CH261692A - Method and apparatus for the production of multiple cells in plastic sheets. - Google Patents

Method and apparatus for the production of multiple cells in plastic sheets.

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CH261692A
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Charles Nicolle
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Description

       

  
 



  Procédé et appareil pour la production d'alvéoles multiples dans des feuilles
 en matière plastique.



   La présente invention a pour objet un procédé et un appareil pour la production d'alvéoles dans des feuilles en matière plastique.



   On sait que pour travailler des feuilles en matière plastique déformable à chaud, on a généralement l'habitude de chauffer   préa:a-    blement ces feuilles soit dans des fours, soit sur des plaques, soit au moyen d'appareils spéciaux à rayonnement, soit encore par tout autre moyen approprié, de les transporter ensuite, aussi rapidement que possible, sur des matrices chauffées ou non que l'on ferme aussitôt en profitant de l'état de ramollissement de la matière, ce qui permet de leur faire prendre la forme voulue, et enfin de les laisser refroidir avant de démouler.



   Une telle méthode est inapplicable avec des feuilles minces, telles que celles pour lesquelles l'invention a été spécialement coneue.



  En effet, si de telles feuilles sont susceptibles d'être chauffées instantanément dans toute leur masse (ou tout au moins dans la majeure partie de leur masse, celle qui est intéressée par la déformation à réaliser), par contre, elles perdent instantanément la chaleur acquise dès qu'elles ne sont plus au contact ou en présence de la source de chaleur, de sorte que, pratiquement, de telles feuillcs minces deviennent à nouveau plus ou moins rigides, par suite de leur contact avec l'air ambiant et au moment où elles se trouvent en présence des matrices, elles sont ou bien complètement rigidifiées ou beaucoup moins plastiques, ce qui produit fatalement, lors de l'emboutissage, des déchirures de la matière qui n'est plus déformable ou qui ne l'est plus suffisamment.



   De plus, la manipulation de feuilles, minces comme des feuilles de papier et ramollies par la chaleur, est à peu près impossible. Si, au contraire, on laisse les feuilles fixes et qu'on déplace l'appareil, on aboutit à   eleis    dispositifs plus compliqués et à des efforts supplémentaires inutiles dus au poids plus grand à déplacer.



   Dans un autre procédé connu, on   utilise,    pour fabriquer   une    telle plaque, des matrices qui ont, en creux, la forme des alvéoles à obtenir et qui sont combinées avec des contrematrices de forme correspondante, ces pièces ayant entre elles l'écart voulu pour contenir la matière à former. Ces matrices et contrematrices sont chauffées et la feuille, par conséquent, se trouve pressée fortement entre deux surfaces métalliques chauffées, ce qui présente de graves inconvénients en ce qui concerne tout d'abord la résistance de la matière sous les épaisseurs considérées, cette manière d'opérer produisant, semble-t-il, comme une sorte de cuisson rendant en tout cas, comme on peut le constater, la matière plus ou moins cassante.

   En outre, cette   eom    pression ou ce serrage de la matière entre  deux surfaces métalliques chauffées a aussi un grave inconvénient lorsqu'il s'agit de feuilles transparentes, car elle produit   nu    louchissement, la transparence disparaissant.



   La présente invention permet de remédier à ces inconvénients; elle a pour objet un procédé pour la production d'alvéoles multiples dans des feuilles minces en matière plastique qui se distingue des procédés connus par   ]e    fait que les feuilles sont placées dans des appareils de chauffage où elles sont, pendant le chauffage, étirées   d'une    façon progressive, telle que les parties planes situées entre les alvéoles aussi bien que les parties alvéolées elles-mêmes participent à l'étirage et concourent à la formation des alvéoles, le chauffage restant constant pendant toute la durée de cet étirage.



   La présente invention a également pour objet un appareil permettant la mise en oeuvre du procédé ci-dessus indiqué. Cet appareil est caractérisé par le fait qu'il se compose de trois pièces distinctes: une matrice comportant des parties ajourées dont le contour du bord de chaque jour correspond à celui du bord de l'alvéole à obtenir, une contrematrice constituée par une plaque dont les jours sont analogues à ceux de la matrice, une série de pistons étireurs qui coulissent librement dans les parties ajourées de la contre-matrice et dont les extrémités libres sont faconnées à la forme et aux dimensions de l'intérieur des alvéoles à réaliser.



   Sur le dessin annexé, on a représenté schématiquement et à titre d'exemple seulement, les diverses phases d'une forme d'exécution du procédé, objet de l'invention, et un appareil propre à la mise en oeuvre dudit procédé, avec quelques variantes:
 La fig. 1 montre en perspective une plaque alvéolée que l'on peut obtenir avec une forme d'exécution du procédé et de la machine qui font l'objet de l'invention.



   La fig. 2 en est une coupe transversale suivant   II-II    de la fig. 1.



   La fig. 3 en est une coupe transversale suivant   III-III    de la fig. 1 avec les objets en place au fond des alvéoles. I
 La fig. 4 est une vue en élévation avec coupe partielle d'une machine établie pour la production d'alvéoles.



   La fig. 5 en est une vue en élévation en bout.



   Les fig. 6 à 11 montrent un fragment de l'appareil représenté sur la fig. 4 dans diverses positions de fonctionnement avec, audessous, à titre d'indication, les positions de la came de blocage de l'appareil dans la position de fermeture.



   La fig. 12 montre une variante de la matrice et de la contre-matrice qui peuvent être utilisées dans l'appareil représenté sur les figures précédentes.



   La fig. 13 en est une autre variante.



   La fig. 14 est une vue en plan d'une matrice telle que celle qui est utilisée dans la variante de la fig. 13.



   La fig. 15 est une vue d'une autre variante de matrice.



   La fig. 16 est une vue d'une variante de piston étireur susceptible d'être utilisé dans l'appareil.



   La fig. 17 montre une autre variante des pistons étireurs.



   La fig. 18 est une coupe transversale analogue à la fig. 3, mais relative à un emballage hermétique pour tétines.



   La fig. 19 montre en coupe transversale différentes profondeurs d'alvéoles qu'on   peut    obtenir avec le même jeu de pistons étireurs, grâce à de simples cales ou butées réglables interposées entre la plaque porte-pistons et la contre-matrice.



   La fig. 20 montre, en coupe, un fragment de piston étireur à tête amovible.



   La fig. 21 montre, en coupe transversale, deux formes modifiées d'alvéoles qu'on peut obtenir en changeant simplement les têtes des pistons étireurs.



   La fig. 22 montre, en coupe, une partie de l'appareil avec piston étireur permettant d'obtenir des alvéoles coniques.



   La fig.   23,    enfin, est une coupe vertieale d'un appareil de conformation à   double    effet.  



   Dans l'exemple représenté sur le dessin, on a supposé que   l'on    désirait fabriquer une plaque en acétate de cellulose à partir d'une feuille mince de cette matière (par exemple   '2/lot    de millimètre), cette plaque alvéolée étant destinée à loger dix tétines, ainsi qu'on l'a représentée sur les fig. 1 à 3, à titre d'exemple non limitatif.



   Les appareils représentés comportent une matrice 1 fixe qui est formée d'une simple plaque plane avec partie ajourée 2 ayant la forme des contours extérieurs des alvéoles à obtenir. Autrement dit, cette matrice 1 ne comporte pas des creux de moulage contre lesquels viendra s'appliquer et se conformer la feuille d'acétate de cellulose 3. Il y a dans la matrice 1 autant de parties ajourées semblables que   l'on    désire produire d'alvéoles à la fois. Dans   l'exemple    représenté, où il s'agit d'obtenir une feuille alvéolée telle que celle de la fig. 1, il y aura dix parties ajourées 2, disposées suivant deux rangées comme les alvéoles 4 de la feuille 3. Le contour du bord de chaque jour correspond à celui du bord de l'alvéole à obtenir.

   Ces parties ajourées peuvent être très rapprochées, ainsi que cela a été indiqué, ce qui est d'un grand intérêt, d'abord au point de vue de l'économie de matière, et ensuite au point de vue de l'encombrement.



   Cette matrice 1 est chauffée par des résistances électriques qu'on a représentées d'une façon très schématique en 5 sur la fig. 5, ces résistances étant réglables, par exemple au moyen   d'un    rhéostat, et étant disposées de fa çon à produire une chaleur dans toute la masse de la matrice.   Un    thermomètre ou un dispositif de contrôle de la température per
Inet d'observer cette température, de la régler et éventuellement de l'enregistrer.



   Sur la matrice ci-dessus vient se poser   une    contre-matrice 6 qui consiste en une plaque analogue à la plaque formant matrice et qui comporte des parties ajourées 7 semblables à celles de la matrice et disposées de la même façon. Cette contre-matrice 6 est également chauffée par un circuit de résistances électriques tel qu'on l'a représenté en 8 sur la fig. 5, ces résistances étant, comme celles de la matrice, réglables et la température étant contrôlée par des thermomètres ou aurres moyens appropriés.



   La troisième pièce principale de l'appareil consiste en une série de pistons étireurs 9 qui sont fixés de toute façon appropriée à une plaque de support et de commande 10, ces pistons 9 coulissant librement dans les   pal    ties ajourées 7 de la contre-matrice 6.



   L'extrémité libre des pistons étireurs est façonnée à la forme et aux dimensions exactes de l'intérieur des alvéoles 4 à produire.



   Il est à remarquer que ces pistons n'ont pas dans la matrice de contre-partie à leur forme afin qu'à aucun moment les feuilles ne soient serrées excepté sur leurs bords extrêmes entre deux pièces métalliques chauffées à la température de ramollissement et qu'en conséquence les tâches entraînant un louchissement de la matière à l'endroit où cette pression s'exercerait, ne puissent se former. De cette façon, les feuilles conservent, après étirage, leur remarquable transparence.



   Les pistons étireurs sont chauffés indépendamment de la matrice et de la contre-matrice. Ils reçoivent leur chaleur de la plaque 10 qui est chauffée, par exemple, au moyen de résistances électriques 11 d'une façon réglable et contrôlée, comme pour le chauffage de la matrice 1 et de la contre-matrice 6.



   La plaque 10 de support des pistons étireurs 9 est solidaire d'un coulisseau 12 d'une presse dont une amorce du coulisseau a été représentée sur les fig. 4 et 5. Cette presse peut être d'un type quelconque et peut être commandée à la main ou de toute autre façon.



   La contre-matrice 6 est montée également sur la plaque de support 10 des pistons étireurs. L'ensemble de la contre-matrice et des pistons constitue, par conséquent, un ensemble mobile qui monte et descend à chaque opération, c'est-à-dire à chaque mouvement du coulisseau de la presse, alors que la matrice 1 est fixe par rapport au plateau de la presse.



