Machine à reproduire. La présente invention a pour objet une machine à reproduire.
I1 convient, dans une machine à repro duire, d'amener les feuilles à imprimer au tambour duplicateur quand ce dernier est dans une position et d'appliquer le cliché au tambour quand ce dernier se trouve dans une autre position.
Dans ce but, la machine faisant l'objet de l'invention, qui comprend un tambour dupli cateur mis en rotation par un organe moteur destiné à tourner continuellement, est carac térisée en ce qu'elle comporte deux disposi tifs de commande, dont l'un établit une liai son entre le tambour duplicateur et l'organe moteur, interrompt cette liaison et maintient en position le tambour après une unique ré volution du tambour, le second dispositif de commande étant actionnable, d'une part, pour interrompre ladite révolution unique et ame ner le tambour duplicateur en un point cor respondant à l'espacement angulaire du se cond dispositif de commande par rapport au premier dispositif de commande et, d'autre part,
pour produire la connexion entre le tambour et l'organe moteur tournant conti nuellement de façon à permettre au tambour duplicateur de compléter la révolution unique interrompue par l'action première du second dispositif de commande.
Dans une forme d'exécution particulière de la machine selon l'invention, le second dis positif de commande est interconnecté avec le premier dispositif de commande, de telle façon que lorsque le premier dispositif est mii en position inopérante pour produire que le tambour soit connecté à l'organe moteur tournant continuellement, le second disposi tif est mû en position opérante pour arrêter le tambour et le maintenir en position après une rotation partielle correspondant à l'es pacement angulaire des deux dispositifs de commande.
La machine selon l'invention est, par exemple, du type dans lequel des clichés de papier sont employés et dans lequel les feuilles à imprimer sont humidifiées avec un solvant convenable pour l'encre ou le carbone du cliché, chaque feuille à imprimer étant amenée à son tour en contact avec le cliché pendant que sa surface est humidifiée, de telle sorte que les données se trouvant sur le cliché soient transférées sur la feuille à imprimer.
Les clichés présentent .des données à reproduire formées sur eux à l'envers, de telle sorte que, quand une partie du carbone ou de l'encre est enlevée par dissolution et transférée à la surface humide de la feuille à imprimer, elles 'apparaissent sous la forme convenable pour la lecture. De préférence, on emploie un solvant tel que de l'alcool et ce solvant est appliqué aux feuilles à imprimer alors qu'elles s'approchent du cliché, de telle façon que le cliché et la feuille à imprimer puissent être placés en contact intime avant que le solvant ait le temps de s'évaporer.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la ma chine à reproduire faisant l'objet de l'inven tion.
Fig. 1 en est une vue en plan; Fig. 2 est une coupe faite selon la ligne 2-2 de fig. 1: Fig. 3 est une coupe faite selon la ligne 3-3 de fig. 1; Fig. 4 est une coupe faite selon la ligne 4-4 de fig. 2; Fig. 5 est une coupe de détail à plus grande échelle faite selon la ligne 5-5 de fig. 4; Fig. -6 est une vue en coupe à plus grande échelle faite selon la ligne 6-6 de fig. 1;
Fig. 7 est une vue en coupe semblable à la fig. 6, montrant les organes dans une posi tion différente, une partie du mécanisme hu midificateur étant supposée brisée et enlevée pour montrer sa construction intérieure; Fig. 8 est une coupe partielle faite selon la ligne 6-6 de fig. 1 et montrant une autre position des organes; Fig. 9 est une coupe partielle faite selon la ligne 9-9 de fig. 1;
Fig. 10 est une coupe partielle selon la ligne 10-10 de fig. 9; Fig. 11 est une coupe selon la ligne 9-9 de fig. 1 et montrant une position différente des organes que celle indiquée sur la fig. 9; Fig. 12 est une vue en coupe à plus grande échelle faite selon la ligne 12-12 de fig. 11; Fig. 13 est une coupe selon la ligne 9-9 de fig. 1 et montrant encore une autre posi tion des organes;
Fig. 14 est une coupe partielle à travers le tambour et les rouleaux d'alimentation, les organes humidificateurs étant supposés enlevés pour la clarté; Fig. 15 est une coupe analogue à fig. 14, représentant les organes pour une autre posi tion du tambour; Fig. 16 est une vue analogue à fig. 14, représentant encore une autre position du tambour quand le cliché est en train d'être libéré; , Fig. 17 est une autre coupe partielle à travers le tambour, montrant le tambour et le cliché en position d'alimentation du cliché;
Fig. 18 est une vue de détail d'un méca nisme à griffe; Fig. 19 est une vue en plan partiel de la surface du tambour montrant la griffe à son intérieur; Fig. 20 est une coupe selon la ligne 20-20 de fig. 4; Fig. 21 est une coupe partielle selon la ligne 20-20 de fig. 4 et montrant une autre position du mécanisme.
22 et 23 désignent une paire de cadres la téraux prévus pour reposer sur tout support convenable, les cadres latéraux 22 et 23 étant pourvus de pieds caoutchoutés 24 qui repo sent sur ce support. Des consoles 25 et 26 sont interposées entre les cadres latéraux 22 et 23 et sont fixées rigidement à ceux-ci.
La console 25 constitue un support pour un moteur d'entraînement 27. Une plaque de sup port 28, à laquelle le moteur 27 est boulonné, est pivotée à l'une de ses extrémités en 29 sur la console 25, tandis que l'extrémité su périeure de la plaque 28 est connectée au moyen d'une tige 30, à une oreille 31 montée sur le haut de la console 25. La tige 30 est pivotée sur l'oreille 31 et passe à travers la plaque 28. Des écrous 32, réglables sur la tige 30, agissent pour constituer un réglage de la plaque 28 dans le but que l'on va in diquer. Le moteur 27 comporte un arbre d'entraînement 33 (fig. 4) sur lequel une poulie motrice 34 est fixée. La poulie 34 entraîne une courroie 35 passant sur une poulie 36.
La poulie 36 est portée par une barre transversale 37 fixée à la console 25 au moyen d'un boulon 38. L'autre extrémité de la, barre transversale 37 est montée sur une oreille 39 faisant saillie sur la console 26 et pourvue d'une fente allongée 40 (fig. 2) à travers laquelle un boulon 41 s'étend, le bou lon 41 étant vissé dans la barre transversale 37, de manière à fixer la barre transversale à l'oreille 39. La poulie 36 est rotative sur un arbre 42 qui est fixé à la barre transversale 37, et une seconde poulie 43 est fixée à la poulie 36. Une seconde courroie 44 relie la poulie 43 avec une poulie 45. La poulie 45 est supportée par un arbre de support 46 fixé au cadre latéral 22 par une vis 47 (fig. 3). L'arbre de support 46 présente une bride 48 à son extrémité interne.
Une douille 49 en toure l'arbre de support 46 et un pignon 50 tourne sur cette douille. Le pignon 50 forme un moyeu pour la poulie 45 et est claveté sur celle-ci comme il est indiqué en 51 (fig. 3). Le pignon 50 engrène avec une roue dentée 52 tourillonnée de manière à pouvoir tourner sur un arbre de tambour 53 portant un tambour duplicateur 54.
