CH663331A5

CH663331A5 - Chaussure de ski comportant un levier de deverrouillage de son dispositif de fermeture.

Info

Publication number: CH663331A5
Application number: CH1997/85A
Authority: CH
Inventors: Louis Benoit; Bernard Nerrinck
Original assignee: Salomon Sa
Priority date: 1984-05-18
Filing date: 1985-05-10
Publication date: 1987-12-15
Also published as: DE3514657A1; AT385640B; IT8520696A0; ATA124985A; US4672755A; FR2564327B1; IT1200478B; JPS60253403A; FR2564327A1

Description

La présente invention est relative aux chaussures de ski à entrée arrière comprenant un dispositif de fermeture à verrouillage de la tige sur le bas de jambe du skieur, et concerne plus particulièrement un levier permettant le dêverrouillage volontaire de cette fermeture. 20 De façon connue, ce type de chaussure comprend un bas de coque rigide sur lequel est articulée au moins en partie, autour d'un axe horizontal transversal, une tige composée d'une manchette et d'un capot arrière. Le capot arrière est lui-même articulé autour d'un axe horizontal transversal, qui peut être confondu avec le pré-25 cèdent, lié à la tige et/ou au bas de coque rigide de manière à

pouvoir basculer vers l'arrière pour permettre l'introduction du pied dans la chaussure dans un mouvement d'arrière en avant.

Pour que le chaussage soit efficace pour la pratique du ski et pour le confort du skieur, il est nécessaire d'assurer la fermeture et le 30 verrouillage de la tige sur le bas de jambe du skieur par assujettissement du capot arrière à la manchette.

Il est classique pour ce faire de pourvoir la manchette de chaque côté de points d'ancrage généralement réglables, à crochet et crémaillère, pour un câble qui, passant de part et d'autre sur le capot 35 arrière dans des guides, peut être tendu au moyen d'un levier de manœuvre articulé sur le capot arrière et verrouillable en position de fermeture. Ce levier se présente sous la forme générale d'une plaque pleine, cambrée ou non et qui vient occuper une assez grande partie de la largeur de la partie dorsale du capot arrière. Le levier peut éga-40 lement se présenter sous la forme d'un U ou fer à cheval entre les branches duquel peut être disposé un organe de réglage pouvant assurer d'autres fonctions que la fermeture de la chaussure. Un tel levier est décrit dans la demande de brevet FR 84 02 900.

Par ailleurs, le même levier peut être prévu pour, outre la ferme-45 ture de la tige sur le bas de jambe, assurer dans la même manœuvre la tenue et le serrage du pied dans le bas de coque.

Le verrouillage dû à l'action du levier est obtenu par une disposition en genouillère formée par le guidage de câble avec renvoi d'angle sur le capot arrière, l'axe d'articulation du levier sur ce capot 50 et le point d'assujettissement du câble sur l'extrémité libre du levier. En rabattant le levier jusqu'au point mort de la genouillère, on obtient la fermeture et, en passant le point mort, le verrouillage.

Dans la recherche de la plus grande simplicité dans la manœuvre de fermeture et verrouillage de la chaussure, on a voulu supprimer 55 toute intervention manuelle du skieur comme par exemple dans la demande de brevet FR 83 20413 en proposant des dispositifs à levier à fermeture et verrouillage par rappel d'un ressort par exemple, l'ouverture nécessitant de la part du skieur une intervention volontaire pour le déverrouillage.

60 De même, dans certains dispositifs où la manœuvre de fermeture et verrouillage peut se faire directement au pied sans que le skieur doive se baisser, une intervention volontaire du skieur est nécessaire sur le levier pour provoquer le déverrouillage. Du fait du dispositif à genouillère, le déverrouillage nécessite jusqu'à présent une opération 65 (volontaire) qui ne peut guère être que manuelle pour relever le levier au-dessus du point mort, ce qui implique pratiquement que le skieur doive encore se baisser pour atteindre l'extrémité libre du levier.

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La présente invention, pour remédier à ces inconvénients, vise à proposer une chaussure permettant au skieur, sans se baisser, de déverrouiller la fermeture de cette chaussure en cassant la genouillère de verrouillage, par exemple par simple action du pied, que ce verrouillage soit automatique ou également commandé au pied.

