CA2952324A1 - Fixation pour retenir une chaussure sur une raquette a neige - Google Patents
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Abstract
Fixation pour raquette à neige comprenant des moyens avant de retenue, et des moyens arrière de retenue, chacun des moyens de retenue étant constitué par un organe de retenue de la chaussure, l'un au moins des organes de retenue comprend au moins un élément d'appui (11) permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure, tandis que ledit organe de retenue est mobile entre une position de libération de la chaussure et une position de tenue de la chaussure, ladite fixation comprenant par ailleurs des moyens (110) pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle il se trouve en appui sur la chaussure, ces moyens étant constitués par une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinématiquement audit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement dudit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue, tandis que l'élément d'appui (11) est un élément souple.
Description
FIXATION POUR RETENIR UNE CHAUSSURE SUR UNE RAQUETTE
A NEIGE
La présente invention concerne une fixation pour retenir une chaussure sur une raquette à neige et plus particulièrement un perfectionnement qui facilite le chaussage pour l'utilisateur.
Les raquettes à neige sont des engins connus depuis de très nombreuses années car utilisées depuis plusieurs siècles par les populations, notamment scandinaves, pour se déplacer sur la neige.
jusqu'à nos jours, les raquettes à neige étaient utilisées à des fins utilitaires ou militaires, pour permettre aux populations et aux troupes alpines de se déplacer sur la neige ainsi que pour leurs déplacements nécessités par la vie quotidienne. Actuellement, les raquettes à neige sont aussi utilisées par des utilisateurs qui font des randonnées et des promenades, voire même des compétitions. Mais les utilisateurs cherchent bien entendu la sécurité, les performances, ET notamment le confort et la facilité de chaussage.
On connaît de nombreux dispositifs de retenue destinés à équiper les raquettes à neige, tels que des plaques articulées comprenant des moyens de retenue de la chaussure. Ces moyens sont constitués par des moyens de retenue destinés à retenir l'extrémité avant de la chaussure et des moyens de retenue arrière, pour retenir le talon de la chaussure.
Même si les fixations récentes apportent déjà un perfectionnement d'utilisation une fois chaussées, celles-ci présentent des difficultés lors de la mise en place de la chaussure.
En effet avec les fixations traditionnelles, la mise en place de la chaussure et sa retenue sur la plaque se fait généralement par un ensemble de sangles souples ou semi rigide comprenant des boucles de serrage, ce qui est peu pratique.
La présente invention apporte un perfectionnement en proposant une fixation pour raquette à neige qui se chausse facilement sur tout type
A NEIGE
La présente invention concerne une fixation pour retenir une chaussure sur une raquette à neige et plus particulièrement un perfectionnement qui facilite le chaussage pour l'utilisateur.
Les raquettes à neige sont des engins connus depuis de très nombreuses années car utilisées depuis plusieurs siècles par les populations, notamment scandinaves, pour se déplacer sur la neige.
jusqu'à nos jours, les raquettes à neige étaient utilisées à des fins utilitaires ou militaires, pour permettre aux populations et aux troupes alpines de se déplacer sur la neige ainsi que pour leurs déplacements nécessités par la vie quotidienne. Actuellement, les raquettes à neige sont aussi utilisées par des utilisateurs qui font des randonnées et des promenades, voire même des compétitions. Mais les utilisateurs cherchent bien entendu la sécurité, les performances, ET notamment le confort et la facilité de chaussage.
On connaît de nombreux dispositifs de retenue destinés à équiper les raquettes à neige, tels que des plaques articulées comprenant des moyens de retenue de la chaussure. Ces moyens sont constitués par des moyens de retenue destinés à retenir l'extrémité avant de la chaussure et des moyens de retenue arrière, pour retenir le talon de la chaussure.
Même si les fixations récentes apportent déjà un perfectionnement d'utilisation une fois chaussées, celles-ci présentent des difficultés lors de la mise en place de la chaussure.
En effet avec les fixations traditionnelles, la mise en place de la chaussure et sa retenue sur la plaque se fait généralement par un ensemble de sangles souples ou semi rigide comprenant des boucles de serrage, ce qui est peu pratique.
La présente invention apporte un perfectionnement en proposant une fixation pour raquette à neige qui se chausse facilement sur tout type
2 de chaussure, sans avoir à se baisser et régler des sangles de retenue et de serrage lors du chaussage.
Ainsi, la fixation pour raquette à neige comprenant des moyens avant de retenue, et des moyens arrière de retenue, chacun des moyens de retenue étant constitué par un organe de retenue de la chaussure, l'un au moins des organes de retenue comprend au moins un élément d'appui permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure, tandis que ledit organe de retenue est mobile entre une position de libération de la chaussure et une position de tenue de la chaussure, ladite fixation comprenant par ailleurs des moyens pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle il se trouve en appui sur la chaussure, ces moyens étant constitués par une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinématiquement audit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement dudit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue, tandis que l'élément d'appui est un élément souple.
