Procédé d'assemblage de parties constituantes de mobiles d'horlogerie sur l'axe dudit mobile et mobile d'horlogerie obtenu selon ce procédé. Les roues de même que les plateaux. de mouvements d'horlogerie sont à l'heure actuelle généralement chassés à force sur la tige lisse du pignon ou de l'axe du balancier. Cette ma nière de faire ne présente pas de difficultés et donne un bon résultat lorsque les roues et les plateaux en question -- ou d'autres pièces -- sont en métal tendre, en laiton ou en nickel, par exemple.
De telles pièces se fixent de cette façon solidement et rapidement sans risque d'abî mer quoi que ce soit et le pourtour des roues et des plateaux reste concentrique.
Il n'en est plus de même lorsque les roues et les plateaux à figer sont en acier trempé, comme c'est souvent le cas pour les roues et les plateaux d'échappement. Une différence d'un demi à trois quarts de cen tième de millimètre entre le diamètre du trou de ces fournitures et celui de l'ajuste ment du pignon ou de l'axe du balancier est alors nécessaire pour que cette opération s'exécute normalement. Une petite différence, en moins ou ci) plus, suffit pour que la roue ou le plateau ne tienne pas suffisamment ou bien qu'il ne soit pas possible de les fixer au bon endroit sans détériorer l'une ou même les deux fournitures composant le couple.
Pour éviter cela, les roues sont "re- venues" plus qu'il convient pour un bon fonctionnement afin de pouvoir agrandir leur trou convenablement avec un équarrissoir, de façon à associer chacune d'elles au pignon par ce même procédé et avec la précision exigée.
Afin de supprimer cette opération coû teuse et tous les ennuis qui en découlent (roues décentrées et gauchies surtout), quel ques fabriques suisses et américaines bou chent leurs roues en acier.
Ces bouchons, généralement en laiton ou en nickel, se font avec ou sans portée ou assise pour la roue. Lorsque le bouchon possède une assise, la roue est figée au bouchon par un rivage pratiqué du côté de son ajustement. Le bouchon sans portée est prévu un peu plus épais que la roue pour pouvoir le river par écrasement des deux côtés à la fois, au moyen d'une presse, par exemple. Dans un cas comme dans l'autre, la fixation de ces bouchons, préalablement à l'assemblage de la roue avec l'arbre du pignon, est difficile du fait de la faible épaisseur des roues et du fini exigé pour celles-ci. D'autre part, il est évident qu'il faut ensuite rectifier le trou de la roue d'après sa denture, quels que soient le moyen et les précautions prises pour accoupler soli dement la roue et le bouchon en question.
Lors de cette rectification qui s'exécute habi tuellement à l'étampe pour obtenir la pré cision nécessaire pour le diamètre du trou, précision indispensable mais impossible à obtenir par tournage ou par alésage. final, il suffit d'un rien, d'un défaut d'étampe prati quant des trous obliques ou avec cassure, par exemple, ou d'un bouchon insuffisam ment ou mal fixé, pour que la roue ne tourne pas rond une fois chassée sur son pignon et soit par conséquent inutilisable.
Avec de petites roues d'échappement dont les trous ont un diamètre inférieur à vingt-huit centièmes de millimètre, par exemple, les ennuis provenant de cette faon de procéder sont très fréquents et coûteux.
La présente invention a pour but d'y remédier et, pour cela, on prévoit le trou central de la roue de diamètre sensiblement plus grand que la partie du pignon sur le quel elle sera fixée et cela par l'intermé diaire d'un canon fini, avec ou sans assise pour la roue, de forme, de dimensions et de métal appropriés, que nous dénommerons canon d'assemblage. La roue et ledit cation d'assemblage sont donc deux pièces distinctes qui sont accouplées au moment de les assembler en les chassant simplement simul tanément sur leur axe, il n'est donc plus question de rivage avec ce procédé d'assem blage, la roue est complètement fabriquée indépendamment du cation d'assemblage.
II est représenté, à titre d'exemple, au dessin annexé, un certain nombre de formes d'exécution de mobiles de mouvement d'hor logerie fabriqués selon le procédé objet de l'invention.
