CH701806A2 - Fermoir de bracelet de montre. - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un fermoir de bracelet comportant une première boucle déployant (10) reliée à une coiffe (16) sous laquelle la première boucle déployant se replie, des premiers organes de commande (22) et de verrouillage (20) agencés sur la coiffe de manière à coopérer avec la première boucle déployant. Le fermoir selon l’invention comporte encore une deuxième boucle déployant (12) reliée à la coiffe par un système coulissant (26) sur lequel elle est articulée. Selon l’invention, le système coulissant comporte en outre un deuxième organe de verrouillage capable de coopérer avec la coiffe pour maintenir la position du système coulissant en référence à la coiffe, un deuxième organe de commande pour agir sur le deuxième organe de verrouillage, ledit deuxième organe de commande étant actionnable dans un plan parallèle à celui de la coiffe et n’étant accessible que lorsque la première boucle déployant est dépliée.

Description

Domaine technique

[0001] La présente invention concerne un fermoir de bracelet comportant une première boucle déployant dont une première extrémité est destinée à être reliée à un brin du bracelet et dont une deuxième extrémité est reliée à une coiffe sous laquelle la première boucle déployant se replie. Des premiers organes de commande et de verrouillage sont agencés sur la coiffe de manière à coopérer avec la première boucle déployant pour la maintenir repliée sous la coiffe ou permettre de la déplier après un actionnement manuel des premiers organes de commande. Le fermoir comporte encore une deuxième boucle déployant avec une première lame dont une première extrémité est destinée à être reliée à un brin du bracelet et dont une deuxième extrémité est articulée avec une deuxième lame, la deuxième lame étant reliée à la coiffe par un système coulissant sur lequel la deuxième lame est articulée. Le système coulissant est agencé pour coulisser selon un axe longitudinal du fermoir, entre deux positions extrêmes.

Etat de la technique

[0002] On a déjà proposé des fermoirs dont la longueur peut être réglée dans la direction longitudinale du bracelet, dans le but d’adapter au mieux le bracelet au contour du poignet de son porteur.

[0003] Le document CH667 979 décrit un fermoir comportant deux ensembles articulés sur une lame cintrée et fixés respectivement aux premier et second brins du bracelet. L’un des ensembles est attaché à une lame centrale au moyen d’une articulation coulissante pour permettre le réglage de la longueur du bracelet. L’ensemble mobile en translation comporte un crochet de verrouillage solidaire d’un poussoir. Ce crochet vient s’encastrer dans l’une des ouvertures ménagées dans la lame centrale.

[0004] L’un des principaux inconvénients d’un tel système est que la longueur réglée est maintenue lorsque le fermoir est verrouillé, mais est perdue dès que le fermoir est ouvert. Il est donc nécessaire de procéder à un nouveau réglage à chaque utilisation.

[0005] La présente invention a pour but de proposer un fermoir extensible gardant la discrétion du système proposé par le document CH667 979, c’est-à-dire dans lequel le système de réglage de la longueur est invisible de l’extérieur, tout en remédiant aux inconvénients que le système de l’état de la technique propose.

Divulgation de l’invention

[0006] De manière plus précise, l’invention porte sur un fermoir tel que mentionné au premier paragraphe de cette demande, caractérisé en ce que ledit système coulissant comporte en outre: - un deuxième organe de verrouillage capable de coopérer avec la coiffe, - un deuxième organe de commande pour agir sur le deuxième organe de verrouillage, ledit deuxième organe de commande étant actionnable dans un plan parallèle à celui de la coiffe et n’étant accessible que lorsque la première boucle déployant est dépliée.

Brève description des dessins

[0007] D’autres caractéristiques de la présente invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description qui va suivre, faite en référence au dessin annexé, dans lequel: <tb>- la fig. 1<sep>est une vue en perspective d’un fermoir selon l’invention, <tb>- les fig. 2 et 3<sep>montrent spécifiquement le poussoir mis en œuvre dans l’invention, respectivement en perspective et en transparence, <tb>- la fig. 4<sep>est une vue agrandie d’une partie du fermoir, montrée en transparence, et <tb>- les fig. 5, 6 et 7<sep>montrent des vues en coupe longitudinale, respectivement en positions pliée, déployée et de plongée.

