CH527462A - Montre-chronographe - Google Patents
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Description
La présente invention a pour objet une montrechronographe dans laquelle le mécanisme du chronographe, dans sa quasi-totalité, est porté par un bâti indépendant se fixant de façon amovible au bâti du mouvement. Cette montre est caractérisée par le fait que ce bâti, fixé au-dessus des ponts du mouvement, comporte une plaque sur une face de laquelle sont disposés le. mobile de chronographe, un compteur de minutes et un compteur d'heures, le mécanisme comportant, située sur la même face de ladite plaque, une bascule dite baladeur portant deux roues intermédiaires dont l'une est actionnée, lorsque le mécanisme de chronographe est en position de marche, par un doigt tournant avec le mobile de chronographe et dont l'autre porte un doigt actionnant une roue supplémentaire en prise avec la roue du compteur d'heures. Il est à remarquer que l'on connaît des montreschronographes dans lesquelles les organes du mécanisme du chronographe sont portés dans leur quasi-totalité par un bâti indépendant comportant, entre autres, une platine auxiliaire et un pont, ce bâti étant fixé de façon amovible au bâti du mouvement de la montre. On connaît également des montres-chronographes comprenant un mobile de chronographe, un compteur de minutes et un compteur d'heures, dans lesquelles le mécanisme de chronographe comprend une bascule portant une roue intermédiaire actionnée, lorsque le chronographe est en position de marche, par un doigt tournant avec le mobile de chronographe ; la roue intermédiaire actionne le compteur d'heures par un second doigt. Dans ces exécutions, tous les organes du mécanisme, notamment les compteurs d'heures et de minutes, sont montés sur la même face du mouvement, du côté des ponts. Toutefois, cette dernière construction ne s'applique qu'aux montres de poche. En effet, s'il fallait l'appliquer aux montres-bracelets, la miniaturisation nécessiterait une réduction correspondante de l'ensemble des organes du chronographe dont la plupart, dans ce cas, deviendraient alors sous-dimensionnés. Pour permettre d'appliquer un mécanisme de ce genre à une montre-bracelet, il a fallu étaler le mécanisme de manière qu'il occupe un pourcentage de la surface totale du mouvement supérieur à ce qui s'était fait précédemment, ce qui a permis de réaliser un calibre de la dimension générale d'une montre-bracelet, sans toutefois que les organes individuels du mécanisme de chronographe aient à être sous-dimensionnés. Un tel étalement du mécanisme de chronographe entraîne, inévitablement, un déplacement des centres des aiguilles des compteurs de minutes et d'heures. Dès lors, des considérations esthétiques entrent en ligne de compte qui, du point de vue du succès commercial de la pièce, jouent un rôle appréciable. Dans la présente construction, il a été tenu compte du fait qu'une fois atteinte une certaine distance entre les axes des compteurs de minutes et d'heures, il est pratiquement nécessaire, du point de vue esthétique, de placer ces deux axes sur un même diamètre. Ces données de base étant établies, il a fallu concevoir et réaliser un mécanisme y répondant. Les deux clefs de la solution adoptée résident dans la deuxième roue intermédiaire de la bascule d'une part, et dans la roue supplémentaire actionnant le compteur d'heures d'autre part. Cette solution permet l'étalement recherché du mécanisme de chronographe, grâce auquel les organes de ce dernier sont de dimensions convenables quand bien même l'ensemble peut s'inscrire dans un calibre de montre-bracelet ; elle permet également que les centres des compteurs de minutes et d'heures soient situés sur un même diamètre. Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention. La fig. 1 est une vue en plan de la montre, illustrant le mécanisme de chronographe à l'arrêt. La fig. 2 est une vue analogue à celle de la fig. 1, en position de marche du chronographe. La fig. 3 est une vue analogue à celles des fig. 1 et 2, en position de remise à zéro du chronographe. Les fig. 4 à 7 sont des coupes suivant les lignes IVIV, V-V, VI- VI et VU-VU, respectivement, de la fig. 2. La ig. 8 est une coupe d'un détail, à échelle agrandie. La fig. 9 est une vue en plan d'un détail, également à échelle agrandie. Le mécanisme de chronographe de la montre représentée comprend un bâti formé d'une plaque de base ou platine 1 et de deux ponts 2 et 3 fixés à la plaque de base 1 par des piliers 80 (fig. 6). La plaque de base est elle-même fixée directement à la platine 81 du mouvement de la montre au moyen de piliers 82 s'étendant sur toute la hauteur de ce mouvement. L'un de ces piliers 82 est représenté à la fig. 8 traversant librement un trou 83 ménagé dans le pont de finissage 84 du mouvement. L'axe mobile de chronographe, désigné par 4, porte une roue de chronographe 5 ainsi qu'un coeur 6 de remise à zéro. La roue de chronographe 5 est entraînée, lorsque le chronographe est en marche, par un pignon 7 (fig. 4) dont l'axe 8 est pivoté entre le pont de finissage 84 du mouvement et une barrette 9 fixée en porte à faux sur une bascule 10, dite d'embrayage, pivotée autour d'une vis à portée 11 vissée dans un pilier 85 porté par le bâti du chronographe (fig. 7). Cette bascule 10 est soumise à l'action d'un ressort de rappel 12 qui tend à la maintenir dans la position représentée à la fig. 2 dans laquelle le pignon 7 est en prise avec la roue de chronographe 5. L'axe 8 du pignon d'entraînement 7 porte un second pignon 86 (fig. 4) engrenant avec une roue de prise de force ou roue entraîneuse 87 montée sur l'extrémité de l'axe 88 du mobile de seconde 89-90 du mouvement, qui se prolonge au-delà du pont de finissage 84 de ce dernier. Le pignon 86 commandé par la roue entraîneuse 87 est constamment en prise avec celle-ci, alors que le pignon 7 n'est en prise avec la roue 5 que lorsque le chronographe est en marche, le désengrènement du pignon 7 et de la roue 5 étant provoqué par un mouvement oscillant ou de basculement de l'axe 8 provoqué lui-même par les déplacements de la bascule d'embrayage 10. Il est à remarquer que la denture du pignon 7, de même que celle de la roue de chronographe 5, est une denture fine, à dents pointues, permettant un accouplement facile de ces deux organes. La bascule d'embrayage 10 étant relativement éloignée de la plaque de base 1, elle est supportée par deux piliers 13 portant chacun une vis 14 sous la tête de laquelle coulisse la bascule, ce qui la maintient en hauteur. Une butée excentrique 15, portée par la plaque de base 1, limite les déplacements de la bascule 10 sous l'effet de son ressort de rappel 12. Cette butée permet de régler la position de travail de la bascule 10 et, par conséquent la valeur de l'engrènement du pignon 7 dans la roue 5. Il est à remarquer que la bascule 10, avec les organes qu'elle porte et compte tenu de la force qu'exerce sur elle son ressort de rappel 12, a été équilibrée par rapport à son axe de rotation 11, de manière que des chocs latéraux que subirait la montre ne produisent aucun déplacement de la bascule et par conséquent aucun débrayage intempestif du chronographe. Un tel débrayage serait particulièrement fâcheux si le choc l'occasionnant se produisait dans une direction sensiblement perpendiculaire à l'aiguille de chronographe, car ce choc ne manquerait pas alors de provoquer un brusque saut de cette aiguille. Un ressort-lame 16 agit axialement sur une portée de l'axe 4 pour produire sur ce dernier une friction empêchant tout ébat de l'aiguille de chronographe. Les déplacements de la bascule d'embrayage 10 sont produits par le marteau de remise à zéro du chronographe, désigné par 17, articulé en 18 sur le bâti du chro5 nographe. Ce marteau présente un talon 17a portant une butée excentrique 19 agissant sur une partie terminale 10a, en forme de patin, de la bascule d'embrayage 10, lorsque le chronographe est en position d'arrêt et de remise à zéro, pour déplacer la bascule 10 à rencontre de l'action de son ressort de rappel 12 et désaccoupler ainsi le pignon 7 de la roue de chronographe 5. Le marteau 17 de remise à zéro du chronographe est solidaire de deux plaques superposées dont l'une, désignée par 20, forme entretoise, et dont l'autre, désignée par 21, est découpée de