Avant de continuer la description du tam bour 54 et des parties coopérantes, on va indiquer la raison du réglage prévu par la tige 30 pour la plaque 28.
S'il est désirable de tendre la courroie 35, cela peut être réalisé facilement en réglant les écrous 32 sur la tige 30 pour faire osciller la plaque 28 autour de son pivot 29, en mou vant ainsi le moteur 27 par rapport à la pou lie 36. On remarquera que la courroie 35 passe à travers une ouverture 25' prévue dans la console \'5. Quand il est désirable de ré gler la tension de la courroie 44 reliant la poulie 43 avec la poulie 45, ce réglage est obtenu en déplaçant la barre transversale 37 par rapport à l'oreille 39 sur la console 26 et en la fixant dans la position désirée au moyen du boulon 41.
Le montage de l'arbre de tambour 53 et du tambour 54, comme représenté le mieux sur la fig. 3, va être décrit maintenant.
L'arbre 53 est monté dans le cadre 22 au moyen d'un palier à billes approprié 55. Ce palier est maintenu en place d'un côté par une plaque 56 fixée au cadre latéral 22 par une vis 57, et du côté extérieur un chapeau 58 recouvre l'extrémité extérieure de l'ar bre 53 et est maintenu en place au moyen d'une vis 59. Un moyeu 60, supportant -une extrémité du tambour 54, est claveté sur l'ar bre 53. Entre le moyeu 60 et une partie 61 de diamètre réduit de l'arbre 53 qui est montée dans le palier à billes 55, l'arbre 53 est pourvu d'une partie intermédiaire 62 sur la quelle la roue dentée 52 est montée à rotation.
Des douilles de garniture 63 et 64 sont inter posées entre la partie 62 et un moyeu 52' de la roue dentée 52.A l'autre extrémité, l'ar bre 53 est monté dans le cadre latéral 23 au moyen d'un palier à billes approprié 65 qui entoure une partie 66 de diamètre réduit de cet arbre. Un moyeu 68, pour une came 69 se trouvant à l'extérieur du cadre latéral 23, est fixé à l'extrémité extérieure 67 de l'arbre 53. Un collier 70 est fixé au cadre 23, à la sur face interne de celui-ci, autour de l'arbre 53. Ce collier présente une partie d'appui 71 de diamètre réduit sur laquelle un moyeu 74 d'un levier à main 72 est monté à pivotement, une douille 73 étant interposée entre le moyeu 74 et la partie réduite 71 du collier 70.
Le moyeu 74 porte une paire de rouleaux 75 et 76, dont la raison d'être sera expli quée plus clairement ci-après.
Le moyeu 60 sert de montage pour une plaque d'extrémité 77 du tambour 54. La pla que d'extrémité 77 est fixée au moyeu 60 par des rivets 78. Le moyeu 60 est en acier coulé afin de prévoir une connexion robuste entre l'arbre 53 et la plaque d'extrémité 77. A l'autre extrémité du tambour 54, une pla- que d'extrémité 79 présente un moyeu 80 se montant sur l'arbre 53. Une vis de ré glage 80' fixe le moyeu 80 à l'arbre 53 et empêche un mouvement du tambour vers l'ex trémité sur l'arbre 53. Les plaques d'extré mité 77 et 79 sont fondues ou coulées soli dairement avec le tambour 54. Les plaques d'extrémité sont pourvues d'ouvertures 77', respectivement 79' (fig. 2 et 13) à travers les quelles les noyaux de sable utilisés pour le moulage du tambour peuvent être enlevés.
Le métal utilisé pour le tambour 54 et les pla ques d'extrémité 77 et 79 est de préférence l'aluminium.
Le tambour 54 peut être relié à .la roue dentée 52 tournant continuellement, au moyen d'un mécanisme représenté le mieux sur les fig. 3 et 9 à 13 inclusivement. Ce mé canisme comprend une roue à rochet 81 mon tée sur la roue dentée 52. La roue à rochet 81 présente une paire d'ouvertures 82 et 83 à travers elle, et des organes de caoutchouc 84 et 85, formant coussinets, remplissent ces ou vertures. Des boulons 86 et 87 passent à tra vers la roue dentée 52 et les coussinets 84 et 85 et sont figés à la roue 52 par des écrous 88 et 89.
Chaque boulon présente une partie agrandie 90 (fig. 3) passant à travers l'or gane de caoutchouc formant coussinet et cons tituant un épaulement butant contre la roue dentée 52. Une plaque de couverture 91 pour le coussinet est maintenue en place par une tête 92 prévue sur le boulon. Les ouvertures 82 et 83 sont espacées d'environ 120 l'une de l'autre autour de la roue à rochet 81. Une ouverture 93, plus petite, est prévue dans la roue à rochet à environ 120 des ouvertures 82 et 83. Un boulon 94 passe à travers cette ouverture 93 et présente un écrou 95 sur lui.
Ce montage de la roue à rochet 81 sur la roue dentée 52 permet une rotation d'une quantité limitée de la roue à rochet sur la roue dentée pour absorber le choc lorsque l'on connecte la roue dentée au tambour 54.
Le mécanisme de connexion pour relier la roue à rochet 81 au tambour 54 comprend un cliquet 96 pivoté sur une cheville 97 fixée à une plaque 99 et présentant une tête 98 sur elle. La plaque 99 est montée sur une partie réduite 60' du moyeu 60 (fig. 3), et est figée de manière réglable sur la plaqué d'extrémité 77 du tambour 54 au moyen de boulons 100 et 101 passant à travers des fentes allongées pratiquées dans la plaque 99 et vissés dans la plaque d'extrémité 77. En donnant du jeu aux boulons 100 et 101, la plaque 99 et le cliquet 96 peuvent être légèrement tournés par rapport au moyeu 60 pour régler la posi tion du cliquet 96 par rapport au tambour 54.
Une cheville 102, prévue sur le cliquet 96, est reliée à une cheville 103 de la plaque 99 par un ressort 102', pour faire osciller le cliquet dans sa position d'engagement avec la roue à rochet 81. Au-dessous du cliquet 96 et pivoté sur la cheville 97 se trouve un bloc 104 (fig. 10). Ce bloc présente un 6pau- lement 105 (fig. 9) à son extrémité externe, lequel est utilisé pour arrêter et maintenir le tambour 54 en place comme on va le décrire.
D'un côté, le bloc 104 coopère avec une che ville d'arrêt 106 prévue sur la plaque 99, et de l'autre côté le bloc 104 coopère avec un coussin de caoutchouc 107 fixé à une oreille 1.08 découpée dans la plaque 99. Une cheville 1.09 fixe le coussin de caoutchouc 107 à l'oreille 108. Le cliquet 96 et le bloc 104 ne sont pas reliés l'un à l'autre, mais tous deux peuvent tourner sur la cheville 97.
Il y a deux dispositifs de commande pour effectuer la libération du tambour 54 de la liaison d'entraînement avec la roue à rochet 81 montée sur la roue dentée 52. L'un de ces dispositifs est actionnable pour arrêter le tambour dans la position d'amenée d'une nou velle feuille à entraîner sur lui, tandis que l'autre dispositif est actionnable pour arrêter le tambour dans la position correspondant à l'application d'un nouveau cliché sur lui.
