CH349035A - Machine pour le moulage en coquille et procédé pour la mise en action de cette machine - Google Patents

Machine pour le moulage en coquille et procédé pour la mise en action de cette machine

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CH349035A
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CH
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Milton Morgenstern David
Original Assignee
Milton Morgenstern David
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B22CASTING; POWDER METALLURGY
    • B22DCASTING OF METALS; CASTING OF OTHER SUBSTANCES BY THE SAME PROCESSES OR DEVICES
    • B22D17/00Pressure die casting or injection die casting, i.e. casting in which the metal is forced into a mould under high pressure
    • B22D17/14Machines with evacuated die cavity

Description


      Machine        pour    le moulage en     coquille     et procédé pour la mise en action de     cette        machine       Le présent brevet     comprend    une machine pour  le moulage en     coquille,    dans laquelle les     parties    cons  tituant la coquille sont     relativement    mobiles l'une  vers l'autre, ainsi     qu'un    procédé pour la mise en  action de     cette    machine.  



  La machine est     caractérisée    en ce qu'une cham  bre de chargement s'ouvre à travers la     face    d'une  des     parties    de la coquille et en ce qu'une bonde  saillit     depuis    la face de l'autre partie de la     coquille     et a une longueur telle qu'elle pénètre dans ladite  chambre pendant le mouvement relatif     desdites    par  ties l'une vers l'autre     et    avant que la cavité     délimitée     par les parties de la     coquille    ne soit     complètement          fermée,

      la bonde et les parties de la coquille ayant  des parties contiguës qui forment ensemble un trou  de coulée, par lequel la chambre reste en communi  cation avec la cavité     délimitée    par les parties de la  coquille, un moyen     permettant    de créer un     vide    d'un  degré relativement élevé dans une hotte tandis que  lesdites parties de la coquille sont encore espacées,

    de manière que le vide agisse pour aspirer une charge  de matière fondue dans la chambre de chargement  en provenance d'une source     d'alimentation.    et pour  dégazer ladite     charge    avant que les parties de la  coquille ne viennent en prise     pour    fermer la cavité  qu'elles     délimitent.     



  Le     procédé    pour la     mise    en action de     cette     machine est caractérisé en ce qu'on entoure les par  ties de la coquille d'une hotte hermétique, qu'on sou  met     l'intérieur    de la     hotte    à une     aspiration        suffisam-          ment    forte pour créer un vide d'un<I>degré</I> relative  ment élevé dans la hotte et les espaces qui     commu-          niquent        avec        cette    dernière, pour provoquer un écou  lement de matière fondue,

   d'une     source    d'alimenta-    Lion, dans une chambre de chargement et     qu'on     endigue     l'extrémité    de refoulement de ladite cham  bre pour y     retenir    la matière fondue alors que les       parties    de la     coquille    sont encore espacées,     mass     sans complètement     séparer        ladite    chambre de la  hotte, de     manière        que.    la matière soit dégazée par       l'effet    du vide     agissant    sur ladite matière.  



  Le     dessin    annexé représente, à titre d'exemple,  une     forme    d'exécution de la     machine    pour le mou  lage en     coquille    objet d'une des     inventions.     



  Les     fis.    1A et     1B        représentent,    en élévation laté  rale et de manière     simplifiée    quant à la     construction,     une machine pour le     moulage    en     coquille,    les     parties     mobiles, de la     machine    étant représentées, plus ou       moins    schématiquement, dans les positions     qu'elles          occupent    entre les cycles.  



  La fis. 2 est une élévation latérale     d'une    hotte  mobile et des pièces actives y     associées,        comme    on  les, voit peu après le début d'un cycle, la hotte étant       en    position rétractée et les     parties    de la     coquille     écartées et une charge de matière fondue     reposant     dans la chambre de chargement.  



  La fis. 3 est une coupe transversale fragmen  taire     suivant    la ligne 3 - 3 de la     fis.    2.  



  La     fis.    4 est une vue, semblable à la fis. 2,       représentant    la hotte à l'état     contracté,    les parties  de la     coquille    étant en contact et le     plongeur    étant  avancé jusqu'à la position     qu'il        occupe    lorsque la       charge    de matière fondue a été injectée dans la cavité       délimitée    par la coquille.  



  La     fis.    5 est une perspective de la     partie    réglable  de la hotte, les     pièces    étant séparées.      La     fig.    6 est une élévation latérale en coupe d'un  dispositif à soupape qui     permet        d'effectuer    l'évacua  tion de l'air de la hotte à une     certaine    étape d'un  cycle de fonctionnement, et     l'admission    de l'air       atmosphérique    dans la hotte à une autre étape du  cycle.  



  La     fig.    7 est un     détail    à grande échelle des sou  papes     maîtresses.    et pilotes et de     l'électro-aimant    de       commande    de     ces    dernières, ces     soupapes    étant des  tinées à régler le     fonctionnement    de     l'appareil     hydraulique     actionnant    le     plateau    mobile.  



  Dans les diverses     figures.    du     dessin,    les     parties     analogues portent des indices de     référence        pareils..     La machine représentée aux     fig.    1A et 1B     com-          prend    une semelle plate et allongée 1 portant, entre  ses     extrémités,    le socle 2 de la machine. Un plateau  fixe 3 disposé     verticalement    est fixé à     l'extrémité     avant du socle 2 ; une plaque     d'entrait    4 est fixée  verticalement à l'extrémité opposée de la base.

   Qua  tre tirants 5 sont supportés par le plateau     fixe    3 et  la plaque d'entrait 4 et entre ces derniers. Un pla  teau 6,     mobile    le long de ces tirants, est     porté    par  le socle 2. Des     raccords        articulés    7 sont reliés, par  des appliques, au plateau mobile 6 et à la plaque       d'entrait    4 et ils sont actionnés par un appareil       d'actionnement    12.

       Ledit    appareil     d'actionnement    est       constitué    par un     cylindre    14,     porté    par la plaque  d'entrait 4, et un piston 15 se meut     dans    ledit  cylindre et est     relié,    par sa tige 16, une tête 17 et  des bielles 10, aux     raccords        articulés    7.  



  Une     partie    20 fixée au plateau fixe 3 et une  partie 22 attachée au plateau     mobile    6 par l'inter  médiaire d'une plaque 23 et de plusieurs poteaux  24 forment la     coquille.    Un espace est     laissé    libre  entre la partie 22     et    la     plaque    23 pour y disposer  les pièces d'un mécanisme     éjecteur.    Ce     mécanisme     comprend une tête 25 et des     aiguilles    d'éjection 26  susceptibles     d'effectuer    un     mouvement        alternatif     dans des trous usinés dans la     

  partie    22 de la     coquille.     Un     poussoir    27 est     fixé    par son     extrémité    avant à  la     tête        d'éjection    25 et se meut dans des     trous        alignés     de la plaque 23 et du plateau 6, l'étanchéité     entre     le poussoir et ledit plateau étant obtenue par     une     bague d'étanchéité 28.

   Lorsque le     plateau        mobile    6  est     retiré    et s'approche étroitement de la     limite    de  son mouvement vers l'arrière, le poussoir 27 vient  en prise avec un arrêt 30     porté    par     une        applique    31  fixée aux tirants supérieurs 5.

   La tête     d'éjection    25  étant     arrêtée,    tandis que le plateau     continue    à se  déplacer sur la     courte        distance    restante, les     aiguilles     d'éjection     délogent    la pièce moulée de la     partie     mobile de la     coquille.     