façon à former une came avec laquelle coopère d'une part un ressort-sautoir 22 agissant sur trois surfaces de portée 23, 24 et 25 de cette came, pour assurer la stabilité de trois positions distinctes du marteau, et d'autre part une bascule 26, dite inver0 seur, servant à la commande des déplacements du marteau et agissant alternativement sur deux surfaces d'appui 27 et 28 de la came 21. L'inverseur 26 constitue l'un de deux éléments d'une bascule de commande du marteau dont le second élé5 ment est constitué par une pièce coulissante 29, appelée commande, guidée par deux chevilles 30 et 31 traversant deux ouvertures allongées 32, respectivement 33, de cette commande 29. Le poussoir de mise en marche et d'arrêt du chronographe, représenté schématiquement 0 par la flèche 34, agit directement sur la commande 29 pour la déplacer, en un mouvement de translation à rencontre de l'action d'un ressort de rappel 35. L'extrémité de la commande 29 présente une encoche 36 dans laquelle pénètre un doigt 26a de l'inverseur 26, sous l'action d'un ressort de rappel 37 agissant sur une cheville 38 portée par l'inverseur, ce ressort étant par ailleurs fixé à la commande 29. Grâce à cette disposition, l'inverseur 26 est articulé sur l'extrémité de la commande 29 tout en étant sollicité par le ressort 37 de manière à se maintenir en appui sur les deux surfaces terminales de la commande situées de part et d'autre de son encoche 36. Une bascule de remise à zéro 39 est articulée en 40 sur le bâti du chronographe. Le poussoir de remise à zéro, représenté schématiquement par la flèche 41, agit sur cette bascule pour la faire pivoter dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à encontre de l'action du ressort de rappel 35. La bascule 39 agit, par son extrémité opposée à son point de pivotement, sur la plaque 21 formant came, solidaire du marteau 17, pour amener ce dernier en position de mise à zéro (fig. 3) dans laquelle sa panne, désignée par 17b, coopère avec le coeur 6 de remise à zéro du chronographe. Il est à remarquer que la bascule 39 se termine par un nez 39a agencé de manière à s'arc-bouter contre une partie 21a de la came 21, au cas où la bascule de remise à zéro serait manoeuvrée lorsque le chronographe est en marche, empêchant ainsi le marteau d'être intempestivement amené dans sa position de travail. Grâce au fait que les surfaces d'appui 27 et 28 de la came 21 sont situées de part et d'autre de l'axe géométrique passant par le centre d'articulation 18 de la came et par le point d'articulation 36 de l'inverseur 26 sur la commande 29, l'inverseur agit sur la came pour la déplacer alternativement dans un sens ou dans l'autre selon la position qu'elle occupe : Lorsque le chronographe est en marche (fig. 2), l'extrémité de l'inverseur 26 agit, lorsqu'une pression est exercée sur le poussoir 34, sur la surface d'appui 27 de la came 21 pour faire tourner le marteau 17 dans le sens des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que l'extrémité de l'inverseur bute contre la partie circulaire de la came 21 située entre les surfaces d'appui 27 et 28, ce qui stoppe le déplacement de la commande 29 et de l'inverseur 26. La came 21 et le marteau 17 occupent alors leur position intermédiaire correspondant à l'arrêt du chronographe. Au cours de ce mouvement de la commande 29 et de l'inverseur 26, l'inverseur pivote légèrement autour de son point d'articulation 36, dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Lorsque la pression exercée sur le poussoir 34 est relâchée, la commande 29 revient dans sa position initiale, sous l'effet de son ressort de rappel 35. Le contact entre l'extrémité de l'inverseur 26 et la came 21 étant ainsi interrompu, l'inverseur est libéré et revient, sous l'action de son ressort de rappel 37, dans sa position d'appui contre les deux surfaces terminales de la commande 29 situées de part et d'autre de l'encoche 36 de celle-ci. Dès lors, si une nouvelle pression est exercée sur le poussoir 34, l'inverseur 26 attaque alors la surface d'appui 28 de la came 21 pour faire tourner celle-ci en sens inverse à celui des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce qu'il bute contre la surface circulaire de la came située entre les deux surfaces d'appui, ramenant ainsi le chronographe en position de marche. Lorsqu'une pression est exercée sur la bascule de remise à zéro 39 alors que le chronographe est en position d'arrêt (fig. 1), l'extrémité de la bascule 39 agit sur la came 21 pour amener le marteau 17 dans sa position de remise à zéro (fig. 3), dans laquelle le marteau est maintenu par l'action du ressort-sautoir 22 coopérant avec la surface d'appui 23 de la came 21. Lorsque le marteau occupe la position de remise à zéro, une pression exercée sur le poussoir 34 amène l'inverseur 26 à coopérer avec la surface d'appui 28 de la came 21 pour produire la rotation de celle-ci et, par conséquent, du marteau, en sens contraire à celui des aiguilles de la montre, ce qui relève le marteau et ramène le chronographe en position de marche. Le chronographe comprend un frein ou bloqueur 43, articulé sur un pilier 44 (fig. 6), et qui présente un bras élastique 43a prenant appui sur une cheville 45 portée par la platine de base 1, ce bras le rappelant ainsi élastiquement dans sa position de travail (fig. 1) dans laquelle sa partie 46, formant patin, agit radialement sur la roue de chronographe 5 pour la bloquer. Lors de la mise en marche du chronographe, une cheville 47 portée par le marteau 17 agit sur le bloqueur 43 pour le soulever à rencontre de l'action de son ressort de rappel 43a et séparer sa partie 46 de la roue 5, libérant ainsi cette dernière. De même, lors de la remise à zéro du chronographe, une cheville 48 portée par l'extrémité de la bascule de remise à zéro 39 agit sur l'extrémité du bloqueur 43 pour le soulever et libérer la roue 5, permettant ainsi au marteau 17 de faire tourner librement le mobile de chronographe. II est à remarquer qu'une fois que la pression exercée sur le poussoir 41 est relâchée, après la remise à zéro, le bloqueur 43 revient de lui-même en position de travail, sous l'action de son ressort de rappel 43a. De ce fait, lors de la mise en marche effectuée par une pression exercée sur le poussoir 34, le bloqueur reste en position de travail après que la panne 17b du marteau 17 a quitté le coeur 6, le bloqueur n'étant soulevé par la cheville 47 du marteau qu'à fin de course de ce dernier, seulement l'entraînement du chronographe est assuré par l'engrènement du pignon 7 avec la roue 5. La synchronisation des deux fonctions - engrènement du pignon 7 avec la roue 5 et libération de cette roue par le bloqueur 43 - s'obtient en faisant tourner l'excentrique 19 constituant la butée de commande de la bascule d'embrayage 10. Le chronographe comporte un compteur de minutes, faisant un tour en trente minutes, dont l'axe 49 est pivoté entre la plaque de base 1 et le pont 2 du bâti du chronographe et se prolonge à travers un manchon tubulaire constituant l'axe de rotation de la masse oscillante, excentrée, du remontoir automatique du mouvement. Cet axe 49 porte une roue de compteur 50 en prise avec une première tour intermédiaire 51 montée rotativement sur une bascule 52, appelée baladeur, articulée ellemême sur un excentrique 53 porté par la planche de base 1 du bâti du chronographe. Ce baladeur est logé dans une noyure 91 ménagée dans la plaque 1 (fig. 45 et 6). L'axe du chronographe porte un doigt de commande 92 (fig. 4), dont la position angulaire est réglable, agissant, une fois par tour, sur la roue 51 pour l'entraîner d'une dent. Le rapport entre les roues 50 et 51 étant de 1 :1, la roue 50 est également entraînée pas à pas d'une dent, un sautoir 54 agissant sur elle pour assurer la stabilité de ses positions d'arrêt. L'axe 49 porte un coeur de remise à zéro 55 avec lequel coopère une seconde panne, désignée par 17c, que présente le marteau 17. Il est à remarquer qu'une vis à tête conique 56, prenant dans l'entretoise 20, permet d'agir sur la panne 17c, légèrement élastique, du marteau 17, pour la déformer légèrement et régler ainsi de façon exacte sa position par rapport à la panne 17b. Le chronographe comporte un compteur de demiheures, faisant un tour en douze heures, dont l'axe 57 est pivoté entre la plaque de