Le premier dispositif <B>dé</B> commande men tionné va être décrit tout d'abord. Ce dispo sitif comprend un levier de commande 110 pivoté sur un arbre de support 111 qui est fixé dans le cadre latéral 22. Le levier de commande 110 présente une partie 112 s'é tendant vers le bas et vers l'avant et suppor tant à son extrémité libre une extrémité d'une barre d'actionnement 113. Cette barre d'ac- tionnement est supportée à son autre extré mité par un bras 114 (fig. 1) qui est pivoté sur le cadre latéral 23, en 115.
Une cheville d'arrêt l12', prévue sur le cadre latéral 22, limite le mouvement vers le haut -du Levier 110. Le levier 11.0 présente un bras dei dé clenchement 116 s'étendant vers le tambour. Entre l'extrémité du tambour et le cadre la téral \22, ce bras de déclenchement est pourvu, à son extrémité interne, d'une butée flexible 117 destinée à coopérer avec une saillie 96' prévue .sur le cliquet 96. La butée 117 est sollicitée vers l'extérieur par un coussin de caoutchouc 118. Le bras de déclenchement 116 présente sur lui une cheville 119. Un ressort 120 relie cette cheville 119 à une che ville 121 montée sur le cadre latéral 22 (fi--. 6). Ce ressort 120 tend à tirer le bras de déclenchement 116 vers le bas, de manière à amener la butée 117 sur le chemin de la saillie 96' du cliquet 96.
Dans la position re présentée sur la fig. 9, on remarquera que la butée 117 a été soulevée au-dessus de la saillie 96', en sorte que le cliquet 96 est venu en prise avec l'une des dents de la roue à rochet 81, en accouplant ainsi le tambour 54 à la roue à rochet 81, pour la rotation. La direction de la rotation de la roue à rochet 81 est indiquée par une flèche sur la fig. 9. Dans la position représentée sur cette figure, le cliquet 96 vient juste d'être libéré de la butée 117.
Quand la roue à rochet 81 a tourné jusqu'à la position représentée sur la fig. 11, la saillie 96' du cliquet 96 vient en prise avec la butée 117, comme représenté sur la fi* 11, pour libérer le cliquet 96 de la roue à rochet. La butée 117, dans la position représentée sur la fi-. 11, est également en prise avec l'épaulement 10.5 du bloc 104 pour arrêter positivement, de cette façon, le tambour 54 et empêcher toute rotation ulté rieure de celui-ci.
Pour éviter le mouvement du tambour en sens inverse, il est prévu un bras de retenue 122 pivotant également sur l'arbre 111 et tombant sur un épaulement 123 prévu dans le bord extérieur de la plaque 99. Le bras de retenue 122 est pressé vers la plaque 99 par un ressort 124 interposé entre le haut de ce bras de retenue et une oreille 125 s'étendant à partir du bras de déclenchement 11.6. En vue de lever le bras de retenue 122 et d'é viter sa chute trop loin vers le bas lorsque la plaque 99 se meut ailleurs qu'en dessous de lui, le levier 110 porte une cheville 126 coopérant avec une oreille 127 faisant saillie sur le bras de retenue 122.
Ainsi, lorsqu'on presse vers le bas sur la barre 113, le levier 110 soulève le bras de déclenchement 116 pour libérer le cliquet 96 de la butée 117. En même temps, la cheville 126 presse vers le bas sur la saillie 127 pour lever le bras de retenue 122 en l'éloignant de l'épaulement 123 de la plaque 99. Le bras de retenue 122 est soulevé par la plaque 99 con tre la pression du ressort 124 lorsque le tam bour s'approche de sa position d'arrêt repré sentée sur la fig. 11, mais cela ne produit pas le soulèvement du bras de déclenchement 116 qui, ainsi, reste en position pour coopé rer avec la saillie 96' et l'épaulement 105.
Un bras fourchu 128 est solidaire du le vier 110, à l'endroit où il est monté sur l'ar bre 111. Ce bras 128 s'étend vers le bas et présente une cheville 129 passant à travers une fente allongée 130 d'une bielle 131. La bielle 131 est reliée au second dispositif de commande indiqué ci-dessus et représenté sur la fig. 11. Ce second dispositif de com mande est monté sur un arbre 132 et est relié, par un bras fourchu 133, à la bielle 131. L'arbre 132 est tourillonné à un bout dans le cadre d'extrémité 22, au moyen d'un appui 134 représenté plus clairement en fig. 12. Cet arbre s'étend en travers de la machine et est tourillonné à son autre bout d'une fa çon semblable dans 1e cadre latéral 23.
A son extrémité adjacente au cadre 23, l'arbre 132 est pourvu d'un bras fourchu 135 (fig. 6) qui est connecté par une bielle 136 à un bras fourchu 137, du moyeu 74 du levier à main 72. Ainsi, en faisant osciller le levier à main 72, l'arbre 132 et le bras 133 peuvent être tournés de la position représentée aux fig. 6 et 11 jusqu'à la position représentée aux fig. 7 et 13.
Un second bras de déclenchement 138 et un bras de retenue 139 sont pivotés sur l'ar bre 132. Ces deux bras sont pratiquement identiques, dans leur disposition et dans leur relation l'un avec l'autre, au bras de déclen chement 116 et au bras de retenue 122, res pectivement. Une cheville 140 (fig. 12), pré vue sur le bras de déclenchement 138, est agencée pour coopérer avec une plaque d'ar rêt 141 fixée sur le cadre latéral 22. Cette plaque présente une partie terminale tournée vers le haut et destinée à coopérer avec la cheville d'arrêt 140. Cette cheville agit pour limiter le mouvement du bras de déclenche ment 1,38 et, grâce à cela, le mouvement du bras -de déclenchement 139 vers l'axe du tambour 54.
Le bras 138 est relié à l'arbre <B>132</B> au moyen d'un ressort hélicoïdal 142 qui est relié, par une extrémité, à une che ville 142' prévue sur une saillie 143 du moyeu du bras fourchu 133, et par l'autre extrémité à une saillie 144 s'étendant à par tir du moyeu du bras de déclenchement 138 sur le côté opposé de l'arbre 132 par rapport au bras 138. Une cheville 145 fixe une extré, mité du ressort à la saillie 144 et s'étend aussi à travers la saillie l44 pour constituer un arrêt destiné à. coopérer avec une saillie 146 prévue sur l'extrémité du bras de rete nue 139.
Le bras de retenue 139 est poussé vers sa position où il coopère avec l'encoche 123 -de la plaque 99, au moyen d'un ressort 147 interposé entre la face arrière du bras 139 et une oreille 148 du bras de déclenche ment 138.
Il est évident que, lorsque l'arbre 132 est tourné de la position représentée à la fig. 11 à celle montrée par la fig. 13, la bielle 131 tire le bras fourchu 128 vers l'intérieur, de manière à mouvoir le bras @e déclenchement 116 et le bras de retenue 122 hors du chemin de la plaque 99, de la saillie 96' et du bloc 104, respectivement. En même temps, la ten sion du ressort 142 amène le bras de retenue 138 dans la position représentée en fig. 13, où--il se trouve sur le chemin de la saillie 96' et du bloc 104,
clé manière à arrêter le tambour avec la saillie de cliquet 96' coopé rant avec une butée élastique 149 prévue sur l'extrémité du bras de déclenchement 138 et avec le bras de retenue 139 en prise lui-même avec l'épaulement<B>123</B> de la plaque 99. Evi- demment, quand l'arbre 132 est tourné en sens inverse, les bras 138 et 139 sont levés de manière à s'écarter de la position de ver rouillage, par la libération du ressort 142 et par l'engagement de la saillie 143 avec la cheville 140.
