CH125214A - Procédé de fabrication de carburants artificiels pour moteurs à explosion. - Google Patents

Procédé de fabrication de carburants artificiels pour moteurs à explosion.

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CH125214A
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Annaratone Dr Duilio
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C10PETROLEUM, GAS OR COKE INDUSTRIES; TECHNICAL GASES CONTAINING CARBON MONOXIDE; FUELS; LUBRICANTS; PEAT
    • C10LFUELS NOT OTHERWISE PROVIDED FOR; NATURAL GAS; SYNTHETIC NATURAL GAS OBTAINED BY PROCESSES NOT COVERED BY SUBCLASSES C10G, C10K; LIQUEFIED PETROLEUM GAS; ADDING MATERIALS TO FUELS OR FIRES TO REDUCE SMOKE OR UNDESIRABLE DEPOSITS OR TO FACILITATE SOOT REMOVAL; FIRELIGHTERS
    • C10L1/00Liquid carbonaceous fuels
    • C10L1/02Liquid carbonaceous fuels essentially based on components consisting of carbon, hydrogen, and oxygen only

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  • Organic Chemistry (AREA)
  • Liquid Carbonaceous Fuels (AREA)
  • Production Of Liquid Hydrocarbon Mixture For Refining Petroleum (AREA)

Description


  Procédé de fabrication de carburants artificiels pour moteurs à explosion.    Dans les moteurs ordinaires pour véhi  cules automobiles le carburant n'est. pas com  plètement vaporisé par le carburateur. Une  partie du carburant entre dans le moteur à  l'état de très petites gouttelettes, soit à  cause du parcours trop     court        entre    le carbura  teur et le moteur, soit par suite du refroi  dissement de l'air carburé, refroidissement  qui se produit par l'évaporation du carbu  rant. Ces gouttelettes se transforment plus  <B>011</B> moins complètement en vapeur seulement       lorsqu'elles    viennent en contact avec les pa  roi; chauffées du cylindre du moteur et par  suite du chauffage produit par la compres  sion.

   Si le carburant a, un point d'ébullition       élevé,    il n'est pas totalement brûlé, les     gout-          1elettes    ne pouvant pas s'enflammer pendant  la courte durée d'une course des pistons; elles       :ont    refoulées dans les tuyaux d'échappement       oie    leur combustion continue, en chauffant       ainsi    excessivement les soupapes d'échappe  ment et lesdits tuyaux. Dans ces conditions  le rendement est naturellement très mauvais.  



  On remarque le phénomène cité, à un de  gré plus ou moins élevé, avec     presque    tous  les carburants usuels. Même avec l'essence,    qui a été considérée jusqu'à     présent    le meil  leur des carburants, on le rencontre à un cer  tain degré.  



  Les carburants artificiels, c'est-à-dire les  mélanges de plusieurs- substances combusti  bles et volatiles présentent les mêmes incon  vénients. Si parmi leurs composants il y a,  même en petites quantités, des combustibles  peu volatils et ayant un point d'ébullition  élevé (pétrole, naphte, huiles moyennes et  lourdes de goudron,     décaline,        tétraline,    etc.),  on remarquera. que la carburation est difficile  et que le rendement du moteur est mauvais,  tandis que dans les organes d'échappement  on remarque un réchauffement considérable.  



  On observera ces     inconvénients    même en  employant les combustibles dits "benzols  standard", c'est-à-dire des mélanges contenant  75-80 % de benzène raffiné avec 20-2J  de toluène purifié. A un degré encore plus  élevé on remarque ces phénomènes en em  ployant des mélanges d'essence avec la     tétra-          line    ou la     déca.linë,    même si les quantités de  ces substances ajoutées à l'essence ne dépas  sent pas 20-25 %. Pour utiliser pratique  ment ces combustibles il est nécessaire, en      regard des différences des points d'ébullition  de leurs composants, d'employer des précau  tions spéciales.  



  La.- présente invention permet d'éliminer  en grande partie ce désavantage et d'obte  nir une carburation presque absolument. to  tale de l'air et un rendement élevé, tout en  permettant . en outre d'employer pour la fa  brication des carburants artificiels des quan  tités relativement     grandes    de combustibles  ayant un point d'ébullition élevé.  



  " Ce procédé est basé sur l'application du  phénomène     d'entraînement;    qui se     'vérifie     aussi bien par rapport à l'ébullition que par  rapport à l'évaporation. .  



  Io     Lorsqu'on    fait bouillir rapidement  un mélange de deux substances ayant des  points d'ébullition rapprochés, la substance  bouillant à. une température plus haute est  entraînée à bouillir à une température au  dessous de son point d'ébullition normal, tan  dis que la substance bouillant à une tempéra  ture plus basse tend à dépasser cette tempé  rature. En augmentant la rapidité de l'ébul  lition on remarque que les deux températures  fendent à. se rapprocher d'une température  d'ébullition     moyenne.     



