CH661179A5 - Machine pour l'etendage de pates alimentaires. - Google Patents

Description

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REVENDICATIONS

1. Machine pour l'étendage de pâtes alimentaires, disposée entre la filière (1) d'une presse de confection et l'entrée d'un séchoir, caractérisée en ce qu'elle comprend:

— un carter oscillant de prélèvement (3) propre à se déplacer an-gulairement d'une première orientation, suivant laquelle une paroi perforée (5) portée par ledit carter vient se disposer parallèlement à la nappe verticale de brins (2) issue de la filière (1), à une seconde orientation pour laquelle ladite paroi perforée est disposée à l'horizontale;

— des moyens (12-13-14) pour engendrer et faire cesser cycli-quement un effet de succion au niveau de la paroi perforée (5) ;

— un mécanisme mobile de coupe (23-25) apte à sectionner les brins de pâte (2) qui viennent s'appliquer contre la paroi perforée (5) du carter (3) par suite de l'effet de succion, et

— un dispositif de transfert à tapis mobiles (33, 37) agencé de manière à recueillir les brins de pâte (2) libérés de la paroi perforée (5) amenée à l'orientation horizontale et à transporter lesdits brins jusque sur les claies mobiles (38) du séchoir.

2. Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que la paroi perforée (5) est portée par un caisson (3) monté à coulissement longitudinal à l'intérieur d'une ouverture pratiquée dans le carter de prélèvement (3), lequel caisson est associé à des moyens (6) l'animant d'un déplacement alternatif en synchronisme avec le déplacement angulaire dudit carter.

3. Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le carter de prélèvement (3) est porté par un châssis (15) animé d'un mouvement oscillant en synchronisme avec le déplacement angulaire dudit carter, afin que la paroi perforée (5) se déplace verticalement à une vitesse linéaire égale à celle de la nappe de brins de pâte (2).

4. Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens de succion comprennent d'une part au moins un ventilateur (12) dont l'ouïe d'aspiration est reliée à l'espace intérieur du carter de prélèvement (3), et d'autre part un volet d'obturation (13) court-circuitant l'espace intérieur précité.

5. Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le mécanisme de coupe comprend un chariot (23) associé à des moyens (29-30) aptes à le déplacer alternativement le long de la paroi perforée (5), lequel chariot supporte au moins un couteau tournant (25) entraîné en rotation par un moteur (26).

6. Machine suivant la revendication 5, caractérisée en ce que le mécanisme de coupe comprend trois couteaux tournants (25) calés en superposition sur un même arbre vertical (24) entraîné par le moteur (26), les deux couteaux extrêmes étant disposés immédiatement au-delà des bords horizontaux de la paroi perforée (5) tandis que le couteau central est partiellement engagé dans une fente longitudinale (5a) de ladite paroi.

7. Machine suivant la revendication 1, caractérisée en ce que le dispositif de transfert comprend une première série de tapis mobiles (33) portés par un transporteur (36) animé d'un déplacement longitudinal en synchronisme avec le déplacement angulaire du carter de prélèvement (3), afin d'avancer d'une distance égale à la largeur d'un tapis (33) à la fin de chaque cycle d'étendage, et une seconde série de tapis mobiles (37) agencés de manière à recueillir les brins de pâte (2) successivement déposés sur une rangée de tapis (33) en vue de les transférer sur l'une des claies de séchage (38) amenées par le mécanisme du séchoir.

8. Machine suivant la revendication 7, caractérisée en ce que les tapis mobiles (37) de la seconde série sont animés d'une vitesse de déplacement supérieure à celle des tapis mobiles (33) de la première série.

9. Machine suivant la revendication 7, caractérisée en ce que les deux séries de tapis mobiles (33, 37) sont entraînées par un moteur unique (39) qui, par l'intermédiaire de deux transmissions (42 et 43), est relié à un pignon (49, 52) solidaire en rotation de l'un des deux tambours qui supportent chaque tapis mobile, la sélection étant opérée à l'aide de deux vérins (47, 51) associés à des bâtis mobiles (46, 50).

