CH699894B1 - Mécanisme de sonnerie avec un timbre déplacé et lâché. - Google Patents

Abstract

Mécanisme de sonnerie pour mouvement de montre comportant un timbre (1) comprenant un brin (2) cintré et un premier élément de support (4), au moins une extrémité du brin (2) étant fixé au premier élément de support (4); le mécanisme de sonnerie comportant également un organe d’excitation (5), caractérisé en ce que l’organe d’excitation (5) comporte au moins un ergot, la forme du ou des ergots permettant de pincer le brin (2) le long de celui-ci, de manière à le déplacer progressivement selon un mouvement perpendiculaire à son plan, puis de le relâcher brusquement de façon à mettre le brin (2) en vibration et de produire un son de forte intensité.

Description

Domaine technique

[0001] La présente invention concerne un mécanisme de sonnerie apte à produire au moins une sonorité et destiné à équiper une pièce d’horlogerie telle qu’une montre-bracelet. Plus particulièrement, la présente invention concerne un mécanisme de sonnerie de type à répétition ou réveil comportant un timbre mis en vibration par pincement en le déplaçant et en le relâchant.

Etat de la technique

[0002] Les mécanismes de sonnerie de type à répétition ou réveil comportent généralement un ou plusieurs éléments vibrants afin d’obtenir un ou plusieurs sons de hauteurs différentes pour sonner les heures, les quarts et dans les répétitions minutes, les minutes, etc. Dans de tels mécanismes, les éléments vibrants sont mis en vibration par un organe d’excitation, par exemple, un marteau venant percuter le timbre et produire ainsi une onde acoustique, directement ou indirectement, par l’intermédiaire d’une autre pièce.

[0003] L’élément vibrant consiste généralement en un ou plusieurs timbres, chaque timbre étant typiquement en un brin métallique à section circulaire ou une lame métallique, formant un enroulement de longueur variable en fonction de la tonalité souhaitée. Les timbres sont mis en vibration par un marteau venant percuter le timbre de façon à faire vibrer celui-ci dans une direction parallèle au plan du brin (qui est en général parallèle au plan du mouvement et de la platine). Un inconvénient de ces mécanismes de sonnerie est que l’intensité du son produit est faible. De plus, la production de plusieurs notes différentes requiert la présence de plusieurs timbres, ce qui est difficile à réaliser dans l’espace restreint d’une montre bracelet. En outre, il est nécessaire de produire une énergie importante pendant la durée très brève de l’impact du marteau.

[0004] Dans le document FR 2 777 095, le mécanisme de sonnerie utilisé dans la montre s’apparente aux mécanismes de sonnerie utilisés dans les boîtes à musique. Ce mécanisme comprend pour l’essentiel un tambour rotatif à la surface duquel sont prévus des ergots. Lorsque le tambour tourne, un des ergots vient soulever une lame et l’écarte progressivement de sa position de repos jusqu’au moment où la lame échappe à l’ergot et se détend brusquement. En se détendant, la lame vibre et produit un son. Un tel mécanisme a comme avantage de produire plusieurs notes et des sons de plus forte intensité. Toutefois, l’entraînement du tambour rotatif requiert une énergie importante, ce qui rend un tel mécanisme difficile à intégrer dans une montre qui ne dispose que d’une faible réserve d’énergie.

Bref résumé de l’invention

[0005] Un but de la présente invention est de proposer un mécanisme de sonnerie exempt des limitations de l’état de la technique.

[0006] Un autre but de l’invention est de proposer un mécanisme de sonnerie de type répétition ou réveil capable de générer plusieurs sons de hauteurs différentes et de forte intensité.

[0007] Selon l’invention, ces buts sont atteints notamment au moyen d’un mécanisme de sonnerie comportant un timbre comprenant un brin cintré, fixé à la platine ou à la carrure de la montre par au moins une de ses extrémités et étant mis en vibration à l’aide d’un organe d’excitation comportant un ou plusieurs ergots. De façon préférée, la forme des ergots permet de déplacer le brin progressivement selon un mouvement perpendiculaire à son plan, puis de le relâcher brusquement de façon à mettre le brin en vibration et de produire un son de forte intensité, tout en évitant de nécessiter une forte consommation d’énergie pendant des intervalles de temps très courts.

