CH296402A - Rapid steel desulphurisation process. - Google Patents

Rapid steel desulphurisation process.

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CH296402A
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CH
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slag
metal
lime
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ladle
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French (fr)
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Societe D Electro-Chimie Ugine
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Electro Chimie Metal
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C21METALLURGY OF IRON
    • C21CPROCESSING OF PIG-IRON, e.g. REFINING, MANUFACTURE OF WROUGHT-IRON OR STEEL; TREATMENT IN MOLTEN STATE OF FERROUS ALLOYS
    • C21C7/00Treating molten ferrous alloys, e.g. steel, not covered by groups C21C1/00 - C21C5/00
    • C21C7/04Removing impurities by adding a treating agent
    • C21C7/064Dephosphorising; Desulfurising

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  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Materials Engineering (AREA)
  • Metallurgy (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Treatment Of Steel In Its Molten State (AREA)

Description

  

  Procédé de désulfuration rapide de l'acier.    I1 est courant de désulfurer l'acier au four  électrique au moyen de laitiers fortement. cal  ciques.  



  La titulaire, de son côté, a décrit dans ses       brevets    suisses     N s    228703 et 232952 des pro  cédés de     désulfuration    rapide.  



  Le premier de ces procédés consiste à trai  ter l'acier au moyen d'un laitier à base d'alu  mine et de chaux, après addition au bain mé  tallique     d'un    élément, réducteur.  



  Le     deuxième    procédé fait appel à des lai  t     iers        silico-calciques    riches en chaux. On brasse       violemment    avec ces laitiers l'acier à. traiter,       additionné        d'un    réducteur. La fluidité du  laitier, indispensable pour la réalisation d'un  brassage efficace, est obtenue     grâce    à l'addi  tion de fondants appropriés, en particulier       (le    spath fluor, comme il est     d'usage    courant  pour les laitiers basiques.

   Ce procédé     permet.     d'abaisser la teneur en soufre de l'acier de       0.030%        environ    à     0,010 /n        et        même        moins,        en          tttili.,#ant    des poids<B>(le</B> laitier de l'ordre de       511/o    du poids du métal à traiter.  



  Cette proportion relativement importante       (lu    laitier par rapport au métal nécessite en  général la mise en rouvre de laitiers à. l'état       fondu,    ce qui suppose l'existence dans     l'a.te-          liel-        d'aciérie    d'un four spécialement adapté       m        cette        fusion.     



  La titulaire a dès lors recherché un laitier       possédant    à la fois un point de fusion rela  tivement bas et un pouvoir     désulfurant    très    élevé, de telle manière que le poids du laitier  à mettre en     oeuvre    soit faible par rapport. au  poids du métal - ces deux conditions devant  permettre d'éviter la fusion du laitier préala  blement à sa mise en     oeuvre.     



  Il est, bien connu que les laitiers calciques       peuvent    être rendus très fluides et voir leur  point. de     fusion    fortement diminué par des  additions de spath fluor de l'ordre de 10 ou       20%.        La.        titulaire    a     tout        d'abord        tenté        d'aug-          menter    encore cette teneur, jusqu'à 30% par  exemple, dans les laitiers calciques courants;

    mais elle a constaté qu'à, cette teneur les résul  tats n'étaient. que très partiellement satisfai  sants, le point de fusion restant encore élevé  et le     laitier    n'avant pas le temps de fondre en  quantité suffisante.  



  Des études plus poussées ont montré toute  fois que, contrairement. à toute attente, il était  parfaitement possible d'obtenir des laitiers à  la fois très fusibles, très fluides et très     désul-          furants    en faisant appel, comme     constituants     principaux, à la chaux et au spath fluor.  



  La     présente    invention, due aux travaux de       i4    T. René Perrin et de     1I.    Jean     Lamberton,    a  pour objet un procédé de désulfuration rapide  de l'acier, caractérisé en ce que, pendant le  temps très court du     versement    du bain métal  lique en poche, on réalise un     brassage    de  l'acier à     désulfurer,    contenant un réducteur,  avec un laitier formé au moins en majeure  partie de chaux et de spath fluor, la propor-           tion    de chaux étant de 15 à 40 % et celle de  spath fluor de 60 à     851/o-    par rapport au  poids total de ces deux constituants.

