EP0052060A1

EP0052060A1 - Pistolet pour l'extrusion de produits pâteux stockés sous forme de cartouches standards

Info

Publication number: EP0052060A1
Application number: EP81420159A
Authority: EP
Inventors: Dominique Corso
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 1980-11-12
Filing date: 1981-10-29
Publication date: 1982-05-19
Also published as: DE3162442D1; ATE6405T1; EP0052060B1; FR2493891A1; FR2493891B1

Abstract

Le pistolet comprend un vérin à simple effet dont le piston (4) écrase le tube souple (2) dans lequel le produit passe à la sortie de la cartouche sous l'effet d'un flux de gaz comprimé provenant d'une vanne (8) dont la soupape (10) est actionnée par une gâchette (13). Le gaz comprimé arrive en permanence sous le piston (30) d'un cylindre (28) placé à l'arrière de l'armature (24) si le robinet à tiroir (22) est ouvert. La fermeture de son tiroir (34) provoque l'arrêt de l'arrivée du gaz et la mise à l'air libre de l'intérieur de cylindre (28).

Description

La présente invention concerne l'extrusion de tous les produits pâteux tels que les mastics d'étanchéité, les colles, graisses etc... stockés dans des cartouches standards.
Pour extraire les produits considérés de leur emballage on utilise généralement des pistolets mécaniques ou à air comprimé destinés à agir sur le fond mobile de la cartouche en vue de le déplacer axialement.
Lorsqu'on on a affaire à des pistolets mécaniques l'éjection du produit manque de précision. De plus son utilisation est difficile pour un professionnel qui doit utiliser un grand nombre de cartouches. En outre la pression sur la gâchette doit être beaucoup plus forte en hiver quand le produit est un peu figé. Après avoir stoppé la pression sur la gâchette, le mastic continue de sortir du fait de la pression qui règne dans la cartouche.
On utilise aussi des pistolets à air comprimé produit par un compresseur. Ce type de pistolet gaspille une grande quantité d'air du fait de son fonctionnement. En effet afin de neutraliser la pression exercée derrière le fond mobile de la cartouche et en vue d'arrêter net la sortie du produit il est nécessaire chaque fois qu'on relâche la gâchette d'effectuer une vidange de l'air à l'arrière du fond mobile de la cartouche. Ceci nécessite l'utilisation obligatoire d'un compresseur qui débite sans compter des milliers de litres d'air comprimé.
L'inconvénient majeur de ces pistolets est tout d'abord la présence indispensable d'un compresseur qui n'est pas toujours très facile à transporter notamment en étage et dont le fonctionnement est très bruyant. En outre l'arrêt de la sortie du produit pâteux n'est pas obtenu très nettement car la vidange de l'air sous le fond mobile de la cartouche n'est pas instantanée. D'une manière générale l'utilisation d'un pistolet à air comprimé est d'un prix de revient très élevé.
De tels pistolets sont décrits dans le brevet français 1.508.882 et dans la demande française 2.301.306.
Dans le premier document on montre que le débouché de la cartouche est associé à un tube souple sur l'extrémié duquel est monté l'injecteur destiné au déversement du produit pâteux. En déplaçant une gâchette on déforme mécaniquement le tube afin d'arrêter le déversement de la matière. Lorsque l'appareil doit être posé et qu'en conséquence la gâchette n'est plus actionnée il est nécessaire de couper l'arrivée d'air sous le fond mobile de la cartouche sinon le produit pâteux continue à se déverser. Cette opération entraîne bien entendu la vidange du volume situé sous le fond mobile de la cartouche sinon le produit pâteux continuerait à se déverser même après fermeture de l'arrivée d'air du fait de la pression régnant dans ce volume.
Dans le second document l'embout rigide avec lequel coopère la sortie de la cartouche est pourvu d'un simple robinet à boisseau qui ouvre ou ferme cet embout afin que la matière puisse ou non être éjectée. Un tel robinet ne nécessite pas la purge du volume situé en dessous du fond mobile de la cartouche mais sa manipulation du robinet entraîne d'une part l'obligation pour l'utilisateur de se servir de ses deux mains et peut d'autre part être contrecarrée en cas de polymérisation de la substance dans le robinet ; dans ce cas celui-ci peut se coincer en position ouverte ou fermée.
Les perfectionnements-qui font l'objet de la présente invention visent à remédier à ces inconvénients et à assurer la réalisation d'un pistolet à mastic n'utilisant qu'une très faible quantité de gaz ce qui permet de supprimer le compresseur qui est remplacé par une petite bouteille d'azote industrielle. En outre le pistolet suivant l'invention permet en manoeuvrant une simple gâchette de fermer ou d'ouvrir un embout souple faisant suite au débouché de la cartouche, cette action étant réalisée pneumatiquement.
Conformément à l'invention, le piston d'un vérin à simple effet est associé à l'embout souple qui fait suite au débouché de la cartouche pour l'écraser lorsque ledit vérin est alimenté par un flux de gaz comprimé dérivé de celui qui agit sur le fond mobile de la cartouche, ledit flux étant envoyé dans le vérin considéré dès que l'utilisateur lâche une gâchette, tandis que l'actionnement de celle-ci entraîne l'arrêt dudit flux et la libération de l'embout en vue de permettre l'expulsion du produit pâteux.
Le dessin annexé, donné à titre d'exemple, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et les avantages qu'elle est susceptible de procurer :