Selon une caractéristique complémentaire, l'organe de retenue est monté mobile en rotation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de tenue de la chaussure.
Selon une autre caractéristique, l'organe de retenue est monté
mobile en translation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de retenue de la chaussure.
Selon le mode préféré de l'invention, l'élément d'appui est un élément élastique.
Précisons que la fixation de l'invention comprend des moyens de verrouillage de la position de retenue de l'organe de retenue, et de déverrouillage de cette position.
Selon un des mode de réalisation, les moyens de retenue arrière comprennent l'élément d'appui tandis qu'il sont constitués par un organe de retenue arrière constitué par une paroi d'emboîtement arrière formant
Ainsi, la fixation pour raquette à neige comprenant des moyens avant de retenue, et des moyens arrière de retenue, chacun des moyens de retenue étant constitué par un organe de retenue de la chaussure, l'un au moins des organes de retenue comprend au moins un élément d'appui permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure, tandis que ledit organe de retenue est mobile entre une position de libération de la chaussure et une position de tenue de la chaussure, ladite fixation comprenant par ailleurs des moyens pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle il se trouve en appui sur la chaussure, ces moyens étant constitués par une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinématiquement audit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement dudit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue, tandis que l'élément d'appui est un élément souple.
Selon une caractéristique complémentaire, l'organe de retenue est monté mobile en rotation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de tenue de la chaussure.
Selon une autre caractéristique, l'organe de retenue est monté
mobile en translation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de retenue de la chaussure.
Selon le mode préféré de l'invention, l'élément d'appui est un élément élastique.
Précisons que la fixation de l'invention comprend des moyens de verrouillage de la position de retenue de l'organe de retenue, et de déverrouillage de cette position.
Selon un des mode de réalisation, les moyens de retenue arrière comprennent l'élément d'appui tandis qu'il sont constitués par un organe de retenue arrière constitué par une paroi d'emboîtement arrière formant
3 une cavité ouverte vers l'avant à savoir en direction des moyens de retenue avant destinés à retenir le talon de la chaussure.
L'invention concerne aussi une raquette à neige équipée de la fixation selon l'invention.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre au regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'a titre d'exemples non limitatifs.
La figure 1 est une vue de dessus d'une raquette à neige équipée de la fixation de l'invention, mais sans la chaussure.
La figure 2 est une vue latérale de la figure 1.
La figure 3 est une vue en perspective des moyens de retenue arrière de l'invention..
La figure 4 est une vue latérale de la fixation en cours de chaussage par l'utilisateur.
La fixation 5 est une vue latérale extérieure de la fixation une fois chaussée et verrouillée.
Les figures 4a et 5a sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une variante d'exécution.
Les figures 4b et 5b sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une autre variante d'exécution.
La figure 6 est une vue latérale en coupe longitudinale de la fixation une fois chaussée et verrouillée, avec une illustration associée montrant le détail à plus grande échelle.
Les figures 7 à 10 sont des illustrations schématiques montrant le fonctionnement de la fixation de l'invention.
La figure 7 montre la fixation en position chaussée, et la chaussure hors de la fixation, La figure 8 montre la fixation en cours de début de chaussage.
L'invention concerne aussi une raquette à neige équipée de la fixation selon l'invention.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention se dégageront de la description qui va suivre au regard des dessins annexés qui ne sont donnés qu'a titre d'exemples non limitatifs.
La figure 1 est une vue de dessus d'une raquette à neige équipée de la fixation de l'invention, mais sans la chaussure.
La figure 2 est une vue latérale de la figure 1.
La figure 3 est une vue en perspective des moyens de retenue arrière de l'invention..
La figure 4 est une vue latérale de la fixation en cours de chaussage par l'utilisateur.
La fixation 5 est une vue latérale extérieure de la fixation une fois chaussée et verrouillée.
Les figures 4a et 5a sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une variante d'exécution.
Les figures 4b et 5b sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une autre variante d'exécution.
La figure 6 est une vue latérale en coupe longitudinale de la fixation une fois chaussée et verrouillée, avec une illustration associée montrant le détail à plus grande échelle.
Les figures 7 à 10 sont des illustrations schématiques montrant le fonctionnement de la fixation de l'invention.
La figure 7 montre la fixation en position chaussée, et la chaussure hors de la fixation, La figure 8 montre la fixation en cours de début de chaussage.
4 La figure 9 est une illustration montrant le chaussage, jusqu'à ce que la partie d'emboitement arrière soit en contact avec la chaussure.
