FR2472715A1 - Outil pour le calibrage de tubes - Google Patents

Abstract

CET OUTIL DE CALIBRAGE C UTILISABLE DANS UN TUBE COMPREND UN CORPS B ET DES ORGANES PALPEURS MONTES DANS CELUI-CI ET POUVANT S'APPLIQUER CONTRE LA SURFACE INTERIEURE DU TUBE A CALIBRER, LES PALPEURS SE DEPLACENT EN REPONSE A DES VARIATIONS DE LA SURFACE INTERIEURE DU TUBE. DES DISPOSITIFS R CONJUGUES AU CORPS PERMETTENT A CE CORPS DE L'OUTIL DE CALIBRAGE D'ETRE DEPLACE DANS LE TUBE PAR POMPAGE, EN EXERCANT SUR LUI UNE PRESSION DE FLUIDE POUR LE FAIRE PENETRER PLUS AVANT DANS LE TUBE OU LE FAIRE RECULER OU REMONTER PAR POMPAGE LORS DE SONUTILISATION.

Description

Outil pour le calibrage de tubes.

La présente invention concerne les outils de

calibrage et. plus spécialement les outils pour le cali-

brage de tubes servant à indiquer des variations de la surface intérieure d'un tube ou autre organe tubulaire. Les calibres utilisés dans les puits pour déterminer la position des piqûres dues à la corrosion ou d'autres défauts intérieurs dans des tubes placés dans des puits sont bien connus, comme décrit dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique n' 3 061 938. Toutefois, pour autant qu'on le sache, tout ces outils de calibrage sont positionnés à l'intérieur d'un puits par l'utilisation

d'un câble relié à l'outil de calibrage servant à descen-

dre et à remonter cet outil de calibrage à l'intérieur de l'organe tubulaire qui doit être calibré. En outre, à la connaissance de la Société Demanderesse, de tels outils de calibrage ne peuvent être utilisés que dans des organes tubulaires qui ont une forme sensiblement allongée et qui ne présentent pas de parties incurvées ou en forme de boucles. Ces outils de calibrage de la technique intérieure tendent à être relativement longs, en étant ainsi incapables de traverser des coudes et (ou)

des courbes pouvant exister dans l'organe tubulaire.

Ainsi, de tels outils de calibrage n'ont pas pu être uti-

lisés effectivement pour calibrer la surface intérieure d'organes tubulaires présentant des coudes et (ou) des courbes sur une partie de leur longueur. De tels outils doivent nécessairement être positionnés de telle sorte qu'ils se déplacent sensiblement le long d'un organe

tubulaire en principe allongé et parallèlement à celui-ci.

En outre, les dispositifs de la technique antérieure exigent l'extraction et le remplacement de

l'ensemble de l'outil de calibrage afin de pouvoir répa-

rer les éléments actifs d'un tel outil lors de leur dé-

faillance. Dans un tel cas, l'outil de calibrage doit être séparé du câble et remplacé par un second outil de calibrage complet afin de pouvoir poursuivre le travail,

opération qui est couteuse et peu efficace.

Un but de l'invention est de créer un nouvel outil de calibrage pouvant être descendu par pompage

dans un organe tubulaire et positionné de façon appro-

priée sans devoir utiliser un câble, et comportant des ensembles d'entretien des éléments facilitant l'entretien le réglage et le fonctionnement de ces éléments. L'outil de calibrage suivant l'invention est

utilisable dans un tube et comprend un corps et des orga-

nes palpeurs destinés à s'appliquer contre la surface du tube à calibrer. Les organes palpeurs se déplacent en réponse à des variations de la surface intérieure du tube, la caractéristique de l'invention résidant dans les moyens

combinés au corps pour permettre à celui-ci d'être dé-

placé par pompage en réponse à une pression de fluide agissant sur lui, en vue de sa pénétration dans le tube

pour l'utilisation dudit outil.

La description qui va suivre, faite en regard

des dessins annexés, donnés à titre non limitatif, permet-

tra de mieux comprendre l'invention.

La Fig. 1 est une vue schématique en élévation

d'une plate-forme "Offshore" comportant un élément tubu-

laire s'étendant depuis cette plate-forme et comprenant une partie incurvée et une boucle, capable de recevoir

un outil de calibrage suivant l'invention.

Les Fig. 2A-2K sont des vues en coupe verti-

cale représentant en détail l'outil de calibrage suivant l'invention, en commençant par son extrémité supérieure

sur la Fig. 2A, jusqu'à son extrémité inférieure repré-

sentée sur la Fig. 2K.

La Fig. 3 est une vue en coupe à plus grande échelle de l'outil de calibrage suivant l'invention, par

la ligne 3-3 en Fig. 2H.

La Fig. 4 est une vue en coupe transversale

par la ligne 4-4 en Fig. 2H et en Fig. 3, montrant l'ou-

til de calibrage suivant l'invention.

La Fig. 5 est une vue en coupe horizontale par la ligne 5-5 en Fig. 2H, montrant le système de galet

d'entraînement de l'outil de calibrage suivant l'invention.

La Fig. 6 est une vue en coupe à plus grande échelle de la partie inférieure du bras de transmission

prévu suivant l'invention.

Sur les dessins, la lettre C désigne d'une façon générale l'outil de calibrage suivant l'invention qui est étudié de façon à être positionné à l'intérieur du tubage d'un puits ou d'un autre tube P qui peut s'é- tendre à partir d'une plate-forme "Offshore" 0. D'une façon plus particulière, une plate-forme "Offshore" O comprend une plate-forme 10 (Fig.1) comportant des supports ou piliers 12 s'étendant vers le bas et reposant sur le fond 14 d'un réservoir 16 qui peut être un océan, un lac

ou n'importe quel autre type de masse d'eau. De façon par-

ticulière, le tube P descendu dans le puits, qui comprend

un élément tubulaire 18, s'étend depuis la surface supé-

rieure 10a de la plate-forme 10, à travers celle-ci, puis au-dessous de la surface 16a du réservoir 16, jusqu'au

voisinage du fond 14, o l'élément tubulaire peut s'incur-

ver pour former la section 18a. Ensuite, l'élément tubu-

laire 18 peut s'étendre le long du fond 14 du réservoir 16 et à son voisinage dans la section 18b, après quoi

l'élément tubulaire 18 peut comporter une section en for-

me de boucle 18c qui peut être fixée sur un système de valve subaquatique approprié, désigné d'une façon générale par la référence 20. L'élément tubulaire 18 s'étend ensuite vers le bas depuis le système de valve subaquatique 20, jusqu'à une section sensiblement verticale 18d qui peut être disposée à l'intérieur d'un cuvelage 22, lequel est

placé dans le trou 24 formé par forage. L'outil de cali-

brage C suivant l'invention est agencé afin de pouvoir

être descendu par pompage à travers le tube P en traver-

sant les sections 18a, 18b, 18c, 18d au moyen d'une pres-

sion de fluide comme décrit plus en détail plus loin, sans qu'il soit nécessaire d'utiliser un type quelconque de

système de câble.

L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend un corps B dans lequel sont montés des organes palpeurs F. Ces organes palpeurs F attaquent la surface

du tube P du puits pour se déplacer en réponse à des va-

riations de la surface annulaire intérieure de ce tube P. Le corps B comprend des sections désignées d'une façon générale par 26, 28,30, 32, 34, 36,38 (Fig. 2A-2K) qui s'étendent depuis la partie supérieure de l'outil de calibrage C jusqu'à sa partie inférieure. Comme visible sur la Fig. 2A, la section 26 du corps comprend une tête de repêchage 26a qui est fixée par vissage sur un raccord

approprié 26b, lequel est muni d'un alésage 26c le traver-

sant. Un dispositif de blocage convenable, désigné d'une façon générale par 26r, empêche un dévissage intempestif de la tête 26a par rapport au raccord 26b. Les organes de verrouillage 26r comprennent des pattes 26s qui sont solidaires du raccord 26b et qui sont agencées de façon à recevoir un axe 26t lequel traverse des orifices (non représentés) ménagés dans la tête 26a et les pattes 26s, pour éviter toute rotation entre cette tête 26a et le

raccord 26b.

Une section de propulsion 26d est fixée par vissage sur le raccord 26b, cette section de propulsion présentant un alésage 26e qui est dans l'alignement axial

de l'alésage 26c. Un dispositif de verrouillage 26u analo-

gue à 26r empêche toute rotation intempestive entre la section de propulsion 26d et le raccord 26b. La section de propulsion 26d est munie d'une surface extérieure 26f présentant un logement convenable 26g pour la réception d'un joint d'étanchéité approprié 42 tel qu'un joint torique 42a. Une lèvre radiale 26h est prévue au voisinage

de l'extrémité inférieure de la surface extérieure 26f.

Un alésage de plus grand diamètre 26i est ménagé au voisi-

nage de l'extrémité inférieure de la section de propulsion 26d, dans l'alignement axial de l'alésage 26e, la section de propulsion 26d étant fixée par vissage sur la partie formant raccord 26j. Un dispositif de verrouillage 26v analogue aux dispositifs 26r et 26u s'oppose à la rotation par dévissage entre la section de propulsion 26d et la partie formant raccord 26j. Cette partie formant raccord 26J est munie d'un col 26k et porte une tête en forme de

rotule 261.

La section 28 du corps prolonge la section 26, à laquelle elle est reliée par une cuvette 28a ménagée dans une pièce 28b recevant la rotule 261 de la section 26 du corps. De préférence, la cuvette 28a est écartée de l'extrémité supérieure 28c de la section 28 du corps et en est séparée par une surface annulaire conique 28d qui est adaptée en vue de la réception du col 26k de la partie en forme de raccord 26j de la section 26 du corps. ainsi, la rotule 261 peut tourner et (ou) pivoter dans la cuvette 28a et son mouvement est simplement limité par butée du col 26k contre la surface annulaire conique 28d, ce qui constitue ainsi une liaison articulée entre les

sections 26, 28 du corps.

La pièce formant cuvette 28b est vissée sur la partie de centrage 28e, qui est munie d'une surface de centrage annulaire extérieure 28f, d'une surface

annulaire 28g et d'une lèvre radiale 28h prévue au voisi-

nage de la partie inférieure de cette section de centrage 28e. Un dispositif de verrouillage 28x s'oppose comme le dispositif 26r au dévissage des sections 28b, 28e. Une partie formant raccord 28i est de préférence formée de

deux moitiés 28j, 28k munies chacune de surfaces annu-

laires 281, 28m respectivement, destinées à coopérer avec la surface annulaire 28g, et de lèvres radiales 28n, 28o respectivement, pour coopérer avec la lèvre radiale 28h. De préférence, les moitiés 28j, 28k de la partie formant raccord sont réunies par des vis 28p, 28q. La partie formant raccord 28i est munie en outre de deux moitiés de cuvette 28r, 28s qui sont prévues sur les moitiés de raccord 28j, 28k respectivement, de même que de surfaces annulaires convenables 28t, 28u au voisinage de leur extrémité inférieure. Un axe ou ergot convenable

28v est monté sur la partie formant raccord 28j au voi-

sinage de la moitié de cuvette 28r, comme décrit plus

en détail plus loin.

Le corps B comporte en outre une section 30 qui est reliée de façon déplaçable à la section 28 du corps par une rotule 30a destinée à être engagée dans les moitiés de cuvette 28r, 28s. De préférence, cette rotule 30a présente une creusure convenable 30b qui est destinée à recevoir l'ergot 28v comme décrit plus en détail plus loin. La rotule 30a est munie d'un col 30d

qui est relié à une partie formant raccord 30e. Un alé-

sage 30c est ménagé'de préférence dans la rotule 30a et dans le col 30d et s'étend à travers la partie formant raccord 30e. Cette partie formant raccord 30e est fixée par vissage sur un carter 30f qui maintient un capuchon g en place entre une lèvre 30h de la partie formant raccord 30e et une lèvre 30i du carter 30f. Ce carter f est fixé à sgn extrémité inférieure, par vissage, sur la section 30j du corps, qui à son tour est fixée par vissage sur la section 30k (Fig. 2E). La section 30k du

corps est munie d'un col 301 et comporte une rotule 30m.

