5. Dispositif de contrôle selon la revendication 2, caractérisé en ce que les deuxièmes moyens de couplage sélectif contiennent un premier et un second coupleurs optoélectroniques (COI mî C02) comprenant chacun une diode et un transistor, le transistor de chaque coupleur (T4, T5) saturé par le passage du courant, engendré dans un sens déterminé à la sortie des premiers moyens, dans la diode de ce coupleur, de sorte qu'un signal est engendré à une sortie correspondante des deuxièmes m moyens.
La transmission de signaux électriques entre un circuit émetteur et un circuit récepteur se fait généralement par des conducteurs. Ceux-ci sont le plus souvent équipés à leurs extrémités de bornes ou cosses permettant d'établir ou non le contact entre l'émetteur et le récepteur par l'intermédiaire du conducteur qui les relie. Dans de nombreux cas, l'émetteur et le récepteur sont des éléments stationnaires, mis en contact soit de façon permanente, soit sur une période de temps relativement longue. Il suffit alors de s'assurer du bon contact établi entre les deux éléments au début de l'opération de transfert de signaux à effectuer. Lorsque le contact établi aux deux extrémités du conducteur se fait par l'enfichage de broches de dimensions relativement grandes, la présence de parasites tels que poussières ou tout autre impureté isolante n'est pas gênante, et, dans ce cas, un contrôle de qualité de contact ne s'impose pas.
Il en est tout autrement si de par ses faibles dimensions une broche mal enfichée, en raison par exemple de la présence d'impuretés au fond de la cavité où elle est introduite, établit un mauvais contact, préjudiciable à l'exploitation des signaux électriques que doit normalement recevoir le récepteur. Un contrôle de contact s'impose d'autant plus qu'il s'agit d'un récepteur portatif, souvent manipulé et placé dans des endroits mal protégés des impuretés. Le problème de la qualité du contact se pose encore davantage lorsque les signaux sont transmis sous la forme d'impulsions brèves émises à fréquence relativement élevée. Dans ce cas, une impureté au niveau du contact établi par la broche peut induire un effet capacitif parasite non négligeable, dans les conditions de transmission envisagées plus haut, et, de ce fait, certaines des impulsions émises par l'émetteur peuvent disparaître à l'entrée du récepteur.
Cette possibilité doit être envisagée notamment, dans le cas où les circuits émetteur et récepteur sont des circuits logiques constitués de composants discrets ou intégrés. La liaison de tels circuits est destinée à l'échange de données digitales par la transmission d'impulsions d'un circuit à l'autre selon un rythme donné. Dans le cas où les données échangées doivent être traitées en synchronisme dans chacun des circuits, un conducteur est réservé à la transmission d'impulsions dites «d'horloge» assurant ce synchronisme. Dans cet exemple d'application d'un contact inséré entre deux circuits logiques pour la transmission soit d'impulsions d'horloge, soit d'impulsions correspondant à des données digitales, on mesure l'importance de contrôler la qualité d'un contact tout le temps de la transmission d'impulsions, permettant de s'assurer ainsi de la validité des données échangées et du synchronisme de fonctionnement des deux circuits.
Une méthode courante consiste à contrôler la qualité d'un contact entre un circuit émetteur et un circuit récepteur, en mesurant la tension à l'entrée du récepteur. Si le contact est bon, la tension recueillie à l'entrée du récepteur est une fonction déterminée de la tension mesurée à la sortie de l'émetteur. Une autre méthode est décrite dans le brevet Français No 2 237 381 appartenant à la titulaire et concernant «une carte portative pour système de traitement de signaux électriques et procédé de fabrication de cette carte». Dans ce cas, les contacts électriques entre une carte portative et un système de traitement de données se font par des broches enfichées dans des évidements pratiqués dans la carte jusqu'au niveau de plages terminales de conducteurs en liaison directe avec un dispositif récepteur de traitement de signaux. Ladite méthode consiste à appliquer une tension prédéterminée entre deux électrodes introduites dans deux évidements face à une plage terminale d'un même conducteur relié au dispositif récepteur et/ou émetteur. Le contact est bon si l'on détecte le passage d'un courant prédéterminé entre les deux évidements et la plage terminale.