Il est évident que le second dispositif de commande est interconnecté avec le premier dispositif de commande de telle sorte que.le premier dispositif est mû en position pour connecter le tambour à l'organe moteur tour nant continuellement, lorsque le second dis- positif est mû en position pour arrêter le tambour et le maintenir en position après une rotation partielle correspondant à l'espa cement angulaire des deux dispositifs de commande.
Il est également évident que lorsque le second dispositif de commande est mû en po sition pour connecter le tambour à l'organe moteur tournant continuellement, l'intercon- nexion entre le second dispositif et le premier fait mouvoir ce dernier en position pour ar rêter et maintenir le tambour en position après la fin .de l'unique révolution qui avait été interrompue lorsque le second dispositif était mû en position pour arrêter le tam bour.
L'arbre 132, comme décrit ci-dessus, est actionné par le mouvement du levier à main 72 qui commande également un mécanisme à griffe pour saisir les clichés sur le tambour 54. Le mécanisme à griffe et sa liaison d'ac- tionnement au levier à main sont le mieux représentés sur les fig. 3, 6, 7 et 14 à 19.
En référence à la fig.. 3, on remarquera qu'il y a un arbre 150 s'étendant longitu dinalement au tambour 54 et portant une pluralité de griffes<B>151.</B> L'arbre 150 est tourillonné à l'extrémité gauche, sur la fig. 3. dans un organe de support 152 qui est fixé, au moyen de vis 153, à la plaque d'extrémité 7 7 du tambour. Un organe de support 154, fixé à la plaque d'extrémité 79 du tambour au moyen de vis 155, supporte l'autre extré- inité de l'arbre 150. Cet arbre est mû pour ,actionner les griffes 151, au moyen du le vier 72.
Le mécanisme prévu pour faire osciller l'arbre 150 et pour actionner ainsi les griffes et représenté plus clairement sur les fig. 3, 6, 7 et 8. Il comprend un bras 156 compor tant un moyeu 157 fixé sur l'arbre 150 et portant un rouleau 158. A son extrémité libre, le bras 156 présente une cheville 159 fixée à un ressort hélicoïdal 160, dont l'autre extrémité est fixée à une cheville 161 mon tée sur une oreille<B>161'</B> venue de fonte sur la surface intérieure du tambour. Le rouleau 158 du bras 156 est prévu pour chevaucher une paire .de bras à came 162 et 163. Ces bras à cames 162 et 163 sont montés sur des arbres de support 164, respectivement<B>165,</B> qui sont fixés au cadre d'extrémité 23 de la machine.
Des ressorts hélicoïdaux 166 et <B>167</B> sont enroulés autour de moyeux 168, res pectivement 169 des bras à came 162 et 163 et sont reliés à ces bras à came, comme in diqué, en 170 et 171, de telle sorte qu'ils ten dent normalement à faire osciller ces bras vers l'intérieur, du côté de l'axe du tambour. Les bras à came 162 et 163 présentent des surfaces de came sur leurs bords intérieurs pour coopérer avec les rouleaux 75 et 76 por tés par le moyeu 74 du levier 72. Le rouleau 7 6 est en prise avec le bord intérieur du bras 162 et ce bras est pourvu d'un évidement, en 172, qui sépare une partie<B>173</B> du bord in térieur du bras à came 162 d'une partie 174.
Quand le rouleau 76 chevauche la partie 173 du bras à came, ce dernier est dans sa posi tion inopérante ou de repos et ne vient pas en prise avec le rouleau 158 du bras 156 pour actionner l'arbre à griffe 150. Si le levier 72 est mû de la position représentée sur la fig. 6 à la position indiquée sur la fig. 8, le rou leau 76 se meut à travers la dépression<B>1729</B> et vient en prise avec la surface 174 du bras à came 16? pour mouvoir la surface de came extérieure de ce bras sur le chemin du rou leau 158, pour mouvoir ainsi le bras 156 et l'arbre 150 à l'encontre de la tension du res sort 160.
De façon semblable, lorsque le rouleau 75 coopère avec une'partie 175 de la surface intérieure du bras à came<B>163,</B> ce bras est dans sa position la plus intérieure ou position de repos et se trouve hors du chemin du rou leau 158. C'est la position représentée en fig. 6; elle correspond à la position de fonc tionnement pour la confection de copies avec la machine.
Quand le rouleau 75 est mû en déplaçant le levier 72 dans la position repré sentée sur la fig. 7, alors le rouleau 75 vient en prise avec une surface 176 du bras à came 163 et amène ce dernier sur le chemin du rouleau 158, pour déplacer le bras 156 dans la position représentée sur la fig. 7, en pro duisant ainsi un mouvement angulaire corres pondant de l'arbre 150.
En référence maintenant aux fig. 14 à 19, le fonctionnement des griffes 151 en ré ponse au mouvement de l'arbre<B>150</B> que l'on vient de décrire va être expliqué plus claire ment ci-après. Chaque griffe 151 est faite de plusieurs plaques 177, 178, 179, 180 et 181, toutes fixées ensemble au moyen d'une cheville 182 passant à travers les. différentes plaques. Ces plaques sont pourvues d'ouver tures pour recevoir l'arbre 150, mais la pla que 179, qui est au milieu, est découpée comme représenté le mieux en fig. 18, et une cheville 183 passe à travers l'arbre 150 dans une position où elle bute contre l'extrémité de la plaque 179 sur le côté opposé de l'ar bre 150.
L'extrémité de la plaque 179 ne presse pas pleinement contre la cheville 183; il y a un léger jeu, comme indiqué en 184, entre la plaque 179 et la cheville 183, ce qui permet un mouvement angulaire d'une cer taine quantité limitée de la griffe sur l'ar bre 150. Comme représenté le mieux sur la fig. 19, le tambour 54 est pourvu d'une rai nure, en 185, s'étendant longitudinalement au tambour, et de section transversale pratique ment en forme de L. Des ouvertures 186 sont découpées à intervalles le long de cette rai- nure, dans le tambour, pour les griffes 151 qui font saillie à leur travers.
Chaque plaque de griffe d'une griffe présente une partie 187 qui fait saillie sur la surface 188 de la rai nure 185. La plaque. de griffe 179 présente une dent d'éjection 190 qui fait saillie, vers l'extérieur au delà des parties adjacentes des autres plaques, dans une fente 191 qui est juste assez large pour que la dent 190 passe à travers elle. Les griffes 151 sont disposées par paires, comme représenté sur la fig. 3.
Des ressorts hélicoïdaux 192 ont leur partie in termédiaire recourbée autour de chevilles 193 fixées dans l'arbre 150, tandis que leurs ex trémités libres sont recourbées autour de che- villes 194 et 195 fixées aux griffes adja centes. Ainsi, les ressorts 192 maintiennent les griffes en position de serrage pour serrer un cliché 196 contre la surface 188 de la rai nure 185, comme indiqué sur les fig. 14 et 15. C'est là la position normale de repos des griffes<B>151</B> et -de l'arbre 150.