  Par contre, si les deux     températures-d'é-          bullition    sont éloignées l'une de l'autre, ce  phénomène ne se vérifie point et on remar  que la. séparation presque totale des deux  . substances, par exemple de l'essence et de la       tétraline.     



  Toutefois, si lesdites substances sont mé  langées avec plusieurs autres. substances  ayant des points d'ébullition intermédiaires  et graduellement croissants de l'une à l'au  tre,- on     remarquera.    un entraînement succes  sif d'une substance par l'autre avec le résul  tat qu'on atteint un rapprochement entre les  températures d'ébullition extrêmes, rappro  chement qui sera d'autant plus considérable  que l'ébullition est plus rapide. Aussi dans  ce cas les deux températures extrêmes tendent  à. se rapprocher d'une température moyenne  déterminée par la moyenne des     températures     d'ébullition des différentes substances, en te  nant compte de leur quantité respective en-         trant    dans le mélange.

   Cette température  moyenne par conséquent sera d'autant plus  basse que la quantité de substance bouillant  à une faible température sera plus grande,  et plus basse la température d'ébullition du  premier terme de l'échelle.  



  110 Lorsqu'on fait rapidement évaporer  à température ordinaire un mélange de deux  substances, on obtient la séparation presque  absolue desdites substances lorsque leurs de  grés de volatilité sont très éloignés. Si au  contraire les degrés de volatilité sont très rap  prochés l'un de l'autre, on rencontre le phé  nomène d'entraînement tout comme dans le  cas de l'ébullition, .c'est-à-dire on remarque  que la substance plus volatile entraîne la  moins volatile de manière que celle-ci peut  être évaporée dans un temps moindre qu'il  ne faudrait si elle était évaporée à elle seule.  Lorsqu'on augmente la vitesse d'évaporation,  par exemple en subdivisant finement la  masse, on remarquera que la volatilité du  mélange tend à se rapprocher de la moyenne  des volatilités des deux composants.  



  En outre une substance peu volatile, mé  langée avec une substance très volatile, peut  également être entraînée en évaporation plus  rapidement lorsque ces deux substances sont  mélangées avec une série de substances ayant  des volatilités intermédiaires et graduelle  ment croissantes. Aussi dans ce cas le phé  nomène de l'entraînement est d'autant plus  remarquable que le pourcentage des substan  ces très volatiles est plus grand par rapport  au     pourcentage    des substances moins vola  tiles, et plus haute la volatilité du premier  terme de l'échelle, c'est-à-dire de la, substance  qui doit commencer l'évaporation et l'effet de  l'entraînement.  



  Dans une évaporation rapide d'un sem  blable mélange, on remarque que aussi bien  dans les vapeurs que dans le liquide non en  core évaporé, on peut noter la présence de  tous les composants du mélange.  



  Lorsqu'un carburant passe par le carbu  rateur la volatilité des substances qui le  composent a la plus grande importance, tan-      dis que dans le cylindre -c'est essentiellement  la température d'ébullition qui entre en jeu.  



  Il est donc     évident    que les deux phéno  mènes - l'entraînement pendant. l'ébullition  et l'entraînement pendant l'évaporation   peuvent être utilisés avec avantage pour la  fabrication de carburants artificiels. Dans les  carburants (comme il en a. été proposé plu  sieurs) contenant de l'alcool ou du benzène  mélangé avec de la     tétraline,    du pétrole, du  naphte, etc., on remarque dans le carburateur  la séparation presque absolue des substances       plus    volatiles (alcool ou benzène) des autres  relativement très peu volatiles.

   Les premières  carburent l'air, tandis que les autres entrent  dans le cylindre du moteur à l'état de gout  telettes où elles se vaporisent en petite par  tie grâce à la, température élevée, tandis que  pour la plus grande partie, ne pouvant point  atteindre la température d'ébullition, elles       brûlent    superficiellement par combustion  lente qui va. s'achever dans le tuyau d'échap  pement.  



  On obtient des résultats bien différents en       ,@    joutant suivant le procédé formant l'objet de  la. présente invention, aux substances plus  volatiles et bouillant à une faible tempéra-,,  turc, telles que par exemple l'alcool et le       hetizène    (T.     éb.   <B>80'</B> C environ) et aux subs  tances moins volatiles et ayant un point d'é  bullition élevé comme la.     tétraline    (T.     6b.     205   C environ), le pétrole (T.