Un alésage 30n et une surface annulaire conique 30o sont ménagés dans la partie 30k du corps au voisinage du col

301 et de la rotule 30n.

Comme décrit plus en détail plus loin, la rotule 30m est destinée à être reçue dans une cuvette 32a de la section 32 du corps (Fig.2F). La cuvette 32a est formée de moitiés de raccord 32b, 32c, qui sont réunies ensemble par des organes de fixation convenables tels que des vis 32d, 32e et 32f. Les moitiés 32b, 32c de la partie formant raccord s'appliquent contre la partie de centrage 32g par des surfaces annulaires 32h 32i respectivement, qui coopèrent avec la surface annulaire extérieure 32J de

la partie de centrage supérieure 32g. Cette partie de cen-

trage supérieure 32g comprend une surface extérieure 32k voisine d'unelèvre radiale 321. La partie inférieure 32m de la partie de centrage 32g est fixée par vissage sur la partie de centrage inférieure 32n. Celleci est fixée par vissage sur la partie de centrage 32g au voisinage de son extrémité supérieure 32o. Un alésage convenable 32p est ménagé au voisinage de l'extrémité supérieure 32o de la partie de centrage inférieure 32n. Des alésages axialement

alignés 32q, 32r, 32s (Fig. 2G) sont ménagés dans la par-

tie de centrage inférieure 32n. Une surface de centrage extérieure 32t est ménagée au voisinage de l'extrémité inférieure 32u de la partie de centrage inférieure 32n,

une lèvre radiale 32v étant prévue au voisinage de la sur-

face extérieure de centrage 32t. Une surface annulaire 32w est ménagée au voisinage de la surface annulaire 32 v et

comporte une lèvre radiale 32x qui est prévue au voisi-

nage de la surface annulaire 32w. Une surface annulaire

extérieure 32y est ménagée au voisinage de la lèvre ra-

diale 32x. Des parties formant raccord 32z, 32aa sont fixées sur la partie-de centrage inférieure 32n par des

surfaces de forme compatible 32bb, 32cc coopérant respec-

tivement avec la lèvre radiale 32v, la surface 32w, la

lèvre radiale 32x et la surface annulaire 32y. Les par-

ties formant raccord 32z, 32aa sont réunies ensemble par des organes de fixation convenables tels que des vis 32dd, 32ee, 32ff. On comprendra que l'on peut utiliser plusieurs vis, qui ne sont pas toutes représentées ici, pour assurer la réunion des parties formant raccord 32z, 32aa. Après

l'assemblage, les parties formant raccord 32z, 32aa déli-

mitent un alésage 32gg qui se trouve axialement aligné

avec l'alésage 32s. Une-cuvette convenable 32hh est ména-

gée en communication avec l'alésage 32gg, au voisinage des extrémités inférieures 32ii, 32jj des parties formant

raccord 32z, 32aa respectivement.

La section 34 est fixée sur la section 32 du corps B par engagement d'une rotule 34a dans la cuvette 32hh. La rotule 34a est munie d'une surface tronconique

34b qui communique avec l'alésage 34c ménagé dans un élé-

ment supérieur 34d. Cet élément supérieur 34d est fixé par vissage sur le carter d'entralnement 34e au voisinage de

son extrémité supérieure et est muni d'une fente convena-

ble 34f comme décrit plus en détail plus loin. Le carter d'entratnement 34e est fixé par vissage sur un carter de

verrouillage 34g au voisinage de son extrémité inférieure.

Ce carter de verrouillage 34g est muni d'une cavité con-

venable 34h ménagée au voisinage de son extrémité supé-

rieure et comporte un orifice fendu convenable 34i vers sa partie médiane. L'extrémité inférieure 34j du carter de verrouillage 34g est reliée par vissage à l'élément formant raccord 34k. Cet élément 34k est muni d'une cuvette convenable 341 et d'une surface tronconique 34m prévue à son voisinage. Un dispositif de verrouillage

convenable 34t assure la fixation de l'extrémité infé-

rieure 34J sur l'élément formant raccord 34k.

La section 36 du corps B est fixée sur la section 34 au moyen d'une rotule 36a qui est logée dans une cuvette 341 de la section 34 du corps. La rotule 36a est munie d'un col 36b à son voisinage et s'étend vers le bas jusqu'à la partie filetée 36c. Cette partie filetée 36c est fixée par vissage sur un élément formant gabarit

36d au voisinage de son extrémité supérieure 36e. L'ex-

trémité inférieure 36f de l'élément formant gabarit 36d est fixée par vissage sur la partie formant raccord 36g, qui est munie d'une cuvette convenable 36h, d'un alésage

36i et d'une surface annulaire conique associée 36j.

La section 38 est fixée sur la section 36 du corps par une rotule 38a de cette section 38, qui est engagés dans la cuvette 36h-de la section 36. Un col 38b est associé à la rotule 38a et s'étend vers le bas

à partir de celle-ci, ce col étant muni d'une partie file-

tée 38c. Cette partie filetée 38c est engagée sur l'ex-

trémité supérieure 38d de l'élément 38e, un dispositif de verrouillage 38t analogue au dispositif 26r empêchant, tout dévissage intempestif. L'extrémité inférieure 38f de

l'élément 38e est reliée par vissage à l'élément à pres-

sion de fluide 38g au voisinage de son extrémité supé-

rieure 38h. Cet élément à pression de fluide 38g est muni d'une surface annulaire extérieure 38i et présente un alésage 38j qui est ménagé en son centre et qui le

traverse. L'extrémité inférieure 38k est fixée par vis-

sage sur l'élément inférieur 381 au voisinage de son

extrémité supérieure 38m, un dispositif de blocage conve-

nable 38u empêchant toute séparation indésirable. L'élé-

ment inférieur 381 est fixé par vissage, par son extré-

mité inférieure 38n, sur un capuchon inférieur 38o.

Ainsi, le corps B de l'outil de calibrage C suivant l'invention est formé par des sections 26, 28, , 32, 34, 36 et 38. Chacune des sections du corps peut s'articuler par rapport à la suivante du fait des liaisons par Lotule et cuvette prévues entre les sections voisines du corps. Ces systèmes comprennent les rotules 261, 30a, m, 34a, 36a, et 38a, et les cuvettes associées 28a, 28s, 32a, 32ii, 32hh, 341 et 36h. Ces systèmes à rotule et cuvette, qui sont parfois dénommés joints à rotule, permettent aux sections du corps de s'articuler l'une par rapport à l'autre de façon telle que les sections du corps, bien que réunies ensemble, puissent occuper des positions axialement non alignées l'une par rapport à l'autre. Ces joints à rotule comprennent les organes d'articulation désignés d'une façon générale par A de

l'outil de calibrage C suivant l'invention.

Comme montré sur la Fig. 2B, le degré d'arti-

culation admis entre les sections 26 et 28 du corps est limité par la surface annulaire conique 28d et par son engagement potentiel contre le col 26k en limitant ainsi le degré maximum de débattement angulaire, autour de l'axe longitudinal, à celui de la venue en contact entre le col 26k et la surface 28d. Une structure semblable se retrouve sur la Fig. 2I, dans laquelle les sections 34 et 36 du corps sont de même réunies, la surface conique 34m limitant

le débattement angulaire maximum à partir de l'axe longi-

tudinal par butée contre le col 36b. D'une façon analogue, sur la Fig.2J, la butée du col 38b sur la surface conique

36j limite le degré maximum d'articulation entre les sec-

tions 36 et 38 du corps. Ainsi, les systèmes à rotule et cuvette des Fig. 2B,21 et 2J admettent une liberté de mouvement telle que les sections voisines du corps non seulement puissent se déplacer angulairement par rapport à leur axe longitudinal, mais puissent également subir une rotation relative entre elles au niveau des joints à rotule. Ainsi, la section 26 du corps peut tourner par rapport à la section 28, la section 36 du corps peut tourner par rapport à la section 34, et de même la section

38 peut tourner par rapport à la section 36.

Toutefois, pour des raisons indiquées plus en détail plus loin, il est préférable que les sections 28, , 32 et 34 du corps ne puissent pas tourner l'une par rapport à l'autre, tout en pouvant subir un mouvement relatif d'articulation. L'agencement permettant d'obtenir ce résultat est mieux visible sur la Fig.2C pour la cuvette 28r et la rotule 30a. Comme montré, la rotule 30a est munie d'un logement 30b qui est adapté en vue de la réception

d'un ergot 28v. Ainsi, le mouvement relatif d'articula-

tion ou de flexion entre les sections 28,30 du corps est

rendu possible par la rotule 30a et les moitiés de cuvet-

te 28r, 28s, tandis que la coopération de l'ergot 28v avec le logement 30b s'oppose à la rotation relative en-

tre la rotule 30a et les moitiés de cuvette 28r, 28s.

De préférence, une bague de raidissement 44 est adaptée sur les moitiés28j et 28k de la mrtie formant raccord,

au voisinage des moitiés de cuvette 28r, 28s, pour au-

gmenter la résistance, cette bague de raidissement 44 étant fixée en place par une goupille appropriée 46. De préférence, des systèmes à logement et ergot analogues (non représentés), du type formé par le logement 30b et l'ergot 28v, sont utilisés au voisinage de la rotule 30m et de la cuvette 32a, de même qu'entre la rotule 34a et

les moitiés de cuvette 32hh, 32ii. Une bague de raidis-

sement est montée de préférence sur les moitiés formant raccord 32b, 32c et est fixée sur elles par une goupille (Fig.2F). De même une bague de raidissement 52 est adaptée sur les moitiés de la partie formant raccord 32z, 32aa, et elle est retenue de façon appropriée sur elles par une goupille convenable (non représentée) analogue aux goupilles 36,50. En conséquence, les sections 28 et

, 30 et 32, 32 et 34 du corps peuvent subir un mouve-

ment de flexion et (ou) d'articulation l'une par rapport

à l'autre, tandis que toute rotation relative est empê-

chée. Ces systèmes comprenant un logement 30b et un ergot 28v forment des moyens anti-rotation indiqués d'une façon générale en 54 (Fig. 2C), ces moyens 54 empêchant une

rotation relative entre des sections de corps voisines.

L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend en outre des organes de retenue d'une pression de fluide désignés d'une façon générale par la référence R, montés sur le corps B pour maintenir ce corps dans une relation étanche par rapport au tube P introduit dans le puits, pour permettre le mouvement du corps B le long

de ce tube P suivant les besoins, en réponse à une pres-

sion de fluide agissant sur ces organes de retenue R. Les organes de retenue de la pression de fluide R comprennent 11. une garniture de retenue inférieure 56 (Fig.2J, 2K) qui est agencée de façon à pouvoir être montée sur l'élément

38g. Cette garniture de retenue 56 est fixée de préfé-

rence entre l'extrémité inférieure 38f de l'élément 38e et l'extrémité supérieure 38m de l'élément inférieur 381 quand les éléments 38e, 381 sont vissés sur l'élément 38g. De préférence, la garniture de retenue inférieure 56 comprend un manchon intérieur 56a qui est agencé de façon à s'appliquer contre la surface annulaire extérieure

38i de l'élément 38g portant la garniture, un joint ap-

proprié 58 étant disposé entre cet élément 38g et le

manchon intérieur 56a: Cette garniture inférieure com-

prend en outre une partie de propulsion 56b qui est de préférence en caoutchouc dur ou en une autre matière légèrement élastique et qui comporte plusieurs segments racleurs annulaires ou bagues 56c agencés de façon à coopérer dans une relation d'étanchéité avec la surface

intérieure de l'élément tubulaire 18. La garniture de re-

tenue inférieure est munie en outre d'une surface termi-

nale supérieure 56d sur laquelle la pression de fluide peut agir. Comme indiqué plus en détail plus loin, la pression de fluide agissant sur la surface terminale supérieure 56d de la garniture inférieure 56 a.pour effet

de provoquer un mouvement de l'outil de calibrage e sui-

vant l'invention vers le bas le long de l'élément tubu-

laire 18.

