On sait que les mouvements de montre à grande moyenne excentrée présentent sur les mouvements de montre usuels dont la grande moyenne est disposée au centre, l'avantage qu'à diamètre de mouvement égal, le barillet peut être de dimensions supé rieures, puisqu'il peut s'étendre plus près de l'axe du mouvement. Le mobile de petite moyenne qui est entraîné par la roue du mobile de grande moyenne, entraîne, d'une part par sa roue, le mobile de seconde, et d'autre part par une denture de pignon, une roue des minutes généralement disposée sur la face extérieure de la platine.
Il est évidemment nécessaire de disposer un accouple ment à friction entre l'arbre qui porte l'aiguille des minutes et qui est solidaire d'une denture de pignon en prise avec la roue de minuterie, et un des mobiles qui sont entraînés en permanence par le barillet, afin de permettre d'exécuter la mise à l'heure. Dans la plupart des mouvements de montre à grande moyenne excentrée déjà connus, cet accouplement à friction se trouve entre la roue des minutes et l'arbre qui porte l'aiguille des minutes et la chaus sée.
Cette roue des minutes est en prise avec le pignon du mobile de petite moyenne qui se trouve également en prise avec la roue du mobile de grande moyenne, de manière que, ces deux roues étant de même diamètre, la roue des minutes tourne à la même vitesse que le mobile de grande moyenne. Pour des raisons de montage, ces calibres connus étaient agencés de telle faon que la roue du mobile de grande moyenne s'étende sous le barillet, c'est- à-dire entre la face interne de la platine et le barillet, à la même hauteur que la roue des minutes.
La roue du mobile de petite moyenne, en revanche, s'étendait au-dessus du barillet et la roue du mobile de seconde, notamment dans le cas où ce mobile était r disposé au centre du mouvement, s'étendait encore au-dessus de la roue de petite moyenne, c'est-à-dire entre cette roue et le pont de rouage.
Dans certains cas, la roue de grande moyenne s'étendait à la même hauteur que la roue du mobile des secondes tandis que la roue de petite moyenne se trouvait sous les deux roues précitées tout en passant également sur le barillet.
La réalisation d'un accouplement à friction convenable dans les conditions décrites ci-dessus présentait de grandes difficultés. Ces difficultés avaient deux causses: d'une part, il fallait assurer un moment de friction relativement grand atteignant un ordre de grandeur de 130 gjmm et d'autre part, la place disponible au centre du mouvement ne permettait pas de loger des éléments élastiques de volume suffisant pour assurer facilement un moment d'entraînement limite atteignant la valeur indiquée ci-dessus.
Mais récemment, ont été développés des systèmes d'accouplement à friction qui permettent d'obtenir des couples de glissement assez précis sans que les tolérances de fabrication qu'il y a lieu de respecter soient très serrées et bien que ces dispositifs d'accouple ment à friction soient d'un encombrement très réduit. A titre d'exemple, un accouplement de ce genre est décrit dans le mémoire exposé suisse N 10225,i71 du même déposant qui a donné lieu au brevet N 544329. Il résulte des indications données dans ce mémoire exposé, que cet accouplement à friction pourrait, le cas échéant, être monté sur l'arbre d'un mobile de petite moyenne.
Dans les mouvements connus, dont il est question ci-dessus, le pont de rouage est une plaque plane d'épaisseur constante sur toute sa surface.
Dans certains mouvements à remontage automatique avec une masse de remontage pivotant au centre, on utilise un pont de rouage qui présente une creusure annulaire dans laquelle est engagée une partie relevée de la roue des secondes. Cette disposi tion, qui permet de réduire la hauteur totale d'un mouvement à remontage automatique, présente toutefois des difficultés de fabrication et de montage.
Or, on a constaté qu'en utilisant un accouplement à friction du genre auquel il a été fait allusion ci-dessus, sur l'arbre du mobile de petite moyenne, il était possible de modifier la disposi tion générale du calibre adoptée jusqu'à maintenant dans les mouvements de montre à grande moyenne excentrée, et que cette modification permettait de construire un tel mouvement avec un dispositif de remontage automatique et dans un encombrement très réduit, sans rencontrer de difficultés spéciales lors du mon tage.
