CA1256700A - Bague d'appui pour la fixation d'un bloc de montage sur la face finie a courbure progressivement variable d'une ebauche semi-finie d'un palet, tel que lentille ophtalmique ou moule - Google Patents
Bague d'appui pour la fixation d'un bloc de montage sur la face finie a courbure progressivement variable d'une ebauche semi-finie d'un palet, tel que lentille ophtalmique ou mouleInfo
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Abstract
PRECIS DE LA DIVULGATION:
Il s'agit d'une bague d'appui pour ébauche semi-finie d'un palet tel que lentille ophtalmique ou moule, du genre comportant, pour contact avec l'ébauche semi-finie à traiter, un nombre limité de zones d'appui convenablement réparties circulairement autour de l'axe de l'ensemble. Suivant l'inven-tion les plans tangents aux extrémités de chacune desdites zones d'appui font un dièdre entre eux, la surface d'appui qu'offre une telle zone d'appui étant en pratique globalement convexe. Application à la coulée d'un bloc de montage sur la face finie d'une ébauche semi-finie d'une lentille ophtalmi-que progressive.
Il s'agit d'une bague d'appui pour ébauche semi-finie d'un palet tel que lentille ophtalmique ou moule, du genre comportant, pour contact avec l'ébauche semi-finie à traiter, un nombre limité de zones d'appui convenablement réparties circulairement autour de l'axe de l'ensemble. Suivant l'inven-tion les plans tangents aux extrémités de chacune desdites zones d'appui font un dièdre entre eux, la surface d'appui qu'offre une telle zone d'appui étant en pratique globalement convexe. Application à la coulée d'un bloc de montage sur la face finie d'une ébauche semi-finie d'une lentille ophtalmi-que progressive.
Description
~5~7~
La présen-te invention concerne une ba~ue d'appui pour la ixation d'un bloc de montage sur la face Einie à courbure progressivement vari~ble d'une ebauche seml-Einie d'un palet, t~l que lentille ophtalmique ou moule.
A:insl ql~'on le sait, il s'asit de lentillcs oplltalllliques dont ~le cles face~s, au moills, prcsentc une courb~re progressi-S vement variable sur une ~artie au moirls d'au moins une lignemeridicnne, polr l'ob-tention d'une addition progre~sive de puiqsance le long de celle~ci.
En pratique, il en est ainsi pour la seulc face av~nt1 convese, d'~e telle lentille ophtalmique, et celle-ci se ca-rac-térise usuellement, d'une part, par sa courbure de base, a laquelle correspond une zone de vision de loin pour le patient concerné, et, d'autre part, p~r son addition de puissancel à
laquelle correspond une zone de vision de près pour celui-ci.
Conjointelnent, la face arrière, conc~ve, des lentilles ophtalmiques prosressives est affectée aux éventuelles pres-criptio~ particulières à satisfaire p~r ailleurs pour la cor-rectio~ de vision d'~n tel patient.
Compte tenu, d'une part, des difi`icultés de réalisation dos surfaces à courbure progressirement variable, et 9 d'autre part, de la diversité, en nature et en i~tensité, des autres corrections do vision possibles, il est plus économique de réaliser un nombre réduit d~ébauches semi-finies, couvrant par leur face avant, qui en constitue alors une face fi~ie t une gnn~e déter~inée, jugée suffisante pour correspondre a l'en-semblc des cas envisageables, de courbures de base et d'addi-tions de pui~sance, et d'adapter ensuite ces ébaucl~es, par usina~e de leur face arrière, au~ diverses presqriptions a satisfaire.
Pour la reprise d'usilla~e qu'il est donc nécessaire d'ap-pliquer a la face arrière de telles ébauches se~ inies, ilest usuel de rapporter sur leur face avant, sui~ant un proces-sus co~nmu~ément appelé "glan-ta$e", un bloc de préhension, com-munén~ent dit bloc de montase, propre à permettre ensuite un maintien convenable sur une machine de surfaçageO
3~ Pour la réalisation d'u~ tel bloc de montage, il est usuellement procédé~ au sein d'u~ appareil de bloca~e, à la , ~. .