Les moyens ou organes de retenue de la pression de fluide R comprennent en outre une garniture supérieure

(Fig.2A) qui est agencée de façon à pouvoir être mon-

tée sur la partie de propulsion 26d de la section 26 du corps. Cette garniture supérieure 60 comprend un manchon

intérieur 60a qui est adapté autour de la partie de pro-

pulsion 26d et qui coopère avec la surface extérieure 26f, avec interposition, d'un joint convenable 42 entre

ce manchon intérieur 60a et la partie de propulsion 26d.

La garniture supérieure 60 comprend en outre une partie de propulsion 60b qui est montée sur le manchon 60a et qui est de préférence en caoutchouc dur ou en une autre matière élastique convenable. De préférence, la partie de propulsion 60b comprend plusieurs segments racleurs annulaires ou bagues 60c qui coopèrent de façon étanche avec la surface intérieure de l'élément tubulaire 18

quand l'outil de-calibrage C suivant l'invention est dis-

posé dans un tube P placé à l'intérieur d'un puits. La

garniture supérieure comprend en outre une surface termi-

nale inférieure 60d qui est agencée de façon à recevoir la pression de fluide afin de permettre le mouvement du corps B de l'outil de calibrage C suivant l'invention vers le haut, pour son extraction hors du tube P, quand cela est désirable. La garniture supérieure 60 est montée entre le raccord 26b et la lèvre radiale 26h de la section 26

du corps et peut en être séparée par dévissage de la sec-

tion de propulsion 26d par rapport à la section formant raccord 26b, en vue de son remplacement suivant les besoins

et si cela est désirable.

L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend en outre des organes de centrage désignés d'une façon générale par T et comportant des dispositifs de centrage 62, 64, 66 (Fig. 2C, 2F, 2G). De préférence, chacun des dispositifs de centrage 62, 64, 66 comprend un manchon intérieur 62a, 64a, 66a respectivement, s'adaptant autour de surfaces de centrage annulaires extérieures 28f, 32k, 32t respectivement. Les parties de centrage 62b, 64b, 66b sont montées sur les manchons intérieurs 62a, 64a, 66a, chacune de ces parties de centrage 62b, 64b, 66b comportant plusieurs segments racleurs annulaires ou bagues 62c, 64c,

66c ménagés par formage. De préférence, chacun des dispo-

sitifs de centrage 62, 64, 66 comprend plusieurs orifices 62d, 64d, 66d pour le passage du fluide, ménagés dans les parties de centrage 62b, 64b, 66b, ces orifices 62d, 64d, 66d de passage du fluide étant parallèles à l'axe du corps B de l'outil de calibrage C. Les moyens de centrage T fournissent la certitude que l'outil de calibrage C va être correctement centré et orienté à l'intérieur du tube 18 du puits quand il est refoulé à travers celui-ci sous l'effet de la pression du fluide. Par coopération avec la flexion et (ou) l'articulation de l'outil de calibrage C, rendues possibles par les moyens d'articulation A, les moyens de centrage T empêchent les sections 28 et 32 du corps de venir directement en contact avec la surface intérieure de l'élément tubulaire 18. En outre, on notera que les dispositifs de centrage 62 et 64 sont montés de telle sorte qu'ils se trouvent directement au-dessus et au-dessous de la section 30 du corps qui maintient les organes palpeurs F de l'outil de calibrage C suivant l'invention, afin d'assurer leur position correcte par

rapport au tube P comme indiqué plus en détail plus loin.

Par ailleurs, les orifices 62d, 64d, 66d permettent le

passage et la transmission de la pression de fluide à tra-

vers eux, pour que cette pression de fluide puisse agir sur la surface terminale supérieure 56d de la garniture inférieure 56 et (ou) sur la surface terminale inférieure

66d de la garniture supérieure 60, suivant les besoins.

On comprendra que la section 36 du corps B comprend des organes limiteurs 37 comportant un élément de gabarit formant "arrêt" 36d, qui comprend luimême des pattes 36k orientées radialement vers l'extérieur, disposéesautour de son périmètre extérieur. Les pattes 36k de l'élément de gabarit formant "arrêt" 36d sont adaptées de façon à coopérer avec un étranglement (non représenté) de l'élément tubulaire 18 formant le tube P, pour éviter à l'outil de calibrage C suivant l'invention de se déplacer au-delà d'un certain point dans ce tube

P, tel que son extrémité inférieure, comme cela est dési-

rable. L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend des organes palpeurs F qui s'étendent à travers des fentes 30p ménagées dans la section 30 du corps (Fig.

2D), les côtés des orifices ou fentes 30p servent à empê-

cher la rotation des organes palpeurs P sous l'effet de forces latérales agissant sur l'outil de calibrage C. Les organes palpeurs F comprennent des organes tels que le palpeur 80, qui normalement sont en acier, et ces palpeurs sont disposés circonférentiellement autour de la section

du corps, de sorte que chacun des palpeurs 80 va norma-

lement s'appliquer contre la surface intérieure de l'élé-

ment tubulaire 18 à chaque niveau atteint par l'outil de

calibrage C. Chaque palpeur 80 présente une surface in-

térieure 80a qui est en contact avec la surface 30q de

la section 30 du corps. Chaque palpeur 80 présente égale-

ment une encoche extérieure 80b qui est engagée sur une bague de pivotement 82, laquelle a de préférence une sec-

tion droite circulaire et est montée sur la surface inté-

rieure du capuchon 30g de la section 30 du corps. Ainsi,

chacun des palpeurs 80 est empêché de se déplacer latéra-

lement, sauf par pivotement autour de la bague 82. Afin de retenir les palpeurs dans leur position d'effacement pendant la descente de l'outil de calibrage par pompage jusqu'à la position désirée dans le tube P pour le début

d'une opération de calibrage, chacun des palpeurs 80 pré-

sente une surface intérieure 80c qui est normalement in-

clinée vers l'extérieur et vers le haut (Pig.2d), afin de coopérer avec un disque de retenue 84 qui de préférence présente une surface inclinée correspondante 84a, destinée à s'appliquer contre les surface 80c des palpeurs 80. Le disque de retenue 84 est fixé par vissage sur la tige de déclenchement 86 et il est maintenu en place par des bagues

de blocage 88,90. Ce disque de retenue 84 est muni de pré-

férence d'un alésage 84b qui est agencé en vue de la ré-

ception d'un ressort 92. Ce ressort 92 est monté entre la partie médiane 30r de l'élément 30s monté dans le carter 30f de la section 30 du corps, à l'état comprimé. Lors de la libération de la tige de déclenchement 86 comme

décrit plus loin, le ressort 92 peut se détendre en repous-

sant le disque de retenue 84 vers le haut de telle sorte que les surfaces 80c et 84a ne soient plus en contact, les organes palpeurs F pouvant alors se déplacer latéralement ou radialement vers l'extérieur pour venir s'appliquer

contre la surface intérieure de l'élément tubulaire 18.

Les bagues de blocage 88, 90 assurent le positionnement du disque de retenue 84 avec la tige de déclenchement 86

de la manière requise.

L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend en outre des organes de transmission D qui sont

destinés à coopérer avec les organes palpeurs F et à trans-

mettre leur mouvement à une partie des styles S. Les organes de transmission D comprennent des éléments ou bras de transmission 94 qui sont montés dans le corps

B en un nombre égal à celui des organes palpeurs F. Cha-

que palpeur 80 présente un alvéole intérieur ou une sur-

face incurvée 80d qui est attaqué par une tëLe arroiviie u incurvée 94a prévue à l'extrémité supérieure de chacun des bras de transmission 94. Les bras de transmission 94 sont de préférence en métal élastique, par exemple en acier à ressorts, et ils sont montés de façon à exercer une force élastique dirigée vers l'extérieur sur les organes palpeurs F, pour les appliquer contre la surface intérieure du tube P à calibrer lorsque ces organes palpeurs F ont

été libérés pour parvenir dans une position de calibrage.

Les bras de transmission 94 sont empêchés de tourner ou de subir une torsion et sont par suite guidés dans leur mouvement latéral ou radial par les parois des fentes 30p sur une partie de leur longueur voisine de leur extrémité supérieure. Chacun des bras de transmission 94 comprend

une encoche convenable 94b par laquelle ce bras de trans-

mission 94 est monté sur une bague formant pivot 96 qui est munie d'une lèvre de pivotement annulaire appropriée 96a destinée à s'engager dans l'encoche 94b du bras de transmission 94. La lèvre de pivotement 96a constitue un support pour empêcher chacun des bras de transmission 94 de se déplacer longitudinalement et sert de pivot lors d'un mouvement de flexion imparti à chacun des bras de

transmission 94 comme expliqué plus loin. La partie supé-

rieure 94c du bras de transmission 94 située au-dessus de la bague formant pivot 96 peut s'infléchir lorsque les organes palpeurs associés F se déplacent vers l'intérieur et vers l'extérieur en réponse à leur application contre

la surface intérieure du tube P. Cette flexion de la par-

tie supérieure 94c de chaque bras de transmission 94 exerce une contrainte sur la partie inférieure 94d (Fig.6) de chacun de ces bras 94. Cette contrainte déforme la partie inférieure 94d du bras pour lui communiquer un mouvement longitudinal. Chaque bras de transmission 94 comporte également une surface extérieure 94e qui coopère avec une bague de tête 98 et empêche le mouvement latéral vers l'extérieur de chaque partie inférieure 94d des

bras de transmission 94.

D'une façon analogue, le mouvement latéral vers l'intérieur des parties inférieures 94d de chaque bras de transmission 94 est empêché en maintenant cha- cune des parties supérieures 94c sous une contrainte de

compression constante quelle que soit la position des or-

ganes palpeurs F. Il en résulte que la surface extérieure 94e (Fig.6) est sollicitée vers une position de contact avec la paroi 98a de la bague de tête 98 prévue dans la section 30 du corps, et en outre que chacun des bras de transmission 94 est maintenu fermement appliqué par son encoche 94d sur la lèvre de pivotement annulaire 96a de la bague formant pivot 96. Un axe convenable 100 assure

la fixation de la bague de tête 98 dans sa position correc-

te par rapport à la section 30 du corps. La surface exté-

* rieure 94e du bras de transmission 94 vient coopérer avec

la surface 98a de la bague de tête pour permettre le mou-

vement longitudinal du bras de transmission 94 par rapport

à elle.

Une bague élastique 102, qui est de préférence en caoutchouc ou en une autre matière élastique, peut constituer un joint avec la bague formant pivot 96 et également avec chacun des bras de transmission 94. Cette bague 102 est retenue entre un tube porte-styles 104 et un prolongement 106 de ce tube afin d'assurer l'étanchéité entre eux. Le tube 104 est disposé aussi près que possible de la lèvre annulaire 96a de la bague formant pivot 96, de sorte que pendant la flexion des parties supérieures

94c des bras de transmission 94 il ne se produit sensible-

ment pas de mouvement dans les bras 94 à l'endroit corres-

pondant à l'application de la bague d'étanchéité 102. En

conséquence, l'étanchéité assurée par la bague en caout-

chouc 102 est maintenue de façon permanente, même si les bras de transmission 94 subissent une flexion et (ou) une

déformation en service.

On notera également que le tube porte-styles 104 et son prolongement 106 sont réunis par des vis 108 (Fig. 2D) qui traversent le prolongement 106 du tube et la bague d'étanchéité 102 et qui pénètrent dans le tube portestyles 104 pour la réunion de ce tube 104 avec le prolongement 106. Des axes convenables 110 sont utilisés

pour assurer un alignement correct entre le tube porte-

styles 104 et son prolongement 106.

Une pièce de réglage 112 est destinée à rece-

voir la pointe 94f du bras de transmission 94 dans une encoche 112d ménagée dans une surface 112a constituée

par le bras de réception 112b de la pièce de réglage 112.

Cette pièce de réglage 112 est capable de se déplacer longitudinalement en réponse à l'action de la partie inférieure 94d du bras de transmission 94. De préférence

son mouvement longitudinal est guidé dans une fente con-

venable 104a ménagée dans le tube porte-styles 104 pour permettre à la pièce de réglage 112 de se déplacer sur la longueur de l'outil'de calibrage C en réponse à un

mouvement de la pointe 94f des bras de transmission 94.