Le but de la présente invention est donc de proposer une nouvelle disposition du calibre dans un mouvement de montre à grande moyenne excentrée, cette nouvelle disposition assurant avec de grandes facilités de montage, et une solution satisfaisante pour le problème de l'entraînement à friction des aiguilles, un encombrement plus réduit dans le cas de mouvements à méca nisme de remontage automatique.
Pour cela, la présente invention a pour objet un mouvement de montre à mobile de seconde central et à grande moyenne excentrée, dans lequel la roue de grande moyenne s'étend nu dessus du barillet, au même niveau que la roue de seconde et l'arbre du mobile de petite moyenne porte un pignon auxiliaire qui, d'une part, est relié à cet arbre par un accouplement à fric tion, et d'autre part, s'étend au niveau de la roue des minutes et engrène avec elle, les éléments du rouage étant montés entre une platine et un pont de rouage, caractérisé en ce que le pont de rouage présente dans sa face interne une creusure dans laquelle sont logés le pignon de seconde et la roue de petite moyenne.
en ce que sa face externe présente un décrochement au voisinage du centre du mouvement, et en ce qu'un élément du bâti d'un dispo sitif de remontage automatique est appuyé contre la face externe du pont de rouage dans ledit décrochement tout en présentant une partie amincie qui déborde sur le fond de la creusure, le tenon de la masse de remontage faisant saillie de ladite partie amincie.
Le dessin annexé représente, à son unique figure, qui est une vue en coupe partielle passant par les axes de divers mobiles du rouage, une forme d'exécution du mouvement de montre selon l'invention.
Le dessin annexé représente, à son unique figure, qui est une vue en coupe partielle passant par les axes de divers mobiles du rouage, une forme d'exécution du mouvement de montre selon l'invention.
Le mouvement représenté au dessin se trouve dans la position correspondant au montage, c'est-à-dire que la platine 1 se trouve à la partie inférieure du mouvement et le pont de rouage 2 se trouve à la partie supérieure. Ces deux éléments de bâti sont reliés l'un à l'autre d'une façon usuelle qui n'est pas représentée cru dessin. En son centre, la platine 1 présente une partie surélevée et épaisse 3 dans laquelle est chassé un canon 4 qui sert de pivot à un mobile des minutes 5 sur lequel est posée la roue à canon des heures 6. Le mobile 5 et la roue à canon 6 présentent l'une et l'autre des canons coaxiaux qui traversent l'ouverture centrale du cadran et sont destinés à porter à leur extrémité, l'une l'aiguille des minutes et l'autre l'aiguille des heures.
On notera que le mobile 5 est constitué de deux pièces fixées rigidement l'une à l'autre et présente une denture de chaussée 7 qui sera mise en prise avec la roue du mobile de minuterie (non représentée) et une denture de roue 8 qui est entraînée en rotation par un mobile du rouage comme on le verra plus loin. Le mouvement comporte encore un mobile de seconde central 9 dont l'arbre 10 est euidé par le canon 4 et dont le pignon<B>11,</B> ainsi que la roue 12, font partie du rouage qui transmet la force du ressort moteur à l'échappement.
Ce rouage se compose du barillet 13 qui pivote entre la platine 1 et le pont de rouage 2 ou un pont de barillet spécial, d'un mobile de grande moyenne 14 dont le pignon est en prise avec la denture périphérique du tambour du barillet 13, d'un mobile de petite moyenne 15 qui sera décrit plus en détail ci-après et dont la roue 16 est en prise avec le pignon 11 du mobile de seconde et finalement d'un mobile d'échappement 17 dont le pignon 18 est entraîné par la roue 12 du mobile de seconde. Les mobiles 14, 15 et 17 pivotent aux deux extrémités de leur arbre dans des pierres fixées au pont 2 et à la platine 1.
