CA2642789A1 - Semelles orthopediques proprioceptives posturales - Google Patents
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Abstract
La présente invention porte sur une semelle orthopédique proprioceptive posturale. Elle comprend un moyen agencé pour exercer une pression soit sur les tendons au niveau des cols des têtes métatarsiennes soit sur la zone sous scaphoïdo-calcanéenne par une surépaisseur entre un et quatre millimètres de manière à stimuler la zone réflexe du pied en cet endroit. L'invention permet de réaliser des semelles standard en fonction de la seule pointure du pied soit à visée excitatrice soit à visée inhibitrice selon le besoin.
Description
Semelles orthopédiques proprioceptives posturales La présente invention concerne une paire de semelles orthopédiques permettant de rétablir l'équilibre postural.
L'être humain est asymétrique par rapport à la ligne médiane de son corps (ligne verticale dite de gravité passant par le haut du crâne et descendant entre les jainbes de haut en bas).
Durant sa vie, l'homme doit gérer des stress plus ou moins agressifs pour son équilibre et sa santé.
On s'est aperçu. que ces différents stress liés à notre société occasionnaient des somatisations plus ou moins importantes sur notre corps et notre santé.
En effet, en fonction du terrain dominant de chacun, musculaire, tendineux, viscéral, le système nerveux se manifeste par des somatisations touchant préférentiellement les muscles, les tendons, les viscères en fonction du terrain et du tissu directeur de chacun.
Si c'est le tissu musculaire qui est dominant-chez un individu le corps réagira par des contractions musculaires plus ou moins importantes et une augmentation asymétrique du tonus inusculaire se traduisant par un déséquilibre postural du bassin par exemple ou par un autre déséquilibre (scapulaire).
Si c'est le tissu tendineux le plus dominant, l'individu aura tendance à faire des tendinites et des tendinopathies de toutes sortes. Si c'est du viscéral, ce seront les viscères qui seront touchées.
La présente invention s'attache particulièrement à contrer ces différentes somatisations du corps humain en stimulant d'une manière mécanique appropriée le système nerveux.
Elle porte sur une paire de semelles orthopédiques ou encore appelées orthèses plantaires permettant, grâce à une stimulation neurologique, d'exciter ou d'inhiber le système nerveux afin de rétablir un équilibre postural approprié.
On l'appellera orthèses plantaires proprioceptives posturales ou semelles orthopédiques proprioceptives posturales.
On connaît bien sûr des semelles orthopédiques qui, placées dans les chaussures sont destinées à corriger ou compenser un trouble morphologique, à
soulager, isoler un ou plusieurs appuis douloureux.
Ainsi, dans le document US 5388351, on propose une semelle fournissant une correction pour les problèmes d'arche cuboïdo-naviculaire et de voûte plantaire, cette correction étant apportée par un support au niveau de ces arches. Ce support est constitué d'une portion médiane surélevée. La surface la plus élevée de cette semelle se trouve au niveau postérieur de la voûte c'est-à-dire dans une région adjacente à la région du talon et s'engage sous l'arche cuboïdo-naviculaire du pied.
Cette portion la plus élevée se prolonge par une portion surélevée s'engageant sous
L'être humain est asymétrique par rapport à la ligne médiane de son corps (ligne verticale dite de gravité passant par le haut du crâne et descendant entre les jainbes de haut en bas).
Durant sa vie, l'homme doit gérer des stress plus ou moins agressifs pour son équilibre et sa santé.
On s'est aperçu. que ces différents stress liés à notre société occasionnaient des somatisations plus ou moins importantes sur notre corps et notre santé.
En effet, en fonction du terrain dominant de chacun, musculaire, tendineux, viscéral, le système nerveux se manifeste par des somatisations touchant préférentiellement les muscles, les tendons, les viscères en fonction du terrain et du tissu directeur de chacun.
Si c'est le tissu musculaire qui est dominant-chez un individu le corps réagira par des contractions musculaires plus ou moins importantes et une augmentation asymétrique du tonus inusculaire se traduisant par un déséquilibre postural du bassin par exemple ou par un autre déséquilibre (scapulaire).
Si c'est le tissu tendineux le plus dominant, l'individu aura tendance à faire des tendinites et des tendinopathies de toutes sortes. Si c'est du viscéral, ce seront les viscères qui seront touchées.
La présente invention s'attache particulièrement à contrer ces différentes somatisations du corps humain en stimulant d'une manière mécanique appropriée le système nerveux.
Elle porte sur une paire de semelles orthopédiques ou encore appelées orthèses plantaires permettant, grâce à une stimulation neurologique, d'exciter ou d'inhiber le système nerveux afin de rétablir un équilibre postural approprié.