   La plaque porte-piston 10 est fixée au coulisseau 12 de la presse par tout moyens de fixation, par exemple au moyen d'une pièce  filetée 13. La plaque contre-matrice 6, dans les parties ajourées 7 de laquelle viennent s'emboîter et coulisser librement les pistons étireurs 9, est supportée par des tiges 14   pou-    vant coulisser dans la plaque 10. L'extrémité   supérieure    de ces tiges est filetée de façon à permettre de régler la position de cette plaque au moyen d'écrous 15.



   Entre la contre-matrice 6 et la plaque de support 10 des pistons étireurs sont disposés des ressorts 16 interchangeables dont la puissance de compression est connue.



   La matrice fixe 1 est réglée de façon que les pistons étireurs 9 correspondent aux parties ajourées 2 de ladite matrice.



   Dans ces parties ajourées coulissent en outre des pistons réchauffeurs 17 reliés par des tiges 18 à   une    plaque de support 19 disposée au-dessous de la matrice. Ces pistons réchauffeurs 17 sont réglés de façon que leurs parties supérieures planes viennent affleurer à la face supérieure de la matrice lorsque l'appareil est en position ouverte (position représentée aux fig. 4 et 5). La plaque 19 peut coulisser le long de tiges de guidage et de commande 20. Ces dernières peuvent également coulisser dans la plaque 10 de support des pistons étireurs 9, mais la plaque 19 est soutenue par des ressorts 21 dont la valeur de la poussée qu'ils exercent est réglable au moyen d'écrous 22.

   Le rôle de ces ressorts qui agissent de bas en haut est de remonter au maximum les pistons réchauffeurs 17, c'està-dire de les faire arriver au niveau de la face supérieure de la matrice.



   Chaque tige 20 comporte une partie   ren.    flée 23 qui est disposée entre le fond   d'non    évidement 24 de la matrice 1 en formant butée et la plaque 19 de support des pistons réchauffeurs. En outre, chaque tige 20 est soumise à l'action d'un organe élastique constitué par un ressort 25 qui prend appui, d'une part, sur la plaque 10 de support des pistons étireurs et, d'autre part, sur un écrou de réglage 26 monté sur l'extrémité supérieure d'une tige 20. Enfin, chaque tige 20 comporte une butée 27 constituée par un écrou de façon que sa position le long de   a    tige 20 soit réglable.



   La matrice 1 porte à sa partie inférieure un axe 28 portant   une    série de   cames    29 (voir également fig. 5) et solidaire d'un levier de manoeuvre 30. Ces cames sont disposées entre la partie inférieure de la matrice 1 et la plaque 19 du support des pistons réchauf  feurs.    L'axe 28 est monté librement dans des supports fixés à la matrice de telle façon qu'au fur et à mesure que la plaque   i9    descend, entrainant avec elle les pistons réchauffeurs 17 afin de permettre l'engagement des pistons étireurs 9 dans les évidements 2 de la matrice   1, les    cames, sous l'effet de leur poids (le levier 30 formant en outre contrepoids),

   effectuent   mi    mouvement de rotation amenant leur plus grand rayen en direction du bas de l'appareil et viennent en définitive bloquer, comme on le verra plus loin, l'appareil dans la position de fermeture.



   L'appareil tel qu'il vient d'être décrit permet de former en une seule opération rapide des alvéoles dans des   feuillas    d'acétate de cellulose très minces, n'ayant que quelques centièmes de millimètre d'épaisseur. Les trois parties principales de l'appareil: matrice 1, contre-matrice 6, pistons étireurs 9, sont chauffés par trois circuits indépendants et réglables indépendamment les uns des autres.



  Il convient de noter que les feuilles de matière plastique, suivant leur nature, c'està-dire suivant leur composition et leur mode de fabrication, présentent des caractéristiques différentes, c'est pourquoi il est nécessaire de prévoir un réglage à des valeurs déterminées et différentes pour chaque cas, des températures respectives de chacun des trois éléments principaux de l'appareil; par exemple, certaines feuilles d'acétate de cellulose seront suffisamment amollies à 750, tandis que d'autres exigeront   ime    température de 1250.



   Suivant la profondeur des alvéoles à obtenir, suivant la vitesse de travail, laquelle dépend de la forme des alvéoles et de leur profondeur, et suivant l'épaisseur de la feuille d'acétate de cellulose à traiter, on fait varier les unes par rapport aux autres les trois   tem-       peratures    en question. D'autres facteurs   in-    fluent également, à savoir la température ambiante, l'état hygrométrique de l'air, la   froid    cheur ou l'ancienneté des feuilles, etc. Ces températures relatives des trois éléments principaux de l'appareil les unes par rapport aux autres sont établies d'après la connaissance des caractéristiques des feuilles à traiter et aussi par expérience dans chaque cas.

   En tous cas, grâce aux circuits électriques indépendants réglables et contrôlés des différents éléments de l'appareil, il est possible de réaliser en des points différents de celui-ci, et à des endroits différents de la feuille, des températures différentes et les mieux adaptées   en    vue d'obtenir ]es meilleurs résultats.



   On va décrire maintenant, en se référant aux fig. 6 à 11, le fonetionnement de l'appareiI qui vient d'être décrit dans ce qui précède.



   Dans la position représentée sur la fig. 6, l'appareil est ouvert, la feuille mince 3 en acétate de cellulose provenant, par exemple, d'un rouleau, étant placée dans l'appareil. Le   coulisesau    12 de la presse est relevé et   retirent    la plaque 10 des pistons étireurs 9 et, par conséquent, ces pistons eux-mêmes dans la position de soulèvement. La contre-matrice 6 est également   maintenne    relevée au moyen des tiges 14 et de l'écrou 15. Au moyen de cet écrou, on règle la hauteur de la contrematrice 6 de telle façon que la partie basse des pistons étireurs 9 n'affleure pas tout à fait la face inférieure de cette contre-matrice, l'écart pouvant, par exemple, être de 1 à 2 millimètres.



   Dans les parties ajourées 2 de la matrice fixe 1, les pistons réchauffeurs 17 se trouvent au niveau de la face supérieure de la matrice, étant soulevés par la plaque 19, ellcmême soulevée par les tiges de commande 20 et par les ressorts 21. Chaque tige 20 est ellemême soulevée par la plaque 10 de support des pistons étireurs par l'intermédiaire des ressorts 25, les deux épaulements inférieur et supérieur de la partie renflée 23 de la tige formant double butée. La feuille 3 se   troue    ainsi placée sur une véritable table   chauf-    fante sans solution de eontinuité, puisque les pistons réchauffeurs bouchent les parties ajourées de la matrice 1.



   Dans la position représentée sur la fig. 7, le coulisseau 12 de la presse a été abaissé et, avec lui, l'ensemble supérieur mobile de l'appareil. On remarque que, dans cette position, la contre-matrice vient appuyer sur la feuille 3, alors que rien dans la partie intérieure de la matrice n'a encore été changé. La feuille 3 se trouve alors chauffée d'une façon parfaite sur sa face inférieure par contact avec la matrice 1 et les pistons réchauffeurs 17, et sa face supérieure reçoit elle-même de la chaleur de la contre-matrice 6 par contact direct.



  En outre, dans les parties ajourées 7 de la contre-matrice se forment, comme on l'a représenté en 7, des chambres chaudes, les pistons étireurs 9 étant à cet instant maintenus légèrement au-dessus de leurs points de contact avec la feuille 3. On voit que les pistons réchauffeurs 17 ont été maintenus en place par l'action des ressorts 25, qui se sont décomprimés au cours du déplacement du cou  listeau    12.

   Comme la feuille d'acétate 3 placée dans l'appareil n'a que quelques centièmes de millimètre d'épaisseur, à l'instant même de la fermeture de l'appareil, cette feuille est chauffée en dessus et en dessous et dans toute sa masse et si les températures appliquées sont choisies convenablement, elle se trouve être exactement dans les conditions convenant à son étirage, pourvu que celui-ci ait lieu sans aucun retard et avant que la matière ne subisse de transformation du fait de la chaleur.



   Sur la fig. 8, on a représenté la position qu'occupent les différents organes de l'appareil lorsque le coulisseau 12 a encore été   ahaissé    d'un millimètre ou deux par rapport à la position de la fig. 7. A ce moment, la partie inférieure des pistons étireurs 9 est venue en contact avec la feuille 3 au point a.



  Mais les pistons réchauffeurs 17 ont alors commencé à descendre   corne    on le voit sur la figure, de telle façon que la matière ne se trouve à aucun moment serrée, sauf sur une partie au moins de ses bords extrêmes, entre  deux pièces métalliques, mais se   trouve    par contre toujours entre deux chambres chaudes relativement étanches,   e'est-à-dire    dans une atmosphère parfaite pour l'étirage, la matière se trouvant en outre protégée contre tout contact avec l'air froid (qui serait susceptible de rigidifier la matière) dès son premier contact avec la matrice inférieure chaude sur laquelle on l'a posée.

   On voit que dans la position représentée sur la fig. 8, la descente des pistons réchauffeurs 17 est commandée par la plaque 19 qui supporte cesdits pistons et qui est elle-même poussée par l'épaulement inférieur de la partie renflée 23 de la tige 20, cette dernière étant entraînée par l'écrou 27 sous l'effet de la plaque 10 de support des pistons étireurs 9.



   De cette façon, à partir de ce moment, la vitesse de descente des pistons réchauffeurs 17 est égale à celle des pistons étireurs 9, ce qui a pour effet de maintenir à peu près constante l'importance des chambres chaudes inférieure et supérieure créées autour des deux types de pistons
 Sur   la - fig.    9, on a représenté la position des organes de l'appareil dans un stade un peu plus avancé. Les pistons   réehauffeurs    17 continuent à descendre et les pistons étireurs 9 amorcent les alvéoles dans la feuille 3. En fait, les faces antérieures des pistons 9 constituent des surfaces d'appui sur lesquelles la matière est étirée.



   Sur la fig. 10, on a représenté l'appareil dans la position qu'ont pris ses organes à la fin de la course du coulisseau 12. A ce moment, la plaque 10 vient buter contre la contre-matrice 6 et bloque l'appareil qui se trouve à fond de course; les alvéoles se trouvent alors fermés complètement dans la feuille 3.



   Tout ce qui vient d'être dit jusqu'ici à propos du fonctionnement de l'appareil s'est passé sans interruption. L'opération a été continue depuis la position représentée sur la fig. 6 jusqu'à celle représentée sur la fig. 10.



  Il convient de remarquer toutefois qu'avec certaines épaisseurs de matière, ainsi qu'avec certaines qualités, et suivant en outre   ia    forme des empreintes, il   convint:   
 10 De marquer un temps d'arrêt   (d'une    seconde par exemple, ou une fraction de seconde), dans la position représentée sur la fig. 7, c'est-à-dire juste avant le début de l'opération d'étirage   qili,    elle, est effectuée de manière progressive du début jusqu'à la fin de la formation des alvéoles.



   20 De réaliser les opérations schématisées par les positions représentées sur les fig.   5,    9 et 10 à des vitesses qui ne sont pas   lmi-    formes et qui peuvent aller, suivant les cas, soit en augmentant, soit en diminuant.