10. Machine suivant la revendication 9, caractérisée en ce que le pignon (52) de chacun des tapis mobiles (37) de la seconde série est 5 en prise avec un pignon (57) du mécanisme qui assure l'avance des claies de séchage (38) à l'intérieur du séchoir.

On sait que dans l'industrie des pâtes alimentaires, et tout particulièrement dans celle des pâtes dites «longues», du genre des spaghetti, macaroni et similaires, on désigne sous le nom «étendage» 15 l'opération qui consiste à prélever les brins de pâte qui sortent en continu de la filière de la presse de confection et à les disposer régulièrement sur les supports mobiles d'un séchoir à fonctionnement permanent.

Le système d'étendage le plus répandu consiste à déposer les 20 brins de pâte à cheval sur des supports en forme de bâtons, mais il implique la nécessité d'ôter ces derniers lorsque les pâtes sont sèches et de scier les brins en longueurs d'emballage.

Si ce système simplifié convient encore assez bien pour le format spaghetti de 1 à 2 mm de diamètre, il provoque des déchets de 25 sciage, des ruptures et des pertes de brins non négligeables pour certains formats délicats comme les macaroni percés de gros diamètre et les lasagnes plates ou frisées de 10 à 70 mm de largeur. On notera par ailleurs que ces formats posent de gros problèmes pour le pesage automatique des doses lors de l'emballage.

30 La présente invention a pour objet une machine d'étendage qui, par rapport aux machines usuelles, permet de fonctionner à des cadences élevées, même avec les formats délicats cités plus haut, tout en formant automatiquement des rangées de brins de belle présentation sur des claies de séchage, ces rangées étant précises en ce qui 35 concerne le nombre de brins, leur longueur et leur poids, au point qu'il suffit de déterminer au départ le nombre de brins et leur longueur pour être assuré d'un poids précis de chaque rangée sèche , prête à être emballée automatiquement.

La machine d'étendage suivant l'invention est caractérisée en ce 40 qu'elle comprend:

— un carter oscillant de prélèvement propre à se déplacer angu-lairement d'une première orientation, suivant laquelle une paroi perforée portée par ledit carter vient se disposer parallèlement à la nappe verticale de brins issue de la filière, à une seconde orientation

45 pour laquelle ladite paroi perforée est disposée à l'horizontale;

— des moyens pour engendrer et faire cesser cycliquement un effet de succion au niveau de la paroi perforée;

— un mécanisme mobile de coupe apte à sectionner les brins de pâte qui viennent s'appliquer contre la paroi perforée du carter par

50 suite de l'effet de succion, et

— un dispositif de transfert à tapis mobiles agencé de manière à recueillir les brins de pâte libérés de la paroi perforée du carter amené à l'orientation horizontale, et à transporter lesdits brins jusque sur les claies mobiles du séchoir.

55 La description qui va suivre en référence au dessin annexé permettra de mieux comprendre l'invention. Sur ce dessin:

La fig. 1 est une vue en perspective montrant de manière schématique l'agencement général d'une forme de réalisation de la machine d'étendage suivant l'invention.

60 La fig. 2 est une coupe verticale à plus grande échelle du carter de prélèvement et du mécanisme mobile de coupe de cette machine.

La fig. 3 est une coupe de détail suivant le plan vertical indiqué en III-III en fig. 2.

La fig. 4 illustre schématiquement les déplacements du carter os-65 cillant de prélèvement et de la paroi perforée dont ledit carter est équipé.

La fig. 5 est une vue de côté montrant l'agencement du dispositif de transfert.

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Aux fig. 1 et 2 de ce dessin, la référence 1 désigne la filière d'une presse usuelle, laquelle filière émet de manière continue une nappe verticale de brins de pâte indiqués en 2 à la fig. 2. Au-dessous de cette filière 1 est monté un carter oscillant 3 à profil semi-cylindrique, qui s'ouvre latéralement en direction de la nappe de brins 2; dans cette ouverture est engagé, de manière pratiquement étanche, un caisson coulissant 4 pourvu d'une paroi perforée 5 orientée verticalement.