Fig. 1 est une vue en coupe d'un pistolet établi conformément à l'invention.
Fig. 2 est une vue par dessus de l'avant de ce pistolet.
Fig. 3 en est une coupe suivant A-A (fig. 2), montrant le vérin avant.
Fig. 4 est une vue semblable à celle de fig. 3 mais illustrant comment le vérin avant pince l'embout souple qui fait suite au débouché de la cartouche.
Fig. 5 est une vue en coupe de la partie arrière du pistolet suivant l'invention en position libre.
Fig. 6 est une vue semblable à celle de fig. 5 mais montrant la manière dont le fond de la cartouche coopère avec le dispositif de fig. 5.
Fig. 7 montre schématiquement le robinet à tiroir destiné à l'alimentation du vérin ouvert de fig. 5 et 6.
Fig. 8 et 9 en sont des coupes transversales qui illustrent le fonctionnement de ce robinet à tiroir.
Fig. 10 illustre en coupe la vanne d'alimentation du vérin montré en fig 2 à 4, cette vanne étant en position d'alimentation du vérin avant.
Fig. 11 est une vue semblable à celle de fig. 7 mais illustrant la vanne en position de fermeture de l'alimentation du vérin avant.

On a illustré en fig. 1 un dispositif suivant l'invention comportant une armature 24 associée à une poignée 15, ladite armature portant sur sa partie avant un bloc 1 tandis que sa partie arrière reçoit un vérin ouvert 28 .
Le bloc 1 qui est fixé à l'avant de l'armature 24 au moyen de deux vis 34, 35 (fig. 2) comprend un alésage longitudinal la dans lequel est engagé un tube souple 2 comportant une tête tubulaire 2a de plus grand diamètre qui prend appui sur la face interne du bloc 1 au moyen d'une collerette 2b. La tête 2a s'engage dans un lamage Ib du bloc 1. L'extrémité du tube 2 opposée à sa tête 2a dépasse hors du bloc 1 et peut recevoir une bague filetée 2c destinée par exemple à recevoir un embout de déversement non représenté.
Un autre alésage lc est ménagé dans le bloc 1 perpendiculaire ent à celui la. Cet alésage débouche sur la base du bloc 1 tandis que sa partie à plus faible diamètre aboutit dans l'alésage la. L'alésage lc reçoit un piston 4 dont la tête coopère avec la partie à grand diamètre de l'alésage lc, sa queue s'engageant dans la partie à plus faible diamètre dudit alésage. Un ressort de rappel 3 est prévu de manière qu'à l'état libre la queue du piston 4 ne se trouve pas en contact avec la périphérie du tube souple 2 (fig. 3). On remarque la présence d'un joint d'étanchéité 5 à la périphérie de la tête du piston 4 et d'un autre joint 6 disposé entre le bloc 1 et la partie avant de l'armature 24. Celle-ci comporte une perforation 24a qui aboutit sous le piston 4 par l'intermédiaire d'un canal 24b.
Comme illustré en fig. 3 le goulot d'une cartouche C s'engage à l'intérieur de la tête tubulaire 2a du tube souple 2, l'étanchéité entre la cartouche et ce tube étant faite par portée de l'épaulement de la cartouche contre la collerette 2b.
On a illustré en fig. 4 la position du piston 4 lorsque de l'air comprimé arrive dans la perforation 24 en provenant d'une vanne 8 fixée à l'armature 24 au niveau de sa poignée 15. On observe que le piston 4 se déplace vers le haut de manière que sa queue pince le tube souple 2 afin de le fermer de manière étanche comme on l'expliquera mieux plus loin.