  Une soupape maîtresse de     fermeture    du moule 35  et une soupape maîtresse     d'ouverture    du moule 36  sont     fonctionnellement    associées à     l'appareil        d'action-          nement    12 ; la commande de     ces    soupapes maîtresses       s'effectue    par des soupapes pilotes 35a et 36a.  



  Un     mécanisme    40 commandant des interrup  teurs est relié au     plateau        mobile    6,     de    manière à se    déplacer avec ce     dernier.    Ce mécanisme     comprend     une tringle 41 qui porte des doigts     d'actionnement     43 et 44     espacés    entre eux et une came     d7actionne-          ment    45.

   Dans le parcours des doigts et de la came  se trouvent un interrupteur 46 destiné à la com  mande du retour d'un plongeur     sollicité    vers la posi  tion ouverte, mais maintenu fermé par le doigt 43  entre les cycles, un interrupteur de fin de course  d'ouverture du moule 47,     sollicité    vers la     position          fermée,    et maintenu ouvert par le doigt 43 entre les  cycles, lesdits     interrupteurs    comprenant une lame       intermédiaire        oscillante,    commune aux deux et qui  constitue la pièce avec laquelle ledit doigt vient en  prise, un     interrupteur,    appelé évacuateur d'air 48,

         sollicité    vers la position ouverte, un     interrupteur    49       destiné    à     commander    une période     d'immobilité    sépa  rant les deux étapes du mouvement de fermeture     des     parties de la     coquille,        cet    interrupteur étant     sollicité     vers la position fermée et un interrupteur de fin de  course de     fermeture    du moule 50, sollicité vers la  position ouverte.  



  Une cavité 52 est     délimitée    entre les parties 20  et 22 de la coquille. Un cylindre 53     délimite    la  chambre de chargement 55, qui est     cylindrique.     Ladite chambre s'ouvre par la     partie    20 de la       coquille    et l'extrémité avant du cylindre 53 passe à  travers des     ouvertures    du plateau fixe 3 et de la  partie 20 de la     coquille    et est     scellée        dans        ces     ouvertures.  



  Le     cylindre    53 s'étend au-delà de     la    face avant  du plateau fixe 3 et un conduit     d'alimentation    60 y  est fixé par des boulons 57 et des écrous 58. Un  dé 61 et un     organe    62 ayant un     orifice    de mesure 63  sont     interposés    entre le conduit d'alimentation et le  cylindre 53. Cet organe est échangeable avec d'au  tres, ayant des     orifices    de mesure de     diverses    capa  cités.,     pour        permettre    le dosage de la matière     fondue     qui doit être fournie à la chambre de chargement.

    Le dé 61     présente    une     extrémité    supérieure échan  crée de façon qu'elle puisse s'ajuster dans une ouver  ture de la paroi du cylindre 53, le trou du dé cons  tituant l'orifice d'entrée dans la chambre de charge  ment.

   Les     faces    en regard du dé 61 et du conduit  60 sont     évidées    pour     recevoir    les extrémités de  l'organe 62.     Le    conduit     d'alimentation    60     peut        être     en acier moulé, de préférence garni d'une matière  apte à résister aux très hautes     températures    sans     se     détériorer, telle que le blanc     d'Espagne    ;

   ou encore,  il peut     être    fait, en     totalité    ou en     partie,    en carbone,  spécialement la     partie    terminale qui     plonge    dans, la  matière fondue. Le conduit pénètre vers le bas dans  un creuset 65 jusqu'au voisinage de son fond et ledit  creuset est     supporté    dans un four 66,     comportant     des brûleurs à gaz 67 disposés sous le creuset. Le  creuset 65 est     ouvert,    à son     extrémité        supérieure,    à       l'atmosphère.     



  Un plongeur 70 se déplace dans la chambre de  chargement 55 et est     relié,    par une     tringle    71, à  un piston 72     mobile    dans un     cylindre    73,     supporté     par une plaque terminale 74 de la machine,     lesdits         piston et cylindre     constituant    un mécanisme     d'action-          nement    75.

   On peut observer que, lorsque le piston  72 est à l'extrémité droite du     cylindre    73 dans le       dessin,    le plongeur 70 découvre l'orifice     d'entrée    de  la chambre de     chargement,    constitué par le trou du  dé 61 et, grâce à la longueur de la     course        dudit     piston, le plongeur 70 peut avancer jusqu'à l'extré  mité de la chambre de chargement. Le mécanisme       d'actionnement    75 est commandé par des soupapes  maîtresses 76 et 77 et ces soupapes maîtresses     sont     commandées par les soupapes pilotes 76a et 77a.

   Ces  soupapes sont     représentées    en     détail    à la     fig.    7.  



  Une     bonde    80 portée par la partie 22 de la  coquille, est située en alignement     axial    avec la cham  bre de chargement 55. La bonde est fixe par rap  port à     la    partie 22 de la coquille et     pénètre    dans       l'extrémité    de sortie de la chambre de chargement  bien avant la venue en prise des     parties    de la  coquille.

   La bonde a une base élargie 81 fixée dans  un creux     correspondant    de la face de la partie 22  de la coquille, la longueur de la bonde étant propor  tionnelle à la     profondeur    de la cavité de la     coquille.     La chambre de chargement 55     communique,        dans    le  voisinage de son extrémité, avec la cavité 52 par  l'intermédiaire d'un trou de coulée 82, représenté  sous la forme d'un canal s'étendant le long de l'axe  de la bonde, en travers de sa base et en     travers    de  la partie 22 de la coquille.  



  Une hotte 85, en deux parties, entoure les par  ties 20 et 22 de la     coquille.    Les parties respectives  86 et 87 de la hotte sont     fixées    au plateau fixe 3  et au plateau mobile 6. La partie 87 est     composée     de     pièces    montées     télescopiquement    comprenant une  paroi périphérique 88 et une bride 89 qui s'étend       vers    l'extérieur,     perpendiculairement    au     bord    avant  de ladite paroi périphérique.

   L'autre     partie    86 com  prend une paroi périphérique 90 qui est     entourée    par  la paroi 88, une paroi avant marginale 91 s'étendant  vers l'intérieur à partir de l'extrémité avant de la paroi  90, perpendiculairement à cette dernière. La partie 86  est fixée au plateau fixe 3 par des     cornières    93,     fixées     par des boulons 84 à ladite paroi     marginale,    et par  des vis 95 audit plateau.

   Un     soufflet    96 est fixé par  ses bords avant et arrière aux parois     périphériques     88 et 90 des parties 86 et 87 de la hotte 85, une  garniture 97 étant     portée    par la paroi 88 de façon  à     pouvoir        glisser    sur la paroi 90 et former un joint  d'étanchéité.  



  La partie 87 est     ainsi    extensible.     Son    allonge  ment axial est     limité    par des boulons 100 qui sont  fixés à des appliques 101 lesdits boulons     coulissant     dans des     ouvertures    pratiquées dans des appliques  102 qui sont fixées à la bride 89. Des ressorts 105       entourent    les boulons 100 et tendent à     maintenir    la       partie    86 dans sa     position    éloignée.  



