CH709423A2 - Dispositif de remontage par la couronne pour pièce d'horlogerie. - Google Patents

Abstract

L’invention est relative à un dispositif de remontage (1) par la couronne d’une pièce d’horlogerie, ledit dispositif comprenant: un corps (10) présentant au moins deux logements (110, 112) à l’intérieur desquels sont respectivement agencés un moteur (11) une batterie (12) rechargeable, et un circuit électronique de commande (16), des moyens d’entraînement (14) de la couronne disposés à l’une des extrémités du corps (10) du dispositif (1) et reliés audit moteur (11), destinés à entraîner la couronne de ladite montre en rotation. Selon l’invention, le dispositif (1) comprend un ressort (15) placé entre ladite batterie (12) ledit moteur (11) pour permettre audit moteur (11) de coulisser dans son logement (110) avec lesdits moyens d’entraînement (14), ledit moteur (11) étant configuré pour coulisser entre au moins deux positions dont: une position de repos dans laquelle ledit moteur (11) n’est pas alimenté, et une position de fonctionnement dans laquelle ledit moteur (11) est alimenté de manière à enclencher la rotation desdits moyens d’entrainement (14) lorsque lesdits moyens d’entraînement (14) sont engagés et pressés sur la couronne de ladite montre.

Description

[0001] La présente invention se rapporte au domaine de l’horlogerie. Elle concerne plus précisément un dispositif de remontage d’un ressort de barillet d’une pièce d’horlogerie par l’intermédiaire de la couronne, et plus particulièrement d’une montre à remontage manuel.

[0002] Généralement, de tels dispositifs permettent d’entraîner en rotation une couronne de remontoir sans contact direct de l’utilisateur avec celle-ci dans le but d’armer le ressort de barillet d’un mouvement d’horlogerie équipant la montre.

[0003] Le document DE 20 2013 005 715 divulgue un dispositif de remontage ou armage par la couronne d’un ressort de barillet, comprenant un corps cylindrique à l’intérieur duquel sont disposés de façon alignée, un moteur électrique, un circuit électronique de commande ainsi qu’une batterie d’alimentation de ces derniers. Un embout en caoutchouc présentant une cavité débouchant vers l’extérieur est disposé à l’une des extrémités du corps et permet de recevoir tout type de couronne, l’embout étant solidaire de l’arbre de sortie du moteur électrique. L’enclenchement et le déclenchement du moteur est réalisé par un interrupteur classique de type switch ou à bouton poussoir ménagé sur le corps.

[0004] Le document DE 20 2010 004 668 décrit également un dispositif d’armage d’un ressort de barillet présentant un corps cylindrique à l’intérieur duquel sont disposés un moteur électrique, un engrenage réducteur et une batterie d’alimentation du moteur. Le dispositif présente également un embout creux souple solidaire de l’arbre de sortie du moteur électrique et prévu pour recevoir la couronne de la montre ainsi qu’un interrupteur commandant l’enclenchement du moteur.

[0005] Le document US 2005/0 000 323 décrit également un tel dispositif d’armage dont embout creux est interchangeable pour s’adapter à diverses formes de couronnes, ce dispositif comprenant en outre un limiteur de couple.

[0006] Un inconvénient des dispositifs cités précédemment est qu’ils nécessitent tous l’actionnement manuel d’un interrupteur après avoir inséré la couronne de la montre dans la cavité de l’embout.

[0007] Encore un autre inconvénient de tels dispositifs est qu’ils présentent une mise en œuvre peu aisée pour l’opérateur manipulant le dispositif.

[0008] La présente invention a pour but principal de remédier à ces multiples inconvénients, en proposant un dispositif d’armage d’un ressort de barillet d’une pièce d’horlogerie, qui soit universel, facile d’utilisation et économique à fabriquer.

[0009] Plus précisément, l’invention a pour objet de fournir un dispositif de remontage qui ne nécessite pas l’actionnement manuel d’un interrupteur par l’utilisateur.