       Comme     réducteur, on     petit        employer    par exemple     du     silicium ou de l'aluminium, que l'on ajoute  de préférence avant brassage. Dès la fin du       brassage,    il est, souvent. avantageux de faire  une addition de chaux sur le laitier surna  geant pour le solidifier en partie et diminuer  ainsi sa     corrosivité.     



  De tels laitiers présentent les deux pro  priétés requises d'être à la fois très fluides,  très fusibles et d'avoir     tin    pouvoir     désulfurant     très accru par rapport à tous les laitiers  actuellement connus. Bien que leur agressivité  vis-à-vis des réfractaires     courant,-,    des poches  soit relativement importante, on peut néan  moins les utiliser avec les     garnissages    habi  tuels, surtout si l'on effectue une addition  de chaux en fin d'opération. Cette addition  serait inutile, bien entendu, si l'on utilisait  des réfractaires de poche spécialement résis  tants,     mais    le coût de ces derniers est encore  généralement trop élevé.  



  Pratiquement, la     meilleure    manière de  mettre en     oeuvre    l'invention consiste à intro  duire le laitier à l'état solide dans le jet de  métal au moment de la coulée, après en avoir  placé éventuellement une partie dans le fond  de la poche de coulée. La coulée est effectuée.  autant. que possible, en gros jet. ou d'une hau  teur suffisante pour qu'il se produise     un    bras  sage intime et violent du laitier et du métal  dans la poche. Dès la coulée terminée et le  brassage arrêté, le laitier remonte à la. sur  face du bain métallique.     ,1    ce moment, ou un  peu avant, on verse dans la poche une quan  tité de chaux suffisante pour  sécher  le lai  tier.

   Cette chaux se dissout très rapidement  dans le laitier surnageant et diminue ainsi  considérablement. son action corrosive vis-à-vis  des réfractaires de la poche. L'expérience a  montré en effet que l'action corrosive, rela  tivement très faible pendant le     brassage,    sur  tout quand celui-ci est très rapide, s'exerce  d'une manière fâcheuse à partir du moment  où, le     brassage    terminé, il s'est. formé une  couche de laitier au-dessus du bain.

   Si l'on    ne prend pas la     précaution    d'ajouter de la  chaux à, ce moment, l'action corrosive du lai  tier commence très rapidement et continue à  s'exercer     pendant    tout le temps de la coulée  du métal en     lingotières.    L'addition de chaux  au moment     opportun        permet    de supprimer       pratiquement    cet effet et d'utiliser pour réali  ser l'invention les poches ordinaires d'aciérie.  



  La quantité de chaux à ajouter en fin  d'opération dépend bien entendu de la quan  tité de laitier mise en     ceuvre.    Elle peut être,  par exemple, de l'ordre de 3 ou 4 fois le poids  du laitier. L'addition     .sera    faite (le     préférence     sous la forme de morceaux de dimensions       niovennes    ou de grains. On peut, aussi rempla  cer la. chaux, en partie ou en totalité, par une  autre matière réfractaire     susceptible    de pro  duire le     même    effet de      séclia-e     du laitier.  La dolomite donne de bons résultats.  



  En ce qui concerne le laitier lui-même, il  est de préférence     préparé    à     l'avance    par  fusion de chaux et. clé spath fluor dans les  proportions indiquées, puis refroidi et broyé  en     grains        d'une    dimension convenable.

   On le  charge dans le jet     métallique    sous cette forme  à l'état solide; il fond très     rapidement    au  contact.     du    métal,     s't-    disperse     grâce        ait    bras  sage obtenu par la violence     du    versement, et  son action     désulfurante    est quasi instantanée.  Ce mode opératoire permet     d'ailleurs    d'éviter  l'installation d'un four de fusion clans l'ate  lier d'aciérie.  



  On peut également, au lieu de fondre le       rnélang@e    de     chaux    et de spath fluor ensemble,  préparer le laitier par     frittage.    de ces deux  éléments.  



  Si, au lieu     cl'introduire    un laitier pré  formé, on charge un mélange de     grains    de  chaux et de     ;gains    de spath, la durée du ver  sement du bain métallique n'est ordinairement  pas suffisante pour assurer la fusion com  plète de ces éléments, et l'effet de     désulfura-          tion    obtenu est. faible.  