Le caisson 4, convenablement guidé dans l'ouverture du carter 3, est déplacé dans celle-ci par deux vérins latéraux 6 dont le corps est fixé à la paroi du carter 3 tandis que l'organe mobile 6a vient s'attacher à une entretoise intérieure 7 du caisson précité; on observera que les deux organes mobiles 6a, agencés à la manière d'une crémaillère, coopèrent avec des pignons 8 calés sur deux arbres 9, de façon à obtenir un déplacement précis de l'ensemble du caisson 4.

La fig. 3 illustre le montage oscillant du carter 3. Chacune des extrémités de celui-ci est conformée pour présenter une portée cylindrique 3 a engagée à rotation à l'intérieur d'une bride latérale 10a ménagée dans un bâti creux 10. Le carter 3 peut ainsi se déplacer angulairement et affecter deux orientations différentes sous l'effet d'un vérin 11 (fig. 2), dont la partie mobile est attelée à une patte 3b dudit carter.

A chacun des deux bâtis creux 10 est associé un ventilateur 12 (fig. 1) dont l'ouïe d'aspiration est équipée d'un volet tournant d'obturation 13, lequel est actionné à l'ouverture et à la fermeture par un petit vérin 14. On observera que, lorsque les volets 13 sont à la position fermée, chaque ventilateur 12 aspire à l'intérieur du bâti creux correspondant, de telle sorte qu'un effet de succion est engendré au niveau de la paroi perforée 5 du caisson mobile 4.

L'ensemble formé par les deux ventilateurs 12, les bâtis creux 10 et le carter 3 muni de son caisson 4 est porté par un châssis 15 qui, comme plus particulièrement illustré à la fig. 4, est suspendu à basculement à deux consoles fixes 16, solidaires de la structure générale de la machine. A l'opposé du carter 3, ce châssis basculant 15 est équipé de galets 17 qui portent contre deux cames 18 calées sur un même arbre 19, lequel est entraîné en rotation de manière continue à une vitesse appropriée. On notera que c'est sur cet arbre 19 que sont montés les organes destinés à la commande des distributeurs pneumatiques associés aux différents vérins de la machine et des contac-teurs électriques qui assurent l'alimentation des moteurs de celle-ci. En fig. 1, on a supposé que l'arbre 19 était entraîné par un moteur électrique 20, et l'on comprend que lorsque celui-ci est en fonctionnement, les cames 18 impartissent au châssis 15 un mouvement vertical alternatif.

La paroi antérieure des bâtis creux 10 supporte deux guides horizontaux 21 (fig. 2) orientés parallèlement à la paroi perforée 5. Ces guides 21 coopèrent avec des galets 22 portés par un chariot 23 qui forme support pour un arbre vertical 24, lequel est équipé de trois couteaux tournants 25 superposés; les deux couteaux 25 fixés en bout de l'arbre 24 sont disposés immédiatement au-delà des parois latérales du caisson mobile 4, tandis que le couteau central est engagé dans une fente longitudinale 5a de la paroi perforée 5 dudit caisson.

Le mécanisme de coupe ainsi constitué est entraîné en rotation par un moteur électrique 26 fixé latéralement contre le chariot 23 et relié à l'arbre 24 par une transmission 27. Par ailleurs, ce chariot 23 est déplacé alternativement le long des guides 21 par un taquet 28 engagé entre des portées verticales dudit chariot; le taquet 28 est solidaire d'une chaîne 29 tendue entre deux roues 30, dont l'une est calée sur un arbre horizontal 31 entraîné par le moteur électrique référencé 32 en fig. 1.

On décrira maintenant en référence à fig. 4 le fonctionnement de la partie de la machine qui vient d'être décrite.