On l'appellera orthèses plantaires proprioceptives posturales ou semelles orthopédiques proprioceptives posturales.
On connaît bien sûr des semelles orthopédiques qui, placées dans les chaussures sont destinées à corriger ou compenser un trouble morphologique, à
soulager, isoler un ou plusieurs appuis douloureux.
Ainsi, dans le document US 5388351, on propose une semelle fournissant une correction pour les problèmes d'arche cuboïdo-naviculaire et de voûte plantaire, cette correction étant apportée par un support au niveau de ces arches. Ce support est constitué d'une portion médiane surélevée. La surface la plus élevée de cette semelle se trouve au niveau postérieur de la voûte c'est-à-dire dans une région adjacente à la région du talon et s'engage sous l'arche cuboïdo-naviculaire du pied.
Cette portion la plus élevée se prolonge par une portion surélevée s'engageant sous
2 les os cunéiformes et les 2/3 proximaux des métatarses et se termine par une région convexe s'engageant sous l'arche métatarsienne transverse au niveau des têtes métatarsiennes. Une telle semelle sert de support pour ces différentes arches et n'est pas utilisée en vue de stimuler les zones réflexes au niveau des cols de têtes métatarsiennes ou la zone sous-scaphoïdo-calcanéenne du pied.
De même, dans US 2001/0045027, est décrit une semelle orthopédique comportant une zone surélevée en région médiane. La zone la plus élevée de la semelle correspond à l'aire intérieure latérale du pied alors que la zone la moins élevée à l'aire latérale extérieure. Les parties correspondant à l'aire de la voûte et du talon sont de formes irrégulières. Dans la région antérieure de la semelle, la zone où
reposeront les orteils a une direction horizontale modifiée, elle se recourbe vers le haut. Une telle seinelle possède une zone surélevée correspondant à la région antérieure du pied venant sous les métatarses mais également à la région postéro-, latérale interne du pied venant sous les os du tarse.
Dans DE 203 11921, on a proposé un dispositif orthopédique pour corriger de façon fonctionnelle une mauvaise position des pieds. Ce dispositif est constitué
d'au moins un élément d'appui plantaire direct venant en contact avec au moins un des os du pied et caractérisé en ce qu'il est formé dans une zone d'élévation d'appui fixée. Une telle semelle n'a aucune visée d'action proprioceptive desdits éléments d'appui sur le pied, qui sont destinés à corriger une mauvaise position du pied.
D'autre part, une telle semelle comporte une sur-élévation de la zone postéro-latérale interne du pied correspondant à la zone du talon (le calcanéum), une zone postérieure à celle devant être stimulée dans le cas d'une semelle proprioceptive.
Tous ces documents ci-dessus proposent donc de corriger ou compenser une position du pied et ne proposent nullement de semelles orthopédiques proprioceptives posturales.
On rappelle que la proprioceptivité est l'ensemble des sensations résultant de la perception qu'a l'homine de son propre corps dans l'espace. Il s'agit soit de sensations kinesthésiques liées aux mouvements des parties du corps soit des sensations posturales lorsque le corps est statique. Le mal de dos chronique trouve souvent son origine dans un déséquilibre postural dont l'origine est le système nerveux et non pas la mécanique des segments osseux. Ce sont les muscles attachés sur les os qui créent en fonction de leur tonicité un déséquilibre plus ou moins important de la posture.
L'invention a donc pour objectif d'améliorer l'équilibre postural du corps en travaillant sur le système nerveux et sur la proprioception.
L'invention a également pour objectif de parvenir à la standardisation d'un moyen thérapeutique permettant de traiter une clientèle de masse.
De même, dans US 2001/0045027, est décrit une semelle orthopédique comportant une zone surélevée en région médiane. La zone la plus élevée de la semelle correspond à l'aire intérieure latérale du pied alors que la zone la moins élevée à l'aire latérale extérieure. Les parties correspondant à l'aire de la voûte et du talon sont de formes irrégulières. Dans la région antérieure de la semelle, la zone où
reposeront les orteils a une direction horizontale modifiée, elle se recourbe vers le haut. Une telle seinelle possède une zone surélevée correspondant à la région antérieure du pied venant sous les métatarses mais également à la région postéro-, latérale interne du pied venant sous les os du tarse.
