CH463769A - Procédé pour éliminer la matière en excès de la région équatoriale d'un objet et appareil pour sa mise en oeuvre - Google Patents

Description

  
 



  Procédé pour éliminer la matière en excès de la région équatoriale d'un objet
 et appareil pour sa mise en oeuvre
 La présente invention a pour objets un procédé pour éliminer la matière en excès de la région équatoriale d'un objet et un appareil pour la mise en   oeuvre    de ce procédé. L'objet peut être un corps de révolution quelconque formé dans une feuille de matière plastique.



   Le procédé faisant l'objet de l'invention est caractérisé en ce qu'on place l'objet sur une matrice creuse de manière que la matière en excès soit engagée avec un bord tranchant circulaire de la matrice, on déplace l'objet devant ce bord tranchant et à travers la matrice pour séparer une partie notable de la matière en excès de l'objet et permettre à ce dernier d'être reçu sur une broche rotative, la région équatoriale étant pratiquement perpendiculaire à l'axe de rotation de la broche, on fait tourner la broche avec l'article monté sur elle, et on sépare pratiquement le reste de la matière en excès de l'objet en appliquant un organe de coupe à ladite région équatoriale.



   On peut encore donner à l'objet une forme déterminée, l'organe de coupe étant mobile d'une façon donnée autour de la région équatoriale.



   On peut éliminer la matière en excès des régions équatoriales de plusieurs objets formés dans une seule feuille de matière, en localisant la feuille de façon que les objets soient disposés chacun sur l'une de plusieurs matrices circulaires creuses, les jonctions de la feuille et des objets étant engagées avec les bords tranchants circulaires des matrices, en déplaçant les objets devant les bords tranchants et à travers les matrices pour couper une partie notable de la matière de la feuille en excès des objets et de façon que ces derniers soient reçus par des broches rotatives, une pour chaque objet, les régions équatoriales étant pratiquement perpendiculaires aux axes de rotation des broches respectives,

   en faisant tourner les broches avec les objets qu'elles portent et en séparant pratiquement le reste de la feuille des articles en appliquant un organe de coupe à chaque objet.



   L'appareil que comprend l'invention, pour la mise en oeuvre du procédé, est caractérisé en ce qu'il comprend une matrice creuse comportant un bord tranchant circulaire, une broche rotative dont l'axe de rotation est perpendiculaire au plan du bord tranchant et agencée pour entrer dans la matrice et engager l'objet, et un organe de coupe capable d'être amené en contact avec la région équatoriale de l'objet monté sur la broche.



   L'appareil peut être agencé pour séparer plusieurs objets à partir d'une seule feuille de matière et pour couper la matière en excès des régions équatoriales de chaque objet cet appareil comprenant plusieurs matrices, broches et organes de coupe, à raison d'un par objet.



   Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'appareil objet de l'invention:
 les fig. 1A, 1B et   1C,    prises ensemble, sont une vue partiellement en coupe de cette forme d'exécution, et
 la fig. 2A et 2B, prises ensemble, sont une vue prise selon la flèche M de la fig. 1.



   Dans un cas particulier envisagé ici, huit balles sphériques sont formées dans chaque feuille de double épaisseur. L'appareil qui va être décrit est destiné à séparer les huit balles du reste de la feuille et d'éliminer des balles toute imperfection superficielle restant après le retrait de la feuille.



   Une description complète d'un procédé et d'un appareil pour la fabrication de balles de tennis de table est donnée dans le brevet suisse   No    457817.



   Une console 701 (fig.   1A)    en col de cygne à 900 est montée dans une coulisse en queue d'aronde 702 fixée à la jambe centrale 3 d'un bâti. Une console en porte à faux 704 est aussi fixée au bâti au-dessus de la coulisse.