[0010] Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaîtront plus clairement par la suite, sont atteints selon l’invention à l’aide d’un dispositif de remontage par la couronne d’un ressort de barillet d’une pièce d’horlogerie, le dispositif comprenant: <tb>–<SEP>un corps à l’intérieur duquel sont respectivement agencés un moteur, un circuit électronique de commande du moteur et un dispositif d’alimentation du circuit et du moteur <tb>–<SEP>des moyens d’entraînement de la couronne disposés à l’une des extrémités du corps du dispositif et solidaires d’un arbre de sortie du moteur, destinés à entraîner en rotation la couronne de la pièce d’horlogerie, <tb>le dispositif de remontage étant caractérisé en ce qu’il comprend un ressort placé entre la batterie et le moteur pour permettre au moteur de coulisser avec les moyens d’entraînement dans le corps du dispositif, le moteur étant agencé dans le corps pour coulisser dans au moins deux positions dont: <tb>–<SEP>une position de repos dans laquelle le moteur n’est pas alimenté, et <tb>–<SEP>une position de fonctionnement dans laquelle le moteur est alimenté de manière à enclencher la rotation des moyens d’entrainement lorsque les moyens d’entraînement sont engagés et pressés sur la couronne de la montre.

[0011] Selon des caractéristiques optionnelles de l’invention, prises seules ou en combinaison: le moteur présente une troisième position dans laquelle le moteur n’est pas alimenté lorsque la pression exercée sur les moyens d’entraînement est supérieure à un seuil prédéterminé, le dispositif comprend un interrupteur coopérant avec un circuit électronique, dit circuit moteur, ouvrant ou fermant l’interrupteur de façon à alimenter ou couper l’alimentation du moteur, le circuit électronique de commande comprend des moyens limiteurs de couple et/ou des moyens compteurs de tours, les moyens limiteurs de couple et/ou les moyens compte tours sont couplés à des moyens d’affichage du couple et/ou du nombre de tours, les moyens d’entraînement comprennent un embout creux destiné à recevoir la couronne, l’embout creux est réalisé en un matériau élastomère, l’embout creux est relié aux moyens d’entrainement de manière amovible, le dispositif comprend une batterie rechargeable et des moyens de recharge de la batterie, la batterie, le moteur, le ressort, les moyens d’entraînement et l’embout sont alignés selon un même axe traversant le corps du dispositif selon sa longueur.

[0012] Ainsi, l’objet de la présente invention, par ses différents aspects fonctionnels et structurels décrits ci-dessus, permet d’assurer un remontage fiable et simple d’une montre à remontage manuelle ou automatique.

[0013] D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre de simple exemple illustratif et non limitatif, et des figures annexées, parmi lesquelles: <tb>la fig. 1<SEP>est une vue en perspective du dispositif de remontage conforme à l’invention; <tb>la fig. 2<SEP>est une vue en perspective ouverte du dispositif de remontage conforme à l’invention; <tb>les fig. 3a à 3b<SEP>sont respectivement des vues de côté d’un dispositif de remontage conforme à l’invention dans la position de repos, dans la position de fonctionnement, et dans la position d’arrêt, une partie du corps du dispositif ayant été retirée.

[0014] Un exemple de réalisation d’un dispositif de remontage d’un ressort de barillet d’un mouvement d’une pièce d’horlogerie par l’intermédiaire de la couronne, désigné par la référence générale 1 va maintenant être décrit dans ce qui suit faisant référence conjointement aux fig. 1 , 2 et 3a à 3c .

[0015] Comme précédemment évoqué, le principe général de l’invention repose sur la mise en œuvre d’un dispositif 1 de remontage portable permettant de remonter le ressort d’un barillet via la couronne C d’une montre à remontage manuelle ou automatique, représentée schématiquement à la fig. 1 .

[0016] Dans cet exemple, le dispositif 1 est composé d’un corps 10 présentant au moins deux logements 110 et 112 destinés à recevoir respectivement un moteur 11 électrique à courant continu, un dispositif d’alimentation, en l’occurrence une batterie 12 qui peut être rechargeable ou non, ainsi qu’un circuit électronique 16 de commande disposé à l’une des extrémités du corps 10. Le dispositif d’alimentation est agencé pour alimenter le circuit électronique de commande ainsi que le moteur électrique 11. Dans une variante, la batterie pourrait être remplacée par une entrée d’alimentation reliée au secteur par un cordon de raccordement électrique via un convertisseur de courant alternatif en courant continu intégré ou non au dispositif de remontage.