Cette position correspond à celle du levier 72 et de ses rou leaux 75 et 76 représentée à la fig. 6. Quand le levier 72 est mû dans la position représen tée sur la fig. 7, le tambour en tournant porte le rouleau 158 du bras 156 sur le bras à came 163, tandis que ce bras à came est dans la position soulevée représentée sur la fig. 7, ce qui meut les griffes 151 à la position repré sentée à la fi,-. 16, contre la force des res sorts 192. Il est évident que, dans cette posi tion des griffes 151, le cliché 196 est libéré des parties 187 des griffes et est pressé vers l'extérieur par la dent d'éjection 190 de cha que griffe.
Alors que le tambour continue à tourner après que les griffes ont été ouvertes comme indiqué sur la fig. 16, les griffes peu vent se fermer à nouveau dans la position re présentée sur la fig. 15 quand le rouleau 158 s'écarte de la position où il coopère avec la surface extérieure du bras à came 163. Dans sa rotation continue, le tambour portant les griffres arrive à la position représentée sur la fi-. 17, qui correspond à la position repré sentée à la fig. 8.
Le rouleau 158 du bras 156 s'écarte de la surface extérieure du bras à came 162, et cela tourne suffisamment l'ar- bre 150 pour placer les griffes 151 .dans la position représentée sur la fig. 17, de telle sorte qu'un nouveau cliché 196 peut être in séré dans la rainure 185.
Comme indiqué précédemment, lors de la description de la liaison d'entraînement du tambour 54, le bras de déclenchement<B>116</B> et le bras de retenue 122 verrouillent le tambour de façon stationnaire, dans la position repré sentée sur la fig. 11. Cette position station naire correspond à la position du mécanisme représentée à la fig. 6, et situe les griffes dans la position représentée sur les fig. 2 et 14.
Quand le bras de déclenchement 138 et le bras de retenue 139 disposé sur l'arbre 132 sont en prise avec le bloc 104, les épaulements 123 et la plaque 99, comme représenté sur la fig. 13, alors le tambour est dans la position représentée sur la fig. 17, et le mécanisme d'actionnement des griffes est dans la posi tion représentée sur la fig. 8, en sorte que les griffes sont ouvertes, prêtes à recevoir un nouveau cliché.
Quand le tambour est arrêté et maintenu dans cette dernière position et que l'on désire fermer les griffes sur un nouveau cliché après avoir inséré ce dernier dans la rainure 185, le levier 72 est mû de sa position d'actionne-. ment représentée sur la fig. 8, dans le sens des aiguilles d'une montre, vers la position représentée sur la fig. 6. Ce mouvement du leviér 72 permet au bras à came 162 de se mouvoir vers l'intérieur, loin du rouleau 158 du bras 156, ce qui permet aux griffes 151 d'être mues par leurs ressorts 192 dans la position de fixation du cliché.
S'il arrive qu'une inégalité d'épaisseur du cliché 196 se présente ou qu'il se trouve de la saleté au- dessous de lui, en n'importe quel point où une griffe se ferme sur lui, le léger jeu prévu en 184 entre la cheville 183 de l'arbre 150 et l'extrémité de la plaque 179 permet l'é lasticité suffisante de la griffe considérée pour qu'elle s'accommode de l'épaisseur sup plémentaire sans empêcher en aucune façon la fermeture ferme des autres griffes sous l'action de la force des ressorts 192. Cela rend possible la fixation de deux clichés côte à côte, même si les clichés présentent une dif férence d'épaisseur considérable.
Le levier 72, dans son mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir de sa position d'actionnement, meut tout d'abord le rouleau 76 dans l'évidement 172, en sorte que les griffes sont libres de se fermer en ce point avant que le mouvement du levier 72 agisse pour libérer le bras de déclenche ment 138 et le bras de retenue 139. Le levier 7 2 peut ainsi être utilisé pour ouvrir et pour fermer les griffes 151 à volonté sans libérer le tambour 54 pour une rotation ultérieure.
Quand le levier 72 est mis en position pour placer le rouleau 76 dans l'évidement 172, cette position situe aussi le rouleau 75 à la jonction des surfaces de came 175 et 176 du bras à came 163. Dans cette position du levier 72, l'arbre 132 est maintenu par la bielle 136 dans une position telle qu'il main tienne la saillie 143 loin de la cheville 140. Ceci permet au ressort 142 de maintenir le bras de déclenchement 138 dans la position d'arrêt. De ce fait, si le levier 72 est mû pendant que le tambour tourne vers une posi tion d'amenée du rouleau 76 dans l'évidement 172, le tambour sera arrêté par le bras de dé clenchement 138.
Toutefois, les griffes 151 ne seront pas ouvertes à moins que le levier 7_2 soit mû dans la position représentée sur la fig. 7.
Quand le levier 72 est mû en arrière vers sa position de repos représentée sur la fig. 6, le bras 137 du moyeu 74 du levier 72 pousse vers le bas sur la bielle 136, et le bras 135 sur l'arbre 132 pour faire tourner cet arbre et libérer ainsi le bras de déclenchement 138 et le<I>bras</I> de retenue 139, en permettant au cliquet 96 de venir en prise avec la roue à rochet 81 pour une rotation ultérieure du tambour.
La bielle 131, reliant le bras 133 de l'arbre 132 au bras 128 du levier d'action- nement 110, est libérée par la rotation de l'arbre 132, et le levier d'actionnement 110 retourne à sa position normale d'arrêt, de manière à arrêter le tambour dans la position représentée sur les fig. 11 et 2, prêt à être ali menté en feuilles à imprimer.
Le mécanisme d'amenée et d'humidifica tion ides feuilles à imprimer et sa relation avec le tambour sont le mieux représentés par les fig. 2, 7, 14 et 15.
La machine est pourvue d'une table 197 pour les feuilles à imprimer, qui est fixée à une paire de saillies 198 et 199 sur les cadres latéraux 22, respectivement 23, au moyen de chevilles amovibles 200 et 201 (fig. 1). La table des feuilles à imprimer a ses bords la téraux tournés vers le bas, de façon à consti tuer des brides 202, dont l'une est représentée en fig. 2 et dont l'autre est visible sur la fig. 20.
Ces brides latérales reposent sur des fers en équerre 203 et 204 faisant saillie à partir des régions 198, 199 des cadres laté raux 22 et 23 et sont fixées sur ces saillies au moyen de vis indiquées en 205 sur la fig. 7. La table des feuilles à imprimer 197 comporte un guide-papier stationnaire 206 à l'un de ses côtés-et un guide-papier réglable <B>907</B> à son autre côté, pour aligner des liasses de feuilles à imprimer sur la table (fig. 1).
Un plateau de réception 208 est monté directement au-dessous du tambour. Il pré sente une partie crochue 209 accrochée sur un arbre 210 qui est monté sur le cadre latéral 22 de la machine. A son autre extrémité, le plateau de réception 208 est supporté par une console 211 fixée au cadre latéral. Il est évi demment entendu que le plateau de récep tion 208 est supporté des deux côtés de la' machine de .la même façon, c'est-à-dire qu'il y a un arbre de support correspondant sur le cadre latéral 23 et que la partie crochue 209 du plateau 208 s'accroche sur les extrémités de ces deux arbres de support.