. ~
I
~2~,6~7~
coulée d'un n~atér:ia~ t bas point de fusion entre la race con-cernée de l't~bauc~le semi-f~ 3ie ~ traitcr c-t un moule, comlllu n~iulent appele ~a~P;ue ~l~ap7~ i, ouvert Qn cloche ~re:rs cell~-ci o La difri.e~ e, en l'esptce, e~t dotlb.l.e~
r; 'rt llt c~ ol~d~ pour Sar-~rltir .a précision ~les opera-tions ultor.iellros do surl`aça~e, et pertilettre ainsi l'obte.n-t:ion d'lme lentille ophtalmique finie ayant los caractér:i.~tiques optiques rt~quises, :i:L est indispensabl~ d'actstlrer ~e mi.se en placc precicte dc la face fi~ie de l'obauclte semi-finie .~ tra.i-to.r vis-à-vis de la basue dl~pplli LliSe Cll oeu-~r~.
Or, CO~ e indiqui3 ci-dossust ce-tte face finie est .-1 collr-bure proSressivement variablel ce qui, ~ans autre, peut rcn-dre al~atQire son applli sur .la bague d'apptli~
Il peut notat??ment en résulter l'obtention, de m~nière incontrôléc, d'un prisme plus ou moins important pour la zone de vision de près cl laquelle correspond cette courbure pro-gr~ssivement variablt3, et donc des difficultés d'apparielllent de lentilles ophtal~liques pour un ~lême patient.
~e plus, il est souhaitable qu'un mêl~e ~pp~reil dc blo-cage puisse etre utilisé pour toutes les ebauc}les se~ finiQsà traiter.
Le plus souvent, il est ~tilisé, pour ce faire, une ba-gue d'adaptatio~ dont l'~ne des faces, ou face d'appui9 est conformee a~nulairement de ~naniere a pouvoir epvuser la face ?5 ~inie d'unc ébauche semi-flnie à traiter, -tandis que l'autre est adaptée a coopérer avec le moule, ou bague d'appui, mis en oeuvre.
Une telle solution impose de disposer d'un parc important de bag~es d'adaptation de caractéristiques diff~rentes, cor-respondant, chacune respective!nent, a liensemble de la sammed'ébauches semi~finies a traiter.
~ n pratique, il faut ainsi une bague d'adaptation par courbure de base et par addition de puissance, soit, le plus fréquemment, un total d'environ trente bagues d~adaptation pour chaque -type de len-tilles ophtalmiques progressives.
9utre l'encombreme~lt de stQClsage auquel elle conduit, c~tte solution est d'autant plus onéreuse que chac~e des bagues d'adaptation ain~i ~ mettre e~ oe~re est usuelle~ent ~L~5~7~)() , .
~e b~ue :;léta.l.l.ique r~al:isée par usinase et donc c}~ere~
Pour rili:nillliser cet inconvcnicnt, il a et~ propos~i de cttre en oeuvret en subst:itution a ces ~a~uns ~I'adap-tat:ion, des arm.lt~lre.q clo montAgo rcal.isablo3 on m~ti.ere syntlletiqtlc, :~ CC"3 ~ natures c3e Illonta~e cons-tituant des pieces per~lles quj, nu mol~ent de la co~llec du ~loc de ~ontage, sont au Inoins partielleulent surmoulées par un tel bloc de mon-tage.
Bien qu'une tclle solution, qui fa.it l'o~)je-t cl~l bre~e-t :L`ranc,ais depo3é le 29 ~lai 197' sou~s lc N 72 19131 e-t p~lblie sous le N 2.1S6./l~l, ait donné et pllisse enc.ore do~mer satis-faction, elle conduit él~;alomcnt a la nécess:itc de disposer d~un parc important d'ar~lcltures de ~;~on-ta~e correspondant au~.