  La     partie    87 comprend, en outre,     un    organe       interne    107 et un organe externe 108,     ce        dernier     présentant une paroi destinée à coulisser     axialement     sur une     partie    de support périphérique 109 de  l'organe     interne,    ladite partie étant par exemple en    caoutchouc, de manière à rendre étanche le     joint     entre les     organes.    Une bride 110 entoure la paroi de  l'organe     externe    ;

   une cornière 111 est appliquée sur  une face de ladite bride, près de son bord externe,  de façon à     fermer    avec la paroi     susdite    un canal  dans lequel est     fixé    un joint     d'étanchéité    en caout  chouc 112, agencé pour venir en     contact    avec la  bride 89 de la     partie    87.

   Une bride 113 s'étend vers       l'extérieur    à     partir    de l'extrémité arrière de la paroi  longitudinale de l'organe 108. '  L'organe     interne    107 de la     partie    87     formel    un  cadre, comme le montre la     fig.    5.

   Ledit organe com  prend une     paroi    transversale 115 fixée à la     face          interne    du plateau mobile 6 par des     vis        passant    par  des     ouvertures    de la paroi 115 et     vissées    dans le       plateau.    L'organe 107 présente une     partie    118, la       partie    de support périphérique susdite 109 suivant le  bord de la paroi 115     ainsi    que le bord de la     partie     118.

       Cette    forme de l'organe interne 107 est rendue       nécessaire    par le fait que la     partie    inférieure de la  paroi     longitudinale    de l'organe externe 108 est rac  courcie en 119     (fig.    2 et 5) pour loger     l'extrémité          inférieure    du plateau mobile 6.  



  L'organe externe 108 est divisé en parties     supé-          rieure    et inférieure au niveau des bords supérieurs de  la     partie    118 de l'organe interne 107. Les     extrémités     des parois latérales des deux     parties    de     l'organe     externe     comportent    des brides 120 et 121     entre    les  quelles sont disposées des     garnitures    122 et qui sont  fixées par des boulons 123 passant par des trous       desdites        brides    et garnitures.

   Cette     construction    per  met de     déconnecter    la partie .supérieure de la hotte  85 de la partie inférieure et de la retirer entièrement  ou de la soulever du plateau 6 pour     faciliter,    dans  les deux cas, le changement ou le montage de la  coquille     portée    par ledit plateau.  



  Le réglage axial de la partie 87 lui     permet        d'être,     adaptée à des     coquilles    de profondeurs     différentes    et  à des bondes 80 de longueurs     proportionnelles.    Pour  effectuer ce réglage, on maintient l'organe externe  108, dans la position voulue par rapport à     l'organe     interne 107, par des goujons filetés 125     fixés    à la  paroi transversale 115     et    par des ergots à     encoches     126 fixés à la bride 113 de l'organe     externe    108.

    Des     écrous    127 et 128     (fig.    4) sont vissés     sur        chacun     des goujons 125, et l'ergot     correspondant    126 est  positionné entre     lesdits        écrous    le long du goujon. Les  encoches des ergots 126 s'ouvrent vers le bas, de  sorte que, si on le désire, les écrous 127 et 128  peuvent être relâchés et la     partie        supérieure    de la  hotte 85 peut être     retirée    de la machine ainsi qu'il  a été dit plus, haut.  



  Le dispositif destiné à évacuer     l'air    de la hotte 85  est représenté à la     fig.    1. Il     comprend    une pompe à       vide    130, actionnée par un moteur     électrique    131  par     l'intermédiaire    d'une courroie souple 132, et un  réservoir à vide 133. Le réservoir à vide 133     est     relié, par un conduit 135 d'un     diamètre    relativement  grand, à une boîte 136.

   Cette boîte est fixée à la  paroi avant 91 de la partie 86 de la     hotte    et     coin              munique    avec     l'intérieur    de la hotte par une fente  137 de     ladite    paroi     (fig.    3).  



  Dans le conduit 135 se trouve un     dispostif    à  soupapes 140 représenté en détail à la     fig.    6. Dans  une     pièce        coulée    141 formant enveloppe dudit     dispo-          sitif    est montée une soupape à vide 142     qu'un    méca  nisme     comprenant    un cylindre 144 et un piston 145,  peut     appliquer    sur un siège 143.

   Le     cylindre    est       porté    par une plaque     terminale    146 qui est     fixée    à  une     paroi    de l'enveloppe 141, la paroi opposée étant       fixée    au     conduit    135 qui mène au     réservoir    à vide  133. La soupape à vide 142 est portée par une extré  mité de la tige 147 du piston 145.

   Une plaque trouée  148 est     fixée    au sommet de l'enveloppe 141 ; un  organe 150 y est     fixé    à     distance    par des tiges 149 ;  ledit organe 150 porte un     dispositif        d'actionnement          comprenant    un     cylindre    151 et un piston 152.

   L'ex  trémité interne du     cylindre    144 est reliée à     l'extré-          mité        externe    du cylindre 151 par un tuyau 153,  tandis qu'un tuyau 154 relie     l'extrémité        interne    du  cylindre 151 à     l'extrémité    externe du     cylindre    144.

    Une soupape à disque 156,     relativement    grande,  venant     s'appliquer    sur un siège 155, est surmontée  d'une enveloppe 157 renfermant une soupape     auxi-          liaire    158,     cette    dernière soupape venant reposer sur  un siège qui     entoure        l'ouverture    centrale 159 de la  soupape à disque 156.

   La soupape 158 est     reliée    à  la tige 160 du piston 152 et     ladite    soupape     auxi-          liaire    est     limitée        dans    son mouvement de retrait par  le sommet de l'enveloppe 157. L'enveloppe 157 com  munique avec l'atmosphère par des perforations 161.  



       Les    pistons respectifs desdits     cylindres    se dépla  cent simultanément en sens opposés. Il     s'ensuit    que,  lorsque la soupape à vide 142 est amenée en contact  avec le siège 143 pour interrompre la     communication     entre la hotte 85 et le réservoir 133, la soupape       auxiliaire    158 est d'abord soulevée de son siège pour  admettre l'air par les     perforations    161, ce qui sous  trait à     l'aspiration    la soupape à disque 156 ;

   la sou  pape     auxiliaire        continuant    sa     course        vers    le haut, elle  vient en     contact        avec    le sommet de     l'enveloppe    157  et soulève la soupape à disque du siège 155 lorsque  le piston 152 termine son mouvement     ascendant.     



  Les dispositifs     d'actionnement    du dispositif à  soupapes 140 sont     commandés        par    un fluide sous       pression,    de préférence par de l'air     comprimé,    et       l'apport    du fluide sous pression auxdits     dispositifs     est réglé par une soupape 165 à tiroir     (fig.    1). Cette  soupape est     commandée    par un     électro-aimant    173.

    Le tiroir traverse les extrémités de l'enveloppe de  la soupape et un     ressort    166 tend à     maintenir    le       tiroir    dans     une    position où la soupape dirige le       fluide    sous pression d'une source (non     représentée),     par des tuyaux 168 et 169, vers, l'autre     extrémité     du cylindre 144, pour déplacer le     piston    145     dans     le sens où la soupape à vide 142 vient en prise avec  le siège 143, le     fluide    venant de l'autre     extrémité    du  cylindre s'échappant par des tuyaux 170 et 171.

   En  même temps, la     fluide    sous pression s'écoule de  l'extrémité externe du     cylindre    144,     par    le tuyau    154, vers     l'extrémité        interne    du     cylindre    151, pour  déplacer le piston du cylindre 144 et pour soulever  les soupapes 158 et 156 de leurs sièges respectifs et  admettre l'air     atmosphérique    dans la hotte 85.