Comme on le voit au dessin, la roue 19 du mobile de grande moyenne s'étend entre le barillet<B>13</B> et le pont 2 à la même hauteur que la roue 12 du mobile de seconde et la roue 16 du mobile de petite moyenne s'étend au-dessus de ces deux dernières roues dans une creu sure 20 ménagée dans la face interne du pont de rouage 2. Cette creusure est suffisamment grande pour englober également le pignon 1 1 du mobile de seconde, ainsi que l'extrémité supérieure de l'arbre 14 du mobile de grande moyenne.
Pour assurer l'entraînement des aiguilles tout en perlnettant la mise à l'heure, l'arbre 21 du mobile de petite moyenne 15 présente au voisinage de la platine 1, une partie de diamètre réduit dans laquelle est pratiquée une gorge 25 de faible profondeur et sur laquelle est monté un pignon 22 pourvu de deux bossages diamé tralement opposés 23 tels que décrits dans la demande de brevet précitée. Une bague élastique fendue et profilée 24 est engagée autour des deux bossages 23 et de la gorge 25. Son ouverture centrale profilée présente quatre saillies dont deux appuient contre les bords des deux bossages 23 et deux autres appuient dans le fond de la gorge 25. Cette bague assure un accouplement à fric tion de couple réglé entre l'arbre 21 et le pignon 22.
On notera, à ce sujet, que le moment de friction nécessaire sur l'arbre de petite moyenne peut être beaucoup plus faible que ce ne serait le cas si l'accouplement à friction était réalisé comme c'est le cas habi tuellement entre les deux parties du mobile 5. Ce couple limite est, en effet, limité à 25 g;'mm environ. Lorsque l'on met les aiguilles à l'heure, le mobile 5 ainsi que la roue de minuterie et la roue à canon 6 sont naturellement entraînés en rotation à partir de la tige de remontoir par l'intermédiaire du renvoi de mise à l'heure et du pignon coulant.
Il en résulte que le pignon 22 tourne sur l'arbre 21, lequel continue à être entraîné en rotation par le barillet à la vitesse usuelle. Du fait du faible couple de friction qui est nécessaire pour assurer l'entraînement des aiguilles dans les conditions normales, c'est-à-dire lorsque la tige de remontoir est en position de remontage, l'usure que subit l'accouplement lors d'une mise à l'heure est beaucoup plus faible que si cet accouple ment à friction se trouvait sur le mobile 5. En particulier, l'accouplement à friction ne nécessite pas de lubrification, ce qui est un avantage considérable.
Bien que l'on ait décrit ici un accouplement à friction d'un genre spécial qui a été décrit en détail dans le mémoire exposé précité, il est clair que d'autres systèmes d'accouplement à friction pourraient également être utilisés sur le mobile de petite moyenne. En effet, la faiblesse du couple limite autorise à cet endroit diffé rents types d'exécution. On pourrait en particulier remplacer l'accouplement à friction décrit par une rondelle élastique en forme de coupelle disposée entre le pignon 22 et l'épaulement de l'arbre 21. le pignon 21 étant lui-même retenu axialement par une bague chassée sur l'extrémité inférieure de l'arbre 21.
II n'est pas nécessaire de respecter des tolérances extrêmement précises, de sorte que cette exécution pourrait convenir. On pourrait aussi, dans une autre forme d'exécution, prolonger la partie de diamètre réduit de l'arbre 21 jusqu'au pignon 15a du mobile de petite moyenne et placer sur cette partie de diamètre réduit, un ressort à boudin s'étendant jusqu'au pignon 22. Dans ce cas, ce dernier pignon serait également retenu axialement en place, par exemple par un anneau chassé sur l'extrémité inférieure de l'arbre 21. La disposition décrite permet de gagner une certaine place en hauteur pour le mécanisme de remontage automatique.
En effet, comme on le voit au dessin, le tenon 26 sur lequel pivote la masse de remontage (non représentée) est solidaire d'un élément de bâti 27 qui s'étend au-dessus du pont de rouage 2. Or, on peut pratiquer autour de la creusure 20 un décrochement 28 dans la face extérieure du pont 2. Comme ce décrochement s'étend très près du centre du mouvement, le tenon 26 peut être solidaire d'une partie amincie 29 de l'élément de bâti 27, alors que la partie d'épaisseur normale 30 de cet élément de bâti s'étend sur le pont 2 à côté du décrochement 28.
