CA2314533C - Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage - Google Patents
Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage Download PDFInfo
- Publication number
- CA2314533C CA2314533C CA2314533A CA2314533A CA2314533C CA 2314533 C CA2314533 C CA 2314533C CA 2314533 A CA2314533 A CA 2314533A CA 2314533 A CA2314533 A CA 2314533A CA 2314533 C CA2314533 C CA 2314533C
- Authority
- CA
- Canada
- Prior art keywords
- temperature
- steel
- annealing
- aluminum
- low
- Prior art date
- Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
- Expired - Fee Related
Links
Classifications
-
- C—CHEMISTRY; METALLURGY
- C21—METALLURGY OF IRON
- C21D—MODIFYING THE PHYSICAL STRUCTURE OF FERROUS METALS; GENERAL DEVICES FOR HEAT TREATMENT OF FERROUS OR NON-FERROUS METALS OR ALLOYS; MAKING METAL MALLEABLE, e.g. BY DECARBURISATION OR TEMPERING
- C21D8/00—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment
- C21D8/02—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips
- C21D8/04—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing
- C21D8/0447—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing characterised by the heat treatment
- C21D8/0468—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing characterised by the heat treatment between cold rolling steps
-
- C—CHEMISTRY; METALLURGY
- C21—METALLURGY OF IRON
- C21D—MODIFYING THE PHYSICAL STRUCTURE OF FERROUS METALS; GENERAL DEVICES FOR HEAT TREATMENT OF FERROUS OR NON-FERROUS METALS OR ALLOYS; MAKING METAL MALLEABLE, e.g. BY DECARBURISATION OR TEMPERING
- C21D9/00—Heat treatment, e.g. annealing, hardening, quenching or tempering, adapted for particular articles; Furnaces therefor
- C21D9/46—Heat treatment, e.g. annealing, hardening, quenching or tempering, adapted for particular articles; Furnaces therefor for sheet metals
- C21D9/48—Heat treatment, e.g. annealing, hardening, quenching or tempering, adapted for particular articles; Furnaces therefor for sheet metals deep-drawing sheets
-
- C—CHEMISTRY; METALLURGY
- C21—METALLURGY OF IRON
- C21D—MODIFYING THE PHYSICAL STRUCTURE OF FERROUS METALS; GENERAL DEVICES FOR HEAT TREATMENT OF FERROUS OR NON-FERROUS METALS OR ALLOYS; MAKING METAL MALLEABLE, e.g. BY DECARBURISATION OR TEMPERING
- C21D8/00—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment
- C21D8/02—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips
- C21D8/04—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing
- C21D8/0421—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing characterised by the working steps
- C21D8/0436—Cold rolling
-
- C—CHEMISTRY; METALLURGY
- C21—METALLURGY OF IRON
- C21D—MODIFYING THE PHYSICAL STRUCTURE OF FERROUS METALS; GENERAL DEVICES FOR HEAT TREATMENT OF FERROUS OR NON-FERROUS METALS OR ALLOYS; MAKING METAL MALLEABLE, e.g. BY DECARBURISATION OR TEMPERING
- C21D8/00—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment
- C21D8/02—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips
- C21D8/04—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing
- C21D8/0447—Modifying the physical properties by deformation combined with, or followed by, heat treatment during manufacturing of plates or strips to produce plates or strips for deep-drawing characterised by the heat treatment
- C21D8/0473—Final recrystallisation annealing
Landscapes
- Chemical & Material Sciences (AREA)
- Engineering & Computer Science (AREA)
- Physics & Mathematics (AREA)
- Thermal Sciences (AREA)
- Crystallography & Structural Chemistry (AREA)
- Mechanical Engineering (AREA)
- Materials Engineering (AREA)
- Metallurgy (AREA)
- Organic Chemistry (AREA)
- Heat Treatment Of Sheet Steel (AREA)
- Laminated Bodies (AREA)
- Wrappers (AREA)
Abstract
L'invention a pour objet une tôle d'acier à basse teneur en aluminium comprenant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014% d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables. L'acier comporte du carbone à l'état libre, un nombre de grains par mm2 supérieur à 30000 et, à l'état vieilli, un taux d'allongement A% satisfaisant la relation : (750 - Rm) / 16,5 ~ A% ~ (850 - Rm) / 17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture. Figure : Néant
Description
x TOLE D'ACIER A BASSE TENEUR EN ALUMINIUM POUR EMBALLAGE.
La présente invention concerne le domaine des aciers pour application dans le domaine de l'emballage mëtallique, alimentaire, non s alimentaire ou industriel.
Les aciers élaborés pour des utilisations propres à l'emballage métallique se différencient surtout des tôles minces par leurs caractéristiques physiques.
Les épaisseurs des tôles d'acier pour emballage varient de 0,12 to mm à 0,25 mm pour la plus grande majorité des utilisations, mais peuvent atteindre des épaisseurs plus importantes, jusqu'à 0,49 mm pour des applications très particulières. C'est par exemple le cas de certains emballages non alimentaires, comme par exemple certains aérosols, ou le cas de certains emballages industriels. Elles peuvent également descendre is jusqu'à 0,08 mm, par exemple dans le cas des barquettes alimentaires.
Les tôles d'acier pour emballage sont habituellement revêtues d'un revétement métallique (étain, refondu ou non, ou chrome) sur lequel est généralement déposé un revêtement organique (vernis, encres, films plastiques).
2o Dans le cas des emballages deux pièces, ceux-ci sont réalisés par emboutissage sous serre-flan, ou par emboutissagelrepassage pour les boites boissons, et sont généralement des boites axisymétriques, cylindriques ou tronconiques. Cependant, les emballagistes montrent un intérét de plus en plus marqué pour des aciers d'épaisseurs toujours plus faibles, de 0,12 mm à
2s 0,075 mm et, dans le souci de se différencier des concurrents, ils cherchent à
innover dans des formes de plus en plus complexes. Aussi trouvons nous maintenant des boites de formes originales, fabriquées dans des tôles d'acier de faibles épaisseurs qui, bien que présentant de plus grandes difficultés de formage, doivent répondre aux critères d'utilisation (tenue mécanique de 30 l'emballage, résistance à la charge axiale qu'ils subissent lors de leur entreposage en empilement, résistance à la surpression interne qu'ils subissent pendant le traitement thermique de stérilisation et à la dépression interne qu'ils subissent après le refroidissement) et donc présenter une très haute résistance mécanique.
3s Ainsi, la mise en oeuvre et la performance de ces emballages dépendent d'un certain nombre de caractéristiques mécaniques de l'acier , CA 02314533 2000-06-30
La présente invention concerne le domaine des aciers pour application dans le domaine de l'emballage mëtallique, alimentaire, non s alimentaire ou industriel.
Les aciers élaborés pour des utilisations propres à l'emballage métallique se différencient surtout des tôles minces par leurs caractéristiques physiques.