Dans DE 203 11921, on a proposé un dispositif orthopédique pour corriger de façon fonctionnelle une mauvaise position des pieds. Ce dispositif est constitué
d'au moins un élément d'appui plantaire direct venant en contact avec au moins un des os du pied et caractérisé en ce qu'il est formé dans une zone d'élévation d'appui fixée. Une telle semelle n'a aucune visée d'action proprioceptive desdits éléments d'appui sur le pied, qui sont destinés à corriger une mauvaise position du pied.
D'autre part, une telle semelle comporte une sur-élévation de la zone postéro-latérale interne du pied correspondant à la zone du talon (le calcanéum), une zone postérieure à celle devant être stimulée dans le cas d'une semelle proprioceptive.
Tous ces documents ci-dessus proposent donc de corriger ou compenser une position du pied et ne proposent nullement de semelles orthopédiques proprioceptives posturales.
On rappelle que la proprioceptivité est l'ensemble des sensations résultant de la perception qu'a l'homine de son propre corps dans l'espace. Il s'agit soit de sensations kinesthésiques liées aux mouvements des parties du corps soit des sensations posturales lorsque le corps est statique. Le mal de dos chronique trouve souvent son origine dans un déséquilibre postural dont l'origine est le système nerveux et non pas la mécanique des segments osseux. Ce sont les muscles attachés sur les os qui créent en fonction de leur tonicité un déséquilibre plus ou moins important de la posture.
L'invention a donc pour objectif d'améliorer l'équilibre postural du corps en travaillant sur le système nerveux et sur la proprioception.
L'invention a également pour objectif de parvenir à la standardisation d'un moyen thérapeutique permettant de traiter une clientèle de masse.
3 On parvient à ces objectifs avec une semelle orthopédique proprioceptive posturale caractérisée par le fait qu'elle coinprend un moyen agencé pour exercer une pression soit sur les tendons au niveau des cols des têtes métatarsiennes soit sur la zone musculaire sous scaphoïdo-calcanéenne par une surépaisseur comprise entre un et quatre millimètres de manière à stimuler la zone réflexe du pied en cet endroit.
Dans le cas d'une semelle de type à action inhibitrice, une seinelle orthopédique proprioceptive comprenant un bord antérieur venant en appui sur les cols des têtes métatarsiennes, est caractérisée par le fait qu'elle comprend une barre rétro-capitale d'épaisseur comprise entre un et quatre millimètres, s'étendant depuis ladite limite antérieure et en arrière de celle-ci sur une distance coinprise entre un et six centimètres en fonction de la taille du pied, de manière à être apte à
exercer une pression sur les capteurs neuro-tendineux du pied au niveau des tendons et des aponévroses.
La semelle comprend en outre les caractéristiques suivantes prises seules ou en combinaison. l'épaisseur entre la liinite postérieure de ladite barre et l'extrémité du talon est comprise entre 0,5 et deux milliinètres. Plus particulièrement la dite épaisseur entre la limite postérieure de la dite barre rétro-capitale et l'extrémité du talon est constante.
La semelle coinprend une zone de transition en forme de biseau avec un plan incliné entre la dite barre rétro-capitale et le bord antérieur. Celle-ci s'étend sur une distance comprise entre 1 et trois millimètres.
La limite postérieure de ladite barre rétro-capitale forme une zone à surface inclinée s'étendant sur un à trois millimètres.
Dans le cas d'une semelle à action excitatrice, le bord antérieur est agencé
pour ne pas stimuler les capteurs des cols des têtes métatarsiennes, une calle dure d'épaisseur de 1 à 2 mm étant disposée sous la zone sous scaphoïdo-calcanéenne pour stimuler celle-ci. De préférence la semelle est entière.
La semelle comprend de préférence un moyen d'immobilisation à
l'intérieur de la chaussure. Ledit moyen comprend par exemple un support solidaire de la semelle formant un pavé et une pluralité de crochets s'étendant perpendiculairement au dit support, lesdits crochets étant adaptés pour s'accrocher aux éléments d'un moyen complémentaire disposé dans la chaussure.
L'invention résulte des observations suivantes. La majorité des patients qui viennent consulter pour une jambe plus courte a dans la majorité des cas des jambes de même longueur. Ils ont une bascule du bassin non pas par inégalité de longueur de jambe mais par asymétrie des tensions musculaires des inuscles qui s'attachent sur le bassin et la colonne vertébrale.
Dans le cas d'une semelle de type à action inhibitrice, une seinelle orthopédique proprioceptive comprenant un bord antérieur venant en appui sur les cols des têtes métatarsiennes, est caractérisée par le fait qu'elle comprend une barre rétro-capitale d'épaisseur comprise entre un et quatre millimètres, s'étendant depuis ladite limite antérieure et en arrière de celle-ci sur une distance coinprise entre un et six centimètres en fonction de la taille du pied, de manière à être apte à
exercer une pression sur les capteurs neuro-tendineux du pied au niveau des tendons et des aponévroses.