  Deux bielles 705 et 706 d'un mécanisme articulé sont montées à pivot par une extrémité à la console 701 et à  la console 704, respectivement. Les autres extrémités des bielles sont chevillées ensemble et avec l'extrémité d'une tige de poussée 707 articulée sur une came non représentée commandant le mouvement de la console 701. Tout mouvement de la tige 707 oblige la console 701 à glisser verticalement dans la coulisse 702.



   Un ensemble de serrage 709 est monté sur   l'extré    mité inférieure 708 de la console 701, soit à l'extrémité éloignée de la coulisse 702. Cet ensemble comprend un plateau 710 fixé à   l'extrémité    708 de la console 701 et présentant huit trous borgnes circulaires 711, les extrémités ouvertes des trous étant tournées vers le bas. Les trous 711 présentent un diamètre légèrement supérieur à celui des balles. Un plongeur de serrage 712 chargé d'un ressort passe à travers l'extrémité fermée de chaque trou.



  Les extrémités des plongeurs disposées dans les trous comportent des tampons 713 de contact pour les balles, fixés aux plongeurs et présentant des surfaces 714 d'engagement des balles en forme de calottes sphériques.



   Un bâti 715 (fig. 1B) en forme de boîte ouverte est fixé par un côté à la jambe centrale 3 du bâti principal au-dessous de la console 701.



   Un plateau de coupe 716 (fig. 2) est fixé à la surface supérieure du bâti 715. Ce plateau comprend huit matrices de coupe constituées par huit trous 717 s'étendant à travers le plateau, un couteau 718 étant formé autour de chaque trou et présentant un bord tranchant circulaire faisant saillie au-dessus de la surface supérieure du plateau 716. Le diamètre du bord tranchant est légèrement supérieur à celui d'une balle et le diamètre du trou audessous du bord tranchant est à nouveau plus grand que celui de ce bord pour permettre à la balle de passer à travers le trou une fois coupée de la feuille. Quatre plongeurs de réception 719 sont montés aux angles du plateau et s'étendent vers le haut depuis ce dernier. Les plongeurs 719 sont légèrement chargés par des ressorts qui les sollicitent vers le haut à distance du plateau 716.



   Deux arbres de montage arrière 720 (fig. 1B et 2) sont suspendus dans un plan horizontal au-dessous des pièces supérieures 721 du bâti 715. Des vis 722 pour chaque arbre passent à travers les pièces 721 et dans chaque arbre 720 de façon que ces arbres soient fixés rigidement par rapport au bâti. Une butée réglable 723 comprenant un épaulement de centrage et de localisation   est fixée sous l'extrémité de la pièce supérieure 721 : du    bâti éloignée des arbres 720.



   Un mandrin arrière 724 comprend un bloc métallique 724a présentant deux trous longitudinaux adjacents à sa surface supérieure et dans lesquels sont logés les arbres 720. Des rainures 726 sont formées dans le bloc entre les trous et cette surface supérieure pour permettre aux vis 722 d'entrer dans les arbres et au mandrin de glisser le long de ces derniers.



   Huit tampons d'aspiration 727 métalliques sont montés rotativement dans la surface intérieure du bloc pour venir chacun en contact avec la surface supérieure d'une balle, comme on le verra. Chaque tampon comporte un évidement en forme de calotte sphérique dans sa surface inférieure et un passage 728 est ménagé afin de relier cet évidement à une source de vide.



   Deux colonnes verticales 715a s'étendent entre les pièces supérieures 721 et les pièces inférieures du bâti en forme de boîte. Une poupée 730 est disposée entre les colonnes 715a et peut glisser sur ces colonnes en direction verticale. Huit broches 731 s'étendent depuis la surface supérieure des poupées. Chaque broche comprend un tampon 732 de retenue d'une balle comportant un évidement 733 en calotte de sphère à son extrémité supérieure, de forme complémentaire à la partie inférieure de la balle et capable de recevoir cette dernière. Les tampons de retenue sont d'une forme telle, en section droite, qu'ils peuvent passer dans les trous 717 formés dans le plateau de coupe 716. Un passage 734 s'étend de la surface engageant la balle de chaque tampon 732 en vue de la connexion à une source de vide.