       éb.     150-250   C environ), une série de subs  tances ayant des volatilités en diminution       ,graduelle    et des températures d'ébullition  rapprochées et graduellement croissantes,       comme    par exemple:     heptane    (T.     @éb.   <B>98'</B> C),       toluène    (T.     ëb.    111   C), huiles amylacées  .(1     I6-137      C), xylène     (138-143      C).     mé-          thyl-c@-clo=hexanol    (160-l70   C),     décaline     (185   C),     ete..    . .  



  Avec un carburant fabriqué de la façon  indiquée, on ne remarque pas de séparation  de substances pendant le passage dans le car  burateur. Quoique l'air carburé contienne  toujours un certain excès de substances plus  volatiles, il comporte aussi des pourcentages  relativement considérables des     substances       moins volatiles. La partie non évaporée et  se trouvant dans la forme<B>de</B> gouttes très  minces contient encore tous les composants  du mélange. En entrant dans le moteur, les  substances bouillant à une température plus  basse, grâce au phénomène d'entraînement,  forcent aussi les substances ayant un point  d'ébullition élevé de bouillir à. une tempéra  ture plus faible, en les vaporisant ainsi com  plètement.  



  Avec des mélanges fabriqués comme on  vient de dire, et en proportionnant convena  blement les pourcentages des différents     com-          posants,    on peut atteindre une amélioration  même très remarquable du rendement du mo  teur.  



  On décrira ci-après les résultats d'essais  faits avec un moteur d'automobile en em  ployant un frein dynamométrique et en uti  lisant comme     eaburants    de l'essence de com  merce et quatre carburants artificiels dési  gnés par<I>A. B, C et D.</I>  



  L'essence de commerce était de qualité  normale: poids spécifique 0,782, point d'é  bullition moyen 111,0   C; elle distillait en  tièrement entre 60 et 170   C et à une tem  pérature de 150   C 97 % de l'essence étaient  vaporisés. La chaleur de combustion était de       112.12    calories.

   L'effet et la consommation  de calories par     ehev.    sont indiqués     ci-          après    dans un tableau pour<B>1500,</B> 1600,  <B>1700</B> et 1800 tours.     Lorsqu'on    ajoute à: cette  essence une substance dont le point d'ébulli  tion est en dessus de 200   C, on obtient un  rendement moindre, par exemple avec le mé  lange A consistant de 80 % d'essence et  20 % de     t.étraline;    ce mélange avait un point  d'ébullition moyen de 129,9   C et une va  leur de combustion     -de    10880 calories.

   Le ta  bleau indique les chiffres correspondants de  l'effet et de la consommation pour les qua  tre vitesses de rotation et on remarquera. que  ces chiffres indiquent un effet plus petit et  une consommation de calories plus grande  par     chev.    en comparaison de l'essence. En  employant     -un    carburant de cette composi  tion, les substances plus volatiles se séparent  des substances peu volatiles; - ces dernières      entrent dans le moteur sous forme de petites  gouttelettes et ne peuvent pas, à cause de  leur haut point d'ébullition, se     transformer     en vapeur.

   On comprend sans autre que les  résultats seront plus mauvais encore en em  ployant des carburants qui contiennent jus  qu'à 50 % de     tétraline,        décaline,    etc.  



  Lorsqu'on ajoute au carburant A une  série de composants ayant des points d'ébul  lition graduellement croissants et une     volà-          tilité        graduellement    décroissante, par exemple  du     cumène,    de     l'hexa.nol    cyclique et de la     dé-          caline    et, pour préparer l'entraînement, de  l'alcool et de l'éther, on obtient une augmen  tation considérable du rendement, malgré  que la température moyenne d'ébullition du  mélange soit toujours de 129,9   C et malgré  que la quantité des composants, dont le point  d'ébullition est en dessus de 150  , ait été  augmentée jusqu'à 40  /o.  



  Dans le tableau ce carburant est désigné  par B. Lorsqu'on compare l'effet et la con  sommation de     calories    correspondant du car  burant B avec ceux<B>du</B> carburant A, on  trouve un rendement beaucoup meilleur que  celui de A et un rendement toujours quel-    que peu meilleur que celui de" l'essence quoi  que la température moyenne d'ébullition de  l'essence montre     unie    différence de 1.8   C  par rapport an carburant B en faveur de  l'essence. L'effet est beaucoup supérieur à ce  lui de A et -un peu inférieur à celui de l'es  sence. Ceci dépendait, pendant les essais, du  réglage du carburateur. .  



  Le carburant C contenait 75 % de benzène  et 25 % de     tétraline,    il avait une valeur de       combustion    de 9906 calories et une tempé  rature moyenne d'ébullition ,de 111   C. En  comparaison de l'essence il     donnait    un effet  plus petit et une     consommation    de calories  plus grande par     chev.     