  La     granulométrie    du laitier est<B>(le</B> préfé  rence choisie clé telle     manière    qu'il     n'-,-    ait     pas     une proportion trop     grande    de gros grains,  qui fondraient plus     diffieileinent.Il    n'est pas  indiqué non plus qu'il     @-    ait des grains trop      fins, car ceux-ci seraient. soufflés au moment  du versement du métal et ne réagiraient pas.  Pratiquement, un mélange de grains de dia  mètre inférieur à 2 mm et     contenant    moins  (le 20 0/0 en poids de particules de moins de  0.1 mm donne satisfaction.  



  En outre, on peut ajouter au laitier d'au  tres éléments fondants, de préférence basi  ques; on s'efforcera en général d'éviter les  additions à caractère acide     susceptibles    de se  combiner à la chaux.  



  Les quantités de laitier à. mettre en     ceuvre     varieront suivant les teneurs initiales du mé  tal en soufre et les teneurs finales que l'on  désire obtenir. A titre indicatif, une     propor-          tion        en        poids        de    2 à 3     %        par        rapport.        au        poids          (Iii    métal traité permet d'abaisser la teneur       en        soufre        clé        0,

  030        %    à     0,010        %.     



  L'effet désulfurant du laitier sera d'ail  leurs d'autant meilleur que celui-ci sera moins       pollué    en cours d'opération par des laitiers       parasites.    provenant. du four de fusion du  métal et entraînés par lui au moment du ver  sement.     On    s'efforcera donc d'éviter dans  toute la mesure du possible l'entraînement.  dans le jet métallique de tels laitiers parasites  soit en effectuant immédiatement avant coulée       un    décrassage très soigné du métal, soit. en  utilisant tous dispositifs connus permettant au  moment de la coulée de retenir ces laitiers.  



  Pour mieux illustrer l'invention, il est  donné     ci-dessous    un exemple de réalisation.         Exemple:     l tonne d'acier     extra-doux    a été fondue  au four électrique.  



       On        a.        ajouté        au        bain        fondu        0.4%        de        sili-          cium        sous        forme        de        ferro-silicium    à     75%        de     Si.

   Après un décrassage très     soigné,    on a     bas-          eulé    le four et coulé le métal en laissant tom  ber dans le jet de coulée 25 kg d'un laitier  solide broyé en grains fins et contenant     envi-          ron        25        %        de        chaux        et        75        %        de        spath        fluor.     



  Ce laitier avait été préparé par fusion       (l-        deux    éléments suivie de refroidissement et  broyage.  



  Le niveau de la poche se trouvait à 1,5 m       eii    dessous da chenal de coulée du four et il    s'est produit un bon brassage entre métal et  laitier. Le laitier a. fondu presque instantané  ment et a été dispersé dans le métal.  



  Immédiatement avant la fin de la coulée,  on a jeté dans la poche 50<B>kg</B> de chaux en       grains.    On a laissé décanter le laitier pendant  quelques instants,     puis    on a coulé le métal en  lingotières. L'examen de la poche après cou  lée a montré qu'il n'y avait     par    eu d'usure  anormale des réfractaires.  



  La teneur en soufre du métal, qui était de       0,01-3        %        dans        le        bain        métallique        avant        coulée,     est tombée à 0,021 (teneur dosée sur les lin  gots coulés).



  Rapid steel desulphurisation process. It is common practice to desulphurize steel in an electric furnace by means of strong slags. cal cic.



  The proprietor, for its part, described in its Swiss patents Nos. 228703 and 232952 rapid desulphurization processes.



  The first of these processes consists in treating the steel by means of a slag based on alumina and lime, after addition to the metal bath of a reducing element.



  The second process uses silico-calcium slag rich in lime. We violently brew with these slag steel. treat, with the addition of a reducing agent. The fluidity of the slag, essential for achieving efficient mixing, is obtained by adding suitable fluxes, in particular (fluorspar, as is commonly used for basic slags.

   This process helps. to lower the sulfur content of steel from about 0.030% to 0.010 / n and even less, by tttili., # ant weights <B> (the </B> slag of the order of 511 / o of weight of the metal to be treated.



  This relatively large proportion (the slag relative to the metal generally necessitates the opening of slag in the molten state, which presupposes the existence in the steelworks of a specially designed furnace. adapted m this merger.



  The licensee therefore sought a slag having both a relatively low melting point and a very high desulphurizing power, such that the weight of the slag to be used is relatively low. by weight of the metal - these two conditions should make it possible to avoid melting the slag prior to its use.