Le mouvement de la pièce de réglage 112 dans la fente 104a permet un coulissement mais s'oppose à un mouvement latéral relatif. On comprendra que d'autres types de systèmes de guidage peuvent être utilisés pour les pièces de réglage 112, mais l'agencement représenté constitue une réalisation particulièrement préférée. Des vis de réglage convenables 112c (Fig.6) sont montées dans le bras de réglage 112g de la pièce de réglage 112 pour permettre un réglage entre cette pièce 112 et les organes de fixation 114. Les jeux de styles S sont montés sur l'organe de fixation 114 par soudage ou par d'autre moyens convenables (Fig.2D). La rotation des vis de réglage à extrémité pointue 112c permet d'assurer le déplacement

relatif de la pièce de réglage 112 par rapport aux or-

ganes de fixation 114. Quand tous les jeux de style S

ont été réglés dans la position correcte, les vis de blo-

cage 114d des organes de fixation 114 sont serrées afin

de maintenir le réglage désiré.

Les jeux de styles S comprennent des syles actifs 116 qui sont fixés sur la pièce de réglage 112 par les organes de fixation 114. On comprendra qu'il est prévu un nombre convenable de styles actifs 116, correspondant au nombre des palpeurs 80 dans les organes

palpeurs F. En conséquence, il existe un nombre corres-

pondant de pièces de réglage 112 et d'organes de fixation 114 respectivement, pour permettre le montage du nombre correct de styles actifs 116 sur ces pièces de réglage 112. Le stylelactif 116 comprend une partie de fixation 116a &ig. 2D), une partie élastique 116b (Fig. 2E) un style proprement dit 116c muni d'une pointe 116d et une lèvre 116e. La partie de fixation 116a du style actif 116 est destinée à être montée sur les organes de fixation 114 comme expliqué précédemment, la partie élastique 116b s'étendant radialement vers l'intérieur depuis la partie de fixation 116a. La pointe 116d du style est montée sur la partie élastique 116b dans la zone située radialement vers l'intérieur du style 116, la lèvre 116e étant voisine de cette pointe. Cette lèvre 116e, dirigée vers le bas et vers l'extérieur, sert à

amener la partie élastique 116b du style dans une posi-

tion d'effacement comme expliqué plus loin. Les pointes

116d des styles sont destinées à s'appliquer sur la sur-

face extérieure d'un diagrame ou graphique cylindrique 118 lors de l'utilisation de l'outil de calibrage C

suivant l'invention. Le mouvement relatif entre le dia-

grame 118 et les jeux de styles S suivant l'invention

fournit des lignes ou d'autres indications qui sont en-

registrées à la surface du diagrame 118, pour indiquer des variations de la surface intérieure de l'élément tubulaire 18 qui sont détectées par les organes palpeurs

F de l'outil de calibrage C suivant l'invention.

Le réglage des styles 116 par rapport au dia-

grame cylindrique 118 est rendu très sensible par le système de réglage représenté sur la Fig. 2D, de sorte qu'un positionnement précis des styles 116 l'un par rapport à l'autre et par rapport au diagramme 118 peut être réalisé. Etant donné que des variations relativement faibles sont enregistrées par l'outil de calibrage C suivant l'invention, il est important que le réglage de la position des styles 116 soit précis. Le déplacement des organes de fixation 114 permet un positionnement relatif des styles 116 par rapport aux pièces de réglage

112 et au tube porte-styles 104, en vue d'un positionne-

ment correct. Chacun des styles actifs 116 est réglé sé-

parément et individuellement par les moyens décrits ci- avant, de sorte qu'on obtient un positionnement précis

des pointes 116d des styles.

Une fois le réglage effectué, les styles actifs 116 se déplacent avec la pièce de réglage 112 en réponse

à un mouvement de la partie inférieure placée sous contrain-

te 94d des bras de transmission 94 reliés à cette pièce.

Un manchon 120 (Fig.2E) est utilisé pour provoquer l'effa-

cement des styles 116, afin d'écarter les pointes 116d de

ces styles du diagramme 118. Le manchon 120 comprend plu-

sieurs doigts d'effacement 120a reliés à une partie tubu-

laire 120b par une partie d'engagement 120c. Cette partie c est flxée dur la Vaine 122 portant les doigts et est

vissée sur le tube porte-styles 104 pour assurer la fixa-

tion de cette gaine 122. Un nombre approprié de doigts d'effacement 120a est prévu sur la partie tubulaire 120b du manchon 120, de sorte qu'il existe un nombre total de doigts d'effacement 120a égal au nombre total des jeux de styles S. De cette façon, les doigts d'effacement 120a sont destinés à attaquer les parties formant lèvres 116e des styles actifs 116. Chaque doigt d'effacement 120a coopère avec une lèvre 116e pour provoquer l'effacement du style 116 quand le doigt d'effacement 120a est déplacé radialement ou latéralement vers l'extérieur. Les jeux de styles S sont de préférence en une matière élastique, par exemple en acier à ressorts ou en cuivre-béryllium, de sorte que leur élasticité inhérente les ramène à la position représentée sur la Fig.2E quand il est désirable

d'amener les styles 116 en contact avec le diagramme 118.

Le mouvement latéral ou radial vers l'extérieur des doigts d'effacement 120a du manchon 120 est assuré par déplacement d'un manchon d'effacement 126 (Fig.2) dans le sens longitudinal en direction du haut par rapport au manchon 120, afin de repousser les doigts d'effacement a vers l'extérieur et ainsi les styles actifs 116 des jeux de styles S également vers l'extérieur. Le mouvement longitudinal vers le haut du manchon d'effacement 126

est assuré par l'enlèvement d'une vis formant bouchon 128.

De préférence, un tournevis ou un autre outil analogue (non représenté) peut être introduit dans l'orifice 30t ménagé dans la partie 30j de la section 30 du corps, dont le bouchon fileté 128 a été enlevé, pour déplacer par un effet de levier ou repousser le manchon d'effacement 126 vers le haut sur une distance suffisante pour qu'il coopère la partie d'engagement 126c voisine de l'extrémité 126a du manchon d'effacement 126. Lors de cet engagement, les doigts d'effacement 120a sont déplacés latéralement vers l'extérieur. Le bouchon fileté 128 est ensuite remis

en place. Quand il est désirable de libérer les doigts-

d'effacement 128 et de permettre ainsi aux jeux de styles S de revenir en contact avec le diagramme 118, le bouchon fileté 128 est enlevé à nouveau et le manchon d'effacement 126 est déplacé vers le bas par rapport aux jeux de styles S par l'introduction d'un tournevis ou d'un autre outil

dans l'orifice 30t afin de repousser le manchon d'efface-

ment 126 par engagement de l'outil dans des encoches 126b prévues dans ce manchon d'effacement 126. Le bouchon fileté 128 est ensuite remis en place pour fermer l'orifice t. Les jeux de styles S vont normalement être dans une position d'effacement quand l'outil de calibrage C suivant l'invention est transporté et (ou) quand il n'est pas à l'intérieur d'un puits. Dans un tel cas, le bouchon fileté 128 doit être enlevé avant l'introduction de l'outil de calibrage C suivant l'invention dans le puits. Après l'enlèvement du bouchon 128, le manchon d'effacement 126 peut être abaissé jusqu'à la position représentée sur la Fig. 2E et le bouchon fileté 128 est remis en place pour fermer l'orifice 30t,' les jeux de styles S occupant une position correcte pour fournir un enregistrement sur le

diagramme 118.

On examinera maintenant l'agencement du dia-

gramme 118 et de ses organes de montage pour obtenir une rotation en hélice de ce diagramme 118 par rapport aux jeux de styles S, en se reportant plus spécialement à la Fig. 2D sur laquelle on peut voir que le diagramme 118 est relié à son extrémité supérieure à un manchon de guidage 130 et à son extrémité inférieure à un écrou

annulaire 132 (Fig.2E) muni d'un filetage extérieur 132a.

Le diagramme 118 est disposé autour d'un tube d'entraî- nement central 134 qui est muni d'un alésage 134a. Une partie de la tige de déclenchement 86 et une tige 136 pénètrent dans l'alésage 134a. La tige 136 porte une

bague 135 qui est fixée sur elle par un axe 137. Un res-

sort 139 est monté entre la bague 135 et le tube d'en-

trainement 134 pour solliciter la tige 136 vers le haut, tandis qu'un ressort 141 est monté au-dessus de la bague pour faciliter l'assemblage de l'outil de calibrage C. Le tube d'entratnement 134 présente une partie supérieure de plus petit diamètre 134b qui est montée dans des paliers convenables 138 lesquels sont retenus au-dessous de l'élément 30s de la section 30 du corps B,

afin de constituer des organes anti-friction pour suppor-

ter l'extrémité supérieure du tube d'en 'Xraîitement 134 pendant sa rotation par rapport au corps B. Le ressort de compression 92 agit entre le disque de retenue 84 et la partie médiane 30r, en maintenant ainsi l'élément s et le palier 138 en place de façon permanente. Le tube d'entraînement 134 est relié à l'écrou annulaire 132 par une clavette 144 qui est engagée dans une rainure

132b prévue dans l'écrou 132. La rotation du tube d'en-

traînement 134 est transmise à l'écrou annulaire 132, mais celui-ci peut se déplacer longitudinalement par rapport au tube d'entraînement 134. L'écrou 132 est vissé sur un manchon 146 qui est muni d'un filetage intérieur 146a coopérant avec un filetage 132a de l'écrou annulaire 132. Le manchon 146 est fixé sur la section 30 du corps par un filetage 146d coopérant avec une partie filetée compatible de la partie 30k du corps. Quand l'écrou 132 tourne du fait de la rotation du tube d'entraînement 134, cet écrou se déplace alors en hélice en fonction du pas et du sens des filetages 132a, 146a. Le manchon fileté 146 peut être fixé de toute manière désirée sur la section du corps B, afin d'établir une liaison telle que ce manchon fileté 146 demeure fixe dans le corps B et ne

tourne pas lors de la rotation de l'écrou 132.

Le diagramimel8 est représenté sur la Fig.2E dans la position qu'il occuperait au début d'un enregis-

trement. Le diagramme 118 peut être formé de divers ma-

tériaux, par exemple il peut être en métal ou en matière

plastique, qui peut être strié, gravé en relief ou modi-

fié d'une autre manière afin que l'enregistrement qu'il porte puisse ensuite être observé ou détecté. Pendant le stockage et (ou) le transport de l'outil de calibrage C suivant l'invention, le diagramme 118 peut être engagé de façon télescopique dans le manchon 146, en totalité ou en partie. En service, le diagramme 118 est déplacé en rotation afin de se mouvoir vers le bas par rapport au manchon fileté 146. Tandis que le diagramme 118 va ainsi se déplacer en rotation et longitudinalement vers le bas par rapport aux jeux de styles S, les pointes 116d des styles 116 vont tailler ou marquer la surface

extérieure du diagramme 118 en formant des lignes héli-

coldales sensiblement parallèles, ayant le même pas et le même sens si l'on suppose que les organes palpeurs F sont appliqués contre la surface intérieure d'un élément tubulaire sensiblement lisse ou régulier 18. Toutefois, quand un palpeur 80 rencontre une irrégularité de la

surface intérieure de l'élément tubulaire du tube P sou-

mis au calibrage, il se produit un mouvement longitudinal du style actif 116 conjugué, de sorte qu'une déviation apparait dans la ligne en hélice régulière qui est tracée, taillée ou marquée par la pointe 116d de ce style actif particulier. Quand l'écrou annulaire 132 est déplacé en rotation à un degré suffisant pour venir s'appliquer contre la surface 146c du manchon (Fig.2E) une nouvelle rotation de la tige 136 va provoquer un glissement entre la cavité conique 258b (Fig. 2D) du manchon 258 et la pointe d'entraînement conique 256b du manchon 256, en empêchant l'endommagement des organes comme expliqué plus loin. Le tube d'entraînement 134 peut être déplacé

en rotation par divers types de mécanismes d'entraînement.