   Il est à noter toutefois qu'au lieu de   ma-.-    quer le temps d'arrêt ci-dessus spécifié, on peut, dans certains cas, faire agir les pistons étireurs sur la feuille avec un certain retard, en les réglant, par exemple, à quelques millimètres de la face inférieure de la contrematrice (au lieu de 1 ou 2 millimètres dans le cas précédant).



   C'est d'ailleurs un des nombreux avantages de l'appareil qui a été décrit ci-dessus de permettre de réaliser toutes cas conditions soit à la main, soit de préférence d'une façon semi-automatique ou automatique au moyen d'un jeu de leviers ou de cames interposés entre la presse de commande et son coulissean 12, ce qui, ajouté à la combinaison des trois températures différentes de la matrice, de la   eontre-matriee    et des pistons étireurs, permet d'étirer au maximum des alvéoles multiples de formes et de caractéristiques variables dans des feuilles minces en matière plastique telle que l'acétate de cellulose dont les caractéristiques propres sont variables.



   Dans la position représentée s-ur la fig. 10, un temps d'arrêt est marqué, temps d'arrêt qui peut varier d'une à plusieurs secondes, suivant le cas, de façon à permettre à la matière de se stabiliser dans sa nouvelle   confor-    mation, c'est-à-dire de vaincre la résistance intérieure de la matière plastique par nature et susceptible, si aucun arrêt n'était prévu, de subir un retrait.



   Ce temps d'arrêt et cette immobilisation dans la position de fin de course sont obtenus  par l'immobilisation du coulisseau. Ainsi qu'on le voit, les cames 29, au fur et à mesure que la plaque 19 descend, tournent automatiquement, sous l'effet de leurs poids et de celui du levier 30 pour continuer à être en contact avec ladite plaque, et lorsqu'on est arrivé à la position de fin de course représentée sur la fig. 10, c'est par son point le plus haut que lesdites camas se trouvent   en    contact avec la plaque 19 et bloquent de cette façon cette plaque 19 dans sa position basse.



   De cette manière, lorsqu'on fait remonter le coulisseau   12    de la presse, comme on l'a représenté sur la fig. 11, les pistons réchauf  feurs    17 restent dans leur position basse, bloqués par les cames 29, les ressorts 21 se comprimant au cours de cette opération. L'appareil étant alors ouvert, on peut démouler, c'est-à-dire sortir la plaque alvéolée de l'appareil. Cette opération peut être effectuée de deux façons différentes. Dans le premier cas, l'opérateur relâche les cames 29 en agissant sur le levier 30, et à ce moment les pistons réchauffeurs 17 jouent le rôle d'éjecteurs.



  Cette manoeuvre du levier 30 peut d'ailleurs être liée mécaniquement au relevage de la presse ou conduite à la main avec les précautions d'usage. Dans le deuxième cas, l'opérateur soulève la plaquette alvéolée 3 à la main lorsque la minceur et la fragilité de cette plaquette ne permettent pas de réaliser une éjection automatique au semi-automatique.



   Il convient de noter que lorsqu'on ouvre l'appareil, l'air froid qui se précipite sur la feuille 3 et dans les alvéoles produit une rigidification instantanée de l'ensemble, la rigidité de la feuille étant alors presque égale à celle que conservera la feuille complètement froide et ceci sans que la température de la matrice 1 cesse d'être constante.



   Lorsque la feuille alvéolée a été relevée à la main par les soins de l'opérateur, celui-ci relève ensuite le levier 30 des cames 29 et les pistons réchauffeurs 17 reviennent à la position représentée à la fig. 1. L'appareil est alors prêt pour l'opération suivante. La feuille alvéolée est tirée à la main ou automatiquement en dehors de l'appareil, d'une quantité égale à sa longueur et une autre partie vierge vient alors en place pour   l opéra-    tion suivante. Bien entendu, on pourrait en  core    opérer avec des   formats    séparés qu'on placerait successivement dans   appareil.   



   Il y a lieu de noter qu'entre les parties ajourées 7 de la contre-matrice et les pistons étireurs 9 existe un petit jeu grâce auquel la contre-matrice 6 peut se poser bien à plat sur la feuille d'acétate de cellulose et exercer, sous l'action des ressorts 16, une pression égale en tous points.



   Dans ce qui précède, on n'a pas insisté sur le rôle joué par lesdits ressorts 16 interposés entre la contre-matrice 6 et la plaque 10 de support des pistons étireurs 9. Ce rôle est cependant important. Lesdits ressorts, en effet, exercent une pression progressive sur la feuille au fur et à mesure que descendent les pistons étireurs 9 et empêchent la contrematrice de se relever pendant cette   opération,    et, par conséquent, empêchent l'air froid de venir en contact avec la feuilla, ce qui aurait pour effet de produire le glaçage et la rigidification des parties léchées par l'air froid, avec pour conséquence la rupture instantanée de la feuille avant même la fin de l'étirage.



  La force des ressorts 16 est calculée, par conséquent, de façon à bien presser la contrematrice 6 sur la matrice 1 et de serrer ainsi las bords de la feuille, mais aussi de façon à ne pas exercer une pression plus grande que nécessaire entre les parties planes des matrices et   contre-matrices    sous peine   d'empêcher    la matière située en ces points de s'étirer et de s'allonger, ce qui empêcherait d'obtenir le maximum possible ou voulu d'étirage en profondeur, et sous peine également de produire un serrage trop énergique de la matière entre deux surfaces métalliques, ce   qni    nuit, comme on l'a indiqué précédemment, à la conservation de la transparence de la matière. 

   Toutes ces précautions sont nécessaires dans le cas envisagé ici de la formation d'empreintes profondes et multiples dans une feuille très mince d'acétate de cellulose ou matière plastique équivalente, étant donné en particulier la fragilité de la matière considérée sous fai  ble   épaisseur,      spéciaiement      lorsque    cette feuille est chaude, étant donné, d'autre part, que cette matière (contrairement à ce qui se passe dans le moulage de flancs destinés à re  cevoir    une empreinte isolée, problème tout à fait différent de celui examiné ici) est sollicitée en même temps suivant des directions opposées par la formation des deux ou des quatre empreintes voisines, et étant donné enfin qu'il faut, pour obtenir le maximum de profondeur de l'empreinte,

   amincir cette matière partout où cela est possible,   e'est-à-dire    aussi bien à l'endroit des parties planes qu'à l'endroit des alvéoles, sinon on ne tirerait pas parti de toutes les possibilités d'étirage de la matière et de sa plasticité. Il est à remarquer an outre que les pistons étireurs 9 pénétrant dans les parties ajourées de la matrice 1 avec un certain jeu, la matière ne se trouve pas pressée entre la surface extérieure de ces pistons et les bords intérieurs des parties ajourées 2 de la matrice 1, l'étirage se faisant uniquement sur les angles des matrices, sans aucun laminage de la matière. Grâce à ce jeu également, on pourra réaliser avec le même appareil des alvéoles dans des   feuillets    d'épaisseurs différentes.

   Si, par exemple, on a laissé un passage ou un jeu de   l2/lo0    de millimètre entre les pistons étireurs 9 et les surfaces intérieures des parties ajourées 2 de la   rna-    tric, on pourra, dans cet appareil, former des alvéoles dans des feuilles d'acétate ayant moins de   1"/,,,    de millimètre d'épaisseur, celle-ci pouvant descendre jusqu'à   2/lot    de millimètre, épaisseur la plus faible des feuilles pouvant être fabriquées à l'heure actuelle.



   Si l'on veut être   absolurent    sûr que tout contact de la feuille avec les bords intérieurs des parties ajourées 2 est évité, on petit donner à celles-ci une forme légèrement rentrante.



   Avec l'appareil décrit, on exerce sur la feuille de matière plastique des pressions contrôlées qui ne laissent, à aucun moment, des plis s'amorcer en un point quelconque de la feuille pendant l'opération d'étirage, plis qui donneraient lieu à des surépaisseurs entraînant une certaine rigidité en certains points en empêchant le giissement de la matière vers les parties destinées à former les alvéoles, et   qul,    par conséquent, risqueraient de provoquer des ruptures de la feuilla.



   La course ou descente d'étirage est réglable, afin de permettre d'obtenir, avec le même outillage, des alvéoles plus ou moins profonds.



  A cet effet, on peut interposer, entre la contre-matrice 6 et la plaque porte-pistons étireurs 10, des cales (non représentées sur le dessin). On peut aussi prévoir un système de butées à positions réglables ou limiter, par tout moyen réglable, la course du coulisseau 12 de la pressa.



   En même temps, on règle en conséquence le dispositif à cames 29, si l'appareil en comporte.



   Dans ces conditions, l'appareil décrit peut servir à produira, par simple réglage et sans changement d'outillage, aussi bien des plaques alvéolées profondes telles que celles qui sont représentées sur les fig. 1 à 3, que des plaques moins profondes au moyen desquelles on peut réaliser, comme on l'a représenté sur la fig. 18 à titre d'exemple, par   accollement    de deux feuilles 3 et 3', des emballages hermétiques pour tétines au lieu des simples berceaux ouverts représentés sur les fig. 1 à 3.



  Pour passer d'une forme à l'autre, il suffit de régler la course de descente des pistons étireurs 9 à la profondeur désirée.



   Autrement dit, lors de la construction de l'appareil, on le prévoit pour la plus grande profondeur possible ou utile d'étirage, mais on peut l'utiliser, sans modifications ou transformations essentielles, pour toutes les profondeurs depuis la plus faible jusqu'à la plus grande. Cette possibilité constitue un très grand avantage; on a vu, par exemple, que, pour les tétines, on pouvait obtenir deux types d'emballages très différents en euxmêmes et par leurs résultats (type de la fig. 3 et type de la fig. 18); s'il s'agit d'obtenir des plaques alvéolées pour emballer des comprimés par exemple, le procédé et l'appareil décrits sont plus intéressants encore, car, avec un appareillage donné, on peut obtenir toute une gamme de plaques alvéolées de différen  tes profondeurs convenant à différentes épaisseurs de comprimés et à diverses façons de les emballer;

   c'est ce qu'on a représenté, à titre d'exemple, sur la fig. 19.



   Il y a lieu de noter, en outra, que les pistons étireurs 9 sont amovibles, de telle façon qu'ils puissent être changés pour être   rem-    placés par des pistons ayant une tête de forme différente, ce qui permet, avec le même appareil, de réaliser un grand nombre de formes   d'empreintes.   



   Dans la variante représentée sur la fig. 20, au lieu de prévoir tout le piston amovible, on a prévu seulement une tête   9' amovible.    Cette tête amovible 9' peut être montée sur le piston 9 par tout moyen de fixation, par exemple au moyen d'une vis noyée 9", laquelle peut permettre en outre de régler éventuellement la profondeur des alvéoles ou empreintes.