La figure 10 est une illustration de la fixation en position chaussée de retenue de la chaussure.
La figure 11 est une illustration représentant une variante des moyens provoquant le déplacement de l'organe de retenue arrière vers la position de retenue de la chaussure.
La raquette désignée sous la référence générale (1) qui comprend la fixation de l'invention, se présente sous la forme d'une plaque allongée de dimensions supérieures à celles de la chaussure, avantageusement ajourée formant le tamis (2) de la raquette, de plan de symétrie générale (P) comprenant un ensemble de parois supportant la fixation (3) destinée à
retenir la chaussure (CH) de l'utilisateur.
Ledit tamis (2) avec son ensemble de parois internes forme une surface inférieure générale d'appui sur la neige permettant à l'utilisateur de ne pas trop s'enfoncer dans la neige et ce, grâce à la surface portante importante, de dimensions supérieures à la surface inférieure de la semelle, aussi bien en longueur qu'en largeur.
Notons que la fixation (3) destinée à retenir la chaussure est, selon l'illustration donnée à titre d'exemple, articulée par rapport au tamis (2) de la raquette proprement dite, selon un axe transversal (XX'). Notons aussi que la raquette illustrée à titre d'exemple peut être d'un tout autre type, telle que constituée par une paroi centrale en toile retenue par un cadre périphérique en aluminium, en matériau composite ou autre.
Ladite fixation donnée à titre d'exemple, portant la référence générale (3) est constituée de façon avantageuse par une plaque (4) articulée autour de l'axe transversal (X, Ladite plaque (4) comprend des moyens de retenue pour la chaussure, à savoir des moyens avant de retenue (5) et des moyens arrière de retenue (6). Ainsi, l'extrémité avant de la chaussure qui est retenue par les moyens de retenue avant est, par exemple, retenue par un organe de retenue avant (7), tandis que son extrémité arrière l'est, grâce à un organe de retenue arrière (8).
On notera que la plaque comprend des moyens de préréglage de la position longitudinale des moyens de retenue arrière (8), comme par exemple ceux décrits dans les brevets français publiés sous les numéros FR
2 896 430, et FR 2 760 379
La figure 10 est une illustration de la fixation en position chaussée de retenue de la chaussure.
La figure 11 est une illustration représentant une variante des moyens provoquant le déplacement de l'organe de retenue arrière vers la position de retenue de la chaussure.
La raquette désignée sous la référence générale (1) qui comprend la fixation de l'invention, se présente sous la forme d'une plaque allongée de dimensions supérieures à celles de la chaussure, avantageusement ajourée formant le tamis (2) de la raquette, de plan de symétrie générale (P) comprenant un ensemble de parois supportant la fixation (3) destinée à
retenir la chaussure (CH) de l'utilisateur.
Ledit tamis (2) avec son ensemble de parois internes forme une surface inférieure générale d'appui sur la neige permettant à l'utilisateur de ne pas trop s'enfoncer dans la neige et ce, grâce à la surface portante importante, de dimensions supérieures à la surface inférieure de la semelle, aussi bien en longueur qu'en largeur.
Notons que la fixation (3) destinée à retenir la chaussure est, selon l'illustration donnée à titre d'exemple, articulée par rapport au tamis (2) de la raquette proprement dite, selon un axe transversal (XX'). Notons aussi que la raquette illustrée à titre d'exemple peut être d'un tout autre type, telle que constituée par une paroi centrale en toile retenue par un cadre périphérique en aluminium, en matériau composite ou autre.
Ladite fixation donnée à titre d'exemple, portant la référence générale (3) est constituée de façon avantageuse par une plaque (4) articulée autour de l'axe transversal (X, Ladite plaque (4) comprend des moyens de retenue pour la chaussure, à savoir des moyens avant de retenue (5) et des moyens arrière de retenue (6). Ainsi, l'extrémité avant de la chaussure qui est retenue par les moyens de retenue avant est, par exemple, retenue par un organe de retenue avant (7), tandis que son extrémité arrière l'est, grâce à un organe de retenue arrière (8).
On notera que la plaque comprend des moyens de préréglage de la position longitudinale des moyens de retenue arrière (8), comme par exemple ceux décrits dans les brevets français publiés sous les numéros FR
2 896 430, et FR 2 760 379
5 Les illustrations montrent une fixation réalisée dans le cadre d'une plaque articulée portant les moyens de retenue, mais il pourrait en être autrement, comme par exemple avec des moyens de retenue fixés directement sur le tamis.
Selon l'invention, l'un au moins des organes de retenue (7, 8) comprend au moins un élément d'appui (11) permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure afin de la retenir.
Ajoutons que l'élément d'appui (11) peut être un élément élastique ou souple tel qu'une sangle.
