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Commeon le sait, les installations et appareils à fonctionnement électronique sont constitués aujourd'hui, aans leur quasi totalité, par assemblage a'une pluralité de cartes amovibles, et donc interchangeables, généralement formées par un circuit imprimé faisant support pour un ou plusieurs circuits électroniques, par exemple des circuits intégrés, branchés sur ce circuit, voire couplés entre eux par l'intermédiaire d'un tel circuit. A l'intérieur a'une même installation ou appareil, ces cartes sont couplées entre elles par l'intermédiaire d'un ensemble de barres "bus" auxquelles elles sont reliées galvaniquement par des systèmes de connecteurs aussi aivers que nombreux, généralement de mise en oeuvre assez complexe, interdisant pratiquement à tout usager néophyte de procéder de lui-uê- me au remplacement a'une carte par une autre. De plus, un tel remplacement ne peut généralement avoir lieu qu'en accédant au coeur même de l'installation ou appareil en question.
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L'apparition des jeux électroniques et des mini-ordinateurs à usage domestique a conduit les constructeurs à prévoir la possibilité, pour les usagers, ae procéder eux-mêmes à la substitution de certaines cartes portant des circuits donnés, concernant par exemple des programmes informatisés, sans devoir ni opérer à l'intérieur du boîtier de ces appareils ni faire usage d'outils particuliers. C'est ainsi qu'on a aisposé ces cartes sous enveloppe rigide ae protection, enfichable sur une partie du boîtier prévue à cet effet, les liaisons de nature électrique étant réalisées à l'aide de connecteurs appropriés dont l'architecture ne limite d'ailleurs pas leur emploi dans le contexte ci-dessus mais est également souvent valable pour assurer le branchement électrique de "cartes électroniques" traditionnelles, telles celles mentionnées précèdenment.
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La présente invention vise à permettre une généralisation d'emploi de ce principe des "cartes électroniques" et propose, a cet effet, un ensemble englobant un circuit modulaire électrique ou électronique et un connecteur aestiné à relier ce circuit à un système électrique autonane, cet ensemble comprenant, came les ensembles similaires connus, un boîtier, contenant tant ledit circuit que le connecteur, et aes moyens pour fixer amoviblement le boîtier au sys- tèem dans une position autorisant ladite liaison galvanique entre une première pluralité ae pistes conductrices, rattachées électriquement aux points du circuit à relier au système, et une secconde pluralité de pistes conductrices homologues appartenant à ce système.
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Un tel ensemble modulaire doit, en effet, présenter une architecture générale simple, être particulièrement fiable, bon marché et de dimensions particulièrement réduites, notamment en ce qui concerne l'épaisseur. L'ensemble selon l'invention aoit, en effet, pouvoir être associé à un ordinateur de poche, ou genre décrit par exemple dans la demande de brevet européen No. 0 053 061, c'est-à-dire un ordinateur de très faible encombrement puisque ses dimensions ma- xiimm sont généralement de l'ordre de 20 cm ae longueur x il cm ae largeur, x 2,5 à 3 cm d'épaisseur. Malgré une épaisseur aussi faible, un tel ordinateur englobe notamment un clavier ae type "transparent touch sensitive", occupant pratiquement toute la surface de l'une des ceux faces principales du boîtier ae l'ordinateur, et une cellule d'affichage a cristaux liquides (LCD) idposée sous le clavier, le tout étant placé aans le boîtier, au-dessus aes nombreux circuits électroniques nécessaires à la marche de l'orainateur, dont l'ensemble présente tout de même oe 1 à 1,5 cm d'épaisseur. C'est dire que la place disponible, aans le sens de l'épaisseur de l'ordinateur, pour un ensemble du genre ci-dessus, destiné à être fixé au boîtier, du côté opposé à la face portant le clavier, est particulièrement réduite et ne aépasse guère 3 mm environ. Malgré une épaisseur exceptionnellement limitée, l'ensemble en question doit englober dans son boîtier un mécanisme d'actionnement manuel, ae structure miniaturisée, de la mise en service et hors service du circuit modulaire électrique ou électronique, lui aussi intégré au boîtier, et qui doit en outre effectuer, simultanément, le verrouillage de cet ensemble sur le système autonome auquel il est destiné a être branché électriquement, dans la position en service" du circuit.