différentes courbures de base et add:itions de puissance .`~
respecter pour chaque type de lentillcs ophtal~lliq~les progres-si.~es~
Une autre solution déja proposéeconsiste par ailleurs anettre en oeu~re, non pl~ls des ba$ues ou arnlatures p.ropres à
l'ob-tentio~ d'une ~one d'appui circulairelllent continue pour la face finie des ébauches semi-finies ~.traiter, mais de ~0 simples plots1 qui, localement appli.qués à cette face finie, définissent pour celle~ci ~ nolnbre limité de zones d'appui convenablement reparties circulairement autour de l'a~e de l'ensemble~
En fonction de la courbure de base et de l'addition de puissance, deu~ de ces plots, ou plots compensateurs, sont ainsi appliqués a la périphérie de cette face finie, en étant chacun respectivement disposés au~ e~ct.rélnités du diame-tre horizontal de celle-ci, en sorte que l'appui dc l!ensemblc de cette face ~inie se -fait en trois points, et doI6c dans un plan~ le troisi.ème p~int, qui intervient sur une demi-couron~
ne circulaire passant par les deux ~utres, n?impltquant la ise en oeuvre d'aucun plot colllpen~ateur~
Si ell?? est économique, cette solution a pour inconvé-nient de n'assurer que suivant un demi~cercle l'appui d'une ~5 ébauche semi~finie a traiter, ce qui peut être a 1 t origine d~erreurs entraînant irrémédiablement le rebut des lentilles ophtal~iques ~inies ultérieurement obtenues.
La présente in~ention a d'~e manière ~énérale pour ~5~7~3~) objet une disposi-tion qui, tout en satisEaisant aux con-ditions ~ respecter, permet avan-tageusement d'éviter ces inconvén:ients.
La présente invention vise une bague d'appui pour ébauches semi-finies d'une lentille ophtalmique ou d'un moule pour une -telle lentille ophtalmique ayant des faces convexes progressives de courbures différentes, ladite bague d'appui comportant une pluralité de zones d'appui pour contact avec une ébauche semi-finie quelcon-que choisie parmi une pluralité d'ébauches semi-Einies différentes dans une gamme donnée, lesdites zones d'ap-pui étant réparties circulairement autour d'un axe, la-dite bague d'appui ayan-t en outre un plan de référence perpendiculaire audit axe et axialement à l'intérieur desdites zones d'appui, lesdites zones d'appui étant tou-tes globalement inclinées par rapport à ce plan de réfé-rence et chacune desdites zones d'appui s'étendant entre deux extrémités qui sont décalées tant radialement qu'axialemen-t l'une par rapport à l'autre, chacune des-dites zones d'appui ayant un plan médian passant par ledit axe et s'étendant radialement au milieu de sa zone d'ap-pui, des plans tangents aux extrémités de chacune des-dites zones d'appui et orthogonaux audit plan médian for-mant entre eux un dièdre ayant une concavité tournée vers ledit plan de référence, chacune desdites zones d'appui comportant une pluralité de facettes d'appui permettant un contact prédéterminé avec ladite ébauche semi-finie, toutes ces facettes d'appui formant globalement des in-clinaisons par rappor-t audit plan de référence et étant toutes orthogonales au plan médian de la zone d'appui correspondante, les inclinaisons de chacune des facettes d'appui de chacune desdites zones d'appui étant différen-tes les unes par rapport aux autres, lesdites facettes d'appui se succédant radialement sur des circonférences ~ ,...
_ 5 _ ~ ~5~
de diamètres di:Eferen-ts suivant leur inclinai-son, et chacune desdites zones ayant des Eace-ttes d'ap-pui extrêmes se conEondant avec les plans tangents aux extrémités correspondan-ts.
La présente invnetion est en effet Eondée sur l'observation, non révelee à ce jour pour une bague d'ap-pui, qu'en raison de la topographie même des surEaces à courbure progressivement variable, un nombre limité
de zones d'appui, disposées sur un meme cercle dont le diamètre dépend de la courbure de base de cette surface, peut suffire.
En pratique, trois zones d'appui peuvent ain-si suffire, sans que deux d'en-tre elles soient nécessai-rement disposées aux extrémi-tés d'un meme diamèt:re.
Au contraire, elles sont de préférence répar-ties au sommet d'un triangle i.socèle dont chacun des co-tés est à l'écart du centre du cercle correspondant, en entourant celui-ci.
Quoi qu'il en soit, e-t suivant l'invention, les plans tangents aux extrémités de chacune des zones d'appui mises en oeuvre font un dièdre entre eux.
Autrement dit, l'inclinaison d'une telle zo-ne d'appui n'est pas la meme à l'une et à l'autre de ses extrémités.
En pratique, pour couvrir l'ensemble des cour-bures de base envisageables, il suffit, alors pour cha-cune des zones d'appui mises en oeuvre, d'un nombre li-mité de telles facettes d'appui, chacune de ces facet-tes d'appui pouvant indifféremment convenir à une ou plu-sieurs de telles courbures de base.