Les épaisseurs des tôles d'acier pour emballage varient de 0,12 to mm à 0,25 mm pour la plus grande majorité des utilisations, mais peuvent atteindre des épaisseurs plus importantes, jusqu'à 0,49 mm pour des applications très particulières. C'est par exemple le cas de certains emballages non alimentaires, comme par exemple certains aérosols, ou le cas de certains emballages industriels. Elles peuvent également descendre is jusqu'à 0,08 mm, par exemple dans le cas des barquettes alimentaires.
Les tôles d'acier pour emballage sont habituellement revêtues d'un revétement métallique (étain, refondu ou non, ou chrome) sur lequel est généralement déposé un revêtement organique (vernis, encres, films plastiques).
2o Dans le cas des emballages deux pièces, ceux-ci sont réalisés par emboutissage sous serre-flan, ou par emboutissagelrepassage pour les boites boissons, et sont généralement des boites axisymétriques, cylindriques ou tronconiques. Cependant, les emballagistes montrent un intérét de plus en plus marqué pour des aciers d'épaisseurs toujours plus faibles, de 0,12 mm à
2s 0,075 mm et, dans le souci de se différencier des concurrents, ils cherchent à
innover dans des formes de plus en plus complexes. Aussi trouvons nous maintenant des boites de formes originales, fabriquées dans des tôles d'acier de faibles épaisseurs qui, bien que présentant de plus grandes difficultés de formage, doivent répondre aux critères d'utilisation (tenue mécanique de 30 l'emballage, résistance à la charge axiale qu'ils subissent lors de leur entreposage en empilement, résistance à la surpression interne qu'ils subissent pendant le traitement thermique de stérilisation et à la dépression interne qu'ils subissent après le refroidissement) et donc présenter une très haute résistance mécanique.
3s Ainsi, la mise en oeuvre et la performance de ces emballages dépendent d'un certain nombre de caractéristiques mécaniques de l'acier , CA 02314533 2000-06-30
2 - le coefficient d'anisotropie planaire Oc aviso, - le coefficient de Lankford, la limite d'élasticité Re, - la résistance maximale à la rupture Rm, s - l'allongement A%, - l'allongement réparti Ag%.
Pour conférer à l'emballage une tenue mécanique équivalente à
épaisseur d'acier inférieure, il est indispensable que la tôle d'acier présente une résistance maximale à rupture plus élevée.
to Pour la réalisation d'emballages, il est connu d'utiliser des aciers à basse teneur en aluminium, et en particulier des aciers dits « aciers bas aluminium renitrurés ». Un tel acier est par exemple décrit dans le brevet français n° 95 11 113.
La teneur en carbone visée habituellement pour ce type d'acier ts est comprise entre 0,050% et 0,080%, la teneur en manganèse comprise entre 0,20 et 0,45%. La teneur en aluminium est contrôlée pour être inférieure à 0,020 % dans le but de conférer à la tôle d'acier une microstructure améliorée, une bonne propreté inclusionnaire, et par voie de conséquence des caractéristiques mécaniques élevées.
2o La teneur en azote est également contra"lée et est comprise entre 0,008 et 0,016 %. Cette teneur en azote est assurée par ajout en poche de cyanamide calcique lors de l'élaboration de l'acier, ou par soufflage d'azote gazeux dans le bain d'acier. L'intérët connu de l'ajout d'azote est de durcir l'acier par effet de solution solide.
as Ces tôles d'acier sont réalisées par laminage à froid d'une bande à chaud, avec un taux de laminage à froid compris entre 75% et plus de 90%, suivi d'un recuit en continu à une température comprise entre 640 et 700°C, et d'un second laminage à froid avec un taux d'allongement au cours de ce second laminage à froid variable entre 2% et 45% selon le niveau de 3o résistance maximale à la rupture Rm visé.
Mais, pour les aciers à basse teneur en aluminium, des caractéristiques mécaniques élevées sont associées à une capacité
d'allongement faible. Cette faible ductilité, outre le fait qu'elle est défavorable à la mise en forme de l'emballage, entraîne dans cette mise en forme un 3s amincissement des parois qui va être défavorable aux performances de l'emballage.
Pour conférer à l'emballage une tenue mécanique équivalente à
épaisseur d'acier inférieure, il est indispensable que la tôle d'acier présente une résistance maximale à rupture plus élevée.
to Pour la réalisation d'emballages, il est connu d'utiliser des aciers à basse teneur en aluminium, et en particulier des aciers dits « aciers bas aluminium renitrurés ». Un tel acier est par exemple décrit dans le brevet français n° 95 11 113.
La teneur en carbone visée habituellement pour ce type d'acier ts est comprise entre 0,050% et 0,080%, la teneur en manganèse comprise entre 0,20 et 0,45%. La teneur en aluminium est contrôlée pour être inférieure à 0,020 % dans le but de conférer à la tôle d'acier une microstructure améliorée, une bonne propreté inclusionnaire, et par voie de conséquence des caractéristiques mécaniques élevées.
2o La teneur en azote est également contra"lée et est comprise entre 0,008 et 0,016 %. Cette teneur en azote est assurée par ajout en poche de cyanamide calcique lors de l'élaboration de l'acier, ou par soufflage d'azote gazeux dans le bain d'acier. L'intérët connu de l'ajout d'azote est de durcir l'acier par effet de solution solide.
as Ces tôles d'acier sont réalisées par laminage à froid d'une bande à chaud, avec un taux de laminage à froid compris entre 75% et plus de 90%, suivi d'un recuit en continu à une température comprise entre 640 et 700°C, et d'un second laminage à froid avec un taux d'allongement au cours de ce second laminage à froid variable entre 2% et 45% selon le niveau de 3o résistance maximale à la rupture Rm visé.
Mais, pour les aciers à basse teneur en aluminium, des caractéristiques mécaniques élevées sont associées à une capacité
d'allongement faible. Cette faible ductilité, outre le fait qu'elle est défavorable à la mise en forme de l'emballage, entraîne dans cette mise en forme un 3s amincissement des parois qui va être défavorable aux performances de l'emballage.
3 Ainsi par exemple un acier « bas aluminium renitruré »
présentant une résistance maximale à la rupture Rm de l'ordre de 550 MPa, présentera un taux d'allongement A% de l'ordre de 2 à 5% seulement.
La présente invention a pour but de proposer une tôle d'acier à
s basse teneur en aluminium pour emballage qui présente un taux d'allongement A% plus élevé que celui des aciers à basse teneur en aluminium de l'état de la technique, à niveau de résistance maximale à la rupture équivalente.