La semelle comprend en outre les caractéristiques suivantes prises seules ou en combinaison. l'épaisseur entre la liinite postérieure de ladite barre et l'extrémité du talon est comprise entre 0,5 et deux milliinètres. Plus particulièrement la dite épaisseur entre la limite postérieure de la dite barre rétro-capitale et l'extrémité du talon est constante.
La semelle coinprend une zone de transition en forme de biseau avec un plan incliné entre la dite barre rétro-capitale et le bord antérieur. Celle-ci s'étend sur une distance comprise entre 1 et trois millimètres.
La limite postérieure de ladite barre rétro-capitale forme une zone à surface inclinée s'étendant sur un à trois millimètres.
Dans le cas d'une semelle à action excitatrice, le bord antérieur est agencé
pour ne pas stimuler les capteurs des cols des têtes métatarsiennes, une calle dure d'épaisseur de 1 à 2 mm étant disposée sous la zone sous scaphoïdo-calcanéenne pour stimuler celle-ci. De préférence la semelle est entière.
La semelle comprend de préférence un moyen d'immobilisation à
l'intérieur de la chaussure. Ledit moyen comprend par exemple un support solidaire de la semelle formant un pavé et une pluralité de crochets s'étendant perpendiculairement au dit support, lesdits crochets étant adaptés pour s'accrocher aux éléments d'un moyen complémentaire disposé dans la chaussure.
L'invention résulte des observations suivantes. La majorité des patients qui viennent consulter pour une jambe plus courte a dans la majorité des cas des jambes de même longueur. Ils ont une bascule du bassin non pas par inégalité de longueur de jambe mais par asymétrie des tensions musculaires des inuscles qui s'attachent sur le bassin et la colonne vertébrale.
4 On peut traiter d'une manière proprioceptive une grande partie de la population qui souffre de problèmes de dos (lombalgie, dorsalgie, cervicalgie, scoliose, attitude scoliotique) grâce à la standardisation d'un moyen thérapeutique dit proprioceptif. On traite dans ce cas l'étiologie du problème et non plus les syinptômes au risque de créer des lésions annexes (anti-inflammatoires par exeinple).
En effet, les techniques actuelles ne sont pas standardisées au niveau proprioceptif, c'est du coup par coup et de l'adaptatif en fonction de chaque patient.
Les semelles orthopédiques que l'on trouve dans le commerce sont souvent des semelles therinoformées de confort à visée antalgique mais ces orthèses n'ont pas d'effet direct sur la posture et sur les muscles. Pour réaliser ce genre d'orthèse, il est aujourd'hui nécessaire de faire appel à un podologue spécialisé dans la posture qui fera un travail sur mesure en fonction de l'empreinte de chaque patient.
Les seules techniques standardisées sont des techniques mécaniques qui ont un réel effet sur des causes mécaniques (quand un patient a réellement une jambe courte, talonnette de 5 mm par exemple qu'on peut acheter en pharmacie), c'est ce qu'on appellera la standardisation des étiologies mécaniques.
La présente invention standardise les étiologies neurologiques qui sont au moins aussi fréquentes que les étiologies mécaniques. Elle se rapporte à une paire de semelles qui permet à son utilisateur de retrouver un équilibre postural par une harmonisation des tensions neuromusculaires.
Grâce à la standardisation le médecin pourra prescrire une paire de semelles orthopédiques proprioceptives en fonction de la seule pointure du patient.
Par ailleurs on traite des pathologies pour lesquelles, jusque là, on avait comme seule arme les anti-inflammatoires. Ce n'est pas nocif pour l'organisme.
En outre ce type d'orthèses plantaires pennet de traiter de nombreuses pathologies : lombalgies, dorsalgies, cyphoses, scolioses, cervicalgies, migraines, épines calcanéennes, aponévrosites plantaires, coxalgies, tendinites des membres inférieurs (tendiiiites d'Achille, gonalgies tendineuses, coxalgies tendineuses), arthropathie genoux, hanche, etc.
Sur le plan économique l'avantage est important par la baisse des dépenses de santé.
On décrit ci-après un mode de réalisation non limitatif de l'invention en référence aux dessins sur lesquels La figure 1 représente une semelle inhibitrice conforme à l'invention vue de dessus ;
La figure 2 représente la semelle de la figure 1 vue de côté ;
La figure 3 représente schématiquement une semelle inhibitrice, confonne à l'invention en position à l'ùltérieur de la chaussure.