base 1 et le pont 3 du bâti du chronographe (fig. 5) et se prolonge à travers une ouverture ménagée dans une goutte que présente la platine 81 du mouvement, cette goutte recevant la roue de couronne montée rotativement sur elle. L'axe 57 porte une roue 58. avec laquelle coopère un ressort-sautoir 59, engrenant avec une roue 60 portée par un axe 61, également pivoté entre la planche de base 1 et le pont 3. Le baladeur 52 porte une seconde roue intermédiaire, 62, en prise avec la première, dont l'axe, 63, porte un doigt de commande 95 agissant, une fois par tour, sur la roue 60. Ce doigt de commande 95 (fig. 5 et 9) est déformable de manière que sa position radiale, et par conséquent sa pénétration dans la denture de la roue 60, soient réglables. Sa position angulaire est également réglable, ce doigt étant solidaire d'un moyeu fendu 95a monté à friction sur l'axe 63 de la roue 62. La présente invention a pour objet une montrechronographe dans laquelle le mécanisme du chronographe, dans sa quasi-totalité, est porté par un bâti indépendant se fixant de façon amovible au bâti du mouvement. Cette montre est caractérisée par le fait que ce bâti, fixé au-dessus des ponts du mouvement, comporte une plaque sur une face de laquelle sont disposés le. mobile de chronographe, un compteur de minutes et un compteur d'heures, le mécanisme comportant, située sur la même face de ladite plaque, une bascule dite baladeur portant deux roues intermédiaires dont l'une est actionnée, lorsque le mécanisme de chronographe est en position de marche, par un doigt tournant avec le mobile de chronographe et dont l'autre porte un doigt actionnant une roue supplémentaire en prise avec la roue du compteur d'heures. Il est à remarquer que l'on connaît des montreschronographes dans lesquelles les organes du mécanisme du chronographe sont portés dans leur quasi-totalité par un bâti indépendant comportant, entre autres, une platine auxiliaire et un pont, ce bâti étant fixé de façon amovible au bâti du mouvement de la montre. On connaît également des montres-chronographes comprenant un mobile de chronographe, un compteur de minutes et un compteur d'heures, dans lesquelles le mécanisme de chronographe comprend une bascule portant une roue intermédiaire actionnée, lorsque le chronographe est en position de marche, par un doigt tournant avec le mobile de chronographe ; la roue intermédiaire actionne le compteur d'heures par un second doigt. Dans ces exécutions, tous les organes du mécanisme, notamment les compteurs d'heures et de minutes, sont montés sur la même face du mouvement, du côté des ponts. Toutefois, cette dernière construction ne s'applique qu'aux montres de poche. En effet, s'il fallait l'appliquer aux montres-bracelets, la miniaturisation nécessiterait une réduction correspondante de l'ensemble des organes du chronographe dont la plupart, dans ce cas, deviendraient alors sous-dimensionnés. Pour permettre d'appliquer un mécanisme de ce genre à une montre-bracelet, il a fallu étaler le mécanisme de manière qu'il occupe un pourcentage de la surface totale du mouvement supérieur à ce qui s'était fait précédemment, ce qui a permis de réaliser un calibre de la dimension générale d'une montre-bracelet, sans toutefois que les organes individuels du mécanisme de chronographe aient à être sous-dimensionnés. Un tel étalement du mécanisme de chronographe entraîne, inévitablement, un déplacement des centres des aiguilles des compteurs de minutes et d'heures. Dès lors, des considérations esthétiques entrent en ligne de compte qui, du point de vue du succès commercial de la pièce, jouent un rôle appréciable. Dans la présente construction, il a été tenu compte du fait qu'une fois atteinte une certaine distance entre les axes des compteurs de minutes et d'heures, il est pratiquement nécessaire, du point de vue esthétique, de placer ces deux axes sur un même diamètre. Ces données de base étant établies, il a fallu concevoir et réaliser un mécanisme y répondant. Les deux clefs de la solution adoptée résident dans la deuxième roue intermédiaire de la bascule d'une part, et dans la roue supplémentaire actionnant le compteur d'heures d'autre part. Cette solution permet l'étalement recherché du mécanisme de chronographe, grâce auquel les organes de ce dernier sont de dimensions convenables quand bien même l'ensemble peut s'inscrire dans un calibre de montre-bracelet ; elle permet également que les centres des compteurs de minutes et d'heures soient situés sur un même diamètre. Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention. La fig. 1 est une vue en plan de la montre, illustrant le mécanisme de chronographe à l'arrêt. La fig. 2 est une vue analogue à celle de la fig. 1, en position de marche du chronographe. La fig. 3 est une vue analogue à celles des fig. 1 et 2, en position de remise à zéro du chronographe. Les fig. 4 à 7 sont des coupes suivant les lignes IVIV, V-V, VI-VI et VII-Vil, respectivement, de la fig. 2. La fig. 8 est une coupe d'un détail, à échelle agrandie. La fig. 9 est une vue en plan d'un détail, également à échelle agrandie. Le mécanisme de chronographe de la montre représentée comprend un bâti formé d'une plaque de base ou platine 1 et de deux ponts 2 et 3 fixés à la plaque de base 1 par des piliers 80 (fig. 6). La plaque de base est elle-même fixée directement à la platine 81 du mouvement de la montre au moyen de piliers 82 s'étendant sur toute la hauteur de ce mouvement. L'un de ces piliers 82 est représenté à la fig. 8 traversant librement un trou 83 ménagé dans le pont de finissage 84 du mouvement. L'axe mobile de chronographe, désigné par 4, porte une roue de chronographe 5 ainsi qu'un coeur 6 de remise à zéro. La roue de chronographe 5 est entraînée, lorsque le chronographe est en marche, par un pignon 7 (fig. 4) dont l'axe 8 est pivoté entre le pont de finissage 84 du mouvement et une barrette 9 fixée en porte à faux sur une bascule 10, dite d'embrayage, pivotée autour d'une vis à portée 11 vissée dans un pilier 85 porté par le bâti du chronographe (fig. 7). Cette bascule 10 est soumise à l'action d'un ressort de rappel 12 qui tend à la maintenir dans la position représentée à la fig. 2 dans laquelle le pignon 7 est en prise avec la roue de chronographe 5. L'axe 8 du pignon d'entraînement 7 porte un second pignon 86 (fig. 4) engrenant avec une roue de prise de force ou roue entraîneuse 87 montée sur l'extrémité de l'axe 88 du mobile de seconde 89-90 du mouvement, qui se prolonge au-delà du pont de finissage 84 de ce dernier. Le pignon 86 commandé par la roue entraîneuse 87 est constamment en prise avec celle-ci, alors que le pignon 7 n'est en prise avec la roue 5 que lorsque le chronographe est en marche, le désengrènement du pignon 7 et de la roue 5 étant provoqué par un mouvement oscillant ou de basculement de l'axe 8 provoqué lui-même par les déplacements de la bascule d'embrayage 10. Il est à remarquer que la denture du pignon 7, de même que celle de la roue de chronographe 5, est une denture fine, à dents pointues, permettant un accouplement facile de ces deux organes. La bascule d'embrayage 10 étant relativement éloignée de la plaque de base 1, elle est supportée par deux piliers 13 portant chacun une vis 14 sous la tête de laquelle coulisse la bascule, ce qui la maintient en hauteur. Une butée excentrique 15, portée par la plaque de base 1, limite les déplacements de la bascule 10 sous l'effet de son ressort de rappel 12. Cette butée permet de régler la position de travail de la bascule 10 et, par conséquent, la valeur de l'engrènement du pignon 7 dans la roue 5. Il est à remarquer que la bascule 10, avec les organes qu'elle porte et compte tenu de la force qu'exerce sur elle son ressort de rappel 12, a été équilibrée par rapport à son axe de rotation 11, de manière que des chocs latéraux que subirait la montre ne produisent aucun déplacement de la bascule et par conséquent aucun débrayage intempestif du chronographe. Un tel débrayage serait particulièrement fâcheux si le choc l'occasionnant se produisait dans une direction sensiblement perpendiculaire à l'aiguille de chronographe, car ce choc ne manquerait pas alors de provoquer un brusque saut de cette aiguille. Un ressort-lame 16 agit axialement sur une portée de l'axe 4 pour produire sur ce dernier une friction