Les caractéristiques techniques de l'invention qui font l'objet de la revendication 1, ainsi que d'autres de ses avantages, apparaîtront à la lumière de la description qui suit et pour l'intelligence de laquelle on se référera aux dessins dont:

— les figures 1,2 et 3 représentent respectivement trois types de chaussures équipés de leviers de déverrouillage conformément à l'invention, la figure 3a montrant en coupe un détail de la figure 3,

— la figure 4 montre en coupe partielle un dispositif de déverrouillage avec son accouplement au levier de verrouillage,

— les figures 5 et 6 illustrent les phases extrêmes du fonctionnement du dispositif de la figure 4 sur une chaussure, respectivement l'action de déverrouillage sur une chaussure fermée et la position de déverrouillage autorisant l'ouverture de la tige de la chaussure,

— la figure 7 représente une chaussure selon l'invention, mais équipée en outre d'un levier séparé et verrouillable pour le serrage du pied dans la coque,

— les figures 8, 9 et 10 montrent schématiquement, pour le même type de chaussure, le fonctionnement du dispositif, la figure 8 illustrant le déverrouillage, la figure 9 l'ouverture de la tige et le desserrage et la figure 10 le verrouillage de fermeture et de serrage du pied simultané par action sur un seul levier,

— les figures 11 et 12 sont deux variantes de la figure 4.

On voit aux figures 1, 2 et 3 une chaussure de ski à entrée arrière. Elle comporte de façon classique un bas de coque rigide 1 venu d'une pièce avec une semelle 2. Sur le bas de coque 1 est articulée autour d'un axe transversal au moins approximativement horizontal 3 une tige constituée par une manchette 4 et un capot arrière 5. La chaussure renferme de préférence un chausson intérieur 6 en matériau moelleux.

La fermeture de la tige sur le bas de jambe du skieur est obtenue par la coopération d'un câble 7 et d'un levier de manœuvre 8. Le câble 7 est ancré latéralement de part et d'autre sur la manchette 4, par exemple avec au moins un dispositif réglable à crochet et crémaillère 9 comme il est bien connu, ou bien peut être guidé sur ou dans la manchette 4 en entourant la partie antérieure du bas de jambe du porteur. Le câble 7 passe ensuite dans des guides latéraux 10 du capot arrière 5 avant de redescendre de part et d'autre de la zone dorsale de ce capot 5 jusqu'à aller s'assujettir par ancrage ou en la traversant à l'extrémité inférieure du levier de manœuvre 8. Ce levier 8 est articulé à son extrémité supérieure autour d'un axe 11 transversal porté par le capot 5 et est manœuvrable dans le sens de l'ouverture (flèche F) à l'encontre d'un dispositif à ressort (non représenté). Le fonctionnement de ce dispositif d'ouverture, fermeture (automatique ou non grâce au ressort) et verrouillage en fermeture du capot 5 sur la manchette 4 est connu en soi et ne nécessite donc pas d'autre développement.

A la figure 1, le levier 8 se présente sous la forme d'un U laissant entre ses branches un espace où est disposé un organe de réglage (non référencé), par exemple pour le serrage et la tenue du pied dans la coque 1, comme il est connu. Aux figures 2 et 3, par contre, le levier 8 se présente sous une forme pleine.

Dans ces trois cas, la chaussure est représentée en position fermée et verrouillée par l'effet de la genouillère constituée par le guidage 10 du câble 7 sur le capot arrière 5, l'axe d'articulation 11 du levier 8 sur ce capot 5 et l'assujettissement du câble 7 au levier 8, comme cela a déjà été évoqué plus haut.

Selon l'invention, au levier 8 est associé un second levier 12 articulé ici sur le même axe 11 du capot arrière 5 que le levier de verrouillage 8, la position relative des parties formant palier sur l'axe 11 de chacun des leviers 8 et 12 est sans importance, mais l'illustration de la figure 4 correspond au cas où l'articulation du second levier 12 est entre les paliers de l'articulation du levier de verrouillage 8.

Le second levier 12, appelé aussi par la suite levier de déverrouillage, se présente ici d'une manière générale dans le prolongement du levier de verrouillage 8 du côté opposé de l'articulation 11 et sa direction générale faisant avec la direction de celui-ci, dans le plan longitudinal moyen de la chaussure, un angle tel que, le levier de verrouillage étant en position de verrouillage, ce second levier 12 ou du moins son extrémité 13, qui peut avantageusement avoir une forme générale de spatule ou de cuiller, soit suffisamment proéminent par rapport au contour du capot arrière 5 pour qu'il puisse être actionné sans difficulté par le second pied du skieur. A cet effet, on notera que, dans le cas où l'extrémité 13 est en forme de spatule ou de cuiller, la forme bombée de cet organe est tournée vers l'extérieur de la tige de sorte que l'impact d'ouverture par le choc au pied soit dans tous les cas assuré. De même, aux figures 4 et 12, l'extrémité 13 des leviers 12 sera avantageusement pourvue d'un arrondi 13' permettant d'obtenir une composante approximativement horizontale lors de l'effort d'ouverture au pied venant appuyer sur ladite extrémité arrondie du levier de déverrouillage.