Bien que cette dernière méthode soit simple pour effectuer un contrôle efficace des contacts tels que ceux situés au niveau d'une carte portative pouvant être émetteur ou récepteur de
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signaux, les moyens qu'elle met en œuvre sont surtout adaptés à un contrôle réalisé avant la mise en liaison de la carte avec un système de traitement de données. En effet ces moyens auraient l'inconvénient d'être trop encombrants pour les laisser en permanence joints à la carte, surtout dans les cas où celle-ci est une s carte de crédit dont les dimensions sont normalisées. Par ailleurs dans ce cas précis, il est nécessaire de contrôler la qualité d'un contact au niveau de la carte lorsque celui-ci assure une liaison électrique avec la carte fonctionnant en récepteur. Quand la carte est émettrice de signaux vers le système de traitement de m données par un contact situé au niveau de la carte, la qualité de celui-ci peut être vérifiée au niveau du système par des moyens connus, faciles à mettre en œuvre, consistant par exemple à contrôler les données reçues par des moyens logiciels.
Un des objets de l'invention est de disposer de moyens de î s contrôle permanents fonctionnant pendant toute la durée de la transmission de signaux d'un émetteur vers un récepteur.
Un autre objet de l'invention est de disposer de moyens permettant d'éviter d'effectuer un contrôle à l'entrée d'un récepteur. 20
Selon l'invention, un dispositif de contrôle de contact inséré entre un circuit émetteur situé en amont, et un circuit récepteur situé en aval, le contact étant réalisé pour transmettre en série à une entrée du circuit récepteur des signaux électriques correspondant à des états logiques 1 et 0 engendrés par le circuit 25 émetteur, est caractérisé en ce qu'il est constitué d'un premier circuit situé en amont du contact, en sortie du circuit émetteur et d'un second circuit situé, en aval du contact, à l'entrée du circuit récepteur; le premier circuit étant conçu pour engendrer à une première sortie reliée au second circuit, si le contact est bon, un ni courant d'un sens déterminé ou de sens contraire en présence d'un signal, émis par le circuit émetteur, correspondant à l'état logique 1 ou 0; le second circuit étant conçu pour engendrer à une sortie à l'entrée du circuit récepteur un signal correspondant à l'état logique engendré par le circuit émetteur en présence du 35 courant de sens correspondant émis par le premier circuit, le premier circuit émettant un signal à une seconde sortie en présence dudit courant, de sorte que ce signal indique que le contact est bon.
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Les caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront dans la description suivante donnée à titre d'exemple non limitatif et en se référant aux figures annexées.
La figure 1 est un schéma de principe d'un dispositif de contrôle de contact, selon l'invention ; 45
La figure 2 est un schéma de principe du premier circuit contenu dans le dispositif de la figure 1 selon l'invention.
La figure 3 est un exemple de réalisation du premier circuit des figures 1 et 2 et du second circuit de la figure 1.
A la figure 1 un contact BSO est inséré entre un circuit 50 émetteur E et un circuit récepteur R. Le circuit émetteur E est conçu pour émettre successivement des signaux électriques pouvant avoir l'un des deux états logiques 1 et 0. A la figure 1, le circuit E engendre ces signaux, désignés respectivement par SE et SE, par deux sorties 10 et 11 émettant des signaux correspon- 55 dants, à l'état logique 1. Lorsque le contact BSO est bon, il fonctionne en interrupteur fermé assurant la transmission en aval d'un signal émis en amont. Si le contact BSO est mauvais, il fonctionne en interrupteur ouvert qui ne transmet aucun signal d'amont en aval. Le dispositif de contrôle du contact BSO selon f)(, l'invention est constitué, à la figure 1, d'un premier circuit Cl en amont du contact et d'un second circuit C2 en aval du contact.