Les arbres de support 210 servent de pi vots pour un cadre 212 supportant un rou leau de pression. Ce cadre de support s'étend en travers de la machine et présente à ses extrémités opposées des brides 213 et 214 (fig. 6 et 13) qui sont pourvues d'évidements rectangulaires pour recevoir des blocs de sup port 215 et 216 qui, à leur tour, supportent un rouleau de pression 217. Le rouleau 217, qui est de préférence en caoutchouc, est tou- rillonné de façon à tourner dans les blocs de support 215 et 216; ils peuvent être réglés par rapprochement ou éloignement du tam bour 54 en faisant osciller le cadre 212 au tour de son support pivotant sur ses ar bres 210.
Dans le but de régler le rouleau de pres sion, le cadre 212 est pourvu d'un bras 218 pendant vers le bas et connecté à son extré mité inférieure à une tige 219. Des écrous 220 limitent le mouvement du bras 218 dans une direction sur la tige 219, tandis qu'un ressort 221 disposé sur cette tige s'oppose élastiquement au mouvement du bras 218 dans l'autre direction. Le ressort 221 est re lativement fort; il est capable de maintenir la pression convenable sur le rouleau de pres sion 217. La tension du ressort 221 peut être modifiée grâce au réglage prévu au moyen d'un écrou 222 qui est bloqué en place par un contre-écrou 223. Un chapeau 224 pour le res sort est interposé entre le bras 218 et l'extré mité du ressort 221.
La tige 219 est reliée à un organe de support 225 (fig. 2 et 4) qui est monté sur un excentrique 226 fixé à un arbre 227 tourillonné à ses extrémités oppo sées dans les cadres latéraux 22 et 23. Une rainure 228 est prévue dans l'excentrique 226; une vis 229, prévue dans l'organe de support 225, présente une partie d'extrémité réduite 230 s'étendant dans la rainure, de manière à maintenir l'organe de support sur l'excentrique. L'arbre 227 présente, adjacent au cadre latéral 23, un collier 231 monté sur lui et pourvu d'évidements 232. Ces évide ments 232 coopèrent avec un ressort pressant une bille 233 portée par la console 26 pour maintenir l'arbre 227 dans toute position ré glée.
Une manette 234 est reliée à l'arbre 227, à l'extérieur du cadre latéral 23. Ainsi, par<B>le</B> mouvement de la manette 234, l'arbre 227 peut être tourné pour régler la position de l'excentrique 226 et, de cette façon, aug menter ou diminuer la pression du rouleau de pression contre le tambour, en mouvant le bras 218, de manière à faire osciller le cadre 212 autour de ses portées sur les arbres 210.
Un rouleau 235 d'amenée et d'humidifi-' cation combinées, construit de préférence en caoutchouc durci, est monté sur un arbre 235' et est tourillonné à ses extrémités opposées dans des blocs de support convenables 236 et 237 (fig. 7) sur le cadre latéral 22, et 238 et 239 (fig. 13) sur le cadre latéral 23. Les blocs de support 236 et 238 sont fixés direc tement aux cadres latéraux, tandis que 237 et 239 sont figés à ces cadres de la manière représentée le mieux sur la fi-. 7, au moyen de vis appropriées. Les blocs de support que l'on vient de décrire constituent également des appuis pour un arbre 240 d'un rouleau d'amenée et d'absorption combinées 241.
Ce rouleau 241 est composé de préférence d'une couche de feutre entourant l'arbre 240, de telle façon qu'elle peut absorber l'excès d'hu midité du rouleau 235 en caoutchouc durci. L'arbre 240 a la possibilité d'un mouvement vertical limité dans ses blocs de support, comme indiqué en 242 dans les fig. 6 et 13; des ressorts convenables 243 servent à solli citer l'arbre 240 vers le haut dans ses appuis, pour presser le rouleau de feutre 241 contre le rouleau d'humidification 235.
Le rouleau de feutre 241 est entraîné entièrement par contact frictionnel de sa sur face avec le rouleau de caoutchouc 235 ou avec une feuille à imprimer interposée entre ces rouleaux.
Le rouleau de caoutchouc 235 est entraîné par une roue dentée 244 fixée à l'une de ses extrémités sur l'arbre 235' du rouleau d'hu midification. La roue dentée 244 engrène avec une roue dentée 245 montée sur un arbre de support 246 fixé lui-même sur une oreille 247 faisant saillie à partir du bloc de sup port 239 (fig. 1 et 6). La roue dentée 245 en grène avec une roue dentée 248 qui est fixée à la plaque d'extrémité 79 du tambour 54 au moyen de vis appropriées 249. Ainsi, la rotation du tambour entraîne la roue dentée 248 qui, à son tour, entraîne la roue dentée, 245; cette roue 245 entraîne la roue 244 pour faire tourner le rouleau d'humidification 235.
Les engrenages sont établis de telle façon, par rapport aux circonférences du tambour 54 et du rouleau 235, qu'ils donnent au rou leau 235 une vitesse périphérique d'environ \? ô plus petite que celle du tambour 54. Ainsi, une feuille à. imprimer telle que 250 (fi-. 14) avancera sous l'action des rouleaux 235 et 241 à une vitesse légèrement plus fai ble que celle du tambour 54. Les feuilles à imprimer humidifiées sont ainsi tirées à l'é tat tendu entre le point où elles quittent les rouleaux d'amenée 235 et 241 et le point où elles sont maintenues par le rouleau de pres sion 217 et le tambour 54.
La tension appli quée -de cette façon aux feuilles à imprimer est suffisante pour empêcher un pliage des feuilles à imprimer humides, mais n'est pas suffisante pour produire une rupture de ces feuilles. Les roues dentées 244, 245 et 248 sont reliées de telle façon, et la position d'ar rêt du tambour est située de telle sorte, que le mouvement du tambour à partir de la posi tion représentée sur la fig. 14 au point où la fente 185 de griffe passe sous le rouleau de pression 217, produit une rotation suffisante du rouleau 235 pour amener une feuille à imprimer 250 de la position représentée sur la fig. 14 à la ligne d'engagement entre le rouleau de pression 217 et le tambour 54.
Des moyens sont prévus pour que la sur face du rouleau d'humidification 235 puisse être humidifiée avec la quantité convenable de solvant afin d'humidifier les feuilles à im primer 250. Ces moyens comprennent un ré cipient 251 qui est monté à ses extrémités op posées sur des consoles 252 et 253 (fig. 1). Le récipient 251 est supporté sur les consoles \?5\? et 253 au moyen d'un conduit 254 pas sant à travers la console 253 et à travers le récipient 251, de manière à faire saillie exté rieurement à travers la console 252, à son ex trémité opposée.
Le conduit 254 est fermé à l'extrémité où il passe à travers la console 252, mais à son autre extrémité il est relié, par un tuyau flexible 255, à une source de liquide (solvant) approprié que l'on décrira plus en détail ci-après. Les consoles 252 et 253 présentent des parties 256 et 257 s'éten dant vers l'arrière et constituant des arrêts pour une paire de ressorts 258 et 259, les- quels à leur autre extrémité appuient contre des oreilles 260 du récipient 251, pour solli citer ce dernier ves le rouleau d'humidifica tion 235.
