CH332539A - Mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes d'une pièce d'horlogerie sans roue de grande moyenne au centre - Google Patents

Mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes d'une pièce d'horlogerie sans roue de grande moyenne au centre

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CH332539A
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Morf Ernest
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Morf Ernest
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    • GPHYSICS
    • G04HOROLOGY
    • G04BMECHANICALLY-DRIVEN CLOCKS OR WATCHES; MECHANICAL PARTS OF CLOCKS OR WATCHES IN GENERAL; TIME PIECES USING THE POSITION OF THE SUN, MOON OR STARS
    • G04B33/00Calibers
    • G04B33/10Calibers with seconds hand arranged in the centre of the dial

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  • Physics & Mathematics (AREA)
  • General Physics & Mathematics (AREA)
  • Electromechanical Clocks (AREA)
  • Gears, Cams (AREA)

Description


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 Mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes d'une pièce d'horlogerie sans roue de grande moyenne au centre Dans les montres    Roskopf   où le barillet passe au-delà du centre du mouvement, l'aiguille des minutes est calée sur un mobile qui ne fait pas partie du train d'engrenages reliant le barillet à l'échappement de la montre. Cette façon indirecte d'entraîner    l'aiguille   des minutes a pour inconvénient que la position angulaire de cette aiguille n'est pas déterminée rigoureusement, en raison de l'ébat des dents du mobile sur lequel l'aiguille est calée, dans la denture de la roue de minuterie, qui est montée sur le barillet et qui entraîne ladite aiguille. 



  On rencontre ce même type d'entraînement indirect de l'aiguille des minutes aussi dans des montres soignées, à mobile des secondes au centre, dans lesquelles on évite un mouvement trop épais en    utilisant   une roue de grande moyenne excentrée et non pas coaxiale à la roue des secondes.    L'aiguille   des minutes est alors calée sur une chaussée entraînée par un renvoi en prise avec une roue ou un pignon solidaire d'un mobile du train d'engrenages reliant le barillet à l'échappement. Dans ces montres, l'aiguille des secondes a une position angulaire parfaitement déterminée, mais l'aiguille des minutes a une position angulaire    flottante,   car l'ébat des engrenages permet à cette aiguille de se déplacer de quelques minutes.

   On peut supprimer cet ébat en utilisant un ressort de friction, mais l'aiguille des minu- tes a toujours du chemin perdu, dû aux ébats d'engrenages et ce chemin perdu se remarque lors de la mise à l'heure. 



  Diverses solutions ont déjà été proposées en vue de réduire les ébats d'engrenages, mais celles qui seraient les plus efficaces prévoient des tolérances si faibles pour les pièces du mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes, qu'il n'est pas possible d'usiner ces pièces en série. 



  Le mécanisme selon l'invention a pour but d'assurer un entraînement    indirect   de    l'aiguille   des minutes tel que la position angulaire de cette aiguille soit parfaitement déterminée et de permettre que les différents éléments de ce mécanisme puissent être usinés en série sans difficulté, leurs dimensions n'étant pas soumises à des tolérances inusitées. 



  Deux formes d'exécution du mécanisme selon l'invention sont représentées à titre d'exemple dans le dessin    annexé.   



  La    fig.   1 est une coupe partielle d'une montre équipée d'un mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes    conforme   à la première forme d'exécution ; la    fig.   2 est une    vue   en plan partielle de cette montre ; la    fig.   3 est une coupe selon la ligne    111-III   de la    fig.   2, et 

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 la    fig.   4 est une coupe analogue à celle de la    fig.   1 d'une pièce d'horlogerie équipée d'un mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes conforme à la deuxième forme d'exécution. 



  Dans la montre représentée aux    fig.   1 à 3, l'aiguille des minutes est    entraînée   à partir d'un pignon 1 monté sur une partie de    1 axe   2 d'une roue de grande moyenne excentrée 3, qui- fait    saillie   au-dessus de la platine 4 du mouvement de la montre. Ce    pignon   1 entraîne une chaussée 5, qui tourne très librement autour d'un tube 6 chassé dans un trou de la platine 4. Dans    ce   but, le pignon 1 est relié à la chaussée 5 par une roue de minuterie 7.