Selon la caractéristique précédente, l'élément d'appui (11) souple ou préférentiellement élastique, permet l'utilisation de tout type de chaussure, ayant toute forme ou toute rigidité, sur une fixation de raquette à neige conforme à l'invention.
Il est entendu qu'un élément élastique est un élément souple, ayant la capacité de se déformer élastiquement.
Ledit organe de retenue qui comporte l'élément d'appui, est mobile entre une position de libération de la chaussure telle qu'illustrée à
la figure 3, et une position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée à
la figure 10, tandis que ladite fixation comprend des moyens d'actionnement (110) pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle l'organe de retenue arrière se trouve en appui contraint sur la chaussure, ces moyens comprenant une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinérnatiquernent au dit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement du dit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue.
Selon le mode de réalisation préféré, illustré aux figures 1 à 10, ce sont les moyens de retenue arrière (6), et plus particulièrement son organe de retenue arrière (8) qui comprend un élément élastique (11). Ainsi, selon le mode d'exécution illustré, l'organe de retenue arrière (8) est constitué
par une paroi d'emboîtement arrière (9) formant une cavité ouverte vers l'avant (AV) à savoir en direction des moyens de retenue avant (5) destinée à retenir le talon de la chaussure (CH). On notera que la paroi d'emboitement (9) est montée pivotante sur la plaque (4) autour d'un axe transversal (Y, Y'). Cette paroi d'emboitement (9) est constituée par deux parois latérales (10a, 10b) et une paroi arrière d'emboitement (10c), Selon ce mode de réalisation préféré, la paroi arrière (10c) est réalisée en matériau élastique pour constituer l'élément élastique (11). C'est cet élément élastique constitué par une bande deformable élastiquement qui est destinée à être en appui contraint sur la partie haute arrière du talon (12).
On entendra par appui contraint un appui sur la chaussure dont la force notamment vers l'avant en assure le maintien.
Par ailleurs, la paroi d'emboitement arrière (9) constituée par les deux parois latérales (10a, 10b) et la paroi arrière (10c) est pivotante sur la plaque (4) autour de l'axe transversal (Y, Y'). Ladite paroi d'emboitement est solidaire d'une plaque d'appui arrière (110) sur laquelle le dessous du talon se trouve en appui en position chaussée. Ainsi, l'ensemble arrière constitué par la plaque d'appui arrière (110), et la paroi d'emboitement (9) avec son élément élastique (11) forme un ensemble pivotant monté
pivotant sur la plaque (4), autour de l'axe transversal (Y, Y') pouvant prendre deux positions, à savoir une position de libération de la chaussure telle qu'illustrée à la figure 3, et une position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée à la figure 10.
Dans la position de libération de la chaussure, telle qu'illustrée aux figures 3, 4, 4a, 4b, 8, l'ensemble d'emboîtement arrière constitué par notamment la paroi arrière d'emboitement (10c) est basculé vers l'arrière (AR) avec sa plaque d'appui (110).
Dans la position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée aux figures 5, 5a, 5b, 6, 10, la paroi d'emboitement arrière (10c) constituée par l'élément élastique est en appui contraint contre la chaussure, à savoir par création d'un effort vers l'avant (F), et ce grâce à l'élasticité de la paroi d'emboitement arrière (10c).
Notons que la fixation, et notamment ses moyens arrière de retenue (5), comprend des moyens de verrouillage de la position de retenue et des moyens de déverrouillage permettant le passage de la position de retenue à la position de libération.
On a compris que pour chausser la fixation, cette dernière étant dans la position illustrée aux figures 3 et 8, l'utilisateur après avoir engagé
l'avant de sa chaussure dans l'organe de retenue avant (7) place son talon sur la plaque d'appui (110) qui est inclinée vers l'arrière (AR) et en appuyant vers le bas selon Fi, son talon provoque le pivotement de l'ensemble arrière tel qu'illustré aux figures 4 et 8.
Lors de ce pivotement selon R1, la paroi d'emboitement (9) se déplace en rotation vers l'avant (AV), ce qui met, dans un premier temps, l'élément élastique (11) en appui sur la partie haute arrière (12) du talon tel qu'illustré à la figure 9, puis dans un deuxième temps lors de la fin du pivotement de la paroi d'emboitement, l'élément élastique d'emboitement (11) est contraint afin que celui-ci force vers l'avant la partie haute arrière du talon (figure 10).
Simultanément la position chaussée est verrouillée automatiquement dans cette position. A cet effet les moyens de verrouillage sont constitués et cela à titre d'exemple par une pièce mobile de verrouillage (13) sollicitée par un système élastique tel qu'un ressort (14) coopérant avec une pièce fixe (15).