empêchant tout ébat de l'aiguille de chronographe. Les déplacements de la bascule d'embrayage 10 sont produits par le marteau de remise à zéro du chronographe, désigné par 17, articulé en 18 sur le bâti du chronographe. Ce marteau présente un talon 17a portant une butée excentrique 19 agissant sur une partie terminale 10a, en forme de patin, de la bascule d'embrayage 10, lorsque le chronographe est en position d'arrêt et de remise à zéro, pour déplacer la bascule 10 à l'encontre de l'action de son ressort de rappel 12 et désaccoupler ainsi le pignon 7 de la roue de chronographe 5. Le marteau 17 de remise à zéro du chronographe est solidaire de deux plaques superposées dont l'une, désignée par 20, forme entretoise, et dont l'autre, désignée par 21, est découpée de façon à former une came avec laquelle coopère d'une part un ressort-sautoir 22 agissant sur trois surfaces de portée 23, 24 et 25 de cette came, pour assurer la stabilité de trois positions distinctes du marteau, et d'autre part une bascule 26, dite inverseur, servant à la commande des déplacements du marteau et agissant alternativement sur deux surfaces d'appui 27 et 28 de la came 21. L'inverseur 26 constitue l'un de deux éléments d'une bascule de commande du marteau dont le second élément est constitué par une pièce coulissante 29, appelée commande, guidée par deux chevilles 30 et 31 traversant deux ouvertures allongées 32, respectivement 33, de cette commande 29. Le poussoir de mise en marche et d'arrêt du chronographe, représenté schématiquement par la flèche 34, agit directement sur la commande 29 pour la déplacer, en un mouvement de translation à l'encontre de l'action d'un ressort de rappel 35. L'extrémité de la commande 29 présente une encoche 36 dans laquelle pénètre un doigt 26a de l'inverseur 26, sous l'action d'un ressort de rappel 37 agissant sur une cheville 38 portée par l'inverseur, ce ressort étant par ailleurs fixé à la commande 29. Grâce à cette disposition, l'inverseur 26 est articulé sur l'extrémité de la commande 29 tout en étant sollicité par le ressort 37 de manière à se maintenir en appui sur les deux surfaces terminales de la commande situées de part et d'autre de son encoche 36. Une bascule de remise à zéro 39 est articulée en 40 sur le bâti du chronographe. Le poussoir de remise à zéro, représenté schématiquement par la flèche 41, agit sur cette bascule pour la faire pivoter dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre à l'encontre de l'action du ressort de rappel 35. La bascule 39 agit, par son extrémité opposée à son point de pivotement, sur la plaque 21 formant came, solidaire du marteau 17, pour amener ce dernier en position de mise à zéro (fig. 3) dans laquelle sa panne, désignée par 17b, coopère avec le coeur 6 de remise à zéro du chronographe. Il est à remarquer que la bascule 39 se termine par un nez 39a agencé de manière à s'arc-bouter contre une partie 21a de la came 21, au cas où la bascule de remise à zéro serait manoeuvrée lorsque le chronographe est en marche, empêchant ainsi le marteau d'être intempestivement amené dans sa position de travail. Grâce au fait que les surfaces d'appui 27 et 28 de la came 21 sont situées de part et d'autre de l'axe géométrique passant par le centre d'articulation 18 de la came et par le point d'articulation 36 de l'inverseur 26 sur la commande 29, l'inverseur agit sur la came pour la déplacer alternativement dans un sens ou dans l'autre selon la position qu'elle occupe : Lorsque le chronographe est en marche (fig. 2), l'extrémité de l'inverseur 26 agit, lorsqu'une pression est exercée sur le poussoir 34, sur la surface d'appui 27 de la came 21 pour faire tourner le marteau 17 dans le sens des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce que l'extrémité de l'inverseur bute contre la partie circulaire de la came 21 située entre les surfaces d'appui 27 et 28, ce qui stoppe le déplacement de la commande 29 et de l'inverseur 26. La came 21 et le marteau 17 occupent alors leur position intermédiaire correspondant à l'arrêt du chronographe. Au cours de ce mouvement de la commande 29 et de l'inverseur 26, l'inverseur pivote légèrement autour de son point d'articulation 36, dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre. Lorsque la pression exercée sur le poussoir 34 est relâchée, la commande 29 revient dans sa position initiale, sous l'effet de son ressort de rappel 35. Le contact entre l'extrémité de l'inverseur 26 et la came 21 étant ainsi interrompu, l'inverseur est libéré et revient, sous l'action de son ressort de rappel 37, dans sa position d'appui contre les deux surfaces terminales de la commande 29 situées de part et d'autre de l'encoche 36 de celle-ci. Dès lors, si une nouvelle pression est exercée sur le poussoir 34, l'inverseur 26 attaque alors la surface d'appui 28 de la came 21 pour faire tourner celle-ci en sens inverse à celui des aiguilles d'une montre, jusqu'à ce qu'il bute contre la surface circulaire de la came située entre les deux surfaces d'appui, ramenant ainsi le chronographe en position de marche. Lorsqu'une pression est exercée sur la bascule de remise à zéro 39 alors que le chronographe est en position d'arrêt (fig. 1), l'extrémité de la bascule 39 agit sur la came 21 pour amener le marteau 17 dans sa position de remise à zéro (fig. 3), dans laquelle le marteau est maintenu par l'action du ressort-sautoir 22 coopérant avec la surface d'appui 23 de la came 21. Lorsque le marteau occupe la position de remise à zéro, une pression exercée sur le poussoir 34 amène l'inverseur 26 à coopérer avec la surface d'appui 28 de la came 21 pour produire la rotation de celle-ci et, par conséquent, du marteau, en sens contraire à celui des aiguilles de la montre, ce qui relève le marteau et ramène le chronographe en position de marche. Le chronographe comprend un frein ou bloqueur 43, articulé sur un pilier 44 (fig. 6), et qui présente un bras élastique 43a prenant appui sur une cheville 45 portée par la platine de base 1, ce bras le rappelant ainsi élastiquement dans sa position de travail (fig. 1) dans laquelle sa partie 46, formant patin, agit radialement sur la roue de chronographe 5 pour la bloquer. Lors de la mise en marche du chronographe, une cheville 47 portée par le marteau 17 agit sur le bloqueur 43 pour le soulever à l'encontre de l'action de son ressort de rappel 43a et séparer sa partie 46 de la roue 5, libérant ainsi cette dernière. De même, lors de la remise à zéro du chronographe, une cheville 48 portée par l'extrémité de la bascule de remise à zéro 39 agit sur l'extrémité du bloqueur 43 pour le soulever et libérer la roue 5, permettant ainsi au marteau 17 de faire tourner librement le mobile de chronographe. II est à remarquer qu'une fois que la pression exercée sur le poussoir 41 est relâchée, après la remise à zéro, le bloqueur 43 revient de lui-même en position de travail, sous l'action de son ressort de rappel 43a. De ce fait, lors de la mise en marche effectuée par une pression exercée sur le poussoir 34, le bloqueur reste en position de travail après que la panne 17b du marteau 17 a quitté le coeur 6, le bloqueur n'étant soulevé par la cheville 47 du marteau qu'à fin de course de ce dernier, seulement l'entraînement du chronographe est assuré par l'engrènement du pignon 7 avec la roue 5. La synchronisation des deux fonctions - engrènement du pignon 7 avec la roue 5 et libération de cette roue par le bloqueur 43 - s'obtient en faisant tourner l'excentrique 19 constituant la butée de commande de la bascule d'embrayage 10. Le chronographe comporte un compteur de minutes, faisant un tour en trente minutes, dont l'axe 49 est pivoté entre la plaque de base 1 et le pont 2 du bâti du chronographe et se prolonge à travers un manchon tubulaire constituant l'axe de rotation de la masse oscillante, excentrée, du remontoir automatique du mouvement. Cet axe 49 porte une roue de compteur 50 en prise avec une première tour intermédiaire 51 montée rotativement sur une bascule 52, appelée baladeur, articulée ellemême sur un excentrique 53 porté par la planche de base 1 du bâti du chronographe. Ce baladeur est logé dans une noyure 91 ménagée dans la plaque 1 (fig. 45 et 6). L'axe du chronographe porte un doigt de commande 92 (fig. 4), dont la position angulaire est réglable, agissant, une