   Par le changement de la tête amovible 9', on peut passer d'alvéoles présentant un certain fond (par exemple à fond plat, comme on l'a représenté sur la fig. 19) à des alvéoles de même diamètre ou largeur, mais présentant un fond de forme différente convenant à la forme du produit à emballer (par exemple un fond bombé ou un fond avec chanfrein, comme on l'a représenté sur la fig. 21).



   On peut également substituer aux pistons étireurs normaux des pistons de plus faible diamètre 9a (voir fig. 22) grâce auxquels on peut réaliser, comme on l'a représenté sur la fig. 22, des alvéoles coniques. Bien entendu, cette réduction de diamètre pourrait être obtenue également simplement par changement de la tête du piston, comme on l'a indiqué à propos de la fig. 20.



   Lorsqu'on a à réaliser des alvéoles à fond plat, et toujours dans le même but que celui qui a été indiqué   précedemment,    à savoir éviter dans toute la mesure du possible une pression de la matière entre deux surfaces métalliques, on peut donner à l'extrémité inférieure du piston étireur 9 la forme représentée sur la fig. 16, cette partie inférieure des pistons comportant un simple bord de contact 31 avec la feuille.



   Lorsque le fond des alvéoles doit présenter des parties rentrées ou des nervures, l'étirage s'opérant comme précédemment par appui de la matière plastique sur les bords simplement des orifices 2 prévus dans la matrice 7, on donne au piston étireur 9 une forme correspondant à celle de la fig. 16, mais avec une bordure en saillie 31 (fig. 17) plus accentuée et on prévoit sur le piston réchauffeur une nervure 32 permettant de   van-    liser dans la feuille, en combinaison avec la bordure   31' du    piston 9, une nervure 33. De cette façon, au-dessus et au-dessous du fond de l'alvéole se trouvent ménagés en 34 des espaces vides réduisant au minimum le contact entre la feuille de matière 3 et les pistons 9 et 17.

   On obtient de cette manière, dans le présent cas également, des alvéoles parfaitement clairs aussi transparents que la feuille elle-même.



   Lorsqu'on doit effectuer des empreintes plus faciles à réaliser, des alvéoles ronds relativement peu profonds par exemple, on peut   simplifier    l'outillage en supprimant les pistons réchauffeurs 17, le fond de la matrice étant fermé et formant alors une chambre chaude suffisante puisqu'on a peu à demander à la matière. On peut simplifier de même les temps d'arrêt et les vitesses de des  cente    et se contenter, par exemple, d'un circuit de chauffage pour la partie mobile du dispositif, ce circuit intéressant soit la contrematrice, soit la plaque porte-pistons étireurs, l'autre prenant sa chaleur par contact et par rayonnement.



   D'après ce qui précède, il semblerait que lorsque la contre-matrice 6 a été abaissée sur la matrice 1, le poids de cette contre-matrice, auquel s'ajoute l'action des ressorts 16 qui exercent une poussée sur celle-ci, la matière se trouve serrée entre ces deux pièces et se trouve, par conséquent, dans les conditions appropriées à en détruire la transparence.



   En réalité, comme on l'a expliqué précédemment, la pression exercée par la   montre    matrice est une pression élastique qui peut   être réglée à la valeur désirée au moyen des ressorts 16. Mais, en outre, afin que ce serrage ne puisse se produire, toute la surface de la matrice est, comme on l'a représenté sur la fig. 12, légèrement abaissée grâce à un décrochement 35, sauf sur les quatre bords de la matrice. Cet abaissement de la surface de la matrice, sauf sur ses bords, est extrêmement faible (il peut être évalué à un ou quelques centièmes de millimètre), mais il est suffisant pour éviter une pression trop forte de la contre-matrice sur la matrice. Il n'empêche pas cependant que toute la surface de la feuille 3 reste pratiquement en contact avec le métal chauffé.

   La matière étant chaude et, par conséquent, assez ramollie, on risquerait de provoquer une rupture de la feuille si elle était retenue, ne serait-ce qu'en un seul point, entre cas parties planes 36 portant les parties ajourées. Grâce à la disposition qui vient d'être signalée, on permet donc le glissement, tout en fournissant à la feuille la chaleur qui convient à son étirage et sans lui faire supporter des efforts qui   entrame-    raient la rupture ou qui nuiraient à sa transparence. Bien entendu, au lieu de réaliser un creux dans la matrice, comme on l'a représenté sur la fig. 11, on pourrait réaliser ce creux dans la contre-matrice 6.



   Dans l'obtention de certains alvéoles, on a souvent besoin, tout en cherchant à obtenir l'effet ci-dessus, dans lequel il y a en somme liberté de toute la feuillue, sauf sur ses bords extrêmes, de contrôler le mouvement de ces bords qui ont une tendance évidente, sous l'effet de l'étirage, à rentrer légèrement vers le centre de la feuilla.



   Si   l'on    a sur la feuille des impressions qui doivent tomber à des emplacements déterminés précis, il faut que   l'on    puisse retenir les bords de la feuille ou contrôler leur déplacement. Dans ce but, ainsi qu'on l'a représenté sur les fig. 13 et 14, on prévoit tout autour de la matrice   lin    cadre formé au moyen de quatre réglettes amovibles 37 qui s'engagent dans des saignées correspondantes 38 de la contre-matrice 6. Bien entendu, les réglettes 37, au lieu d'être placées dans la matrice 1, pourraient être placées dans la contre-matrice 6. En faisant déborder plus ou moins ces réglettes qui viennent pincer le bord extrême de la feuille 3, on peut arrêter tout glissement des bords ou bien, si on en a besoin, on peut le régulariser, l'égaliser ou le contrôler.

   Ou bien, on peut adoucir plus ou moins les rayons et   permettre    un   plissement    plus ou moins grand.



   Ainsi qu'on l'a représenté sur la fig. 15, on peut, dans certains cas, réduire la hauteur de la réglette 37 à une valeur presque nulle en face de certaines parties ajourées de la matrice 1, comme on l'a représenté en 37a, afin de permettre le glissement de la matière en ces endroits pour aider à la formation du fond de l'alvéole, la matière se trouvant retenue dans son ensemble sur ses bords par les parties 37b de la réglette 37.



   Il y a lieu de noter que, lorsque les alvéoles sont très profonds, on peut,   pour    faciliter le démoulage, pratiquer de petits trous de rentrée d'air dans les pistons étireurs. On évite ainsi que, pour certains alvéoles, la matière étirée remonte avec le piston étireur en s'y collant.



   Avec l'appareil décrit,   lin    ouvrier on même simplement   îine    ouvrière, peut, au moyen d'une presse à main, actionnée par un levier et sans le secours d'aucune force extérieure, obtenir normalement par exemple 48 000 alvéoles à l'heure pour des alvéoles de 16 millimètres d'entre-axes dans les deux sens, et dans des feuilles d'acétate de cellulose ayant de 3 à   13/zoo    de millimètre, et cela avec un pourcentage de rupture inférieur à   t/l000.   



  Avec ce même appareil, on obtient des alvéoles très rapprochés pouvant avoir 1 mil  limètre    d'écartement par exemple pour 6 à 7 millimètres de profondeur, et cela avec des matières ayant également une épaisseur de 3   à I oo    de millimètre, le millimètre d'écartement ci-dessus indiqué étant d'ailleurs celui qui est nécessaire pour la construction des matrices.



   Bien entendu, les chiffras qui viennent d'être indiqués ci-dessus n'ont été donnés qu'à titre d'exemples de réalisations courantes  et normales et uniquement pour montrer les avantages que permettent d'obtenir le procédé et l'appareil décrits.



   Il est à noter que la feuille chaude et en   même    temps plastique se tend sur les pistons étireurs, ainsi qu'on l'a indiqué précédemment, un peu comme se tendrait une feuille de caoutchouc sans qu'il soit nécessaire d'utiliser de contrepartie pour obtenir des parties rentrantes comme dans le cas des tétines indiqué sur les fig. 1 à 3.



   Le procédé décrit permet également de porter des impressions on marques quelconques sur les empreintes, quelles que soient leurs formels, ces impressions pouvant couvrir une grande partie de la surface des alvéoles et pouvant être réalisées en outre dans les conditions les plus éeonomiques.



   A cet effet, les feuilles d'acétate de cellulose sont préalablement imprimées à plat, les impressions étant bien entendu disposées aux emplacements divisés, en tenant compte du fait que la feuille, au premier contact avec l'appareil chauffé, subit un allongement, lequel dépend de la nature de la matière.



   En même temps que   l'on    imprime les feuillas, on perce deux ou quatre petits trous au coin des feuilles, ces trous devant servir de repères et venir se placer sur des broches de même diamètre placées sur la matrice, de façon que les impressions viennent bien en regard des parties ajourées de celle-ci.



   Dans ce cas, on peut décaler les pistons réchauffeurs 17 très légèrement (quelques dixièmes de millimètre), mais cela n'est pas toujours nécessaire, car généralement leur température ne suffit pas à altérer   l'inipres-    sion pendant le court instant de contact au moment où   l'on    place la feuille dans l'apparail.



   Lorsqu'on désire porter des impressions sur les parties planes comprises entre les alvéoles, il faut évidemment prendre des dispositions spéciales, car la contre-matrice faisant plus ou moins pression sur la matrice, les parties imprimées se trouveraient plus ou moins serrées entre les deux pièces métalliques et l'impression pourrait être détruite.



  Pour éviter cela, on peut creuser très   légwère-    ment la matrice à l'endroit des   impression    en conservant seulement les angles des parties ajourées, seuls en fait nécessaires, puisque, ainsi qu'ou l'a exposé précédemment dans le procédé qui fait l'objet de l'invention, la matière plastique est étirée, mais non pas moulée entre des surfaces concave et convexe correspondantes.



   On pourrait évidemment, en utilisant les caractéristiques décrites, réaliser un appareil à double effet comportant une double série d'organes.



   Sur la fig. 23, on a représenté, à titre d'exemple, un mode de réalisation   d'un    appareil à double effet, dans le cas simplifié   où      l'on    n'a pas besoin d'utiliser de pistons réchauffeurs. Dans ce cas, on n'utilise qu'une seule matrice à double face 1'   (ou    deux matrices disposées dos à dos) qui est servie alternativement par deux têtes d'appareils (contre-matrice et pistons étireurs avec leurs organes de commande) organisées comme on l'a indiqué précédemment. Cet appareil pourrait d'ailleurs être horizontal aussi bien que vertical.



   Bien entendu, l'appareil qui a été décrit dans ce qui précède, et qui a été représenté sehématiquement sur le dessin n'a été donné qu'à titre d'exemple seulement non limitatif.



  Il pourrait recevoir certaines modifications dans ses détails de réalisation sans que   l'éco-    nomie générale de l'invention   s'en    trouve pour cela altérée. C'est ainsi, par exemple, que   ]a    dispositif de blocage de la plaque 19 supportant les pistons réchauffeurs en fin   dc    course descendante, pourrait être différent de celui qui a été représenté. C'est ainsi également, par exemple, que le fonetionnement dc certains organes pourrait être inversé, par exemple la contre-matrice pourrait être rendue fixe, la matrice étant au contraire mobile en combinaison avec le déplacement des pistons étireurs.