A titre d'exemple, la pièce fixe (15) est solidaire de la plaque d'appui arrière (110), et est un étrier faisant saillie sous la plaque d'appui arrière (110) en forme de "T" renversé ou de U. Ledit étrier comprend une branche transversale (111) destinée à être retenue par la pièce mobile (13) tel que cela est illustré à la figure 6.
De plus les moyens de verrouillage comprennent un levier de déverrouillage (17) articulé sur la plaque (4) autour d'un axe transversal, comme par exemple l'axe (Y, Y'). Ajoutons que le levier de déverrouillage (17) s'étend vers l'arrière (AR) et vers le haut (HA) pour pouvoir être actionné par l'utilisateur. Ainsi, et par exemple l'extrémité de pivotement (18) du levier de déverrouillage (17) comprend une rampe d'actionnement destinée à repousser la pièce mobile de verrouillage.
On notera que le levier de déverrouillage (17) pourrait s'étendre latéralement comme par exemple latéralement par rapport à la chaussure vers l'extérieur.
Ladite pièce mobile de verrouillage (13) est une pièce coulissante logée dans la plaque de fixation (4) qui comprend à son extrémité avant un doigt de verrouillage (20) destiné à coopérer avec la branche transversale (111) de la pièce fixe (15).
Les figures 7, 8, 9 et 10, sont des illustrations montrant le fonctionnement de la fixation.
La figure 7 montre la chaussure hors de la fixation, tandis que la fixation est illustrée en position chaussée mais sans la chaussure. Sur cette figure on constate que la distance entre l'extrémité avant de la chaussure (21) et l'extrémité de retenue arrière (22) a une longueur (L) supérieure à la distance (L1) entre l'organe avant de retenue (7) et l'organe arrière de retenue (8), avec un différentiel (d) assurant la pression de l'élément élastique sur la chaussure.
Lors du chaussage (figure 8), l'utilisateur, par action vers le bas de son talon sur la plaque d'appui arrière (110), provoque la rotation vers l'avant selon R1 de la paroi d'emboîtement arrière (10c) qui dans ce mode de réalisation est l'élément élastique (11).
Lors de cette rotation, l'élément élastique (11) constituant la paroi arrière d'emboitement (10c), vient dans un premier temps simplement en appui sur la partie haute arrière (12) du talon tel que cela est illustré à la figure 9. La rotation vers l'avant se prolongeant, l'élément élastique (11) est forcé et contraint contre la chaussure pour en assurer la retenue.
En fin de rotation, le verrouillage de la plaque d'appui (110) se fait par coopération de la pièce mobile de verrouillage (13) avec la branche transversale (111) de la pièce fixe (15). La chaussure est ainsi maintenue par action vers l'avant selon (F) de l'élément élastique (11).
Selon le mode de réalisation précédemment décrit et illustré, l'organe arrière d'emboitement est mis en appui, contraint contre la chaussure par pivotement, mais il pourrait en être autrement. Ainsi, selon la variante illustrée à la figure 11, le déplacement vers la chaussure pour mettre en appui sous contrainte la paroi d'emboitement arrière (10c) se fait par déplacement en translation (T) vers l'avant de l'organe de retenue arrière (8) avec son élément élastique (11). A cet effet les moyens pour provoquer ce déplacement sont constitués par un système de biellettes (25) disposé sous le talon de la chaussure.
Selon une variante non représentée, la paroi arrière (10c) de la paroi d'emboitement arrière (9) est en matériau non élastique, tandis que les parois latérales (10a, 10b) sont en matériau élastique. Selon ce mode de réalisation le mode de fonctionnement est le même. Sauf que la paroi arrière d'emboitement (10c) n'est pas élastique, mais grâce à l'action des parois latérales (10a, lob), qui elles sont élastiques, ladite paroi arrière d'emboitement (10c) est en appui contraint sur la chaussure.
Le mode de réalisation préféré, illustré aux figures 1 à 11, est tel que c'est l'organe de retenue arrière qui comprend l'élément élastique, mais il pourrait en être autrement. Ainsi l'organe de retenue avant pourrait comprendre un élément élastique qui pourrait venir faire pression sur la chaussure pour en assurer sa retenue.
Les figures 4a et 5a sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une variante d'exécution, selon laquelle la paroi arrière d'emboîtement (10c) est montée articulée sur chacune des parois latérales (10a, 10b) autour d'un axe transversal (120). Ce qui permet une meilleure adaptation à la chaussure.
Les figures 4b et 5b sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une autre variante d'exécution, selon laquelle l'axe de pivotement (Y, Y') de l'organe de retenue arrière, est déplacé vers l'avant, pour être placé plus en avant par rapport à la paroi arrière (1c), contrairement à la réalisation précédente selon laquelle l'axe de pivotement (Y, Y') est situé sensiblement à la verticale de la partie arrière de la paroi arrière (1c). Avec la réalisation des figures 5a, 5b, on a compris que l'engagement de la paroi arrière (1c) contre le talon sera plus important.