   On  peut     observer    que, tandis que le     fluide    sous pression  est fourni à l'extrémité interne du cylindre 151, le  fluide venant de l'extrémité opposée dudit     cylindre     s'échappe par le tuyau 153,     l'extrémité        interne    du  cylindre 144 et les tuyaux susdits 170 et 171.       L'électro-aimant    173 est agencé pour     déplacer    le  tiroir de la soupape 165 en opposition au ressort  166 et, lorsqu'il est excité, il provoque la     fermeture     des soupapes 156 et 158 et     l'ouverture    de la sou  pape à vide 142.  



  Le fonctionnement de la machine va     maintenant     être décrit.  



  L'énergie électrique est fournie par des conduc  teurs 180 et 181. La     partie    basculante de     l'interrup-          teur    de commande du retour du plongeur 46 et de  l'interrupteur de fin de     course        d'ouverture    du moule  47 est reliée au conducteur 180 par un fil 182.  Comme le montre la     fig.    1, qui représente la machine  entre     les    cycles, l'interrupteur 46 est fermé.

   Par     con-          séquent,    le courant passe de l'interrupteur 46 par  un fil 183 vers un solénoïde 184 qui actionne la  soupape pilote 77a qui, à son tour, règle la soupape       maîtresse    77 et l'amène à fournir le fluide sous  pression au mécanisme     d'actionnement    75 qui       actionne    le plongeur 70 qui se trouve en     position          retirée,    comme le montre la     fig.    2. Le courant revient  du     solénoïde    184 par un fil 185     vers    le conducteur  181.

   En 186, un fil 187, relié au fil 183, mène à  l'enroulement d'un relais     CR-3,        l'extrémité    opposée  de l'enroulement étant reliée, par un     fil    188, au fil  185. Il est donc évident qu'entre les cycles, le     relais          CR-3    reste     excité.    Il est évident que, lorsque la  machine doit     "être    laissée     inactive    pendant une durée  appréciable, l'apport du     courant    au dispositif de  réglage doit être coupé.

   Toutefois, tant que le dispo  sitif est alimenté en     courant    et que le relais     CR-3          reste        excité,    les     interrupteurs        occupent    des positions  inverses de celles représentées à la     fig.    1.  



       Pour    amorcer un cycle de fonctionnement, un  interrupteur de démarrage 190, qui est de     préférence     du type à     bouton-poussoir    et     sollicité    vers la position  ouverte, est momentanément fermé. Le courant passe  alors du conducteur 180, par un fil 191 qui     contient     ledit interrupteur, vers l'enroulement d'un     relais          CR-1    et de là, par un fil 192, vers, le fil 185     pour     revenir au circuit principal.

   L'excitation du     relais          CR-1    provoque la fermeture d'un     interrupteur    194  qui     fait    partie dudit     relais    et alors, le     courant    passe  d'une     jonction    195 du fil 191, par un     fil    196, un  interrupteur 197 normalement     fermé    et     faisant    partie  d'un     relais        CR-4,    et un fil 198, vers     l'interrupteur     194,     présentement    fermé, et ensuite, par une partie  du fil 191,

   l'enroulement du relais     CR-1,    et les     fils     192 et 185, pour     retourner    au     circuit    principal.       L'établissement    de ce second     circuit,    qui se     produit          simultanément        avec    la fermeture de l'interrupteur de      démarrage     bloque    le relais     CR-1    pour fermer l'inter  rupteur 194 après le relâchement de     l'interrupteur     de démarrage 190.  



  Au moment où le     courant    est fourni au relais       CR-1,    le     courant    passe d'une     jonction    199 du     fil     191, par un fil 200, vers     l'interrupteur        commandant     une période     d'immobilité    49, normalement fermé, et,  de là, par un fil 201, vers un solénoïde de ferme  ture du moule 202. Dudit solénoïde, le     courant     retourne par un conducteur 203 au     circuit    principal.

    Lorsque le solénoïde de fermeture du moule 202  est     excité,    la soupape     pilote    35a amène la soupape       maîtresse    35 dans une position telle que le fluide  sous pression soit fourni par un conduit 205 à l'ex  trémité externe du     cylindre    14,     ce    qui     déplace    le  piston 15 vers l'avant. Du     fait    des liaisons fonction  nelles déjà décrites entre ledit piston et le plateau 6,  ce dernier est déplacé vers l'avant jusqu'à ce que le  joint d'étanchéité 112 de la partie 87 vienne en prise  avec la bride 89 de la partie 86 pour fermer et  sceller la hotte 85.

   La position relative des parties  20 et 22 de la coquille à cette étape est représentée  à la     fig.    2. Lorsque les     parties    de la coquille sont  espacées     comme    le montre cette figure,     l'extrémité     avant de la bonde 80     occupe        l'extrémité    de refoule  ment de la chambre de chargement 55.     Ladite     chambre     communique    maintenant, près de son som  met, par la partie     terminale        externe    du trou de  coulée 82, avec     l'intérieur    de la hotte.  



  Tandis que le fluide sous pression, qui est de  préférence de     l'huile.    mais qui peut être un     autre     liquide sous pression, est     fourni    comme il est dit  ci-avant par le conduit 205 à l'extrémité externe du  cylindre 14, le fluide s'échappe de     l'extrémité        interne     dudit cylindre par un conduit 206. Le fluide qui  s'est ainsi échappé est dévié par la soupape maîtresse  d'ouverture du moule 36, par un tuyau 207 vers une  source     d'alimentation,    telle qu'un réservoir (non  représenté).

   Lorsque la soupape maîtresse 36 se  trouve dans la position décrite, le     fluide    sous pres  sion est acheminé, par un tuyau 210,     depuis    une  source     d'alimentation    (non     représentée),    par les ori  fices die la soupape et un conduit 211, vers la sou  pape maîtresse 35 et par des     orifices    de     ladite     soupape,     vers    le conduit susdit 205.

   Il est entendu  que la soupape     maîtresse    36 est     construite    de manière  à se     comporter        comme    il est dit sous. l'effet de la  soupape pilote 36a lorsque cette dernière est dans  la     position    vers     laquelle    elle est sollicitée     par    un  ressort 208.  



  Il faut se rappeler que le     mécanisme.    pour com  mander les     interrupteurs    40 est porté par     le    plateau 6  et se     déplace    donc avec ce     dernier    ; il     s'ensuit    qu'au  début même du mouvement     avant    du plateau, le  doigt 43 se retire de la lame oscillante qui     fait    partie  des     interrupteurs    46     et    47 ;

   ladite lame change alors  de position de manière à ouvrir     l'interrupteur    de       commande    du retour du     plongeur    46 et à     fermer          l'interrupteur    de fin de course d'ouverture du  moule 47.

      Lors de     l'ouverture    de     l'interrupteur    46, le pas  sage du courant par les     circuits        décrits        précédem-          ment,        .représentés        par    les     fils    183, 185 et 187, est  interrompu,     ce    qui     désexcite    le solénoïde 184 et le  relais     CR-3.    L'excitation     dudit    solénoïde 184 est  provoquée par le retrait du plongeur 70,     position     représentée à la     fig.    2.  



  Le mouvement avant du plateau mobile 6 est  arrêté alors que les     pièces    sont     disposées        comme    le  montre la     fig.    2, du fait de la venue en     prise    de la  came 45 avec l'interrupteur 49 qui provoque l'ou  verture dudit     interrupteur.     