Cette partie épaisse sert à fixer à 1213172 l'élément de bâti 27 un autre élément de bâti 31 qui assure par exemple le pivotement des mobiles de l'inverseur actionné par les mouvements de la masse de remontage automatique. Les deux éléments (le bâti 27 et 31 sont fixés par une ou deux vis 32 et, comme on le voit au dessin, la tête 33 de cette ou de ces vis peut être logée dans une ou plusieurs ouvertures 34 ménagées dans le pont 2. 11 est évident que cette disposition permet de gagner en hauteur toute l'épaisseur des têtes 33. La goupille 35 sert à la fixation et à l'ajustage de l'élément de bâti 27 sur le pont 2. Une vis (non représentée) assurera égaiement la fixation de l'élé ment 27 sur le pont 2.
Avec la disposition décrite, il est facile de donner à la denture du pignon 22 un diamètre légèrement différent de celui du pignon 15a. Jusqu'à maintenant dans les mouvements à grande moyenne excentrée, l'arbre du mobile de petite moyenne compor tait une ou deux dentures de pignon, mais, pour des raisons de fabrication, il était évident que ces dentures devaient être de même diamètre et de même module. Comme il est facile de don ner, avec la disposition décrite, des diamètres différents aux deux dentures de pignon 15a et 22 montées sur l'arbre du mobile de petite moyenne, il en résulte une liberté plus grande dans le choix des diamètres et des rapports pour la grande moyenne et pour la roue des minutes.
Finalement, on indiquera que le montage du mouvement peut s'effectuer de façon très simple. Les mobiles du rouage peuvent être posés, par exemple dans l'ordre suivant : échappement, roue de seconde, roue de grande moyenne, roue de petite moyenne. Le mobile des minutes sera mis en place après retournement du mouvement sur la face extérieure de la platine avec la roue de minuterie (non représentée) et la roue des heures.
We know that watch movements with a large eccentric average have over the usual watch movements, the large average of which is arranged in the center, the advantage that at an equal movement diameter, the barrel can be of greater dimensions, since can extend closer to the axis of motion. The small average mobile which is driven by the wheel of the large average mobile, drives, on the one hand by its wheel, the second mobile, and on the other hand by a pinion toothing, a minutes wheel generally arranged on the outer face of the plate.
It is obviously necessary to have a friction coupling between the shaft which carries the minute hand and which is integral with a pinion toothing engaged with the timer wheel, and one of the moving parts which are permanently driven by the barrel, in order to allow the time setting to be carried out. In most of the already known large-scale eccentric watch movements, this friction coupling is located between the minute wheel and the shaft which carries the minute hand and the chain.
This minute wheel is engaged with the pinion of the small average mobile which is also in engagement with the wheel of the large average mobile, so that, these two wheels being of the same diameter, the minute wheel turns at the same speed than the large average mobile. For mounting reasons, these known calibers were arranged in such a way that the wheel of the medium-sized mobile extends under the barrel, that is to say between the internal face of the plate and the barrel, at the same height as the minute wheel.
The wheel of the small average mobile, on the other hand, extended above the barrel and the wheel of the second mobile, in particular in the case where this mobile was arranged in the center of the movement, still extended above. the small medium wheel, that is to say between this wheel and the cog bridge.
In some cases, the large average wheel extended at the same height as the wheel of the second mobile while the small average wheel was located under the aforementioned two wheels while also passing over the barrel.
Achieving a suitable friction coupling under the conditions described above presented great difficulties. These difficulties had two causses: on the one hand, it was necessary to ensure a relatively large friction moment reaching an order of magnitude of 130 gjmm and on the other hand, the space available in the center of the movement did not allow to accommodate the elastic elements of sufficient volume to easily ensure a limiting training moment reaching the value indicated above.
However, recently, friction coupling systems have been developed which make it possible to obtain fairly precise sliding torques without the manufacturing tolerances that must be observed being very tight and although these coupling devices friction are very small. By way of example, a coupling of this type is described in the Swiss disclosure statement N 10225, i71 of the same applicant which gave rise to the patent No. 544329. It follows from the indications given in this disclosure that this friction coupling could , where applicable, be mounted on the shaft of a small medium mobile.