  It is well known that calcium slags can be made very fluid and see their point. melting greatly reduced by additions of fluorspar of the order of 10 or 20%. The proprietor first attempted to increase this content further, up to 30% for example, in common calcium slags;

    but it found that at this content the results were not. only very partially satisfactory, the melting point still remaining high and the slag not having time to melt in sufficient quantity.



  However, further studies have shown that, unlike. to all expectation, it was perfectly possible to obtain slags which are at the same time very meltable, very fluid and very desulphurous by using, as main constituents, lime and fluorspar.



  The present invention, due to the work of i4 T. René Perrin and 1I. Jean Lamberton, has for object a rapid desulphurization process for steel, characterized in that, during the very short time of pouring the lique metal bath into the ladle, the steel to be desulphurized, containing a reducing agent, is stirred. with a slag formed at least for the most part of lime and fluorspar, the proportion of lime being from 15 to 40% and that of fluorspar from 60 to 851% relative to the total weight of these two constituents.

       As reducing agent, silicon or aluminum can be used, for example, which is preferably added before stirring. From the end of brewing it is, often. advantageous to add lime to the supernatural slag in order to partially solidify it and thus reduce its corrosiveness.



  Such slags have the two properties required of being at the same time very fluid, very fusible and of having a very increased desulfurizing power compared with all currently known slags. Although their aggressiveness vis-à-vis current refractories, -, pockets is relatively high, they can nevertheless be used with the usual packings, especially if an addition of lime is carried out at the end of the operation. This addition would of course be unnecessary if specially strong pocket refractories were used, but the cost of the latter is still generally too high.



  In practice, the best way to carry out the invention consists in introducing the slag in the solid state into the metal jet at the time of casting, after having optionally placed a part of it in the bottom of the casting ladle. The casting is done. as much. as possible, in big throw. or of sufficient height to produce an intimate and violent wise arm of the slag and the metal in the pocket. As soon as the casting is finished and the stirring has stopped, the slag goes back to the. on the front of the metal bath. At this time, or a little before, a sufficient quantity of lime is poured into the bag to dry the milk.

   This lime dissolves very quickly in the supernatant slag and thus decreases considerably. its corrosive action vis-à-vis the refractories of the pocket. Experience has shown that the corrosive action, which is relatively very weak during stirring, on everything when the latter is very rapid, is exerted in an unfortunate manner from the moment when, after stirring, it its. formed a layer of slag above the bath.

   If one does not take the precaution of adding lime at this time, the corrosive action of the slag begins very quickly and continues to be exerted throughout the time of pouring the metal into ingots. The addition of lime at the opportune moment makes it possible to practically eliminate this effect and to use ordinary steel mill ladles to carry out the invention.



  The quantity of lime to be added at the end of the operation depends of course on the quantity of slag used. It can be, for example, of the order of 3 or 4 times the weight of the slag. The addition will be made (preferably in the form of pieces of niovenne dimensions or of grains. The lime can also be replaced, in part or in whole, with another refractory material capable of producing the same effect of. seclia-e of slag Dolomite gives good results.



  As regards the slag itself, it is preferably prepared in advance by melting lime and. fluorspar key in the proportions indicated, then cooled and ground into grains of a suitable size.

   It is loaded into the metal jet in this form in the solid state; it melts very quickly on contact. of the metal, is dispersed thanks to a wise arm obtained by the violence of the pouring, and its desulfurizing action is almost instantaneous. This procedure also makes it possible to avoid the installation of a melting furnace in the steelworks workshop.



  It is also possible, instead of melting the mixture of lime and fluorspar together, to prepare the slag by sintering. of these two elements.



  If, instead of introducing a preformed slag, a mixture of grains of lime and spar gains is charged, the duration of the pouring of the metal bath is usually not sufficient to ensure the complete fusion of these elements. , and the desulfurization effect obtained is. low.



  The granulometry of the slag is <B> (the </B> preferred key chosen so that it does not -, - have too large a proportion of coarse grains, which would melt more difficult. It is not indicated no more that it @ - has too fine grains, because these would be. blown when pouring the metal and would not react. Practically, a mixture of grains of diameter less than 2 mm and containing less (the 20 0 / 0 by weight of particles of less than 0.1 mm is satisfactory.



  In addition, it is possible to add to the slag other melting elements, preferably basic; in general an effort will be made to avoid additions of an acidic character liable to combine with the lime.



