CH93617A - Echappement à ancre. - Google Patents

Echappement à ancre.

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CH93617A
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Tavannes Watch Co S A
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Tavannes Watch Co Sa
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    • G04BMECHANICALLY-DRIVEN CLOCKS OR WATCHES; MECHANICAL PARTS OF CLOCKS OR WATCHES IN GENERAL; TIME PIECES USING THE POSITION OF THE SUN, MOON OR STARS
    • G04B15/00Escapements
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Description


      Echappement    à     ancre.       Les     écliappenients    à ancre habituels ont       leurs        levées        inégales    et cette inégalité porte,  en général, sur deux point, la longueur des  plans     d'impulsion    et la valeur de     l'angle    a  compris entre ces plans et les plans de repos.

    Par exemple dans     l'écbappeinent    à repos  équidistants représenté sur la     planche    V de       "L'Horlogerie"    de     Grossinann,        tome    1, il est  visible: 1  que le plan d'impulsion de     la,     levée d'entrée est moins long que celui de  la levée de sortie;     2     que l'angle u entre le  plan d'impulsion et le     plan    de repos est plis  petit pour la     levée        d'entrée    que pour la levée  de sortie ;

   celle-ci est ainsi plus pointue et       conséquemment    plus fragile que la     premiére.     D'autre part, la nécessité d'avoir deux sortes  de levées complique le garnissage des ancres  et amène des erreurs, ce     qui,    dans la fabri  cation en série,     entraîne    la perte de l'ancre.  



  L'objet de la présente invention vise à       remédier    aux défauts précités et consiste en  un échappement à ancre caractérisé en ce  que les plans     d'inil>ulsion    des deux levées  sont pratiquement égaux ainsi que les angles  que font ces plans avec les     plaies    de repos,  dans le but que chaque levée     puise    être    prise     indifféremment    comme levée d'entrée  ou levée de sortie.  



  Cherchons tout d'abord les raisons géo  métriques des inégalités mentionnées plus       liant.     



       Différence   <I>de</I>     lor@gue- r   <I>des</I>     plans        d'irnl)aelsioa.          Nous    nous reportons à la     fig.    1 qui repro  duit un     échappement    à repos équidistants et  à levées inégales, les dimensions de ces  levées ainsi que des dents de la roue     d'échap-          pement    out été exagérées, pour la commodité  de la     démonstration    ; en outre, on a fait  abstraction des chutes que les imperfections  de la construction     rendent    nécessaires, mais  que l'on peut négliger dans un échappement  théorique ;

   la suite montrera d'ailleurs la  légitimité de cette omission.  



  Pour comparer facilement la construction  des deux     levées    et trouver la cause géomé  trique de la     différence    de longueur des plans  d'impulsion, nous allons par l'imagination  faire exécuter à la levée d'entrée     li    (supposée  dans la position d'échappement, position pour  laquelle la dent quitte la levée) et     à,    la dent       ai-Bi    une rotation d'angle     î    autour du  centre     C    de la roue d'échappement.

   Nous      supposons, en outre, que l'échappement est  tel que, pour     chaque    levée, à la position       d'F_chappement,    le plan d'impulsion de     celle-          ci    se trouve dans le prolongement du plan  d'impulsion de la dent. Cette condition est  remplie dans la plupart des échappements à  ancre.

   Lors de la rotation     sus-indiquée,    le  point de repos     Ri    vient en     R.    et le centre  de rotation de la levée d'entrée (centre qui  est celui Ci de l'ancre, choisi comme d'habi  tude sur la bissectrice de l'angle     j-    à l'inter  section des     tangentes    en Ri et     R.)    viendra  en     0s.    Construisons alors de Ci la levée de  sortie     1s    et de     C.    la levée d'entrée     li    en  donnant:

       1     l'angle     i3    de levée de l'ancre  (14 2      l'angle    de tirage (15  ) ;     3     l'angle  Ri. C     A..    que     parcourt    une dent, de la posi  tion de     repos    à la position d'échappement.  Pour     construire    la levée de sortie     d.,    nous  décrivons de Ci comme centre     titi    arc de  cercle passant par le point     Pi-R.    et sous  tendant un angle au centre de 14 ; ceci  donne le point position du point de  repos de la levée de sortie lorsque celle-ci  est elle-même dans la position d'échappement.