Pour obtenir ces caractéristiques, l'invention a pour objet un io procédé de fabrication d'une bande d'acier à basse teneur en aluminium pour emballage, dans lequel - on approvisionne une bande d'acier laminée à chaud comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014%
is d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, - on effectue un premier laminage à froid de la bande, - on soumet la bande laminée à froid à un recuit, - on effectue éventuellement un laminage à froid secondaire, caractérisé en ce que le recuit est un recuit continu dont le cycle comporte 2o une montée en température jusqu'à une température supérieure à la température de début de transformation perlitique Ac,, un maintien de la bande au dessus de cette température pendant une durée supérieure à 10 secondes, et un refroidissement rapide de la bande jusqu'à une température inférieure à 350°C à une vitesse de refroidissement supérieure à
100°C par 2s seconde.
Selon d'autres caractéristiques du procédé selon l'invention - la bande est maintenue au cours du recuit à une température comprise entre Aci et 800°C, pendant une durée de 10 secondes à 2 minutes 30 - la vitesse de refroidissement est comprise entre 100°C par seconde et 500°C par seconde ;
- la bande est refroidie à une vitesse supérieure à 100°C par seconde jusqu'à la température ambiante.
L'invention concerne également une tôle d'acier à basse teneur 3s en aluminium comprenant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et
présentant une résistance maximale à la rupture Rm de l'ordre de 550 MPa, présentera un taux d'allongement A% de l'ordre de 2 à 5% seulement.
La présente invention a pour but de proposer une tôle d'acier à
s basse teneur en aluminium pour emballage qui présente un taux d'allongement A% plus élevé que celui des aciers à basse teneur en aluminium de l'état de la technique, à niveau de résistance maximale à la rupture équivalente.
Pour obtenir ces caractéristiques, l'invention a pour objet un io procédé de fabrication d'une bande d'acier à basse teneur en aluminium pour emballage, dans lequel - on approvisionne une bande d'acier laminée à chaud comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014%
is d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, - on effectue un premier laminage à froid de la bande, - on soumet la bande laminée à froid à un recuit, - on effectue éventuellement un laminage à froid secondaire, caractérisé en ce que le recuit est un recuit continu dont le cycle comporte 2o une montée en température jusqu'à une température supérieure à la température de début de transformation perlitique Ac,, un maintien de la bande au dessus de cette température pendant une durée supérieure à 10 secondes, et un refroidissement rapide de la bande jusqu'à une température inférieure à 350°C à une vitesse de refroidissement supérieure à
100°C par 2s seconde.
Selon d'autres caractéristiques du procédé selon l'invention - la bande est maintenue au cours du recuit à une température comprise entre Aci et 800°C, pendant une durée de 10 secondes à 2 minutes 30 - la vitesse de refroidissement est comprise entre 100°C par seconde et 500°C par seconde ;
- la bande est refroidie à une vitesse supérieure à 100°C par seconde jusqu'à la température ambiante.
L'invention concerne également une tôle d'acier à basse teneur 3s en aluminium comprenant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et
4 0,014% d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, fabriquée selon le procédé ci-dessus, caractérisé en ce qu'elle présente à
l'état vieilli un taux d'allongement A% satisfaisant la relation s (750 - Rm) I 16,5 <_ A% <_ (850 - Rm) I 17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
Selon d'autres caractéristiques de la tôle, l'acier comporte du carbone à l'état libre et/ou quelques carbures précipités à basse température, io et présente un nombre de grains par mm2 supérieur à 30000.
Les caractéristiques et avantages apparaîtront plus clairement dans la description qui suit, donnée uniquement à titre d'exemple, faite en référence aux figures jointes en annexe.
Les figures 1 et 2 sont des diagrammes montrant l'influence de rs la température de recuit sur la résistance maximale à rupture Rm.
La figure 3 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la résistance maximale à rupture Rm.
La figure 4 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la résistance maximale à rupture Rm et le taux 2o d'allongement A%.
La figure 5 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la dureté HR30T.
Plusieurs essais ont été réalisés, tout d'abord en laboratoire puis en conditions industrielles, pour valider les caractéristiques de l'invention.
Les 2s résultats complets de deux de ces essais vont maintenant étre décrits.
Ces essais concernent deux bobines à froid en acier à basse teneur en aluminium, dont les caractéristiques sont reproduites dans le tableau 1 ci-après.
Teneurs Lamina Lamina 10~ e chaud e froid %
C Mn AI N TFL Tbob Ep T rd. Ep C C mm % mm A 59 345 15 10,5 842 598 2,06 91,2 0,18 B 66 309 17 12 841 587 2,00 87 0,28 Tableau 1 Dans la première colonne, on a repéré la bobine ; dans les deuxième à cinquième colonnes, on a indiqué en 10-3 % poids les teneurs des constituants principaux ayant une importance. Les sixième à huitième s colonnes concernent les conditions de laminage à chaud : dans la sixième colonne, on a indiqué la température de fin de laminage à chaud ; dans la septième colonne, la température de bobinage ; dans la huitième colonne, l'épaisseur de la bande à chaud. Enfin les colonnes neuf et dix concernent les conditions de laminage à froid : dans la neuvième colonne, on a indiqué le io taux de réduction du laminage à froid et dans la dixième colonne, l'épaisseur finale de la bande à froid.
Ces deux bandes standard ont fait l'objet de recuits différenciés suivi de second laminages à froid également différenciés.
Les températures de maintien au recuit ont varié de 650°C à
is 800°C, les vitesses de refroidissement ont varié de 40°Cls à
400°C/s, et les taux d'allongement au second laminage ont varié de 1 % â 42%.
Outre les examens micrographiques, la caractérisation du métal issu de ces différents essais a consisté d'une part à faire des tractions sur des éprouvettes ISO 12,5x50 dans le sens du laminage et en sens travers, à
20 l'état frais et à l'état vieilli après vieillissement à 200°C
pendant 20 minutes, d'autre part de déterminer la dureté HR30T également à l'état frais et à
l'état vieilli.
Ces essais ont permis de démontrer qu'il est possible d'augmenter considérablement la résistance maximale à la rupture Rm pour 2s le même acier à basse teneur en aluminium, à taux d'allongement au second laminage à froid identique, si on pratique entre les deux laminages à froid un recuit continu selon les conditions de l'invention.
Dit autrement, ces essais ont permis de démontrer qu'il est possible d'augmenter considérablement la ductilité A% pour le méme acier à
3o basse teneur en aluminium, à résistance maximale à la rupture Rm identique, si on pratique entre les deux laminages à froid un recuit continu selon les conditions de l'invention, car le même niveau de Rm est atteint avec un taux d'allongement plus faible au cours du second laminage. Ainsi, il devient possible de réaliser des qualités d'acier à basse teneur en aluminium avec un 3s niveau de Rm de l'ordre de 380 MPa sans nécessiter de second laminage après recuit, sauf peut être une opération d'écrouissage léger appelé skin-pass qui permet de supprimer le palier de limite d'élasticité présent sur le métal en sortie du recuit.