   Le procédé et l'appareil décrits ci-dessus conviennent à l'obtention d'alvéoles de toutes formes et de toutes dimensions et permettent de traiter toute matière plastique conforma  ble à chaud et dont les caractéristiques plastiques s'apparentent à celles de l'acétate de cellulose.



   De l'examen du dessin et de ce   yni    précède, on peut aisément se rendre compte que le procédé décrit à titre d'exemple présente de très grands avantages techniques par rapport aux procédés connus à ce jour. En effet, la feuille de matière à conformer est maintenue en position par serrage de ses bords entre deux surfaces métalliques et par contact élastique entre deux surfaces métalliques aux parties situées entre deux alvéoles, mais par contre la plus grande partie des surfaces à conformer ne sont jamais en contact simultanément par leurs deux faces opposées avec des pièces métalliques. Il s'ensuit que la feuille à conformer s'oppose et se tend en quelque sorte sur les organes d'étirage un peu comme le ferait une feuille de caoutchouc.



  Cette particularité permet de réaliser au moyen des organes étireurs des alvéoles munis de parties rentrantes, comme par exemple les alvéoles pour tétines représentés sur les fig. 1 à 3 du dessin annexé. Dans le procédé selon l'invention, les feuilles à traiter sont chauffées dans l'appareil de conformation; ce chauffage peut être différent selon l'endroit considéré, de la feuille à traiter, mais reste pour chaque endroit considéré constant dans le temps pendant toute la durée de   l'opéra.    tion d'étirage. Dans l'appareil de conformation, la feuille à traiter est de préférence soumise à un chauffage préalable, afin qu'ensuite elle puisse être déformée facilement sous l'action des organes d'étirage.



   Enfin, il faut préciser encore que dans ce qui précède on a parlé de matrices et de contre-matrices, mais qu'an réalité il ne s'agit pas à proprement parler de matrices et   contra-    matrices au sens où on l'entend habituellement, ces pièces ne jouant pas, en effet, dans la confection de la plaque alvéolée, à proprement parler, un rôle de conformation, mais simplement un rôle d'appui sur lequel la matière est étirée, de maintien, de retenue, de guidage et de chauffage de la feuille à conformer, le rôle de conformation étant joué par les pistons de l'appareil décrit.



   Dans toutes les formes d'exécution décrites, le contour de chaque jour de la matrice correspond à celui du bord de l'alvéole à obtenir.



   REVENDICATIONS:
 I. Procédé pour la production d'alvéoles multiples dans des feuilles minces en matière plastique, caractérisé par le fait que lesdites feuilles sont placées dans un appareil de chauffage où elles sont, pendant le chauffage, étirées   d'une    façon progressive telle que les parties planes situées entre les alvéoles aussi bien que les parties alvéolées elles-mêmes par  ticipent    à l'étirage et concourent à la formation des alvéoles, le chauffage restant constant pendant toute la durée de cet étirage.
  



  
 



  Method and apparatus for the production of multiple cells in sheets
 made of plastic.



   The present invention relates to a method and an apparatus for the production of cells in plastic sheets.



   It is known that in order to work with hot-deformable plastic sheets, it is generally customary to preheat these sheets either in ovens, or on plates, or by means of special radiation devices, or again by any other suitable means, then transport them, as quickly as possible, on heated or unheated dies which are immediately closed by taking advantage of the softening state of the material, which allows them to take the shape desired, and finally to let them cool before unmolding.



   Such a method is inapplicable with thin sheets, such as those for which the invention has been specially designed.



  Indeed, if such sheets are capable of being heated instantaneously throughout their mass (or at least in the major part of their mass, that which is concerned by the deformation to be achieved), on the other hand, they instantly lose heat. acquired as soon as they are no longer in contact with or in the presence of the heat source, so that, in practice, such thin sheets again become more or less rigid, as a result of their contact with the ambient air and at the time where they are in the presence of the dies, they are either completely stiffened or much less plastic, which fatally produces, during stamping, tears of the material which is no longer deformable or which is no longer sufficiently so .



   In addition, the handling of sheets, thin as sheets of paper and softened by heat, is next to impossible. If, on the contrary, the leaves are left stationary and the apparatus is moved, the result is more complicated devices and unnecessary additional efforts due to the greater weight to be moved.



   In another known process, use is made, to manufacture such a plate, of dies which have, hollow, the shape of the cells to be obtained and which are combined with countermatters of corresponding shape, these parts having between them the desired spacing for contain the material to be formed. These dies and matrices are heated and the sheet, therefore, is strongly pressed between two heated metal surfaces, which presents serious drawbacks as regards first of all the resistance of the material under the thicknesses considered, this way of 'operate producing, it seems, like a kind of firing making in any case, as we can see, the material more or less brittle.

   In addition, this pressure or clamping of the material between two heated metal surfaces also has a serious drawback when it comes to transparent sheets, because it produces little squint, the transparency disappearing.



   The present invention overcomes these drawbacks; it relates to a process for the production of multiple cells in thin plastic sheets which differs from known processes in that the sheets are placed in heaters where they are, during heating, stretched. 'in a progressive manner, such that the flat parts situated between the cells as well as the cell parts themselves participate in the stretching and contribute to the formation of the cells, the heating remaining constant throughout the duration of this stretching.



   A subject of the present invention is also an apparatus allowing the implementation of the method indicated above. This device is characterized by the fact that it is made up of three distinct parts: a die comprising perforated parts of which the contour of the edge of each opening corresponds to that of the edge of the cell to be obtained, a countermatrix formed by a plate of which the openings are similar to those of the die, a series of stretching pistons which slide freely in the perforated parts of the counter-die and the free ends of which are shaped to the shape and dimensions of the interior of the cells to be produced.



   In the accompanying drawing, there is shown schematically and by way of example only, the various phases of an embodiment of the method, object of the invention, and an apparatus specific to the implementation of said method, with a few variants:
 Fig. 1 shows in perspective a honeycomb plate which can be obtained with one embodiment of the method and of the machine which are the subject of the invention.



   Fig. 2 is a cross section along II-II of FIG. 1.



   Fig. 3 is a cross section along III-III of FIG. 1 with the objects in place at the bottom of the cells. I
 Fig. 4 is an elevational view in partial section of a machine established for the production of cells.



   Fig. 5 is an end elevational view thereof.



   Figs. 6 to 11 show a fragment of the apparatus shown in FIG. 4 in various operating positions with, below, as an indication, the positions of the device locking cam in the closed position.



   Fig. 12 shows a variant of the die and the back die which can be used in the apparatus shown in the preceding figures.



   Fig. 13 is another variation.



   Fig. 14 is a plan view of a die such as that which is used in the variant of FIG. 13.



   Fig. 15 is a view of another variant of the die.



   Fig. 16 is a view of a variant of a stretch piston capable of being used in the apparatus.



   Fig. 17 shows another variant of the stretch pistons.



   Fig. 18 is a cross section similar to FIG. 3, but relating to an airtight packaging for pacifiers.



   Fig. 19 shows in cross section different cell depths that can be obtained with the same set of stretching pistons, thanks to simple wedges or adjustable stops interposed between the piston-holder plate and the counter-die.



   Fig. 20 shows, in section, a fragment of a stretch piston with a removable head.



   Fig. 21 shows, in cross section, two modified shapes of cells which can be obtained by simply changing the heads of the draw pistons.



   Fig. 22 shows, in section, a part of the apparatus with a stretching piston making it possible to obtain conical cells.



   Fig. 23, finally, is a vertical section of a double-acting shaping device.



   In the example shown in the drawing, it has been assumed that it is desired to manufacture a sheet of cellulose acetate from a thin sheet of this material (for example '2 / batch of a millimeter), this honeycomb plate being intended to accommodate ten teats, as has been shown in FIGS. 1 to 3, by way of nonlimiting example.



   The devices shown comprise a fixed matrix 1 which is formed of a simple flat plate with a perforated part 2 having the shape of the outer contours of the cells to be obtained. In other words, this die 1 does not include molding hollows against which the cellulose acetate sheet 3 will be applied and conformed. There are in die 1 as many similar perforated parts as it is desired to produce. alveoli at a time. In the example shown, where it is a question of obtaining a honeycomb sheet such as that of FIG. 1, there will be ten perforated parts 2, arranged in two rows like the cells 4 of the sheet 3. The outline of the edge of each day corresponds to that of the edge of the cell to be obtained.

   These perforated parts can be very close together, as has been indicated, which is of great interest, first from the point of view of economy of material, and then from the point of view of bulk.



   This matrix 1 is heated by electrical resistors which have been shown very schematically at 5 in FIG. 5, these resistors being adjustable, for example by means of a rheostat, and being arranged so as to produce heat throughout the mass of the matrix. A thermometer or temperature control device per
Inet to observe this temperature, to regulate it and possibly to record it.



   A counter-matrix 6 is placed on the above die, which consists of a plate similar to the die-forming plate and which comprises perforated parts 7 similar to those of the die and arranged in the same way. This counter-matrix 6 is also heated by an electric resistance circuit as shown at 8 in FIG. 5, these resistors being, like those of the matrix, adjustable and the temperature being controlled by thermometers or other suitable means.



   The third main part of the apparatus consists of a series of stretching pistons 9 which are fixed in any suitable way to a support and control plate 10, these pistons 9 sliding freely in the perforated pal ties 7 of the counter-die 6. .



   The free end of the stretch pistons is shaped to the exact shape and dimensions of the interior of the cells 4 to be produced.



   It should be noted that these pistons do not have a counterpart to their shape in the die so that at no time are the sheets clamped except on their extreme edges between two metal parts heated to the softening temperature and that consequently the tasks causing a squinting of the material at the place where this pressure would be exerted, cannot be formed. In this way, the sheets retain their remarkable transparency after stretching.



   The draw pistons are heated independently of the die and the back die. They receive their heat from the plate 10 which is heated, for example, by means of electric resistors 11 in an adjustable and controlled manner, as for the heating of the die 1 and the counter-die 6.



   The support plate 10 for the stretching pistons 9 is integral with a slide 12 of a press, a leader of the slide of which has been shown in FIGS. 4 and 5. This press can be of any type and can be operated by hand or in any other way.



   The counter-die 6 is also mounted on the support plate 10 of the stretch pistons. The set of the counter-die and the pistons constitutes, therefore, a mobile assembly which goes up and down with each operation, that is to say on each movement of the slide of the press, while the die 1 is fixed relative to the press plate.



   The piston-holder plate 10 is fixed to the slide 12 of the press by any fixing means, for example by means of a threaded part 13. The back-die plate 6, in the perforated parts 7 of which fit together and freely sliding the stretching pistons 9, is supported by rods 14 which can slide in the plate 10. The upper end of these rods is threaded so as to allow the position of this plate to be adjusted by means of nuts 15.