  Lors de l'ouverture de l'interrupteur 49, le pas  sage du courant par le circuit     décrit        précédemment,          comprenant    ledit     interrupteur,        cesse,        ce    qui provoque  la désexcitation du solénoïde de     fermeture    du moule  202.

   Lorsque cela a lieu, les soupapes     pilote    et maî  tresse reviennent à leur état     normal,    privant l'appa  reil     d'actionnement    12 du fluide moteur, et il s'en  suit que le piston 14 dudit appareil     d'actionnement     s'arrête avant     d'atteindre        l'extrémité    avant du     cylindre     15, et la partie 22 de la coquille est amenée à  séjourner, pour ainsi dire, dans la     position    repré  sentée à la     fig.    2.  



  Pratiquement     simultanément    avec l'ouverture de       l'interrupteur    49, l'interrupteur     d'évacuation    d'air 48  est fermé par la came 45. Le courant passe     alors    du  fil 182,à une jonction 214, par un fil 215,     l'inter-          rupteur    48, pet un fil 216, vers un     chronorégleur    de  vide T-1     ,et    de là, par un fil 217, vers le fil 185.

    Au moment où le     chronorégleur    de     vide    T-1 est       alimenté    en courant,     l'électro-aimant    173 est excité  par un circuit représenté par     un    fil 220     qui    est, en  fait, une continuation du fil 216 au-delà du     chrono-          régleur    T-1, et     ce    fil 220 est relié, par un     interrup-          teur    221 du relais     CR-2,    à un fil 222 parcouru par  le courant allant à     l'électro-aimant    173,

   le     courant     étant conduit de ce     dernier    au circuit     principal    par  les fils 223 et 185.  



  Lorsque     l'électro-aimant    173 est excité,     il    dis  pose la soupape 165 de manière qu'elle     fournisse    le  fluide sous pression, de préférence de     l'air        comprimé          provenant    d'une source non     représentée,    par les  tuyaux 168 et 170, à     l'extrémité    interne du cylindre  144, pour     retirer    le piston 145     (fig.    6) et     pour        retirer     la soupape à     vide    142 du siège 143,

   le     fluide    se  trouvant en .tête du piston s'échappant par le tuyau  169, un     orifice    de la soupape 165 et un     tuyau     d'échappement 174. Simultanément avec l'ouverture  de la soupape à     vide    142, les soupapes 158 et 156  sont appliquées sur leurs sièges par l'effet     inverse     du piston 152     dans    le     cylindre    151, le     fluide    sous  pression passant du cylindre 144 par le tuyau 153  vers     l'extrémité    externe du     cylindre    151,

   tandis que  le fluide se     trouvant    sous le piston 152 s'échappe  par le     .tuyau    154,     l'extrémité    externe du     cylindre    142  et de là, comme il a été dit     ci-avant,    vers l'atmo  sphère, par le tuyau d'échappement 174.  



  Ainsi, pendant     l'intervalle    entre l'excitation et la       fonctionnement        susbséquent    du     chronorégleur    de     vide         T-1, et pendant que les     parties    20 et 22 de la       coquille    sont espacées, comme le représente la fia.

   2,  la     hotte    85 est vidée     d'air    et, à cause de la capacité  relative du réservoir 133 et de la largeur du conduit  135, un vide d'un     degré    relativement élevé, par  exemple da 305 à 482 mm de mercure, se crée rapi  dement dans la     hotte    et par le trou de coulée 82 à  la chambre de chargement 55.

   Sous l'effet de la       pression    atmosphérique     admise    sur le     sommet    de la  masse de la matière fondue     contenue    dans le     creuset     65, une partie de ladite matière montes dans le tuyau  d'alimentation 60 et par     l'orifice    de     mesure    63, vers  la chambre de chargement 55, où la matière     s'accu-          mule    graduellement et est retenue par la bonde 80.

    Tandis que la matière     fondue    repose dans la cham  bre de chargement où elle est exposée à l'atmosphère  raréfiée, les gaz occlus se dégagent et sont emportés       par    l'extrémité voisine du trou de coulée 82 vers  l'intérieur de la hotte. Ce stade persiste tant que le       chronorégleur    de vide T-1 fonctionne.  



       Conformément    au     fonctionnement    habituel de ces  instruments,     après    une période de temps déterminée  par le     réglage    du     chronorégleur    T-1, celui-ci fonc  tionne pour fermer un interrupteur 225 que com  prend le     chronorégleur,    pour     établir    un circuit qui  se substitue au circuit précédent     qui    était établi par       l'interrupteur    49,     présentement    ouvert, nouveau cir  cuit qui comprend le solénoïde de     fermeture    du  moule 202.

   Le présent circuit est représenté par un  fil 226 qui est relié, par une     jonction    227,     avec    une  partie du     fil   <B>191</B> qui reçoit     présentement    le courant  du fil 198 par     l'interrupteur    194.     Le        fil    226 est     relié     à     l'interrupteur    225 et     par    un fil 229 au solénoïde  de     fermeture    du moule 202.  



  Dans les     circonstances    qui     viennent    d'être décri  tes, la soupape pilote 35a est de nouveau en état       d'actionner    la soupape maîtresse 35 et de     fournir    le       fluide    sous pression par le conduit 205 à     l'extrémité     externe du     cylindre    14.

   Cela donne lieu au déplace  ment du piston 15 vers l'avant, pour le     restant    de  sa course et, par ses liaisons avec les     raccords    arti  culés 7,     ledit    piston redresse ces     raccords    pour  déplacer le plateau 6 de manière à     amener    la     partie     22 de la coquille en prise avec la partie 20 et à  fermer la cavité comme représenté à la     fig.    4.  



  Immédiatement après la     fermeture    du moule, le  doigt 44 vient en prise avec     l'interrupteur    de fin de  course du moule 50 et ferme ce dernier pour établir  un     circuit        qui    reçoit le     courant    par     l'interrupteur    de       fin    de course     d'ouverture    du moule 47, présentement  fermé, circuit qui est formé par un fil 230 qui mène       dudit        interrupteur    47 à     l'interrupteur    50, et par un  fil 231 qui mène de l'interrupteur 50 à un solénoïde  233.

   Le courant ainsi     fourni    au solénoïde revient par  des     fils    234 et 185 au circuit     principal    représenté par  le     conducteur    181. Après     l'excitation    du solénoïde  233, la soupape     pilote    76a fonctionne pour     recevoir     le fluide sous pression d'une     source    (non repré  sentée), par un     conduit    235 et des     orifices    de la sou  pape pilote, pour le     fournir    par un conduit 236 à    la     soupape    maîtresse 76,

   mettant ladite soupape maî  tresse en état de fournir le fluide sous pression, d'une       source    non représentée, par des conduits 237 et 238,  à l'extrémité externe du cylindre 75, ce qui     déplace     le piston 72 vers l'avant et, par     l'intermédiaire    de la  tringle 71, avance le plongeur 70 dans     la,    chambre  de chargement 55 et propulse la matière fondue dans  la cavité du moule 52.

   Cette     avance.    du plongeur se  poursuit jusqu'à ce que la     cavité    et le trou de     coulée     82 soient remplis et qu'un     lingot    de matière soit  laissé dans la     chambre    de chargement entre le plon  geur et la bande 80, le     mouvement    d'avance du plon  geur étant arrêté par le lingot, non élastique, de  matière. Les pièces sont     représentées    dans     cette    posi  tion à la     fig.    4.  