[0008] Dans un exemple, un doigt mobile vient appuyer sur le brin à une position d’appui située entre la position où le brin est pincé et une de ses extrémités, de manière à raccourcir la longueur de la portion vibrante du brin et de pouvoir ainsi générer une note différente que celle produite lorsque le doigt n’est pas en appui. Le doigt mobile peut également être utilisé lorsque le brin est mis en vibration par un organe d’excitation autre que la came de l’invention, par exemple, lorsque le brin est frappé par un marteau conventionnel.

[0009] Dans un autre mode de réalisation, le doigt est apte à se déplacer le long du brin et à venir appuyer sur ce dernier à différents positions de manière à produire différentes notes selon la position d’appui, lors du pincement du brin par un des ergots.

[0010] Encore dans un autre mode de réalisation, le brin possède une première portion et une deuxième portion de plus grand diamètre que la première portion, de sorte à générer au moins deux notes différentes lorsqu’au moins un des ergots de la première came et un des ergots d’une deuxième came viennent pincer la première et la deuxième portion, respectivement.

[0011] Cette solution présente notamment l’avantage par rapport à l’art antérieur de pouvoir générer plusieurs sons de hauteurs différentes et de forte intensité tout en nécessitant peu d’énergie, en ayant un faible encombrement et en étant facile à intégrer dans une montre.

Brève description des figures

[0012] Des exemples de mise en œuvre de l’invention sont indiqués dans la description illustrée par les figures annexées dans lesquelles:

[0013] la fig. 1 illustre le mécanisme de sonnerie comportant un timbre comprenant un brin fixé à une de ses extrémités, selon un mode d’exécution de l’invention;

[0014] la fig. 2 est une vue selon une coupe transversale de la fig. 1;

[0015] la fig. 3 représente le mécanisme de sonnerie où le brin est fixé à ses deux extrémités, selon un autre mode d’exécution de l’invention;

[0016] la fig. 4 représente le mécanisme de sonnerie où le timbre peut générer plus d’une note, selon un autre mode d’exécution de l’invention; et

[0017] la fig. 5 représente le mécanisme de sonnerie où le timbre possède une première portion et une deuxième portion de diamètres différents, selon un autre mode d’exécution de l’invention.

Exemple(s) de mode de réalisation de l’invention

[0018] Le mécanisme de sonnerie selon un mode d’exécution de l’invention est représenté schématiquement, vu du dessus à la fig. 1, et vu selon une coupe transversale à la fig. 2. Un timbre 1 comprend un brin 2 cintré, formant un enroulement autour d’un mouvement de montre (non représenté), monté solidaire sur une platine 3 de montre ou sur une carrure de la boîte (non représentée), par l’intermédiaire d’un premier élément de support 4, fixé par vissage ou soudage sur la platine ou la carrure. Une première extrémité du brin 2 peut être chassée ou soudée sur le premier élément de support 4 mais, de préférence, l’élément de support 4 et le brin 2 sont fabriqués d’une seule pièce. Le brin 2 est de section circulaire, mais en variante, il pourrait être de section rectangulaire ou de toute autre section. Il est généralement réalisé en acier.

[0019] Le mécanisme de sonnerie comporte également un organe d’excitation se présentant sous la forme d’une première came 5 munie de deux ergots 6 diamétralement opposés. La première came 5 est montée pivotante sur un arbre moteur 7 (fig. 2) qui est de préférence parallèle au plan du timbre 1. A cet effet, la came 5 présente un passage central 8 par lequel ladite came 5 est montée sur l’arbre moteur 7. La première came 5 est commandée, par l’intermédiaire de l’arbre moteur 7, par un mécanisme de sonnerie, tel qu’un mécanisme de répétition ou de réveil monté sur la platine 2, mais non représenté dans les fig. 1 et 2. Le mécanisme de sonnerie lui-même est de type standard, par exemple mécanique ou à quartz, et bien connu de l’homme de métier.