   Between the counter-die 6 and the support plate 10 of the stretching pistons are arranged interchangeable springs 16, the compression power of which is known.



   The fixed die 1 is adjusted so that the stretch pistons 9 correspond to the perforated parts 2 of said die.



   In these perforated parts further slide heating pistons 17 connected by rods 18 to a support plate 19 disposed below the die. These heating pistons 17 are adjusted so that their flat upper parts come flush with the upper face of the die when the device is in the open position (position shown in Figs. 4 and 5). The plate 19 can slide along guide and control rods 20. The latter can also slide in the support plate 10 of the stretching pistons 9, but the plate 19 is supported by springs 21, the value of which of the thrust is. they exercise is adjustable by means of 22 nuts.

   The role of these springs which act from bottom to top is to raise the heating pistons 17 as far as possible, that is to say to bring them to the level of the upper face of the die.



   Each rod 20 has a ren part. boom 23 which is arranged between the bottom of the recess 24 of the die 1, forming a stop and the support plate 19 for the heating pistons. In addition, each rod 20 is subjected to the action of an elastic member constituted by a spring 25 which bears, on the one hand, on the support plate 10 of the stretching pistons and, on the other hand, on a nut. adjustment 26 mounted on the upper end of a rod 20. Finally, each rod 20 has a stop 27 constituted by a nut so that its position along a rod 20 is adjustable.



   The die 1 carries at its lower part a pin 28 carrying a series of cams 29 (see also fig. 5) and integral with an operating lever 30. These cams are arranged between the lower part of the die 1 and the plate 19. the support of the heating pistons. The shaft 28 is freely mounted in supports fixed to the die in such a way that as the plate i9 descends, taking with it the heating pistons 17 in order to allow the engagement of the stretching pistons 9 in the recesses. 2 of die 1, the cams, under the effect of their weight (the lever 30 also forming a counterweight),

   perform mid rotational movement bringing their greatest radius towards the bottom of the device and ultimately block, as we will see below, the device in the closed position.



   The apparatus as just described enables cells to be formed in a single rapid operation in very thin sheets of cellulose acetate, having only a few hundredths of a millimeter in thickness. The three main parts of the apparatus: die 1, counter-die 6, stretching pistons 9, are heated by three independent circuits which can be adjusted independently of each other.



  It should be noted that the plastic sheets, according to their nature, that is to say according to their composition and their method of manufacture, have different characteristics, which is why it is necessary to provide an adjustment to determined values and different for each case, the respective temperatures of each of the three main elements of the device; for example, some cellulose acetate sheets will be sufficiently soft at 750, while others will require a temperature of 1250.



   Depending on the depth of the cells to be obtained, according to the working speed, which depends on the shape of the cells and their depth, and according to the thickness of the cellulose acetate sheet to be treated, one varies with respect to the cells. others the three temperatures in question. Other factors also influence, namely the ambient temperature, the hygrometric state of the air, the coldness or the age of the leaves, etc. These relative temperatures of the three main elements of the apparatus with respect to each other are established from knowledge of the characteristics of the sheets to be treated and also from experience in each case.

   In any case, thanks to the independent adjustable and controlled electric circuits of the different elements of the device, it is possible to achieve at different points of it, and at different places of the sheet, different and best suited temperatures. in order to obtain the best results.



   We will now describe, with reference to FIGS. 6 to 11, the functionning of the apparatus which has just been described in the above.



   In the position shown in fig. 6, the apparatus is opened, the thin sheet 3 of cellulose acetate from, for example, a roll, being placed in the apparatus. The slide 12 of the press is raised and withdraws the plate 10 from the draw pistons 9 and, therefore, these pistons themselves in the lifting position. The counter-die 6 is also kept raised by means of the rods 14 and the nut 15. By means of this nut, the height of the foreman 6 is adjusted so that the lower part of the stretching pistons 9 is not flush. quite the underside of this counter-die, the gap possibly being, for example, from 1 to 2 millimeters.



   In the perforated parts 2 of the fixed die 1, the heating pistons 17 are located at the level of the upper face of the die, being lifted by the plate 19, itself lifted by the control rods 20 and by the springs 21. Each rod 20 is itself raised by the support plate 10 of the stretching pistons by means of the springs 25, the two lower and upper shoulders of the swelled part 23 of the rod forming a double stop. The sheet 3 is thus placed on a real heating table without any solution of continuity, since the heating pistons block the perforated parts of the die 1.



   In the position shown in fig. 7, the slide 12 of the press has been lowered and, with it, the movable upper assembly of the apparatus. Note that, in this position, the counter-die presses against sheet 3, while nothing in the inner part of the die has yet been changed. The sheet 3 is then heated in a perfect manner on its lower face by contact with the die 1 and the heating pistons 17, and its upper face itself receives heat from the counter-die 6 by direct contact.



  In addition, in the perforated parts 7 of the counter-die are formed, as shown at 7, hot chambers, the stretching pistons 9 being at this moment kept slightly above their points of contact with the sheet. 3. It can be seen that the heating pistons 17 have been held in place by the action of the springs 25, which are decompressed during the displacement of the strip neck 12.

   As the acetate sheet 3 placed in the apparatus is only a few hundredths of a millimeter thick, at the very instant of closing the apparatus, this sheet is heated above and below and throughout its entire length. mass and if the temperatures applied are suitably chosen, it is found to be exactly under the conditions suitable for its stretching, provided that this takes place without any delay and before the material undergoes transformation due to heat.



   In fig. 8, there is shown the position occupied by the various members of the apparatus when the slide 12 has been further raised by a millimeter or two relative to the position of FIG. 7. At this time, the lower part of the stretch pistons 9 has come into contact with the sheet 3 at point a.



  But the heating pistons 17 then began to descend horn as seen in the figure, so that the material is not at any time clamped, except on at least part of its extreme edges, between two metal parts, but is on the other hand always found between two relatively airtight hot chambers, that is to say in an atmosphere perfect for stretching, the material being furthermore protected against any contact with cold air (which would be liable to stiffen the material ) from its first contact with the hot lower die on which it was placed.

   It can be seen that in the position shown in FIG. 8, the descent of the heating pistons 17 is controlled by the plate 19 which supports said pistons and which is itself pushed by the lower shoulder of the bulging part 23 of the rod 20, the latter being driven by the nut 27 under the effect of the support plate 10 of the stretch pistons 9.



   In this way, from this moment on, the descent speed of the heating pistons 17 is equal to that of the stretching pistons 9, which has the effect of keeping almost constant the importance of the lower and upper hot chambers created around the two types of pistons
 In - fig. 9, the position of the organs of the apparatus has been shown in a slightly more advanced stage. The reheating pistons 17 continue to descend and the stretching pistons 9 start the cells in the sheet 3. In fact, the front faces of the pistons 9 constitute bearing surfaces on which the material is stretched.



   In fig. 10, the apparatus has been shown in the position taken by its members at the end of the travel of the slide 12. At this time, the plate 10 abuts against the counter-die 6 and blocks the apparatus which is located at full speed; the cells are then completely closed in sheet 3.



   Everything that has been said so far about the operation of the device has gone uninterrupted. The operation was continuous from the position shown in fig. 6 up to that shown in FIG. 10.



  It should be noted, however, that with certain thicknesses of material, as well as with certain qualities, and also following the shape of the imprints, it is suitable:
 10 To mark a stopping time (of one second for example, or a fraction of a second), in the position shown in FIG. 7, that is to say just before the start of the stretching operation qili, it is carried out gradually from the beginning to the end of the formation of the alveoli.



   20 To carry out the operations shown schematically by the positions shown in FIGS. 5, 9 and 10 at speeds which are not slow and which can go, depending on the case, either increasing or decreasing.



   It should be noted however that instead of mocking the stopping time specified above, it is possible, in certain cases, to make the stretch pistons act on the sheet with a certain delay, by adjusting them, for example example, a few millimeters from the underside of the foreman (instead of 1 or 2 millimeters in the previous case).



   It is moreover one of the numerous advantages of the apparatus which has been described above to allow all conditions to be achieved either by hand, or preferably in a semi-automatic or automatic manner by means of a set of levers or cams interposed between the control press and its slide 12, which, added to the combination of the three different temperatures of the die, the countermaterial and the stretching pistons, allows the cells to be stretched to the maximum multiples of varying shapes and characteristics in thin plastic sheets such as cellulose acetate, the specific characteristics of which are variable.



   In the position shown in FIG. 10, a stopping time is marked, stopping time which may vary from one to several seconds, as the case may be, so as to allow the material to stabilize in its new conformation, that is to say - to say to overcome the internal resistance of the plastic material by nature and likely, if no stop was provided, to undergo shrinkage.



   This stopping time and this immobilization in the end-of-travel position are obtained by immobilizing the slide. As can be seen, the cams 29, as the plate 19 descends, automatically rotate, under the effect of their weight and that of the lever 30 to continue to be in contact with said plate, and when 'we have reached the end-of-travel position shown in FIG. 10, it is by its highest point that said camas are in contact with the plate 19 and in this way block this plate 19 in its lower position.



   In this way, when the slide 12 of the press is raised, as has been shown in FIG. 11, the heating pistons 17 remain in their lower position, blocked by the cams 29, the springs 21 compressing during this operation. With the apparatus then open, it is possible to unmold, that is to say, to remove the honeycomb plate from the apparatus. This can be done in two different ways. In the first case, the operator releases the cams 29 by acting on the lever 30, and at this moment the heating pistons 17 play the role of ejectors.



  This operation of the lever 30 can moreover be linked mechanically to the lifting of the press or carried out by hand with the usual precautions. In the second case, the operator lifts the blister pack 3 by hand when the thinness and fragility of this wafer do not allow automatic or semi-automatic ejection to be carried out.



   It should be noted that when the device is opened, the cold air which rushes on the sheet 3 and in the cells produces an instantaneous stiffening of the whole, the rigidity of the sheet then being almost equal to that which will retain the sheet completely cold and this without the temperature of the die 1 ceasing to be constant.



   When the honeycomb sheet has been raised by hand by the operator, the latter then raises the lever 30 of the cams 29 and the heating pistons 17 return to the position shown in FIG. 1. The device is then ready for the next operation. The blister sheet is pulled by hand or automatically out of the machine, by an amount equal to its length, and another blank part then comes in place for the next operation. Of course, we could still operate with separate formats that we would place successively in the device.



   It should be noted that between the perforated parts 7 of the counter-die and the stretching pistons 9 there is a small clearance thanks to which the counter-die 6 can lie flat on the sheet of cellulose acetate and exert , under the action of the springs 16, an equal pressure at all points.



   In the foregoing, we have not insisted on the role played by said springs 16 interposed between the counter-die 6 and the support plate 10 for the stretching pistons 9. This role is however important. Said springs, in fact, exert a progressive pressure on the sheet as the stretching pistons 9 descend and prevent the foreman from getting up during this operation, and, consequently, prevent the cold air from coming into contact with it. the foil, which would have the effect of producing the glazing and stiffening of the parts licked by the cold air, with the consequence of instantaneous rupture of the foil even before the end of the stretching.