       L'excitation    du solénoïde 233, qui provoque  l'avance du plongeur 70, s'accompagne de     l'excitation     du relais     CR-2    par un fil 295     relié    par la jonction  296 avec le fil susdit 231, le courant     sortant    dudit  enroulement, par un fil 297, et le     fil    185.

   Un inter  rupteur 240, qui fait partie du relais     CR-2,    se ferme  lorsque le relais est excité et bloque le relais     CR-2     par     l'intermédiaire    d'un circuit     formé    par un fil 241,  une     jonction    242, le fil 230, l'interrupteur 47, l'in  terrupteur 243 du relais     CR-3,    un     fil    245, l'inter  rupteur susdit 240 du relais     CR-2,    un     fil    246, le     fil     295, l'enroulement du solénoïde     CR-2,    le     courant     quittant     ce    dernier par le premier circuit,

       composé     des fils 297 et 185. Le courant provenant du fil 246  est divisé avant le relais     CR-2,    une     partie    de     ce    cou  rant étant présentement déviée vers le solénoïde 233  par     l'intermédiaire    de     parties    interposées des     fils    295  et 231.

   Aussi, lors de     l'excitation    du     relais        CR-2,     son interrupteur 221 s'ouvre,     ce    qui     interrompt    le  courant passant par le circuit décrit     précédemment,     contenant ledit interrupteur et     l'électroaimant    173.

    Par conséquent, lors de l'ouverture     dudit    interrupteur  221 et la désexcitation résultante de     l'électro-aimant     173, la soupape 165 est ramenée à sa position nor  male par le ressort 166, cette soupape fournissant  alors le     fluide    sous, pression par le tuyau 169 et       l'extrémité    externe du cylindre 144 à l'extrémité  interne du cylindre<B>151.</B> Ensuite, la soupape à vide  142 se ferme et les soupapes 156 et 158 s'ouvrent  de la     manière    précédemment décrite.

   A ce moment,  donc, la pression atmosphérique, règne dans la hotte,  de manière que la     partie    87 de celle-ci puisse     être     écartée de la partie 86 sans endommager les joints  d'étanchéité des organes     interne    et externe de la hotte  85,     ce    qui     pourrait    être le cas si la hotte était ouverte  sous un vide appréciable.  



  En outre, lors de l'excitation du relais     CR-2,    un  interrupteur 248 de ce dernier s'ouvre,     interrompant     le courant d'un circuit formé par un fil 250, une  jonction 251, le fil 196, l'interrupteur 252 du     relais          CR-3,    un fil 253, l'interrupteur 248 du     relais        CR-2,     un     fil    254, une     jonction    255, le fil 187, l'enroule  ment du solénoïde     CR-3    et les fils 188 et 185.  



  Par     conséquent,    l'excitation du relais     CR-2    ouvre  le circuit qui vient d'être décrit, qui     alimente    le relais           CR-3,    et     ce    dernier relais, on s'en souvient, est  chargé     d'alimenter    en     courant    le solénoïde 184.       L'excitation.    du relais     CR-2    provoque la     fermeture     d'un interrupteur 257 et     établit    un circuit formé par  le fil 241, l'interrupteur 257, un fil 258, un     chrono-          régleur    T-2.

   Le circuit comprenant le     chronorégleur     T-2 est fermé par un     fil    260, une     jonction    261 et  le fil 185.  



  Après un     intervalle    de temps pour lequel l'ins  trument est réglé, le     chronorégleur    T-2     fonctionne     et ferme un interrupteur 262. La     fermeture    de     cet     interrupteur     établit    un     circuit        formé    par le fil 241,  une jonction 263, un fil 264,     l'interrupteur    262, un  fil 265, un solénoïde     d'ouverture    du moule 266, un  fil 267, le fil 260, le fil 185 et le     conducteur    181.  



  Simultanément avec la fermeture du circuit susdit  qui     alimente    en courant le solénoïde d'ouverture du  moule 266, un autre     circuit    est établi par un fil 270,  le fil 265, l'enroulement du relais     CR-4,    le fil 271  et le fil 185.

   L'excitation de ce relais     provoque    la  fermeture d'un     interrupteur    272 dudit     relais    qui se  trouve dans un     circuit    formé par le fil 273, une  jonction 274, le     fil    264, le fil 270 et l'enroulement  du relais     CR-4.    Grâce à ce dernier circuit décrit,  le relais     CR-4    reste excité après que     l'interrupteur     262 du     chronoréglcur    T-2 se soit ouvert.

   De même,  du fait de l'excitation du relais     CR-4,        l'interrupteur     197 de ce dernier s'ouvre et prive le relais     CR-1     de courant, ce qui     provoque        l'ouverture    de     l'interrup-          teur    194 de ce dernier relais.  



  L'utilité du     chronorégleur    T-2 est de déterminer  la durée pendant laquelle la cavité 52 reste fermée  pendant le durcissement de la     pièce        coulée.    Par con  séquent, à la fin de l'intervalle de temps pour lequel       l'instrument    est réglé, le     chronorégleur    T-2     fono-          tionne    pour ouvrir l'interrupteur 262 et couper le       courant    du     solénoïde    d'ouverture du moule 266.

       La          désexcitation    de ce solénoïde permet au ressort 208  de positionner l'organe de la soupape pilote 36a de  manière que la soupape maîtresse 36 fournisse le       fluide    sous pression par le conduit 206 à l'extrémité  interne du cylindre 14 et permette le retour du     fluide     de     l'extrémité    opposée du     cylindre    par le     conduit    205  et les     orifices    de la soupape maîtresse 35 vers un  conduit 275 qui le ramène à la source d'alimentation.  Cela provoque le déplacement du piston 15 jusqu'à  l'extrémité externe du     cylindre    14.

   Du fait des liai  sons     fonctionnelles    entre ledit piston et le plateau  mobile 6, décrites ci-avant, ledit plateau est retiré  jusqu'à la position représentée à la     fig.    1. Il est  évident que     cela    provoque l'ouverture de la     hotte    85,  car la partie 87     de    celle-ci est     fixée    au plateau 6 et  se déplace avec     ce        dernier.    Semblablement, la partie  22 de la coquille     s'écarte    de la     partie    20, en retirant  la     bonde    80, et,

   comme la bonde se retire de     l'extré-          mité    de refoulement de la chambre de chargement  55, le plongeur 70     avance    jusqu'à     l'extrémité    de  refoulement de ladite chambre, en poussant le     lingot     de matière devant soi, ce     lingot    étant     relié    à la     pièce     moulée par la bande de matière qui s'est     solidifiée       dans le trou de coulée 82.

       Comme    le plateau 6  s'approche de l'extrémité de sa     course    de retour, le  plongeur 27 du mécanisme     éjecteur        heurte    l'arrêt  30, arrête le mouvement de la tête 25 et des     aiguilles     d'éjection 26,     ce    qui pousse la pièce moulée hors de  la     partie    22 de la coquille lors du mouvement     de     retour     final    du plateau 6.  



  Pendant le     parcours    de retour du plateau 6,       effectué    de la     manière        décrite    ci-avant, la came 45  du mécanisme 40 qui est     porté    par ledit plateau, se       retire        des        interrupteurs    48 et 49, ce qui     provoque     l'ouverture du premier et la     fermeture    du second.