La partie arrière de l'armature 24 supporte un vérin ouvert dont le cylindre 28 est assujetti à cette partie de l'armature par un talon 14 et une vis transversale 31. Le cylindre 28 est ouvert en direction du bloc 1 et on a engagé à l'intérieur de l'alésage de ce cylindre un piston 30 réalisé par exemple au moyen d'un élastomère. Le piston 30 comporte une lèvre périphérique 30a qui coopère de manière étanche avec l'alésage du cylindre 28. Ce piston 30 constitue butée pour un ressort 29 qui a tendance à repousser ledit piston vers l'extérieur du cylindre 28. Toutefois la course vers l'extérieur de ce piston est limitée par une vis 27 dont la tête 27a prend appui de manière étanche contre un épaulement 30b du centre du piston 30. Une rondelle d'étanchéité R peut d'ailleurs être associée à cet effet à la face de l'épaulement 30b en vis-à-vis de la tête 27a. On note la présence de deux trous longitudinaux30c, 30d faisant communiquer l'intérieur du cylindre 28 et l'extérieur de sorte que si le gaz comprimé arrive dans le cylindre 28 lorsqu'aucune cartouche n'est en place, il se produit une fuite qui empêche le retournement de la lèvre 30a.
L'air comprimé arrive dans le cylindre 28 par une perforation 24c de l'armature 24 reliée à l'intérieur du cylindre considéré par un robinet à tiroir 22 illustré en fig. 7. A cet effet l'armature 24 est pouvue d'une saignée transversale 24d dont le fond comporte un perçage 24e aboutissant dans la perforation 24c (fig. 6 et 8). Dans la saignée 24 est placée un tiroir plat 34 comportant deux butées extrêmes 34a, 34b qui limitent son déplacement axial, la distance entre ces deux butées étant supérieure à la longueur de la saignée 24d. A une position du tiroir 34 le trou 24e de l'armature 24 est en correspondance avec une ouverture 34c du tiroir qui vient elle-même en face d'un trou 28a ménagé dans le cylindre 28 (fig. 8) de telle sorte que le gaz comprimé arrivant par la perforation 24c pénètre sous le piston 30. Le dessus du tiroir 34 comportant une rainure longitudinale 34d. Lorsqu'on fait subir une translation à ce tiroir on amène l'une des extrémités de la rainure 34d en vis-à-vis du trou 28a de telle sorte que l'intérieur du cylindre 28 est mis en communication avec l'extérieur (fig. 9). Bien entendu des joints d'étanchéité 35, 36 sont placés de part et d'autre du tiroir 34 respectivement autour du débouché des trous 24e et 28a. Ainsi à la position de fig. 9 du tiroir 34 on vidange le cylindre 28.
Les perforations 24a et 24c sont alimentées en air comprimé à partir de la vanne 8 par l'intermédiaire de tuyaux 25, respectivement 21 (fig. 1). La vanne 8 qui est fixée au-dessous de l'armature 24 au moyen d'une vis 7 comporte trois canaux 8a, 8b, 8c (fig. 10) dans lesquels sont emmanchés respectivement les tuyaux 25 et 21 ainsi qu'un tube 19 dont l'extrémité libre constitue un embout auquel est branché l'alimentation en gaz comprimé. On observe que le canal 8c débouche dans celui 8b de manière que le tuyau 21 soit alimenté directement en gaz. Un alésage étagé borgne 8d est ménagé longitudinalement dans la vanne 8. On note que la partie à plus faible diamètre de l'alésage 8d est en communication avec le canal 8c, tandis que le canal 8a débouche dans la partie à plus grand diamètre dudit alésage. Dans celui-ci est engagé une soupape 10 réalisée sous la forme d'une aiguille comportant une collerette 10a. Cette soupape sort de la vanne 8 à travers un presse-étoupe 33 afin que son extrémité libre vienne coopérer avec une gâchette 