[0020] La came 5 et les ergots 6 sont usinés d’une seule pièce. Cette configuration est avantageuse par rapport aux tambours rotatifs conventionnels, puisqu’elle permet un faible encombrement de l’organe d’excitation, facilitant l’intégration de ce dernier dans une montre. De façon préférée, l’épaisseur de la came 5, déterminée essentiellement par la distance entre l’extrémité de des deux ergots 6 opposés, est sensiblement la même que l’épaisseur du timbre 1 de sorte à conserver un faible encombrement. De manière alternative, les ergots 6 peuvent être fixés sur la came 5 par vissage ou soudage.

[0021] Lors de sa rotation, les ergots 6 de la came 5 viennent successivement pincer le brin 2 le long de celui-ci, dans une position située entre le premier élément de support 4 et l’autre extrémité du brin 2, par exemple, à une première position marquée par la lettre A dans la fig. 1. Ici, l’expression «le long» exclut l’extrémité du brin 2. Le mot pincer signifie que les ergots 6 viennent déplacer le brin 2 selon un mouvement sensiblement perpendiculaire à son plan puis le relâcher de sorte à mettre le brin 2 en vibration au moins dans une direction essentiellement perpendiculaire à son plan selon un mode de fréquence et suites d’harmoniques propres à sa longueur et sa masse linéaire. Le brin 2, mis en vibration selon le mécanisme de sonnerie de l’invention, peut générer ainsi un son plus riche que celui produit par une lame dans un mécanisme de sonnerie conventionnel, tel qu’utilisé dans les boîtes à musique.

[0022] La première came 5 peut également comporter un seul, ou plus de deux ergots 6. Un nombre élevé d’ergots 6 aura pour effet d’augmenter la fréquence des répétitions de la sonnerie pour une même vitesse de rotation de la première came 5 lors de la marche du dispositif de sonnerie. De façon préférée, la forme des ergots 6 permet de soulever le brin 2 progressivement, par exemple pendant quelques minutes ou une ou plusieurs heures, sans émettre de son puis de le relâcher brusquement de façon à le mettre en vibration et de produire un son de forte intensité. Par exemple, le ou les ergots 6 peuvent être de forme incurvée ou avoir la forme de dents ayant des flancs inclinés. Le ou les ergots 6 peuvent également être confondus avec la forme de la came 5, par exemple, dans le cas d’une came de diamètre variable, telle qu’une came escargot ou limaçon. Les ergots 6 peuvent également être flexibles ou se présenter sous la forme de lames ressort. De tels ergots 6 ont également l’avantage de glisser facilement sur le brin 2 et de minimiser la force requise pour mettre le brin 2 en vibration, minimisant d’autant la consommation d’énergie pendant le temps d’armage afin de ne pas nuire à la marche précise de la montre. D’autres formes de la came 5 ou des ergots 6 sont possibles dans la mesure où le brin 2 peut être mis en vibration au moins dans une direction perpendiculaire à son plan tout avec une force réduite pour sa mise en vibration.

[0023] Dans un autre mode d’exécution illustré à la fig. 3, le brin 2 est fixé à ses deux extrémités par le premier 4 et un deuxième élément de support 9, respectivement. Dans ce cas, le pincement du brin 2 par un ergot 6 de la came 5, par exemple à la première position A, produira un son dont la fréquence fondamentale de vibration est deux fois plus élevée que dans le cas où la partie longitudinale 2 n’est fixée que par une de ses extrémités. Dans cette forme d’exécution, l’amplitude de vibration est réduite et la transmission de l’énergie vibrante vers la platine 3, ou la carrure, est augmentée et la qualité et la puissance sonore sont améliorées. De plus, dans le cas où le brin 2 est particulièrement long, par exemple dans le cas des timbres de type «cathédrale», cette configuration évite que la portion vibrante du brin 2 ne vienne entrer en contact avec la platine, la carrure ou la came 5. Un tel contact est possible dans le cas d’un timbre fixé par une seule extrémité, lorsque l’amplitude de vibration est importante.