  Le carburant D (température moyenne  d'ébullition 112,85   C et 8926 calories) était  préparé en ajoutant au carburant C une sé  rié comprenant le toluène, le     xylène,    le       cumène,        l'hexanol    cyclique et la.     décaline:     pour préparer l'entraînement on ajoutait de  l'éther éthylique, de l'acétone et de l'alcool.  



  Ce carburant D est considérablement su  périeur non seulement au carburant C mais  aussi à l'essence en ce qui concerne l'effet  et la. consommation de calories par     chev.     
EMI0004.0023     
  
    Nombre <SEP> Effet <SEP> en <SEP> chev.
<tb>  de <SEP> tours <SEP> Colories <SEP> par <SEP> chev.
<tb>  E<U>ssenc</U>e <SEP> A <SEP> I <SEP> B <SEP> C <SEP> D
<tb>  1500 <SEP> 14,3 <SEP> 13,9 <SEP> 14,2 <SEP> 13,8 <SEP> 14,6
<tb>  3260 <SEP> 4050 <SEP> 3152 <SEP> 3368 <SEP> 2856
<tb>  1600 <SEP> 15,2 <SEP> 14,5 <SEP> 15,1 <SEP> 14,6 <SEP> 15,4
<tb>  3316 <SEP> 3985 <SEP> 3171 <SEP> 3467 <SEP> 2856
<tb>  1700 <SEP> 16,2 <SEP> <B>1</B>5,3 <SEP> 16,2 <SEP> 15,4 <SEP> 16,2
<tb>  3372 <SEP> 3887 <SEP> 3218 <SEP> 3536 <SEP> - <SEP> 2900
<tb>  1800 <SEP> 17,1 <SEP> 16,2 <SEP> 16,7 <SEP> 16,5 <SEP> 17,

  1
<tb>  3350 <SEP> 3952 <SEP> 3024 <SEP> 3615 <SEP> 2829       Les substances     susindiquées,    servant, à  effectuer l'entraînement des substances ayant  un haut point d'ébullition, ont été citées  simplement à. titre d'exemple, Plusieurs au-         tres    substances combustibles et volatiles  convenablement choisies- peuvent être em  ployées dans le même but; certaines frac  tions déterminées de carburants naturels,      telles que les     mélanges    des hydrocarbures  dit pétrole,     etc.....        peuvent    aussi bien ser  vir.

   Comme ces fractions n'ont. pas un point  d'ébullition fixe, on arrive à éliminer les dif  férences ou bien les distances entre les     points     d'ébullition des différents composants.  



  Le procédé peut aussi être employé pour  améliorer des essences ou carburants natu  rels semblables contenant des pourcentages  trop élevés de substances     bouillant    à tempé  rature élevée et comportant une disproportion  entre les volatilités de leurs composants.  



  Maintes fois, le phénomène     d'allumage     spontané se produisant dans les moteurs, et  ayant pour effet le cognement caractéristi  que des pistons, est dû à la séparation nette  des substances plus volatiles et plus inflam  mables (lu carburant de celles les moins vo  latiles.  



  Cet inconvénient peut être     supprimé    par  l'emploi de carburants fabriqués suivant le  présent procédé en reliant ces substances par  l'addition des substances produisant l'entraî  nement; on. facilite de cette manière     l'éva-.          poration    des     substances    -peu volatiles et on  diminue le degré d'inflammabilité de l'air  carburé. Avec quelques     types    d'essences con  venablement compensées il est même possible       d'augmenter    la compression du moteur, en         -améliorant    encore par ce moyen son rende  ment.  



  Le procédé permet aussi de fabriquer des  carburants pour les moteurs comportant des  dispositifs particuliers pour le chauffage  soit du carburant, soit de l'air carburé. Dans  ce cas, on peut augmenter     considérablement     le pourcentage de substances bouillant à  haute température.  



  Le même. procédé peut finalement être  appliqué pour fabriquer des carburants lourds  destinés aux moteurs à haute compression du  type Diesel, en vue d'en améliorer le rende  ment. -

Claims (1)

  1. REVENDICATION Procédé de fabric-tion de carburants ar tificiels, en partant de substances très vola tiles et bouillant à température relativement basse et de substances peu volatiles et bouil lant à. des températures relativement élevée, caractérisé en ce qu'on ajoute à ces substances une série de substances bouillant 'a des tem pératures intermédiaires graduellement crois santes et ayant des degrés de volatilité qui diminuent graduellement, en vue de faciliter la. vaporisation des substances bouillant à une température élevée et moins volatiles.
CH125214D 1926-11-17 1926-11-17 Procédé de fabrication de carburants artificiels pour moteurs à explosion. CH125214A (fr)

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