    De ce point,     ort    mène la perpendiculaire au  rayon     r'i    puis reporte l'angle de tirage de  15 ", ce qui donne le plan de repos ; le point       E.    se trouve sur celui-ci et     sui,        titi    rayon     i-"i     formant un angle de I  avec le rayon     r'i,     si l'angle de repos pour cette levée est  choisi = 1 .

   En joignant     E2    avec     @.,    on  obtient la ligne sur laquelle se trouvent le  plan d'impulsion de la levée     D:.>-E:,    et celui  de la dent     A::-E..    Pour construire la levée  d'entrée     li,    nous décrivons, de     C.    comme  centre, un arc de cercle passant par le point       Ri-R.    et     sous-tendant    Lui angle au centre  de 14   ; ceci donne le point     P',    ;

   on     construit     comme précédemment le plan de repos pas  sant par ce point et on le prolonge     jusqu.à     ce qu'il rencontre la droite     A;.>-B.;    le point  <B>Et</B> obtenu est l'extrémité du plan d'impul  sion de<B>11 ;</B> en     effet,    lorsque l'on a fait tour  ner de     7-    autour de C la levée     li    et la dent       Ai-Bi,    celle-ci est venue coïncider avec       A.-B.;

      le     plaie    d'impulsion de la levée  d'entrée, lorsque celle-ci est dans la position    d'échappement, doit donc être dans le pro  longement de     .1.-,-B2-          La    raison géométrique de la     différence     de longueur de et     A@-Ei,    ressort  immédiatement de la     fig.    1.

   Les cieux arcs  de cercle, de 140 chacun, tracés avec Ci et       C.    comme centres sont     tangents    en  à partir de ce     point,    ils vont donc en s'écar  tant l'un de l'autre et leurs extrémités  sont à une certaine distance l'une  de l'autre ; du fait qu'il y a deux points       R'2-R'i    résulte l'existence des deux points       El-E-2-    Si ces deux arcs après s'être coupés  en     Ri-P.    se     rejoignaient    à leur autre extré  mité,     orc        n'aurait        qu'un    seul point R';

   après  avoir tracé un seul et même plan de repos  passant par ce point pour les deux levées  (cri faisant abstraction de ce que les angles  de tirage ne sont pas les     mêmes    pour les  deux     levées),    on prolongerait ce plan jus  qu'au     rayon        ?"i;    le point obtenu représente  rait alors, pour les deux levées, l'extrémité  du plan     d'impulsion    ; en le joignant au point  on obtiendrait le plan     d'impulsion    de la  levée et de la dent.

   La     qucstion    qui se pose  est donc celle-ci : Est-il possible de trouver  deux centres     Ci-C ,    tels que les deux ai-es  de 14   tracés à partir de ces     centres    et pas  sant par     Ri-R2,    se rejoignent à leurs extré  mités     :'    Il faut, en outre, que Ci reste sur si  et     C.    sur     s:,,    et que ces deux points se trou  vent toujours sur une même circonférence de  centre C, ceci pour que, lorsque l'on aura  replacé la levée d'entrée dans sa position  normale, par une rotation en sens inverse de  la précédente, le point     C.    vienne en Ci ;

    cette dernière condition peut se traduire: les  deux centres     Ci-C,    cherchés doivent être  symétriques par rapport à     q.    Dès lors, i1 est  facile de trouver Ci ; on reporte l'angle  <B>u</B>  avec     Ri-R#2    comme sommet à partir de la  tangente en ce point, et au-dessus de cette  tangente ; l'intersection de la droite ainsi  obtenue avec si donne le point cherché. La       fig.:3    permet de se rendre compte de l'exac  titude de la construction : l'angle     i3    y est  encore supposé de 14'.

             Nous    avons supposé jusqu'à maintenant  que le centre de rotation de l'ancre était sur  la bissectrice     i    et avons déterminé sa posi  tion sur cette droite pour que les deux levées  aient des plans d'impulsion égaux. La ques  tion se pose maintenant de savoir s'il se  trouverait sur un autre rayon,     @    X, passant  par C et faisant un angle     d    avec     si,    un point  qui, pris comme centre de rotation de l'ancre.       permettrait    de construire des levées à plans  d'impulsion     identiques.    La     fig.    3 montre qu'il  n'en est rien.