Au droit de l'articulation 11, sur le capot 5, les deux leviers 8 et 12 sont accouplés en rotation au moins unidirectionnelle, de sorte que le verrouillage du levier 8 entraîne le levier de déverrouillage 12 vers sa position proéminente ou «sortie» (flèches F à la figure 4) et, en sens contraire, que la rotation du levier de déverrouillage 12 vers sa position rentrée entraîne le déverrouillage du levier de verrouillage 8 (position en traits mixtes à la figure 4). Comme représenté à la figure 4, cet accouplement peut se faire par des parties 14, 15 de chacun des leviers 8, 12 coopérant en butée positive, à une distance appropriée de l'axe d'articulation 11 pour que le bras de levier entre cette butée 14, 15 de l'axe 11 autorise à la fois un verrouillage et un déverrouillage sûrs et faciles à obtenir sans effort anormal.

Ce fonctionnement est très schématiquement illustré aux figures 5 et 6. A la figure 5, la chaussure est verrouillée et le levier de déverrouillage 12 sorti. Une poussée par exemple exercée par l'autre pied sur le levier 12 en direction du capot arrière (flèche interrompue) provoque la levée du levier 8 en cassant l'effet de la genouillère 10, 11, 8 et le déverrouillage de la chaussure (flèche non interrompue). On arrive donc à la position de la figure 6 où une poussée sur le levier 8 de la même manière (flèche interrompue) va rétablir le verrouillage par la genouillère 10, 11, 8 en faisant sortir le levier de déverrouillage 12.

Pour des raisons d'esthétique et de protection essentiellement, et comme représenté aux figures 3 et 3a, le levier de déverrouillage 12, au-dessus de l'articulation 11, peut être logé dans une cavité du capot arrière 5 et caché par une membrane souple 16. Dans cette disposition, l'extrémité 13 du levier ne «sort» plus à proprement parler, même si ce terme peut néanmoins être utilisé par analogie avec ce qui précède. L'action de déverrouillage se fait en appuyant sur la surface de la membrane souple 16 (flèche interrompue à la figure 3a), laquelle va solliciter l'extrémité 13 du levier de déverrouillage 12. Pour que la chaussure appuyant sur la membrane 16 agisse de façon plus sûre, la membrane sera avantageusement cannelée dans le sens horizontal.

On voit à la figure 7 une chaussure présentant sensiblement les mêmes caractéristiques que précédemment mais avec, en plus, au-dessus du levier de verrouillage 8, un levier séparé 17 pour actionner un dispositif de serrage interne du pied dans la coque. Ce levier de serrage 17, articulé sur le capot arrière 5, sur l'axe 11 ou, de préférence, au-dessus, également à genouillère, commande de façon connue en soi, par un câble 18, l'appui sur le cou-de-pied du skieur d'un dispositif de tenue du pied 19. A la figure, le levier de verrouillage 8 est verrouillé et le levier de serrage 17 relevé, donc non actif, et occulte l'extrémité supérieure du levier de déverrouillage 12.

Le fonctionnement de cet ensemble est à peu de chose près analogue au précédent. Il est illustré par les figures 8, 9 et 10. A la figure 8, les leviers de verrouillage 8 et de serrage du pied 17 sont verrouillés et le levier de déverrouillage 12 sorti. Une poussée sur ce levier 12 (flèche interrompue) provoque le déverrouillage simultané des leviers 8 et 17, le levier de déverrouillage 8 entraînant vers le

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haut, avec lui, le levier de serrage 17, comme évoqué par les flèches à la figure 9. Lorsque l'on vient de chausser la chaussure, et avant verrouillage, on se trouve dans la situation illustrée à la figure 10. Une action sur le levier de serrage du pied 17 (flèche), par exemple au pied, entraîne le serrage du pied et le verrouillage des deux leviers 17 et 8, le premier entraînant le second dans son mouvement de rotation.

Dans ce qui précède, on a considéré que le levier de verrouillage 8 et le levier de déverrouillage 12 avaient un axe d'articulation commun 11 sur le capot arrière 5. Cette disposition, si elle peut sembler avantageuse, n'est cependant pas nécessaire. Comme l'illustrent les figures 11 et 12, le levier de déverrouillage 12 peut avoir un axe d'articulation 11' sur le capot arrière 5, distinct de l'axe 11 et situé à un niveau inférieur à celui-ci, comme représenté, ou à un niveau supérieur. Selon que la butée 15 du levier de déverrouillage 12 coopérant avec celle 14 du levier de verrouillage 8 sera ou non du même côté de l'extrémité de manœuvre 13, par rapport à l'axe 11', 5 l'action à exercer pour le déverrouillage se fera dans un sens ou dans l'autre comme l'indiquent les flèches F.

