CH96556A - Dispositif de démarrage de moteur à courant continu. - Google Patents

Dispositif de démarrage de moteur à courant continu.

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  Dispositif de démarrage de moteur à courant continu.    La présente invention se rapporte à un  dispositif de démarrage de moteur à courant  continu. Ce dispositif est caractérisé en ce  qu'il comprend, d'une part, un induit à col  lecteur et, d'autre part, des balais frottant  sur ce collecteur, ces organes étant animés  d'un mouvement de rotation relatif, l'induit  ayant son circuit     magnétique    fermé par une  couronne de fer feuilleté et étant intercalé  dans le circuit du moteur à mettre en marche.  



  Le dessin ci-annexé représente, à titre  d'exemple, des formes d'exécution de l'objet  de l'invention.  



  Considérons un induit de dynamo à cou  rant continu dont le circuit magnétique est  fermé par une couronne de fer feuilleté, cette  couronne pouvant soit être entraînée par  l'induit, soit rester immobile quand cet induit  tourne. (Dans le cas d'un anneau genre  Gramme, le circuit magnétique peut être  fermé par exemple par des bras diamétraux.  Si on envoie un courant continu à travers  cet induit et si, en même temps, on le fait  tourner rapidement, on observe que ce dis  positif se comporte comme une résistance    dont la valeur augmente avec la vitesse.

    Autrement dit, ce dispositif placé en série  avec un récepteur quelconque dans un circuit  à courant continu peut servir à limiter le  courant à travers ce récepteur; un voltmètre  branché en dérivation aux bornes d'un pareil  induit indique une tension qui croît d'abord  à peu près linéairement avec la vitesse et  qui finit par équilibrer sensiblement la ten  sion du réseau sitôt qu'une certaine vitesse  est atteinte. C'est ce     qu'indique    la courbe  de la     fig.    1. Nous appellerons cet. appareil  un "démarreur     inductif(E.     



       Démarrage   <I>simple.</I> Pour réaliser le dé  marrage simple d'un moteur, on commence  par lancer le "démarreur inductif" à une  certaine vitesse, de façon qu'il soit susceptible  d'opposer au passage du courant une résis  tance considérable, puis on l'introduit dans  le circuit du moteur qu'il s'agit de faire  démarrer (ou bien, le démarreur inductif et  le moteur étant couplés en série dans le cir  cuit, on ne lance le courant dans le moteur  qu'il s'agit de faire démarrer, que lorsque le  démarreur     inductif,    tourne à une certaine      vitesse). Ensuite on ralentit progressivement  le démarreur inductif de façon à faire dimi  nuer la résistance qu'il oppose; le courant  augmente alors à travers le moteur qui dé  marre.

   Enfin, quand le démarrage est terminé,  on élimine le démarreur inductif du circuit,  de sorte que le moteur se trouve alimenté  directement sous la tension de la ligne.  



  La     fig.    2 est un schéma permettant de  réaliser ce démarrage d'une faon simple. On  emploie dans ce but un contrôleur composé de  deux cylindres Ci et     Cz    montés sur le même  axe (et pouvant éventuellement être réunis  en un seul). Au cran 1, le     courant    venant  de la ligne     Ls    est appliqué à un petit mo  teur auxiliaire m, à travers quelques éléments  de résistance     rh.,    de façon à produire le dé  marrage de ce petit moteur auxiliaire qui  sert à entraîner le     "démarreur    inductif".

   Les  résistances     rh    se trouvant progressivement  éliminées au     fuir    et mesure     que    l'on tourne  le contrôleur, et au cran 3, le petit moteur  se trouve couplé directement entre la ligne       L2    et la terre Ta ; il-tourne donc à une vi  tesse maxima ainsi que le démarreur in  ductif d. Si celui-ci vient à être inséré dans  le circuit     In    Ti il y produira     l'effet    d'une ré  sistance élevée. On peut donc coupler le  moteur M sans danger, c'est ce qui est fait  au cran 4: le courant passe de la ligne Li  à travers     M,    puis à travers<I>d</I> et retourne à  la terre Ti.