   Dans cette figure, on a de  nouveau donné à la levée d'entrée une rota  tion     ï    autour de C et il faut de nouveau  chercher deux points     Ci-C=    tels que deux  arcs de     i3     tracés à     partir    de ces centres et       passant    par     Ri-R2    se     rejoignent    à leur  extrémité.

   Pour la     même    raison que précé  demment, Ci doit rester sur     s,    et     C2    sur  en outre, Ci et     C#,,    doivent se trouver sur  une     niéme    circonférence de centre C; de  cette     dernière    condition résulte que Ci et     C=     doivent se trouver sur une droite     faisant     l'angle ô avec la direction perpendiculaire      < r        ..     II en résulte que le second point d'intersection  des arcs cherchés, s'il existe, doit se trouver  sur la droite passant par     Ri-R2    et faisant  avec s l'angle ô.

   Il est facile de trouver sur  x un point Ci centre d'un arc de     R     et  passant par     Ri-R2;    ce sera, par exemple,  l'arc     Ri-R'i;    mais l'arc de cercle de centre       C2    passant par     Ri-R--s    et par     R'i    rie mesu  rera pas     h3 ,    parce que, du fait de l'existence  de l'angle     d,    le point     Cs,    n'est pas le     sy    mé  trique de Ci par rapport à la droite     Ri-R'i,     tandis     que    c'était le cas dans la     fig.    1.  



  En résumé, pour que les levées d'un  échappement à ancre du genre spécifié au  commencement du     cinquième    alinéa de cette  description aient des plans     d'impulsion    égaux,  il faut que le centre de rotation de l'ancre  soit choisi à l'intersection des deux droites       suivantes    :     1     la bissectrice de l'angle dont  le sommet est le centre de la roue. d'échap  pement et dont les     côtés    passent par les  points de repos ; 2  la droite tracée au-des  sus de la tangente à     l'uni    des points de  repos, de façon à passer par ce point et à    faire avec cette tangente un angle égal à la  moitié de l'angle de levée de l'ancre.

   C'est  là la condition théorique, mais on peut se  rendre compte     sur    la     fig.    2 que si l'on prend  comme     centre    un point     C',    peu éloigné du  centre théorique Ci, les deux     plans-d'impul-          sion    ne     différeront    que d'une quantité très  faible qui, lorsque l'ancre sera réduite à ses       dimensions    réelle., tombera au-dessous des  tolérances admises dans la mécanique de  précision ; dans ce cas encore, les deux plans  d'impulsion restent pratiquement égaux.  



  L'existence des chutes rie modifie pas la  théorie précédente.     L'introduction    des chutes  en     fig.    1 ne fera que rapprocher les points       pli    et     A2    des points     Pi,-R3;    pour une roue  de 15 dents et un angle de chute par exem  ple de 1 , l'angle Ri<B><I>C A,</I></B> ou     11#3    C     _12,    qui  aurait été de 12  , deviendra un angle de<B>Il'</B>  seulement.  



  En     fig.1,    nous avons posé l'angle de  repos de la levée de sortie = 1 ; la suite  de la construction a montré que     l'angle    de  repos de la levée d'entrée se     trouvait    déter  miné par le fait que les plans     d'impulsion     de cette levée et de la dent sont dans le       prolongement    l'un de l'autre, à la position  d'échappement et était plus grand que<B>10;</B>  par     conséquent,    dans les échappements à  levées     inégales    du genre     sus-indiqué,    les  angles de repos sont passablement inégaux.

         Par    contre, dans un échappement de ce genre       oii    les plans     d'impulsion    des levées ont même  longueur, les angles de repos sont presque  rigoureusement égaux (pour qu'ils le fussent  théoriquement, il faudrait que, dans la posi  tion d'échappement, le plan de repos coïn  cidât avec le rayon     .,    voir     fig.    2) ; c'est là  un     avantage        mécanique    de cette sorte d'échap  pement, car ce fait contribue à égaliser les       résistances    au dégagement opposées par Pan  cre art balancier, à droite et à gauche de la  ligne des centres.  