   Les broches sont entraînées en rotation dans le même sens par des trains d'engrenages placés dans la poupée et qui sont entraînés par un seul arbre 735 tournant dans la poupée et s'étendant au-dessous de celleci. L'arbre 735 comporte une rainure de clavette 736 sur toute sa longueur.



   La poupée 730 est reliée par des bielles 760 à un dispositif à leviers et tige de poussée non représenté et à une came sur un arbre à cames. La rotation de la came produit le déplacement de la poupée 730 sur les colonnes. de la manière requise.



   Une boîte d'entraînement 737 est montée fixe sur les colonnes à la partie inférieure du bâti en forme de boîte.



  Un arbre creux 738 est monté rotativement dans la boîte 737 et porte une poulie 739 à son extrémité inférieure, la poulie étant entraînée par une courroie 740 à partir d'un moteur électrique 740a monté sur la jambe centrale du bâti.



   Une clavette 741 est fixée à la surface interne de l'arbre creux 738, et l'arbre 735 entraînant la poupée s'étend à travers l'arbre creux 738, la clavette 741 de ce dernier s'engageant dans la rainure de clavette 736 de l'arbre d'entraînement. Ainsi, l'arbre creux et l'arbre d'entraînement peuvent prendre un mouvement relatif axial tout en restant en engagement d'entraînement   l'un    avec l'autre.



   Huit outils de coupe 742 comportant un seul point de coupe sont destinés à couper les balles montées sur les broches. Quatre de ces outils sont montés dans chacun des deux porte-outils 743 logés de part et d'autre de la poupée. Chaque porte-outils 743 est fixé à un chariot horizontal 744 qui glisse dans une rainure 745 en queue d'aronde sur la surface supérieure d'un chariot vertical 746. Chaque chariot vertical peut glisser dans une rainure 747 en queue d'aronde fixée à des pièces latérales 748 du bâti. Un prolongement 749 de chaque chariot horizontal 744 comporte à son extrémité un galet 750 suiveur de came.

   Des ressorts de traction 751 sont connectés entre le chariot vertical 746 et le chariot horizontal 744 et sollicitent l'outil vers l'intérieur en direction des broches 731 et le galet 750 de chaque outil contre un profil associé 752 forgé sur un plateau 753 fixé à la pièce latérale 748 du bâti.



   Les chariots verticaux sont liés par des bielles 754 à un dispositif à leviers actionnés par une came, non représenté, commandant les outils de coupe et dont la rotation produit le mouvement vertical des chariots verticaux 746, des chariots horizontaux 744 et des outils de coupe 742. Lors de ce mouvement vertical le galet 750 suit le profil 752 sur le plateau 753 pour produire un mouvement horizontal des outils de coupe.



   Le profil 752 est tel que dans la position verticale la plus basse du chariot vertical 746, les outils de coupe 742 sont éloignés de la poupée 730, et que vers l'extrémité supérieure de la course verticale du chariot vertical, les outils de coupe suivent un arc de cercle d'un diamètre  égal au diamètre recherché pour une balle, le point de coupe de chaque outil étant en contact avec une région équatoriale d'une balle montée entre le mandrin 724 et la poupée 730.



   L'appareil fonctionne de la façon suivante.



   Une feuille dans laquelle huit balles sont formées (représentée en traits mixtes sur le dessin) est déposée sur les plongeurs de réception 719. Les balles présentent chacune une ligne de soudure autour de sa région équatoriale. Le mandrin 724 est disposé dans la station de décharge, c'est-à-dire à droite de la fig. 2, les outils de coupe 742 sont dans leur position retirée horizontalement et verticalement, et les broches 731 sont dans leur position verticale supérieure telle que le centre de la sphère définie par l'évidement 733 dans un tampon 732 de retenue de la balle est situé au-dessus du centre de la sphère dont le bord tranchant du couteau 718 est un grand cercle.