13. Un ressort 18 repousse la soupape vers l'extérieur comme illustré en fig. 1, 10. et 11. La collerette 10a de la soupape 10 est placée sur la longueur de celle-ci de manière qu'en position sortie, c'est-à-dire lorsque la gâchette n'est pas actionnée, le débouché du canal 8a soit situé à l'arrière de cette collerette afin que le gaz pénétrant dans la vanne 8 par le tube 19 puisse s'écouler dans le canal 8a et le tuyau 25 en traversant la partie arrière de l'alésage 8d. On observe qu'un joint torique 11 est disposé entre la collerette et le presse-étoupe 33 afin qu'il n'y ait pas de fuite le long de la soupape lorsqu'elle traverse ledit presse-étoupe et qu'elle se trouve en posiiton avancée. De même un joint torique 12 est associé à l'épaulement constitué par les deux diamètres de l'alésage 8d comme on l'expliquera ci-dessous.
Lorsqu'on actionne la gâchette 13, c'est-à-dire qu'on la fait basculer autour de son axe 32 comme illustré en fig. 11, l'on enfonce la soupape 10 qui se déplace axialement à l'encontre de la réaction du ressort 18 de telle sorte que la collerette 10a de cette soupape vient prendre appui contre le joint 12. On coupe ainsi l'alimentation du tuyau 25 sans contrarier celle du tuyau 21. Le gaz contenu dans l'alésage lc du bloc 1 peut donc s'échapper entre l'alésage du presse-étoupe 33 et la soupape 10 du fait qu'il existe un jeu important entre ces deux éléments et que le joint 11 ne joue plus aucun rôle.
Lorsqu'on désire utiliser le dispositif suivant l'invention l'on prend une cartouche C renfermant du mastic ou autre produit pâteux, on applique sa base contre le piston 30 et l'on exerce sur celui-ci une force à l'encontre de la réaction du ressort 29 (fig.6) de manière à enfoncer ce piston dans le cylindre 28. On peut alors placer le goulot de la cartouche C à l'intérieur de la tête tubulaire 2a du tube 2 (fig. 3) puis on relâche la cartouche. Le ressort 28 applique le corps de celle-ci contre la collerette 2b du tube pour réaliser l'étanchéité entre ce dernier et l'épaulement de la cartouche. En supposant qu'un tuyau d'amenée de gaz comprimé soit branché à l'extrémité du tube 19, suivant la position du tiroir 34 l'air arrive ou non à l'intérieur du cylindre 28. Si ce tiroir est placé dans la position de fig. 8 le gaz arrive dans ledit cylindre, traverse l'espace annulaire compris entre la vis 27 et le trou central du piston 30 ainsi que les trous 30c et 30d pour venir sous le fond mobile de la cartouche en vue d'exercer sur lui une pression. De même le gaz arrivant par le tuyau 25 actionne le piston 4 dont l'extrémité pince le tube 2 de telle sorte que le produit pâteux ne peut pas sortir du tube. Si l'utilisateur appuie sur la gâchette 13 le piston 4 est rappelé vers le bas par le ressort 3 de telle sorte que le tube est libéré et que le produit sort du tube du fait de la pression de l'air sur le fond mobile de la cartouche C. Bien entendu le gaz qui vient d'agir sur le piston est chassé vers l'extérieur en passant dans l'espace annulaire entre le presse-étoupe 33 et la soupape 10.
On a ainsi réalisé un dispositif qui permet une économie substantielle d'air comprimé, de sorte qu'il peut être alimenté au moyen d'une bouteille de gaz, notamment lorsque l'alimentation en air comprimé est difficile, par exemple lorsque l'utilisateur se trouve sur le toit d'un édifice de grande hauteur.