5 Notons que l'élasticité nécessaire peut être obtenue grâce au coulissement des moyens de retenu arrière (8) sur la plaque qui les porte, lequel coulissement se faisant contre l'action d'un système élastique tel qu'un ressort ou autre.
On a compris que le chaussage et la retenue de la chaussure sur la 10 raquette se fait automatiquement par l'effet élastique de l'élément élastique de l'un des moyens de retenue.
Selon l'invention, l'un au moins des organes de retenue (7, 8) comprend au moins un élément d'appui (11) permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure afin de la retenir.
Ajoutons que l'élément d'appui (11) peut être un élément élastique ou souple tel qu'une sangle.
Selon la caractéristique précédente, l'élément d'appui (11) souple ou préférentiellement élastique, permet l'utilisation de tout type de chaussure, ayant toute forme ou toute rigidité, sur une fixation de raquette à neige conforme à l'invention.
Il est entendu qu'un élément élastique est un élément souple, ayant la capacité de se déformer élastiquement.
Ledit organe de retenue qui comporte l'élément d'appui, est mobile entre une position de libération de la chaussure telle qu'illustrée à
la figure 3, et une position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée à
la figure 10, tandis que ladite fixation comprend des moyens d'actionnement (110) pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle l'organe de retenue arrière se trouve en appui contraint sur la chaussure, ces moyens comprenant une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinérnatiquernent au dit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement du dit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue.
Selon le mode de réalisation préféré, illustré aux figures 1 à 10, ce sont les moyens de retenue arrière (6), et plus particulièrement son organe de retenue arrière (8) qui comprend un élément élastique (11). Ainsi, selon le mode d'exécution illustré, l'organe de retenue arrière (8) est constitué
par une paroi d'emboîtement arrière (9) formant une cavité ouverte vers l'avant (AV) à savoir en direction des moyens de retenue avant (5) destinée à retenir le talon de la chaussure (CH). On notera que la paroi d'emboitement (9) est montée pivotante sur la plaque (4) autour d'un axe transversal (Y, Y'). Cette paroi d'emboitement (9) est constituée par deux parois latérales (10a, 10b) et une paroi arrière d'emboitement (10c), Selon ce mode de réalisation préféré, la paroi arrière (10c) est réalisée en matériau élastique pour constituer l'élément élastique (11). C'est cet élément élastique constitué par une bande deformable élastiquement qui est destinée à être en appui contraint sur la partie haute arrière du talon (12).
On entendra par appui contraint un appui sur la chaussure dont la force notamment vers l'avant en assure le maintien.
Par ailleurs, la paroi d'emboitement arrière (9) constituée par les deux parois latérales (10a, 10b) et la paroi arrière (10c) est pivotante sur la plaque (4) autour de l'axe transversal (Y, Y'). Ladite paroi d'emboitement est solidaire d'une plaque d'appui arrière (110) sur laquelle le dessous du talon se trouve en appui en position chaussée. Ainsi, l'ensemble arrière constitué par la plaque d'appui arrière (110), et la paroi d'emboitement (9) avec son élément élastique (11) forme un ensemble pivotant monté
pivotant sur la plaque (4), autour de l'axe transversal (Y, Y') pouvant prendre deux positions, à savoir une position de libération de la chaussure telle qu'illustrée à la figure 3, et une position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée à la figure 10.
Dans la position de libération de la chaussure, telle qu'illustrée aux figures 3, 4, 4a, 4b, 8, l'ensemble d'emboîtement arrière constitué par notamment la paroi arrière d'emboitement (10c) est basculé vers l'arrière (AR) avec sa plaque d'appui (110).
Dans la position de retenue de la chaussure telle qu'illustrée aux figures 5, 5a, 5b, 6, 10, la paroi d'emboitement arrière (10c) constituée par l'élément élastique est en appui contraint contre la chaussure, à savoir par création d'un effort vers l'avant (F), et ce grâce à l'élasticité de la paroi d'emboitement arrière (10c).
Notons que la fixation, et notamment ses moyens arrière de retenue (5), comprend des moyens de verrouillage de la position de retenue et des moyens de déverrouillage permettant le passage de la position de retenue à la position de libération.
On a compris que pour chausser la fixation, cette dernière étant dans la position illustrée aux figures 3 et 8, l'utilisateur après avoir engagé
l'avant de sa chaussure dans l'organe de retenue avant (7) place son talon sur la plaque d'appui (110) qui est inclinée vers l'arrière (AR) et en appuyant vers le bas selon Fi, son talon provoque le pivotement de l'ensemble arrière tel qu'illustré aux figures 4 et 8.