Dans chaque figure, il est montré d'abord, en coupe, la roue fixée sur l'axe du pignon et, au-dessous, séparément, la roue et le canon d'assemblage employé pour sa fixation. Dans les fig. 1 à 6, il s'agit partout de roues à fixer sur l'axe du pignon. Dans les fig. 7 et 8, il s'agit de la fixation de pla teaux sur l'axe du balancier et, dans les fig. 9, 10, 11 et 12, de la fixation de ba lanciers, respectivement de balancier et de plateaux sur des arbres de balancier. Les parties analogues sont désignées par des mêmes lettres.
Dans le cas de la fig. 1, la roue a pos sède un trou de diamètre beaucoup plus grand que celui qui serait nécessaire pour y faire passer l'arbre b du pignon e. On assemble ces pièces au moyen d'un canon d'assemblage d, que l'on introduit dans le trou de la roue au moment de les chasser â force sur leur axe commun; jusqu'à ce que la roue s'appuie contre les ailes du pignon, prises comme base.
II est facile de se présenter de quelle façon la roue est parfaitement fixée et orien tée : le diamètre du trou de la roue, le dia mètre du canon concentrique d'assemblage et son forage sont choisis d'après le dia mètre de l'arbre, puis, le métal utilisé pour le canon ayant un coefficient d'élasticité plus faible que celui dudit arbre, la paroi du canon d'assemblage cède donc lorsqu'on enfonce dans ce dernier la tige du pignon. Il en résulte une<B>'</B> expansion à laquelle est opposée, par suite, une résistance de la roue, réaction suffisante pour coincer, c'est-à- dire assembler, parfaitement celle-ci, sur la tige du pignon.
La roue n'étant plus rivée au canon, comme cela était toujours le cas jusqu'ici, pourra donc se mouvoir en même temps comme à la cardan et .prendre la position voulue. Dans la fig. 2 du dessin, l'assise du canon d'assemblage est seulement orientée différemment que dans le cas de la fig. 1. A part cela, le phénomène de fixation est le même.
La fig. 3 montre une autre forme d'exé cution dans laquelle l'assise du canon d'as semblage est conique pour donner à la roue toute la liberté possible de bien s'orienter sur son axe pendant le processus d'assem blage.
Dans l'exemple de la fg. 4, le canon d'assemblage indépendant est un tube sans assise ou portée, ayant par contre les mêmes particularités que celui des fig. 1; 2 et 3 pour ce qui est de son diamètre extérieur et de son forage par rapport au trou de la roue et au diamètre de la tige du pignon. Ce tube d'assemblage se chasse de même simultanément, avec la roue, sur l'ajustement du pignon au moyen d'un outil combiné lui faisant prendre d'emblée aussi la bonne position contre une de ses faces.
Dans la fig. 5, il est prévu à la roue une légère empreinte correspondant aux ailes du pignon <B>su</B>r lequel elle doit être fixée, cette empreinte l'empêche de .,tourner sur l'axe.
En fig. 6, l'empreinte, exécutée à l'étampe ou par fraisage, du côté opposé aux ailes du pignon, a le même but ; ici, c'est l'as sise conique du canon qui pénètre dans ces encoches, pour claveter la roue.
Pour fixer la roue art moyen d'un canon d'assemblage indépendant, conformément à l'invention, cri pourrait encore utiliser , pour cela un carton conique s'emboîtant dans urr cône correspondant de la roue; une empreinte, pour assurer l'assemblage du tout, comme en fig. 5, serait alors toute indiquée.
Le procédé de fixation de roues décrit a sur ceux existant les avantages suivants l0 Facilité de terminaison de la roue parce que sort trou est relativement grand.
2o Suppression du - rivage du bouchon, opération qui présente toujours de grosses difficultés et ne réussit pas toujours. <B>30</B> Suppression de la rectification du trou du bouchon, après son rivage.
40 La roue acier peut être laissée dure, pour assurer une bonne fonction, puisqu'il n'est plus nécessaire de l'ajuster avec un équarrissoir.