  The force of the springs 16 is calculated, therefore, so as to press the foreman 6 on the die 1 and thus tighten the edges of the sheet, but also so as not to exert a greater pressure than necessary between the parts. planes of the dies and counter-dies under penalty of preventing the material located at these points from stretching and elongating, which would prevent obtaining the maximum possible or desired deep drawing, and also under penalty of produce too forceful clamping of the material between two metal surfaces, which interferes, as indicated above, with the conservation of the transparency of the material.

   All these precautions are necessary in the case envisaged here of the formation of deep and multiple impressions in a very thin sheet of cellulose acetate or equivalent plastic material, given in particular the fragility of the material considered under low thickness, especially when this sheet is hot, given, on the other hand, that this material (unlike what happens in the molding of sidewalls intended to receive an isolated impression, a problem quite different from that examined here) is stressed in the same time following opposite directions by the formation of two or four neighboring indentations, and finally given that it is necessary, to obtain the maximum depth of the indentation,

   thin this material wherever possible, that is to say both at the location of the flat parts and at the location of the cells, otherwise we would not take advantage of all the possibilities of stretching the material and its plasticity. It should be noted in addition that the stretching pistons 9 penetrating into the perforated parts of the die 1 with a certain clearance, the material is not pressed between the outer surface of these pistons and the inner edges of the perforated parts 2 of the die. 1, the drawing being done only on the angles of the dies, without any rolling of the material. Thanks to this clearance also, it is possible to make cells with the same device in sheets of different thicknesses.

   If, for example, a passage or clearance of l2 / lo0 of a millimeter has been left between the stretching pistons 9 and the inner surfaces of the perforated parts 2 of the ring, it will be possible, in this apparatus, to form cells in acetate sheets less than 1 "/ ,,, millimeter in thickness, this being as low as 2 / lot of a millimeter, the smallest thickness of the sheets that can be produced at present.



   If we want to be absolutely sure that any contact of the sheet with the inner edges of the perforated parts 2 is avoided, we can give them a slightly re-entrant shape.



   With the apparatus described, controlled pressures are exerted on the plastic sheet which do not, at any time, allow folds to initiate at any point on the sheet during the stretching operation, which folds would give rise to excess thicknesses resulting in a certain rigidity at certain points by preventing the material from sliding towards the parts intended to form the cells, and which, consequently, would risk causing ruptures of the foil.



   The stretching stroke or descent is adjustable, in order to obtain, with the same tools, more or less deep cells.



  For this purpose, shims (not shown in the drawing) can be interposed between the counter-die 6 and the stretching piston-holder plate 10. It is also possible to provide a system of stops with adjustable positions or to limit, by any adjustable means, the stroke of the slide 12 of the pressa.



   At the same time, the cam device 29 is adjusted accordingly, if the apparatus has any.



   Under these conditions, the apparatus described can be used to produce, by simple adjustment and without changing the tools, both deep honeycomb plates such as those shown in FIGS. 1 to 3, as shallower plates by means of which it is possible to produce, as shown in FIG. 18 by way of example, by joining two sheets 3 and 3 ', hermetic packaging for teats instead of the simple open cradles shown in FIGS. 1 to 3.



  To switch from one form to another, it suffices to adjust the descent stroke of the stretching pistons 9 to the desired depth.



   In other words, during the construction of the apparatus, it is provided for the greatest possible or useful drawing depth, but it can be used, without essential modifications or transformations, for all depths from the smallest to to the largest. This possibility constitutes a very great advantage; it has been seen, for example, that, for the pacifiers, it is possible to obtain two types of packaging which are very different in themselves and by their results (type of fig. 3 and type of fig. 18); if it is a question of obtaining blister packs for packaging tablets, for example, the method and apparatus described are even more advantageous, since, with a given apparatus, it is possible to obtain a whole range of blister packs of different sizes. depths suitable for different thicknesses of tablets and various ways of packaging them;

   this is shown, by way of example, in FIG. 19.



   It should be noted, in addition, that the stretching pistons 9 are removable, so that they can be changed to be replaced by pistons having a different head shape, which allows, with the same device , to produce a large number of imprint shapes.



   In the variant shown in FIG. 20, instead of providing the entire removable piston, only a removable head 9 'has been provided. This removable head 9 ′ can be mounted on the piston 9 by any fixing means, for example by means of a countersunk screw 9 ″, which can also make it possible, if necessary, to adjust the depth of the cells or impressions.



   By changing the removable head 9 ', it is possible to go from cells having a certain bottom (for example with a flat bottom, as shown in FIG. 19) to cells of the same diameter or width, but having a bottom of different shape suitable for the shape of the product to be packaged (for example a domed bottom or a bottom with chamfer, as shown in FIG. 21).



   It is also possible to substitute for the normal stretching pistons pistons of smaller diameter 9a (see fig. 22) by means of which it is possible to produce, as shown in fig. 22, conical cells. Of course, this reduction in diameter could also be obtained simply by changing the head of the piston, as has been indicated with regard to FIG. 20.



   When we have to make cells with a flat bottom, and always for the same purpose as that which was indicated previously, namely to avoid as far as possible a pressure of the material between two metal surfaces, we can give the the lower end of the stretching piston 9 the shape shown in FIG. 16, this lower part of the pistons comprising a single contact edge 31 with the sheet.



   When the bottom of the cells must have retracted parts or ribs, the stretching taking place as before by pressing the plastic material on the edges simply of the orifices 2 provided in the die 7, the stretching piston 9 is given a corresponding shape to that of FIG. 16, but with a more accentuated protruding edge 31 (fig. 17) and a rib 32 is provided on the heating piston allowing the foil to be vanalised, in combination with the edge 31 'of the piston 9, a rib 33. In this way, above and below the bottom of the cell are formed at 34 empty spaces reducing to a minimum the contact between the sheet of material 3 and the pistons 9 and 17.

   In this way, also in this case, perfectly clear cells as transparent as the sheet itself are obtained.



   When it is necessary to make impressions easier to make, relatively shallow round cells for example, the tooling can be simplified by eliminating the heating pistons 17, the bottom of the die being closed and then forming a sufficient hot chamber since we have little to ask of matter. In the same way, the stopping times and the centering speeds can be simplified and be satisfied, for example, with a heating circuit for the mobile part of the device, this circuit interesting either the foreman or the stretching piston-holder plate. , the other taking its heat by contact and by radiation.



   From the foregoing, it would seem that when the back die 6 has been lowered onto the die 1, the weight of this back die, to which is added the action of the springs 16 which exert a thrust on it , the material is squeezed between these two parts and is therefore in the appropriate conditions to destroy its transparency.



   In reality, as explained above, the pressure exerted by the matrix watch is an elastic pressure which can be adjusted to the desired value by means of the springs 16. But, in addition, so that this tightening cannot occur, the entire surface of the matrix is, as shown in FIG. 12, slightly lowered thanks to a recess 35, except on the four edges of the die. This lowering of the die surface, except on its edges, is extremely small (it can be evaluated at one or a few hundredths of a millimeter), but it is sufficient to avoid too much pressure of the counter-die on the die. However, this does not prevent the entire surface of the sheet 3 from practically remaining in contact with the heated metal.

   The material being hot and, consequently, rather softened, one would risk causing a rupture of the sheet if it were retained, if only at a single point, between the case of flat parts 36 carrying the perforated parts. By virtue of the arrangement which has just been pointed out, sliding is therefore allowed, while providing the sheet with the heat which is suitable for its stretching and without making it withstand stresses which would cause breakage or which would impair its transparency. Of course, instead of making a hollow in the die, as shown in FIG. 11, this hollow could be made in the counter-die 6.



   In obtaining certain cells, it is often necessary, while seeking to obtain the above effect, in which there is in short freedom of all the leafy, except on its extreme edges, to control the movement of these edges which have an obvious tendency, under the effect of stretching, to retract slightly towards the center of the leaf.



   If we have prints on the sheet that must fall at specific locations, we must be able to hold the edges of the sheet or control their movement. For this purpose, as has been shown in FIGS. 13 and 14, there is provided all around the matrix a frame formed by means of four removable strips 37 which engage in corresponding grooves 38 of the counter-matrix 6. Of course, the strips 37, instead of being placed in the die 1, could be placed in the counter-die 6. By making these strips which come to pinch the extreme edge of the sheet 3 more or less overhang, we can stop any sliding of the edges or, if necessary, we can regularize it, equalize it or control it.

   Or, we can soften more or less the rays and allow a more or less large wrinkling.



   As has been shown in FIG. 15, it is possible, in certain cases, to reduce the height of the strip 37 to an almost zero value in front of certain perforated parts of the die 1, as has been shown at 37a, in order to allow the sliding of the material in these places to help the formation of the bottom of the cell, the material being retained as a whole on its edges by the parts 37b of the strip 37.



   It should be noted that, when the cells are very deep, it is possible, to facilitate demoulding, to make small air intake holes in the stretching pistons. This prevents, for some cells, the stretched material rises with the stretch piston sticking to it.



   With the apparatus described, the worker, or even simply the worker, can, by means of a hand press, actuated by a lever and without the aid of any external force, normally obtain for example 48,000 cells per hour. for cells of 16 mm between axes in both directions, and in sheets of cellulose acetate having from 3 to 13 / zoo of a millimeter, and that with a percentage of rupture of less than t / 1000.



  With this same apparatus, one obtains very close alveoli which can have 1 mil limeter of spacing for example for 6 to 7 millimeters of depth, and that with materials having also a thickness of 3 to 10 of millimeter, the millimeter of the distance indicated above being moreover that which is necessary for the construction of the dies.



   Of course, the figures which have just been indicated above have been given only as examples of current and normal embodiments and only to show the advantages which make it possible to obtain the method and the apparatus described.



   It should be noted that the hot and at the same time plastic sheet stretches over the stretching pistons, as previously indicated, a bit like a rubber sheet would stretch without the need to use a counterpart. to obtain re-entrant parts as in the case of the teats indicated in fig. 1 to 3.



   The method described also makes it possible to carry any imprints or marks on the imprints, whatever their formalities, these imprints being able to cover a large part of the surface of the cells and being able, moreover, to be produced under the most economical conditions.



   For this purpose, the cellulose acetate sheets are previously printed flat, the prints being of course arranged at the divided locations, taking into account that the sheet, on first contact with the heated device, undergoes an elongation, which depends on the nature of the material.



   At the same time as the sheets are printed, two or four small holes are drilled at the corners of the sheets, these holes having to serve as marks and come to be placed on pins of the same diameter placed on the matrix, so that the prints come well next to the openwork parts of it.



   In this case, the heating pistons 17 can be shifted very slightly (a few tenths of a millimeter), but this is not always necessary, because generally their temperature is not sufficient to alter the pressure during the short instant of contact with the. when the sheet is placed in the apparatus.