In the known movements, which are discussed above, the gear bridge is a flat plate of constant thickness over its entire surface.
In certain self-winding movements with a central pivoting winding mass, a gear bridge is used which has an annular recess in which a raised part of the seconds wheel is engaged. This arrangement, which makes it possible to reduce the total height of a self-winding movement, however presents manufacturing and assembly difficulties.
Now, it has been found that by using a friction coupling of the type referred to above, on the shaft of the small-medium mobile, it was possible to modify the general arrangement of the gauge adopted up to now in large eccentric watch movements, and that this modification made it possible to build such a movement with an automatic winding device and in a very small footprint, without encountering special difficulties during assembly.
The aim of the present invention is therefore to provide a new arrangement of the caliber in a watch movement with a large eccentric average, this new arrangement providing great ease of assembly, and a satisfactory solution to the problem of the friction drive of the watches. hands, a smaller footprint in the case of movements with an automatic winding mechanism.
For this, the present invention relates to a watch movement with a central second mobile and an eccentric large average, in which the large average wheel extends naked above the barrel, at the same level as the second wheel and the second. shaft of the medium-sized mobile carries an auxiliary pinion which, on the one hand, is connected to this shaft by a friction coupling, and on the other hand, extends at the level of the minute wheel and meshes with it, the elements of the train being mounted between a plate and a train bridge, characterized in that the train bridge has in its internal face a recess in which are housed the second pinion and the small medium wheel.
in that its external face has a recess in the vicinity of the center of the movement, and in that an element of the frame of an automatic winding device is pressed against the external face of the train bridge in said recess while having a thinned part which overhangs the bottom of the recess, the tenon of the winding mass protruding from said thinned part.
The appended drawing shows, in its sole figure, which is a partial sectional view passing through the axes of various wheels of the gear train, an embodiment of the watch movement according to the invention.
The appended drawing shows, in its sole figure, which is a partial sectional view passing through the axes of various wheels of the gear train, an embodiment of the watch movement according to the invention.
The movement shown in the drawing is in the position corresponding to the assembly, that is to say that the plate 1 is at the lower part of the movement and the gear bridge 2 is at the upper part. These two frame elements are connected to each other in a customary manner which is not shown in the drawing. In its center, the plate 1 has a raised and thick part 3 in which is driven a barrel 4 which serves as a pivot for a minute mobile 5 on which is placed the hours cannon wheel 6. The mobile 5 and the wheel. barrel 6 both have coaxial barrels which pass through the central opening of the dial and are intended to carry at their end, one the minute hand and the other the hour hand.
It will be noted that the mobile 5 consists of two parts rigidly fixed to one another and has a pavement toothing 7 which will be engaged with the wheel of the timing mobile (not shown) and a wheel toothing 8 which is driven in rotation by a wheel set as will be seen later. The movement also comprises a central second mobile 9 whose shaft 10 is euidé by the barrel 4 and whose pinion <B> 11, </B> as well as the wheel 12, form part of the cog which transmits the force of the spring. engine exhaust.
This gear is composed of the barrel 13 which pivots between the plate 1 and the gear bridge 2 or a special barrel bridge, of a medium-sized mobile 14, the pinion of which is engaged with the peripheral toothing of the drum of the barrel 13, of a small average mobile 15 which will be described in more detail below and whose wheel 16 is engaged with the pinion 11 of the second mobile and finally of an exhaust mobile 17 whose pinion 18 is driven by the wheel 12 of the second mobile. The mobiles 14, 15 and 17 pivot at the two ends of their shaft in stones fixed to the bridge 2 and to the plate 1.
As can be seen in the drawing, the wheel 19 of the medium-sized mobile extends between the barrel <B> 13 </B> and the bridge 2 at the same height as the wheel 12 of the second mobile and the wheel 16 of the second mobile. small average mobile extends above these last two wheels in a safe recess 20 made in the internal face of the gear bridge 2. This recess is large enough to also include the pinion 11 of the second mobile, as well as the upper end of the shaft 14 of the large average mobile.
