CH677307B5 - - Google Patents

Description

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Description

La présente invention se rapporte aux affichages analogiques pour mouvement d'horlogerie et plus particulièrement elle consiste en un dispositif d'affichage de chronographe ou un module d'affichage de chronographe analogique destiné à être fixé, en lieu et place d'un cadran usuel, sur un mouvement d'horlogerie; ce dispositif ou ce module comprend un mécanisme d'indication horaire avec aiguilles au centre coopérant avec une graduation circulaire concentrique, ce mécanisme étant entraîné par le mouvement d'horlogerie.

Ce chronographe comporte un cadran coopérant avec un aiguillage horaire ainsi qu'un affichage de chronographe comportant une indication des secondes au centre, une indication excentrée des minutes et une indication excentrée des heures. Il se caractérise par le fait que l'indication des minutes du chronographe comporte, sur le cadran, une graduation de 0 à 10 coopérant avec une aiguille coaxia-le à cette graduation effectuant une révolution en dix minutes; par le fait que l'indication des heures du chronographe comporte, sur le cadran, une graduation de une, deux, trois, quatre, cinq ou six heures et dont les divisions vont de dix en dix minutes au moins coopérant avec une aiguille concentrique à cette graduation effectuant une révolution en une à six heures respectivement; et par le fait qu'il comporte un rouage de chronographe entraîné par le mouvement d'horlogerie.

Le dessin annexé illustre schématiquement et à titre d'exemple plusieurs formes d'exécutions du dispositif d'affichage selon l'invention réalisé sous la forme d'un module destiné à être monté sur un mouvement d'horlogerie.

La fig. 1 est une vue en plan d'une première forme d'exécution du chronographe selon l'invention.

La fig. 2 est une vue en plan d'une seconde forme d'exécution du chronographe.

La fig. 3 est une vue en plan de la chaîne cinématique d'entraînement des compteurs du chronographe de la fig. 2.

La fig. 4 est une coupe suivant la ligne IV—IV de la fig. 3.

La fig. 5 est une vue en plan du mécanisme d'indication du numéro des semaines.

La fig. 6 est une coupe suivant la ligne VI-VI de la fig. 5.

La fig. 7 est une variante du mécanisme d'indication du numéro des semaines vue en plan.

Le dispositif d'affichage chronographe selon l'invention peut être soit intégré à une pièce d'horlogerie soit conçu comme un module indépendant destiné à être monté sur un mouvement d'horlogerie. Ce dispositif peut être utilisé avec des mouvements mécaniques ou à quartz pour tous types de pièces d'horlogerie, montre-bracelet ou de poche.

Dans sa première forme d'exécution, la plus simple, le chronographe à affichage analogique illustré aux fig. 1, 3 et 4 comporte un cadran 1 muni à sa circonférence d'une graduation 2 divisée en soixante minutes et douze heures coopérant avec des aiguilles au centre, concentriques à la graduation 2, d'heures 3 et de minutes 4. Ce chronographe comporte encore, de façon connue, un aiguillage conventionnel assurant l'entraînement de l'aiguille des minutes 4 à partir d'une roue des heures 42, solidaire de l'aiguille des heures 3. Cette roue des heures 6 est entraînée par une prise de force du mouvement d'horlogerie.

Dans la forme d'exécution illustrée aux fig. 1, 3 et 4, le chronographe ou son module d'affichage comporte un affichage de chronographe entraîné par un rouage de chronographe et actionné par un mécanisme de commande de chronographe.

Cet affichage de chronographe comporte une trotteuse de secondes 8 coopérant avec une graduation excentrée 7 divisée en soixante secondes; un compteur de secondes comportant une aiguille de secondes au centre 5 effectuant une révolution en une minute; un compteur de minutes comprenant une graduation excentrée 9 de dix divisions coopérant avec une aiguille des minutes 10 effectuant une révolution en dix minutes; et un compteur d'heures comportant une graduation excentrée 11 de un à trois, subdivisées en six parties égales entre chaque division horaire, coopérant avec une aiguille des heures 12 effectuant une révolution en trois heures.

L'originalité dans cet affichage chronographe réside dans le fait que le compteur de minutes effectue un cycle complet en dix minutes et que le compteur d'heures comporte une graduation, s'étendant sur plusieurs heures, de une à six par exemple, mais comportant des subdivisions de dix minutes correspondant au cycle du compteur de minutes.

Le rouage de chronographe illustré aux fig. 3 et 4, entraînant la trotteuse des secondes 8 de l'affichage horaire et l'aiguille 5 du compteur des secondes en une révolution par minute, l'aiguille du compteur de minutes 10 en une révolution en dix minutes et l'aiguille du compteur d'heures 12 en une révolution en trois heures comporte une roue 13 montée à friction sur l'axe des secondes du module d'affichage.