Incidence de la composition de l'acier s Comme indiqué précédemment, l'invention ne se situe pas dans la composition de l'acier, qui est un acier à basse teneur en aluminium standard.
Comme tous les aciers à basse teneur en aluminium renitrurés, to ce sont essentiellement les teneurs en aluminium et en azote qui sont importantes - l'aluminium est utilisé pour calmer l'acier. II est limité à 0,020%
dans le but de conférer à la tôle d'acier une microstructure améliorée, une bonne propreté inclusionnaire, et part voie de conséquence des is caractéristiques mécaniques élevées ;
- la teneur en azote est également contrôlée et est comprise entre 0,008 et 0,016 %. Cette teneur en azote est assurée par ajout en poche de cyanamide calcique lors de l'élaboration de l'acier, ou par soufflage d'azote gazeux dans le bain d'acier. L'intérét connu de l'ajout d'azote est de 2o durcir l'acier par effet de solution solide.
Le carbone et le manganèse sont également deux éléments qu'il convient de contrôler.
- la teneur en carbone visée habituellement pour ce type d'acier est comprise entre 0,050% et 0,080% ;
Zs - la teneur en manganèse est comprise entre 0,25 et 0,40%.
Incidence des conditions de dénaturation à chaud Les aciers à basse teneur en aluminium renitrurés recuits en 3o continu sont généralement laminés à une température supérieure à Ar3.
Le paramètre essentiel est la température de bobinage, et on préfère un bobinage froid, entre 5Q0 ét 620°C. En effet, le bobinage chaud, à
une température supérieure à 650°C présente deux inconvénients - il génère des hétérogénéités de caractéristiques mécaniques 3s en liaison avec les différences de vitesses de refroidissement entre le coeur et les extrémités de la bande ;
- il induit un risque de croissance anormale des grains, laquelle peut se produire pour certains couples (température de fin de laminage, température de bobinage) et peut constituer un défaut rédhibitoire aussi bien en tôle à chaud qu'en tôle à froid.
s Néanmoins un bobinage chaud peut être effectué en pratiquant par exemple un bobinage sélectif : la température est plus élevée en extrémités de la bande.
Incidence des conditions de laminagie à froid io De par les faibles épaisseurs finales à réaliser, le domaine du taux de réduction à froid s'étend de 75% à plus de 90%.
Les facteurs principaux qui interviennent dans la définition du taux de réduction à froid sont bien évidemment l'épaisseur finale du produit, ts et sur ce point on peut jouer sur l'épaisseur du produit à chaud, ainsi que des considérations métallurgiques.
Les considérations métallurgiques sont basées sur l'incidence du taux de réduction à froid sur l'état microstructural, et par voie de conséquence sur les caractéristiques mécaniques aprés recristallisation et 2o recuit. Ainsi plus le taux de réduction à froid augmente, plus la température de recristallisation est faible, plus les grains sont faibles et plus Re et Rm sont élevés. En particulier, le taux de réduction a une incidence très forte sur le coefficient de Lankford.
Dans le cas d'exigences en termes de cornes d'emboutissage, il 2s convient par exemple d'optimiser la nuance d'acier et surtout la teneur en carbone, et le taux de réduction du laminage à froid avec la dureté ou les caractéristiques mécaniques souhaitées pour obtenir un métal dit « métal sans cornes ».
3o Incidence du recuit Une caractéristique importante de l'invention réside dans la température de recuit. II est important que la température de recuit soit supérieure au point de début de transformation perlitique Ace (de l'ordre de 3s 720°C pour ce type d'acier).
Une autre caractéristique importante de l'invention réside dans la vitesse de refroidissement qui doit être supérieure à 100°Cls.
Au cours du maintien de la bande à une température supérieure à Ace, il se forme de l'austénite, riche en carbone. Le refroidissement rapide s de cette austénite permet de maintenir une certaine quantité de carbone à
l'état libre etlou une précipitation de carbures à basse température, fins et dispersés. Ce carbone à l'état libre etlou ces carbures formés à basse température favorisent le blocage des dislocations, ce qui permet d'atteindre des niveaux de caractéristiques mécaniques élevés sans nécessiter une io réduction importante au cours du second laminage à froid qui suit.
II est donc important de réaliser un refroidissement rapide, compris entre 100 et 500°Cls au moins jusqu'à une température inférieure à
350°C. Si le refroidissement rapide est arrêté avant 350°C, les atomes de carbone libres vont pouvoir se combiner et l'effet recherché ne sera pas is atteint. II est bien évident qu'un refroidissement rapide jusqu'à la température ambiante est possible.
II est également possible d'effectuer un refroidissement à une vitesse supérieure à 500°C/s, mais la Demanderesse a constaté que au delà
de 500°C/s, l'influence d'une augmentation de la vitesse de refroidissement 2o n'est plus très significative.
Les figures 1 et 2 présentent l'influence de la température de recuit à vitesse de refroidissement constante (Visée 100°C/s et réalisée 73 à
102°Cls sur la figure 1 ; Visée 300°C/s et réalisée 228 à 331 °C/s sur la figure 2) sur la résistance maximale à la rupture Rm.
2s On constate sur ces figures une nette augmentation de Rm à
taux d'allongement du second laminage identique pour les aciers recuits à
750°C et à 800°C par rapport au même acier recuit à
650°C.
Toutefois, cette influence de la température de recuit sur la résistance maximale à la rupture Rm n'est pas très perceptible pour des taux 3o d'allongement au second laminage à froid inférieurs à 3%. Elle ne devient vraiment significative qu'à partir de 5% d'allongement au second laminage à
froid.
Une température trop élevée, supérieure à 800°C, entraine une précipitation, au moins partielle de l'azote sous la forme de nitrures 3s d'aluminium. Cet azote précipité ne participe plus au durcissement de l'acier, ce qui a pour effet une baisse de la résistance maximale à la rupture Rm. Ce phénomène est entrevu sur la figure 2 sur laquelle on remarque, pour des taux d'allongement supérieurs à 10 %, une baisse de l'augmentation de la résistance maximale à la rupture Rm entre l'échantillon recuit à 750°C
et l'échantillon recuit à 800°C.
s Le temps de maintien de la bande entre Ace et 800°C doit être suffisant pour remettre tout le carbone correspondant à l'équilibre en solution.
Un maintien pendant 10 secondes est suffisant pour s'assurer cette remise en solution de la quantité de carbone correspondant à l'équilibre pour les aciers dont la teneur en carbone est comprise entre 0,020 et 0,035%, et un maintien to au delà de 2 minutes, bien que possible, est inutile et coüteux.
Les figures 3 et 4 présentent l'influence de la vitesse de refroidissement à température de recuit constante (750°C) maintenue pendant 20 secondes.