La figure 4 montre une empreinte de pied à partir de laquelle on choisit la semelle.
En effet, les techniques actuelles ne sont pas standardisées au niveau proprioceptif, c'est du coup par coup et de l'adaptatif en fonction de chaque patient.
Les semelles orthopédiques que l'on trouve dans le commerce sont souvent des semelles therinoformées de confort à visée antalgique mais ces orthèses n'ont pas d'effet direct sur la posture et sur les muscles. Pour réaliser ce genre d'orthèse, il est aujourd'hui nécessaire de faire appel à un podologue spécialisé dans la posture qui fera un travail sur mesure en fonction de l'empreinte de chaque patient.
Les seules techniques standardisées sont des techniques mécaniques qui ont un réel effet sur des causes mécaniques (quand un patient a réellement une jambe courte, talonnette de 5 mm par exemple qu'on peut acheter en pharmacie), c'est ce qu'on appellera la standardisation des étiologies mécaniques.
La présente invention standardise les étiologies neurologiques qui sont au moins aussi fréquentes que les étiologies mécaniques. Elle se rapporte à une paire de semelles qui permet à son utilisateur de retrouver un équilibre postural par une harmonisation des tensions neuromusculaires.
Grâce à la standardisation le médecin pourra prescrire une paire de semelles orthopédiques proprioceptives en fonction de la seule pointure du patient.
Par ailleurs on traite des pathologies pour lesquelles, jusque là, on avait comme seule arme les anti-inflammatoires. Ce n'est pas nocif pour l'organisme.
En outre ce type d'orthèses plantaires pennet de traiter de nombreuses pathologies : lombalgies, dorsalgies, cyphoses, scolioses, cervicalgies, migraines, épines calcanéennes, aponévrosites plantaires, coxalgies, tendinites des membres inférieurs (tendiiiites d'Achille, gonalgies tendineuses, coxalgies tendineuses), arthropathie genoux, hanche, etc.
Sur le plan économique l'avantage est important par la baisse des dépenses de santé.
On décrit ci-après un mode de réalisation non limitatif de l'invention en référence aux dessins sur lesquels La figure 1 représente une semelle inhibitrice conforme à l'invention vue de dessus ;
La figure 2 représente la semelle de la figure 1 vue de côté ;
La figure 3 représente schématiquement une semelle inhibitrice, confonne à l'invention en position à l'ùltérieur de la chaussure.
La figure 4 montre une empreinte de pied à partir de laquelle on choisit la semelle.
5 La semelle 1 orthopédique, inhibitrice, a une fonne qui lui permet d'être placée dans une chaussure. Elle est de type trois-quarts en ce sens que le pied reposant sur celle-ci ne la recouvre que du talon jusqu'à la ligne fonnée par les cols des têtes métatarsiennes. Elle comporte ainsi une première partie A sur laquelle repose le talon, une deuxièrne partie B dans son prolongement correspondant à
la voûte plantaire et une troisième partie C dans le prolongement de la seconde.
Celle-ci, correspondant à l'arche antérieur, est plus large que les deux preinières, et son bord antérieur est formé par la dite ligne mentionnée ci-dessus. Le contour de la semelle reproduit sensiblement la trace de ces parties d'un pied standard masculin ou féminin. Le bord antérieur a une forme dite en chapeau de gendarme.
Comme on le voit sur la figure 2, les deux premières parties A et B ont ici la même épaisseur. Elle est de préférence assez faible, de l'ordre de 2 mm. La troisième partie a une surépaisseur, jusqu'à quatre millimètres. Cette surépaisseur ne forme pas une arête vive sur le bord antérieur Ca. Comme on le voit, elle forme un biseau à l'avant sur quelques millimètres. L'épaisseur totale une fois la semelle fmie est de 5 à 6 mm. A l'arrière également, la partie C diminue d'épaisseur progressivement jusqu'à une ligne Cb arrière de transition entre les deux parties B
et C. La forme de cette ligne Cb suit sensiblement la ligne Ca en s'en écartant légèrement vers le bord extérieur de la semelle, la zone stylôïde M5. Entre le bord intérieur et le bord extérieur, la dimension de cette partie C dans le sens de la longueur du pied augmente d'environ 3 cm à environ 4 cm, selon la taille du pied.
Cette barre est donc de type rétro-capitale. Elle se distingue par son épaisseur par son épaisseur très fine et par voie de conséquence par sa fonction.
Les barres rétro-capitales sont en soi bien connues de l'homme de l'art.