<B>50</B> La roue se mettra plate automatique ment parce qu'elle n'est plus rivée à un bouchon dont le trou laisse souvent à dési rer; dans les bouchons rivés, avec trou rec tifié à l'étampe, celui-ci est en effet souvent oblique ou pas cylindrique sur toute sa lon gueur de sorte que, comme c'est lui qui commande la position de la roue, celle-ci tournera mal rond. 6o Suppression du visitage et du redres- sage des roues mal plates.
7o Facilité de placer la roue aussi bien contre la face des ailes de pignon qu'à un endroit déterminé de l'ajustement prévu à celui-ci.
8o Utilisation immédiate d'une roue déjà employée. Si pour une raison ou pour une autre, le pignon est rebuté (ce qui est fré quent dans la fabrication en grande série) ou que la roue soit déchassée du pignon, celle-ci est en état d'être de nouveau utilisée immédiatement avec l'emploi d'un autre tube ou cation d'assemblage. Lorsqu'il S'agit d'une roue avec bouchon, le trou de ce der nier s'étant évidemment agrandi, il faut d'a bord l'enlever pour en river un autre, finir à nouveau l'un ou les deux côtés de la roue (si sort épaisseur le permet encore), puis procéder à la rectification du trou.
Ces opérations s'effectuant généralement par des spécialistes - les fabricants d'assortiments - avec un outillage spécial et précis, il s'ensuit dans les cas précités que les roues et les pignons s'en vont le plus souvent aux rebuts.
9o Un autre avantage, et pas le moindre, consiste en ce qu'il suffit d'avoir un stock de canons d'assemblage finis, stock peu coûteux, dont le trou varie par quart ou demi-centième de millimètre, pour être à même de pouvoir utiliser sans ennuis n'importe quelle série de pignons dont l'âjus- tement pourrait être un peu faible ou un peu fort.
Pour satisfaire à ces exigences avec le bouchon rivé, il faut un stock de roue avec toute cette gamme de trous.
La présente invention trouve aussi une application très intéressante dans la fixation du ou des plateaux de l'échappement sur l'axe de balancier. Lorsque ces plateaux sont en acier, leur fixation nécessite un ajuste ment préalable comme cela est indiqué au début de la description. Il n'est pas d'usage de garnir ces plateaux d'un bouchon central en laiton ou en nickel, rivé avant que le ou les plateaux soient chassés sur l'axe. Pour ces plateaux aussi on peut, selon le procédé revendiqué, prévoir le trou du ou des pla teaux d'un diamètre sensiblement plus grand que la partie de l'axe sur lequel le ou les plateaux seront fixés et cela par l'intermé diaire de canons d'assemblage, avec ou sans assise pour le ou les plateaux.
Plateau et canons sont, comme dans le cas de la fixa tion de la roue sur le pignon, deux pièces distinctes qui s'accouplent au moment de leur assemblage en les chassant simultané ment sur leur axe.
Dans le cas de la fig. 7, le grand pla teau g, en laiton ou en nickel, est chassé directement sur l'axe b ; par contre, le petit plateau h. est en acier et possède un trou beaucoup plus grand que celui qui serait nécessaire pour y faire passer la partie ; de l'axe. On assemble le tout au moyen d'un canon d'assemblage d que l'on introduit dans le trou du petit plateau au moment de le chasser à force sur l'axe commun des deux plateaux jusqu'à ce que le canon d s'appuie contre le grand plateau pris comme base. Ce canon d, tout en servant d'inter médiaire pour l'assemblage permet de placer 1e petit plateau à une distance exacte du grand plateau.
Dans la fig. 8 du dessin, le grand pla teau g en acier est également fixé sur l'axe b au moyen d'un canon d'assemblage d; à part cela, le mode de fixation du petit pla teau est identique à celui de la fig. 7 déjà décrit.
Dans la fig 9 du dessin, le canon d'as semblage d comporte une assise et, au mo ment de l'assemblage, est arrêté par une portée de l'axe b, ce qui détermine exacte ment l'emplacement du petit plateau.