Comme on peut le voir sur la figure 3, à 10% d'allongement au is second laminage à froid, la résistance maximale à la rupture Rm de l'acier est égale à environ 560 MPa si la vitesse de refroidissement est égale à
100°C/s, alors qu'elle n'atteint que 505 MPa si la vitesse de refroidissement est égale à
50°Cls.
On peut donc réaliser un acier à basse teneur en aluminium 2o dont la valeur de Rm est égale à 560 MPa avec seulement 10%
d'allongement au second laminage à froid si la vitesse de refroidissement est égale à 100°Cls, alors qu'il faut effectuer un second laminage à froid avec un taux d'allongement de 17 % si la vitesse de refroidissement n'est que de 50 ° Cls.
Zs Ce plus faible taux d'allongement au second laminage à froid permet de moins dégrader la ductilité de l'acier. On voit ainsi sur la figure que l'acier dont Rm est égal à 560 MPa présente une ductilité A% égale à
12,5 lorsque la vitesse de refroidissement est égale à 100°C/s, alors qu'elle est égale à 5,5 lorsque la vitesse de refroidissement est égal à
50°Cls.
3o Cette constatation est également valable sur la dureté de l'acier.
Comme on le voit sur la figure 5, pour un même taux d'allongement au second laminage à froid, la dureté de l'acier augmente si la vitesse de refroidissement est égale à 100°Cls. Cette augmentation de la dureté
est due à une teneur en carbone libre plus élevée et/ou à. la présence des précipités 3s fins et dispersés.
Les analyses micrographiques des échantillons ont permis de constater que le nombre de grains par mm2 est plus important (supérieur à
30000), et que les carbures, lorsqu'ils se sont formés sont de fa cémentite intergranulaire.
s Ainsi ce procédé de fabrication permet de réaliser un acier à
basse teneur en aluminium pour emballage, comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 d'aluminium, entre 0,010 et 0,014 % d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, qui présente à l'état vieilli un taux lo d'allongement A% satisfaisant la relation (750 - Rm) I 16,5 s A% <_ 850 - Rm) I 17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
ls
l'état vieilli un taux d'allongement A% satisfaisant la relation s (750 - Rm) I 16,5 <_ A% <_ (850 - Rm) I 17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
Selon d'autres caractéristiques de la tôle, l'acier comporte du carbone à l'état libre et/ou quelques carbures précipités à basse température, io et présente un nombre de grains par mm2 supérieur à 30000.
Les caractéristiques et avantages apparaîtront plus clairement dans la description qui suit, donnée uniquement à titre d'exemple, faite en référence aux figures jointes en annexe.
Les figures 1 et 2 sont des diagrammes montrant l'influence de rs la température de recuit sur la résistance maximale à rupture Rm.
La figure 3 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la résistance maximale à rupture Rm.
La figure 4 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la résistance maximale à rupture Rm et le taux 2o d'allongement A%.
La figure 5 est un diagramme montrant l'influence de la vitesse de refroidissement sur la dureté HR30T.
Plusieurs essais ont été réalisés, tout d'abord en laboratoire puis en conditions industrielles, pour valider les caractéristiques de l'invention.
Les 2s résultats complets de deux de ces essais vont maintenant étre décrits.
Ces essais concernent deux bobines à froid en acier à basse teneur en aluminium, dont les caractéristiques sont reproduites dans le tableau 1 ci-après.
Teneurs Lamina Lamina 10~ e chaud e froid %
C Mn AI N TFL Tbob Ep T rd. Ep C C mm % mm A 59 345 15 10,5 842 598 2,06 91,2 0,18 B 66 309 17 12 841 587 2,00 87 0,28 Tableau 1 Dans la première colonne, on a repéré la bobine ; dans les deuxième à cinquième colonnes, on a indiqué en 10-3 % poids les teneurs des constituants principaux ayant une importance. Les sixième à huitième s colonnes concernent les conditions de laminage à chaud : dans la sixième colonne, on a indiqué la température de fin de laminage à chaud ; dans la septième colonne, la température de bobinage ; dans la huitième colonne, l'épaisseur de la bande à chaud. Enfin les colonnes neuf et dix concernent les conditions de laminage à froid : dans la neuvième colonne, on a indiqué le io taux de réduction du laminage à froid et dans la dixième colonne, l'épaisseur finale de la bande à froid.
Ces deux bandes standard ont fait l'objet de recuits différenciés suivi de second laminages à froid également différenciés.
Les températures de maintien au recuit ont varié de 650°C à
is 800°C, les vitesses de refroidissement ont varié de 40°Cls à
400°C/s, et les taux d'allongement au second laminage ont varié de 1 % â 42%.
Outre les examens micrographiques, la caractérisation du métal issu de ces différents essais a consisté d'une part à faire des tractions sur des éprouvettes ISO 12,5x50 dans le sens du laminage et en sens travers, à
20 l'état frais et à l'état vieilli après vieillissement à 200°C
pendant 20 minutes, d'autre part de déterminer la dureté HR30T également à l'état frais et à
l'état vieilli.
Ces essais ont permis de démontrer qu'il est possible d'augmenter considérablement la résistance maximale à la rupture Rm pour 2s le même acier à basse teneur en aluminium, à taux d'allongement au second laminage à froid identique, si on pratique entre les deux laminages à froid un recuit continu selon les conditions de l'invention.
Dit autrement, ces essais ont permis de démontrer qu'il est possible d'augmenter considérablement la ductilité A% pour le méme acier à
3o basse teneur en aluminium, à résistance maximale à la rupture Rm identique, si on pratique entre les deux laminages à froid un recuit continu selon les conditions de l'invention, car le même niveau de Rm est atteint avec un taux d'allongement plus faible au cours du second laminage. Ainsi, il devient possible de réaliser des qualités d'acier à basse teneur en aluminium avec un 3s niveau de Rm de l'ordre de 380 MPa sans nécessiter de second laminage après recuit, sauf peut être une opération d'écrouissage léger appelé skin-pass qui permet de supprimer le palier de limite d'élasticité présent sur le métal en sortie du recuit.
Incidence de la composition de l'acier s Comme indiqué précédemment, l'invention ne se situe pas dans la composition de l'acier, qui est un acier à basse teneur en aluminium standard.
Comme tous les aciers à basse teneur en aluminium renitrurés, to ce sont essentiellement les teneurs en aluminium et en azote qui sont importantes - l'aluminium est utilisé pour calmer l'acier. II est limité à 0,020%
dans le but de conférer à la tôle d'acier une microstructure améliorée, une bonne propreté inclusionnaire, et part voie de conséquence des is caractéristiques mécaniques élevées ;
- la teneur en azote est également contrôlée et est comprise entre 0,008 et 0,016 %. Cette teneur en azote est assurée par ajout en poche de cyanamide calcique lors de l'élaboration de l'acier, ou par soufflage d'azote gazeux dans le bain d'acier. L'intérét connu de l'ajout d'azote est de 2o durcir l'acier par effet de solution solide.