Prises conjointement ces facettes d'appui mul-tiples forment entre elles un ensemble globalement con-vexe.
Mais il s'avère meme, que de préférence, selon - 5a -~25~ 0 une deuxième forme de realisation possible de l'inven-tion, une Eacet-te d'appui unique suffit pour chacune des zones d'appui mises en oeuvre.
Cette facette d'appui unique est alors, sui-vant l'invention, continûment courbe de l'une à l'autredes extrémités d'une telle zone d'appui.
Au-trement dit, l'inclinaison d'une -telle zo-ne d'appui varie alors de manière continue d'une de ses extremités à l'autre.
Sa facette d'appui unique est en pratique une facette convexe.
Dans tous les cas, facet-tes multiples ou fa-cette unique courbe, là où il était usuel à ce jour de prévoir, pour l'appui de la face finie d'une ébauche semi-finie à traiter, une bague ou une armature de forme com-plementaire de celle de cette face et épousant donc celle-ci, il suffit, suivan-t l'invention, de facette(s) con-venablement réalisée(s) et globalement convexe(s).
Il s'avère, en effet, corrollairement, que, pour une même courbure de base, la longueur de la média-ne principale du _ _ - 7 /
~ `.
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~ ! `; ~' 6 12~
trian~gle suivant lequel se I ai t l ~ appui ~ sur Ime ba~ue cl'~ppu:i suiv~:lnt l':in~rention, de la face fi.Ilie cl'unc e~auche se~ fi~ic ~`~ tra:iter, est ~ensi.blellle~t constante, quelle que soit l~adcli--~ion do p~ s~ncc de ca:L].e-c~ point de contact a~ec chacu-ne des .~acettcs dtappui corre~pondantes se d~plaçant silllr?le~ment ~ tant radialcmcn~t, qu-3 circonrérentiellelllont, 1~3 lon~;
d'~m~ tell~ ~acctt~ d'appui, suivant l'additiosl de puissaIIce~
Il rés~lte slobalement de ce qu:i précede que~ pour une topQsraphie déterl~linée de surface à courbur~ progressivement variable, c'est-à~clire pour ~m type cléter~lin~ de lentilles ophtalmiques progressivcs, ~ne bague d~appui unique, à ~ones d'~ppui en no~bre limité, peut avanta~eusement et économique-ment satisfaire, suivant l'invention, au traitement de toute la garnme d~ébauches semi fi~ies, a courbure de base et addi-tions de puissance différentes, à prendre en considérationpour la realisation de telles lentill~s ophtalmiques prosres~
sives~
~ n ef~et, suiva~* la courbure cle base de la face finie d'u~e telle é~auche s~mi-~inie, son appui sur la bague d'appui 20 suivan* 1 ' inventi~n se f~it sur telle ou telle des facettes d'appui que ~omporge chacune des ~o~es dlappui de celle-ci, s'il s~agi* de zones d~appui à facettes d'appui mul~iples, ou en tel ou tel point de la facette d'appui de C9S xones d'appui, slil s'a~it de zones d~appui à facette d~appui unique, et, sui-vant lladdi~ion de puigsance de cette ébauche semi-~inie~ le point de contact correspondant se déplace simpiement radiale-ment et circonférentiel}ement J
Dans tou~ les cas, le contact se fait tansentiellement de manière convenable, et, eu é~ard au respect pa~ ailleurs de repères prévus a cet effet, la mise en place, sur ~e ba$ue d'appui suivant l'in~ention, d'une éb~uche semi-~inie à trai-ter peut se ~aire, d~ manière systématique, ave¢ toute la pré-cisivn souhaitable.
En particulier, il est possible~ si desiré, d'orienter cette ébauche de inanière à ce que le pla~ -tan~ent aw sol~met da sa face finie fasse par rappo~t à un plan de référQ~ce fi-xe un ansle détermi~é proportio~nel à ~on addition dQ puissan-ce.