Selon l'art antérieur, elles ont une fonction compensatrice mécanique en étant relativement épaisses. Leur fonction est de décharger les têtes métatarsiennes. Le poids du corps, pendant la marche ou en station debout, est supporté en partie par la barre rétro-capitale.
Contrairement aux solutions de l'art antérieur, la surépaisseur de la partie C
a simplement pour fonction de stimuler la zone réflexe du pied située à cet endroit.
On a représenté sur la figure 3, l'action de la partie C de la semelle sur cette zone du pied. La semelle exerce ainsi notamment une pression indiquée par une flèche sur les tendons au niveau des cols des têtes métatarsiennes.
la voûte plantaire et une troisième partie C dans le prolongement de la seconde.
Celle-ci, correspondant à l'arche antérieur, est plus large que les deux preinières, et son bord antérieur est formé par la dite ligne mentionnée ci-dessus. Le contour de la semelle reproduit sensiblement la trace de ces parties d'un pied standard masculin ou féminin. Le bord antérieur a une forme dite en chapeau de gendarme.
Comme on le voit sur la figure 2, les deux premières parties A et B ont ici la même épaisseur. Elle est de préférence assez faible, de l'ordre de 2 mm. La troisième partie a une surépaisseur, jusqu'à quatre millimètres. Cette surépaisseur ne forme pas une arête vive sur le bord antérieur Ca. Comme on le voit, elle forme un biseau à l'avant sur quelques millimètres. L'épaisseur totale une fois la semelle fmie est de 5 à 6 mm. A l'arrière également, la partie C diminue d'épaisseur progressivement jusqu'à une ligne Cb arrière de transition entre les deux parties B
et C. La forme de cette ligne Cb suit sensiblement la ligne Ca en s'en écartant légèrement vers le bord extérieur de la semelle, la zone stylôïde M5. Entre le bord intérieur et le bord extérieur, la dimension de cette partie C dans le sens de la longueur du pied augmente d'environ 3 cm à environ 4 cm, selon la taille du pied.
Cette barre est donc de type rétro-capitale. Elle se distingue par son épaisseur par son épaisseur très fine et par voie de conséquence par sa fonction.
Les barres rétro-capitales sont en soi bien connues de l'homme de l'art.
Selon l'art antérieur, elles ont une fonction compensatrice mécanique en étant relativement épaisses. Leur fonction est de décharger les têtes métatarsiennes. Le poids du corps, pendant la marche ou en station debout, est supporté en partie par la barre rétro-capitale.
Contrairement aux solutions de l'art antérieur, la surépaisseur de la partie C
a simplement pour fonction de stimuler la zone réflexe du pied située à cet endroit.
On a représenté sur la figure 3, l'action de la partie C de la semelle sur cette zone du pied. La semelle exerce ainsi notamment une pression indiquée par une flèche sur les tendons au niveau des cols des têtes métatarsiennes.
6 On a constaté qu'une semelle ainsi confonnée, présentant une légère surépaisseur dans la partie C, avait une action réflexe de détente musculaire, provoquant l'équilibre des tensions entre les chaines musculaires à gauche et les chaînes musculaires à droite réduisant l'asymétrie posturale statique quand on repose sur ses deux pieds.
Coinme il faut que la barre C soit en appui sur les cols des têtes métatarsiennes, on prévoit d'iminobiliser les semelles à l'intérieur des chaussures.
On a représenté un exemple de réalisation constitué par un pavé 3 d'attache mécanique de type connu sous le nom de Velcro . Cet élément 3 est de préférence logé dans une cavité ménagée dans l'épaisseur de la semelle sur la face inférieure, de préférence dans la zone A ou B. Cet élément 3 coopère avec un pavé
d'attache complémentaire que l'on a collé dans la chaussure. D'autres moyens d'immobilisation à l'intérieur de la chaussure sont également envisageables.
La seinelle est avantageusement confectionnée en cuir par collage de feuilles les unes sur les autres jusqu'à ce qu'on parvienne à l'épaisseur voulue.
Cependant d'autres matériaux sont envisageables seuls ou en combinaison, tels que le liège, les résines, les matériaux synthétiques ou bien même le carton.
On a réalisé des prototypes pour chaque pointure du 25 au 48 Homme et Femme respectivement. La surépaisseur de la barre rétro-capitale à son sommet va de 2 min pour le 35 à 4 mm pour le 48. Les largeurs correspondantes, mesurées entre le sommet de la courbe formant le bord antérieur et le bord opposé vont de 2 cm à 5 cm.
L'invention couvre également une réalisation où la semelle est entière.
Dans ce cas on doit considérer que la semelle précédente vient en surépaisseur par rapport à la semelle entière.