Cette roue 13 engrène avec la première roue 14 d'un renvoi 15 dont la seconde roue 16, d'un même nombre de dents que la roue 14, est en prise avec la roue 17 solidaire de l'axe 18 portant la trotteuse 8. Cette roue 17 comporte un même nombre de dents que la roue 13. Le renvoi 15 comporte encore un embrayage permettant la fonction marche-arrêt du chronographe.

L'axe 18 porte une seconde roue 19 entraînée, par l'intermédiaire d'une roue intermédiaire 20, par une première prise de force du mouvement. Cette prise de force est constituée par un axe effectuant une révolution par minute portant la roue 21. Cette roue 21 présente un même nombre de dents que la roue 19, ainsi l'axe 18 de même que l'axe des secondes sont entraînés à la même vitesse que cette roue 21, soit une révolution complète en soixante secondes.

La roue 13 qui entraîne l'axe des secondes du module d'affichage est également en prise avec la roue 22 d'un mobile intermédiaire 23 dont le pignon 24 engrène avec une roue 25 d'un mobile dont l'axe 26 porte l'aiguille de chronographe des minutes 10.

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Le pignon 27 du mobile 25, 26 engrène avec la roue 28 d'un mobile 29 dont le pignon 30 est en prise avec un premier renvoi 31 entraînant, par l'intermédiaire d'un second renvoi 32, la roue 33 dont l'axe 34 porte l'aiguille de chronographe des heures 12.

Tout le rouage de chronographe est monté entre la platine 35 et le ou les ponts 36 du module d'affichage.

Le module d'affichage comporte encore un mécanisme de commande de chronographe de type conventionnel comportant un bouton-poussoir marche-arrêt 37 commandant une fonction d'embrayage à friction agissant sur le renvoi 15 et un bouton-pous-soir de remise à zéro 38 agissant par l'intermédiaire de marteaux et de cœurs sur l'axe des secondes et les axes 26 et 34. Ce mécanisme de commande, par exemple du type de celui décrit dans le brevet CH 661 409 mais bien sûr adapté à la disposition des compteurs de chronographe du présent module, ne sera pas décrit pour ne pas surcharger le dessin et la description du présent brevet.

L'intérêt de cet affichage de chronographe original est de permettre une lecture rapide aisée notamment beaucoup plus facile pour les minutes et les heures que cela n'est le cas avec des compteurs de trente minutes et de douze heures comme jusqu'ici. De plus, il est rare de chronométrer une durée supérieure à trois heures de sorte que d'avoir un compteur des heures limité à trois heures n'est pas un inconvénient. De toute façon on peut sans nuire à la facilité de lecture du compteur des heures prévoir une graduation de quatre ou six heures; il suffit de modifier en conséquence les mobiles 30 à 33 pour que l'aiguille 12 effectue une rotation en quatre ou six heures.

Ce module d'affichage chronographe comporte encore une seconde prise de force pour l'entraînement des aiguilles des heures 3 et des minutes 4, par l'intermédiaire d'un mobile d'aiguillage dont la roue est en prise avec la prise de force 39, cette roue engrénant avec la chaussée et un pignon avec la roue des heures.

Comme illustré aux fig. 2, 5 et 6, ce chronographe ou module d'affichage chronographe est encore équipé de façon originale d'un affichage analogique du numéro de la semaine, de 1 à 52 ou 53 dans une année. Cet affichage comporte une graduation 40 circulaire, disposée dans la partie supérieure du cadran, entre son centre 0 et 12h, dans l'exemple illustré, comportant cinquante-deux divisions représentant les cinquante-deux semaines de l'année. Cette graduation coopère avec une aiguille des semaines 41 effectuant une révolution complète en une année. Cette aiguille 41 et cette graduation 40 sont entraînés dans leur mouvement relatif par un mécanisme des semaines également entraîné par la prise de force du mouvement d'horlogerie. Dans le cas illustré la graduation 40 fixe est portée par le cadran 1 tandis que l'aiguille des semaines 41 est entraînée par le mécanisme des semaines à partir de la roue des heures 42 du module d'affichage.

Un tel affichage du numéro de la semaine est très utile notamment pour toutes les personnes traitant de délais de fabrication, de livraison ou de commande. En effet de plus en plus il est usuel d'indiquer de tels délais, soit en nombre de semaines, soit par l'indication du numéro de la semaine ou des semaines délimitant ces délais. Le fait de disposer sur sa montre de l'indication du numéro de la semaine en cours est donc pour ces personnes une commodité supplémentaire qui deviendra très vite indispensable et remplacera les calendriers actuellement utilisés pour se faire.

Le mécanisme des semaines permettant dans cette forme d'exécution l'entraînement en rotation de l'aiguille 41 par pas successifs au nombre de cin-quante-deux pour une révolution complète en une année est illustré aux fig. 5 et 6.