   When it is desired to carry impressions on the flat parts included between the cells, it is obviously necessary to take special measures, because the counter-matrix putting more or less pressure on the matrix, the printed parts would be more or less tight between the two metal parts and the print could be destroyed.



  To avoid this, the matrix can be very lightly hollowed out at the location of the printing, keeping only the angles of the perforated parts, which are in fact only necessary, since, as or explained previously in the process which makes the According to the invention, the plastic material is stretched, but not molded between corresponding concave and convex surfaces.



   It would obviously be possible, using the characteristics described, to produce a double-acting apparatus comprising a double series of members.



   In fig. 23, there is shown, by way of example, an embodiment of a double-acting device, in the simplified case where there is no need to use heating pistons. In this case, only one double-sided die 1 'is used (or two dies arranged back to back) which is served alternately by two device heads (counter-die and stretching pistons with their control members). organized as indicated above. This device could moreover be horizontal as well as vertical.



   Of course, the device which has been described in the foregoing, and which has been shown sehematically in the drawing, has been given only by way of non-limiting example.



  It could receive certain modifications in its embodiment details without the general economy of the invention being thereby impaired. It is thus, for example, that] a device for blocking the plate 19 supporting the heating pistons at the end of the downstroke could be different from that which has been shown. It is thus also, for example, that the functioning of certain members could be reversed, for example the counter-matrix could be made fixed, the matrix being on the contrary mobile in combination with the displacement of the stretching pistons.



   The method and apparatus described above are suitable for obtaining cells of all shapes and sizes and make it possible to treat any plastic material conforma ble when hot and whose plastic characteristics are similar to those of acetate. cellulose.



   From an examination of the drawing and of the foregoing, it can easily be seen that the method described by way of example has very great technical advantages over the methods known to date. In fact, the sheet of material to be shaped is held in position by clamping its edges between two metal surfaces and by elastic contact between two metal surfaces at the parts situated between two cells, but on the other hand the majority of the surfaces to be conformed are not never in contact simultaneously by their two opposite faces with metal parts. It follows that the sheet to be shaped opposes and stretches in a way on the stretchers, much like a rubber sheet would.



  This feature makes it possible to produce, by means of the stretching members, cells provided with re-entrant parts, such as for example the cells for teats shown in FIGS. 1 to 3 of the accompanying drawing. In the method according to the invention, the sheets to be treated are heated in the shaping apparatus; this heating may be different depending on the location of the sheet to be treated, but remains for each location considered constant over time throughout the duration of the opera. stretching tion. In the shaping apparatus, the sheet to be treated is preferably subjected to preliminary heating, so that it can then be easily deformed under the action of the stretchers.



   Finally, it should be further specified that in what precedes we have spoken of matrices and counter-matrices, but that in reality it is not strictly speaking a question of matrices and contra-matrices in the sense in which we usually understand it. , these parts do not play, in fact, in the making of the honeycomb plate, strictly speaking, a shaping role, but simply a supporting role on which the material is stretched, holding, retaining, guiding and heating the sheet to be shaped, the shaping role being played by the pistons of the apparatus described.



   In all the embodiments described, the contour of each day of the matrix corresponds to that of the edge of the cell to be obtained.



   CLAIMS:
 I. Process for the production of multiple cells in thin plastic sheets, characterized in that said sheets are placed in a heating apparatus where they are, during heating, stretched in a progressive manner such that the parts planes situated between the cells as well as the cell parts themselves participate in the drawing and contribute to the formation of the cells, the heating remaining constant throughout the duration of this drawing.
  


    

Claims (1)

II. Appareil pour la mise en oeuvre du procédé selon la revendication I, caractérisé par le fait qu'il se compose de trois pièces dis tintes: ima matrice comportant des parties ajourées dont le contour du bord de chaque jour correspond à celui du bord de l'alvéole à obtenir, une contre-matrice constituée par me plaque dont les jours sont analogues à ceux de la matrice, une série de pistons étirieurs qui coulissant librement dans les parties ajourées de la contre-matrice et dont les extrémités libres sont façonnées à la forme et aux dimensions de l'intérieur des alvéoles à réaliser. II. Apparatus for carrying out the method according to claim I, characterized in that it is made up of three distinct parts: a matrix comprising perforated parts of which the contour of the edge of each day corresponds to that of the edge of the cell to be obtained, a counter-matrix made up of a plate whose openings are similar to those of the die, a series of stretching pistons which slide freely in the perforated parts of the counter-die and whose free ends are shaped to the shape and the dimensions of the interior of the cells to be produced. SOUS-REVENDICATIONS: 1. Procédé selon la revendication I, caractérisé par le fait que l'étirage est effectué sur les bords d'une pièce de support au moyen d'une seule série d'outils disposée d'lux côté seulement de la feuille et sans que cette série d'outils rencontre de contre-partie dans la pièce de support de la feuilla. SUB-CLAIMS: 1. Method according to claim I, characterized in that the stretching is carried out on the edges of a support part by means of a single series of tools arranged on the side only of the sheet and without this series of tools meets counterpart in the leaf support part. 2. Procédé selon la revendication I, caractérisé par le fait que la feuille de matière plastique n'est pas chauffée de façon uni- forme dans toute son étendue, certaines parties étant portées à une température plus élevée que d'autres. 2. Method according to claim I, characterized in that the plastic sheet is not heated uniformly in its entire extent, some parts being brought to a higher temperature than others. 3. Procédé selon la revendication I et la sous-revendication 2, earactérisé par le fait que les températures précitées peuvent être réglées et contrôlées. 3. A method according to claim I and sub-claim 2, characterized in that the aforementioned temperatures can be set and controlled. 4. Procédé selon la revendication I, earae- térisé par le fait que pendant l'étirage les bords de la feuille dans laquelle doivent être formées les empreintes sont immobilisés. 4. The method of claim I, earaeterized in that during stretching the edges of the sheet in which the impressions are to be formed are immobilized. 5. Procédé selon la revendication I, caraetérisé par le fait que pendant l'étirage on laisse glisser d'une façon déterminée par réglage, le bord des feuilles à travailler. 5. Method according to claim I, caraetérisé in that during stretching is allowed to slide in a manner determined by adjustment, the edge of the sheets to be worked. 6. Appareil selon la revendication II, caractérisé par le fait que les pistons étireurs sont solidaires d'une plaque commune de support. 6. Apparatus according to claim II, characterized in that the stretching pistons are integral with a common support plate. 7. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que les pistons étireurs sont amovibles. 7. Apparatus according to claim II and sub-claim 6, characterized in that the draw pistons are removable. S. Appareil selon la revendication II et les sous-revendications 6 et 7, caractérisé par le fait que la tête de chaque piston étireur est constituée par une pièce amovible. S. Apparatus according to claim II and sub-claims 6 and 7, characterized in that the head of each stretch piston is constituted by a removable part. 9. Appareil selon la revendication II, caractérisé par le fait que chacune des trois pièces est pourvue d'un système de chauffage particulier indépendant i 'un de l'autre et réglable. 9. Apparatus according to claim II, characterized in that each of the three parts is provided with a particular independent heating system i 'one of the other and adjustable. 10. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que la plaque porte-pistons est solidaire du coulisesan d'une presse, tandis que la contrematrice est montée sur la plaque portepistons par I'intermédiaire d'unie liaison élastique réglable. 10. Apparatus according to claim II and sub-claim 6, characterized in that the piston holder plate is integral with the slide of a press, while the countermaster is mounted on the piston holder plate through a united adjustable elastic link. 11. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que des butées réglables sont disposées entre la plaque porte-pistons étireurs et la contrematrice pour permettre de régler la profon (leur des empreintes. 11. Apparatus according to claim II and sub-claim 6, characterized in that adjustable stops are arranged between the stretching piston-holder plate and the countermaster to allow adjustment of the depth (their imprints. 12. Appareil selon la revendication II, caractérisé par le fait que la contre-matrice est fixe et la matrice mobile en combinaison avec le déplacement des pistons étireurs. 12. Apparatus according to claim II, characterized in that the counter-die is fixed and the die movable in combination with the movement of the stretching pistons. 13. Appareil selon la revendication II, caractérisé par le fait que dans les parties ajoli- rées de la matrice coulissent des pistons réchauffeurs dont le profil correspond à celui de ces parties ajourées. 13. Apparatus according to claim II, characterized in that in the adjoined parts of the die there slide heating pistons whose profile corresponds to that of these perforated parts. 14. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 13, caractérisé par le fait que ces pistons réehauffeurs sont reliés, d'une façon réglable, à une plaque commune de support et de manoeuvre. 14. Apparatus according to claim II and sub-claim 13, characterized in that these reheating pistons are connected, in an adjustable manner, to a common support and maneuvering plate. 15. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 6, caractérisé par le fait que la plaque porte-pistons étireurs qui est solidaire du coulisseau de la presse de ma oeuvra commande à son tour, par l'intermé- diaire d'une tige de commande portant des bossages et butées, la plaque porte-pistons réchauffeurs, des organes élastiques étant intercalés dans cette transmission. 15. Apparatus according to claim II and sub-claim 6, characterized in that the stretching piston-holder plate which is integral with the slide of the press of my work in turn, through the intermediary of a control rod bearing bosses and stops, the heating piston carrier plate, elastic members being interposed in this transmission. 16. Appareil selon la revendication Il et la sous-revendication 13, caractérisé par le fait qu'un dispositif de blocage est prévu pour permettre de bloquer, le temps voulu, les pistons réchauffeurs dans leur position basse. 16. Apparatus according to claim II and sub-claim 13, characterized in that a locking device is provided to allow the required time to lock the heating pistons in their low position. 17. Appareil selon la revendication II, c.a- ractérisé par le fait que la matrice on la contre-matrice comportent des bords surélevés de façon à empêcher une compression nuisible de la feuille de matière plastique entre ces deux pièces. 17. Apparatus according to claim II, characterized by the fact that the die against the die comprises raised edges so as to prevent harmful compression of the plastic sheet between these two parts. 18. Appareil selon la revendication II, caractérisé par le fait qu'il comporte des réglettes amovibles sur les bords de la matrice ou de la contre-matrice, ces réglettes contrôlant, lors de l'étirage des feuilles, le mouvement de retrait des bords des feuilles. 18. Apparatus according to claim II, characterized in that it comprises removable strips on the edges of the die or against the matrix, these strips controlling, during the stretching of the sheets, the movement of withdrawal of the edges. leaves. 19. Appareil selon la revendication II et la sous-revendication 18, caractérisé par le fait que ces réglettes présentent une hauteur nulle au-dessus de la matrice aux endroits correspondant aux parties ajourées de ladite matrice. 19. Apparatus according to claim II and sub-claim 18, characterized in that these strips have a zero height above the matrix at the locations corresponding to the perforated parts of said matrix. 20. Appareil selon la revendication II, ca- ractérisé par le fait que l'appareil est à double effet. 20. Apparatus according to claim II, characterized in that the apparatus is double-acting.
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