage d'aboutement chevillé. Bien que la disposition fonctionnelle de l'outil représentée à la Fig. 2 soit plus commode pour réaliser des assemblages chevillés le long des chants de deux pièces à réunir, la. disposition fonctionnelle représentée à la Fig. 3 permet d'utiliser l'outil pour la réalisation

d'assemblages chevillés entre le chant d'une pièce et une partie mé-

diane d'une surface principale d'une autre pièce. Les trous pratiqués pour les chevilles 24 dans le chant de la première pièce 22 peuvent être réalisés d'une manière désirée quelconque. Par exemple, la pièce 22 peut être placée à une position telle que celle de la pièce 15 de la Fig. 2 pour laquelle les trous 6 du premier élément 1 sont utilisés

comme guides pendant les opérations de perçage.

-5 -

La Fig. 4 représente une autre forme d'outil de chevillage cons-

tituant un autre mode de réalisation de l'invention. Sur la Fig. 4, des éléments analogues à ceux montrés aux F gs. 1 à 3 sont désignés par des mêmes numéros de référence. Ces éléments ne seront pas décrits en

détail et la description sera par conséquent restreinte à celle des

éléments différents.

Le premier élément I montré à la Fig. 4 diffère de celui du mode de réalisation représenté sur la Fig. I par le fait qu'il ne possède pas d'entretoise 4. A sa place, deux saillies 30font corps avec la

partie de guidage 5 et ont leurs autres surfaces supportant perpendi-

culairement les tiges 3.

Le second élément 2 montré à la Fig. 4 diffère essentiellement de

celui montré à la Fig. 1 uniquement par sa forme.

La Fig. 4 représente l'utilisation de l'outil de chevillage pour pratiquer des trous dans des première et seconde pièces 14 et 15, propres à recevoir des chevilles. Tandis que l'outil de chevillage de la Fig. 1 peut être utilisé à la fois avec des planches en bois et des planches recouvertes de matière plastique, l'outil représenté sur la Fig. 4 est prévu davantage pour une utilisation avec des planches en bois plutôt qu'avec des planches couvertes de matière plastique, car, dans certains cas, l'outil-ne pourrait pas être bloqué de façon suffisamment fiable

sur les surfaces glissantes en matière plastique de ces planches.

Les pièces 14 et 15, telles que montrées à la Fig. 4, sont généra-

lement disposées parallèlement, au contact l'une de l'autre le long de leurs surfaces adjacentes. Le chant de la première pièce 14 surplombe la seconde pièce 15 d'une distance égale à celle entre les tiges 3 et la surface arrière du premier élément 1. Les premier et second éléments 1 et 2 sont fixés de part et d'autre du chant de la première pièce 14 au moyen d'écrous à oreilles 31 (dont un seul est représenté) vissés sur les tiges 3, qui sont filetées. Les pièces 14 et 15 sont enserrées par exemple au moyen de pinces en forme-de G (non représentées), et sont, de préférence, également fixées à un plan de travail, tel qu'une table ou un établi. Les trous 6 et 8 sont ensuite utilisés pour guider un _I outil de perçage en vue de la réalisation de trous destinés à recevoir des chevilles. Du fait que les pièces 14 et 15 sont bloquées ensemble indépendamment de l'outil de chevillage de la Fig. 4, cet outil peut -6 - être glissé le long des chants des pièces plus aisément puisqu'il est

seulement fixé à la première pièce 14.

Les Figs. 5 et 6 représentent -un outil de cheyillage constituant encore un autre mode de réalisation de l'invention. Sur les Figs. 5 et 6, des éléments analogues à ceux montrés aux Figs. 1 à 3 sont désignés par des mêmes numéros de référence. Ces éléments ne seront pas décrits

en détail et la description de ce mode de réalisation sera restreinte

à celle des éléments différents.

Le premier élément 1 représenté sur les Figs. 5 et 6 diffère de celui du mode de réalisation montré à la Fig. 1 en ce qu'il comporte une partie supplémentaire 31 qui est sensiblement plane et coplanaire

à la partie de guidage 5, mais s'étend depuis la face opposée de l'en-

tretoise 4 jusqu'à la partie de guidage 5. La partie supplémentaire 31 *possède des languettes latérales 32 pour permettre un glissement dans le second élément 2, et des languettes de guidage 33. L'entretoise 4 possède également des nervures 34diàposées sur ses deux faces. En addition

aux languettes latérales 32, d'autres languettes latérales 35 sont pré-

vues le long des bords latéraux de la partie de guidage 5.

Le second élément 2 possède des parties latérales 36 qui relient

en vis-à-vis la partie du second élément munie de trous 8 et de gar-

nitures 9 à une plaque de serrage 37. La plaque de serrage 37 pré-

sente un alésage fileté 38 dans lequel est vissé un boulon de blocage 39. Du côté de la plaque 37 face aux trous 8, l'extrémité du boulon 39 est munie d'un pied 40 pour enserrer des pièces à usiner, tandis que l'autre extrémité du boulon 39 possède une tête 41 qui est encastré dans un bouton 42 facilitant la prise et la rotation manuelle du boulon

de blocage.