Le carbone et le manganèse sont également deux éléments qu'il convient de contrôler.
- la teneur en carbone visée habituellement pour ce type d'acier est comprise entre 0,050% et 0,080% ;
Zs - la teneur en manganèse est comprise entre 0,25 et 0,40%.
Incidence des conditions de dénaturation à chaud Les aciers à basse teneur en aluminium renitrurés recuits en 3o continu sont généralement laminés à une température supérieure à Ar3.
Le paramètre essentiel est la température de bobinage, et on préfère un bobinage froid, entre 5Q0 ét 620°C. En effet, le bobinage chaud, à
une température supérieure à 650°C présente deux inconvénients - il génère des hétérogénéités de caractéristiques mécaniques 3s en liaison avec les différences de vitesses de refroidissement entre le coeur et les extrémités de la bande ;
- il induit un risque de croissance anormale des grains, laquelle peut se produire pour certains couples (température de fin de laminage, température de bobinage) et peut constituer un défaut rédhibitoire aussi bien en tôle à chaud qu'en tôle à froid.
s Néanmoins un bobinage chaud peut être effectué en pratiquant par exemple un bobinage sélectif : la température est plus élevée en extrémités de la bande.
Incidence des conditions de laminagie à froid io De par les faibles épaisseurs finales à réaliser, le domaine du taux de réduction à froid s'étend de 75% à plus de 90%.
Les facteurs principaux qui interviennent dans la définition du taux de réduction à froid sont bien évidemment l'épaisseur finale du produit, ts et sur ce point on peut jouer sur l'épaisseur du produit à chaud, ainsi que des considérations métallurgiques.
Les considérations métallurgiques sont basées sur l'incidence du taux de réduction à froid sur l'état microstructural, et par voie de conséquence sur les caractéristiques mécaniques aprés recristallisation et 2o recuit. Ainsi plus le taux de réduction à froid augmente, plus la température de recristallisation est faible, plus les grains sont faibles et plus Re et Rm sont élevés. En particulier, le taux de réduction a une incidence très forte sur le coefficient de Lankford.
Dans le cas d'exigences en termes de cornes d'emboutissage, il 2s convient par exemple d'optimiser la nuance d'acier et surtout la teneur en carbone, et le taux de réduction du laminage à froid avec la dureté ou les caractéristiques mécaniques souhaitées pour obtenir un métal dit « métal sans cornes ».
3o Incidence du recuit Une caractéristique importante de l'invention réside dans la température de recuit. II est important que la température de recuit soit supérieure au point de début de transformation perlitique Ace (de l'ordre de 3s 720°C pour ce type d'acier).
Une autre caractéristique importante de l'invention réside dans la vitesse de refroidissement qui doit être supérieure à 100°Cls.
Au cours du maintien de la bande à une température supérieure à Ace, il se forme de l'austénite, riche en carbone. Le refroidissement rapide s de cette austénite permet de maintenir une certaine quantité de carbone à
l'état libre etlou une précipitation de carbures à basse température, fins et dispersés. Ce carbone à l'état libre etlou ces carbures formés à basse température favorisent le blocage des dislocations, ce qui permet d'atteindre des niveaux de caractéristiques mécaniques élevés sans nécessiter une io réduction importante au cours du second laminage à froid qui suit.
II est donc important de réaliser un refroidissement rapide, compris entre 100 et 500°Cls au moins jusqu'à une température inférieure à
350°C. Si le refroidissement rapide est arrêté avant 350°C, les atomes de carbone libres vont pouvoir se combiner et l'effet recherché ne sera pas is atteint. II est bien évident qu'un refroidissement rapide jusqu'à la température ambiante est possible.
II est également possible d'effectuer un refroidissement à une vitesse supérieure à 500°C/s, mais la Demanderesse a constaté que au delà
de 500°C/s, l'influence d'une augmentation de la vitesse de refroidissement 2o n'est plus très significative.
Les figures 1 et 2 présentent l'influence de la température de recuit à vitesse de refroidissement constante (Visée 100°C/s et réalisée 73 à
102°Cls sur la figure 1 ; Visée 300°C/s et réalisée 228 à 331 °C/s sur la figure 2) sur la résistance maximale à la rupture Rm.
2s On constate sur ces figures une nette augmentation de Rm à
taux d'allongement du second laminage identique pour les aciers recuits à
750°C et à 800°C par rapport au même acier recuit à
650°C.
Toutefois, cette influence de la température de recuit sur la résistance maximale à la rupture Rm n'est pas très perceptible pour des taux 3o d'allongement au second laminage à froid inférieurs à 3%. Elle ne devient vraiment significative qu'à partir de 5% d'allongement au second laminage à
froid.
Une température trop élevée, supérieure à 800°C, entraine une précipitation, au moins partielle de l'azote sous la forme de nitrures 3s d'aluminium. Cet azote précipité ne participe plus au durcissement de l'acier, ce qui a pour effet une baisse de la résistance maximale à la rupture Rm. Ce phénomène est entrevu sur la figure 2 sur laquelle on remarque, pour des taux d'allongement supérieurs à 10 %, une baisse de l'augmentation de la résistance maximale à la rupture Rm entre l'échantillon recuit à 750°C
et l'échantillon recuit à 800°C.
s Le temps de maintien de la bande entre Ace et 800°C doit être suffisant pour remettre tout le carbone correspondant à l'équilibre en solution.
Un maintien pendant 10 secondes est suffisant pour s'assurer cette remise en solution de la quantité de carbone correspondant à l'équilibre pour les aciers dont la teneur en carbone est comprise entre 0,020 et 0,035%, et un maintien to au delà de 2 minutes, bien que possible, est inutile et coüteux.
Les figures 3 et 4 présentent l'influence de la vitesse de refroidissement à température de recuit constante (750°C) maintenue pendant 20 secondes.
Comme on peut le voir sur la figure 3, à 10% d'allongement au is second laminage à froid, la résistance maximale à la rupture Rm de l'acier est égale à environ 560 MPa si la vitesse de refroidissement est égale à
100°C/s, alors qu'elle n'atteint que 505 MPa si la vitesse de refroidissement est égale à
50°Cls.
On peut donc réaliser un acier à basse teneur en aluminium 2o dont la valeur de Rm est égale à 560 MPa avec seulement 10%
d'allongement au second laminage à froid si la vitesse de refroidissement est égale à 100°Cls, alors qu'il faut effectuer un second laminage à froid avec un taux d'allongement de 17 % si la vitesse de refroidissement n'est que de 50 ° Cls.
Zs Ce plus faible taux d'allongement au second laminage à froid permet de moins dégrader la ductilité de l'acier. On voit ainsi sur la figure que l'acier dont Rm est égal à 560 MPa présente une ductilité A% égale à
12,5 lorsque la vitesse de refroidissement est égale à 100°C/s, alors qu'elle est égale à 5,5 lorsque la vitesse de refroidissement est égal à
50°Cls.