Le conduit 254 présente un certain nombre de petites perforations pratiquées en lui, à l'intérieur du récipient 251, en sorte que le solvant entrant dans le récipient à tra vers ce conduit soit évacué de celui-ci. Un corps 261, en matière absorbante telle que du feutre, sert à étendre le solvant sortant du conduit 254; un second corps de feutre 262 sert à conduire le solvant du corps 261 à la surface du rouleau 235.
Le récipient 251 pré sente un évidement de drainage 263, au- dessous du corps de feutre 261, pour éviter l'accumulation d'un excès de solvant dans le récipient, excès qui gênerait l'amenée conve nable de solvant au rouleau d'humidifica tion 235.
Pour commander la vitesse d'écoulement du solvant à travers le corps de feutre 262, il est prévu une barre de pression 264 qui est fixée à l'intérieur du récipient 251 sur le corps de feutre 262 et qui est supportée au moyen de vis 265 (fig. 7), ces vis étant vissées dans la paroi du récipient 251, de telle sorte qu'elles peuvent être réglées pour sou lever et abaisser la barre 264. Ces vis sont bloquées dans toute position réglée au moyen de contre-écrous 266. Ainsi, la vitesse d'écou lement du solvant sur le rouleau de caout chouc 235 peut être mesurée très exactement en faisant varier la compression du corps de feutre 262.
Les consoles 252 et 253 présentent également, à leurs bords extérieurs, une paire de guides 267 et 268 pour les feuilles à im primer; ces guides s'étendent vers l'extérieur et vers le haut sur la table 197 des feuilles à copier.
Le récipient 251 est fermé par un couver cle 269 s'étendant sur le haut du récipient et présentant une partie 270 s'étendant vers le bas sur le rouleau d'humidification 235, pour le protéger de la poussière par exemple. Ce couvercle peut évidemment être enlevé quand on le désire, pour permettre l'accès à l'intérieur du récipient 251.
La question de l'amenée du liquide aux moyens d'humidification formés par le ré cipient 251, les corps de feutre 261 et 262 et le rouleau d'humidification 235, est de grande importance. Si, à un certain moment, il est fourni trop de liquide, il y aura alors naturellement une humidification trop consi dérable. Si une quantité d'humidité trop pe tite est fournie, alors le rouleau d'humidifi cation 235 n'humidifiera pas suffisamment les feuilles à imprimer et les copies que l'on obtiendra seront de mauvaise qualité.
De plus, si la machine reste à vide pendant un laps de temps considérable, les corps de feu tre se dessèchent à moins que l'amenée de fluide soit laissée ouverte; dans ce cas, du fluide sera perdu par suite de son évapora tion continuelle.
Pour éviter ces inconvénients, la machine représentée est munie de moyens par lesquels une quantité mesurée de fluide est fournie aux moyens d'humidification à chaque rota tion du tambour. De plus, on peut remplir au début les moyens d'humidification, après que ceux-ci sont devenus secs, sans qu'il soit né cessaire de faire tourner le tambour et de perdre des copies.
Ce mécanisme d'amenée du liquide com prend un récipient à liquide 271 (fig. 20 et 21 et- fig. 4) qui est monté sur des consoles convenables 272 et 273 portées par les con soles 25 et 26. Le récipient 271 présente à son intérieur un cylindre de pompe 274 pourvu d'un piston 275 sollicité vers le bas par un ressort 276 et tiré vers le haut au moyen d'une- tige de piston 277 présentant une tête 278. L'intérieur du cylindre com munique avec l'intérieur du récipient 271 au moyen d'ouvertures 279 situées près du bas du récipient 271 et espacées tout autour du cylindre 274.
Le liquide est déversé à partir du cylindre 274 à travers un orifice 280 qui est normalement fermé par une soupape de retenue<B>281.</B> Le fluide déversé est conduit vers le haut par un canal 282,à une chambre d'échappement 283 qui, comme représenté sur la. fig. 1, est montée d'un côté de la machine, juste à l'intérieur du cadre latéral 23. La chambre 283 est une chambre de décompres sion empêchant le liquide .d'être déchargé à travers le tuyau flexible 255 et le conduit 254 avec une trop grande force. Cette chambre est suffisamment grande pour satisfaire à une seule course de la. pompe sans déborde ment à travers un conduit de trop-plein 284 prévu sur elle.
Ainsi cette chambre com mande le liquide dans une mesure telle que la seule pression régnant sur celui-ci quand il s'écoule dans la conduite 254 est la pression due à la chute de hauteur de la chambre 283 à la conduite 254, ce qui est relativement pe tit. La chambre de drainage 263 du récipient 251 déverse son contenu dans le récipient 271 au moyen d'un conduit 285 (fig. 20). L'excès de liquide pourrait également être évacué vers tout autre point. La tige de piston 277 est actionnée par un bras de levier 286 qui est fourchu pour s'engager sous la tête 278 et qui est pivoté, au moyen d'une cheville 287, sur le cadre latéral 23 de la machine.
Un bras d'entraînement 288 est relié ri gidement au bras de levier 286, pour l'ac tionner. Ce bras d'entraînement est actionné par la came 69 qui est fixée à l'arbre de tam bour 53, comme représenté sur la fig. 3. Le bras 288 présente sur lui un rouleau 289 fai sant saillie à travers une ouverture 290 du cadre latéral 23 et chevauchant la came 69. Ainsi, chaque rotation de la came 69 a pour effet de mouvoir le bras 288 et le levier 286 vers le haut à partir de la position représen tée sur la fig. 20 jusqu'à celle représentée sur la fig. 21.
Quand la came se meut de nouveau vers la position représentée sur la fig. 20, le ressort 276 force le piston 275 vers le bas, pour déverser le liquide qui est entré dans le cylindre 274 par l'ouverture 279.
La quantité de fluide déversée à chaque course de la pompe est réglée en limitant le mouvement du piston 274 vers le bas en ré ponse à la pression du ressort 276. Cela est réalisé en prévoyant sur le cadre latéral 23 un organe régulateur comprenant un arbre 291 présentant, à l'intérieur du cadre 23, un excentrique 292, monté sur lui et prévu pour coopérer avec la partie d'extrémité arrière 293 du levier 286, de manière à limiter le mouvement de cette partie vers le haut et à limiter ainsi le mouvement vers le bas de l'ex trémité fourchue du levier 286 qui porte sur elle la tête de la tige de piston 278.
A l'exté rieur du cadre latéral 23 est prévu un bou ton de réglage 294 (voir particulièrement la fi-. 4). L'arbre 291 est coulissant axialement dans le cadre latéral 23 et un ressort 295 est interposé entre l'excentrique 292 et le cadre latéral 23, de manière à maintenir normale ment l'arbre dans la position représentée sur la fi-. 4. Un certain nombre d'ouvertures 296, incliquées le plus clairement sur la fig. 5, sont prévues dans le cadre latéral 23 et une cheville 297 est prévue sur le bouton 294 pour s'engager dans ces ouvertures.
