Bavette pour boîte de montre-bracelet. Dans les cercles. d'acheteurs de montres, on a toujours ressenti comme un inconvénient de devoir acheter une montre-bracelet avec un lien dIéjà fixé à la montre. Si ce lien est en cuir,
sa couleur n'est souvenrfi pas du goût dle l'acheteur, et s'il faut changer ce lien, on est dans l'obligation d'envoyer toute la pièce chez te fabricant <B>de</B> cuirs pour bracelets pour adapter un nouveau lien. Cet .état .de chose a conduit à -des
propositions tendant à avoir, à l'extrémHé -du braceliet, des. organes de fixa- tion, dlont l'ouverture permettait l'introduc- tion. @de da burette solidaire -de l'anse.
Ces organes @de fixation sont naturellement for més idie pièces assemblées mécaniquement les unes aux autres et formant un tout @dont d'esthétique laisse fort à -désirer.
On est alors allé plus loin. encore et a créé, pour les montks-bracelets, des bamettes amovibles au moyen desquelles n'importe quel cuir ayant une boucle à_ son extrémité, @ce qui est :géné ralement le cas :du fait que de lien est composé de -deux :
couches de peau cousues l'une sur l'autre, peut sic fixer à la montre. Une bavette amovible -de ce genre est montrée en coupe à la fig. 1 du dessin annexé. Elle comporte un tube à d'intérieur :
duquel se meuvent deux pis tons 2 écartés 1'u ,de l'autre par un ressort 3. La course da ,cas pistons et,de da tige 4 qui d1épasse les tubes 1 sont égales à la largeur des cornes de l'anse :
de la montre.-Par l'effet du ressort, la bavette est constamment main- tenuedans les carnes. Le -démontage et le montage s'opùrent en appuyant @sur la tige -du piston avec un objet pointu, une 4guille par exemple:
De pareilles bavettes <B>Se</B> font difficilement en 'un métal dur, puisque le cylindre dans lequel se meuvent les pistons doit être .,sel :cru bout après leur mise en place. La longueur :des pistons est naturellement limitée;
car il faut aussi non seulement une course de la largeuir -,de l'anse, mais @de lia, placé pour le ressort une fois comprimé. En outre, ces pis tons ont ,du jeu;
ils ne peuvent pas être ajus tés gras. Il résulte :de :cet état de dhoisie que lesdites bavettes à ressort spiral intérieur sont extrêmement fragiles.
-Elles, ne résistent pas à une traction involontaire résultant d'un acciâeM au porter et, d'autre part, elles sont extrêmement exposées à l'oxydation provo quée par la transpiration ,dru poignet du par -Leur.
- On a bien essayé ,de faire die pareilles bu rettes en acier inoxydable. Leur prix est cependant inabordable et prohibitif, car les tubes devaient être percés pièce à pièce et les pistons .décolletés dans- un métal extrêmement difficile @à travailler.
L'objet de la. présente invention est une bametbe pour anse de montre-bracelet qui, du fait de sa simplicité, n'offre aucun des dé fauts cités plus haut. Elle peut sans autre être faite en un; métal aussi dur que l'acier inoxydable et offrant les mêmes propriétés.
solidité -est pratiquement à toute épreuve et son prix n'est pas supérieur à celui des meilleures barattas ,à ressort que l'on connaît jusqu'à présent.
Cette nouvelle barrette est ca- ractéTvsée en ce qu'elle recompose d'une dloulle faisant ressort destinée à être placée entre dies. cornes @de la boîte et dans laquelle est introduite à frottement gras au moins une broche qui passe dans <RTI
ID="0002.0064"> les .cornes de l'anse. Tout ressort spiral, tout jeu latéral et tout ébat nécessaiTe au glissiement est supprimé.
La .douille aura -de préférence une longueur égale à l'écartement des cornes de .la boîte à laquelle elle est destinée. La mise en place ou l'enlèvementt de cette burette s'effectue iexac- tement comme ,s'il s'agissait d'une dite à res- sort au moyen -d'un objet pointu,
une aiguille par exemple. Dans certains tas, lorsqu'on emploiera, deux broches, on prévoira, dans la douille un @arrêt pour au moins l'une de celles-ci ,de façon à fixer exactement la, posi- tion relative des pièces composant la burette.
Le -dessin: annexé montre, .à titre d'exem ple, à part la construction de bavette que l'on connaissait jusqu'à présent et qui est repré- sentée à la fig. 1, trois formes .d'exécution de burettes selon la présente invention.
La fig. 2 montre lia première de face, par- tellement en coupe et en place entre des cornes d'une boîte de montre, La fig. 3 est une vue en coupe -selon la 'ligne III-III de la fig. 1.
La fig. 4 est une vue de la deuxième forme d'exécution, partiellement en coupe égale ment, et la fi-. 5 se rapporte à la troisième forme d'exécution.
En se référant aux fig. 2 et 3, 10 désigne une douille en acier inoxydable qui est fen due en 11 et à l'intérieur de ,laquelle est logée une broche 12 ayant en son milieu une gouge 13 dans laquelle s'introduit, lorsque la broche est en place, .le fond d'un arrêt 14 venu par emboutissage @local de la douille 11. Cette -dernière est obtenue par enroulement d'une feuille mince d'acier inoxydable. Elle fait ressort et serre sur la. broche qui est intro duite à son intérieur.
Cette dernière va :dont gras dans la douille 11. On ne peut la fuira glisser qu'en maintenant la douille en place et en appuyant fortement sur elle au moyen d'un objet pointu pour la pousser dans la direction de son axe.
La mise en place de cette bairette s'opère très facilement: on introduit la douille dans la boucle @du cuir non représenté, maintient cette,douille au moyen du cuir, vis-à-vis des trous 15 percés dans .les cornes 16 et passe la broche au travers de l'une des cornes dans la douille pour la faire sortir de l'autre côté de la. boîte à .l'extérieur de la seconde corne.