Lors de ce pivotement selon R1, la paroi d'emboitement (9) se déplace en rotation vers l'avant (AV), ce qui met, dans un premier temps, l'élément élastique (11) en appui sur la partie haute arrière (12) du talon tel qu'illustré à la figure 9, puis dans un deuxième temps lors de la fin du pivotement de la paroi d'emboitement, l'élément élastique d'emboitement (11) est contraint afin que celui-ci force vers l'avant la partie haute arrière du talon (figure 10).
Simultanément la position chaussée est verrouillée automatiquement dans cette position. A cet effet les moyens de verrouillage sont constitués et cela à titre d'exemple par une pièce mobile de verrouillage (13) sollicitée par un système élastique tel qu'un ressort (14) coopérant avec une pièce fixe (15).
A titre d'exemple, la pièce fixe (15) est solidaire de la plaque d'appui arrière (110), et est un étrier faisant saillie sous la plaque d'appui arrière (110) en forme de "T" renversé ou de U. Ledit étrier comprend une branche transversale (111) destinée à être retenue par la pièce mobile (13) tel que cela est illustré à la figure 6.
De plus les moyens de verrouillage comprennent un levier de déverrouillage (17) articulé sur la plaque (4) autour d'un axe transversal, comme par exemple l'axe (Y, Y'). Ajoutons que le levier de déverrouillage (17) s'étend vers l'arrière (AR) et vers le haut (HA) pour pouvoir être actionné par l'utilisateur. Ainsi, et par exemple l'extrémité de pivotement (18) du levier de déverrouillage (17) comprend une rampe d'actionnement destinée à repousser la pièce mobile de verrouillage.
On notera que le levier de déverrouillage (17) pourrait s'étendre latéralement comme par exemple latéralement par rapport à la chaussure vers l'extérieur.
Ladite pièce mobile de verrouillage (13) est une pièce coulissante logée dans la plaque de fixation (4) qui comprend à son extrémité avant un doigt de verrouillage (20) destiné à coopérer avec la branche transversale (111) de la pièce fixe (15).
Les figures 7, 8, 9 et 10, sont des illustrations montrant le fonctionnement de la fixation.
La figure 7 montre la chaussure hors de la fixation, tandis que la fixation est illustrée en position chaussée mais sans la chaussure. Sur cette figure on constate que la distance entre l'extrémité avant de la chaussure (21) et l'extrémité de retenue arrière (22) a une longueur (L) supérieure à la distance (L1) entre l'organe avant de retenue (7) et l'organe arrière de retenue (8), avec un différentiel (d) assurant la pression de l'élément élastique sur la chaussure.
Lors du chaussage (figure 8), l'utilisateur, par action vers le bas de son talon sur la plaque d'appui arrière (110), provoque la rotation vers l'avant selon R1 de la paroi d'emboîtement arrière (10c) qui dans ce mode de réalisation est l'élément élastique (11).
Lors de cette rotation, l'élément élastique (11) constituant la paroi arrière d'emboitement (10c), vient dans un premier temps simplement en appui sur la partie haute arrière (12) du talon tel que cela est illustré à la figure 9. La rotation vers l'avant se prolongeant, l'élément élastique (11) est forcé et contraint contre la chaussure pour en assurer la retenue.
En fin de rotation, le verrouillage de la plaque d'appui (110) se fait par coopération de la pièce mobile de verrouillage (13) avec la branche transversale (111) de la pièce fixe (15). La chaussure est ainsi maintenue par action vers l'avant selon (F) de l'élément élastique (11).
Selon le mode de réalisation précédemment décrit et illustré, l'organe arrière d'emboitement est mis en appui, contraint contre la chaussure par pivotement, mais il pourrait en être autrement. Ainsi, selon la variante illustrée à la figure 11, le déplacement vers la chaussure pour mettre en appui sous contrainte la paroi d'emboitement arrière (10c) se fait par déplacement en translation (T) vers l'avant de l'organe de retenue arrière (8) avec son élément élastique (11). A cet effet les moyens pour provoquer ce déplacement sont constitués par un système de biellettes (25) disposé sous le talon de la chaussure.
Selon une variante non représentée, la paroi arrière (10c) de la paroi d'emboitement arrière (9) est en matériau non élastique, tandis que les parois latérales (10a, 10b) sont en matériau élastique. Selon ce mode de réalisation le mode de fonctionnement est le même. Sauf que la paroi arrière d'emboitement (10c) n'est pas élastique, mais grâce à l'action des parois latérales (10a, lob), qui elles sont élastiques, ladite paroi arrière d'emboitement (10c) est en appui contraint sur la chaussure.