Dans la fig. 10, un canon d'assemblage d', analogue au canon d du petit plateau, sert à la fixation du grand plateau g sur l'axe b.
La présente invention peut. également être appliquée à la fixation du balancier bi- ou monométallique sur son axe, sur lequel il est généralement maintenu par une sorte de rivure pratiquée à l'axe. Ce système de fixation laisse beaucoup à désirer; malgré les précautions prises, toutes les fabriques rencontrent les mêmes ennuis et connaissent les grosses pertes provenant des rebuts oc casionnés par cette manière de faire.
Si, pour une raison ou pour une autre, le balancier tourne "mal rond", non seule ment il est difficile d'en trouver cause, mais il est certain que même si 1a faute est im putable au balancier, celui-ci ne pourra plus être rendu au fabricant du fait que le trou a été déformé par le rivage.
En fixant les balanciers sur leur axe par l'intermédiaire d'un canon d'assemblage, le fabricant pourra toujours facilement déter miner si ce sont des défauts à l'axe ou au balancier qui provoquent le "mal rond" en question et, cas échéant, retourner au four nisseur le balancier qui est resté intact.
Les avantages de ce moyen de fixation pour le rhabilleur sont également évidents Dans les fig. 9, 10, 11 et 12,<B>-</B>on em ploie donc aussi un canon d'assemblage d introduit dans le trou du balancier k au moment de chasser les deux pièces à force sur leur axe commun, jusqu'à ce que le ba lancier s'appuie contre l'assiette 1 (fig. 9, 10 et 11) ou contre le grand plateau y (fig. 12). Le canon eu question pourrait aussi être prévu avec une portée, ce qui permettrait de fixer le balancier à la hauteur désirée avec un outil approprié.
A method of assembling constituent parts of timepieces on the axis of said mobile and timepiece mobile obtained by this process. The wheels as well as the chainrings. Clock movements are currently generally driven by force on the smooth rod of the pinion or the axis of the balance. This procedure does not present any difficulties and gives a good result when the wheels and the chainrings in question - or other parts - are made of soft metal, brass or nickel, for example.
Such parts are fixed in this way securely and quickly without risk of damaging anything and the periphery of the wheels and chainrings remains concentric.
This is no longer the case when the wheels and the plates to be set are made of hardened steel, as is often the case for the wheels and the exhaust plates. A difference of one half to three quarters of a cent of a millimeter between the diameter of the hole of these supplies and that of the adjustment of the pinion or the axis of the balance is then necessary for this operation to be carried out normally. A small difference, in less or 1) more, is enough for the wheel or the plate not to hold sufficiently or it is not possible to fix them in the right place without damaging one or even the two supplies composing the couple.
To avoid this, the wheels are "returned" more than is necessary for a good operation in order to be able to enlarge their hole suitably with a squarer, so as to associate each of them with the pinion by this same process and with the precision. required.
In order to do away with this costly operation and all the problems which ensue (especially off-center and warped wheels), some Swiss and American factories are plugging their steel wheels.
These plugs, generally in brass or nickel, are made with or without a bearing or seat for the wheel. When the cap has a seat, the wheel is fixed to the cap by a shore made on the side of its adjustment. The cap without bearing is provided a little thicker than the wheel to be able to rivet it by crushing on both sides at the same time, by means of a press, for example. In either case, fixing these plugs, prior to assembling the wheel with the pinion shaft, is difficult because of the thinness of the wheels and the finish required for them. On the other hand, it is obvious that it is then necessary to rectify the hole of the wheel according to its toothing, whatever the means and the precautions taken to firmly couple the wheel and the plug in question.
During this grinding which is usually carried out with a die-stamp to obtain the precision necessary for the diameter of the hole, an essential precision which cannot be obtained by turning or by boring. In the end, all it takes is nothing, a stamp defect making oblique or broken holes, for example, or an insufficiently or poorly fixed plug, so that the wheel does not turn round once driven out on its pinion and is therefore unusable.