   Celle-ci porte par ailleurs un pignon 8, qui    entraine   une roue à canon 9 sur laquelle l'aiguille des heures 10 est    fixée.   L'aiguille des minutes 11 est fixée à la chaussée 5 et l'aiguille des secondes 12 est calée sur l'extrémité de l'axe 13 d'une roue des secondes 14, dont le pignon 15 est entraîné à partir de la roue de grande moyenne 3 par l'intermédiaire d'un mobile de petite moyenne non représenté. La roue 14 est en prise avec le pignon d'un mobile d'échappement non représenté. 



  En vue d'assurer la mise à l'heure des aiguilles des minutes et des heures, le pignon 1 est solidaire d'un manchon 16 portant un second pignon 17, et la paroi de ce manchon 16 présente un étranglement 18 engagé à cran avec friction dans une gorge 19 de l'axe 2, de façon que le manchon et les pignons 1 et 17 soient entraînés normalement par l'arbre 2, mais puissent tourner librement sur cet arbre sans se déplacer    axialement   lors de la mise à l'heure. 



  Pour supprimer l'ébat angulaire de l'aiguille 11    dans   la montre décrite, le mobile de minuterie (7, 8) ne pivote pas autour d'un axe    fixe   par rapport à la platine 4. Ce mobile de minuterie porte en    effet   un    axe   20 dont un col 21 est engagé dans une partie    circulaire   22 d'une découpure de la platine 4, qui présente encore une autre partie    circulaire   23. Le diamètre de la partie 22 de ladite découpure est supérieur à    celui   du col 21, afin que ce dernier puisse se déplacer librement dans    cette   partie de la découpure de la platine. Un ressort 24, logé dans une creusure 25 de la platine, agit sur l'axe 20 en sollicitant le mobile de minuterie contre le pignon 1 et la chaussée 5.

   Dans la fia. 2, on voit que la partie 22 de la découpure de la platine 4 est assez grande et est disposée de façon que le ressort 24 puisse engager les dents de la roue de minuterie 7 à fond dans celles du pignon 1 et de la chaussée 5. 



  Le pion 1, la roue de minuterie 7 et la chaussée 5 ont de petites dents triangulaires de façon que celles de la roue de minuterie 7 puissent s'engager à fond dans celles du pignon 1 et de la chaussée 5 sous l'action du ressort 24, sans risquer de provoquer un freinage de la roue de grande moyenne 3. Grâce à ces petites dents, la montre décrite ne    risque   pas de s'arrêter, même si les dents du pignon 1, de la roue de minuterie 7 et de la chaussée 5 présentent des irrégularités, car le mobile de minuterie (7, 8), tenu latéralement en place entre le pignon 1, la chaussée 5 et le ressort 24, peut s'éloigner de l'un des deux dits mobiles, en armant légèrement le ressort 24, et en restant engagé à fond dans la denture de l'autre mobile. 



  Le    mobile   de minuterie est retenu    axia-      lement   en place sur la platine 4 par une tête 26 de l'axe 20, quia un diamètre supérieur à celui du col 21 de cet axe. Le montage et le démontage du mobile de minuterie sont assurés par la partie circulaire 23 de la découpure de la platine 4, décrite plus haut. Cette partie 23 a un diamètre légèrement supérieur à celui de la tête 26 de l'axe 20 du    mobile   de minuterie, pour permettre le passage sans difficulté de cette tête au travers de la    partie   23 de ladite découpure.

   Un trou 27 pratiqué dans la platine 4 permet d'agir sur le ressort 24 à l'aide d'une pointe de    brucelle,   au moment où la tête 26 passe dans la partie 23 de la découpure de la platine, lors du montage ou du démontage du mobile de minuterie. 