[0008] On notera que, par souci de simplification, le bracelet n’a pas été représenté sur les figures. Mode(s) de réalisation de l’invention

[0009] Le fermoir selon l’invention comprend une première 10 et une deuxième 12 boucles déployants, la première étant dotée de premiers moyens de verrouillage conventionnels. L’exemple illustré propose une possibilité parmi d’autres pour réaliser cette première boucle.

[0010] Ainsi, sur les dessins, la première boucle déployant 10 comprend une première lame 10a destinée à être reliée au bracelet par sa première extrémité. Cette lame 10a est de type diapason et présente deux branches qui définissent une ouverture 10b entre elles. Les parois des branches présentent des échancrures 10c dont le rôle apparaîtra plus loin. La première lame 10a est articulée par sa deuxième extrémité avec la première extrémité d’une deuxième lame 10d, dimensionnée pour prendre place dans l’ouverture 10b lorsque la première boucle est pliée.

[0011] La deuxième lame 10d est reliée, par sa deuxième extrémité, à une coiffe 16. Cette dernière est formée d’une plaque qui définit un plan général. Les bords de la plaque orientés selon la direction longitudinale du fermoir, sont chacun munis d’un rebord 18. Ces derniers forment, avec le fond de la plaque, un logement à l’intérieur duquel prennent place des premiers organes de verrouillages 20, agencés de manière à coopérer avec les échancrures 10c de la première lame 10a pour maintenir la première boucle déployant 10 dans une position repliée. Deux boutons poussoirs 22 disposés en vis-à-vis l’un de l’autre traversent les rebords de la coiffe et sont accessibles depuis l’extérieur du fermoir. Ces boutons poussoirs 22 forment des premiers organes de commandes agencés pour agir sur les premiers organes de verrouillage 20, de manière à ce que ceux-ci se trouvent libérés de leur coopération avec les échancrures, ce qui permet l’ouverture de la première boucle déployant 10.

[0012] La première boucle déployant 10 et les premiers organes de commande et de verrouillage 20 peuvent être de type quelconque et sont bien connus de l’homme du métier. On ne les décrira donc pas davantage. Néanmoins, pour la suite de la description, on précisera que les organes de commande et de verrouillage sont agencés dans un compartiment 24 positionné dans le logement de la coiffe 16. Comme on peut le voir sur la figure 5, ce compartiment définit un espace de hauteur h. En position repliée, la première lame n’interfère pas dans cet espace de hauteur h.

[0013] Comme mentionné ci-dessus, le fermoir selon l’invention comporte également une deuxième boucle déployant 12. Celle-ci comporte une première lame 12a dont une première extrémité est destinée à être reliée au bracelet et dont une deuxième extrémité est articulée avec une deuxième lame 12d. Selon l’exemple représenté, la deuxième lame 12d est de type diapason et la première lame 12a prend place entre les branches de la deuxième lame lorsque la deuxième boucle déployant 12 est pliée. La deuxième lame 12d est reliée à la coiffe par l’intermédiaire d’un système coulissant 26 sur lequel elle est articulée.

[0014] Plus particulièrement à l’invention, le système coulissant 26 comprend un chariot 28 agencé pour coulisser selon un axe longitudinal du fermoir, entre deux positions extrêmes. Plus particulièrement, le chariot 28 est dimensionné de manière à prendre place dans le logement défini entre les rebords de la coiffe. Chacun de ces derniers rebords présente, sur sa paroi intérieure, une gorge 30 orientée selon l’axe longitudinal du fermoir. Les bords du chariot 28 sont ajustés librement à l’intérieur de ces gorges qui forment des coulisses. En outre, le chariot 28 présente un patin 32 disposé en saillie sur sa face située du côté de la coiffe 16. Ce patin 32 prend place dans une rainure 34 ménagée longitudinalement dans la coiffe 16. La coopération du patin 32 et de la rainure 34 participe au guidage en translation du chariot 28. On notera que le chariot 28 est assemblé sur la coiffe en l’introduisant par la rainure qui est réalisée débouchant. Après l’assemblage du chariot, l’extrémité de la rainure est obturée par un élément d’arrêt 36 qui permet de limiter la course du chariot 28.