On supposera que l'ensemble des pièces mobiles est à la position indiquée en traits interrompus, en ce sens que le châssis basculant 15 est en position haute, le carter 3 s'ouvre horizontalement en direction de la nappe de brins de pâte 2 et le caisson mobile 4 est à la position «sortie», pour laquelle la paroi perforée 5 est disposée immédiatement au droit de ladite nappe.

Au début d'un cycle d'étendage, les volets d'obturation 13 sont commandés à la fermeture, de telle sorte que, par suite de l'effet de succion ainsi déterminé au niveau de la paroi perforée 5, la nappe 2 vient se coller contre ladite paroi. Simultanément, le châssis basculant 15 se déplace vers le bas sous l'effet des cames 18, les vitesses linéaires de la nappe 2 et de la paroi perforée 5 étant égales. En même temps encore, le mécanisme de coupe porté par le chariot 23 entame une course longitudinale, si bien que les couteaux 25 sectionnent la nappe 2; la partie supérieure de celle-ci reste attachée à la filière 1, tandis que les deux parties centrales sont appliquées contre la paroi perforée 5 et la partie inférieure est éliminée comme rebut pour être réincorporée par la suite dans la presse.

Immédiatement après que le mécanisme de coupe a atteint sa fin de course les vérins 6 amènent le caisson 4 à la position «rentrée» en même temps que le vérin 11 fait pivoter le carter 3 qui affecte alors la position verticale représentée en trait plein à la fig. 4. Le châssis 15 arrive à sa fin de course basse et le caisson 4 est ramené par les vérins 6 à sa position «sortie». Les volets d'obturation 13 sont ouverts, de telle sorte que l'effet de succion cesse au niveau de la paroi perforée 5 et que les deux parties de la nappe 3 qui étaient collées contre ladite paroi sont libérées et sont recueillies sur une paroi horizontale référencée A à la fig. 4.

A ce moment, le châssis 15 remonte, le caisson 5 revient à sa position «rentrée» et le carter 3 pivote à l'horizontale, si bien qu'on retourne à la position initiale et qu'un nouveau cycle d'étendage peut avoir lieu.

En fait, la paroi horizontale A de la fig. 4 est constituée par la partie amont du dispositif de transfert représenté à la fig. 5. Cette partie amont est formée par une série de tapis sans fin 33 dont chacun est prévu sous forme double afin de recueillir les deux parties de la nappe de brins 2 déposées par le caisson 4 du carter 3 lors de chaque cycle d'étendage. Le bâti 34 qui supporte chaque tapis double 33 relie l'un à l'autre les maillons correspondants de deux chaînes sans fin 35, lesdites chaînes et bâtis constituant le transporteur globalement référencé 36 à la fig. 1. L'une des roues de ce transporteur 36 est animée, par un moteur d'entraînement non représenté, d'un mouvement de rotation saccadé en synchronisme avec les cycles d'étendage, comme on l'exposera plus en détail ci-après.

Le dispositif de transfert comprend une seconde série de tapis doubles sans fin, référencés 37 et dont le nombre est un sous-multiple de celui des tapis 33. Les tapis 37 sont disposés à la suite des tapis 33 qui occupent le brin supérieur du transporteur 36, étant noté que comme montré en fig. 5 leur extrémité amont se trouve située légèrement au-dessous de l'extrémité aval des tapis 33. A son tour, l'extrémité aval des tapis 37 vient se disposer au-dessus du bord arrière des claies 38 (fig. 1) qui traversent l'ensemble de l'enceinte de séchage (non représentée) à laquelle la machine d'étendage est associée.