:
7(~
~Sais, quoi qu'.il en so:it de cet angle, la precis:ion de la IlliSe en place aillsi assurée est sarante de celle ~eg car~ct~3 ristiquos opti(lue~ fin~le~llent obtonue~ après l'us.ina~c d'une ~ e ~?I)auc~
De mam~ avec une ehallcbe sem;.~ i.e decen-t.réet c'esk-A-di~e avec une ébauche sellli i~lie don-t l'axe op-ti.que est déca-le transversalcment ~ar rapport a l'a~e géonlé-t:r:itluc, il suf~it, avec la basue d'appui suivant l'invcntion, de placer une tel:Le ebauche semi-rinie sur une telle ba~ue cl'appui en l'orientant convenablement par rapport à celle-ci.
Il est alors simplen~ent observé que 1es appuis dt~ cette ébauche semi-finie clécentrée sur la bague dlappui ne se font p:Lus suivant les sommets d'un triangle isocèle, comme cela es*
au contraire en pratique le ca~ avec une ébauclle semi-finie dont l'a~e optique est confondu a~ec l'axe ~éometr1~ue~
Mais aucun reslage particulie.r n'est ensuite avantaseuse-ment à pratiquer sur la machine de surfacage ultérieure~lent mise en oeu~reO
Autrement dit, lorsque la bague dtappui utilisée pour la réalisation d'~ bloc de montase sur une ébauche se~ni-finie est une ba~ue dlappui suivant l'inYention, le régla~e d'une telle machine de surfaçage reste le même qu'il s'asisse dluna ébau-che ~emi~inic à axes op*ique et géométrique confondus ou qu'il 31 agisse d'une ébauche semi-finie décentréeO
Par ailleurs, ne mettant globalement en oeuvre que quel-ques ~acettes d'appui, et celles-ci n'étant en pratique que des surfaces simples, planes, sphériques ou toriques par exem-ple, la bague d'appui suivant l'invention est avantaseusemeut relativeme~t aisée et économique a réaliser~ i Certes, dans le brevet anslais N 1 155 719, il est dé-crit Im bloc de maintien pour l`entille ophtalmique, qui t pour contact avec une telle lentille ophtalmique, présente, convena-blement réparties circulairement, une pluralité de ~ones d'ap-pui isolées, dont chacune s1étend entre deux extré~ités déca-lées tant radialement qu'axialement l'une par rapport à l'au-tre~
Mais, outre qu'un tel bloc de maintien ne cons~titue pas une basue d'appui au sens de la présente demande, puisqu'il 8 ~s~o ne s'aSit pa9 d'une pièce à Illettre en oeuvre pour la réalisa-tion d'lm bloc(lo mol~tase~ lscl'l1no 2ies::o pl~pr~ ~suIo.rcLi.rect~-ont par ~lle~ enle le n~a:int-ien de la lent:L.1le ophtalmique lors de son sur:~aSa(~e, s~l]. est prevtl son appui sur w~e surface cyllndrique ou tor:ique~ et non pas son appui sur ~mc sur~ace aspllérique telle qu~ le constitue une ~ur~ace a courbure pro-gressivemant variabla, et, de ce ~ait, s'il ne coluporte qu'~me ~acette d'appui par ~one d'appui, il s'agi-t en pratique d'une face d'appui plane, le problème de son aclaptation ~ une ~amll1e de courbures d~ base di~férentes et/ou a des addit:ions de puissanc.e différentes ne se posant pas.
Il nlen est pas de ~me avec la basue d'appui suivant l'invention~
De l~eme, dans le brevot all1cricain N 3 l40 568 il 5 ~ agit de zones d'appui qui sont propres a épouser une surface sphéri-que et, de surcroît, cette surface sphérique étant convexe,la facette d'appui qu'elles f~rttlent est une facette concaveS
Les caractéristiques et avantages de l'invention ressor-tiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'e~emple, en référence aux dessins schematiques annexes sur lesquels :
la ~i$ure 1 est une vue en coupe axiale d'une ébauche semi-finie d'une le~tille ophtalmique progressive ;
la figure 2 est une vue en coupe axiale, qui, analogue à
celle de la figure l, illustre la mise en place d'un ~loc de nontage sur une telle ébauche semi-finie , la fi$ure 3 est, avec un arrachement, une vue en perspec tiYe d'une bague d'appui propre, suivant l'invention, à la coulée d'un tel bloc de tnontage ;
la figure ~ est une vue en plan de cette bague d'appui, suivant la ~lecne IV cle la fisure 3 i la figure 5 en est une vue en coupe axiale, sui~ant la lisne brisée V-V cle la fi~ure ~ ;
la fisure 6 reprend, a échelle supérieure~ le détail de la fisure 5 repéré par un encart VI sur celle-ci ;
lcs figures 7~ ~ so~t des vues en plan illustrant schélila-tique~en* l'appui, sur une telle bague d'appui, d'une ébaùche se)ni-finio à trai-ter.