Comme représenté sur les dessins et en particulier sur la Fig. 2H, ce tube d'entraînement 134 est lui-même entraîné par un galet 158 qui, lorsqu'il est libéré, s'applique contre la surface intérieure de l'élément tubulaire 18 du tube P. Ce galet d'entraînement 158 fait tourner des engrenages ou pignons 160,-162 afin d'assurer

également l'entraînement d'un arbre 164 par l'intermé-

diaire d'un accouplement à roue libre 166 qui peut être de n'importe quel type convenable. Comme cela est mieux visible sur la Fig.5, le galet d'entraînement 158 est

calé sur un arbre 159 par un axe 158a tandis qu'un engre-

nage 160 est lui-même calé sur cet arbre 159 par un axe 160a. La rotation de l'engrenage 160 provoque, du fait de l'engrènement de ses dents 160b avec des dents 162a d'un pignon 162, la rotation résultante de ce dernier pignon. Des paliers lisses ou douilles convenables 163

sont montés sur la gaine 274a de l'arbre et sur le cou-

vercle 274 pour permettre à l'arbre 159 de tourner libre-

ment de la façon correcte en conservant une position ali-

gnée. L'extrémité inférieure de l'arbre 164 est munie d'une fente convenable 164a qui sert à la réception d'un axe 165 lequel est en prise avec l'accouplement à roue libre 166. Un ressort 167 exerce une force constante sur la partie supérieure 166a de l'accouplement à roue libre 166 auquel l'axe 165 est relié. La partie inférieure 166b de l'accouplement à roue libre est fixée sur le pignon 162 par un axe 162b. La surface irrégulière entre la partie supérieure 166a et la partie inférieure 166b de l'accouplement à roue libre 166 permet la rotation de l'arbre 164 simplement quand le galet d'entraînement 158 est appliqué contre la surface intérieure de l'élément

tubulaire 18 et lorsque l'outil de calibrage C est repous-

sé vers le haut à l'intérieur de cet élément tubulaire 18.

L'application du galet d'entraînement 158 contre l'élément tubulaire 18 lorsque l'outil de calibrage C se déplace vers le bas dans cet élément tubulaire 18 va provoquer un glissement ou échappement entre les parties supérieure et inférieure 166a, 166b de l'accouplement à roue libre

166, en empêchant ainsi la rotation de l'arbre 164.

L'arbre 164 est relié à un joint de cardan 168 par un axe 170, ce qui assure la rotation de l'arbre flexible 172. Comme cela est mieux visible sur les Fig.2H et 3, la partie supérieure 168a du joint de cardan 168 est rendue solidaire par un axe 168b du joint de cardan

avec l'arbre 174, en permettant un déplacement longitudi-

nal relatif entre eux au moyen de l'axe 168b qui est en-

gagé à cet effet dans une fente 174a prévue dans l'arbre 174. Une roue à rochet 176 est calée sur l'arbre 174 par

l'axe 176a. L'arbre 174 est monté dans une-douille conve-

nable 178 qui est elle-même fixée sur le support 34n à l'intérieur de la partie formant carter 34e de la section 34 du corps. La roue à rochet 176 (Fig.4) comprend des dents 176b qui sont attaquées par un cliquet convenable , lequel est monté sur l'élément de support 34n par un organe de fixation convenable 182, afin de permettre la rotation relative du cliquet 180 autour de cet organe

de fixation 182. Un ressort 184, qui est fixé sur le cli-

quet 180 et sur le support 34n, maintient le bec 180a de ce cliquet 180 en prise avec les dents 176b de la roue à rochet 176. Comme visible sur la Fig.4, la roue à rochet 176 ne peut tourner que dans le sens horaire, car lors d'une rotation dans le sens anti-horaire, le bec 180a du cliquet 180 s'engage dans les dents 176b de cette roue à rochet 176 en empêchant sa rotation. Ainsi, l'arbre 174 ne peut tourner que dans le sens horaire quand on regarde la Fig.4

Cette rotation limitée au sens horaire de l'ar-

bre 174 est transmise au pignon 186, qui est calé sur l'ar-

bre 174 par un axe 186a. L'extrémité supérieure de l'arbre 174 est montée dans une douille convenable 188 elle-même montée dans l'élément de support 34o de l'élément supérieur 34d de la section 34 du corps. La rotation du pignon 186 provoque la rotation d'un pignon 190 qui est en prise avec

ce pignon 186. Le pignon 190 est monté sur l'arbre 192 lui-

même monté dans la section 34 du corps par une douille 194 prévue dans le suoport 34n et par une douille 196 prévue dans le support 134o. Le pignon 190 est fixé par un axe a sur la partie inférieure 192a de l'arbre 192, la partie médiane 192b de cet arbre 192 se trouvant dans la douille 196 tandis que sa partie supérieure-192c s'étend vers le haut à partir de celle-ci. De préférence, la partie supérieure 192c est agencée de façon à être montée dans une douille convenable 198 formant palier,

portée par la partie supérieure 34p du support 34o.

Une cuvette 200 est destinée à être montée dans l'alésage 192d ménagé dans la partie supérieure 192c de l'arbre 192, sur lequel elle est fixée au moyen d'un axe 200a. Cette cuvette 200 est munie d'une cavité 200b

dans sa partie centrale, cette cavité 200b ayant de pré-

férence une section droite rectangulaire pour les raisons

indiquées plus loin. La cavité 200b est destinée à rece-

voir l'extrémité inférieure 172a de l'arbre flexible 172, cette extrémité inférieure 172a ayant de préférence une section droite rectangulaire compatible avec celle de la

cavité 200b. Ainsi, l'extrémité inférieure 172a est capa-

ble de subir un mouvement de va-et-vient à la fois vers le haut et vers le bas dans la cavité 200b de la cuvette

, tout en assurant la rotation de l'arbre flexible 172.

Cet arbre flexible 172 est logé principalement dans l'alé-

sage 34c de la section 34 du corps et, en pénétrant par la surface conique 34b, il traverse les alésages 32gg, 32kk, 32s, 32r de la section 32 du corps. L'extrémité supérieure 172b de l'arbre flexible 172 a de préférence une section

droite rectangulaire analogue à celle de son extrémité in-

férieure 172a. Cette extrémité supérieure 172b de l'arbre flexible 172 est destinée à pénétrer dans l'alésage 32q et à être engagée dans la cavité 202a d'une cuvette 202, cette cavité 202a ayant de préférence une section droite rectangulaire analogue à celle de l'extrémité supérieure 172b de l'arbre flexible 172. Ainsi, l'extrémité supérieure 172b de l'arbre flexible 172 peut se déplacer verticalement vers le haut et vers le bas par rapport à la cuvette 20e

tout en transmettant un mouvement de rotation à celle-ci.

On comprendra que l'arbre flexible 172 tra-

verse la rotule 34a, qui peut s'articuler dans les moitiés de cuvette32hh, 32ii, le mouvement étant limité par la surface conique 34b. Pendant ce mouvement d'articulation entre les sections 32,34 du corps, l'arbre flexible va s'infléchir ou se couder pour tenir compte de ce mouvement d'articulation, les variations résultantes de la longueur de l'arbre flexible 172 étant compensées par le fait que ses extrémités inférieure et supérieure 172a, 172b sont capables de se dplacer verticalement vers le haut et vers le bas par rapport aux cuvettes respectives 200, 202, tout

en continuant de transmettre le mouvement de rotation.

D'une façon analogue à la cuvette 200, la cuvette 202 est calée sur l'arbre 204 par un axe 202b qui

est voisin de l'extrémité inférieure 204a de l'arbre 204.

Une douille 206 est montée sur le support 3211 afin de permettre le libre déplacement de l'arbre 204 de la même manière que la douille 208 supporte la partie médiane de

cet arbre 204 pour permettre sa rotation. La partie supé-

rieure 204c de l'arbre 204 est retenue dans la douille 210 montée sur le support 32mm. Un pignon 212 est calé sur l'arbre 204 par un axe 212a et il peut coopérer avec un pignon conjugué compatible 214 monté sur l'arbre 216 et calé sur celui-ci par un axe 214a voisin de l'extrémité inférieure 216a de cet arbre 216. L'extrémité supérieure 216b de l'arbre 216 est retenue dans des douilles 218,

220 montées sur les supports 32mm, 32nn respectivement.

Un engrenage à vis sans fin 222 est monté sur l'arbre 216 par un axe 222a et lors de sa rotation il provoque la rotation des engrenages de transmission 222b, 224, 226, 228, 230, 232, 234. D'une façon plus précise, la rotation de l'engrenage à vis sans fin 222b provoque la rotation de l'engrenage fin 224, lequel provoque la rotation de la roue 226. Le pignon 228 engrène avec le pignon 230 monté sur l'arbre 236 qui, à son tour, provoque la rotation du pignon 232, lequel est en prise avec le pignon 234. L'arbre 236 est supporté par des douilles ou paliers lisses convenables 238, 240 qui sont montés sur

le support 32mm et sur la partie inférieure 32m respecti-

vement. Les pignons de transmission sont utilisés pour régler la vitesse de rotation de l'arbre flexible 172, de telle sorte que l'on obtienne une vitesse de rotation

appropriée pour entratner le diagrame 118, et en consé-

quence on peut obtenir une démultiplication et (ou) une surmultiplication au moyen des engrenages de transmission, selon les besoins spécifiques rencontrés. La rotation du pignon de transmission 234 provoque la rotation de l'arbre de sortie 242 étant donné que ce pignon de transmission 234 est calé sur la partie inférieure 242a de cet arbre de sortie 242 par un axe convenable 234a. La partie inférieure 242a est montée sur le support 32nn par un palier lisse ou une douille convenable 244, la partie supérieure 242b de l'arbre de sortie 242 pénétrant dans l'alésage 32oo ménagé dans la partie inférieure 32m de la section 32-du corps, avec interposition d'une douille convenable 246. La rotation de la partie supérieure 242b de l'arbre de sortie 242 a

pour conséquence la rotation de la cuvette 248, qui pré-

sente de préférence une cavité 248a ayant une section droite sensiblement rectangulaire et qui peut être fixée sur l'arbre de sortie 242 par un axe 248b. L'extrémité inférieure 250a de l'arbre flexible 250 est destinée à être engagée dans la cavité 248a de la cuvette 248, cette extrémité inférieure 250a pouvant se déplacer verticalement à l'intérieur de la cavité 248a, tout en permettant la

transmission d'un couple.

L'arbre flexible 250 s'étend vers le haut à partir de la cuvette 248, à travers la partie de centrage 32g, les éléments formant raccords 32b, 32c de la section 32 du corps, la rotule 30m et l'alésage 30n de la section

30 du corps B de l'outil de calibrage C suivant l'inven-

tion. On notera que l'arbre flexible 250 comprend de préférence un revêtement protecteur convenable 250b (Fig. 2F), qui entoure un noyau flexible 250c, l'arbre flexible

172 présentant une structure similaire. L'extrémité supé-

rieure 250d de l'arbre flexible 250 est logée dans la

cavité 252a de la cuvette 252. De préférence, cette cavi-

té 252a a de même une section droite rectangulaire corres-

pondant à une section droite rectangulaire analogue prévue

à l'extrémité supérieure 250d de l'arbre flexible 250.

On comprendra que toute configuration convenable peut être utilisée pour l'extrémité des arbres flexibles 172, 250, avec des cavités de forme compatible de telle sorte que le couple et le mouvement de rotation puissent être transmis entre les douilles et les arbres flexibles respectifs, tandis que l'arbre est capable de s'infléchir et (ou) de se déplacer verticalement vers le haut ou vers le bas par rapport aux cavités lors d'une flexion ou d'une articulation de l'outil de calibrage pendant ces

mouvements de flexion, de coudage ou d'articulation.