La prise de force du mouvement est constituée par un axe effectuant une révolution en douze heures entraînant la roue des heures 42 du module. Suivant la forme d'exécution, on utilise une, deux ou trois prises de force du mouvement d'horlogerie qui permettent l'entraînement de tous les mécanismes du module d'affichage, mécanisme d'indication horaire, mécanisme de semaines, ou tout autre mécanisme, l'indication du quantième, du jour de la semaine, des phases de lune ou d'entraînement des compteurs de chronographe. Tous ces mécanismes du module d'affichage analogique sont montés entre une platine et le cadran 1 du module à l'aide d'un ou plusieurs ponts. La platine, le ou les ponts et le cadran 1 sont solidaires et constituent le cadre ou l'armature porteuse du module qui vient se fixer de façon amovible sur un mouvement d'horlogerie.

Le mécanisme de semaines comporte un mobile intermédiaire pivoté sur la platine dont la roue 43 engrène avec la roue des heures 42 et dont le pignon 44 est en prise avec un renvoi 45 pivoté entre la platine et le pont. Ce renvoi 45 porte un doigt d'ac-tionnement 46, présentant vu en plan la forme d'un secteur de cercle tronqué, solidaire d'une goupille 47 chassée dans ledit renvoi 45. Grâce à ce montage la position angulaire de ce doigt 46 par rapport au renvoi 45 peut être ajustée permettant de régler l'instant où ce doigt 46 entre en contact avec l'une des dents de l'étoile de sept 48 pivotée sur la platine.

Cette étoile de sept 48 effectue une révolution complète en sept jours et porte une roue 49 en prise avec un mobile 50 ayant le même nombre de dents que la roue 49, pivotée sur le pont, portant un disque 51 muni d'un index 52 disposé dans une ouverture 53 du cadran 1. Cet index 52 coopère avec une graduation 54 portée par le cadran, concentrique-ment au disque 51 et à l'aiguille 41, indiquant les sept jours de la semaine. Ainsi à chaque pas de l'étoile de sept, soit toutes les vingt-quatre heures, l'index 52 passe d'un jour au suivant.

Cette indication du jour de la semaine 52, 54 est concentrique à la graduation des semaines 40 et située à l'intérieur de celle-ci.

L'aiguille des semaines 41 est portée par l'axe d'une roue 55 de cinquante-deux dents, pivotée dans la platine et à l'intérieur du mobile 50. Cette roue de cinquante-deux dents 55 est entraînée par pas successifs à raison d'un pas par semaine par un bec 56 du moyeu 57 reliant l'étoile de sept 48 à la roue 49.

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toile de sept 48, un sautoir 58 la maintient dans sa position angulaire entre deux actionnements. De même un sautoir 59 coopère avec la denture de la roue 55 pour la maintenir dans sa position angulaire entre deux actionnements et éviter tout déplacement angulaire intempestif.

Grâce à ce mécanisme on entraîne à partir de la roue des heures 42 l'aiguille des semaines 41 permettant d'afficher le numéro de la semaine en cours et simultanément, dans cet exemple, l'affichage du jour de la semaine 52, 54.

Un même mécanisme pourrait être utilisé pour entraîner un disque en rotation dont la graduation de 52 ou 53 divisions coopérerait avec un guichet du cadran 1.

La roue des heures 42 est entraînée à partir de la prise de force 39 du mouvement d'horlogerie.

Ce mécanisme comporte encore un correcteur du jour de la semaine constitué par un levier 60 pivoté en 61 sur la platine et soumis à l'action de rappel d'un ressort 62. Ce levier de correction 60 présente un poussoir 63 accessible depuis l'extérieur de la boîte de montre et son extrémité libre coopère avec les dents de l'étoile de sept 48 pour la faire tourner pas à pas sous l'action du poussoir 63.

Pour éviter tout endommagement du mécanisme lors d'une correction de jours, ie doigt 46 peut être monté pivotant sur la goupille 47 et soumis à une action élastique de rappel tendant à le maintenir en position active désirée mais permettant son escamotage lors de l'actionnement de l'étoile de sept 48 par le levier de correction 60.

Ce mécanisme comporte encore un levier 64 de correction du numéro de la semaine. Ce levier 64 est également pivoté sur la platine en 61 et est muni à proximité de l'une de ses extrémités d'un poussoir 65. Sur l'autre extrémité de ce levier 64 est pivoté un cliquet 66 dont l'extrémité libre est en prise avec la denture de la roue 55. Le cliquet 66 est muni d'une lame ressort 67 en butée contre une goupille 68 du levier 64. Pour corriger le numéro de la semaine l'usager presse sur le poussoir 65 déplaçant le levier 64 jusque contre une butée 69. Ce faisant le cliquet 66 saute une dent de la roue 55 et vient en prise avec la dent précédente de celle-ci tout en bandant la lame ressort 67. Lorsque l'usager relâche le poussoir 65, la lame ressort déplace le levier 64 et le cliquet 66 jusqu'à ce que le levier 64 soit à nouveau en butée contre l'arrêt 70. Ce faisant, le cliquet 66 déplace la roue 55 d'un pas. Il faut noter que l'arrêt 70 est réglable grâce à un excentrique permettant ainsi de définir la position de fin de course de correction du levier 64.