fois par tour, sur la roue 51 pour l'entraîner d'une dent. Le rapport entre les roues 50 et 51 étant de 1 :1, la roue 50 est également entraînée pas à pas d'une dent, un sautoir 54 agissant sur elle pour assurer la stabilité de ses positions d'arrêt. L'axe 49 porte un coeur de remise à zéro 55 avec lequel coopère une seconde panne, désignée par 17c, que présente le marteau 17. Il est à remarquer qu'une vis à tête conique 56, prenant dans l'entretoise 20, permet d'agir sur la panne 17c, légèrement élastique, du marteau 17, pour la déformer légèrement et régler ainsi de façon exacte sa position par rapport à la panne 17b. Le chronographe comporte un compteur de demiheures, faisant un tour en douze heures, dont l'axe 57 est pivoté entre la plaque de base 1 et le pont 3 du bâti du chronographe (fig. 5) et se prolonge à travers une ouverture ménagée dans une goutte que présente la platine 81 du mouvement, cette goutte recevant la roue de couronne montée rotativement sur elle. L'axe 57 porte une roue 58. avec laquelle coopère un ressort-sautoir 59, engrenant avec une roue 60 portée par un axe 61, également pivoté entre la planche de base 1 et le pont 3. Le baladeur 52 porte une seconde roue intermédiaire, 62, en prise avec la première, dont l'axe, 63, porte un doigt de commande 95 agissant, une fois par tour, sur la roue 60. Ce doigt de commande 95 (fig. 5 et 9) est déformable de manière que sa position radiale, et par conséquent sa pénétration dans la denture de la roue 60, soient réglables. Sa position angulaire est également réglable, ce doigt étant solidaire d'un moyeu fendu 95a monté à friction sur l'axe 63 de la roue 62.
Claims (1)
-  Le rapport d'engrenages entre les roues 58 et 60 étant de 1 : 1, le coeur de remise à zéro du compteur d'heures, désigné par 64 (fig. 5) avec lequel coopère un marteau 65, est porté par l'axe 61 de la roue 60 et non pas par l'axe 57 de ce compteur. Le marteau de remise à zéro 65 est articulé en 66 sur le bâti du chronographe et est soumis à l'action d'un ressort de rappel 67 tendant à l'appliquer contre le coeur 64.Ce marteau 65 est solidaire d'un levier de commande 68 avec lequel coopère le talon 17a du marteau 17. Lorsque ce dernier occupe ses positions correspondant à l'arrêt et à la marche du chronographe (fig. 1 et 2 respectivement), le talon 17a agit sur le levier 68 à encontre de l'action du ressort de rappel 67 pour maintenir le marteau 65 éloigné du coeur 64 ; lorsque le marteau 17 occupe la position de remise à zéro (fig. 3), le levier 68 est libéré et le marteau 65 agit sur le coeur 64 pour ramener à zéro le compteur des demi-heures.Le baladeur 52 présente un bras 52a au-dessus duquel s'étend l'extrémité 96a d'une barrette 96 fixée à la planche 1 par une vis 97 et dont le but est d'une part de maintenir le baladeur en hauteur (fig. 6), et d'autre part de servir de support au pilier 44 sur lequel est articulé le bloqueur 43. Le bras 52a du baladeur porte une cheville 69 sur laquelle prend appui un ressort de rappel 70 tendant à maintenir appliquée l'extrémité du bras 52a contre une butée 71 constituée par un excentrique (fig. 1 et 2). Lorsque le baladeur 52 occupe cette position, la roue 51 est située sur la trajectoire du doigt d'entraînement 92 du chronographe, de sorte que la roue 51 et par conséquent les deux compteurs, de minutes et de demi-heures, sont entraînés.En réglant la position de l'excentrique 71, on modifie légèrement la position de travail du baladeur 52 et, par conséquent, la pénétration du doigt de commande 92 du chronographe dans la roue 51. Il est à remarquer que, de la même manière, mais en agissant sur l'excentrique 53, on déplace légèrement le point d'articulation du baladeur 52, modifiant ainsi l'engagement de la roue 51 dans la roue 50. Ce dernier réglage doit s'effectuer avant le précédent.Le baladeur 52 occupe sa position de travail lorsque le chronographe est en marche ou à l'arrêt, la roue de chronographe 5 n'étant, dans ce dernier cas, pas entraînée. Lors de la remise à zéro, la bascule de remise à zéro 39 actionne, par une cheville 72, une bascule intermédiaire ou débrayeur 73, articulée en 74 sur le bâti du chronographe et qui agit, par l'extrémité d'un bras élastique 73a qu'elle présente, sur un doigt 52b du baladeur 52 pour déplacer ce dernier, à encontre de l'action de son ressort de rappel 70, et amener ainsi la roue 51 hors de la trajectoire du doigt de commande 92 du chronographe ; de même, dans cette position, le doigt de commande 95 de la roue intermédiaire 62 n'atteint pas la roue 60. Ainsi, la remise à zéro des deux compteurs peut s'effectuer alors que ceux-ci sont libres, sans risque qu'un doigt de commande vienne à être faussé.Il est à remarquer que, lorsqu'on relâche la pression exercée sur le poussoir 41, après la remise à zéro, le baladeur revient immédiatement à sa position de travail, sous l'effet du ressort de rappel 70, de sorte qu'au moment où s'effectue ce retour du baladeur, les marteaux sont encore en prise avec les coeurs de remise à zéro, maintenant fermement les indicateurs des compteurs et du chronographe, de sorte qu'il n'y a pas de risque que le retour du baladeur produise un déplacement des indicateurs, comme cela pourrait être le cas si ce retour s'effectuait alors que les marteaux s'étaient déjà séparés des coeurs.Il est également à remarquer que les compteurs de minutes et de demi-heures sont situés sur le même bâti que le reste des organes du chronographe, l'ensemble de ces organes, à l'exception du pignon oscillant 7, étant ainsi porté par ce bâti, alors que, dans les chronographes habituels, les compteurs d'heures et de minutes sont généralement montés sur la platine du mouvement, côté cadran.Une judicieuse disposition des différents organes du chronographe, en particulier la répartition des centres de rotation du compteur des minutes 50, des roues intermédiaires 51 et 62 ainsi que de la roue 60 d'entraînement du compteur des demi-heures, et de la roue 58 de ce dernier, sur une ligne formant un croissant autour du centre de la roue du chronographe 5, a permis cette concentration de la quasi-totalité des organes du chronographe sur un même bâti. En variante, et pour que la totalité des organes du chronographe soient portés par le bâti de chronographe, sans exception aucune, on pourra munir la plaque 1 de ce bâti d'une barrette sur laquelle sera monté le palier inférieur du pignon oscillant 7.De même, on pourra également, si on admet de se passer du compteur des demi-heures, utiliser l'espace ainsi libéré pour placer une roue de chant supplémentaire en bout de l'axe 88 du mobile de seconde du mouvement de la montre, au niveau de la roue de chronographe 5, ce qui permettra alors d'utiliser un mécanisme d'embrayage de chronographe classique, à roue baladeuse, en lieu et place du pignon oscillant 7.REVENDICATIONMontre-chronographe dans laquelle le mécanisme du chronographe, dans sa quasi-totalité, est porté par un bâti indépendant se fixant de façon amovible au bâti du mouvement, caractérisée par le fait que ce bâti, fixé audessus des ponts du mouvement, comporte une plaque (1) sur une face de laquelle sont disposés le mobile de chronographe (4, 5, 6), un compteur de minutes (49, 50) et un compteur d'heures (57, 58), le mécanisme comportant, située sur la même face de ladite plaque, une bascule dite baladeur (52) portant deux roues intermédiaires (51, 62) dont l'une (51) est actionnée, lorsque le mécanisme de chronographe est en position de marche, par un doigt (92) tournant avec le mobile de chronographe (5) et dont l'autre (62) porte un doigt (95) actionnant une roue supplémentaire (60) en prise avec la roue (58) du compteur d'heures.SOUS-REVENDICATIONS1. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le bâti du chronographe est supporté par la platine du mouvement.2. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que le bâti du chronographe est supporté par des piliers, s'étendant sur toute la hauteur du mouvement, fixés à la platine de celui-ci.3. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le doigt de commande du compteur d'heures est réglable radialement et angulairement par rapport à son axe.-->4. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que la roue supplémentaire avec laquelle coopère le doigt de commande du compteur d'heures est solidaire d'un coeur de remise à zéro de ce compteur, le rapport d'engrenages entre cette roue et la roue du compteur d'heures étant 1 : 1.5. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que la première roue intermédiaire du baladeur, actionnée par le doigt du mobile de chronographe, engrène avec la roue d'un compteur de minutes.6. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est pivoté sur le bâti du chronographe au moyen d'un excentrique permettant de régler sa position pour faire varier l'engrènement de la première roue intermédiaire avec la roue du compteur de minutes.7. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est soumis à l'action d'un ressort de rappel qui tend à le maintenir dans sa position dans laquelle le doigt du mobile de chronographe coopère avec la première roue intermédiaire, le baladeur prenant appui, dans cette position, contre un excentrique porté par le bâti du chronographe et qui permet de modifier la position de marche du baladeur et, de la sorte, la pénétration du doigt du mobile du chronographe dans la première roue intermédiaire.8. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est soumis à l'action d'une part d'un ressort de rappel qui tend à le maintenir dans sa position de marche, dans laquelle le doigt du chronographe coopère avec la première roue intermédiaire, et d'autre part d'une bascule intermédiaire, dite débrayeur, interposée entre lui et une bascule de remise à zéro, de manière que la manoeuvre de cette bascule de mise à zéro produise, par l'intermédiaire du débrayeur, un déplacement du baladeur, à rencontre de l'action de son ressort de rappel, l'amenant dans une position dans laquelle la première roue intermédiaire est hors de la trajectoire du doigt du mobile de chronographe,le retour du baladeur en position de travail s'effectuant aussitôt que la pression sur la bascule de remise à zéro est relâchée, alors que des marteaux de remise à zéro des indicateurs du chronographe et des compteurs sont encore en contact avec des coeurs de remise à zéro solidaires de ces indicateurs, empêchant ainsi tout déplacement intempestif des indicateurs que pourrait produire, sans cela, le retour du baladeur en position de travail.9. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le baladeur est partiellement logé dans une creusure ménagée dans la plaque du bâti du chronographe.10. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que l'axe du mobile de seconde du mouvement se prolonge au-delà du pont de finissage et porte, située au-dessus de ce pont, une roue servant de prise de force au chronographe.11. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 10, caractérisée par le fait que ladite roue engrène avec un pignon porté par un axe pivoté d'une part dans le pont de finissage du mouvement et d'autre part, au moins indirectement, dans une bascule dite d'embrayage permettant de faire osciller cet axe pour amener ledit pignon en prise avec la roue de chronographe ou pour l'en séparer, cet axe étant le seul organe du chronographe non exclusivement porté par le bâti du chronographe.12. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que le palier supérieur de l'axe oscillant est porté par une barrette elle-même fixée, en porte à faux, sur la bascule d'embrayage.13. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est commandée par le marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe.14. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est pivotée sur un pilier fixé à la planche du bâti de chronographe et repose sur des piliers, également fixés à ladite planche, sur lesquels eue est maintenue par des vis sous la tête desquelles elle peut coulisser, ce qui la maintient en hauteur.15. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est équilibrée par rapport à son centre de rotation de manière que les chocs latéraux que subit la montre ne produisent pas de déplacements intempestifs de ladite bascule. 16. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait qu'un marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe est solidaire d'une came avec laquelle coopère l'organe de commande de ce marteau.17. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 4, caractérisée par le fait que le marteau de remise à zéro du compteur d'heures est commandé par le marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe qui agit directement sur lui.18. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 16, caractérisée par le fait que la commande du marteau est assurée par une bascule formée de deux parties articulées l'une sur l'autre dont l'une, principale, dite commande, est montée de façon coulissante sur le bâti du chronographe, et dont l'autre, terminale , dite inverseur , est soumise à l'action d'un ressort de rappel qui tend à la maintenir dans une position déterminée par rapport à la commande, la partie formant came présentant deux surfaces d'appui situées de part et d'autre de l'axe géométrique reliant le point d'articulation du marteau au point d'articulation des deux parties de la bascule de commande de manière que, selon la position qu'occupe le marteau, l'inverseur agisse respectivement sur l'une ou l'autre desdites surfaces d'appui pour produire le déplacement du marteau.19. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que le ressort agissant sur l'inverseur prend appui sur la commande.20. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que l'inverseur agit, lorsque la bascule de commande du marteau est actionnée alors que ce dernier occupe sa position correspondant à la marche du chronographe, sur l'une des surfaces d'appui de la came, pour amener celle-ci dans une position intermédiaire correspondant à l'arrêt du chronographe, l'inverseur tournant, au cours du mouvement de la bascule de commande, autour de son articulation sur la commande, à encontre de l'action de son ressort de rappel, ce dernier ramenant l'inver seur dans sa position de repos par rapport à la commande aussitôt que la pression exercée sur la bascule de commande est relâchée,de telle manière que l'inverseur soit alors apte à agir sur la seconde surface d'appui de la came lorsqu'une nouvelle pression est exercée sur la bascule de commande, de manière à ramener le marteau dans sa position correspondant à la marche du chronographe.21. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que les déplacements de la bascule de commande du marteau sont limités par le fait que l'inverseur, en appui contre l'une ou l'autre des surfaces d'appui de la came, vient en outre buter contre une surface de celle-ci située entre lesdites surfaces d'appui.22. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16, 18 et 20, caractérisée par le fait qu'elle comprend une bascule de remise à zéro permettant d'agir sur le marteau, lorsque ce dernier occupe sa position intermédiaire, pour l'amener dans une troisième position, de remise à zéro, dans laquelle la seconde surface de portée de sa came se trouve encore placée sur la trajectoire de l'inverseur de telle manière qu'une nouvelle manoeuvre de la bascule de commande du marteau produise le retour de celui-ci dans sa première position correspondant à la marche du chronographe.23. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16, 18, 20 et 22, caractérisée par le fait que la bascule de remise à zéro présente une partie dont la trajectoire rencontre le marteau lorsque cette bascule est manoeuvrée alors que le marteau occupe sa position correspondant à la marche du chronographe, de manière à stopper la bascule de remise à zéro et à empêcher ainsi sa manoeuvre intempestive.24. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait qu'elle comprend une bascule dite bloqueur soumise à l'action d'un ressort de rappel qui tend à l'appliquer contre la roue de chronographe pour la bloquer, cette bascule étant commandée, à rencontre de l'action de son ressort de rappel, d'une part par un marteau de remise à zéro de l'organe indicateur du chronographe et d'autre part d'une bascule de remise à zéro commandant ce marteau, de telle manière que ce bloqueur soit mis hors service, par la bascule de remise à zéro ou par le marteau, respectivement lorsque s'effectue la remise à zéro et lorsque le chronographe est en marche.25. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 24, caractérisée par le fait que l'agencement est tel que, lorsque la pression exercée sur la bascule de remise à zéro est relâchée, le bloqueur retourne en position de travail sous l'action de son ressort de rappel. 26. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 24 et 25, caractérisée par le fait que l'agencement est tel que, lors de la mise en marche du chronographe, le bloqueur ne libère le mobile de chronographe qu'une fois établie la liaison entre ce dernier et le mouvement, de manière à éviter tout risque de battement de l'indicateur du chronographe qui pourrait se produire après que le marteau de remise à zéro a amorcé son retour en position de repos.Le rapport d'engrenages entre les roues 58 et 60 étant de 1 : 1, le coeur de remise à zéro du compteur d'heures, désigné par 64 (fig. 5) avec lequel coopère un marteau 65, est porté par l'axe 61 de la roue 60 et non pas par l'axe 57 de ce compteur. Le marteau de remise à zéro 65 est articulé en 66 sur le bâti du chronographe et est soumis à l'action d'un ressort de rappel 67 tendant à l'appliquer contre le coeur 64.Ce marteau 65 est solidaire d'un levier de commande 68 avec lequel coopère le talon 17a du marteau 17. Lorsque ce dernier occupe ses positions correspondant à l'arrêt et à la marche du chronographe (fig. 1 et 2 respectivement), le talon 17a agit sur le levier 68 à l'encontre de l'action du ressort de rappel 67 pour maintenir le marteau 65 éloigné du coeur 64 ; lorsque le marteau 17 occupe la position de remise à zéro (fig. 3), le levier 68 est libéré et le marteau 65 agit sur le coeur 64 pour ramener à zéro le compteur des demi-heures.Le baladeur 52 présente un bras 52a au-dessus duquel s'étend l'extrémité 96a d'une barrette 96 fixée à la planche 1 par une vis 97 et dont le but est d'une part de maintenir le baladeur en hauteur (fig. 6), et d'autre part de servir de support au pilier 44 sur lequel est articulé le bloqueur 43. Le bras 52a du baladeur porte une cheville 69 sur laquelle prend appui un ressort de rappel 70 tendant à maintenir appliquée rextrémité du bras 52a contre une butée 71 constituée par un excentrique (fig. 1 et 2). Lorsque le baladeur 52 occupe cette position, la roue 51 est située sur la trajectoire du doigt d'entraînement 92 du chronographe, de sorte que la roue 51 et par conséquent les deux compteurs, de minutes et de demi-heures, sont entraînés.En réglant la position de Fexcentrique 71, on modifie légèrement la position de travail du baladeur 52 et, par conséquent, la pénétration du doigt de commande 92 du chronographe dans la roue 51. Il est à remarquer que, de la même manière, mais en agissant sur l'excentrique 53, on déplace légèrement le point d'articulation du baladeur 52, modifiant ainsi l'engagement de la roue 51 dans la roue 50. Ce dernier réglage doit s'effectuer avant le précédent.Le baladeur 52 occupe sa position de travail lorsque le chronographe est en marche ou à l'arrêt, la roue de chronographe 5 n'étant, dans ce dernier cas, pas entraînée. Lors de la remise à zéro, la bascule de remise à zéro 39 actionne, par une cheville 72, une bascule intermédiaire ou débrayeur 73, articulée en 74 sur le bâti du chronographe et qui agit, par l'extrémité d'un bras élastique 73a qu'elle présente, sur un doigt 52b du baladeur 52 pour déplacer ce dernier, à l'encontre de l'action de son ressort de rappel 70, et amener ainsi la roue 51 hors de la trajectoire du doigt de commande 92 du chronographe ; de même, dans cette position, le doigt de commande 95 de la roue intermédiaire 62 n'atteint pas la roue 60. Ainsi, la remise à zéro des deux compteurs peut s'effectuer alors que ceux-ci sont libres, sans risque qu'un doigt de commande vienne à être faussé.Il est à remarquer que, lorsqu'on relâche la pression exercée sur le poussoir 41, après la remise à zéro, le baladeur revient immédiatement à sa position de travail, sous l'effet du ressort de rappel 70, de sorte qu'au moment où s'effectue ce retour du baladeur, les marteaux sont encore en prise avec les coeurs de remise à zéro, maintenant fermement les indicateurs des compteurs et du chronographe, de sorte qu'il n'y a pas de risque que le retour du baladeur produise un déplacement des indicateurs, comme cela pourrait être le cas si ce retour s'effectuait alors que les marteaux s'étaient déjà séparés des coeurs.Il est également à remarquer que les compteurs de minutes et de demi-heures sont situés sur le même bâti que le reste des organes du chronographe, l'ensemble de ces organes, à l'exception du pignon oscillant 7, étant ainsi porté par ce bâti, alors que, dans les chronographes habituels, les compteurs d'heures et de minutes sont généralement montés sur la platine du mouvement, côté cadran.Une judicieuse disposition des différents organes du chronographe, en particulier la répartition des centres de rotation du compteur des minutes 50, des roues intermédiaires 51 et 62 ainsi que de la roue 60 d'entraînement du compteur des demi-heures, et de la roue 58 de ce dernier, sur une ligne formant un croissant autour du centre de la roue du chronographe 5, a permis cette concentration de la quasi-totalité des organes du chronographe sur un même bâti. En variante, et pour que la totalité des organes du chronographe soient portés par le bâti de chronographe, sans exception aucune, on pourra munir la plaque 1 de ce bâti d'une barrette sur laquelle sera monté le palier inférieur du pignon oscillant 7.De même, on pourra également, si on admet de se passer du compteur des demi-heures, utiliser l'espace ainsi libéré pour placer une roue de chant supplémentaire en bout de l'axe 88 du mobile de seconde du mouvement de la montre, au niveau de la roue de chronographe 5, ce qui permettra alors d'utiliser un mécanisme d'embrayage de chronographe classique, à roue baladeuse, en lieu et place du pignon oscillant 7.REVENDICATIONMontre-chronographe dans laquelle le mécanisme du chronographe, dans sa quasi-totalité, est porté par un bâti indépendant se fixant de façon amovible au bâti du mouvement, caractérisée par le fait que ce bâti, fixé audessus des ponts du mouvement, comporte une plaque (1) sur une face de laquelle sont disposés le mobile de chronographe (4, 5, 6), un compteur de minutes (49, 50) et un compteur d'heures (57, 58), le mécanisme comportant, située sur la même face de ladite plaque, une bascule dite baladeur (52) portant deux roues intermédiaires (51, 62) dont l'une (51) est actionnée, lorsque le mécanisme de chronographe est en position de marche, par un doigt (92) tournant avec le mobile de chronographe (5) et dont l'autre (62) porte un doigt (95) actionnant une roue supplémentaire (60) en prise avec la roue (58) du compteur d'heures.SOUS-REVENDICATIONS1. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le bâti du chronographe est supporté par la platine du mouvement.2. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 1, caractérisée par le fait que le bâti du chronographe est supporté par des piliers, s'étendant sur toute la hauteur du mouvement, fixés à la platine de celui-ci.3. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le doigt de commande du compteur d'heures est réglable radialement et angulairement par rapport à son axe.-->4. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que la roue supplémentaire avec laquelle coopère le doigt de commande du compteur d'heures est solidaire d'un coeur de remise à zéro de ce compteur, le rapport d'engrenages entre cette roue et la roue du compteur d'heures étant 1 : 1.5. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que la première roue intermédiaire du baladeur, actionnée par le doigt du mobile de chronographe, engrène avec la roue d'un compteur de minutes.6. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est pivoté sur le bâti du chronographe au moyen d'un excentrique permettant de régler sa position pour faire varier l'engrènement de la première roue intermédiaire avec la roue du compteur de minutes.7. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est soumis à l'action d'un ressort de rappel qui tend à le maintenir dans sa position dans laquelle le doigt du mobile de chronographe coopère avec la première roue intermédiaire, le baladeur prenant appui, dans cette position, contre un excentrique porté par le bâti du chronographe et qui permet de modifier la position de marche du baladeur et, de la sorte, la pénétration du doigt du mobile du chronographe dans la première roue intermédiaire.8. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 5, caractérisée par le fait que le baladeur est soumis à l'action d'une part d'un ressort de rappel qui tend à le maintenir dans sa position de marche, dans laquelle le doigt du chronographe coopère avec la première roue intermédiaire, et d'autre part d'une bascule intermédiaire, dite débrayeur, interposée entre lui et une bascule de remise à zéro, de manière que la manoeuvre de cette bascule de mise à zéro produise, par l'intermédiaire du débrayeur, un déplacement du baladeur, à l'encontre de l'action de son ressort de rappel, l'amenant dans une position dans laquelle la première roue intermédiaire est hors de la trajectoire du doigt du mobile de chronographe,le retour du baladeur en position de travail s'effectuant aussitôt que la pression sur la bascule de remise à zéro est relâchée, alors que des marteaux de remise à zéro des indicateurs du chronographe et des compteurs sont encore en contact avec des coeurs de remise à zéro solidaires de ces indicateurs, empêchant ainsi tout déplacement intempestif des indicateurs que pourrait produire, sans cela, le retour du baladeur en position de travail.9. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que le baladeur est partiellement logé dans une creusure ménagée dans la plaque du bâti du chronographe.10. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait que l'axe du mobile de seconde du mouvement se prolonge au-delà du pont de finissage et porte, située au-dessus de ce pont, une roue servant de prise de force au chronographe.11. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 10, caractérisée par le fait que ladite roue engrène avec un pignon porté par un axe pivoté d'une part dans le pont de finissage du mouvement et d'autre part, au moins indirectement, dans une bascule dite d'embrayage permettant de faire osciller cet axe pour amener ledit pignon en prise avec la roue de chronographe ou pour l'en séparer, cet axe étant le seul organe du chronographe non exclusivement porté par le bâti du chronographe.12. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que le palier supérieur de l'axe oscillant est porté par une barrette elle-même fixée, en porte à faux, sur la bascule d'embrayage.13. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est commandée par le marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe.14. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est pivotée sur un pilier fixé à la planche du bâti de chronographe et repose sur des piliers, également fixés à ladite planche, sur lesquels eËe est maintenue par des vis sous la tête desquelles elle peut coulisser, ce qui la maintient en hauteur.15. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que la bascule d'embrayage est équilibrée par rapport à son centre de rotation de manière que les chocs latéraux que subit la montre ne produisent pas de déplacements intempestifs de ladite bascule. 16. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait qu'un marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe est solidaire d'une came avec laquelle coopère l'organe de commande de ce marteau.17. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 4, caractérisée par le fait que le marteau de remise à zéro du compteur d'heures est commandé par le marteau de remise à zéro de l'indicateur de chronographe qui agit directement sur lui.18. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 16, caractérisée par le fait que la commande du marteau est assurée par une bascule formée de deux parties articulées l'une sur l'autre dont l'une, principale, dite commande, est montée de façon coulissante sur le bâti du chronographe, et dont l'autre, terminale , dite inverseur , est soumise à l'action d'un ressort de rappel qui tend à la maintenir dans une position déterminée par rapport à la commande, la partie formant came présentant deux surfaces d'appui situées de part et d'autre de l'axe géométrique reliant le point d'articulation du marteau au point d'articulation des deux parties de la bascule de commande de manière que, selon la position qu'occupe le marteau, l'inverseur agisse respectivement sur l'une ou l'autre desdites surfaces d'appui pour produire le déplacement du marteau.19. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que le ressort agissant sur l'inverseur prend appui sur la commande.20. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que l'inverseur agit, lorsque la bascule de commande du marteau est actionnée alors que ce dernier occupe sa position correspondant à la marche du chronographe, sur l'une des surfaces d'appui de la came, pour amener celle-ci dans une position intermédiaire correspondant à l'arrêt du chronographe, l'inverseur tournant, au cours du mouvement de la bascule de commande, autour de son articulation sur la commande, à l'encontre de l'action de son ressort de rappel, ce dernier ramenant l'inver seur dans sa position de repos par rapport à la commande aussitôt que la pression exercée sur la bascule de commande est relâchée,de telle manière que l'inverseur soit alors apte à agir sur la seconde surface d'appui de la came lorsqu'une nouvelle pression est exercée sur la bascule de commande, de manière à ramener le marteau dans sa position correspondant à la marche du chronographe.21. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16 et 18, caractérisée par le fait que les déplacements de la bascule de commande du marteau sont limités par le fait que l'inverseur, en appui contre l'une ou l'autre des surfaces d'appui de la came, vient en outre buter contre une surface de celle-ci située entre lesdites surfaces d'appui.22. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16, 18 et 20, caractérisée par le fait qu'elle comprend une bascule de remise à zéro permettant d'agir sur le marteau, lorsque ce dernier occupe sa position intermédiaire, pour l'amener dans une troisième position, de remise à zéro, dans laquelle la seconde surface de portée de sa came se trouve encore placée sur la trajectoire de l'inverseur de telle manière qu'une nouvelle manoeuvre de la bascule de commande du marteau produise le retour de celui-ci dans sa première position correspondant à la marche du chronographe.23. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 16, 18, 20 et 22, caractérisée par le fait que la bascule de remise à zéro présente une partie dont la trajectoire rencontre le marteau lorsque cette bascule est manoeuvrée alors que le marteau occupe sa position correspondant à la marche du chronographe, de manière à stopper la bascule de remise à zéro et à empêcher ainsi sa manoeuvre intempestive.24. Montre-chronographe suivant la revendication, caractérisée par le fait qu'elle comprend une bascule dite bloqueur soumise à l'action d'un ressort de rappel qui tend à l'appliquer contre la roue de chronographe pour la bloquer, cette bascule étant commandée, à l'encontre de l'action de son ressort de rappel, d'une part par un marteau de remise à zéro de l'organe indicateur du chronographe et d'autre part d'une bascule de remise à zéro commandant ce marteau, de telle manière que ce bloqueur soit mis hors service, par la bascule de remise à zéro ou par le marteau, respectivement lorsque s'effectue la remise à zéro et lorsque le chronographe est en marche.25. Montre-chronographe suivant la revendication et la sous-revendication 24, caractérisée par le fait que l'agencement est tel que, lorsque la pression exercée sur la bascule de remise à zéro est relâchée, le bloqueur retourne en position de travail sous l'action de son ressort de rappel. 26. Montre-chronographe suivant la revendication et les sous-revendications 24 et 25, caractérisée par le fait que l'agencement est tel que, lors de la mise en marche du chronographe, le bloqueur ne libère le mobile de chronographe qu'une fois établie la liaison entre ce dernier et le mouvement, de manière à éviter tout risque de battement de l'indicateur du chronographe qui pourrait se produire après que le marteau de remise à zéro a amorcé son retour en position de repos.
 
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