Ainsi, en tirant le bouton 294 et en le tournant, la po sition de l'excentrique 292 peut être modifiée, pour faire varier la course du piston 275 et, ainsi, la quantité de liquide qui sera pom pée à chaque course du piston.
Quand la machine a été inutilisée pendant un laps de temps considérable, suffisant pour dessécher les corps de feutre 261 et 262, elle ne fonctionnerait pas convenablement, pen dant un certain nombre de tours, si on la fai sait partir sans avoir tout d'abord fourni une certaine quantité de solvant au récipient 251. A cet effet, des moyens sont prévus, gràce auxquels cela peut être facilement réalisé, en actionnant simplement le piston 275 de la pompe à l'aide de la main.
Dans ce but, une barre d'actionnement 298 est montée sur le cadre latéral 23 au moyen d'une fente 299 et d'une cheville 300 pourvue d'une tête, la barre étant guidée par une encoche conve nable, eu 301, dans une bride latérale 23' de ce cadre. Un rouleau 302 est porté sur l'extrémité intérieure de la barre 298 pour venir en prise avec la face arrière du bras 288.
Ainsi, quand l'opérateur désire mettre la machine en marche, en pompant une quan tité de solvant suffisante dans le récipient 251, pour humidifier convenablement les corps de feutre se trouvant à son intérieur, il saisit simplement une manette 303 prévue à l'extrémité extérieure de la barre 298 et tire la barre et la libère un certain nombre de fois, pour pomper la quantité de liquide re quise.
Comme représenté le mieux sur la. fig. 3, le cadre latéral 22 et le cadre 23 sont pour vus d'une paire de plaques métalliques de garde 304 et 305, s'étendant sur le mécanisme aux extrémités du tambour 54, de mani@'sre à le protéger de la poussière et de la saleté. La plaque de garde 305 présente une ouver ture 306 pour le levier à main 72.
La machine est pourvue d'une table 307 de guidage -des clichés, représentée le mieux sur les fig. 1 et 2. Cette table de guidage présente des brides latérales 308 et 309 (fig. 20), qui sont boulonnées respectivement sur les cadres latéraux 22 et 23. Cette ta ble, en vue de permettre rapidement accès au mécanisme se trouvant au-dessous de lui, pré sente une partie articulée 310, pivotée en<B>311</B> sur la table 307, de façon qu'elle puisse être soulevée sans difficulté hors de la position où elle gêne cet accès.
Le fonctionnement de la machine repré sentée sera sans doute évident, étant données les explications précédentes. Il peut toutefois être utile d'avoir l'indication complète d'une opération sous une forme condensée.
Après qu'un certain nombre de copies a été effectué, la machine peut être laissée dans la position représentée à la fig. 2. Si mainte nant un opérateur désire utiliser la machine à nouveau et si l'ancien cliché a été laissé sur la machine, il désirera naturellement enlever cet ancien cliché et mettre en place un nou veau cliché. De même, si la machine a été laissée au repos pendant un long laps de temps, il sera nécessaire de voir si le méca nisme d'humidification se trouve dans de bonnes conditions pour fonctionner.
En soulevant le couvercle 269 du méca nisme d'humidification, l'opérateur peut voir si les corps de feutre 261 et 262 sont humides ou non. Si les corps de feutre réclament da vantage de liquide, l'opérateur agit un cer tain nombre de fois sur le levier 298 afin que la pompe amène du liquide à travers le con- duit 282, la chambre 283, le tuyau flexible 255, le conduit 254 et dans le récipient 251.
Si, ensuite, l'opérateur désire placer un nouveau cliché sur la machine, il fait tourner le moteur 27 et tire le levier 72 vers l'avant de la machine pour relier le cliquet 96 à la roue à rochet 81 en libérant le bras de dé clenchement<B>116</B> et le bras de retenue 122. Le mouvement du levier 72 par l'opérateur met également en place le bras à came 163 pour qu'il coopère avec le rouleau 158 du bras 156, de .façon que, lorsque le rouleau 158 chevau che le bras à came 163, l'arbre 150 portant le bras 156 et les griffes 151 meuvent les griffes vers l'extérieur pour éjecter l'ancien cliché du tambour. Lorsque le tambour conti nue à tourner, le rouleau 158 quittera le bras à came 163 et chevauchera le bras à came 162, de manière à ouvrir de nouveau les griffes.
Quand le tambour a atteint la posi tion représentée sur les fig. 8 et 17, il sera arrêté dans cette position par la coopération de la saillie 96' du cliquet 96 avec la butée 149 du bras -de déclenchement 138 (fig. 13). La butée 149 vient également en prise avec l'épaulement 105 du bloc 104 et le bras du cliquet 139 tombe dans le logement 123 de la plaque 99 pour arrêter ainsi le tambour et le maintenir contre la rotation.. L'opéra teur peut alors insérer un cliché dans les griffes ouvertes, comme représenté à la fig. 17, en utilisant la table 307 comme un guide pour le cliché.
L'opérateur peut maintenant ramener le le vier 72 dans sa position normale, qui est celle représentée sur la fig. 6, ce qui a pour résul tat la libération du cliquet 96 du bras de dé clenchement 138 et aussi la libération de la plaque 99 du bras -de retenue 139. Le cliquet 96 est mû en prise avec la roue à rochet 81 par le ressort l02'. Le retour du levier 72 libère également, par l'intermédiaire de la bielle 131, le bras de déclenchement 116 et le bras de retenue 122, de sorte qu'ils vien nent en position pour arrêter le tambour lors que la partie 96' du cliquet 96 arrive à la butée 117 prévue sur le bras de déclenche ment 116.
Durant cette partie de la rotation du tambour 54, la roue dentée 248 a évidem ment entraîné le pignon 245, de manière à produire la rotation de la roue dentée 244 sur l'arbre 235' -du rouleau d'humidification 235, de sorte que ce rouleau et son rouleau de feutre associé 241 soient tournés suffisam ment pour humecter la surface du rouleau d'humidification par sa coopération avec le corps -de feutre 262.
La machine est maintenant prête à pro duire des copies. L'opérateur peut amener une feuille à imprimer sur la table 197, aux rouleaux 235 et 241. Il presse alors vers le bas la barre 113 pour libérer le bras de dé clenchement 116 et le bras de retenue 122, en sorte que le cliquet 96 vienne en prise avec la roue à rochet 81 pour mettre le -tambour 54 en rotation. Le tambour terminera une ro tation et sera amené de nouveau à l'arrêt par la venue en prise de la saillie 96' du cli- quet 96 avec la butée<B>117</B> du bras de déclen chement 116. Durant cette rotation unique.
la came 69 de l'arbre de tambour déplacera le bras 288 pour produire une course du pis ton 275 :de la pompe, pour fournir ainsi une quantité mesurée de liquide aux corps de feu tre se trouvant dans le-récipient 251. La con fection de copies peut être continuée par l'o pérateur, en insérant simplement de nouvelles feuilles à imprimer entre les rouleaux 235 et 241 et en agissant sur la barre 113 pour libé rer le tambour. Si la machine est laissée ar rêtée pendant un court laps de temps, elle restera en bonne condition de marche parce que les moyens d'humidification ne se dessè- cheront pas très rapidement.