Il est évident que dans une variante l'affichage 52, 54 du jour de la semaine peut être supprimé sans rien modifier au mécanisme des semaines entraînant l'aiguille 41.

La fig. 7 illustre une variante du mécanisme des semaines. Dans cette variante le rouage entraînant l'étoile de sept et la roue de cinquante-deux semaines est identique à celui précédemment décrit, seuls les organes de correction sont modifiés.

Ce mécanisme comporte un correcteur des jours de la semaine constitué par un levier 200, muni d'un poussoir 201 accessible de l'extérieur du module, pivoté en 202 sur la platine. Ce levier 200 est soumis à l'action d'un ressort de rappel 203 tendant à le maintenir en appui contre une butée 204. Ce levier de correction 200 comporte un bec d'actionnement 205 agissant sur la denture de l'étoile de sept pour provoquer son avance pas à pas. La course du correcteur 200 est limitée par la butée 218.

Ce mécanisme comporte encore un système de correction de l'indication du numéro des semaines. Ce système comporte un correcteur de semaine 206 également pivoté en 202 sur la platine et comportant un poussoir 207 accessible de l'extérieur du module. Ce correcteur 206 présente une face d'appui 208 coopérant avec l'extrémité 209 d'une bascule 210 pivotée en 218 sur la platine. Cette bascule 210 est soumise à l'action d'un ressort de rappel 212 tendant à la maintenir en appui contre la butée 204 coopérant avec une ouverture 213 de cette bascule 210.

Un cliquet oscillant 214 est pivoté sur l'autre extrémité de la bascule 210 en 215. Un ressort 216 formé d'une seule pièce avec le cliquet 214 tend à appliquer celui-ci contre une butée 217.

Lorsque l'usager appuie sur le poussoir 207 il provoque le basculement de la bascule 210 et le cliquet 214 entraîne la roue des semaines. La course de la bascule 210 est limitée par l'entrée en contact du côté opposé de l'ouverture 213 avec la butée 204 de sorte que la roue des semaines ne peut être entraînée que d'un pas pour chaque actionnement du poussoir 207.

Claims (8)

Revendications

1. Dispositif d'affichage analogique pour mouvement d'horlogerie comportant un cadran coopérant avec un aiguillage horaire ainsi qu'un affichage de chronographe comportant un compteur excentré des minutes et un compteur excentré des heures, caractérisé par le fait que le compteur des minutes du chronographe comporte une graduation de 0 à 10 coopérant avec une aiguille coaxiale à cette graduation effectuant une révolution en dix minutes; par le fait que le compteur des heures du chronographe comporte une graduation d'au moins une heure comportant des divisions toutes les dix minutes au moins coopérant avec une aiguille concentrique à cette graduation effectuant une révolution en un nombre d'heure correspondant à celui de cette graduation; et par le fait qu'il comporte un rouage de chronographe entraîné par une première prise de force du mouvement et entraînant lesdites aiguilles.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'il comporte un compteur des secondes et que l'aiguille de ce compteur ainsi qu'une trotteuse sont entraînés à partir de la première prise de force du mouvement.

3. Dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2, caractérisé par le fait qu'il comporte un affichage du numéro de la semaine excentré formé par une graduation des semaines circulaire de cinquante-deux ou cinquante-trois divisions coopérant avec un repère et par le fait qu'un mécanisme des semaines provoque un mouvement relatif entre ce repère et cette graduation des semaines; mouvement relatif constitué par une révolution par an, et

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par le fait que ce mecanisme de semaines est entraîné par une seconde prise de force.

4. Dispositif selon la revendication 3, caractérisé par le fait qu'il comporte un affichage du jour de la semaine concentrique à l'affichage du numéro de la semaine, cet affichage comportant une graduation et un disque rotatif muni d'un index, ce disque étant entraîné à partir de la seconde prise de force.

5. Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la première prise de force est formée par l'axe des secondes du mouvement.

6. Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé par le fait que la seconde prise de force est formée par la chaussée du mouvement.

7. Dispositif selon la revendication 3 ou la revendication 4, caractérisé par le fait que l'affichage du numéro de la semaine et/ou celui des jours de la semaine est entraîné par la roue des heures, elle-même entraînée par la seconde prise de force.

8. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que l'affichage du numéro de la semaine comporte un disque rotatif portant la graduation coopérant avec un guichet du cadran.