[0024] Dans un exemple illustré à la fig. 4, le mécanisme de sonnerie de l’invention comporte également un doigt 11 mobile, capable de venir appuyer sur le brin 2 ou s’en retirer. Le doigt 11 vient appuyer le brin 2 à une position d’appui située entre la position où le brin 2 est pincé, par exemple la position A, et une des extrémités du brin 2, de manière à ne faire vibrer qu’une portion vibrante 12 plus courte que la longueur du brin 2. Dans l’exemple de la fig. 4, la position d’appui est indiquée par la lettre B. De façon alternative, le doigt 11 vient appuyer le brin 2 contre la platine 3 ou la carrure de la montre ou contre un élément (non représenté) protubérant par rapport à la platine, ou la carrure, de façon similaire à une corde de guitare venant en appui contre une frette. Le son émis par la portion vibrante 12 sera ainsi plus aigu que dans le cas ou le doigt est en retrait et que le brin 2 vibre sur toute sa longueur. De façon préférée, le doigt 11 vient en appui sur le brin pendant la durée souhaitée de l’émission de la note plus aiguë. De façon exemplaire, le doigt 11 peut être monté en rotation autour d’un arbre moteur qui est soit perpendiculaire soit parallèle aux axes des différents mobiles du mouvement. Le doigt 11 est entraîné, par exemple, par le mécanisme de sonnerie de sorte à venir appuyer sur le brin 2 ou s’en écarter de façon synchronisée avec le pincement du brin 2 par un des ergots 6 et selon la note à émettre.

[0025] Le doigt mobile 11 peut être utilisé lorsque le brin est mis en vibration par un organe d’excitation autre que la came de l’invention, par exemple, lorsque le brin est frappé par un marteau conventionnel.

[0026] Dans une autre variante du mode de réalisation, le doigt 11 peut se déplacer le long du brin 2 de sorte à venir s’appuyer sur celui-ci à différentes positions le long du brin 2, de façon successive. Des portions vibrantes 12 de différentes longueurs peuvent ainsi être obtenues selon la position d’appui, de sorte à générer de façon successive plusieurs sons de hauteurs différentes, par exemple des mélodies. Le déplacement du doigt 11 le long du brin 2 peut encore être entraîné par le mécanisme de sonnerie. De façon alternative, le mécanisme de sonnerie de l’invention peut également comporter plusieurs doigts 11 disposés à différentes positions le long du brin 2. Il est ainsi possible d’émettre plusieurs notes différentes avec le même timbre 1, ou de changer la note au cours de l’émission d’un son.

[0027] Encore dans un autre mode d’exécution montrée à la fig. 5, le brin 2 possède une première portion 13 et une deuxième portion 14 de plus grand diamètre que la première portion 13. De préférence, un des ergots 6 de la première came 5 vient pincer la première portion 13, par exemple au niveau de la première position A, et un des ergots 6 d’une deuxième came 15 vient pincer la deuxième portion 14, par exemple, au niveau d’une deuxième position marqué C dans l’exemple de la fig. 5. De la sorte, les deux portions 13 et 14 génèrent des sons de hauteurs différentes selon la différence de diamètre des portions 13, 14 respectives. Le même effet peut être obtenu dans le cas où le diamètre de la première portion 13 est plus grand que celui de la deuxième portion 14.

[0028] Encore dans un autre mode de réalisation non représenté, le diamètre de la section du timbre 1 varie de façon constante, ou non constante, le long du brin 2. Dans cette configuration, des notes de hauteurs différentes sont obtenues en venant pincer le timbre 1 avec l’un des ergots 6 d’au moins l’une des cames 5, 15, à au moins deux positions différentes le long du brin 2. Plus de deux notes différentes peuvent ainsi être produites simultanément ou successivement en utilisant, par exemple, au moins deux cames venant pincer le timbre 1 à des positions différentes le long du brin 2. La génération de plus de deux sons de hauteurs différentes à l’aide de plusieurs cames disposées à des positions différentes le long du brin 2 est également possible.