  Dans la montre décrite, la mise à l'heure est commandée comme d'habitude par un pignon coulant 28, dont la denture de champ est destinée à venir en prise avec le pignon 17 qui 

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 a une denture usuelle. Il ne serait en effet pas indiqué de faire travailler la denture de champ du pignon coulant 28 avec le pignon 1 à petites dents triangulaires. 



     Etant   donné que la friction assurant l'entraînement des aiguilles 10 et 11 pendant la marche de la montre et    permettant   la    mise   à l'heure de ces    aiguilles   est prévue entre le manchon 16 et l'axe 2, et que le pignon    coulant   agit directement sur le pignon 17    solidaire   de ce manchon 16, on remarque que les mobiles 1, 7 et 5 à petites dentures n'ont pas d'autres forces à transmettre que celles strictement nécessaires à l'entraînement des aiguipes 10 et 11, que cet entraînement ait lieu sous l'action de l'arbre 2 de la roue de grande moyenne durant la marche normale de la montre, ou qu'il ait lieu sous l'action du pignon coulant 28, lors de la mise à l'heure. 



  A part la roue des secondes 14 - pivotée au centre du mouvement - et la roue de grande moyenne 3 - pivotée autour d'un axe coplanaire à celui de la tige de remontoir et de mise à l'heure -, les autres mobiles du mouvement de la montre peuvent être répartis à volonté sur la platine 4, de sorte qu'on peut donner les diamètres voulus à ces mobiles. De plus, le mécanisme décrit ne rend pas le mouvement de la montre beaucoup plus coûteux qu'un mouvement sans roue des secondes au centre. 



     Etant   donné par ailleurs que la chaussée 5 tourne librement autour du tube 6, celui-ci peut être fait, par exemple, en laiton, et avoir un diamètre assez grand pour qu'on puisse y loger une pierre 29 servant de palier à l'axe 13 de la roue des secondes 14. 



  Il est, d'autre part, bien entendu qu'une paire de pignons analogues aux pignons 1 et 17 pourrait aussi être prévue sur un arbre autre que celui de la roue de grande moyenne de la montre. 



  La pièce d'horlogerie représentée à la    fig.   4 convient plus particulièrement comme montre pour voiture automobile. Elle présente en effet une tige de mise à l'heure 38, qui, tout en étant parallèle au mouvement, n'est pas située en élévation entre la platine 4 et les ponts 30, mais entre ceux-ci et le fond du boîtier de la montre. 



  Dans cette deuxième forme d'exécution, le mobile de grande moyenne (roue 3 et pignon 31) est monté à friction sur un    chevillot   32 dont les pignons 1 et 33 sont solidaires. Pour cela, la roue 3 et le pignon 31 sont appuyés    axialement   par un    ressort   34 contre une bague 35 chassée sur le    chevillot   32,    ce   ressort 34 prenant appui sur une portée 36 du    chevillot   32. 



  Comme dans la première    forme   d'exécution, le pignon 1 a de petites dents triangulaires et le pignon 33 a une denture normale, avec laquelle la denture de champ d'un mobile 37 est destinée à venir en prise pour la mise à l'heure. Ce mobile 37 est    solidaire   de la tige 38, qu'un ressort non représenté sollicite vers la gauche dans la    fig.   4. 



  Les autres parties du mécanisme d'entraînement des aiguilles, en particulier de l'aiguille des minutes, sont identiques aux parties correspondantes du premier exemple décrit. 



  Si les dents des mobiles 1, 5 et 7 des deux exemples décrits doivent être triangulaires lorsque leurs dimensions sont à peine    inférieures   à celles des dents habituelles, la forme de ces dents ne joue pratiquement plus de rôle lorsqu'elles sont plus petites. Ainsi, les dents des mobiles 1, 5 et 7 peuvent être taillées    sans   prendre de précautions spéciales, dès que les trois mobiles en question ont environ deux fois plus de dents que des mobiles à denture usuelle, ou, en d'autres termes, dès que le module (égal au quotient du diamètre    primitif   par le nombre de dents) est d'un ordre de grandeur environ égal à la moitié des modules usuels. 