Le mode de réalisation préféré, illustré aux figures 1 à 11, est tel que c'est l'organe de retenue arrière qui comprend l'élément élastique, mais il pourrait en être autrement. Ainsi l'organe de retenue avant pourrait comprendre un élément élastique qui pourrait venir faire pression sur la chaussure pour en assurer sa retenue.
Les figures 4a et 5a sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une variante d'exécution, selon laquelle la paroi arrière d'emboîtement (10c) est montée articulée sur chacune des parois latérales (10a, 10b) autour d'un axe transversal (120). Ce qui permet une meilleure adaptation à la chaussure.
Les figures 4b et 5b sont des vues similaires aux figures 1 et 5 illustrant une autre variante d'exécution, selon laquelle l'axe de pivotement (Y, Y') de l'organe de retenue arrière, est déplacé vers l'avant, pour être placé plus en avant par rapport à la paroi arrière (1c), contrairement à la réalisation précédente selon laquelle l'axe de pivotement (Y, Y') est situé sensiblement à la verticale de la partie arrière de la paroi arrière (1c). Avec la réalisation des figures 5a, 5b, on a compris que l'engagement de la paroi arrière (1c) contre le talon sera plus important.
5 Notons que l'élasticité nécessaire peut être obtenue grâce au coulissement des moyens de retenu arrière (8) sur la plaque qui les porte, lequel coulissement se faisant contre l'action d'un système élastique tel qu'un ressort ou autre.
On a compris que le chaussage et la retenue de la chaussure sur la 10 raquette se fait automatiquement par l'effet élastique de l'élément élastique de l'un des moyens de retenue.
Claims (13)
1. Fixation (3) pour raquette à neige (1) comprenant des moyens avant de retenue (5), et des moyens arrière de retenue (6), chacun des moyens de retenue étant constitué par un organe de retenue (7, 8) de la chaussure (CH), l'un au moins des organes de retenue comprend au moins un élément d'appui (11) permettant à l'organe correspondant d'être en appui contraint sur la chaussure, tandis que ledit organe de retenue est mobile entre une position de libération de la chaussure et une position de tenue de la chaussure, ladite fixation comprenant par ailleurs des moyens (110, 25) pour provoquer le déplacement de l'organe de retenue de sa position de libération vers sa position de retenue, position selon laquelle il se trouve en appui sur la chaussure, ces moyens étant constitués par une pièce mobile disposée sous la zone occupée par la chaussure, reliée au moins cinématiquement audit organe de retenue correspondant, l'actionnement de la pièce mobile par la chaussure lors du chaussage, provoquant le déplacement dudit organe de retenue correspondant vers sa position de retenue, caractérisée en ce que l'élément d'appui (11) est un élément souple.
2. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que l'organe de retenue (8) est monté mobile en rotation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de tenue de la chaussure.
3. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon la revendication 1, caractérisée en ce que l'organe de retenue (8) est monté mobile en translation pour prendre la position de libération de la chaussure et la position de retenue de la chaussure.
4. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que l'élément d'appui (11) est un élément élastique.
5. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens de verrouillage de la position de retenue de l'organe de retenue, et de déverrouillage de cette position.
6. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les moyens de retenue arrière (6) comprennent l'élément d'appui (11).
7. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que les moyens de retenue arrière (6) sont constitués par un organe de retenue arrière (8) constitué par une paroi d'emboîtement arrière (9) formant une cavité ouverte vers l'avant (AV) à
savoir en direction des moyens de retenue avant (5) destinés à retenir le talon de la chaussure (CH).
savoir en direction des moyens de retenue avant (5) destinés à retenir le talon de la chaussure (CH).
8. Fixation (3) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que la paroi d'emboitement (9) est montée pivotante sur la plaque (4) autour d'un axe transversal (Y, Y'), ladite paroi d'emboitement (9) étant constituée par deux parois latérales (10a, 10b) et une paroi arrière d'emboitement (10c).
9. Fixation (3) selon la revendication précédente, caractérisée en ce que la paroi arrière (10c) est réalisée en matériau élastique pour constituer l'élément élastique (11), c'est cet élément élastique constitué par une bande deformable élastiquement qui est destinée à être en appui contraint sur la partie haute arrière du talon (12).
10. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que la pièce mobile, est une plaque d'appui arrière (110) solidaire en rotation de l'organe arrière de retenue (8).
11. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisée en ce que la pièce mobile est un système de biellettes (25).
12. Fixation (3) pour raquette à neige (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que les moyens avant de retenue (5), et les moyens arrière de retenue (6) sont portés par une plaque pivotante (4).
13. Raquette à neige (1), caractérisée en ce qu'elle est équipée de la fixation (3) selon l'une quelconque des revendications précédentes.
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