s~
Tel qu'illustre par la fisurc l, l~ebauclle semi f`ini.e lO
cl~lne lentille oplltalmique prosressiv~ se pr~sonte on ~,enér.ll sous J.a :~`o.rme d~-m p.~let dont la ~`ace avnn-t l.., ~ui en cst on pra~:ique la l`ac-~ C07.1V0~, o.,t c~llc presentall~, l.e lons (lluIle des ~a.l`tiCg ~U 1110 i.n5 d l`~Ul .111 moins de ses me:r:Ldi~lls~ suT)pose dtro celui dans le plarl cl~ la ~ ure, une co~u~burc pro~srcssive-ment v~riableO
Par e~emple, et tel que represellté, la face ll de cet-te ébauche selt~ in:ie 10 peut etre slobalement spherique sur une portion VL de sa surface, supposée correspondre à ].a vision de loin du paticnt concerné, tandis que pour l'autre po:rtion VP
de cette sur~ace, supposée, elle, correspondre ~`l la vision de pres de celui-ci, elle préscnte, le lon~ all moins de son l~léri-dien principal, une courbure pro~ressi~ement variable.
Ainsi donc, et tcl que schélll~tisé en -traits interrompus sur la figure l, le lon~ de son méridien cen-tral, la portion VP de la surf`ace de la face avant ll de l~ébauclle se~ni-finie lO s'écarte progressivement de la surface sphérique constituant par ailleurs l~autre portion VL de cette surface.
Quoi qu'il en soit, la face a~ant ainsi a courbure pro-~ressivement variable ll de cette ébauche semi~finie lO cn constitue la face finie.
C'est donc sa face arrière, convexe, 12 qui est à wsiner pour les éventuelles prescriptions à respecter.
Tel que représenté, cette face arrière 12 peut être une face sphérique, de rayon R égal à celui de la portion de vi~
sion de loin VL de la face av~nt 11.
~lais une telle disposition n~est bien entelldu pas impéra-tive.
~lle est d~ailleurs sans incidence su.r la présente inven-tion.
En toute hypothese, le contour du palet formant l'ébauche selni-finie lO ainsi constituée est usuellemerlt circulaire, et la tranche correspondante 13 de ce palet est usuellement cy-lindrique, suivant des ~énératrices parallèles à l'a~e optique A de l'ensel;1bleO
Cet a~e optique A, qui es* sc}lématise en tr~its interrom-pus sur les fi~ures 1, 2, passe usuellement par le centre iL~5~ V
optique cle chacune des faces 11, 1~.
Pour l'usina~.~e dc la ~ace arricre 12, il est nécessaire de rappor-ter, sur 1~ f~ce avant 11, par coulec cl'lm nletal ~i bas point de f~lsiOl}, llII bloc d~ montase 15, to:L qu~ schémati.-S sQ on tta:i.ts. .i.rlterromp~.~s sur la :fi-rllre 2, ce bloc de montase 15 ~tlnt ~est.i~ assur~r la m:ise en place do l'ebauche sem:L-~finie 10 concernée sur une maclline cle surfaçase appropriee~
Pour un bon contrôle de cetle 1ili.5e en place, il iInpo:rte que le plan tan~,ent T au somIllet de 1~ ~`ace avant 1l., c'est-~~
dire le plan tansentl qui, perpendi.culaire .`l l'a~e op-tique ~, contient le centre optique de cet-te ~ace 11, occupe, par rap-port a Im plan de référence P, une orientation déteruIinee.
Sur la ~i^;ure 2, sur laquelle le plall tan-~rcnt T e~. lo plan de re:férence P ont été schématisés par leurs tr~c~s, en trai-t plein pour le prenier, e-t en traits interrompus pour le sccond, le plan -tansent T a éte supposé être parallèle au l~lan de réfcrence P, I1 en résulte que L'axe optique A est alors lui.-;nê~ne per~
pendiculaire ~ ce plan de référence P.