3o Cette constatation est également valable sur la dureté de l'acier.
Comme on le voit sur la figure 5, pour un même taux d'allongement au second laminage à froid, la dureté de l'acier augmente si la vitesse de refroidissement est égale à 100°Cls. Cette augmentation de la dureté
est due à une teneur en carbone libre plus élevée et/ou à. la présence des précipités 3s fins et dispersés.
Les analyses micrographiques des échantillons ont permis de constater que le nombre de grains par mm2 est plus important (supérieur à
30000), et que les carbures, lorsqu'ils se sont formés sont de fa cémentite intergranulaire.
s Ainsi ce procédé de fabrication permet de réaliser un acier à
basse teneur en aluminium pour emballage, comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 d'aluminium, entre 0,010 et 0,014 % d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, qui présente à l'état vieilli un taux lo d'allongement A% satisfaisant la relation (750 - Rm) I 16,5 s A% <_ 850 - Rm) I 17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
ls
Claims (4)
1 - Procédé de fabrication d'une bande d'acier à basse teneur en aluminium pour emballage, dans lequel :
- on approvisionne une bande d'acier laminée à chaud comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40% de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014% d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, - on effectue un premier laminage à froid de la bande, - on soumet la bande laminée à froid à un recuit, - on effectue un laminage à froid secondaire, caractérisé en ce que le recuit est un recuit continu dont le cycle comporte une montée en température jusqu'à une température supérieure à la température de début de transformation perlitique Ac1, un maintien de la bande au-dessus de cette température pendant une durée supérieure à 10 secondes, et un refroidissement rapide de la bande jusqu'à une température inférieure à 350°C à une vitesse de refroidissement comprise entre 100°C par seconde et 500°C par seconde.
- on approvisionne une bande d'acier laminée à chaud comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40% de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014% d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, - on effectue un premier laminage à froid de la bande, - on soumet la bande laminée à froid à un recuit, - on effectue un laminage à froid secondaire, caractérisé en ce que le recuit est un recuit continu dont le cycle comporte une montée en température jusqu'à une température supérieure à la température de début de transformation perlitique Ac1, un maintien de la bande au-dessus de cette température pendant une durée supérieure à 10 secondes, et un refroidissement rapide de la bande jusqu'à une température inférieure à 350°C à une vitesse de refroidissement comprise entre 100°C par seconde et 500°C par seconde.
2 - Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la bande est maintenue au cours du recuit à une température comprise entre Ac1 et 800°C, pendant une durée de 10 secondes à 2 minutes.
3 - Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la bande est refroidie à une vitesse supérieure à 100°C par seconde jusqu'à la température ambiante.
4 - Tôle d'acier à basse teneur en aluminium pour emballage, comportant en poids entre 0,050 et 0,080 % de carbone, entre 0,25 et 0,40 % de manganèse, moins de 0,020 % d'aluminium, entre 0,010 et 0,014 % d'azote, le reste étant du fer et des impuretés résiduelles inévitables, fabriquée selon le procédé tel que défini dans l'une quelconque des revendications 1 à 3 caractérisé
en ce qu'elle présente à l'état vieilli un taux d'allongement A% satisfaisant la relation :
(750 - Rm) / 16,5 <= A% <= 850-Rm)/17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
- Tôle d'acier selon la revendication 4, caractérisée en ce que l'acier comporte du carbone à l'état libre et/ou quelques carbures précipités à basse température, et présente un nombre de grains par mm2 supérieur à 30000.
en ce qu'elle présente à l'état vieilli un taux d'allongement A% satisfaisant la relation :
(750 - Rm) / 16,5 <= A% <= 850-Rm)/17,5 Rm étant la résistance maximale à la rupture de l'acier, exprimée en MPa.
- Tôle d'acier selon la revendication 4, caractérisée en ce que l'acier comporte du carbone à l'état libre et/ou quelques carbures précipités à basse température, et présente un nombre de grains par mm2 supérieur à 30000.
Applications Claiming Priority (2)
Application Number | Priority Date | Filing Date | Title |
---|---|---|---|
FR9908416A FR2795743B1 (fr) | 1999-07-01 | 1999-07-01 | Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage |
FR9908416 | 1999-07-01 |
Publications (2)
Publication Number | Publication Date |
---|---|
CA2314533A1 CA2314533A1 (fr) | 2001-01-01 |
CA2314533C true CA2314533C (fr) | 2011-04-12 |
Family
ID=9547530
Family Applications (1)
Application Number | Title | Priority Date | Filing Date |
---|---|---|---|
CA2314533A Expired - Fee Related CA2314533C (fr) | 1999-07-01 | 2000-06-30 | Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage |
Country Status (10)
Country | Link |
---|---|
US (2) | US7169244B1 (fr) |
EP (1) | EP1065282B1 (fr) |
AT (1) | ATE223504T1 (fr) |
BR (1) | BR0002269A (fr) |
CA (1) | CA2314533C (fr) |
DE (1) | DE60000390T2 (fr) |
DK (1) | DK1065282T3 (fr) |
ES (1) | ES2182759T3 (fr) |
FR (1) | FR2795743B1 (fr) |
PT (1) | PT1065282E (fr) |
Families Citing this family (6)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
WO2006045622A1 (fr) * | 2004-10-26 | 2006-05-04 | Hille & Müller GMBH | Procede pour fabriquer un dispositif de confinement et dispositif de confinement fabrique selon celui-ci |
FR2896677B1 (fr) * | 2006-02-01 | 2010-08-20 | Seb Sa | Appareil de cuisson avec moyen de remuage et procede afferent |
JP5526483B2 (ja) | 2008-03-19 | 2014-06-18 | Jfeスチール株式会社 | 高強度缶用鋼板およびその製造方法 |
US9669961B2 (en) † | 2012-06-06 | 2017-06-06 | Jfe Steel Corporation | Three-piece can and method of manufacturing the same |
DE102014112286A1 (de) * | 2014-08-27 | 2016-03-03 | Thyssenkrupp Ag | Verfahren zur Herstellung eines aufgestickten Verpackungsstahls |