   Au cran 5, le circuit du moteur  auxiliaire     m    se trouve fermé sur     rh.,    ce petit  moteur travaille alors en générateur sur<I>rit,</I>  donc il est freiné et il ralentit, ainsi que d;  la résistance opposée par d au passage du  courant diminue peu à peu ce qui fait dé  marrer<I>M.</I> Quand<I>d</I> est complètement arrêté,  il se trouve mis hors circuit au cran 6.  



  Pour comprendre tous les avantages du  procédé, il convient de remarquer que:  1  Le moteur     m    sert seulement à vaincre  les frottements et l'inertie de d pendant la  période du lancement, il est donc peu volu  mineux et n'absorbe que peu de courant,  donc son rhéostat     rla    se réduit à peu de  chose et ne consomme que très peu d'énergie,  et pendant peu de temps.    2  Le démarreur d n'est en circuit que  pendant un temps très court, donc ses  enroulements peuvent supporter une densité  de courant très élevée. Par suite le volume  et la masse de d se réduisent à peu de chose,  ce qui se     répercute    sur la force du moteur ni.  



  3  Le démarrage est absolument progressif  et sans-à-coup. En choisissant convenablement  la valeur de     rh,    on peut faire ralentir<I>d</I> plus  ou moins rapidement, donc faire démarrer  le moteur principal     M    avec une accélération  plus ou moins élevée.  



  4" Ce démarrage s'effectue sans perte  d'énergie appréciable, sans     échauffement.     



  5  La     manaeuvre    à effectuer se réduit à  la rotation d'un tambour portant un petit  nombre de crans.  



  Pour favoriser la commutation, comme la  self-induction des sections mises en     court-          circuit    par les balais produirait des étincelles,  ont peut employer des connexions résistantes  entre l'induit et le collecteur comme dans  les moteurs monophasés; on peut aussi em  ployer deux ou plusieurs enroulements en  parallèle     (fig.    3) et se servir de balais spé  ciaux présentant une grande résistance trans  versale et composés de lamelles d'inégales  résistances pi et     _p2;    les plus résistantes se  tournant de préférence à l'extérieur (ou en  core des lamelles de même résistance     s6pa-          rées    par une couche d'une substance médio  crement conductrice).

   De cette façon, le courant  de court-circuit dans une section de l'induit  se trouve à peu près     étouffé.     



       Coupda,,ge   <I>série</I>     parallèle.    Le couplage     "sé-          rie        parallèle"    peut également     s'effectuer    par  une méthode analogue consistant à lancer un  démarreur inductif à grande vitesse et à  l'intercaler dans le circuit des moteurs cou  plés en série, puis à l'éliminer quand le dé  marrage sur la position "série" est terminé;  ces opérations sont ensuite répétées avec les  moteurs couplés en parallèle.  



  La     fig.    4 représente un schéma permettant       d'effectuer    le couplage "série parallèle" sans  interrompre le courant, ni l'effort de traction  en réalisant une combinaison analogue à celle      connue des techniciens sous le nom de com  binaison du     "pont".    On emploie dans ce but  deux démarreurs inductifs di et     d2    (ou mieux  un seul démarreur inductif muni d'un double  enroulement et de deux collecteurs).  



  Il est facile de suivre les opérations sur  la figure  Entre le cran 0 et le cran 1, le moteur  auxiliaire in, solidaire de dl et de     d2,    est  mis en route par le courant de la prise de  ligne     Ls    qui passe d'abord par le rhéostat     rh,     puis directement. Au cran 1, les moteurs  principaux     Mi    et     M2    se trouvent couplés en  série entre la ligne Li et la terre     T2    avec  interposition des démarreurs inductifs di et     d2     qui, étant en pleine vitesse, limitent le cou  rant. Entre 1 et 2, le moteur auxiliaire an se  trouve freiné (son circuit étant fermé sur     rh)     puis arrêté.

   Le courant du circuit principal  augmente alors dans Ml et     .1V12    qui démarrent.  Au cran 2, di et     d2    sont éliminés et les mo  teurs principaux sont couplés directement en  série entre la ligne Li et la terre     Tz.    Entre  2 et 3, il ne se produit aucun changement  dans le circuit des moteurs principaux     1111     et M<I>2,</I> mais le moteur auxiliaire     in    et avec  lui les démarreurs di et     d2    sont de nouveau  relancés. Entre 3 et 4, le moteur auxiliaire  m, di et     d2,    se trouvent en pleine vitesse,  donc di et     d2    sont de nouveau susceptibles  de créer un obstacle au passage du courant.