Le circuit Cl a deux entrées 12 et 13 respectivement reliées aux sorties 10 et 11 du circuit émetteur E et une sortie 14 reliée à une entrée 15 du circuit C2, lorsque le contact BSO est bon. ft5 Le circuit C2 est relié par une sortie 16 à l'entrée 20 du circuit récepteur R. Le circuit Cl est conçu pour engendrer à sa sortie 14 un courant II d'un premier sens déterminé (de gauche à
droite à la figure 1) lorsqu'il reçoit à son entrée 12 un signal SE, seulement si le contact BSO est bon. Le circuit Cl engendre à sa sortie 14 un courant 12 d'un second sens déterminé (de droite à gauche à la figure 1) lorsqu'il reçoit à son entrée 13 un signal SE, seulement si le contact BSO est bon. Le circuit Cl est en outre conçu pour engendrer un signal à une autre sortie 17 en présence de l'un des courants II et 12 à sa sortie 14. Le circuit C2 est conçu pour engendrer à sa sortie 16 un signal ER soit égal à l'état logique 1 (engendré par le circuit émetteur) en présence du courant II à son entrée 15, soit égal à l'état logique 0, (engendré par le circuit émetteur) en présence du courant 12 à son entrée 15. Ainsi par des moyens de détection, non inclus dans le dispositif de contrôle D, recevant le signal émis à la sortie 17 du circuit Cl, il est possible de vérifier que le contact BSO est bon.
Le circuit Cl de la figure 1 comprend, à la figure 2, des premiers moyens Ml convertisseurs conçus pour convertir l'un des deux signaux SE et SE reçu à l'une des entrées 12 et 13 du circuit Cl en un courant II ou 12, tel que ces courants ont été définis dans la description qui précède, à condition que le contact BSO soit bon. Des deuxièmes moyens M2 de couplage sélectif reliant par une entrée 21 les moyens Ml à la sortie 14 du circuit Cl, sont conçus pour engendrer à deux sorties 22 et 23 des signaux à un état logique déterminé en présence respectivement des courants II et 12 traversant ces moyens M2 (selon le signal SE ou SE émis par le circuit E). Des troisièmes moyens M3 mélangeurs sont connectés par deux entrées 24 et 25 respectivement aux sorties 22 et 23. Les moyens M3 sont conçus pour engendrer un signal (à la sortie 17 du circuit Cl) en présence de l'un des deux signaux émis respectivement aux sorties 22 et 23 des moyens M2. Ainsi en présence de l'un des deux courants II et 12 traversant les moyens M2, un signal est envoyé au détecteur DCB, des figures 1 et 2, permettant de vérifier que le contact BSO de la figure 1 est bon.