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Les aemandes EP 858100014.2 et EP 85900608.2 aécrivent déjà un ensemble modulaire répondant aux critères ci-dessus: s'agissant ae demandes ne aésignant que l'Italie, la France et le Royaume Uni, la requérante a procédé de sa propre initiative à une limitation et présenté deux jeux de revendications distincts, l'un (A), valable pour les désignations de l'Italie, de la France et du Royaume Uni, rédigé en application de l'Art. 54 (3) CBE, l'autre (B), valable pour les désignations ae l'Autriche, ae la Belgique, du Luxembourg, aes Pays-Bas, de la République Fédérale d'Allemagne, de la Suède et de la Suisse, pays aans lesquels les demandes de brevet européen ci-dessus ne constituent pas des antériorités quant à la nouveauté opposables au jeu de revendications concerné par ces pays.
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L'identité et l'étenaue de l'invention concernée par la présente demande ae brevet sont aonc données par les deux jeux de revendications de la aemande auxquels on se reportera directement pour plus de détails.
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D'autres particularités et caractéristiques de la présente invention seront maintenant décrites en se référant aux dessins annexés, cannés à titre d'exemple, aans lesquels:
- la fig. 1 est une vue en perspective, de dessus, d'un ordinateur de poche;
- la fig. 2 est une vue en perspective, ae dessous, de l'ordinateur représenté sur la fig. l;
- la fig. 3 est une vue en coupe verticale, à plus grande échelle, selon III-III de la fig. 2, illustrant les éléments structurels du connecteur aont est muni l'ensemble modulaire selon une première forme d'exécution de l'invention;
- la fig. 4 est une vue similaire à celle de la fig. 3, dans une autre position de certains éléments du connecteur;
- la fig. 5 est une vue éclatée, en perspective, montrant une partie des éléments de l'ensemble;
- la fig. b est une vue de détail, selon VI-VI ae la fig. 3;
- la fig. 7 est une autre vue de aétail ce cette même fig. 3, selon l'axe VII-VII, avec arrachement partiel de certains éléments.
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L'orainateur représenté sur les figs 1 et 2 est un ordinateur de poche, d'un type semblable à celui décrit dans la aemande de brevet européen No. 0 053 061, c'est-à-dire un ordinateur aux dimensions particulièrement réduites (20 x 11 x 3 cm environ) pour une qualité de prestations exceptionnellement élevée dans un volume aussi fai- ole.
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La face supérieure d'un tel ordinateur présente, dans sa partie centrale, un écran rectangulaire E englobant un clavier de type "transparent touch sensitive" et une cellule a'affichage à cristaux liquides (LCD) disposée sous le clavier, écran qui est entouré par une ceinture C de touches ae contrôle et a'actionnement de l'ordinateur. Sur sa tranche, l'ordinateur illustré comporte divers boutons de réglage (Rl, R2) et poussoirs de commande, soit un poussoir (Pl) pour l'enclenchement de l'ordinateur, un secona poussoir (P2) pour son déclenchement et un troisième poussoir (P3) ae réinitiali- sation du système de l'ordinateur, des prises (Fl à F4) permettant le branchement a'appareils divers (microphane, lecteur ae cassettes, écouteur par exemple), une sortie série RS 232 aevant permettre le branchement ae périphériques, telle une imprimante par exemple, une prise femelle PF pour le branchement de l'ordinateur sur une source d'alimentation extérieure, un passage PS, ménagé aans le boîtier de l'appareil pour une courroie de préhension (non representee), un connecteur parallèle CP, a 40 broches, pour le branchement de l'orainateur à un moaem, à une imprimante ou à un appareil de mesure par exenple, l'ouverture d'un compartiment destiné à recevoir des fils a'alimentation de l'ordinateur, ouverture non visible au dessin car masquée par un couvercle CP monté coulissant dans une rainure RA creusée aans le boîtier, ce couvercle étant ainsi susceptible a'être conduit de la position représentée, d'obturation du compartiment des piles, dans une seconde position, décalée par rapport à la première, dans laquelle l'usager peut avoir accès à ce compartiment, notamment pour procéder au remplacement ces piles usagées. Sur sa ta- ce opposée à celle munie de l'écran E, l'ordinateur représenté comporte un poussoir PR permettant de cmmander la fonction RESET de l'ordinateur, un haut parleur HP et quatre logements Ll a L4 aesti- nés a recevoir un nombre correspondant a'ensembles amovibles El a E4 dont les particularités structurelles seront illustrées ci-après et formant autant de "cartes mémoires" RAM et/ou ROM, susceptibles de constituer aes mémoires ae stockage a'informations générées a l'aide de l'ordinateur et/ou des mémoires compoirtant ces programmes utilitaires de toute nature.