[0015] Chaque gorge 30 est munie d’une série de cavités 38, les cavités de chaque gorge étant situées en vis-à-vis les unes des autres. Typiquement, on peut avoir cinq cavités, espacées chacune de 2 mm. On comprendra plus loin la fonction de ces cavités 38.

[0016] Un poussoir 40 unique, définissant un deuxième organe de commande, est monté mobile sur le chariot 28, en référence à lui. Le chariot 28 présente une ouverture à l’intérieur de laquelle le poussoir 40 est ajusté de manière à permettre sa translation. Plus particulièrement, le poussoir 40 est susceptible de se déplacer entre translation selon la direction longitudinale du fermoir. Lorsque le chariot 28 est assemblé sur la coiffe 16, le poussoir 40 est mobile dans un plan sensiblement parallèle à celui de la coiffe 16.

[0017] Afin de guider son déplacement, le poussoir 40 comprend deux structures oblongues 42 coopérant avec des fentes 44 que comporte le chariot 28 (figure 3). Les structures 42 d’une part et les fentes 44 d’autre part, sont orientées selon l’axe longitudinal du fermoir. On notera que d’autres systèmes de guidage, notamment au moyen de tiges sur lesquelles serait monté coulissant le chariot 28, peuvent être prévus par l’homme du métier.

[0018] Le fond des fentes 44 définit une butée qui détermine une première position extrême du poussoir, dite position enfoncée. En outre, une tige 46 prend place dans un trou 48 traversant le chariot 28 dans l’axe de déplacement du poussoir. La tige 46 est fixée au poussoir 40 et peut se déplacer en référence au chariot. La tige 46 présente un épaulement 50 formant butée avec un rebord du trou 48. Cette butée définit une deuxième position extrême du poussoir, dite position de repos. Deux ressorts 52 sont interposés entre le chariot et le poussoir et exercent une force tendant à amener le poussoir dans sa position de repos. On peut voir sur la figure 2, un espace entre le poussoir 40 et le chariot 28 correspondant à la course du poussoir.

[0019] Le poussoir 40 est encore muni de deux goupilles 54 qui lui sont solidaires et qui sont susceptibles de se déplacer selon l’axe longitudinal du fermoir, en fonction de l’actionnement du poussoir 40. L’extrémité des goupilles 54 présente un plan incliné dont le rôle apparaîtra plus loin.

[0020] Le chariot 28 est encore agencé de manière à recevoir un premier et un deuxième plots 56, montés mobiles à l’intérieur du chariot, selon une direction perpendiculaire à l’axe longitudinal du fermoir. Les plots 56 sont guidés dans leurs déplacements par des tiges 58 coulissant dans des ouvertures 60 correspondantes. Chaque plot 56 se prolonge par un doigt 62, dépassant à l’extérieur du chariot 28 et formant un deuxième organe de verrouillage. Les doigts 62 sont dimensionnés et positionnés de manière à pouvoir prendre place à l’intérieur des cavités 38 des gorges 30. Des ressorts 64 agissent sur les plots 56 de manière à amener les doigts 62 à l’intérieur des cavités. Les plots 56 sont encore chacun munis d’une ouverture définissant un plan incliné 66, orienté de manière à ce qu’une pression exercée sur les plans inclinés se traduise par une force résultante amenant les plots 56 en direction de l’intérieur du chariot et amenant ainsi les doigts 62 en dehors des cavités. Les goupilles 54 et les plots 56 sont agencés de manière à ce que leurs plans inclinés respectifs coopèrent ensemble, et ils sont disposés parallèlement deux à deux.

[0021] Pour son actionnement, le poussoir 40 présente une surface 68 moletée permettant à un utilisateur de le solliciter. La hauteur du poussoir étant relativement faible, un organe d’actionnement 70 est prévu pour surmonter le poussoir et offrir une surface supplémentaire à l’utilisateur afin de faciliter l’actionnement du poussoir. Typiquement, l’organe d’actionnement 70 est constitué par une plaquette dont la surface prolonge la surface 68 moletée du poussoir, la surface de la plaquette étant, elle-aussi, moletée. On notera que celle des lames de la deuxième boucle déployant 12 qui est située en regard de l’organe d’actionnement 70, comporte une ouverture 72 pour permettre le libre passage dudit organe d’actionnement lorsque la boucle est pliée. Selon l’exemple, c’est la première lame 12a qui présente cette ouverture dans laquelle peut prendre place librement l’organe d’actionnement 70.