Iiais il nten est pas nécessaireIllent ainsi 7 toute autre orientation désirée pouvant etre possible~
Pour la coulée du bloc de :nontage 15, il est nécessaire de placer l'ébauclle senii-finie 10 sur une ba~ue d'appui 16.
De man7 ère co~nue en soi, la ba~ue d'appui 16 rnise en oeuvre à cet effet suivant :L'invcntion cornporte, annulairemellt, autour d'un axe A', une couronne 17.
Cct axe A~ est schématisé en traits i.nterrompus à la fi-gure 5, et il apparaît par sa trace sur la fisure 4r Du cô-té opposé à celul suivant lequel doitIvenir en ap-pui l'ébauche semi-~inie 10 ~ traiter, c'cst-à-clire vers le bas, la couronne 17 se prolonse a~ialerllent par une Jupe 1~.
A l'intérieur de la jupe lo1 la couronne 17 conIporte transversalement une sur~:face d'appui plane 19, qui s'e*end perpendiculaireMent a l'a~e Ai de l'ensernble.
Cette surface 19 cons*itue un plan de référence P' per-mettant de contrôler la positi.on de l'ensemble de la ba~-ue d'appui 16, e* donc celle de l'ebauche semi-finie 10 à traiter, dans l'appareil de bloca~e mis en oeu~re pour la coulée du .. . .
bloc de rmont~Qe lSo Pour le contrôle de llol-ientatiorl anslllairo de la ba~rue (I~aP?l~:L lG autour de 5011 .l~0 l~l dans c~t apparoil d~ ~)loca~;et la ~jup~ lS conlporto au mo:ins Imo ecllarlcrure 20 s~1r .SA trancl~e 5 " ~
Dans la rorme de realisati~n représentt3e ? deu~ éc-la~cru-res 20 sont ainsi prt~vues sur la tranclle 21 d~ cotte ~jupe :L~, en positions cliamctralelllent opposées ll~ule par rapport à llau-tre.
En outret dalls cette Lor~c cle réallsatto~, la surface ex-térieure de la jupe lS est Cll continuité avec celle cle la cou-ronne 17 dont elle rorme un prolongclllent, et~ radialemen~, son epaisseur est noindre que celle de celle-ci ? pa~ exe~uple envi~
ro~ de moitié.
Du côté opposé à la jupe 18, c'est-à-dire ~ers le haut, il est prévu, pour contact avec l'ébauche semi-~inie lO à trai-ter, ~n nombre lirnité de zones d'appui 2 ; en pratique, il est ainsi prévu trois zo~es d'appui ~l, Z2, ZIZ.
Ces æones d'appui Z sont convenable~ent réparties circu-lairement autour de l'axe A'~
Par exemple, et tel que représQnté, par rapport a l'uned'elles, la zone d'appui Zl, supposée constituer une ~.one d'appui centrale, les deux zones d'appui Z2? Z'Z, supposées constituer des zones d'appui latérales, peuven~ ê-tre disposées symétrique~ent l't~e par rapport a l'autre par rapport a un plan axial de llensemble passant par le rayon médiall de la ~o-ne d'appui centrale Zl.
~ n pratique, les zones d'appui ~ ~orment chacune respec-tivemellt la face supérieure de plots 25 ra~ialetn¦ent en saillie vers l'axe A' de l'ense~ble par r~pport à la couronne 17 com-mu~e audit ensembleO
A leur base, ils sont reliés les uns aux autres par une collerette 26, qui, coirlme eu~, s'é-tend elle aussi radialement en saillie sur la couronne 17, en direction de l'a~e A' de l'ensembleO
Cette collerette 26, qui est sensible~nent perpendiculaire audit axe, s'étend en pratique a la base de la couronne 17,au raccordement de celle ci avec sa jupe lo~
:~5~
C'est en pratique sa surfacc inférieure qui ~or~e la sur-~acc d'appui 19 constituant le plan ~c re~s.rence P'.
~ u eard .-i :L.I courol~e 17 et a la collorette 2G, les plots 25 l~ortant ~os ZO11eS (1 ~ aP~Ui 2, sont SS'`Pa1~S~3 leg u:ns cles autres p~r clos de~-;agolIlonts 27 dont le proL.`11 axial, sensiblelllent en oquerre~l avec cependant ~me dopou.ille, est -tour~ls3 vcrs le haut, en diraction opposée a la jupe lo.