  The amounts of slag to. ceuvre will vary depending on the initial sulfur metal contents and the final contents that it is desired to obtain. As an indication, a proportion by weight of 2 to 3% relative. by weight (III treated metal lowers the key sulfur content 0,

  030% to 0.010%.



  The desulphurizing effect of the slag will also be all the better as it will be less polluted during operation by parasitic slag. from. of the metal melting furnace and driven by it at the time of pouring. We will therefore try to avoid training as much as possible. in the metallic jet of such parasitic slags either by carrying out a very careful scouring of the metal immediately before casting, or. by using any known devices allowing, at the time of casting, to retain these slags.



  To better illustrate the invention, an exemplary embodiment is given below. Example: 1 ton of extra-mild steel was melted in an electric furnace.



       We have. added to the molten bath 0.4% silicon in the form of ferro-silicon with 75% Si.

   After very careful scrubbing, the furnace was tilted and the metal was poured, leaving 25 kg of a solid slag crushed into fine grains and containing about 25% lime and 75% lime to fall in the casting stream. fluorspar.



  This slag had been prepared by melting (1-two elements followed by cooling and grinding.



  The ladle level was 1.5 m below the furnace casting channel and good mixing between metal and slag occurred. The milkman has. melted almost instantly and was dispersed in the metal.



  Immediately before the end of the pouring, 50 <B> kg </B> of lime grains were placed in the pocket. The slag was allowed to settle for a few moments, then the metal was poured into ingots. Examination of the pouch after casting showed that there was no abnormal wear of the refractories.



  The sulfur content of the metal, which was 0.01-3% in the metal bath before casting, fell to 0.021 (content measured on the cast flax).

 

Claims (1)

REVENDICATION: Procédé de désulfuration rapide de l'acier, caractérisé en ce que pendant le temps très court, du versement du bain métallique en poche on réalise un brassage de l'acier à dé- sulfurer, contenant un réducteur, avec un lai tier formé au moins en majeure partie de chaux et de spath fluor, CLAIM: Process for rapid desulphurization of steel, characterized in that during the very short time, from pouring the metal bath into the ladle, the steel to be desulphurized, containing a reducing agent, is stirred with a formed milk. at least most of lime and fluorspar, la proportion de chaux étant de 1.5 à 40 % et celle de spath fluor de 60 à 85 % par rapport au poids total de ces deux constituants. SOUS-REVENDICATIONS: 1. the proportion of lime being from 1.5 to 40% and that of fluorspar from 60 to 85% relative to the total weight of these two constituents. SUBCLAIMS: 1. Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que le laitier, préformé par fusion des éléments constituants et ensuite broyé. est ajouté à l'état solide dans le jet de coulée du métal en poche. 2. Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que, à la fin de la coulée du métal en poche, on verse dans la poche une matière réfractaire de manière à solidifier rapidement. le laitier surnageant. 3. Procédé suivant la revendication et la sous-revendication 2, caractérisé en ce que la matière réfractaire est une matière basique. 4. Procédé suivant la. revendication et les ous-revendications 2 et 3, caractérisé en ce que la matière réfractaire est, de la chaux. 5. A method as claimed in claim, characterized in that the slag is preformed by melting the constituent elements and then ground. is added in the solid state in the ladle metal casting stream. 2. Method according to claim, charac terized in that, at the end of the casting of the metal in the ladle, a refractory material is poured into the ladle so as to solidify rapidly. the supernatant slag. 3. Method according to claim and sub-claim 2, characterized in that the refractory material is a basic material. 4. Process according to. Claim and sub-claims 2 and 3, characterized in that the refractory material is lime. 5. Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce que l'on ajoute ledit réducteur au métal, avant brassage. 6. Procédé suivant la revendication et :a sous-revendication 5, caractérisé en ce que le réducteur est de l'aluminium. î. Procédé suivant la revendication et la yous-revendication 5, caractérisé en ce que le réducteur est du silicium. 8. Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce qu'on emploie chi silicium comme réducteur. 9. Procédé suivant la revendication, carac térisé en ce qu'on emploie de l'aluminium comme réducteur. Process according to claim, characterized in that said reducing agent is added to the metal, before stirring. 6. A method according to claim and: a sub-claim 5, characterized in that the reducing agent is aluminum. î. A method according to Claim and Claim 5, characterized in that the reducing agent is silicon. 8. A method according to claim, characterized in that silicon is used as reducing agent. 9. Process according to claim, characterized in that aluminum is used as reducing agent.
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