[0022] De manière facultative, la position pliée de la deuxième boucle déployant peut être maintenue par un système de cran. Celui-ci peut être réalisé, par exemple, par la coopération d’un renflement avec une creusure ménagés sur le côté des première 12a et deuxième lames 12b. Ainsi, on peut voir sur les figures des creusures 76 situées sur le côté intérieur de la deuxième lame et des renflements 74 situés sur le côté extérieur de la première lame. Pour permettre l’engagement des renflements dans les creusures, la deuxième lame est de type diapason, ce qui lui confère une capacité à se déformer élastiquement.

[0023] Le chariot 28 est encore doté de moyens pour permettre son accrochage à la deuxième boucle déployant. On peut voir sur les figures deux oreilles 78 sur lesquelles la deuxième lame de la boucle déployant peut venir s’accrocher, avec l’aide d’une barrette 80.

[0024] On notera que le chariot 28 et la deuxième boucle déployant 12 sont dimensionnés de manière à ce que, lorsque la deuxième boucle est pliée, elle et le chariot soient entièrement situés dans le logement, entre le fond de la coiffe et le niveau h défini ci-dessus. Ainsi, lorsque la première boucle 10 est fermée sur la deuxième, la deuxième boucle 12 et le système coulissant 26 sont totalement invisibles, les deuxièmes organes de verrouillage et de commande étant totalement dissimulés.

[0025] Nous allons maintenant décrire la manière dont le fermoir selon l’invention fonctionne pour le réglage de sa longueur, c’est-à-dire la longueur séparant les deux extrémités du bracelet reliées par le fermoir. La première opération consiste à ouvrir les deux boucles déployants 10 et 12 du fermoir. La première 10 est ouverte par une action sur les boutons poussoirs 22 et la deuxième boucle 12 est ouverte par une simple traction sur la première lame 12a, suffisant à franchir le cran. Il est alors possible d’accéder au système coulissant 26 et plus particulièrement à son poussoir 40. Ce dernier est alors dans sa position de repos, dans laquelle il n’a pas d’action sur les plots 56, les doigts 62 étant alors insérés dans les cavités 38 et maintenant la position du système coulissant 26.

[0026] Une pression exercée sur le poussoir 40 dans le plan de la coiffe 16, a pour conséquence d’amener le poussoir dans sa position enfoncée. Les goupilles 54 exercent alors une pression sur les plans inclinés 66 des plots 56, qui sont ainsi déplacés l’un vers l’autre. Les doigts 62 se trouvent dans une position libre, hors des cavités 38 de la coiffe 16. Le chariot 28 peut alors coulisser librement en référence à la coiffe, entre les gorges 30 de cette dernière. Une fois que le chariot 28 est positionné sensiblement à la position souhaitée, on relâche la pression sur le poussoir 40 et un éventuel repositionnement léger permet de mettre les doigts 62 en face des cavités 38, les doigts s’engageant automatiquement sous l’effet des ressorts 64. Il suffit alors de refermer la deuxième 12 puis la première 10 boucles pour fermer le fermoir, le système coulissant et la deuxième boucle étant alors complètement invisibles pour le porteur.

[0027] On notera encore que le fermoir peut être utilisé d’une deuxième manière, typiquement destinée à une utilisation en plongée, pour disposer la montre par-dessus une combinaison. Dans ce cas, comme le montre la figure 7, la deuxième boucle 12 est maintenue complètement dépliée, la deuxième lame s’étendant sensiblement dans le plan de la coiffe. Le système coulissant peut être ajusté dans cette position. La première boucle peut être refermée et verrouillée tout en gardant la deuxième boucle ouverte, ce qui confère au fermoir, et donc au bracelet, une longueur sensiblement plus grande.