    Au cran 4, un premier circuit principal est  établi comprenant la ligne Li, le moteur  principal Mi, le démarreur inductif di et la  terre Ti; de même, un deuxième circuit prin  cipal est établi comprenant la ligne     L2,    le  démarreur     d2,    le moteur     T12    et la terre     T2;     les deux moteurs Mi et 312 se trouvent donc  en parallèle, les- démarreurs restant en pleine  vitesse; donc avec tout leur     effet    de self.

   Au  cran 5, le courant est coupé dans le petit  moteur auxiliaire<I>in,</I> puis     entre    5 et 6, ce  petit moteur se trouve de nouveau sur son  rhéostat     rh,    il s'arrête donc, de sorte que les  démarreurs di et     d2    qui s'arrêtent aussi,  cessent de s'opposer au passage du courant  et que les moteurs principaux     1v11    et     11T2    se  trouvent chacun directement sous la tension    de la ligne. Au cran 6, di et     d2    sont éli  minés.  



  Il est à remarquer que au cran 4, où  l'on passe de     "série"    à     "parallèle"    il n'y a  pas interruption de courant, parce que les  bandes conductrices du cylindre correspondant  à la position     "série"    sont prolongées un peu  au delà de la ligne 4, 4' et que celles qui  correspondent à la position     "parallèle"    com  mencent un peu avant cette ligne 4, 4'.  



  Il est bien entendu que des variantes  peuvent être apportées à ces dispositifs, tant  pour le démarrage simple que pour la "série  parallèle" sans changer l'objet de l'invention:  par exemple, les moteurs auxiliaires peuvent  être alimentés par un circuit local au lieu  de recevoir le courant de la ligne<B>;</B> la fer  meture et l'ouverture des circuits peuvent  être réalisées par des contacteurs commandés  par des contrôleurs auxiliaires     ete.     



       Réglage   <I>de vitesse.</I> Les démarreurs induc  tifs peuvent remplacer les résistances em  ployées pour shunter les inducteurs des  moteurs. En agissant. sur la vitesse du  petit moteur auxiliaire qui les entraîne, on  fait varier leur résistance apparente, ce qui  permet d'obtenir toute une gamme de vitesses  pour les moteurs de traction. Comme la ten  sion aux bornes des inducteurs est toujours  faible à côté de la tension totale et que ces  appareils ne dérivent qu'une partie du cou  rant, les dimensions des appareils employés  peuvent encore être très réduites. On peut  employer les mêmes que pour le démarrage  et les contrôleurs précédemment décrits peu  vent être munis de quelques touches sup  plémentaires dans ce but, sans qu'il soit  besoin d'y apporter de sérieuses modifi  cations.  



  <I>Récupération.</I> Un dispositif connu pour la  récupération dans les descentes consiste à exciter  les inducteurs des moteurs de traction par  une petite dynamo. On peut évidemment  intercaler un des appareils précédemment dé  crits dans le circuit des inducteurs des mo  teurs de traction, ou encore dans le circuit  des inducteurs de la dynamo qui sert à les      exciter, pour régler la récupération, -Mais le  problème le plus délicat est celui de la ré  cupération au moment de l'arrêt d'un véhi  cule. Les démarreurs inductifs se prêtent  parfaitement à la solution de ce problème.

    Considérons, par exemple     (fig.    5), un véhicule  à quatre moteurs, les induits de ces     moteurs          h        ra        -1s    14 sont couplés en série entre la  ligne<I>L</I> et la terre<I>T,</I> tandis que leurs in  ducteurs     Fi        E#,        E3        E4    sont excités par une  petite dynamo a (supposée entraînée par un  moteur à vitesse constante non représenté).  L'inducteur e de cette dynamo est alimenté  par une batterie b avec interposition d'un  des démarreurs inductifs d.