Les moyens Ml de la figure 2 comprennent, à la figure 3, deux circuits identiques et 1 et et 2 constitués respectivement de portes NON ET à collecteur ouvert (Cil et CI2), de résistance R2 et R8, de transistors TI et T3, de diodes Dl et D3 et de résistance RI et R4. Deux entrées des circuits CI 1 et CI2 sont reliées respectivement aux sorties 10 et 11, des figures 1 et 2, par l'intermédiaire des entrées le et 13 des moyens Ml, une autre entrée des circuits Cil et CI2 étant reliée à une troisième sortie 30 du circuit émetteur, des figures 1 et 2. Les résistances R2 et R8 sond respectivement connectées entre les sorties des circuits CU et CI2 et les bases des transistors T1 et T3. La diode D1 est branchée entre une borne de tension VI et la base du transistor Tl. La Diode D3 est branchée entre une borne de tension V2 et la base du transistor T3. La résistance RI est branchée entre la borne de tension Vi et l'émetteur du transistor Tl tandis que la résistance R4 est branchée entre la borne de tension V2 et l'émetteur du transistor T3. Les moyens Ml comprennent un troisième circuit et 3 constitué d'un transistor T2, d'une diode D2 et d'une résistance R3, ces derniers étant branchés entre une borne de tension V4 et respectivement la base et l'émetteur du transistor T2. Les moyens Ml sont reliés à l'entrée 21 des moyens M2, de la figure 2, par l'interconnexion des collecteurs des transistors TI et T2. A la figure 3, les moyens M2 comprennent deux circuits identiques constitués respectivement de coupleurs optoélectroniques COI et C02 et des résistances R5 et R6. Les coupleurs COI et C02 contiennent respectivement des diodes émettrices de lumière D5 et D6 et des transistors photosensibles T4 et T5 dont les émetteurs sont reliés à une borne de tension V3. Les diodes D5 et D6 sont reliées entre elles en série par une boucle qui est fermée sur l'entrée 21, cette boucle étant d'autre part reliée à la sortie 14 par une connexion située entre les diodes D5 et D6. Les résistances R5 et R6 sont branchées entre la borne de tension
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V2 et respectivement les collecteurs des transistors T4 et T5. Les moyens M3 comprennent, à la figure 3, deux circuits inverseurs CI3 et CI4 dont les entrées dont respectivement reliées aux collecteurs des transistors T4 et T5, et dont les sorties sont reliées à deux entrées d'un circuit OU exclusif CI6, s contenu dans les moyens M3. Par la sortie 17 des moyens M3, des figures 2 et 3, une sortie du circuit CI6 est reliée au détecteur DCB, des figures 1,2,3. Le contact BSO des figures 1 et 2, est réalisé, à la figure 3, par deux broches BS et BO respectivement reliées à la sortie 14 des moyens M2, des figures i» 2 et 3, et à une borne de tension V3. Une diode D4 et une résistance R7 du circuit C2 sont montées en parallèle entre l'entrée 15 de ce circuit et respectivement la broche BO et une borne de tension V3. Un circuit inverseur CI5 du circuit C2 a une entrée reliée à l'entrée 15 tandis que sa sortie est reliée à i s l'entrée 20 du circuit récepteur R par l'intermédiaire de la sortie 16 du circuit C2. Les tensions VI, V2, V3, V4 des différentes bornes de la figure 3 (qui sont dans un ordre décroissant des valeurs positives aux valeurs négatives) sont fournies, par exemple par quatre sorties d'une alimentation commune non repré- :o sentée à la figure 3.
Quand un signal SE émis à la sortie 10 du circuit émetteur E (correspondant à l'état logique 1) est envoyé à une des entrées du circuit CI 1, un signal est engendré à la sortie à collecteur ouvert de celui-ci en présence d'un signal de validation VE émis "• par la sortie 30 du circuit émetteur E. Le signal traversant la résistance R2 permet de débloquer le transistor Tl qui présente alors un courant émetteur lei égal, en valeur absolue, à un courant II engendré au collecteur du transistor Tl qui est envoyé à l'entrée 21 des moyens M2. ni
Le courant II ainsi engendré est exprimé en fonction de la tension VD1 d'effet Zener aux bornes de la diode D1 et de la l'entrée 21. Le courant 12 ainsi engendré est exprimé en fonction de la tension VD2 d'effet Zener aux bornes de la diode
D2 et de la résistance R3, par la relation Ie2
VD212 R3
= 12
résistance RI, par la relation IC1
absolue.