Afin d'assembler les outils représentés sur les Figs. 5 et 6, le premier élément I est tout d'abord déplacé suivant la direction de la flèche 43 de sorte que l'entretoise 4 est poussée à travers des

encoches 44 ménagées dans les bords internes des parties latérales 36.

Les parties latérales 36 sont munies de rainures ouvertes vers l'inté-

rieur qui reçoivent les languettes latérales 32 et 35 du premier élément 1. Ainsi, lorsque l'entretoise 4 a été introduite à travers les encoches 44, le premier élément I est déplacé vers la droite, comme montré sur les Figs. 5 et 6, de sorte que les languettes latérales 32 -7 - et 35 s'engagent dans ces rainures. Le premier élément I est ainsi reçu par le second élément 2 et peut y coulisser. Enfin, le bouton 42 est disposé audessus de la tête de boulon 41 et le boulon 39 est vissé dans l'alésage fileté 38, après quoi son extrémité est munie du pied 40. Dans le mode de réalisation montré aux Figs. 5 et 6, trois trous 6, 8 avec trois garnitures 7, 9 sont prévus dans chacun des premier et second éléments I et 2. Les axes des trous 6 sont perpendiculaires

à et rencontrent les axes respectifs des trous 8, et des paires corres-

pondantes de garnitures ont le même diamètre que celui décrit en ré-

férence aux Figs. I à 3.

La partie 45 du second élément dans laquelle sont pratiqués les trous 8 est également munie de rainures 46 qui reçoivent les languettes 33 du premier élément et qui assurent ainsi un guidage supplémentaire

durant le coulissement du premier élément I dans le second élément 2.

En utilisation, deux pièces à usiner qui sont généralement planes et par exemple en bois, sont introduites dans l'outil sur les côtés respectifs de l'entretoise 4 et ont leurs chants butant contre les parties latérales 36 et contre la partie de guidage 5 et les languettes 33. Le boulon 39 est ensuite vissé manuellement au moyen du bouton 42 de sorte que le pied 40 pousse les deux pièces avec l'entretoise 4 interposées entre elles contre la partie 45 du second élément 2. L'outil est ainsi fermement serré contre les deux pièces qui peuvent ensuite être percées en introduisant des forets de taille appropriée à travers la paire correspondante degarnitures 7, 9. Le boulon de blocage 39 peut ensuite être desserré et l'outil peut glisser le long des chants des pièces qui sont à bloquer à nouveau en différentes positions pour

d'autres perçages des pièces.

-8 -

Claims (4)

Revendications R e y e n d i c a t io n s 1 - Outil de chevillage comprenant des premier et second éléments dans chacun desquels est pratiqué au moins un trou, caractérisé en ce que le premier élément (1) et le second élément (2) ont des surfaces parallèles opposées respectives et en ce que le premier élément (1) possède une partie (5) substantiellement perpendiculaire aux surfaces parallèles, l'axe du ou de chaque trou (6) du premier élément (1) étant perpendiculaire à la partie (5) du premier élément et l'axe du ou de chaque trou (8) du second élément (2) étant perpendiculaire aux surfaces parallèles. 2 - Outil selon la revendication 1, caractérisé en ce que les axes des trous (6, 7) ou de chaque paire de trous correspondants (6, 7) dans les premier et second éléments (1, 2) sont concourants.
1. 3 - Outil selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les premier et second éléments (1, 2) sont réunis par des moyens permettant

   un déplacement relatif entre eux.
2. 4 - Outil selon la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens de déplacement relatif consistent en des tiges (3) fixées au premier élément (1) et traversant des trous pratiqués dans le second élément (2), les tiges (3) s'étendant perpendiculairement aux surfaces

   parallèles.

   - Outil selon la revendication 4, caractérisé en ce que les tiges

   (3) ont des portions filetées munies d'écrous de serrage (31).
3. 6 - Outil selon la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens de déplacement relatif consistent en des languettes latérales (32, 35) conformées sur le premier él&ément (1), perpendiculaires aux

   surfaces parallèles et en des rainures ouvertes vers l'intérieur) mé-

   nagées dans des parties latérales (36) du second élément (2) et re-

   cevant à coulissement les languettes latérales (32, 35).
4. 7 - Outil selon la revendication 6, caractérisé en ce que le second élément (2) comporte une première partie (45) dans laquelle est pratiqué

   le ou chaque trou (8), et une seconde partie (37) qui est reliée ri-

   gidement à la première partie (45) et qui est à une distance de celle-

   ci telle qu'elle est en regard à la face opposée du premier élément (1), la seconde partie (37) ayant un trou fileté (38) qui reçoit un boulon de blocage (39) dont l'axe est perpendiculaire aux surfaces parallèles

   des premier et second éléments.