Comme indiqué précédemment pour le coudage ou la flexion qui se produit entre les sections 34 et 32 du corps, l'arbre flexible 250 permet le transfert d'un couple entre les sections 32 et 30 du corps par l'intermédiaire du système de rotule 30m et de cuvette 32a, même si les sections 30, 32 du corps ne sont pas alignées axialement, l'arbre flexible étant capable de subir un coudage et (ou) une flexion en réponse au mouvement d'articulation entre les sections 30, 32 du corps. Le mouvement vertical

*des extrémités 250a, 250d logées dans les cuvettes res-

pectives 248, 252 permet des variations de longueur de

l'arbre flexible 250 quand l'outil de calibrage C s'in-

fléchit et (ou) subit une articulation. Ainsi, les arbres flexibles 172 et 250 associés aux cuvettes conjuguées 200, 202, 248, 252 constituent un système de transmission par arbre d'entraînement flexible suivant l'invention, les cuvettes associées à cet arbre étant formées par les

cuvettes suivant l'invention.

La rotation de la cuvette 252 provoque la rotation de la tige 136 par suite de la fixation entre elles réalisée par l'axe 254 qui assure le calage de la tige 136 sur la cuvette 252 de l'arbre. La tige 236 est capable de tourner à l'intérieur du tube d'entraînement 134. Cette tige 136 est fixée sur le manchon 256 au moyen d'un axe 256a. Le manchon 256 présente une partie pointue 256b à son extrémité supérieure et une patte 256c dirigée vers le bas au voisinage de son extrémité inférieure, comme décrit plus en détail plus loin. Un manchon 258 est monté dans le tube d'entraînement 134 au voisinage de l'extrémité supérieure 134b de celuici, ce manchon 258 étant fixé sur ce tube d'entraînement 134 au moyen d'axes 258a. Le manchon 258 est en outre muni d'une cavité à flancs coniques ou d'une encoche 258b en forme de V au voisinage de son extrémité inférieure, qui peut recevoir par un profil compatible la pointe d'entraînement conique

256b du manchon 256 pour former le dispositif d'accouple-

ment suivant l'invention. Un manchon 260 est monté dans le tube d'entraînement 134 et est fixé sur lui par des axes 260a. L'extrémité supérieure du manchon 260 est munie d'une partie encochée 260b qui peut recevoir la patte 256c du manchon 256. Le manchon 258 est de préférence muni d'une fente en J 258c voisine de son extrémité supérieure et qui sera décrite plus en détail plus loin. En conséquence, la

rotation de la tige d'entraînement 136 provoque la rota-

tion des manchons 258, 260 et celle du tube d'entraînement :34. De ce fait, le tube d'entraînement 134 la tige d'entraînement 136 et le dispositif d'accouplement indiqué mrIcédemmnent constituent le système d'entraînement suivant

l'invention.

Il existe trois conditions d'entraînement séparées et distinctes qui résultent du mouvement de la tige d'entraînement 136 vers le haut et vers le bas au degré permis par la cuvette 252 voisine de son extrémité inférieure. La Fig. 2E montre l'outil de calibrage C suivant l'invention dans une position d'effacement. La seconde condition (non représentée) correspond à celle dans laquelle l'outil de calibrage est en position de

travail et est libéré à partir de la position d'effacement.

La troisième condition est celle qui résulte de la comman-

de manuelle de l'accouplement d'entraînement 297 pour permettre au diagramme 118 d'être déplacé vers le haut

ou vers le bas buià'i- les MbeO ias.

On considèrera maintenant la première position

relative des éléments correspondant à la position d'effa-

cement; dans ce cas, la tige d'entraînement 136 et le manchon 256 occupent leur position inférieure, la patte 256c étant engagée dans la partie encochée 260b du manchon 260. Le manchon 260 est fixé par des axes 260a sur le tube d'entraînement 134. Ce tube d'entraînement 134 est fixé par des axes 258a sur le manchon 258, qui présente une fente en J convenable 258c pour la réception et le maintien de l'axe transversal 232 monté sur la tige de déclenchement 86. Dans cette position (Fig.2D), la tige de déclenchement 86 coopère par vissage avec les bagues de blocage 88,90, qui se combinent pour maintenir le disque de retenuie 84 sous les palpeurs 80, les surfaces de contact 80c, 84a retenant les palpeurs 80 dans une

position d'effacement.

On considèrera maintenant la seconde position relative, qui sera décrite en détail ci-après. Quand l'outil de calibrage C est descendu dans le tube P et quand le mécanisme de verrouillage L (Fig.21) a été déclenché, le galet d'entralnement 158 vient s'appliquer contre le tube P,

de sorte que le mouvement vers le haut de l'outil de cali-

brage C provoque la rotation de ce galet d'entraînement 158

avec, en conséquence, une rotation de la tige 136. La ro-

tation de la tige 136 provoque la rotation du manchon 256,

qui coopère avec le manchon 260, lequel à son tour provo-

que la rotation du tube d'entraînement 134 et du manchon 258. La rotation de la fente en J 258c du manchon 258 libère l'axe transversal 262 par rapport à cette fente en J 258c, en permettant à la tige de déclenchement 86 de se

déplacer vers le haut sous la sollicitation du ressort 92.

Le disque de retenue 84 se déplace vers le haut avec la tige de déclenchement 86 et s'écarte des organes palpeurs P, ce qui permet à ces organes palpeurs P de se déplacer

vers l'extérieur en réponse à l'action des bras de trans-

mission 94, pour venir en contact avec la surface intérieu-

re de l'élément tubulaire 18. Le mouvement vers le haut de la tige de déclenchement 86 supprime également l'effet

de retenue exercé sur l'extrémité 136b de la tige d'en-

trainement 136, qui est alors repoussée vers le haut sous

l'effet du ressort 139 jusqu'à ce que la patte d'entrai-

nement 256b du manchon 256 s'engage dans l'encoche en V 258b du manchon 258. Une nouvelle rotation de la tige

d'entraînement 136 provoque la rotation du tube d'entrai-

nement 134 et du diagramme 118 à des fins d'enregistrement.

Les côtés inclinés de la patte 256b et de la fente de réception 258b permettent un glissement entre eux si un organe rotatif est empêché de tourner, avant qu'un

endommagement ne puisse se produire.

Une troisième position du manchon d'entraine- ment 256 est prévue pour permettre le déplacement manuel du diagramme 118 vers le haut ou vers le bas, suivant les besoins, pour protéger la surface d'enregistrement 118b de ce diagramme 118 pendant l'assemblage ou le démontage. Comme cela est mieux visible sur-les Fig. 2C 2D, avant que la section de centrage 28 ne soit adaptée

sur la section 30 du corps ou n'en soit séparée, l'in-

troduction d'un outil approprié tel que le tournevis 99

(Fig. 2C) représenté en traits mixtes ou un outil analo-

gue à travers l'alésage 30c permet son engagement dans la fente 86a, et une pression exercée ensuite vers le bas sur cet outil amène l'axe transversal 262 dans une position d'engagement partiel dans la fente en J 258c, en provoquant à nouveau la séparation du manchon 256 par rapport aux manchons 258 et 260. La fente en J 258c permet à l'outil utilisé pour exercer une pression de faire tourner la tige de déclenchement 86 et le tube d'entralnement 134 et de provoquer ainsi un déplacement

vers le bas du diagramme 118 sous la protection du man-

chon à filetage intérieur 146, ou bien vers le haut

jusqu'à sa position de départ ou pour son extraction.

Le galet d'entraînement 158 est maintenu dans une position d'effacement ou de repos (Fig.2H) de sorte qu'il ne fait pas saillie au-delà du corps B, par une tige de retenue 264 qui est montée à coulissement dans le carter de verrouillage 34g de la section 34 du corps B de toute manière convenable pour pouvoir subir un déplacement longitudinal par rapport à lui. La tige de retenue 264 est maintenue dans une position supérieure

comme visible sur la Fig. 21 par le mécanisme de verrouil-

lage L suivant l'invention, qui sera déi.t ci-après. Un ressort 266 est monté autour de l'axe 264 et repose sur une bague 268 qui est fixée sur la tige de retenue 264 par un axe 270, tandis que l'extrémité supérieure du

ressort 266 s'applique contre un bouchon 272 qui est vis-

sé dans le carter de verrouillage 34g. Le ressort 266 agit pour solliciter la bague 268 et la tige de retenue 264 en direction du bas. L'extrémité supérieure 264a (Fig.2H) de la tige de retenue 264 s'applique contre l'extrémité inférieure 274a du carter ou de la gaine 274 de l'arbre, tandis que l'extrémité inférieure 264b de cette

tige de retenue 264 est appliquée sur un bras de verrouil-

lage 276 au voisinage de son extrémité supérieure 276a. Le bras de verrouillage 276 est monté de façon à pouvoir se déplacer sur la section 34 du corps B, de façon telle qu'il puisse pivoter autour d'un axe formant pivot 276b

dans une fente radiale 34i ménagée dans le carter de ver-

rouillage 34g. Le bras de verrouillage 276 est retenu de préférence dans une position sensiblement verticale par un

axe de cisaillement 278 qui traverse ce bras de verrouil-

lage 276 et la paroi de la section 34 du corps B. Tant que le bras de verrouillage 276 se trouve dans une position sensiblement verticale et d'application contre l'extrémité inférieure 264b de la tige de retenue 264, le ressort 266 est comprimé et la tige 264 empêchée de se déplacer vers

le bas par les bras de verrouillage 276.

Un linguet de déclenchement latéral 280, qui présente une fente allongée 280a, est monté dans la fente radiale 34i sur un axe formant pivot 282, de façon telle que cet axe 282 s'étend à travers la fente allongée 280a de ce linguet de déclenchement latéral 280. Un tel système de montage permet à la fois le pivotement et le déplacement radial du linguet de déclenchement latéral 280 par rapport

à la section 34 du corps B de l'outil de calibrage C sui-

vant l'invention. Un ressort 284 est relié au linguet de déclenchement latéral 280 par un axe 280b et au carter 34g de la section 34 du corps par un organe de fixation 286. Lorsque l'outil de calibrage C est descendu dans le

tube P, le ressort 284 se trouve dans une position d'ex-

tension plus prononcée que celle visible sur la Fig.2I, la surface incurvée 280c et la pointe 280d du linguet de déclenchement latéral 280 présentant une orientation verticale plus accentuée. La _ traction exercée par le ressort 284 n'est toutefois pas suffisante pour déplacer le bras de verrouillage 276 vers

la droite en regardant la Fig.2I. Quand l'outil de cali-

brage C est repoussé dans le puits, la surface incurvée 280c chevauche la surface intérieure de l'élément tubu- laire 18 et peut rencontrer des variations de la surface du tube P, de sorte que le linguet de déclenchement 280 peut alors tourner librement vers le haut sans modifier la position du bras de verrouillage 276. Quand il est désirable de libérer ce bras de verrouillage 276, l'outil de calibrage C suivant l'invention est repoussé vers le haut à l'intérieur de l'élément tubulaire 18, de sorte

que la pointe 280d et la surface 280e du linguet de dé-

clenchement 280 peuvent pénétrer dans une cavité (non représentée) et s'appliquer contre l'extrémité de l'un des tubes P reliés par une bague (non représentée), pour

permettre un mouvement dans le sens anti-horaire du lin-

guet de déclenchement 280 autour de l'axe formant pivot 282. Un tel mouvement communique une force vers la droite au bras de verrouillage 276 (quand on regarde la Fig.21) étant donné que la surface 280f agit sur la surface 276c du bras de verrouillage et la déplace sur un arc qui

s'étend vers la droite par rapport à la position sensible-

ment verticale représentée sur la Fig.2I. De cette manière, l'axe de cisaillement 278 est sectionné et le bras de verrouillage 276 se déplace vers la droite à un degré suffisant pour que le ressort 266 déplace luimême la tige de retenue 264 en direction du bas, et la surface annulaire extérieure de cette tige de retenue 264 est libérée par la surface 276d du bras de verrouillage 276 voisine de sa face supérieure 276a. Le mouvement de la tige de retenue 264 permet le déplacement du carter 274 en forme de gaine en direction de la gauche quand on regarde la Fig.2H, en réponse à la sollicitation du ressort 288 qui est monté sur le support 34n par un organe de fixation convenable

290, et à l'action du ressort 288 sur la surface extérieu-

re 274b du carter 274. Comme visible sur la Fig.3, le carter formant gaine 274 est monté sur le support 34n par un axe convenable 292. L'axe 292 est destiné à être introduit à travers une chape 274c qui est ménagée sur le carter 274 et qui est conjuguée à des douilles 274d,

274e et à une douille convenable 294 montée sur le sup-

port 34n.