[0017] Comme on peut l’observer sur les fig. 1 et 2 , le corps 10 est de forme générale cylindrique et peut s’ouvrir en deux parties ou demi-coques 10a, 10b suivant la longueur du dispositif 1, les deux parties reliées entre elles par exemple au moyen de vis (non représentées). Alternativement les deux demi-coques formant le corps 10 peuvent être articulées l’une sur l’autre pour faciliter le changement de pièces composant le dispositif.

[0018] Le corps 10 peut être réalisé dans un matériau plastique, voire dans un matériau métallique. On comprendra ici que d’autres matériaux auraient pu être envisagés par l’homme du métier dans le cadre de la présente invention.

[0019] Dans cet exemple, le dispositif 1 comprend également des moyens d’entraînement 19 de la couronne disposés à l’autre extrémité libre du corps 10 du dispositif 1, à savoir l’extrémité opposée à celle recevant le circuit électronique 16 de commande. Les moyens d’entraînement 19 sont solidaires de l’arbre de sortie du moteur 11 et sont destinés à entraîner en rotation la couronne de la montre.

[0020] Avantageusement, le circuit électronique 16 de commande peut présenter des moyens de recharge 13 de la batterie 12, tels qu’un port USB ou micro-USB. Un affichage lumineux, comme une DEL (diode électroluminescente) par exemple, permet d’indiquer l’état de charge de la batterie 12.

[0021] Selon l’invention, le dispositif 1 comprend un ressort 15 positionné entre la batterie 12 et le moteur 11 pour permettre au moteur 11 de coulisser dans son logement 110, avec les moyens d’entraînement 19, le moteur 11 et le logement 110 étant configurés pour que le moteur puisse être guidé et coulissé selon l’axe longitudinal du corps entre au moins deux positions. Avantageusement, le corps 1 peut présenter un logement de forme cylindrique destiné à recevoir le ressort 15, et disposé entre les logements 110 et 112 du moteur 11 et de la batterie 12.

[0022] Comme on peut l’observer sur les figures, la batterie 12, le moteur 11, le ressort 15, les moyens d’entraînement 19 et l’embout creux 14 sont alignés selon un même axe traversant le corps 10 du dispositif 1 selon sa longueur. Une telle disposition des éléments constitutifs du dispositif 1 permet d’obtenir un dispositif compact et facilement manipulable.

[0023] Selon l’exemple illustré, le dispositif comprend un interrupteur 18 disposé au sein du corps 1 du dispositif 10 et coopérant avec un deuxième circuit électronique, dit circuit moteur 17, assujetti au moteur et coulissant avec le moteur 11.

[0024] Le circuit moteur 17 comprend un contact 17a d’interrupteur coopérant avec une lame de contact 18a formant un interrupteur 18, qui peut être ouvert et/ou fermé de façon à alimenter et/ou couper ledit moteur 11.

[0025] Comme on peut l’observer sur la fig. 2 , la lame 18a de l’interrupteur 18 s’étend le long du logement 112 de la batterie et du logement 110 du moteur 11, l’une des extrémités de la lame 18a étant à proximité immédiate du contact 17a du circuit moteur 17, et l’autre extrémité étant en contact avec l’un des pôles, positif ou négatif, de la batterie 12 au niveau du circuit électronique 16 de commande.

[0026] Selon l’invention, le moteur 11 et les moyens d’entraînement 19 peuvent coulisser d’une position dite de repos, visible à la fig. 3a , dans laquelle l’interrupteur 18 est ouvert (contact 17a éloigné de la lame 18a) et le moteur 11 n’est pas alimenté, vers une position dite de fonctionnement, visible à la fig. 2b, dans laquelle l’interrupteur 18 est fermé (contact 17a en contact avec la lame 18a) et le moteur 11 est alimenté.

[0027] Le passage de la position de repos vers la position de fonctionnement est obtenu en pressant les moyens d’entraînement 19 contre la couronne de la montre de manière à déplacer le moteur 11 et contraindre le ressort 15 pour que le contact 17a du circuit moteur 17 entre en contact avec la lame 18a de l’interrupteur 18 et que le moteur 11 soit alimenté pour enclencher la rotation des moyens d’entrainement 19.