Les semelles de ce type, inhibitrices, concenient 90 % de la population qui a besoin de semelles orthopédiques ; ce sont également les pieds normaux et les pieds creux.
On décrit maintenant une méthode en référence à la figure 4 pour adapter une semelle orthopédique de l'invention à la morphologie du pied d'une personne.
On demande à la personne de se placer débout, pieds joints sur un support adapté avec lequel on peut réaliser une empreinte. On réalise ensuite une empreinte de chaque pied et on en trace les contours. Sur la figure, on distingue le talon T, les orteils O et la zone où se situent les têtes métatarsiennes M. En fait, on dispose généralement de gabarits standards à partir desquels on détermine le tracé
souhaité.
Sur cette empreinte, on détermine ensuite la limite postérieure des têtes et on trace la ligne LI les reliant entre elles. A partir de cette forme on peut alors
Coinme il faut que la barre C soit en appui sur les cols des têtes métatarsiennes, on prévoit d'iminobiliser les semelles à l'intérieur des chaussures.
On a représenté un exemple de réalisation constitué par un pavé 3 d'attache mécanique de type connu sous le nom de Velcro . Cet élément 3 est de préférence logé dans une cavité ménagée dans l'épaisseur de la semelle sur la face inférieure, de préférence dans la zone A ou B. Cet élément 3 coopère avec un pavé
d'attache complémentaire que l'on a collé dans la chaussure. D'autres moyens d'immobilisation à l'intérieur de la chaussure sont également envisageables.
La seinelle est avantageusement confectionnée en cuir par collage de feuilles les unes sur les autres jusqu'à ce qu'on parvienne à l'épaisseur voulue.
Cependant d'autres matériaux sont envisageables seuls ou en combinaison, tels que le liège, les résines, les matériaux synthétiques ou bien même le carton.
On a réalisé des prototypes pour chaque pointure du 25 au 48 Homme et Femme respectivement. La surépaisseur de la barre rétro-capitale à son sommet va de 2 min pour le 35 à 4 mm pour le 48. Les largeurs correspondantes, mesurées entre le sommet de la courbe formant le bord antérieur et le bord opposé vont de 2 cm à 5 cm.
L'invention couvre également une réalisation où la semelle est entière.
Dans ce cas on doit considérer que la semelle précédente vient en surépaisseur par rapport à la semelle entière.
Les semelles de ce type, inhibitrices, concenient 90 % de la population qui a besoin de semelles orthopédiques ; ce sont également les pieds normaux et les pieds creux.
On décrit maintenant une méthode en référence à la figure 4 pour adapter une semelle orthopédique de l'invention à la morphologie du pied d'une personne.
On demande à la personne de se placer débout, pieds joints sur un support adapté avec lequel on peut réaliser une empreinte. On réalise ensuite une empreinte de chaque pied et on en trace les contours. Sur la figure, on distingue le talon T, les orteils O et la zone où se situent les têtes métatarsiennes M. En fait, on dispose généralement de gabarits standards à partir desquels on détermine le tracé
souhaité.
Sur cette empreinte, on détermine ensuite la limite postérieure des têtes et on trace la ligne LI les reliant entre elles. A partir de cette forme on peut alors
7 fabriquer une semelle inhibitrice pour le pied correspondant avec les inatériaux appropriés.
Les semelles de type à action excitatrice concenient seulement 10 % de la population et elles sont plutôt indiquées chez les gens plutôt lymphatiques qui ont des pieds plats ou pieds plats valgus, ce sont des semelles de type à coin calcanéen pour stiinuler en excitation neurologique les gens qui sont en règle générale hypoactifs.
Il est nécessaire de ne pas stimuler les capteurs sous les cols des têtes métatarsiennes. En effet ces capteurs permettent une inhibition et l'on veut avec ce type de semelle faire une excitation. Les semelles de ce type ont la même base que celles de type précédent mais avec 1 cm voire 1,5 cm de moins en longueur pour ne pas stimuler ces capteurs. Cela correspond à la ligne LII sur la figure 4 L'épaisseur de la partie antérieure est réduite au maximum pour ne pas avoir d'effet stimulant sous les cols des têtes métatarsiennes. Par contre, la stimulation se fait dans la zone sous scaphoïdo-calcanéenne, correspondant à
la zone SC sur la figure 4, en interne avec une calle dure de 1 à 2 mm. Sinon, le reste de la conception reste le même que le type précédent.
En résumé par rapport au type précédent, elles sont plus courtes, très peu épaisses à la partie antérieure et stimulantes en intenle au niveau du talon avec une calle de 1 à 2 mm d'épaisseur.