  Ces    derniers   varient avec le calibre des pièces. Ainsi, dans les grandes pièces, telles que montres de poche, réveils, montres pour voitures automobiles, de calibre supérieur à 36,09 mm, les modules usuels sont    compris   entre vingt-deux et vingt-quatre centièmes de millimètre, tandis que dans une pièce moyenne, telle qu'une montre-bracelet pour homme, de calibre compris entre 22,56 et 36,09 mm, les modules usuels sont compris entre treize et 

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 quinze centièmes de    millimètre,   et que dans les petites pièces, pour dames, de    calibre   inférieur à 22,56 mm, les modules usuels sont compris entre neuf et onze centièmes de millimètre. 



  Des essais entrepris avec ces différents calibres ont montré que pour assurer des conditions d'engrenage satisfaisantes, quelle que soit la forme des dents, entre les mobiles 1, 5 et 7, il fallait choisir les modules entre dix et quinze centièmes de millimètre dans les pièces de calibre supérieur à 36,09    mm,   entre six et neuf centièmes de millimètre dans les pièces moyennes, de calibre compris entre 22,56 et 36,09 mm, et entre quatre et sept centièmes de millimètre dans les petites pièces de calibre inférieur à 22,56 mm.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes d'une pièce d'horlogerie sans roue de grande moyenne au centre, caractérisé en ce qu'un mobile du mouvement de la pièce d'horlogerie, reliant son barillet à son échappement, entraîne en rotation une chaussée pivotée librement sur un tenon solidaire du bâti du mouvement de ladite pièce d'horlogerie au moyen d'un pignon monté sur l'arbre dudit mobile du mouvement de la pièce d'horlogerie et d'une roue de minuterie mobile dans son plan et engagée à fond par un ressort dans les dentures de la chaussée et dudit pignon, afin de supprimer tout ébat angulaire de celle-ci par rapport audit mobile, les engrenages formés par ledit pignon, la roue de minuterie et la chaussée ayant un module d'un ordre de grandeur environ égal à la moitié des modules usuels. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que le module desdits engrenages est compris entre dix et quinze centiè- mes de millimètre, si le calibre de la pièce d'horlogerie est supérieur à 36,09 mm, entre six et neuf centièmes de millimètre, si le calibre de la pièce d'horlogerie est compris entre 22,56 et 36,09 mm, et entre quatre et sept centièmes de millimètre, si le calibre de la pièce d'horlogerie est inférieur à 22,56 mm. 2. Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que les dents dudit pignon, de la roue de minuterie et de la chaussée sont triangulaires. 3.
    Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que ledit pignon est solidaire d'un manchon portant un renvoi à denture usuelle, avec lequel un pignon coulant est destiné à venir en prise pour la mise à l'heure, ledit manchon étant engagé à friction sur l'arbre dudit mobile. 4. Mécanisme selon la revendication, caractérisé en ce que ledit pignon est chassé sur l'arbre dudit mobile, tandis que la roue et le pignon constituant ce mobile sont montés à friction sur ledit arbre, dont un pignon à denture normale est solidaire, un mobile à denture de champ étant destiné à venir en prise avec ce dernier pignon pour la mise à l'heure. 5.
    Mécanisme selon la revendication, caractérisé par une découpure pratiquée dans la platine du mouvement et composée de deux parties circulaires de diamètres différents, et en ce que la roue de minuterie est solidaire d'un arbre présentant, d'une part, un col logé librement dans la plus petite partie circulaire de ladite découpure, et, d'autre part, une tête ayant un diamètre compris entre ceux desdites parties circulaires de la découpure de la platine, afin de passer librement au travers de la plus grande et de retenir le mobile de minuterie axialement en place sur la platine, lorsque le col de son axe est logé dans la plus petite desdites parties circulaires.
CH332539D 1956-08-31 1956-08-31 Mécanisme d'entraînement de l'aiguille des minutes d'une pièce d'horlogerie sans roue de grande moyenne au centre CH332539A (fr)

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Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE1698624B1 (de) * 1964-01-21 1969-09-04 United States Time Corp Zeigerwerksanordnung fuer elektrische Uhren

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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