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L'orainateur comporte, de plus, aans la portion de volume ae son boîtier comprise, en substance, entre l'écran E et les logements Ll à L4, notamment l'ensemble des circuits logiques et connexions nécessaires tant au fonctionnement du clavier et de l'affichage qu'à la gestion et à l'exécution des aiverses fonctions propres à l'ordinateur. Tous ces éléments n'ayant pas un rapport airect avec les caractéristiques essentielles de l'ensemble selon l'invention n'ont pas été représentés et ne seront pas décrits.
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comme inaiqué, l'orainateur visible aux figs 1 et 2 fait notamment emploi de cartes-mémoire El à E4 qui sont destinées à être in- troduites de façon amovible à l'intérieur des logements correspondants Ll a L4, ménagés aans le boîtier de l'orainateur, cartes destinées a être connectées électriquement à cet ordinateur en vue soit d'en compléter l'importance de la mémoire de travail, soit d'avoir accès à des programmes ou à des parties de programmes particuliers, inexistants aans la mémoire résidante de l'appareil. comme déjà inaiqué, s'agissant alun orainateur portatif de dimensions particulièrement faibles, les cartes-mémoire ci-dessus doivent présenter ces dimensions réduites, de l'ordre de 55 x 45 mm de côté et a'environ 3 mm d'épaisseur, et pouvoir être fixées sur l'ordinateur (ou séparées de celui-ci) manuellement, sans faire usage d'outils particuliers, leur branchement électrique devant être irréprochable et demeurer tel quelque puissent être les mouvements et les modifications ce position que l'ordinateur puisse être appelé a connaître.
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A cet effet, l'invention propose un ensemble englobantun circuit modulaire électrique ou électronique et un connecteur destiné a permettre de relier galvaniquement ce circuit à un système électrique autonome, même différent d'un ordinateur. On pourrait notamment en faire usage dans des appareils portatifs a'autre nature, radio ou téléviseurs par exenple, dans des tableaux ae commande d'installations diverses, dans des centraux téléphoniques, aes stations de télécommunication etc..
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Comme on le voit sur la fig. l, l'ensemble modulaire El est destiné à être inséré dans le logement Ll de l'orainateur en vue a'être relié galvaniquement a celui-ci par l'intermédiaire de barres/bus e dont seules une vingtaine d'entre elles ont été représentées pour ne pas charger inutilement la figure.
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Sur la fig. 2, on distingue les éléments structurels dont est muni l'ensemble modulaire E2 à peine introduit dans son logement L2 (élément qui est structurellement iaentique à l'élément El ci-aes- sus), en vue ce permettre, a la fois, la liaison galvanique mentionnée et le blocage mécanique de cet ensemble aans son logement.
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Un tel ensemble est obtenu, en substance, par superposition et assemblage ces diverses pièces qui vont maintenant être décrites en se référant plus particuliièrrement aux figures 3 à 7 des aessins annexés. Il comporte (tig. 5) un boîtier formé d'une embase rectangulaire 1 sur laquelle repose un cadre 2 dont l'ouverture est obturée par un couvercle 3. Entre l'embase 1 et le caare 2, l'ensemble illustré présente une plaque 4, en matériau isolant souple, constituant un circuit imprimé, ou PC board, sur lequel sont fixées les "puces" des circuits logiques propres à chaque ensemble, puces qui n'ont pas été représentées mais qui prennent place aans le volume P laissé libre entre cette plaque 4, le cadre 2, le couvercle 3 et une masse de remplissage M, de résine epoxy par exemple (figs 3 et 4).
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Les quatre éléments 1 a 4 sont assemblés par le moyen de vis (non représentées) faisant prise dans des ouvertures 1'et 1" de l'embase 1 et traversant dess passages correspondants 2' et 2", 3' et 3", 4' et 4", ménagés respectivement dans les éléraents 2, 3 et 4. En variante, le même assemblage pourrait être réalisé par des chevilles en matériau thermofusible faisant saillie par exemple aux endroits occupés par les ouvertures 1' de l'embase 1 et ocnt on provoquerait la fusion de l'extrémité supérieure au terme du montage pour former une tête de serrage. Il convient, à ce point, de relever que tant l'embase 1 que le cadre 2 seront de préférence réalisés en matière plastique moulée, par exemple en ABS dopée de téflon; en ce qui concerne le couvercle 3, celui-ci sera par contre obtenu par étampage d'une feuille d'acier inoxydable.