    L'ouverture de     l'interrupteur    48 provoque la     d6sexci-          tation    du     chronorégleur    de vide T-1, et la     fermeture     de     l'interrupteur    49 rétablit en partie     le        circuit    précé  demment     décrit    qui comprend le solénoïde 202.  



  Comme le plateau 6 arrive à la fin dei sa course  de retour, le doigt 43 du     mécanisme    40 ferme     l'in-          terrupteur    de     commande    du retour du     plongeur    4.6  et ouvre     l'interrupteur    de     fin    de     course        d'ouverture     du moule 47.

   La     fermeture    de l'interrupteur 46 réta  blit le circuit susdit qui     comprend    le solénoïde 184,  en     excitant    ledit solénoïde de manière à     effectuer,    par  l'intermédiaire des soupapes,     le    retrait du piston 72  et du plongeur 70.

   La     fermeture    de     l'interrupteur    46       rétablit    aussi le     circuit    précédemment décrit qui com  prend l'enroulement du relais     CR-3.        Il    s'ensuit que       ce    relais et le solénoïde 184     restent        excités    à la fin  d'un cycle,     ainsi    qu'il est exposé au début de la pré  sente     description    du     fonctionnement    de la     machine.     Lorsque     l'interrupteur-    47 s'ouvre,

   le courant est  coupé vers le solénoïde 233 et le relais     CR-2,    ce  qui les     désexcite.    Par suite de la     désexcitation    du  relais     CR-2,    les     circuits        commandés    par les inter  rupteurs 240 et 257 s'ouvrent et les     .circuits    com  mandés par les interrupteurs 248 et 221 se     ferment,     pour préparer le cycle     suivant.     



  Après avoir décrit en détail un cycle     complet     du     fonctionnement    de la     machine,    un résumé des  étapes qui     constituent    un cycle de fonctionnement  complet est donné     ci-après.    Le cycle commence lors  qu'on pousse le bouton 190. Le plateau mobile se       déplace    vers l'avant jusqu'à ce que la     partie    87  vienne     en    prise avec la     partie    86 et     ferme    pratiquement       hermétiquement    la     hotte    85.

   Le plateau s'arrête alors  que les     parties    20 et 22 de la coquille sont     encore     espacées, comme le montre la     fig.    2, la     bonde    80       saillissant    sur une     courte        distance    dans la chambre de       chargement    55,     cette        dernière        communiquant    à     présent     avec     l'intérieur    de la hotte par l'extrémité avant du  trou de coulée 82.

   La     hotte    est à présent     vidée    d'air  et une charge de matière fondue est     propulsée,    par  la pression atmosphérique, du creuset, par, le tuyau  60, dans la chambre de chargement, où elle est  retenue par la bonde 80.

   Pendant qu'elle     occupe    la       chambres    de chargement et qu'elle est     exposée    à  l'atmosphère raréfiée qui y règne, la matière fondue  est     dégazée.    Le plateau 6 reprend alors     son.        @dépla-          cernent    et le poursuit jusqu'à la limite de     son,    mou  vement vers l'avant,     ce    qui provoque la venue en      prise des     parties    de la     coquille    et la     fermeture    de la  cavité de moulage.,

   une partie de l'atmosphère raré  fiée     étant        captée    par     cette    cavité. Le plongeur 70 est  à présent avancé, en refoulant la matière fondue hors  de la chambre de chargement 55, par le trou de  coulée 82, dans la cavité de moulage 52,     ce    qui  provoque le     remplissage    de la cavité et du trou de       coulée,    laissant     un        lingot    de     matière        dans    la chambre  de chargement.

   La     communication        entre    la hotte et  le moyen d'évacuation d'air est coupée et l'air atmo  sphérique est admis, dans la hotte. Les     pièces    restent  dans leur état présent jusqu'à ce que la matière se       solidifie    et se refroidisse suffisamment pour en per  mettre l'exposition à l'atmosphère. Ensuite, le pla  teau mobile se retire en     retirant    la partie 22 de la  coquille à l'écart de la partie 20 et, comme la bonde  80 quitte la chambre de chargement, elle est suivie  par le lingot     solidifié    de matière, propulsé par la  force du plongeur 70.

   Au même moment, la     partie     87 est éloignée de     la    partie 86, ce qui ouvre la hotte.       Comme    le plateau 6 s'approche     étroitement    de la       limite    de son mouvement de retour, le mécanisme       éjecteur    est amené à fonctionner, du fait de la venue  en prise de son poussoir 27 avec l'arrêt 30, ce qui  donne lieu au démoulage de la pièce moulée hors  de la face de la partie 22, au moyen des     aiguilles     d'éjection 26, le préposé enlevant alors la     pièce     moulée.  



  Le présent     procédé,    lorsqu'il est mis en     aeuvre          par    exemple à l'aide de la machine décrite     ci-avant,     comprend les étapes     suivantes,        consistant    à enfermer  les     parties    de la coquille dans la hotte     pratiquement     hermétique, à endiguer la partie     inférieure    de     l'extré-          mité    de refoulement de la     chambre    de chargement,  de     manière    à retenir la matière fondue dans la       chambre,

          sans    interrompre la     communication        entre     la     chambre    et la     cavité    de moulage à soumettre les  parties de la     coquille    étant     espacées    et     l'intérieur    de  la hotte à une     aspiration        suffisamment    forte et lon  gue pour     créer    et maintenir un vide     d'un    degré rela  tivement élevé dans la hotte et     dans    les     espaces          communiquant    avec cette dernière et 

      comprenant     ladite chambre de chargement, à amener ensuite la  matière fondue à     s'écouler    du récipient dans la  chambre de     chargement    où les gaz occlus se déga  gent et sont emportés en passant par la     hotte,    à       restreindre    la     quantité    de matière fondue ainsi       fournie    à la     chambre    de chargement à la quantité       nécessaire    pour     remplir    la cavité de moulage et le  trou de coulée en laissant, de préférence, un     lingot     de matière dans la chambre de     chargement,

      à  déplacer     relativement    les parties de la     coquille    de  manière qu'elles viennent en prise entre elles et à       fermer    ainsi la cavité de moulage et à y capter une  partie de l'atmosphère raréfiée, à refouler la     matière     fondue de la chambre de chargement dans la cavité  de moulage, à     couper    l'aspiration de la     hotte    et à       admettre    l'air atmosphérique dans la     hotte,    à refroidir  la matière pour la     solidifier    et     former    une     pièce     moulée, à ouvrir la hotte et à écarter les,

   parties     de       la     coquille    l'une de l'autre pour enlever la     pièce     moulée et, simultanément, à pousser le     lingot        soli-          difié    da matière hors de la chambre de chargement.  



  La quantité de matière fondue fournie à la  chambre de chargement pendant chaque cycle de  fonctionnement et qui, de     préférence,    dépasse quel  que peu la     quantité    requise pour     remplir    la     cavité     de moulage 52 et le trou de coulée 82, dépend d'un  ou de plusieurs des trois facteurs suivants  1. la taille de     l'orifice    de mesure 63,  2. la durée attribuée à l'introduction de la  matière dans la chambre de chargement et  3. le degré de vide régnant dans la hotte 85.  