JP7131596B2 (ja) * | 2019-12-04 | 2022-09-06 | Jfeスチール株式会社 | 高強度缶用鋼板およびその製造方法 |
Family Cites Families (11)
Publication number | Priority date | Publication date | Assignee | Title |
---|---|---|---|---|
JPS5157623A (en) * | 1974-11-18 | 1976-05-20 | Nippon Kokan Kk | Takaitosoyakitsukekokaseitosugureta hijikoseiomotsukochoryokureienkohanno seizohoho |
JPS5827933A (ja) * | 1981-08-13 | 1983-02-18 | Kawasaki Steel Corp | 連続焼鈍による耐食性に優れるt−3軟質ぶりき原板の製造方法 |
JP2676581B2 (ja) * | 1993-07-14 | 1997-11-17 | 東洋鋼鈑株式会社 | 薄肉化深絞り缶用途に適した鋼板およびその製造法 |
FR2739105B1 (fr) * | 1995-09-21 | 1998-04-30 | Lorraine Laminage | Procede de fabrication d'une bande metallique pour emballages et emballages metalliques obtenus par ce procede |
DE19622164C1 (de) * | 1996-06-01 | 1997-05-07 | Thyssen Stahl Ag | Verfahren zur Erzeugung eines kaltgewalzten Stahlbleches oder -bandes mit guter Umformbarkeit |
FR2769251B1 (fr) * | 1997-10-03 | 1999-12-24 | Lorraine Laminage | Procede de fabrication d'une bande de tole d'acier pour la realisation d'emballages metalliques par emboutissage et tole d'acier obtenue |
FR2795744B1 (fr) * | 1999-07-01 | 2001-08-03 | Lorraine Laminage | Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage |
FR2795741B1 (fr) * | 1999-07-01 | 2001-08-03 | Lorraine Laminage | Tole d'acier a bas carbone calme a l'aluminium pour emballage |
FR2795742B1 (fr) * | 1999-07-01 | 2001-08-03 | Lorraine Laminage | Tole d'acier a moyen carbone calme a l'aluminium pour emballage |
FR2795740B1 (fr) * | 1999-07-01 | 2001-08-03 | Lorraine Laminage | Tole d'acier a bas carbone calme a l'aluminium pour emballage |
FR2796083B1 (fr) * | 1999-07-07 | 2001-08-31 | Usinor | Procede de fabrication de bandes en alliage fer-carbone-manganese, et bandes ainsi produites |
-
1999
- 1999-07-01 FR FR9908416A patent/FR2795743B1/fr not_active Expired - Fee Related
-
2000
- 2000-06-30 DK DK00401865T patent/DK1065282T3/da active
- 2000-06-30 CA CA2314533A patent/CA2314533C/fr not_active Expired - Fee Related
- 2000-06-30 EP EP00401865A patent/EP1065282B1/fr not_active Revoked
- 2000-06-30 PT PT00401865T patent/PT1065282E/pt unknown
- 2000-06-30 DE DE60000390T patent/DE60000390T2/de not_active Expired - Fee Related
- 2000-06-30 ES ES00401865T patent/ES2182759T3/es not_active Expired - Lifetime
- 2000-06-30 AT AT00401865T patent/ATE223504T1/de not_active IP Right Cessation
- 2000-07-03 BR BR0002269-1A patent/BR0002269A/pt not_active IP Right Cessation
- 2000-07-03 US US09/610,224 patent/US7169244B1/en not_active Expired - Lifetime
-
2006
- 2006-01-26 US US11/339,545 patent/US7524384B2/en not_active Expired - Lifetime
Also Published As
Publication number | Publication date |
---|---|
FR2795743B1 (fr) | 2001-08-03 |
ATE223504T1 (de) | 2002-09-15 |
PT1065282E (pt) | 2003-01-31 |
US7169244B1 (en) | 2007-01-30 |
FR2795743A1 (fr) | 2001-01-05 |
EP1065282B1 (fr) | 2002-09-04 |
BR0002269A (pt) | 2001-03-13 |
DK1065282T3 (da) | 2002-12-30 |
DE60000390D1 (de) | 2002-10-10 |
DE60000390T2 (de) | 2003-05-15 |
US20060137770A1 (en) | 2006-06-29 |
EP1065282A1 (fr) | 2001-01-03 |
US7524384B2 (en) | 2009-04-28 |
CA2314533A1 (fr) | 2001-01-01 |
ES2182759T3 (es) | 2003-03-16 |
Similar Documents
Publication | Publication Date | Title |
---|---|---|
EP1913169B1 (fr) | Procede de fabrication de tôles d'acier presentant une haute resistance et une excellente ductilite, et tôles ainsi produites | |
EP2630269B1 (fr) | Tole d'acier laminee a chaud ou a froid, son procede de fabrication et son utilisation dans l'industrie automobile | |
EP1228254B1 (fr) | Procede de fabrication de bandes d'acier au carbone, notamment d'acier pour emballages | |
WO2013178887A1 (fr) | Acier laminé a chaud ou a froid a faible densite, son procede de mise en oeuvre et son utilisation | |
CA2314177C (fr) | Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage | |
FR2490682A1 (fr) | Procede de production d'une bande d'acier laminee a froid ayant une excellente resistance mecanique et adaptee aux vehicules a moteur | |
CA2314533C (fr) | Tole d'acier a basse teneur en aluminium pour emballage | |
CA2312672C (fr) | Tole d'acier a moyen carbone calme a l'aluminium pour emballage | |
EP0896069B1 (fr) | Procédé d'élaboration d'une tôle mince en acier à ultra bas carbone pour la réalisation de produits emboutis pour emballage et tôle mince obtenue | |
CA2312673C (fr) | Tole d'acier a bas carbone calme a l'aluminium pour emballage | |
EP1099769B1 (fr) | Procédé de réalisation d'une bande de tôle laminée à chaud à très haute résistance, utilisable pour la mise en forme et notamment pour l'emboutissage | |
CA2312674C (fr) | Tole d'acier a bas carbone calme a l'aluminium pour emballage | |
EP1558769B1 (fr) | Procede de fabrication de toles d'acier durcissables par cuisson, toles d'acier et pieces ainsi obtenues | |
EP0521808B1 (fr) | Procédé de fabrication de tôles minces destinées à l'emboutissage | |
EP0906961B1 (fr) | Procédé de fabrication d'une bande de tôle d'acier pour la réalisation d'emballages métalliques par emboutissage et tôle d'acier obtenue | |
EP0718411B1 (fr) | Procédé de fabrication d'une bande d'acier destinée à la fabrication par emboutissage et ré-emboutissage de récipients en acier | |
EP1354070B1 (fr) | Acier isotrope a haute resistance, procede de fabrication de toles et toles obtenues | |
KR100240994B1 (ko) | 내스트레쳐 스트레인성이 우수한 가공용 석도원판의 제조방법 | |
BE1002517A6 (fr) | Procede de fabrication d'un acier pour emboutissage. | |
EP0754770B1 (fr) | Procédé de fabrication d'une bande de tôle mince à emboutissabilité améliorée | |
FR2748033A1 (fr) | Procede de realisation d'une bande de tole d'acier laminee a chaud a tres haute resistance utilisable pour la mise en forme et notamment pour l'emboutissage | |
EP1347071A1 (fr) | Tôle écrouie en acier calmé à l'aluminium et procédé de fabrication d'un emballage à partir de cette tôle | |
BE668442A (fr) |
Legal Events
Date | Code | Title | Description |
---|---|---|---|
EEER | Examination request | ||
MKLA | Lapsed |
Effective date: 20130703 |