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Comme on le voit sur la fig. 5, les ouvertures 1" de l'embase 1 sont pratiquées dans des bossages cylinariques la et lb faisant saillie sur le fond de l'embase, à proximité immédiate au bord postérieur d'une fenêtre lf, ces bossages formant organe de positionnement pour le PC-board 4, par engagement dans des ouvertures 4a et 4b, pour un peigne-ressort 5, respectivement pour une traverse 6, par engagement dans des ouvertures 5a et 5b, respectivement 6a et 6b. Aux figs 3 et 4, la position ae ces bossages est marquée par la représentation de leur axe de symétrie A-A.
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Les bossages la et lb constituent, de plus, des organes de positionnement et ae guidage dans ses déplacements rectilignes possibles, en direction ∅1 ou ∅2, pour un sabot 7 par engagement dans des ouvertures oblongues 7a et 7b, orientées selon l'axe ∅1-∅2. La longueur de ces ouvertures, 7a et 7b, et le diamètre des bossages la et lb de l'embase 1 déterminent l'amplitude du aéplacement axial possible pour le sabot 7, en direction ∅1-∅2.
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Ce sabot est muni alun rostre lamelliforme 7c (figs 3 à 5), découpé par trois fentes parallèles 7d tormant autant de moyens ae préhension devant permettre à un usager de commander, par exemple du doigt, le coulissement au sabot d'une première position limite, ae retrait (fig. 3), dans une seconde position limite, saillante (fig. 4), aans laquelle le rostre 7c vient s'engager dans une fente réceptrice t2 que présente la paroi latérale de chaque logement Ll à L4 de l'ordinateur.
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Revenons à l'embase 1: comme on le voit plus particulièrement sur les figs 3 a 5, le pourtour extérieur de cette embase présente un profil en chevron sur ceux côtés adjacents, lc et ld, et un profil rainuré homologue sur ses deux autres côtés, le et 1t. En effet, tout ensemble El et E4 ne peut être introduit dans le logement correspondant, L1. à L4, de l'oràinateur que par coulissement aans le sens λ1, dans une rainure ℓ3, pour le côté lc, et sur une glissière ℓ4, pour le côté le de forme homologue, prévues sur les bords longitudinaux de chaque logement Ll à L4. C'est seulement au terme d'un tel engagement que l'usager peut verrouiller les ensembles El à E4 dans leurs logements respectifs Ll a L4 en déplaçant le rostre 7c de chaque ensemble considéré de la manière décrite ci-dessus (coulissement en direction Ø1-fig. 5). L'extraction de l'un ou be l'autre de ces ensembles s'effectuera en déplaçant le rostre en airec- tion Ø2 (fig. 5) , opposée à la première, et en commandant ensuite un déplacement de l'ensemble en airectionλ 2 (fig. 2).
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Aux fins précisément de permettre d'accéder commodément des doigts au rostre 7c de chaque ensemble, le caare 2 présente une découpure rectangulaire 2a, de largeur et de longueur correspondant pratiquement à la largeur et à la longueur du rostre 7c. Le couvercle 3 est également muni a'une découpure rectangulaire 3a, de aimen- sions correspondant à celles ae la aécoupure Za du cadre 2, ces aeux découpures étant positionnees de manière que, en position assemblée des eléments ae la structure représentée aux figs 3 a 5, elles soient situées exactement l'une au-dessus de l'autre, les bords de la découpure 2a embrassant le rostre 7c sur ses deux côtés longitudinaux.