VD1 RI
= 11, en valeur
Les transistors T2 et T3 étant bloqués, le courant II traverse les moyens M2 par la diode D5 du coupleur COI, puis par la sortie 14, il traverse le contact broche BS, la résistance R7 et le 40 contact broche BO. La différence de potentiel présente aux bornes de la résistance R7 (égale en valeur absolue au produit (R7 X II) engendre un premier état logique à l'entrée de l'inverseur CI5 qui envoie à la sortie 16 le signal ER, correspondant à l'état logique 1 engendré par le circuit émetteur. Le 45 passage du courant II dans la diode D5 sature le transistor T4. La différence de potentiel présente alors aux bornes de la résistance R5 engendre un premier état logique à l'entrée de l'inverseur CI3. En sortie du circuit CI3 est engendré un signal envoyé à une première entrée du circuit CI6 dont le signal 50 résultant est envoyé par la sortie 17 au détecteur DCB, indiquant que le contact est bon.
Quand un signal SE émis à la sortie 11 du circuit émetteur E (correspondant à l'état logique 0) est envoyé à une des entrées du circuit CI2, un signal est engendré à la sortie à collecteur 55 ouvert de celui-ci en présence d'un signal de validation VE émis par la sortie 30 du circuit émetteur E. Le signal traversant la résistance R8 permet de débloquer le transistor T3 qui présente alors un courant émetteur Ie3 égal, en valeur absolue, à un courant engendré au collecteur du transistor T3 qui, traversant 60 la diode D2, débloque le transistor T2. Un courant émetteur Ie2, qui traverse la résistance R3, est égal en valeur absolue à un courant 12 engendré au collecteur du transistor T2 relié à
en valeur absolue. Le transistor T1 est alors bloqué. Le courant 12 ainsi engendré traverse le contact broche BO, la diode D4, le contact broche BS et la diode D6 du coupleur C02. La différence de potentiel présente aux bornes de la diode D4 engendre un second état logique à l'entrée de l'inverseur CI5 qui envoie à la sortie 16 le signal ER correspondant à l'état logique 0 engendré par le circuit émetteur E. Le passage du courant 12 dans la diode D6 du coupleur C02 sature le transistor T5. La différence de potentiel présente alors aux bornes de la résistance R6 engendre un premier état logique à l'entrée de l'inverseur CI4. En sortie du circuit CI4 est engendré un signal envoyé à une seconde entrée du circuit CI6 dont le signal est envoyé par la sortie 17 au détecteur DCB, indiquant que le contact est bon.
S'il n'y a aucune anomalie dans les circuits du dispositif D de la figure 1, et si par contre le contact constitué par les deux broches BS et BO est mauvais, ni le courant li ne peut traverser la résistance R7 ni le courant 12 ne peut traverser la diode D4 dans les cas où le circuit E émet soit le signal SE, soit le signal SE. Dans ces deux cas aucun courant ne traverse les diodes D5 et D6 et, les transistors T4 et T5 n'étant pas saturés, les entrées des circuits CI3 et CI4 sond dans un second état logique. De ce fait aucun signal n'est envoyé aux deux entrées du circuit OU exclusif CI6 qui n'engendre donc pas de signal à la sortie 17. Une porte ET CI7, contenue dans les moyens M3, dont les deux entrées sont respectivement reliées aux sorties des circuits CI3 et CI4 n'engendre aucun signal à une sortie 26 des moyens M3 dans le cas où le contact est mauvais. Si, par contre, le contact est bon, mais qu'une anomalie existe dans les circuits des moyens M2, les signaux présents aux sorties des circuits CI3 et CI4 sont envoyés aux entrées de la porte ET Cl7 qui engendre un signal à la sortie 26. En connectant un détecteur d'anomalie DAN à la sortie 26, il est ainsi possible de déterminer la cause d'une erreur détectée par le détecteur DCB, à savoir, un mauvais contact BSO ou une anomalie dans le dispositif D de contrôle. Les détecteurs DCB et DAN consistent par exemple en de simples voyants lumineux. Le dispositif D de contrôle, objet de la présente invention, permet donc de détecter à tout moment une erreur de transmission qui survient en cours de fonctionnement des circuits émetteur et récepteur quand ceux-ci échangent des informations.