On comprendra que la rotation du joint de cardan 168 peut être assurée à la main en utilisant un outil convenable. (non représenté) qui peut être adapté sur l'accouplement d'entraînement 297, lequel comprend un axe d'alignement 296 (Fig.2H) et un pignon conique 298, ce qui assure la rotation du joint de cardan 168,

de l'arbre 174 et des autres ensembles décrits ci-avant.

L'axe d'alignement 296 constitue un élément de position-

nement pour l'outil utilisé pour faire tourner le pignon conique 298 de l'accouplement d'entraînement 297. La rotation du pignon 298 courtcircuite l'accouplement à

roue libre 166 et permet la rotation de la tige 136.

L'outil de calibrage C suivant l'invention comprend en outre un système de styles désigné d'une façon générale par Y, qui peut être monté amoviblement dans la section 30 du corps B et qui comprend les moyens représentés sur les Fig. 2D, 2E, comportant les bras de

transmission 94, le tube porte-styles 104, son prolonge-

ment 106, la bague élastique 102, les vis 108, les styles actifs 116, les axes 110, les pièces de réglage 112t, les organes de fixation 114, le manchon 120, la gaine 122 et le manchon d'effacement 126. L'ensemble du système de styles Y peut être séparé de l'outil de calibrage C suivant l'invention et transporté indépendamment de cet outil de calibrage C. En outre, ce système de styles peut être réglé en vue d'un alignement et d'un positionnement corrects des pointes 116d des styles dans leur ensemble, et il va conserver cette position de réglage correct indépendamment du corps 3 de l'outil de calibrage dont il est séparé. Ceci est nettement différent des outils de calibrage de la technique antérieure, en ce sens que si un réglage et (ou) une réparation étaient nécessaires, l'ensemble de l'outil de calibrage C devait être extrait du puits et transporté de façon unitaire en vue de sa réparation ou de son réglage. Dans le cas présent, l'outil de calibrage C suivant l'invention peut être extrait-du tube P, puis partiellement démonté, et le système de styles Y peut être déposé sous forme d'un ensemble unitaire et remplacé par un système de styles de réserve Y, l'outil étant remis en service immédiatement sans perte de temps, après quoi le système de styles endommagé Y peut être réparé et réglé à nouveau de façon correcte sans exiger le remplacement d'autres éléments

de l'outil de calibrage C suivant l'invention.

Lors de son utilisation, l'outil de calibrage C suivant l'invention est introduit dans le tube P ou l'autre dispositif à calibrer, le galet 158 se trouvant dans une position d'effacement comme montré sur la Fig. 2H, tandis que les organes palpeurs F sont eux-mêmes dans la

position d'effacement représentée sur la Fig.2D. La par-

tie supérieure du tube P est fermée de façon étanche et une source de haute pression appropriée (non représentée)

* est fixée sur ce tube pour qu'une pression de fluide puis-

se agir sur l'outil de calibrage C. La pression peut être fournie par de l'eau, de l'huile, de la boue ou tout autre milieu convenable permettant une mise en pression et une action sur l'outil de calibrage C suivant l'invention, pour son déplacement à travers le tube P. Etant donné que la pression est augmentée à un degré qui doit être supérieur à la pression régnant dans le puits, et de façon caractéristique supérieur de plusieurs centaines de kilogrammes à cette pression du puits, le fluide est refoulé autour du dispositif de retenue supérieur 60 (Fig.2A), vers un espace annulaire ménagé entre l'outil de calibrage C et le tube P, en passant par les orifices 62d, 64de 66d, prévus dans les dispositifs de centrage 62, 64, 66 respectivement, jusqu'à ce que cette pression

agisse sur la surface terminale supérieure 56d du dispo-

sitif de retenue inférieur 56. Le fluide sous pression agissant sur cette surface terminale 56d, les segments racleurs annulaires 56c du dispositif de retenue inférieur

56 établissent une relation d'étanchéité entre ce dispo-

sitif de retenue inférieur 56 et la surface intérieure de l'élément tubulaire 18. Si l'on augmente la pression exercée sur la surface terminale supérieure 56d jusqu'à une valeur supérieure à la pression du puits, le dispositif de retenue inférieur 56 est maintenu dans une relation d'étanchéité avec l'élément tubulaire 18 et fourni'L 'a -eliLion d'étanchéité nécessaire pour repousser l'outil de calibrage C à l'intérieur de ce tube P. Le tube P peut être incurvé comme dans la section 18a (Fig.1), ce qui provoque un changement de direction pour passer d'une orientation sensiblement verticale de cet outil de calibrage, à l'intérieur de l'élément tubulaire 18, à une orientation sensiblement horizontale dans la section 18b, pour ensuite traverser nécessairement une section en forme de boucle 18c qui est fixée sur le système de valve subaquatique 20 et pour parvenir ensuite dans la

section verticale 18d logée dans le trou foré 24 à l'in-

térieur du cuvelage ou tubage 22.

Jusqu'ici, à la connaissance de la Société Demanderesse, les outils de calibrage existants n'ont pas

été capables de franchir des sections incurvées et en for-

me de boucles et leur utilisation a été nécessairement

limitée à des portions de tubes sensiblement rectilignes.

Toutefois, du fait des organes d'articulation A de l'outil de calibrage C suivant l'invention, cet outil de calibrage

est capable de se couder, de s'infléchir et (ou) de s'ar-

ticuler de façon telle que les parties incurvées et (ou) en forme de boucles du tube P puissent être franchies par

cet outil de calibrage C lorsqu'il est refoulé dans l'é-

lèment tubulaire 18 par la pression de fluide exercée sur lui. Les dispositifs de centrage 62,64, 66 participent

au maintient de l'outil de calibrage C selon une orienta-

tion appropriée à l'intérieur du tube P, même si l'outil rencontre une section incurvée ou en forme de boucle lorsqu'il est refoulé à l'intérieur de l'élément tubulaire 18. L'outil de calibrage C est déplacé par pompage dans

l'élément tubulaire jusqu'à ce qu'il ait atteint le ni-

veau inférieur auquel le calibrage doit commencer. On remarquera que les pattes 36k de l'organe d'arrêt 36d de la section 36 du corps sont capables de venir en contact avec un étranglement convenable (non représenté) prévu vers la base de l'élément tubulaire 18 pour empêcher l'outil de calibrage C de s'échapper à l'extrémité

inférieure de cet élément tubulaire.

Une fois que l'outil de calibrage occupe la position correcte dans l'élément tubulaire 18, la pression de fluide agissant sur le dispositif de retenue inférieur 56 est supprimée. Du fluide sous pression est ensuite

refoulé de façon à agir sur la surface terminale infé-

rieure 60d du dispositif de retenue inférieur 60, pour déplacer l'outil de calibrage C vers le haut à l'intérieur

de l'élément tubulaire 18. Cette pression de fluide peut-

être obtenue en utilisant une seconde colonne de tubes voisine de la première, pour assurer une mise en pression inversée du tube P, ou bien suivant une variante l'espace annulaire ménagé entre la surface extérieure de l'élément tubulaire 18 et la surface intérieure du cuvelage 22 peut être utilisé pour transmettre une pression convenable autour de l'élément tubulaire 18, en direction de sa base, et ensuite pour refouler ce fluide vers le haut dans l'élément tubulaire 18, afin d'assurer le déplacement vers le haut de l'outil de calibrage C par un effet de pompage. Alors que l'outil de calibrage C est déplacé vers le haut à l'intérieur de l'élément tubulaire 18 du fait de la relation d'étanchéité entre le dispositif de retenue supérieur 60 et cet élément tubulaire 18, le

verrouillage 276 est libéré par le linguet de déclenche-

ment latéral 280 lorsque celui-ci vient buter contre l'une des extrémités d'une section de tube P,à l'intérieur d'une cavité annulaire (non représentée) ménagée par

l'élément tubulaire 18. Le mouvement du bras de verrouil-

lage 276 permet à la tige 264 de se déplacer vers le bas à partir de la position représentée sur les Fig.2H,2I,

jusqu'à une position dans laquelle le galet d'entraine-

ment 158 peut se déplacer vers l'extérieur en réponse à l'action du ressort 288 s'exerçant sur le carter formant

gaine 274. Le mouvement vers le haut de l'outil de cali-

brage C provoque alors la rotation du galet d'entraînement 158 en contact avec la surface intérieure de l'élément tubulaire 18, pour transmettre une rotation à l'arbre 164 comme expliqué précédemment. La rotation de cet arbre 164 permet à la tige d'entrainement 136 de tourner, de sorte que l'axe 262 est dégagé de la fente en J 258c et que la tige de déclenchement 86 est déplacée vers le haut sous l'effet du ressort 92. Ce mouvement vers le haut de

la tige de déclenchement 86 agit pour provoquer la libéra-

tion des organes palpeurs F, qui viennent alors s'appliquer contre la face intérieure du tube P étant donné que le disque d.ie retenue 84 est lui-même déplacé vers le haut et

est écarté des surfaces 80c des palpeurs 80.

Normalement, au début de l'opération de cali-

brage, le diagramme 118 va occuper une position sortie par rapport au manchon à filetage intérieur 146, comme visible sur la Fig.2E, et lorsque le galet d'entraînement

158 vient s'appliquer contre le tube P, par suite du dé-

placement vers le haut de l'outil de calibrage C dans ce tube P sous l'effet de la pression, le tube d'entraînement 134 communique une rotationau diagramme 118, de sorte que celui-ci se déplace en hélice vers le bas dans la section 30 du corps B de l'outil de calibrage C. Les pointes 116d des styles sont appliquées sur le diagramme 118 de manière à former sur sa surface des lignes ou tracés correspondant

à chaque style actif 116. Si des irrégularités de la sur-

face intérieure de l'élément tubulaire 18 sont rencontrées par l'un des palpeurs 80 de l'outil de calibrage C lors de son déplacement par pompage vers le haut à l'intérieur de l'élément tubulaire 18, la ligne hélicoïdale normalement

régulière tracée par le style actif 116 va varier en fonc-

tion de la taille de la variation rencontrée, pour indi-

quer cette même variation de la surface aux points corres-

pondant aux organes palpeurs P. De cette manière, on

obtient une indication précise de la condition de la sur-

face intérieure de l'élément tubulaire 18, qui est enre-

gistrée sur le diagramme 118. Si la pression de fluide continue d'agir sur la surface terminale inférieure 60d du dispositif de retenue supérieur 60, le calibrage se poursuit sur le diamètre intérieur de l'élément tubulaire

18, jusqu'au moment o l'écrou annulaire 132 vient s'ap-

pliquer contre la surface 146c du manchon fileté 146,

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après quoi une nouvelle rotation du galet d!entrainement 158 ne provoque plus la rotation du diagramme} 118 par suite de l'action d'accouplement qui se produit entre la partie pointue 256b du manchon 256 et l'e-coche 258b du manchon 258, avec un effet d'échappement qui s'oppose à un endommagement quelconque des organes actifs. L'outil de calibrage C suivant l'invention peut être ensuite extrait du tube P par pompage sous l'effet d'une pression continue agissant sur le dispositif de retenue supérieur 60, cet outil de calibrage C pouvant être repoussé par cette pression de fluide à travers le système de valve subaquatique 20, la section en forme de boucle 18c, la section horizontale 18b et la section incurvée 18a de

l'élément tubulaire 18, jusqu'à son extraction à la sur-

face supérieure lOa de la plate-forme 10. Avant le prélè-

vement du diagramme 118 à la section 30 du corps, le man-

chon 126 peut être amené en contact avec les parties con-

juguées 120c du manchon 120, pour écarter les styles actifs

116 du diagramme 118. On comprendra que, pour chaque cour-

ses de l'outil de calibrage C dans un tube P, un nouveau

diagramme 118 va être nécessaire, et à cet effet les dia-

grammes 118 sont interchangeables.