   Cet appareil est  en liaison synchrone avec une des roues du  véhicule R (cette liaison synchrone peut être  réalisée au moyen d'engrenages, ou par un  procédé absolument quelconque). Le dispositif  est agencé de façon que d travaille dans la  première partie de sa courbe caractéristique       (fig.    1), c'est-à-dire de telle sorte que sa ré  sistance apparente soit proportionnelle à sa  vitesse.

   Dans ce cas, au début de la période  du freinage en récupération, la vitesse du  véhicule étant encore élevée d tourne rapi  dement, de sorte que l'excitation de a est  assez faible, puisque d oppose une résistance  élevée au courant de la batterie b qui ali  mente les inducteurs e de la     dynamo    a, par  suite les moteurs de traction fonctionnant en  générateurs sont peu excités, et bien qu'ils  soient couplés en tension, la tension totale  à leurs bornes peut être aussi voisine que  l'on veut de la tension du réseau. Au fur et  à mesure que le train ralentit, les moteurs  de traction fonctionnant en générateurs ra  lentissent et la tension qu'ils développent  baisserait si leur excitation n'augmentait pas  automatiquement.

   Cette augmentation d'exci  tation est justement produite par la diminu  tion de vitesse de d, qui en tournant de  moins en moins vite oppose une résistance  de moins en moins grande au courant qui  traverse l'inducteur e de l'excitatrice a. En  d'autres termes, la tension de l'excitatrice a  augmente au fur et à mesure que le véhicule  ralentit, ce qui maintient constante la tension    développée par les moteurs de traction tra  vaillant en générateurs pendant une grande  partie de la période d'arrêt. Quand la vitesse  est tombée à une certaine valeur, on coupe  le courant dans le circuit principal:  Au lieu d'introduire l'appareil d produi  sant la chute de tension inductive dans le  circuit d'excitation de l'excitatrice, on peut  évidemment l'insérer dans le circuit des in  ducteurs des moteurs de traction.  



  Enfin pour réaliser toutes les opérations  décrites précédemment: démarrage, couplage,       "série-parallèle",        shuntage    des inducteurs,  récupération, au lieu d'employer un appareil  ayant des enroulements tournants et des  balais fixes, on peut se servir d'un appareil  ayant des enroulements fixes et des balais  tournants     (fig.    6).

   Dans ce cas, les balais  tournants<B>fi</B><I>fi' f 2</I>     f2'    sont reliés à des  bagues tournantes     ti    et 12 auxquelles le cou  rant est amené par d'autres balais fixes     gi     et     g2.    Comme l'inertie du système est très  faible, chaque fois qu'il s'agit de le ralentir  pour     effectuer    un démarrage, au lieu de faire  travailler le moteur auxiliaire en générateur  sur une résistance comme précédemment, on  alimente ce moteur auxiliaire à potentiel dé  croissant par introduction progressive de ré  sistances.

   En tous cas, les courbes caracté  ristiques de l'appareil (variation de résistance  apparente en fonction de la vitesse) sont  absolument les mêmes, et il n'y a rien de  changé quant au principe de l'invention.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Dispositif de démarrage de moteur à cou rant continu, caractérisé en ce qu'il comprend, d'une part, un induit à collecteur et, d'autre part, des balais frottant sur ce collecteur, ces organes étant animés d'un mouvement de rotation relatif, l'induit ayant son circuit magnétique fermé par une couronne de fer feuilleté et étant intercalé dans le circuit du moteur à mettre en marche. SOUS-REVENDICATIONS 1 Dispositif selon la revendication, caractérisé en ce que l'induit est immobile, tandis que les balais tournent, 2 Dispositif selon la revendication, caractérisé en ce que l'induit tourne, tandis que les balais sont immobiles.
    3 .Dispositif selon la sous-revendication 2, ca ractérisé en ce que l'induit en tournant en traîne avec lui la couronne susmentionnée. 4 Dispositif selon la sous- revendication 2, ca ractérisé en ce que l'induit tourne sans en traîner la couronne susmentionnée. 5 Dispositif selon la revendication, caractérisé par un appareil permettant d'insérer dans le circuit du moteur l'induit susmentionné puis de le freiner et de l'éliminer de ce circuit.
CH96556D 1920-04-01 1921-03-30 Dispositif de démarrage de moteur à courant continu. CH96556A (fr)

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