Les semelles de type à action excitatrice concenient seulement 10 % de la population et elles sont plutôt indiquées chez les gens plutôt lymphatiques qui ont des pieds plats ou pieds plats valgus, ce sont des semelles de type à coin calcanéen pour stiinuler en excitation neurologique les gens qui sont en règle générale hypoactifs.
Il est nécessaire de ne pas stimuler les capteurs sous les cols des têtes métatarsiennes. En effet ces capteurs permettent une inhibition et l'on veut avec ce type de semelle faire une excitation. Les semelles de ce type ont la même base que celles de type précédent mais avec 1 cm voire 1,5 cm de moins en longueur pour ne pas stimuler ces capteurs. Cela correspond à la ligne LII sur la figure 4 L'épaisseur de la partie antérieure est réduite au maximum pour ne pas avoir d'effet stimulant sous les cols des têtes métatarsiennes. Par contre, la stimulation se fait dans la zone sous scaphoïdo-calcanéenne, correspondant à
la zone SC sur la figure 4, en interne avec une calle dure de 1 à 2 mm. Sinon, le reste de la conception reste le même que le type précédent.
En résumé par rapport au type précédent, elles sont plus courtes, très peu épaisses à la partie antérieure et stimulantes en intenle au niveau du talon avec une calle de 1 à 2 mm d'épaisseur.
Claims (11)
1. Semelle orthopédique proprioceptive posturale utilisée par paire caractérisée par le fait qu'elle comprend un moyen agencé pour exercer une pression soit sur les tendons au niveau des cols des têtes métatarsiennes soit sur la zone sous scaphoïdo-calcanéenne par une surépaisseur comprise entre un et quatre millimètres, de manière à
stimuler la zone réflexe du pied en cet endroit.
stimuler la zone réflexe du pied en cet endroit.
2. Semelle orthopédique proprioceptive posturale selon la revendication 1, de type à action inhibitrice, comprenant un bord antérieur venant en appui sur les cols des têtes métatarsiennes, caractérisée par le fait qu'elle comprend une barre rétro-capitale formant une surépaisseur comprise entre un et quatre millimètres, s'étendant depuis ladite limite antérieure et en arrière de celle-ci sur une distance comprise entre un et six centimètres en fonction de la taille du pied, de manière à être apte à exercer une pression sur les capteurs neuro-tendineux du pied au niveau des tendons et des aponévroses.
3. Semelle selon la revendication précédente dont l'épaisseur entre la limite postérieure de ladite barre et l' extrémité du talon est comprise entre 0,5 et deux millimètres.
4. Semelle selon la revendication précédente dont la dite épaisseur entre la limite postérieure de la dite barre rétro-capitale et l'extrémité du talon est constante.
5. Semelle selon l'une des revendications précédentes comprenant une zone de transition en forme de biseau avec un plan incliné entre la dite barre rétro-capitale et le bord antérieur.
6. Semelle selon la revendication précédente dont ladite zone de transition s'étend sur une distance comprise entre 1 et trois millimètres.
7. Semelle selon l'une des revendications précédentes dont la limite postérieure de ladite barre rétro-capitale forme une zone à surface inclinée.
8. Semelle selon la revendication 1, de type à action excitatrice, dont le bord antérieur est agencé pour ne pas stimuler les capteurs sous les cols des têtes métatarsiennes, une calle dure d'épaisseur de 1 à 2 mm étant disposée dans la zone sous scaphoïdo-calcanéenne pour stimuler celle-ci.
9. Semelle selon l'une des revendications précédentes comprenant un moyen d'immobilisation à l'intérieur de la chaussure.
10. Semelle selon la revendication précédente dont ledit moyen comprend un support solidaire de la semelle formant un pavé et une pluralité de crochets s'étendant perpendiculairement au dit support, lesdits crochets étant adaptés pour s'accrocher aux éléments d'un moyen complémentaire disposé dans la chaussure.
11. Semelle selon la revendication précédente dont le dit moyen est logé
dans une cavité ménagée dans l'épaisseur de la semelle.
dans une cavité ménagée dans l'épaisseur de la semelle.
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WO (1) | WO2007083020A2 (fr) |
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ES1046290Y (es) * | 2000-05-23 | 2001-05-16 | Sanchez Osorio Esteban Miguel | Plantilla perfeccionada para calzado. |
FR2853224A1 (fr) * | 2003-04-02 | 2004-10-08 | Nathalie Palkowslki | Semelle orthopedique et son procede de realisation |
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Legal Events
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FZDE | Discontinued |