[0029] On notera que la présente invention n’est pas limitée au mode de réalisation qui vient d’être décrit et que diverses modifications et variantes simples peuvent être envisagées par l’homme du métier sans sortir du cadre de la présente invention.

[0030] Par exemple, dans un mode de réalisation non illustré, l’organe d’excitation peut comprendre un tambour rotatif comportant un ou des goupilles (faisant office d’ergots) pour pincer et mettre en vibration le timbre 1 de l’invention. Il est également envisageable de disposer en parallèle plusieurs timbres ayant la forme de lamelles de longueurs différentes, chacune pincée par au moins un des ergots 6 de la came 5 de l’invention, de manière à produire plusieurs notes et générer une mélodie.

Numéros et symboles de référence employés sur les figures

[0031] <tb>1<sep>timbre <tb>2<sep>brin <tb>3<sep>platine <tb>4<sep>premier élément de support <tb>5<sep>première came <tb>6<sep>ergot <tb>7<sep>arbre moteur <tb>8<sep>passage central <tb>9<sep>deuxième élément de support <tb>10<sep>deuxième came <tb>11<sep>doigt <tb>12<sep>portion vibrante <tb>13<sep>première portion <tb>14<sep>deuxième portion <tb>15<sep>deuxième came <tb>A<sep>première position <tb>B<sep>position d’appui <tb>C<sep>deuxième position

Claims (12)

1. Mécanisme de sonnerie pour mouvement de montre comportant un timbre (1) comprenant un brin (2) cintré et un premier élément de support (4), au moins une extrémité du brin (2) étant fixé au premier élément de support (4); le mécanisme de sonnerie comportant également un organe d’excitation (5); caractérisé en ce que l’organe d’excitation (5) comporte au moins un ergot (6), la forme du ou des ergots (6) permettant de pincer le brin (2) le long de celui-ci, de manière à le déplacer progressivement selon un mouvement perpendiculaire à son plan, puis de le relâcher brusquement de façon à mettre le brin (2) en vibration et de produire un son de forte intensité.

2. Mécanisme de sonnerie selon la revendication 1, caractérisé en ce que le ou les ergots (6) sont de forme incurvée.

3. Mécanisme de sonnerie selon la revendication 1, caractérisé en ce que le ou les ergots (6) ont une forme de dent ayant des flancs inclinés.

4. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 3, caractérisé en ce que le ou les ergots (6) sont flexibles.

5. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 4, caractérisé en ce que le ou les ergots (6) sont usinés d’une seule pièce avec l’organe d’excitation (5).

6. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 5, caractérisé en ce que l’organe d’excitation (5) est une came, et l’épaisseur de la came (5) est la même que l’épaisseur du timbre (1).

7. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 6, caractérisé en ce que l’organe d’excitation (5) est une came escargot ou une came limaçon.

8. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 7, caractérisé en ce que le brin (2) est fixé à ses deux extrémités à l’aide du premier (4) et d’un deuxième élément de support (9).

9. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 8, caractérisé en ce que lors de la vibration, le brin (2) ne vient pas en contact avec l’organe d’excitation (5).

10. Mécanisme de sonnerie selon l’une des revendications de 1 à 9, caractérisé en ce que le brin (2) possède une première portion (13) et une deuxième portion (14) de plus grand diamètre que la première portion (13).

11. Mécanisme de sonnerie selon la revendication 10, caractérisé en ce que le mécanisme comprend un deuxième organe d’excitation (15) comportant au moins un ergot (6), et en ce qu’au moins un ergot (6) du premier organe d’excitation (5) et un ergot (6) du deuxième organe d’excitation (15) sont aptes à mettre en vibration la première (13) et la deuxième (14) portion, respectivement, de manière à générer au moins deux notes différentes.

12. Pièce d’horlogerie comportant le mécanisme de sonnerie selon les caractéristiques de l’une des revendications de 1 à 11.