[0028] Selon un mode de réalisation particulier de l’invention visible à la fig. 3c , le moteur 11 présente une troisième position dans laquelle le moteur 11 n’est pas alimenté lorsque la pression exercée sur les moyens d’entraînement 19 dépasse un seuil prédéterminé. Un tel cas de figure peut par exemple se présenter lorsque l’utilisateur exerce une pression trop importante sur la couronne.

[0029] Tel qu’illustré aux fig. 1 et 2 , les moyens d’entraînement 19 comprennent un embout creux 14 destiné à coopérer avec la couronne, l’embout creux 14 présentant une cavité 140 pour réceptionner la couronne de la montre.

[0030] Avantageusement, l’embout creux 14 peut être réalisé en un matériau élastomère présentant un coefficient de frottement suffisamment élevé pour entraîner en rotation la couronne de la montre lorsque le moteur 11 est en position de fonctionnement ou comportant une forme adaptée à la couronne.

[0031] Selon un mode de réalisation de l’invention, l’embout creux 14 peut être relié aux moyens d’entrainement 19 de manière amovible de façon à pouvoir monter différents embouts sur le dispositif 1 et ainsi s’adapter à tout type de couronne, notamment aux différents diamètres existants.

[0032] Dans cet exemple, le circuit électronique 16 de commande comprend des moyens limiteurs de couple et/ou des moyens compteurs de tours afin d’éviter de forcer sur la couronne de la montre lorsque le ressort du barillet est remonté. Typiquement les valeurs limites de couple sont comprises entre 10 mNm et 50 mNm Ces valeurs sont de préférence réglables et seront ajustées par le constructeur ou le fabricant en fonction du type de montre à remonter.

[0033] Avantageusement, les moyens limiteurs de couple et/ou lesdits moyens compte tours peuvent être associés à des moyens d’affichage tel qu’un écran LCD affichant les différentes informations liées au couple de remontage et/ou au nombre de tours.

[0034] Le dispositif de remontage 1 selon l’invention fonctionne comme suit. L’utilisateur saisit le dispositif 1 de remontage dans une main et une pièce d’horlogerie, telle qu’une montre manuelle, dans l’autre main. L’utilisateur positionne alors la couronne de la pièce d’horlogerie au niveau de l’embout creux 14 de sorte que la couronne vienne se loger dans la cavité 140. Le moteur 11 est alors en position de repos comme illustré à la fig. 3a .

[0035] L’utilisateur presse ensuite le dispositif 1, et en particulier l’embout creux 14, en direction de la couronne de la montre de manière que le moteur 11 passe en positon de fonctionnement comme illustré à la fig. 3b . Lorsque l’utilisateur presse l’embout creux 14 du dispositif 1 contre la couronne de la montre, cela a pour effet de déplacer les moyens d’entraînement 19 et le moteur 11 et de contraindre le ressort 15 jusqu’à ce que le contact 17a du circuit moteur 17 vienne en contact avec la lame 18a fermant ainsi l’interrupteur 18. Le moteur 11 est alors alimenté par la batterie 12 et enclenche la rotation de l’embout creux 14.

[0036] L’utilisateur peut alors maintenir le moteur 11 en position de fonctionnement jusqu’à ce que la couronne ait effectué le nombre de tours nécessaires au remontage complet du barillet de la montre. Une fois ce nombre de tours atteint, le système électronique détecte soit que le couple maximum prédéfini est atteint (puisque la couronne est bloquée car le ressort est remonté complètement) soit que le nombre de tours correspond à un nombre de tours prédéfini, et coupe l’entrainement du moteur qui se déclenche. L’utilisateur relâche alors la pression exercée contre la couronne de manière que le ressort 15 repousse le moteur 11 dans sa position de repos et ainsi coupe l’alimentation en rompant le contact entre le contact 17a du circuit moteur 17 et la lame 18a de l’interrupteur 18.

[0037] Grâce à ces différents aspects de l’invention, on dispose d’un dispositif 1 de remontage aisé à manipuler et à utiliser pour un utilisateur, et dont il n’est pas nécessaire de manipuler un interrupteur pour l’actionner.