Claims

1. Dispositif permettant d'extruder du mastic ou autre pâte contenu dans une cartouche (C), du genre comprenant un cylindre (28) dans lequel est envoyé de manière continue un gaz comprimé afin de faire déplacer le fond mobile de la cartouche dont le goulot débouche dans un tube souple (2) mécaniquement déformé au moyen d'une gâchette (13), caractérisé en ce que le piston (4) d'un vérin à simple effet est associé au tube (2) pour l'écraser lorsque ledit vérin est alimenté par un flux de gaz comprimé dérivé de celui qui agit sur le fond mobile de la cartouche (C), ledit flux étant renvoyé dans le vérin considéré dès que l'utilisateur lâche la gâchette (13), tandis que l'actionnement de celle-ci entraîne l'arrêt dudit flux et la libération dudit tube (2).

2. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que la gâchette (13) commande la soupape (10) d'une vanne (8) de dérivation du gaz comprimé vers un vérin à simple effet (lc - 4) ménagé dans un bloc (1) situé à l'avant du dispositif.

3. Dispositif suivant la revendication 2, caractérisé en ce que le bout de la queue du piston (4) du vérin écrase le tube 2 sous l'effet du gaz comprimé, tandis que lorsque celui-ci n'arrive plus, un ressort (3) ramène le piston (4) en libérant ledit tube tandis que le gaz venant d'agir sur ce piston s'échappe en traversant la vanne de dérivation (8) en passant entre la soupape (10) et son presse-étoupe (33).

4. Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'arrivée du gaz comprimé sous le piston de la cartouche s'effectue par l'intermédiaire d'un vérin ouvert (28-30) dont le piston (30) est chargé par un ressort (29) afin qu'il agisse sur la base de la cartouche (C) pour maintenir son goulot contre une collerette 2b du tube (2) tout en assurant l'arrivée d'air sous le fond mobile de cette cartouche.

5. Dispositif suivant la revendication 4, caractérisé en ce que le goulot de la cartouche (C) s'engage dans une tête tubulaire (2a) de la tête (2) qui prend appui contre le fond d'un lamage (lb) du bloc (1) dudit dispositif.

6. Dispositif suivant la revendication 4, caractérisé en ce que le piston (30) du vérin ouvert comporte une lèvre périphérique (30a) et un alésage central traversé avec jeu par une vis (27) dont la tête qui limite la course vers l'extérieur dudit piston (30) ferme de manière étanche ledit alésage lorsqu'il n'y a pas de cartouche dans le dispositif et qu'il est alimenté en gaz tandis que des trous (30c, 30d) traversent le piston (30) afin que si le gaz comprimé arrive dans le cylindre (28) celui-ci n'est pas mis sous pression.

7. Dispositif suivant l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'un robinet à tiroir (22) est prévu sur le tuyau (21) d'amenée du gaz dans le vérin ouvert.

8. Dispositif suivant la revendication 7, caractérisé en ce que le changement de cartouche s'effectue en décompressant le gaz à l'arrière de la cartouche par action sur le tiroir (34) du robinet (22) et en déplaçant légèrement la cartouche vers l'arrière en vue de dégager sa sortie de l'embout (2).

9. Dipsositif suivant la revendication 7, caractérisé en ce que le tiroir (34) du robinet (22) comporte une position dans laquelle l'intérieur du cylindre (28) est en communication avec l'atmosphère.