[0028] Ainsi est proposé un fermoir extensible original et discret. La description ci-dessus n’a été donnée qu’à titre d’illustration non limitative de l’invention et l’homme du métier saura apporter certaines variantes sans sortir du cadre de l’invention défini par les revendications. On notera notamment la possibilité de n’avoir qu’un doigt agissant de manière asymétrique dans les cavités de la coiffe.

Claims (11)

1. Fermoir de bracelet comportant une première boucle déployant (10) dont une première extrémité est destinée à être reliée à un brin du bracelet et dont une deuxième extrémité est reliée à une coiffe (16) sous laquelle la première boucle déployant se replie, des premiers organes de commande (22) et de verrouillage (20) agencés sur la coiffe de manière à coopérer avec la première boucle déployant pour la maintenir repliée sous la coiffe ou permettre de la déplier après un actionnement manuel de des premiers organes de commande, une deuxième boucle déployant (12) avec une première lame dont une première extrémité est destinée à être reliée à un brin du bracelet et dont une deuxième extrémité est articulée avec une deuxième lame, la deuxième lame étant reliée à la coiffe par un système coulissant (26) sur lequel elle est articulée, ledit système coulissant étant agencé pour coulisser selon un axe longitudinal du fermoir, entre deux positions extrêmes, caractérisé en ce que ledit système coulissant comporte en outre - un deuxième organe de verrouillage capable de coopérer avec la coiffe pour maintenir la position du système coulissant en référence à la coiffe, - un deuxième organe de commande pour agir sur le deuxième organe de verrouillage, ledit deuxième organe de commande étant actionnable dans un plan parallèle à celui de la coiffe et n’étant accessible que lorsque la première boucle déployant est dépliée.

2. Fermoir selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite coiffe (16) comprend au moins une série de cavités (38) ménagées dans sa paroi, et en ce que ledit deuxième organe de verrouillage comprend au moins un doigt (62) mobile perpendiculairement à l’axe longitudinal, entre une position libre dans laquelle il est hors des cavités (38), et une position verrouillée dans laquelle il est dans l’une des cavités (38).

3. Fermoir selon la revendication 2, caractérisé en ce qu’un premier ressort (64) est agencé de manière à exercer une force tendant à amener ledit doigt (62) dans sa position verrouillée.

4. Fermoir selon l’une des revendications 2 et 3, caractérisé en ce que le deuxième organe de commande est un poussoir (40) susceptible d’évoluer entre deux positions: - une position de repos, dans laquelle il n’a pas d’action sur ledit deuxième organe de verrouillage, le poussoir (40) étant maintenu dans la position de repos par l’action d’un deuxième ressort (52), et - une position enfoncée, dans laquelle il coopère avec le deuxième organe de verrouillage pour amener le doigt (62) dans sa position libre.

5. Fermoir selon la revendication 4, caractérisé en ce que le doigt (62) est solidaire d’un plot (56) muni d’une ouverture définissant un plan incliné (66), orienté de manière à ce qu’une pression exercée sur le plan incliné se traduise par une force résultante amenant le doigt (62) dans sa position libre, et en ce que le poussoir comprend une goupille (54) agencée pour coopérer avec ledit plan incliné.

6. Fermoir selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la deuxième boucle (12) comporte un système de cran pour la maintenir en position pliée.

7. Fermoir selon la revendication 6, caractérisé en ce que le système de cran est dépourvu d’organe de commande apparent.

8. Fermoir selon l’une des revendications précédentes, caractérisé en ce que la deuxième boucle (12) et le système coulissant (26) sont entièrement logés dans la coiffe (16), dans un espace laissé libre par la première boucle (10).

9. Fermoir selon l’une des revendications 4 à 8, caractérisé en ce que le poussoir (40) est surmonté par un organe d’actionnement (70) offrant une surface supplémentaire à l’utilisateur afin de faciliter l’actionnement du poussoir.

10. Fermoir selon la revendication 9, caractérisé en ce que l’organe d’actionnement (70) est constitué par une plaquette dont la surface prolonge la surface du poussoir.

11. Fermoir selon l’une des revendications 9 et 10, caractérisé en ce que celle des lames de la deuxième boucle déployant (12) qui est située en regard de l’organe d’actionnement (70), comporte une ouverture (72) pour permettre le libre passage dudit organe d’actionnement lorsque la boucle est pliée.