[0038] Naturellement, d’autres modes de réalisation auraient pu être envisagés par l’homme du métier sans pour autant sortir du cadre de l’invention définie par les revendications ci-après.

NOMENCLATURE

[0039] <tb>1.<SEP>Dispositif de remontage, <tb>10.<SEP>Corps du dispositif, <tb>11.<SEP>Moteur électrique, <tb>110.<SEP>Logement du moteur, <tb>12.<SEP>Batterie, <tb>112.<SEP>Logement de la batterie, <tb>13.<SEP>Moyens de recharge, <tb>14.<SEP>Embout creux, <tb>140.<SEP>Cavité de l’embout creux, <tb>15.<SEP>Ressort, <tb>16.<SEP>Circuit électronique de commande, <tb>17.<SEP>Circuit moteur, <tb>17a<SEP>Contact du circuit moteur <tb>18.<SEP>Interrupteur, <tb>18a<SEP>Lame d’interrupteur <tb>19.<SEP>Moyens d’entraînement.

Claims (10)

1. Dispositif (1) de remontage par la couronne d’un ressort de barillet d’une pièce d’horlogerie, le dispositif comprenant: – un corps (10) présentant un logement (110, 112) à l’intérieur duquel sont respectivement agencés un moteur (11), un circuit électronique (16) de commande du moteur et un dispositif d’alimentation (12) du circuit (16) et du moteur (11 ) – des moyens d’entraînement (19) de la couronne disposés à l’une des extrémités du corps (10) du dispositif (1 ) et solidaire d’un arbre de sortie du moteur (11), destinés à entraîner en rotation la couronne de la pièce d’horlogerie, caractérisé en ce qu’il comprend un ressort (15) placé entre la batterie (12) et le moteur (11) pour permettre au moteur (11) de coulisser dans avec les moyens d’entraînement dans le corps (10) du dispositif (1), le moteur (11) étant agencé dans le corps pour coulisser dans au moins deux positions dont: – une position de repos dans laquelle le moteur (11) n’est pas alimenté, et – une position de fonctionnement dans laquelle le moteur (11) est alimenté de manière à enclencher la rotation des moyens d’entrainement (19) lorsque les moyens d’entraînement (19) sont engagés et pressés sur la couronne de la pièce d’horlogerie.

2. Dispositif (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que le moteur (11) présente une troisième position dans laquelle le moteur (11) n’est pas alimenté lorsque la pression exercée sur les moyens d’entraînement (19) est supérieure à un seuil prédéterminé.

3. Dispositif (1) selon la revendication 1 ou 2 caractérisé en ce qu’il comprend un interrupteur (18) coopérant avec un circuit électronique, le circuit moteur (17), ouvrant ou fermant l’interrupteur (18) de façon à alimenter ou couper le moteur (11 ).

4. Dispositif (1) selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que !e circuit électronique (16) de commande comprend des moyens limiteurs de couple et/ou des moyens compteurs de tours.

5. Dispositif (1) selon la revendication 4, caractérisé en ce que les moyens limiteurs de couple et/ou les moyens compte tours sont couplés à des moyens d’affichage du couple et/ou du nombre de tours.

6. Dispositif (1) selon l’une des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que les moyens d’entraînement (19) comprennent un embout creux (14) destiné à recevoir la couronne.

7. Dispositif (1) selon la revendication 6, caractérisé en ce que l’embout creux (14) est réalisé en un matériau élastomère.

8. Dispositif (1) selon la revendication 6 ou 7, caractérisé en ce que l’embout creux (14) est relié aux moyens d’entraînement (19) de manière amovible.

9. Dispositif (1) selon l’une des revendications 1 à 8 caractérisé en ce que le dispositif d’alimentation (12) comprend une batterie rechargeable et en ce qu’il comprend des moyens de recharge (13) de la batterie.

10. Dispositif selon l’une des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que dispositif d’alimentation (12), le moteur (11), le ressort (15), les moyens d’entraînement (19) et l’embout creux (14) sont alignés selon un même axe traversant le corps (10) du dispositif (1 ) selon sa longueur.