On comprendra également que les dispositifs de

centrage 62,64,66 fournissent la certitude que les sec-

tions 28, 30, 32 du corps vont se trouver dans l'aligne-

ment axial correct de l'axe longitudinal de l'élément

tubulaire 18 pendant les opérations de calibrage, le dis-

positif de centrage 62 se trouvant au-dessus et le dis-

positif de centrage 64 au-dessous de la section 30 du corps, afin de permettre un fonctionnement parfaitement centré de l'outil de calibrage C. Ces dispositifs de centrage 62,64, 66 sont particulièrement importants car, dans le cas contraire, un déplacement décalé latéralement de la section 30 contenant les organes palpeurs aurait une influence sur les enregistrements du diagramme et

devrait être compensé lors de la lecture de celui-ci.

Ainsi, l'outil de calibrage suivant l'invention constitue un outil de calibrage nouveau et utile, pouvant être déplacé vers le bas par pompage dans un tube P sous

l'influence d'un fluide sous pression et pouvant égale-

ment être extrait de ce tube par pompage. En outre, l'ou-

til de calibrage C suivant l'invention est capable de su-

bir un mouvement d'articulation grâce aux moyens d'arti-

culation A prévus pour permettre la flexion et (ou) l'ar- ticulation du corps B de l'outil de calibrage lorsqu'il progresse par pompage à travers des sections incurvées et (ou) en forme de boucles du tube P. Par ailleurs, l'outil de calibrage C suivant l'invention comporte un système de styles interchangeable Y, qui peut être séparé de l'outil de calibrage C et réparé saisn eaxIgr le transport et la réparation de l'ensemble de cet outil de calibrage C. On comprendra que l'outil de calibrage C suivant l'invention peut être utilisé pour des opérations de calibrage à la surface du sol autres que celle d'un tube P placé dans un puits, et en conséquence, bien que l'invention ait été décrite ici dans le cas de son application à un tube P placé dans un puits, il va de soi que cette application

de l'invention n'y est pas limitée.

D'autres modifications encore peuvent être apportées au mode de réalisation décrit, dans le domaine

des équivalences techniques, sans s'écarter de l'invention.

Claims (31)

REVENDICATIONS

1.- Outil de calibrage utilisable dans un tube et comportant un corps et des organes palpeurs associés à

ce corps et destinés à s'appliquer contre la surface inté-

rieure du tube soumis au calibrage, ces organes palpeurs se déplaçant en réponse à des variations de la surface du tube, caractérisé en ce que des moyens (R) sont prévus dans ou sur le corps (B) pour permettre à ce corps d'être déplacé par pompage en réponse à une pression de fluide exercée sur lui dans le tube (P), pour l'utilisation de

l'outil de calibrage (C).

2.- Outil de calibrage suivant la revendication

1, caractérisé en ce que ces moyens comprennent des dis-

positifs (R) de retenue de la pression de fluide, montés

sur le corps pour maintenir ce corps (B) dans une rela-

tion d'étanchéité par rapport au tube (P), afin de per-

mettre le mouvement dudit corps le long de ce tube suivant les besoins en réponse à l'action d'une pression de fluide

sur ces dispositifs de retenue (R>.

3.- Outil de calibrage suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les dispositifs (R) de retenue d'une pression de fluide comprennent un dispositif de retenue d'une pression de fluide inférieur (56), prévu sur le corps (B) pour maintenir ce corps dans une relation d'étanchéité par rapport au tube (P), afin de permettre le mouvement de ce corps de l'outil vers l'intérieur du tube en réponse à une pression de fluide exercée sur lui,

suivant les besoins.

4.- Outil de calibrage suivant la revendication 2, caractérisé en ce que les dispositifs (R) de retenue d'une pression de fluide comprennent un dispositif de retenue d'une pression de fluide supérieur (60), associé au corps (B) pour maintenir ce corps dans une relation d'étanchéité par rapport au tube (P), afin de permettre le mouvement dudit corps vers l'extérieur du tube en réponse à une pression de fluide exercée sur lui, suivant

les besoins.

5.- Outil de calibrage suivant la revendication 1, caractérisé en ce que le corps (B) est formé de plusieurs sections (26-38), et comprenant des moyens d'articulation (A) associés aux sections du corps (B) pour permettre à ces sections de s'articuler l'une par rapport à l'autre lorsque lesdites sections du corps franchissent une section incurvée du tube (P).

6.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce Que ces moyens d'articulation (A) comprennent au mdins un joint à rotule et cuvette (261, 28a, 28r, 28s, 30A, 30m, 32a, 34a, 341, 36a, 36h, 38a)

prévu entre des sections voisines du corps.

7.- Outil de calibrage suivant la revendication 6, caractérisé en ce que ce joint à rotule et cuvette est disposé entre chaque paire de sections adjacentes

(26-38) du corps (B) pour assurer l'assemblage des sec-

tions entre elles en vue de leur mouvement d'articulation.

8.- Outil de calibrage suivant la revendication 7, caractérisé en ce qu'il comprend des moyens (28v, 30b) s'opposant à une rotation, associés à certains des joints à rotule et cuvette pour empêcher une rotation relative

des sections voisines (26-38) du corps (B) l'une par rap-

port à l'autre.

9.- Outil de calibrage suivant la revendication

6, caractérisé en ce que l'une au moins des sections (26-

38) du corps (B) comporte des moyens de centrage (T) ser-

vant à maintenir ce corps dans une position de travail centrée.

10.- Outil de calibrage suivant la revendication

9, caractérisé en ce que ces moyens de centrage (T) per-

mettent le passage des sections du corps (B) à travers

des parties incurvées du tube (P) soumis au calibrage.

11._ Outil de calibrage suivant la revendication 6, caractérisé en ce qu'au moins une section du corps (B) comprend des moyens de limitation de course (37) servant à limiter son mouvement vers le bas à l'intérieur du

tube (P).

12.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce qu'il comprend un diagramme ou graphique (118) servant à enregistrer les variations de la surface du tube (P), détectées par les organes palpeurs (F), et comportant en outre des moyens comprenant

un arbre d'entraînement flexible (172) s'étendant à tra-

vers les sections du corps (B)-et les moyens d'articula-

tion, pour assurer l'entraînement de ce diagramme (118).

13.- Outil de calibrage suivant la revendication 12, caractérisé en ce que ces moyens comportent un arbre d'entraînement flexible (172) monté dans la section du corps (B) pour permettre la transmission d'un couple, pendant un déplacement dans une condition non-alignée,

entre des sections voisines du corps.

14.- Outil de calibrage suivant la revendication 13, caractérisé en ce que cet arbre d'entraînement (172) comprend plusieurs sections flexibles associées à des organes en forme de cuvettes (200, 202), permettant la transmission d'une rotation entre les sections d'arbre d'entraînement tout en rendant possible un mouvement

axial relatif entre lesdites sections.

15.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce que les organes palpeurs (F) sont déplaçables entre une position d'effacement dans laquelle ils sont écartés de la surface du tube (P) et une position de déclenchement ou de libération dans laquelle ils sont

appliqués contre cette surface du tube (P).

16.- Outil de calibrage suivant la revendication 15, caractérisé en ce que des moyens d'entraînement sont prévus pour assurer l'entraînement du diagramme (118), ces moyens d'entraînement comprenant un tube d'entraînement (134), une tige d'entraînement (136) montée de façon à

pouvoir se déplacer dans ce tube, et des organes d'accou-

plement (256, 260) associés. à ce tube d'entraînement et à cette tige d'entraînement et permettant le mouvement des organes palpeurs (F) entre les positions d'effacement et

de déclenchement.

17.- Outil de calibrage suivant la revendication

15, caractérisé en ce que ces organes d'accouplement com-

prennent un premier manchon (260) monté autour de la tige d'entraînement (136) et associé à ce tube d'entraînement

(134), et un second manchon (256) associé à la tige d'en-

traînement (136) et logé à l'intérieur du tube

d'entraînement (134) pour pouvoir se déplacer dans celui-

ci, ce second manchon étant agencé de façon à coopérer

avec le premier manchon pour assurer sa rotation.

18.- Outil de calibrage suivant la revendica-

tion 17, caractérisé en ce que les organes d'accouplement comprennent un troisième manchon (258) monté sur le tube d'entraînement (134) et pouvant recevoir une partie de la tige d'entraînement (136) et une partie d'une tige de déclenchement (86) cette tige servant à déclencher les organes palpeurs (F) pour leur permettre de passer de

leur position d'effacement à leur position de déclenche-

ment, ce troisième manchon (258) étant attaqué fonction-

nellement par le second manchon (256) pour assurer le déplacement de la tige de déclenchement (86),afin de

libérer les organes palpeurs (F>.

19.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce que la tige de déclenchement (86)

porte un axe de déclenchement (262) et en ce que le troi-

sième manchon (258) est muni d'une fente en J <258c), cet axe de déclenchement pouvant se déplacer à l'intérieur de cette fente en J.

20.Outil de calibrage suivant la revendication 18, caractérisé en ce que le second manchon (256) est agencé de façon à faire tourner le troisième manchon (258)

après le déclenchement des organes palpeurs (F).

21.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce que le second manchon (256) peut être écarté d'une position de liaison fonctionnelle avec

le premier et le troisième manchons (260, 258), le dia-

gramme (118) étant alors déplaçable à la main.

22.- Outil de calibrage suivant la revendication 21, caractérisé en ce que des moyens (86a) sont prévus pour permettre à un outil d'attaquer et de déplacer vers

le bas le second manchon (256), pour l'écarter d'une posi-

tion de coopération avec le premier manchon (260) et avec le troisième manchon t258) et pour pouvoir faire tourner

le diagramme (118) suivant les besoins.

23.- Outil de calibrage suivant la revendication 22, caractérisé en ce que le diagramme (118) peut être

amené à la main dans une position d'effacement à l'inté-

rieur d'un manchon (146),pour sa protection pendant le

montage et le démontage.

24.- Outil de calibrage suivant la revendication 22, caractérisé en ce que des moyens sont prévus pour permettre au diagramme (118) d'être sorti à la main de sa

position de protection, afin d'être amené dans une posi-

tion de travail.

25.- Outil de calibrage suivant la revendication 20, caractérisé en ce qu'il est prévu un troisième manchon (258) muni d'une encoche (258b) présentant des flancs inclinés, le second manchon (256) étant muni d'une patte

(256b) en forme de V destinée à coopérer avec cette enco-

che pour permettre un échappement entre l'encoche et la

patte lors de l'entraînement de l'outil de calibrage.

26.- Outil de calibrage suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comprend en outre un système

de styles (Y) monté amoviblement dans le corps (B).

27.- Outil dd calibrage suivant la revendication 26, caractérisé en ce que ce systeme de styles (Y) comprend des styles (S, 116) fournissant des lignes ou tracés indiquant des variations en réponse à la détection de variations de la surface intérieure du tube P par les

organes palpeurs (F).

28.- Outil de calibrage suivant la revendication 27, caractérisé en ce que ce système de styles (Y) comprend en outre des organes de transmission (D) agencés

de façon à attaquer les organes palpeurs (F) et à trans-

mettre leur déplacement à une partie des styles (S, 116).

29.- Outil de calibrage suivant la revendication 26, caractérisé en ce que le système de styles (Y) est

réglable indépendamment du corps (B) de l'outil de cali-

brage (C).

30.- Outil de calibrage suivant la revendication 29, caractérisé en ce que le système de styles (Y) réglé est agencé de façon à pouvoir être utilisé dans un corps

(B) d'outil de calibrage (C) quelconque, tout en demeu-

rant dans une condition de réglage.

31.- Outil de calibrage suivant la revendication , caractérisé en ce qu'il comprend en outre un manchon d'effacement (120) attaquant chacun des styles (S, 116)

pour permettre le montage du système de styles(Y)à l'in-

térieur du corps (B) sans endommager les styles et emp&-

chant ces styles de venir en contact avec le diagramme

(118) prélablement adapté dans le corps.