Dans ila forme d'exécution selon la. fig. 4, la broche est en deux pièces. Chacune possède une gouge 13 dans laquelle s'introduit un arrêt 14 qui permet de fixer la position réci proque exacte des deux tronçons de broche à chaque extrémité .de la douille 11. La mise e@n place de chacun de ces tronçons de broche 1 s'exécute exactement comme s'il n'y avait qu'une seule broche.
Pour les sortir et séparer la montre dru lien, on les pousse tout simple ment à l'intérieur de .la douille d'où elles peuvent être rassorties comme on les y a fait i entrer.
Dans la forme d'exécution selon la fig. 5, la. douille est arquée et contient une broche de même courbure que l'on met en place exactement comme si elle était droite, c'est-à- <B>1</B> dire comme il est décrit dans les figures pré cédentes.
Bib for wristwatch box. In circles. watch buyers have always felt the inconvenience of having to buy a wristwatch with a link already attached to the watch. If this link is leather,
its color is not remembered to the taste of the buyer, and if it is necessary to change this link, we are obliged to send the whole part to the manufacturer of <B> </B> leather for bracelets for adapt a new link. This. State of affairs has led to
proposals tending to have, at the end of the braceliet, some. fasteners, the opening of which allowed insertion. @de da solidaire burette -de the handle.
These fasteners are naturally formed parts mechanically assembled to one another and forming a whole which aesthetically leaves much to be desired.
We then went further. again and created, for the mounts-bracelets, removable bamettes by means of which any leather having a buckle at its end, @which is: generally the case: because of link is composed of -two:
layers of skin sewn over each other, can sic attach to the watch. A removable bib-of this type is shown in section in FIG. 1 of the accompanying drawing. It has a tube inside:
of which move two pis tons 2 separated 1'u, from the other by a spring 3. The stroke da, case pistons and, da rod 4 which exceeds the tubes 1 are equal to the width of the horns of the handle:
of the watch .-- By the effect of the spring, the bib is constantly maintained in the hinges. Disassembly and assembly are carried out by pressing @on the piston rod with a pointed object, a 4hand for example:
Such flaps <B> Se </B> hardly make a hard metal, since the cylinder in which the pistons move must be., Salt: raw boils after their installation. The length: of the pistons is naturally limited;
because it is also necessary not only a stroke of the width -, of the handle, but @ of lia, placed for the spring once compressed. In addition, these udders have play;
they cannot be adjusted fat. It results: from: this state of dhoisie that said inner spiral spring flaps are extremely fragile.
-They do not resist involuntary traction resulting from acciâeM to wear and, on the other hand, they are extremely exposed to oxidation caused by perspiration, on the wrist of the patient.
- We have tried to make such drinks out of stainless steel. Their price is, however, unaffordable and prohibitive, since the tubes had to be drilled piece by piece and the pistons cut out in a metal which was extremely difficult to work.
The object of the. The present invention is a bametbe for wristwatch handle which, due to its simplicity, does not have any of the faults mentioned above. It can without further be made into one; metal as hard as stainless steel and offering the same properties.
solidity - is practically foolproof and its price is not higher than that of the best barattas, with spring that one knows until now.
This new bar is charactéTvsée in that it recomposes a dloulle making a spring intended to be placed between dies. horns @of the box and in which is introduced with greasy friction at least one pin which passes through <RTI
ID = "0002.0064"> the horns of the handle. Any spiral spring, any lateral play and any framing required for sliding is removed.
The .douille will preferably have a length equal to the spacing of the horns of the box for which it is intended. The installation or removal of this burette is carried out exactly as if it were a so-called spring by means of a pointed object,
a needle for example. In certain heaps, when two pins are used, provision will be made in the socket for a stopper for at least one of them, so as to fix exactly the relative position of the parts making up the burette.
The attached drawing shows, by way of example, apart from the construction of the flap that was known until now and which is shown in FIG. 1, three forms .d'execution of burettes according to the present invention.
Fig. 2 shows the front one, partly in section and in place between lugs of a watch case, FIG. 3 is a sectional view on line III-III of FIG. 1.
Fig. 4 is a view of the second embodiment, also partially in section, and the fi-. 5 relates to the third embodiment.
Referring to Figs. 2 and 3, 10 designates a stainless steel sleeve which is fen due at 11 and inside, which is housed a pin 12 having in its middle a gouge 13 in which is introduced, when the pin is in place, .the bottom of a stop 14 come by @local stamping of the sleeve 11. This -dernière is obtained by winding a thin sheet of stainless steel. She comes out and squeezes the. brooch which is introduced inside.
The latter goes: which greasy in the socket 11. It can only be slid off by holding the socket in place and pressing strongly on it by means of a pointed object to push it in the direction of its axis.
The establishment of this bairette is very easy: we introduce the sleeve into the loop @du leather not shown, maintains this sleeve by means of leather, vis-à-vis the holes 15 drilled in the horns 16 and pass the pin through one of the horns in the socket to bring it out the other side of the. box outside the second horn.
In the embodiment according to. fig. 4, the spindle is in two pieces. Each has a gouge 13 into which a stop 14 is inserted which makes it possible to fix the exact reciprocal position of the two spindle sections at each end. Of the socket 11. The setting in place of each of these spindle sections 1 runs exactly as if there was only one spindle.
To take them out and separate the watch from the link, they are simply pushed inside the sleeve from where they can be reassorted as they have been made to enter.
In the embodiment according to FIG. 5, the. socket is arched and contains a pin of the same curvature which is put in place exactly as if it were straight, ie <B> 1 </B> as described in the previous figures.