Les deux séries de tapis doubles 33 et 37 sont entraînées par un moteur électrique unique 39 qui est relié par une transmission 40 à un arbre intermédiaire 41 qui est lui-même relié par des transmissions indépendantes 42 et 43 à deux arbres 44 et 45. L'arbre 44,

porté par un bâti oscillant actionné par deux vérins 47, supporte une série de pignons 48 en nombre égal à celui des tapis doubles 33; chacun de ceux-ci est formé par deux bandes parallèles qui sont tendues entre deux paires de rouleaux, et entre les deux rouleaux de chacune de ces paires est calé un pignon central 49 qui est susceptible d'être entraîné en rotation par le pignon correspondant 48 lorsque les vérins 47 ont été actionnés pour amener le bâti oscillant 46 à sa position haute.

L'arbre 45 est disposé immédiatement en amont de la seconde série de tapis doubles 37. Les tambours qui supportent ces tapis 37 sont montés sur un bâti général 50, susceptible d'être déplacé verticalement par deux vérins 51 entre une position haute et une position basse. Chacun des tapis doubles 37 est agencé de la même manière que les tapis 33 et comprend de ce fait un pignon central 52 relié par

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une transmission appropriée à un pignon d'entraînement 53.qui, en fonction de la position haute ou basse du bâti 50, est apte à venir en prise soit avec un pignon 54 lié par un pignon de renvoi 55 à l'arbre 45 susmentionné, soit avec un pignon inférieur 56 qu'une chaîne 57 relie au mécanisme qui assure l'avance des claies 38 à travers l'ensemble du séchoir.

Le fonctionnement du dispositif de transfert découle des explications qui précèdent et se comprend aisément.

Comme exposé plus haut, à chaque cycle d'étendage le caisson 4 du carter 3 vient déposer deux rangées de brins de pâte sur l'un des tapis doubles 33. Dès que le caisson 4 s'est rétracté vers le haut pour permettre le pivotement du carter 3, le transporteur 36 avance d'une distance correspondant à un maillon de ses chaînes 35, de telle sorte que c'est le tapis double adjacent 33 qui recueille les brins de pâte lors du cycle d'étendage suivant.

Lorsque le transporteur 36 a ainsi recueilli les brins de pâte d'un nombre de cycles d'étendage correspondant au nombre de tapis doubles 37, le moteur 39 est automatiquement mis en marche en même temps que les vérins 47 et 51 sont commandés à l'extension. Dans ces conditions, les tapis doubles 33 et 37 sont mis en mouvement, de telle sorte que les brins de pâte sont éliminés des tapis 33 pour être recueillis sur les tapis 37. On observera que si les déplacements des deux séries de tapis doivent obligatoirement être simultanés, les vitesses ne sont pas forcément égales et l'on peut avantageusement établir l'une des transmissions 42 ou 43 de façon telle que la vitesse linéaire de déplacement des tapis 37 soit légèrement supérieure à celle des tapis 33, ce qui permet d'obtenir un espacement plus favorable des brins de pâte sur les tapis 37 de la seconde série et s sur les claies de séchage 38.

Dès que les brins ont été recueillis sur les tapis doubles 37, les vérins 47 et 51 sont commandés à la contraction, si bien que le bâti 46 oscille vers le bas en faisant ainsi cesser l'entraînement des tapis 33, et que le bâti 50 s'abaisse, de sorte que les tapis 37 déchargent io progressivement leur contenu sur l'une des claies 38, avantageusement pourvues de séparations longitudinales sur leur face supérieure.

L'ensemble de la machine est alors prêt à opérer le chargement d'une nouvelle claie 38.

On conçoit que les opérations peuvent se dérouler de manière en-15 tièrement automatique, sans aucune intervention manuelle, en ne nécessitant finalement la présence que d'un seul surveillant. On notera que le mécanisme de coupe assure la régularité parfaite de la longueur des brins de pâte soumis au séchage, de telle sorte que le contenu des différents compartiments de chaque claie 38 est identi-20 que et peut être directement emballé sans aucune opération de contrôle.

Différentes variantes de réalisation peuvent être envisagées, notamment en ce qui concerne le châssis basculant 15 qui est susceptible de se déplacer le long de guides verticaux.

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4 feuilles dessins