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On remarquera encore que, aux fins d'obtenir au montage un centrage correct aes éléments 1, 2 et 3, indépendamment de l'action des vis d'assemblage dont il a été question précédemment, le cadre 2 est muni, sur sa face inférieure, d'une nervure périphérique 2b, venant s'emboiter sur le pourtour de l'ouverture supérieure 1g de 1'embase 1, et, sur sa face supérieure, a'une rainure 2c (figs 3 et 5) destinée à recevoir le bord recourbé 3b du couvercle 3. Cette nervure sert aussi a l'emboîtement d'un obturateur 3* destiné à recouvrir une batterie non représentée prenant place aans la portion de volume comprise entre le PC-board 4 (4c et 4a représentent des contacts positif et négatif auxquels se rattache la batterie), l'espace délimité par la portion du cadre 2 du coin droit supérieur de celui-ci (fig. 5) et par l'obturateur 3*. Cette batterie est en effet desti- nee à l'alimentation électrique ae "puces" électronigues portées par le PC-boara 4; elle est notamment nécessaire lorsque les puces sont aes RAM dont on veut conserver les informations mémorisées même une fois l'ensemble El à E4 correspondant éloigné de l'ordinateur. La fixation ce cet obturateur sur le couvercle 3 est effectuée par ces vis, non représentées, embrochant l'obturateur 3* au travers de passages 3*', le cadre 2 et le circuit 4 et se fixant dans l'embase 1 par engagement aans les trois ouvertures 1' situées, au dessin, aans la partie droite supérieure de cette embase.
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En se référant plus particulièrement aux figs 3 et 4, on voit que, sur sa face postérieure, le côté lc ae l'embase 1 se développe en torme de latte li, d'épaisseur correspondant à celle de la traverse 6 et présentant, sur sa face supérieure, une nervure li sur laquelle prend appui le rostre 7c du sabot 7. On remarquera encore que la face inférieure de la latte li s'étend à un niveau supérieur a celui du fona de l'embase 1 d'une valeur correspondant à la somme ces épaisseurs du peigne 5 et du circuit imprimé 4.
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plus aes éléments décrits, l'ensemble selon l'invention comporte en outre un barreau 8, de section circulaire, dont le diamètre, supérieur a l'épaisseur ce la traverse 6, correspond sensiblement a l'épaisseur de la latte li au niveau ae la nervure lj, et aont la longueur est identique, a la fois, a celle ce cette traverse, a celle du peigne 5 et a celle du sabot 7 tout en étant légèrement inférieure a la longueur ae la fenêtre rectangulaire lh que présente le tona de l'embase 1.
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Ce barreau est engagé librement dans une fente rectangulaire 9, de largeur légèrement supérieure à celle du diamètre du barreau 8 et qui est aélimitée, pour ses bords longitudinaux, par la tranche de la latte li et par le bord antérieur (au aessin-fig. 5) de la traverse 6 et, pour ses bords transversaux, par aes portions des côtés Id et If de l'embase.
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Comme on le voit avec plus de détails sur les figs 3 et 4, le sabot 7 est engagé, par sa partie postérieure, 7e, dans une fente a section rectangulaire, 10, dont les parois sont constituées par le cadre 2, par la masse de remplissage V et par une portion de la traverse 6 sur laquelle ce sabot repose par une première partie plane 7f de la semelle, jouxtant une seconde partie 7g, à profil incliné, aboutissant au rostre 7c du sabot. A signaler que l'épaisseur de ce sabot, dans sa partie engagée dans la fente 10, est légèrement inférieure a la largeur ce cette fente de sorte que le sabot peut être déplacé par coulissement, en direction Ø1, de sa position de retrait (fig. 3) aans sa position saillante (fig. 4) ou, en direction Ø2, contraire à la première, pour ramener le sabot aans la position de retrait. Ainsi que cela a été indiqué précédemment, la course maximum susceptible d'être effectuée par le sabot 7 au cours ae ces déplacements est fixée par contact mutuel des bossages la et lb avec les ouvertures oblongues 7a et 7b déjà citées.
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Dans l'ensemble modulaire selon l'invention, le barreau 8 est en contact, à la fois, avec le sabot 7, par une arête longitudinale, et avec le peigne 5, par une autre arête similaire, située en position diamétralement opposée à la première arête. Il convient, à ce point, de relever que ce peigne, qui est constitué, comme aé- crit, par une lame-ressort en acier inoxyaable, est fixé, par exemple par collage, sur la face supérieure ae la portion du PC-board 4 qui est pincée entre le fond de l'embase 1 et la traverse 6 ainsi que de celle faisant librement saillie dans un logement 11. (figs 3 et 4), à proximité du fond de celui-ci, logembent qui est délimite a la fois par l'embase 1 (notamment par la nervure li et par le fond de cette embase) et par la traverse 6.