With small escape wheels the holes of which are less than twenty-eight hundredths of a millimeter in diameter, for example, trouble arising from this way of proceeding is very frequent and expensive.
The object of the present invention is to remedy this and, for this, there is provided the central hole of the wheel with a diameter appreciably larger than the part of the pinion on which it will be fixed and that by the intermediary of a barrel. finished, with or without a seat for the wheel, of suitable shape, dimensions and metal, which we will call assembly barrel. The wheel and said assembly cation are therefore two distinct parts which are coupled at the time of assembly by simply driving them simultaneously on their axis, so there is no longer any question of shore with this assembly process, the wheel is completely made regardless of the assembly cation.
There is shown, by way of example, in the appended drawing, a certain number of embodiments of clock movement mobiles manufactured according to the method which is the subject of the invention.
In each figure, it is shown first, in section, the wheel fixed on the pinion axis and, below, separately, the wheel and the assembly barrel used for its fixing. In fig. 1 to 6, they are everywhere wheels to be fixed on the pinion axis. In fig. 7 and 8, it is about the fixing of plates on the axis of the balance and, in fig. 9, 10, 11 and 12, of the fixing of ba lancers, respectively of balance and plates on balance shafts. Similar parts are designated by the same letters.
In the case of fig. 1, the wheel has had a hole of much larger diameter than that which would be necessary to pass the shaft b of the pinion e through it. These parts are assembled by means of an assembly barrel d, which is introduced into the hole in the wheel when they are forced out on their common axis; until the wheel rests against the sprocket flanges, taken as a base.
It is easy to see how the wheel is perfectly fixed and oriented: the diameter of the hole of the wheel, the diameter of the concentric assembly barrel and its borehole are chosen according to the diameter of the shaft. , then, the metal used for the barrel having a coefficient of elasticity lower than that of said shaft, the wall of the assembly barrel therefore gives way when the pinion rod is pushed into the latter. This results in a <B> '</B> expansion which is consequently opposed by a resistance of the wheel, reaction sufficient to wedge, that is to say to assemble, perfectly, on the rod of the wheel. pinion.
As the wheel is no longer riveted to the barrel, as has always been the case until now, it will therefore be possible to move at the same time as with the cardan joint and to take the desired position. In fig. 2 of the drawing, the seat of the assembly barrel is only oriented differently than in the case of fig. 1. Apart from that, the fixation phenomenon is the same.
Fig. 3 shows another embodiment in which the seat of the assembly barrel is conical to give the wheel all the possible freedom to orient itself on its axis during the assembly process.
In the example of fg. 4, the independent assembly barrel is a tube without seat or scope, having on the other hand the same features as that of FIGS. 1; 2 and 3 in terms of its outside diameter and its bore in relation to the hole in the wheel and the diameter of the pinion shank. This assembly tube is likewise driven out simultaneously, with the wheel, on the adjustment of the pinion by means of a combined tool making it also immediately take the correct position against one of its faces.
In fig. 5, the wheel has a slight indentation corresponding to the flanges of the pinion <B> su </B> r to which it is to be fixed, this indentation prevents it from turning on the axle.
In fig. 6, the impression, made by stamping or by milling, on the side opposite the pinion flanges, has the same purpose; here, it is the conical seat of the barrel which penetrates into these notches, to key the wheel.
To fix the wheel by means of an independent assembly barrel, according to the invention, cri could still use, for this a conical cardboard fitting into urr corresponding cone of the wheel; a footprint, to ensure the assembly of the whole, as in fig. 5, would then be appropriate.
The described method of attaching wheels has the following advantages over existing ones: Ease of terminating the wheel because the hole is relatively large.
2o Removal of the - shore of the plug, an operation which always presents great difficulties and does not always succeed. <B> 30 </B> Removed the grinding of the plug hole, after its shore.
40 The steel wheel can be left hard, to ensure a good function, since it is no longer necessary to adjust it with a squarer.