   La rotation de la came actionnant la console supérieure produit le déplacement des bielles 705 et 706 du mécanisme articulé pour abaisser la console supérieure 701 et engager les tampons 713 avec la surface supérieure des balles. Quand le mouvement vers le bas de la console se poursuit, celle-ci presse les plongeurs 719 vers le bas et la feuille vers les couteaux 718 jusqu'à ce que les tampons 732 sur les broches 731 engagent les surfaces inférieures des balles. Les passages 734 dans les broches sont reliés à la source de vide afin d'asseoir fermement les balles sur les broches.



   Le mouvement de la console 701 vers le bas se poursuivant, il produit la compression des ressorts des plongeurs de serrage 712 et l'entrée de la partie supérieure des balles dont les trous borgnes 711 du plateau de montage 710, la surface du plateau venant en contact avec la feuille. Pendant la partie finale du mouvement vers le bas de la console supérieure 701, la poupée 730 est déplacée vers le bas à la même vitesse que la console, de sorte que toute la feuille s'approche des couteaux 718 et que les bords des trous 711 agissent comme des matrices pour les couteaux quand les balles sont déplacées dans les trous 717 du plateau de coupe 716 et séparées de la feuille.



   Pendant et après la séparation des balles de la feuille, la poupée 730 continue son mouvement vers le bas, les plongeurs 712 obligeant les balles à se déplacer à travers l'extrémité supérieure étroite des trous 717 et à rester liées aux tampons 732, de sorte que les régions équatoriales des balles sont perpendiculaires aux axes de rotation des broches.



   Une fois la coupe achevée, la console supérieure 701 s'élève pour permettre aux plongeurs 719 de soulever ce qui reste de la feuille pour son transfert subséquent à une station de décharge.



   La poupée 730 est abaissée, l'arbre 735 glissant dans l'arbre d'entraînement creux 741, jusqu'à ce que les balles soient placées au-dessous du niveau de la surface inférieure du mandrin 724. Le mécanisme à came et leviers est actionné pour faire glisser le mandrin le long des arbres 720 jusqu'à ce qu'il vienne en contact avec l'épaulement de centrage et de localisation de la butée réglable 723. La poupée est soulevée maintenant jusqu'à ce que les surfaces supérieures des balles engagent les évidements sphériques des tampons d'aspiration 727. Les passages 728 s'ouvrant dans ces évidements sont reliés à la source de vide.



   Les balles sont maintenant centrées avec précision entre le mandrin 724 et la poupée 730. En outre, les lignes de soudure sont pratiquement dans un plan horizontal.



   Le moteur électrique 740a est mis en marche pour faire tourner les broches 731 et les balles, au moyen de la courroie 741, de l'arbre creux 741, de l'arbre d'entraînement 735 et des trains d'engrenages dans la poupée 730.



   La rotation de la came actionnant les outils de coupe permet maintenant à chaque chariot vertical 746 de se déplacer verticalement vers le haut et aux galets 750 de suivre les profils 752, de sorte que les points de coupe des outils 742 viennent en contact avec les balles et donnent une forme déterminée à celles-ci. Les outils sont actionnés de façon que chacun suive un arc circulaire dont le diamètre est le diamètre recherché pour les balles, autour de la ligne de soudure dans la région équatoriale de chaque balle, afin de couper toutes matières en excès.



  Cette position est représentée à la fig. 2.



   Quand la coupe est terminée, les outils 742 sont retirés, la source de vide est déconnectée des passages 734 dans les broches 731, et la poupée 730 est abaissée. Le mandrin 724 portant les balles finies est déplacé maintenant le long des arbres 720 vers la station de décharge.
  