  Ce     dernier        facteur    peut être réglé, par exem  ple, par un organe     d'actionnement    280 ayant  la forme d'un coulisseau commandé par le  dispositif à soupapes 140 et la fente 137     par     laquelle la boite 136 communique avec l'in  térieur de la hotte. Cette façon de déterminer  la quantité de la charge, dans, le cas où elle       diminue    notablement le degré de vide, ne  doit être     utilisée    que lorsque la qualité de la       pièce    moulée ne présente pas     d'importance     majeure.

   Pour obtenir les meilleurs     résultats     en ce     qui        concerne    la     densité    et la qualité       lisse    de la pièce moulée, un vide doit être  employé qui ne soit pas pratiquement infé  rieur à 482 mm de mercure.  



  Il est évident qu'en combinant deux des facteurs  susdits ou tous les     facteurs    susdits dans des propor  tions     convenables,    on peut obtenir une charge en  quantité voulue. En pratique, on. emploie un organe  62 ayant un orifice de mesure d'une capacité telle  que l'orifice mesure grosso modo la quantité de  matière fondue requise pour une charge et, ensuite,  on modifie la     quantité,    pour obtenir une     charge    en       quantité    voulue, en modifiant le     facteur        durée,        ce     qui est     effectué    en réglant le     chronorégleur    T-1.  



  La machine pour le moulage en coquille ici  décrite est de 365 tonnes. En d'autres mots, elle  verrouille les     parties    de la coquille à une pression  d'environ 365 tonnes ; la pompe à vide 130 est une  pompe de 10 CV ayant un déplacement de 7,1     m3     par minute; le réservoir 133 est d'une capacité de  2,8 m3 ; la     capacité    de la hotte 85 est de 0,4     m3.     Lorsque la machine     accomplit    un cycle toutes les  neuf secondes,     conformément    à la pratique habi  tuelle, et que la pompe fonctionne à la vitesse pres  crite,     un.    vide de 560 mm de mercure s'établit dans  le réservoir entre les cycles.

   Lors de l'ouverture de  la soupape 142, un vide d'environ 480     mm    de mer  cure s'établit quasi instantanément dans la hotte  fermée, c'est-à-dire en une     demi-seconde,    le vide  régnant dans le     réservoir    se nivelant à     une    valeur       pareille    pendant la phase     d'évacuation    de l'air.  



  Par conséquent, l'expression matière fondue  employée     ici    s'étend aux matières     plastiques    lorsque       celles-ci.    sont à l'état     liquide    ou dans un état amolli      et mobile, que cet état soit produit par la chaleur  ou autrement,     pourvu.    que la     matière    soit apte à  couler ou à être propulsée dans la     cavité    de moulage  et, ensuite, à se     solidifier.  

Claims (1)

  1. REVENDICATION I: Machine pour le moulage en coquille, dans laquelle les parties constituant la coquille sont rela tivement mobiles l'une vers l'autre, caractérisée en ce qu'une chambre de chargement s'ouvre à travers la face d'une des parties de la coquille et en ce qu'une bonde saillit depuis la face de l'autre partie de la coquille et a une longueur telle qu'elle pénètre dans ladite chambre pendant le mouvement relatif desdites parties l'une vers l'autre et avant que la cavité délimitée par les parties de la coquille
    ne soit complètement fermée, la bonde et les parties de la coquille ayant des parties contiguës qui forment ensemble un trou de coulée par lequel la chambre reste en communication avec la cavité délimitée par les parties de la coquille, un moyen permettant de créer un vide d'un degré relativement élevé dans une hotte tandis que lesdites parties de la coquille sont encore espacées,
    de manière que le vide agisse pour aspirer une charge de matière fondue dans la cham bre de chargement en provenance d'une source d'alimentation et pour dégazer ladite charge avant que les parties de la coquille ne viennent en prise pour fermer la cavité qu'elles délimitent. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Machine suivant la revendication I, caracté risée en ce qu'elle comprend un dispositif de com mande à fluide sous pression pour provoquer le mouvement de fermeture des parties de la coquille en deux étapes, séparées par une période d'immobi lité, à un moment où les parties de la coquille sont encore espacées, mais où la bonde a pénétré partiel- lement dans la chambre de chargement et où la hotte est fermée,
    un dispositif à soupapes destiné à commander le dispositif de commande et un circuit électrique destiné à assurer l'actionnement automa tique dudit dispositif à soupapes, le circuit électrique comprenant un dispositif chronorégleur qui déter mine la durée de la période d'immobilité,
    ledit dispo sitif étant réglable de manière que la durée de la période d'immobilité puisse être modifiée aux fins du réglage de la quantité de matière fondue aspirée dans la chambre de chargement. 2.
    Machine suivant la revendication I et la sous- revendication 1, caractérisée par des moyens pour modifier le degré de vide créé dans la hotte en vue du dosage de la quantité de matière fondue aspirée dans la chambre de chargement pendant la période d'immobilité. 3.
    Machine suivant la revendication I et les sous- revendications 1 et 2, caractérisée en. ce que la hotte qui entoure les parties de la coquille comprend deux parties qui sont solidaires chacune d'une des parties de la coquille et qui viennent mutuellement
    en. prise pour rendre ladite hotte hermétique au commence- ment de. la période d'immobilité, une desdites parties étant susceptible de se contracter contre l'effet de moyens élastiques et comprenant un organe interne qui est fixe par rapport à la partie correspondante de la coquille et comporte un support périphérique continu,
    faisant face vers l'extérieur, et un organe externe qui entoure l'organe interne et vient en con tact coulissant avec ledit support, de manière hermé tique, par suite de quoi la hotte reste fermée, mais est contractée pendant la seconde étape du mouve ment de fermeture des parties de la coquille. 4.
    Machine suivant la revendication I et les sous revendications 1 à 3, caractérisée en ce que la partie de la hotte, non apte à se contracter, comprend un organe interne qui est fixe par rapport à la partie correspondante de la coquille et qui présente un sup port périphérique, faisant face vers, l'extérieur, qui vient hermétiquement en prise avec la surface interne d'un organe externe,
    les deux organes étant fixés entre eux de manière réglable pour permettre de modifier leurs positions relatives dans la direction du mouvement des parties de la coquille, par suite de quoi la hotte peut être réglée pour recevoir des coquilles de différentes profondeurs..
    5. Machine suivant la revendication I et les sous- revendications 1 à 4, caractérisée eu ce que l'organe externe de la partie de la hotte, non apte à se con- tracter, comprend des boîtiers supérieur et inférieur fixés entre eux de manière amovible,
    par suite de quoi le bo^itier supérieur peut être déplacé ou enlevé pour donner accès aux parties de la coquille. REVENDICATION II Procédé pour la mise en action de la machine suivant la revendication I, caractérisé en ce qu'on entoure les parties de la coquille d'une hotte hermé tique,
    qu'on soumet l'intérieur de la hotte à une aspiration suffisamment forte pour créer un vide d'un degré relativement élevé dans la hotte et les espaces qui communiquent avec cette dernière, pour provo quer un écoulement de matière fondue, d'une source d'alimentation, dans une chambre de chargement et qu'on endigue l'extrémité de refoulement de ladite chambre pour y retenir la matière fondue alors que les, parties de la coquille sont encore espacées,
    mais sans complètement séparer ladite chambre de la hotte, de manière que la matière soit dégazée par l'effet du vide agissant sur ladite matière.
CH349035D 1957-05-31 1958-05-27 Machine pour le moulage en coquille et procédé pour la mise en action de cette machine CH349035A (fr)

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