De la description qui précède, on voit que, dans tous les cas où une chaussure à entrée arrière peut être verrouillée par un levier de fermeture de la manchette sur le bas de jambe du skieur, le levier de io déverrouillage permet par simple intervention de l'autre pied, donc sans que le skieur doive se baisser, de rompre la genouillère assurant le verrouillage, et cela même si au levier de verrouillage est associé un second levier actionnant un dispositif de serrage interne du pied.

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4 feuilles dessins

Claims

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REVENDICATIONS

1. Chaussure de ski à entrée arrière, cette chaussure comprenant une tige constituée d'une manchette (4) et d'un capot arrière (5), le capot au moins étant articulé autour d'un axe transversal (3) par rapport à une coque rigide (1), et un dispositif de verrouillage de fermeture, la fermeture s'opérant par tension d'un câble (7) ancré latéralement (9) de chaque côté de la manchette (4) ou l'entourant sur le devant, guidé (10) sur le capot arrière (5) et assujetti à l'extrémité inférieure d'un levier de manœuvre de fermeture et" verrouillage (8), lui-même articulé à sa partie supérieure autour d'un axe transversal

(11) sur le capot arrière (5), caractérisée par le fait que le dispositif de verrouillage de fermeture comporte un levier de déverrouillage

(12) associé au levier de verrouillage (8) pour permettre à l'utilisateur de rompre la genouillère constituée par le guidage (10), l'axe d'articulation (11) au levier de verrouillage (8) et l'assujettissement du câble (7) au levier de verrouillage (8) et qui assure le verrouillage de la chaussure en fermeture.
2. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le levier de déverrouillage (12) est articulé sur le capot arrière (5) autour de l'axe transversal (11) du levier de verrouillage (8).
3. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le levier de déverrouillage (12) est articulé sur le capot arrière (5) autour d'un axe (11') distinct de l'axe (11) du levier de verrouillage (8).
4. Chaussure selon la revendication 3, caractérisée par le fait que l'axe (11') du levier de déverrouillage (12) est situé en dessous de l'axe (11) du levier de verrouillage (8).
5. Chassure selon la revendication 3, caractérisée par le fait que l'axe (11') du levier de déverrouillage (12) est situé au-dessus de l'axe (11) du levier de verrouillage (8).
6. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait que le levier de verrouillage (8) et le levier de déverrouillage (12) coopèrent par une butée positive (14,15) au moins unidirectionnelle, de sorte que la manœuvre du levier de verrouillage (8) vers la position de verrouillage amène le levier de déverrouillage (12) en position telle qu'il puisse être actionné et que la manœuvre du levier de déverrouillage (12) à partir de cette position fasse quitter au levier de verrouillage (8) sa position verrouillée en rompant la genouillère (10,11, 8).
7. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisée par le fait que l'extrémité libre (13) du levier de déverrouillage (12) est, en position de verrouillage, proéminente par rapport au capot arrière (5) de manière à pouvoir être actionnée directement par le second pied de l'utilisateur.
8. Chaussure selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'extrémité libre (13) du levier de déverrouillage (12) a une forme de spatule ou de cuiller dont la forme bombée est tournée vers l'extérieur de la tige.
9. Chaussure selon la revendication 7, caractérisée par le fait que l'extrémité libre (13) du levier de déverrouillage (12) comporte un arrondi (13') du côté extérieur à la tige, de sorte qu'il serve de zone d'impact aux efforts d'ouverture.
10. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisée par le fait que le levier de déverrouillage (12) est logé dans une cavité du capot arrière (5) et protégé au moins au droit de son extrémité libre (13) par une membrane souple (16).
11. Chaussure selon la revendication 9, caractérisée par le fait que la membrane souple (16) a une surface cannelée.
12. Chaussure selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisée par le fait qu'elle comporte en outre un levier de serrage verrouillable (17) actionnant un dispositif de tenue du pied (19) interne à la coque rigide (1) par l'intermédiaire d'un câble (18).
13. Chaussure selon la revendication 11, caractérisée par le fait que le levier de serrage (17) est articulé à genouillère sur le capot arrière (5) de manière à être disposé au-dessus du levier de déverrouillage (8).
14. Chaussure selon la revendication 12, caractérisée par le fait que le verrouillage en fermeture de la chaussure et le serrage du pied en position verrouillée sont simultanés, le levier de serrage (17) entraînant le levier de verrouillage (8) jusqu'à la position de verrouil-

5 läge des deux leviers (17, 8).
15. Chaussure selon la revendication 13, caractérisée par le fait que les déverrouillages de fermeture et de serrage sont simultanés, le levier de verrouillage (8) libéré par le levier de déverrouillage (12) entraînant le levier de serrage (17) vers sa position déverrouillée.

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