Claims (1)

1. REVENDICATION I Procédé pour éliminer la matière en excès de la région équatoriale d'un objet, caractérisé en ce qu'on place l'objet sur une matrice creuse de manière que la matière en excès soit engagée avec un bord tranchant circulaire de la matrice, on déplace l'objet devant ce bord tranchant et à travers la matrice pour séparer une partie notable de la matière en excès de l'objet et permettre à ce dernier d'être reçu sur une broche rotative, la région équatoriale étant pratiquement perpendiculaire à l'axe de rotation de la broche, on fait tourner la broche avec l'objet monté sur elle, et on sépare pratiquement le reste de la matière en excès de l'objet en appliquant un organe de coupe dans ladite région équatoriale.

   SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on donne une forme déterminée à l'objet, I'organe de coupe étant mobile autour de la région équatoriale.

   2. Procédé selon la revendication I, pour éliminer la matière en excès de plusieurs objets formés dans une seule feuille de matière, caractérisé en ce qu'on dispose la feuille de manière que les objets soient disposés chacun sur l'une de plusieurs matrices circulaires, les jonctions de la feuille et des objets étant engagées avec les bords tranchants circulaires des matrices, on déplace les objets devant les bords tranchants et à travers les matrices pour séparer une partie notable de la matière de la feuille en excès des objets et de facon que chacun de ces derniers soit reçu par une broche rotative, les régions équatoriales étant pratiquement perpendiculaires aux axes de rotation des broches respectives, on fait tourner les broches avec les objets qu'elles portent,

   et on sépare pratiquement le reste de la feuille des objets en appliquant un organe de coupe à chaque objet.

   3. Procédé selon la sous-revendication 2, caractérisé en ce qu'on coupe les objets de façon à leur donner une forme déterminée, les organes de coupe étant mobiles d'une façon donnée autour des régions équatoriales.

   4. Procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'on monte l'objet sur la broche avant de couper la matière en excès.

   REVENDICATION Il Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, caractérisé en ce qu'il comprend une matrice creuse comportant un bord tranchant circulaire, une broche rotative dont l'axe de rotation est perpendiculaire au plan du bord tranchant et agencée pour entrer dans la matrice et engager l'objet, et un organe de coupe capable d'être amené en contact avec la région équatoriale de l'objet monté sur la broche.

   SOUS-REVENDICATIONS 5. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce que la surface de la broche qui engage objet présente une forme complémentaire de celle de la partie engagée de l'objet.

   6. Appareil selon la sous-revendication 5, caractérisé en ce qu'il présente un passage destiné à être connecté à une source à vide, s'étendant en travers de la broche et conduisant à ladite surface d'engagement de l'objet.

   7. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif pour déplacer la broche entre une position dans laquelle la partie de la broche engageant l'objet est disposée dans la matière et une position dans laquelle cette partie de la broche est retirée de la matrice.

   8. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif pour déplacer l'organe de coupe, comprenant une pièce d'un profil donné similaire à celui à donner à l'objet, l'organe de coupe étant contraint de suivre ce profil.

   9. Appareil selon la sous-revendication 8, caractérisé en ce que le dispositif de déplacement comprend deux chariots dont les directions de déplacement sont perpendiculaires l'une à l'autre, le premier chariot étant agencé pour glisser sur le second, une extrémité du premier chariot portant l'organe de coupe et l'autre extrémité de ce chariot étant agencée pour suivre le profil donné.

   10. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce que l'organe de coupe est un outil à un seul point de coupe.

   11. Appareil selon la revendication II, caractérisé en ce qu'il comprend un dispositif rotatif agencé pour engager une surface de l'objet éloignée de la surface engagée par la broche, ce dispositif pouvant être amené dans une position coaxiale avec la broche, la broche et le dispositif rotatif étant mobiles axialement l'un par rapport à l'autre pour serrer l'objet entre eux.

   12. Appareil selon la revendication II, destiné à séparer plusieurs objets d'une seule feuille de matière et à éliminer la matière en excès des régions équatoriales des objets, caractérisé en ce qu'il comprend plusieurs matrices, broches et organes de coupe, à raison d'un par objet.