To ensure the drive of the hands while allowing the time setting, the shaft 21 of the small-medium mobile 15 has in the vicinity of the plate 1, a portion of reduced diameter in which is formed a groove 25 of shallow depth. and on which is mounted a pinion 22 provided with two diametrically opposed bosses 23 as described in the aforementioned patent application. A split and profiled elastic ring 24 is engaged around the two bosses 23 and the groove 25. Its profiled central opening has four protrusions, two of which bear against the edges of the two bosses 23 and two others bear in the bottom of the groove 25. This The ring provides a torque-controlled friction coupling between the shaft 21 and the pinion 22.
Note, in this regard, that the friction moment required on the small-medium shaft can be much lower than would be the case if the friction coupling were carried out as is usually the case between the two. parts of the mobile 5. This limit torque is, in fact, limited to about 25 g; 'mm. When the hands are set to the hour, the mobile 5 as well as the timing wheel and the barrel wheel 6 are naturally driven in rotation from the winding stem via the setting reference. hour and sliding gear.
The result is that the pinion 22 rotates on the shaft 21, which continues to be driven in rotation by the barrel at the usual speed. Due to the low friction torque which is necessary to ensure the driving of the hands under normal conditions, that is to say when the winding stem is in the winding position, the wear which the coupling undergoes during A time setting is much lower than if this friction coupling were on the mobile 5. In particular, the friction coupling does not require lubrication, which is a considerable advantage.
Although we have described here a friction coupling of a special kind which has been described in detail in the aforementioned disclosure, it is clear that other friction coupling systems could also be used on the mobile of small medium. In fact, the low limit torque allows different types of execution at this location. In particular, the friction coupling described could be replaced by an elastic washer in the form of a cup arranged between the pinion 22 and the shoulder of the shaft 21. the pinion 21 itself being retained axially by a ring driven on the shaft. lower end of shaft 21.
It is not necessary to observe extremely precise tolerances, so that this execution could be suitable. One could also, in another embodiment, extend the reduced diameter portion of the shaft 21 to the pinion 15a of the small-medium mobile and place on this reduced diameter portion, a coil spring extending to 'to the pinion 22. In this case, the latter pinion would also be held axially in place, for example by a ring driven on the lower end of the shaft 21. The arrangement described makes it possible to save a certain height for the mechanism. automatic winding.
Indeed, as can be seen in the drawing, the tenon 26 on which the winding mass pivots (not shown) is integral with a frame element 27 which extends above the gear bridge 2. However, it is possible to practice around the recess 20 a recess 28 in the outer face of the bridge 2. As this recess extends very close to the center of the movement, the tenon 26 can be secured to a thinned part 29 of the frame element 27, while the part of normal thickness 30 of this frame element extends over the bridge 2 next to the step 28.
This thick part is used to fix to 1213172 the frame element 27 another frame element 31 which ensures, for example, the pivoting of the moving parts of the reverser actuated by the movements of the automatic winding mass. The two elements (the frame 27 and 31 are fixed by one or two screws 32 and, as can be seen in the drawing, the head 33 of this or these screws can be housed in one or more openings 34 formed in the bridge 2. It is obvious that this arrangement makes it possible to gain in height the entire thickness of the heads 33. The pin 35 is used for fixing and adjusting the frame element 27 on the bridge 2. A screw (not shown) will ensure also the fixing of element 27 on deck 2.
With the arrangement described, it is easy to give the toothing of pinion 22 a diameter slightly different from that of pinion 15a. Until now in large eccentric movements, the shaft of the small average mobile had one or two pinion teeth, but, for manufacturing reasons, it was obvious that these teeth had to be of the same diameter and same module. As it is easy to give, with the arrangement described, different diameters to the two pinion toothings 15a and 22 mounted on the shaft of the small-medium mobile, this results in greater freedom in the choice of diameters and ratios. for the large average and for the minute wheel.
Finally, it will be indicated that the assembly of the movement can be carried out very simply. The gear wheels can be fitted, for example in the following order: escapement, second wheel, large medium wheel, small medium wheel. The minute mobile will be put in place after turning the movement on the outside of the plate with the timer wheel (not shown) and the hours wheel.