       Irtc@gztlitc%        des   <I>angles a</I>     forrrtc#pa-r        les        plans          d'irrtpzzlsiora   <I>et (le repos.</I>  



  La     fig.        -I    montre que cette inégalité pro  vient de ce que l'on choisit d'habitude     égaux.         les angles     e    que font, dans la position de  repos, les plans de repos p ou pi avec les  rayons     C    Ri,     C    R2 passant par le centre de  la roue et les points de repos; pour que cette  inégalité disparaisse, il suffit que l'angles  de la levée de sortie dépasse de deux     a3    celui  de la levée d'entrée     (13        =    angle levée de  l'ancre).  



  En     effet,    supposons que la levée d'entrée  passe de la position d'échappement à celle  de repos ; elle décrit un angle     13    de droite à  gauche autour de Ci. Nous supposons les  deux levées égales de façon que leurs plans  de repos font le même angle     d    dans la posi  tion d'échappement avec le rayon C Ri,       resp.    C     R2.    Il s'ensuit que l'angle     es    de la  levée d'entrée est     d-13.    Par contre, la levée  de sortie, lorsqu'elle passe de la position  d'échappement à celle de repos, décrit le  même angle<I>13,</I> mais de gauche à droite;

   il  en résulte que l'angle     s    de cette levée est  â     -j--        a3.    Réciproquement, si l'angle e de la  levée de sortie dépasse de deux     ,Q    l'autre  angle     e,    les angles     d    seront égaux et consé  quemment les angles     (@    des plans d'impulsion  et de repos le seront aussi.  



  On choisit d'habitude les angles     e    égaux,  afin que le couple résistant que la roue  d'échappement, en appuyant sur l'un des  plans de repos de l'ancre, oppose au balan  cier, lorsque celui-ci veut libérer l'ancre, soit  le même pour les deux plans de repos.

   C'est  ce que montre la     fig.5;    dans celle-ci est  représenté un échappement à levées inégales       Ct   <I>p</I> et un échappement à levées égales Ci       pi   <I>;</I>     h    et pi sont les plans de repos,     Ct    et  Ci les centres de rotation des ancres,     F     représentent les forces que la roue d'échap  pement exerce sur les plans de repos, forces  perpendiculaires à ces plans et     hi        h2    sont  les perpendiculaires abaissées des centres  des ancres sur ces forces.

   Dans l'échappe  ment à levées inégales, les angles     e    sont  égaux et le centre     ût    est à l'intersection des  tangentes aux points de repos, les perpendi  culaires     hi    et     h2    sont donc égales, conséquem  ment les deux couples résistants     F        hi    et       F        h2    le sont     r        ussi.    Dans l'échappement à    levées égales, au contraire, lai et     h2    sont  différents et les deux couples résistants le  sont aussi ;

   c'est là un désavantage de cet  échappement, désavantage qu'il n'est pas  possible, théoriquement, de supprimer, En  effet, la position du centre Ci de l'ancre sur  la droite si dépend de l'angle     ,p        (fig.    1 et 2)  et la position des plans de repos, des angles  <I>ô et</I>     13        (fig.    4); on peut donc se demander  si ces angles ô et     ,P    pourraient être choisis  de     facon    que les perpendiculaires     hi    et     ha     deviennent égales ; la     fig.    6 montre que la  chose n'est pas possible.  



  Dans cette figure, Ri A et     R2    A repré  sentent les directions suivant lesquelles s'exer  cent les deux forces     F.    Du triangle A Ri     R2,     on tire que l'angle en A = 180          - 2     ;-      2     ,3,    c'est-à-dire que cet angle est indépendant  de ô ; en faisant varier ce dernier, le point  A se déplace donc sur un cercle de centre Ii.

    Pour que     lai   <I>=</I>     h2,    il faudrait que le centre  Ci se trouvât sur la bissectrice b de l'angle  <I>V = 2 Y</I>     -(-   <I>2</I>     (,    laquelle fait avec A Ri  l'angle     7-        +        i3;

      l'angle au centre correspon  dant à l'arc Ri X (X, point d'intersection  de la bissectrice avec le cercle de centre     Ii)     est donc<I>?</I><B>î-</B>     +   <I>2</I>     i3.    Or, l'angle au centre       correspondant    à l'arc<I>Ri L R</I>     #,   <I>= 2</I> (180     <I>2 r - 2</I>     a3),    puisque l'angle inscrit Ri<B><I>A</I></B>     R2     a pour valeur:

       180l'-2y   <B>-</B>     2p-    par  suite,     l'-angle    au centre correspondant à l'arc  <I>Ri</I>     In        R2    360<B>0</B> -<B>360'</B>     --E-    4     2,        +   <I>413 =</I>  <I>4 r</I>     +   <I>4</I>     13    et la moitié de cet angle, à  savoir l'angle au centre formé par le rayon  K Ri et la droite     K        Ct   <I>Ci = 2 r</I>     -(-        213   <I>;

  </I>  donc, le point X est à l'intersection du cer  cle de centre     K    et de ladite droite et comme  le raisonnement peut être recommencé pour  toutes les positions du point A sur le cercle  de centre     K,    toutes les bissectrices des  angles V correspondant à ces différentes  positions passeront donc par ce point X.

         Montrons    enfin que ce point X est toujours  plus haut sur la droite     K        Ct   <I>Ci</I> que le point  Ci lui-même; en effet, l'angle Ri<I>X</I>     h   <I>a</I>  pour mesure<B>90'</B> tandis que l'angle  Ri Ci     K    a pour mesure 90   -     i@    - et      est,     pal-        conséquent,    plus grand que le pre  mier.

   En résumé, le point C,     lie    pouvant       .jamais    être sur la     bissectrice        d@lui    angle<B>17,</B>  les deux perpendiculaires<I>Ira</I> et      <  < _        lie    pourront       jamais    être     égales.     



       Pratiquement,    ce défaut pourra être cor  rigé : on a vu, en     effet,    que le centre Ci de  l'ancre pouvait être déplacé     légèrement    sans  que     pratiquement    les plans d'impulsion ces  sent d'être     égaux.    On     aura    soin     d'effectuer     ce déplacement de façon que Ci     vieillie    sur     1)     ou, tout     ail    moins, s'en     rapproche    le plus       lïosxi        ble.     



  La     fig.        i    du dessin     ei-anilex('#,        repr('sente,     titre d'exemple,     liai        échappement.    à     ancre     conforme à l'invention et construit     eli    se       basant    sur les considérations     précédentes.     



  Les deux levées<B>Il</B> et 12 sont pratique  ment identiques. Ci est le point que l'on  choisit     d'Habitude    comme centre de rotation  de     l'ancre,    à     l'intersection        des    tangentes     ti     et     t:

      aux points de repos     Ri   <I>et</I>     l,=.        C2    est  le centre de     rotation    théorique de     l'échappe-          nient        -i    levées identiques, obtenu,     conformé-          nient    il ce     quia    été expliqué ci-dessus, par  l'intersection de la droite ta avec la bissec  trice (le l'angle     Ri    C     R=.   <B><I>Ci</I></B> est le centre       réellement    choisi.

   II est trop peu éloigné (le  pour qu'il en résulte une différence per-         eeptible    dans la longueur des deux plans       d'impulsion.        cependant,    il est assez     rapproché     de la     bissectrice        h    pour     que    les     deux    couples       résistants    (le la roue     lie    soient pas trop dix-

Claims (1)

  1. REVENDICATION: I\Miappenierit -'l ancre, caractérisé en ce que les plans d'impulsion des deux levées sont. pratiquement ('ganx ainsi que les angles que font ces plaies avec les plans de repos, dans le but (lue chaque levée puisse être prise indifféremment comme levée d'entrée ou levée de sortie.
    #SOUS-REVENDICATION Eehappenient i( ancre selon la revendica- tion, caractérisé en ce que le centre de rotation de i'aiiere est situé au moins approxi- mativement au point de rencontre (les deux droites suivantes:
    1 la bissectrice de l'angle (l'insertion, 21, la droite menée par l'un des points de repos et faisant avec la tangente, en ce point, :l la roue d'écliappeinent un angle égal il la moitié de l'angle de levée de l'aiiere.
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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1892589A1 (fr) * 2006-08-23 2008-02-27 Patek, Philippe SA Echappement à ancre suisse
EP1914605A1 (fr) * 2006-10-19 2008-04-23 Patek, Philippe SA Echappement à ancre

Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP1892589A1 (fr) * 2006-08-23 2008-02-27 Patek, Philippe SA Echappement à ancre suisse
EP1914605A1 (fr) * 2006-10-19 2008-04-23 Patek, Philippe SA Echappement à ancre

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