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L'extrémité libre du peigne 5 est découpée par une série de dents 5c affaiblissant cette extrémité et lui donnant, de ce tait, une flexibilité accrue. L'écartement et la largeur ce ces cents 5c correspond en effet à l'écartement et à la largeur tant aes barres-bus apparaîssant sur le fond de chaque logement Ll à L4 de l'ordinateur (figs 2 et 6) que d'un nombre correspondant de pistes conductrices 12 dont est garnie la face inférieure au PC-board 4 (fig. 7), ces pistes s'étendant jusqu'à l'intérieur du volume V dans lequel sont disposées les puces de la carte électronique que forme l'ensemble E considere et faisant partie du circuit de couplage de ces puces.
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Dans leur portion destinée à être portée en contact avec les barres-bus ℓ, les pistes 12 sont revêtues de préférence d'une couche de contact a'un métal précieux, tel ae l'or. A titre d'exemple, on inaiquera que de telles pistes pourront présenter une largeur de l'ordre ce 8 dixièmes ae millimètre pour un écartement de l'orare de 4 dixièmes de millimètre. Elles pourraient, au besoin, même présenter ces dimensions ae valeur inférieure tout en étant assurés du maintien de leurs qualités intrinsèques pour une durée de vie particulièrement inportante. En effet, l'architecture générale de l'ensemble 5 décrit permet d'obtenir une mise en contact mutuel oes deux ensembles de pistes en présence (ℓ et 12) avec un frottement réciproque très doux et progressif dans son intensité et donc sans pro- ducticn de "scratch".
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Comme on le voit sur la fig. 3, lorsque le sabot 7 est situé dans sa position limite de retrait, ce sabot délimite, en coopération avec la nervure li de l'embase 1 et la traverse 6, un espace vice Va aans lequel s'ouvre la fente 9. La hauteur de cet espace Va, le diamètre du barreau 8 ainsi que l'épaisseur de la nervure li et de la traverse 6 sont avantageusement choisies telles que, dans la position ce retrait du sabot 7 (fig. 3), ce barreau peut pénetrer partiellement dans l'espace Va sous l'action de la lame élastique formant le peigne 5 de sorte que l'ensemble formé par ce peigne et par le PC-board 4 auquel il est collé occupe alors une position pratiquement horizontale, escamotée à l'intérieur de l'évidement 11.
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Si, par contre, on déplace le sabot 7 en direction Ø1, en vue de le conduire dans sa position extrême gauche, au aessin, la partie inclinée 7g de la semelle au sabot va venir en contact avec le barreau 8 et le repousser graduellement à l'intérieur de la fente 9, a rencontre de la lame élastique 5, en le faisant saillir dans l'évidement il. Comme le barreau 8 ne peut subir un tel déplacement qu'en faisant fléchir cette lame 5 et, partant, le PC-board 4 qui lui est associé, il s'ensuit que l'extrémité de ce PC-board va se rapprocher de plus en plus du fond du logement L dans lequel est engagé l'ensemble E considéré, sortir de l'évidement 11 et entrer ensuite en contact, peu a peu, par ses pistes conductrices 12 avec les pistes 1 affleurant le fond de ce logement L.
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En fin ae course au sabot 7, le PC-board occupe la position visible sur la fig. 4, dans laquelle ses propres pistes sont appliquées pratiquement sur toute la longueur des pistes ℓ citées, en exerçant une pression suffisante pour garantir un contact électrique partait. Il convient, à ce point de relever que, grâce au fait que le barreau 8 présente un profil cylindrique, le fléchissement sous l'action de ce barreau ae l'ensemble peigne 5 - PC-board 4 s'effectue ce façon particulièrement aouce, sans à-coup, le barreau étant susceptible de rouler sur lui-même, à l'intérieur de la fente 9, et sur la surface du peigne 5, contribuant ainsi à obtenir une mise en contact particulièrement douce des pistes conductrices au PC-board avec celles apparaissant sur le fond du logement L.
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Grâce à l'architecture proposée, l'ensemble selon l'invention peut être mis en place dans la rainure corresponaante sans aevoir exercer ae grands efforts; lors de cette insertion, les pistes conductrices qu'il comporte ne risquent pas d'être arrachées, celles-ci étant escamotées a l'intérieur du logement 11 de l'ensemble.