<B> 50 </B> The wheel will go flat automatically because it is no longer riveted to a plug, the hole of which often leaves something to be desired; in riveted stoppers, with hole rec tified with the stamp, this is in fact often oblique or not cylindrical over its entire length so that, as it is he who controls the position of the wheel, the latter will go wrong. 6o Elimination of inspection and straightening of badly flat wheels.
7o Ease of placing the wheel as well against the face of the pinion flanges as at a determined location of the adjustment provided for it.
8o Immediate use of a wheel already in use. If for one reason or another the pinion is discarded (which is frequent in mass production) or the wheel is detached from the pinion, it is ready to be used again immediately with the use of another tube or assembly cation. When it comes to a wheel with a cap, the hole in the latter having obviously enlarged, it must first be removed to rivet another, finish again one or both sides. wheel (if the thickness is still sufficient), then proceed to grinding the hole.
Since these operations are generally carried out by specialists - the manufacturers of sets - with special and precise tools, it follows in the aforementioned cases that the wheels and the pinions usually go to waste.
9o Another advantage, and not the least, is that it is enough to have a stock of finished assembly barrels, inexpensive stock, the hole of which varies by quarter or half-hundredth of a millimeter, to be able to to be able to use without trouble any series of pinions whose adjustment could be a little weak or a little strong.
To meet these requirements with the riveted cap, you need a wheel stock with this whole range of holes.
The present invention also finds a very interesting application in the fixing of the plate or plates of the escapement on the balance axis. When these plates are made of steel, their fixing requires prior adjustment as indicated at the beginning of the description. It is not customary to furnish these plates with a central stopper in brass or nickel, riveted before the plate (s) are driven out on the axis. For these plates also it is possible, according to the claimed method, to provide the hole in the plate (s) with a diameter appreciably greater than the part of the axis on which the plate (s) will be fixed and that by the intermediary of assembly barrels, with or without seat for the tray (s).
Plate and barrels are, as in the case of the fixing of the wheel on the pinion, two distinct parts which are coupled at the time of their assembly by driving them simultaneously on their axis.
In the case of fig. 7, the large plate g, made of brass or nickel, is driven directly on the axis b; on the other hand, the small plate h. is made of steel and has a hole much larger than that which would be necessary to pass the part through it; of the axis. The whole is assembled by means of an assembly barrel d which is introduced into the hole of the small plate when driving it out by force on the common axis of the two plates until the barrel d s leans against the large plateau taken as a base. This barrel d, while serving as an intermediary for assembly, allows the small plate to be placed at an exact distance from the large plate.
In fig. 8 of the drawing, the large steel plate g is also fixed on the axis b by means of an assembly barrel d; apart from that, the method of fixing the small plate is identical to that of fig. 7 already described.
In fig 9 of the drawing, the assembly barrel d has a seat and, at the time of assembly, is stopped by a scope of the axis b, which exactly determines the location of the small plate.
In fig. 10, an assembly barrel d ', analogous to the barrel d of the small plate, serves to fix the large plate g on the axis b.
The present invention can. also be applied to the fixing of the bi- or monometallic balance on its axis, on which it is generally held by a kind of rivet made to the axis. This fastening system leaves a lot to be desired; in spite of the precautions taken, all the factories encounter the same problems and know the big losses resulting from the rejects oc broken by this way of doing things.
If, for one reason or another, the balance wheel turns "badly", not only is it difficult to find the cause, but it is certain that even if the fault is imputable to the balance, the latter cannot. no longer be returned to the manufacturer because the hole was warped by the shore.
By fixing the balances on their axis by means of an assembly barrel, the manufacturer will always be able to easily determine whether it is faults in the axis or in the balance which cause the "bad round" in question and, if if necessary, return the balance which has remained intact to the furnace.
The advantages of this fixing means for the dresser are also evident in FIGS. 9, 10, 11 and 12, <B> - </B> we therefore also use an assembly barrel d introduced into the hole in the balance k when driving the two parts by force on their common axis, until that the ba lancer rests against the plate 1 (fig. 9, 10 and 11) or against the large plate y (fig. 12). The barrel in question could also be provided with a scope, which would allow the balance to be fixed at the desired height with an appropriate tool.