Axialoment, en sa:illie vcrs le l1aUI; par rappor-t aU~L pLots 25 portant les zones cl'appui Z, la couronne 17 co~nportc, dans la ~orme de réalisation rcprésentée, un prolonsemQnt 2~, qui sletend sensiblelIlent annulairement autour de l'axe de l'~nsem-ble, dans l:alignclnent de la ~jupe lo, et qui comlne cette der-nière, a radialemel~t une épaisseur sensiblement moitié par rap-port à celle de la couronne 17, avec sa surface e~térieure en continuité avec celle de celle~ci.
A son raccorde~nent à ce prolongement 20, la couronne 17 fOrille ~ G~ intérieur du volume délimité par celui-ci t une pla-ge a~1ulaire 2~, qui se raccorde en continu avec la face supé-rieure de chacun des plots 25 portant les zones d'appui Z, et qui est globalement inclinée par rapport au plan de référence P', en se rapprochant de ce plan référence P' en inême temps que de l'a~e A~ de l'ense~nble~
Cette pla~re annulaire 29 est inise à profit pour l'i~nplan-ta*ion de repères 30~
Il s'agit en pratique de si~lples traits, gravés radiale-rnent à la surface de la plage annulaire 29.
Trois traits 30 sont ainsi prévus.
L'un est établi au droit du rayon méridien de la zone d~appui centrale Zl, et les de~ autres sont Ch~CUn respecti-vement disposés a 90 par rapport au précedent, de part et d~autre de celui-ci~ dans llalignement 1'un d~ l'au-tre.
Localement, il est prévu dans la bague d'appui 16 ainsi constituée, au n~oins une cncoche 32, qui, pratiquée globale-ment radialement, entaille non seulement t dans la forme de réalisation représentée, la couronne 17 et son prolongement a~i~l vers le haut 28, n~ais e~core, asse~ ].argement, la colle-rette 26 presente intérieureme~* à la hase de cette couronne 17 t en recoupant ainsi transversalernen* le desa~eine~t 27 c o-r.re spondant D
Dans la ~`orme de réal:isation repr(~sentee, soule une tel le oncoche 3~ est prevl1e, en étant ser1sibLc,~ment ra~lialclIlent ~n .re~rd de la æ.ono d ' ap~ui cenl;:ra:Le :2l ~
S Los ~ones dlnppl1i Z .sont toutes ~,loba:LeIrle:rlt inclinées par rapport au plan dc re..ére:tlce :P~, en s~étendant c~1acune entre deu~; e~tretllites EE~ décalées tant radiale~Ilent qu'axi.a:le-ment l'une par rapport ~i l.'autre~
L'e~ctretrtité EII~ ou extrétnité haute, se trouvc radialemer~t lO sur une circonférence de diamel:re supérieur à celui cIc la cir-conference sur laquelle se -trouve l ' extrémité EB, ou e}~tremité
basse, et, axialemcnt ~ elle se trou~e, par rapport au plan de r~ férence P', ~i ~m niveau supérieur ~i celui de celle-ci~
En ~ratique, l ' e~;trétni té I~II d 'une zone d ~ appui Z est au 15 racco.rdetnent du plot 25 correspondant avec la couronne 17, et son extrémité EB forlne le bord libre de ce plot 25, Suivant l ' invention, les plans tan~ents TB ~ TII au.~; extremi-tés de chacune des zones d l appui ~ un e t l t auire ortho~;o-naux à un meme plan a~ial de 1~ ensemble passant par un rayon 20 me~:Lian d'une telle zone d~appui 2, font un dièdre D entre eux.
Ces plans tangents TB, Tl~ sont schématises par leur trace sur la fi~ure 6 (pour ne pas surchar~ger celle-ci par des ha-chures, le plan de coupe correspondant passe à l ~ éca:rt du plot 25 ooncerIlé; en realité il doit ~tre considére comllle passant 25 par la zone tnétliane de celui-ci) O
Ils ne contiennent pas nécessairen~ent dans la tot~lité de leur lon~;ueur le.s extrémités EB, ErI correspondantes s celles-ci n' étant pas nécessairement plar.es, et/ou ne s ' étendant pas nécessairetllent dans leur plan ; il s~a~it en ef:~et simplement de plans, ~ui, tansents donc à la zone d'appui ~ considérée, sont au nioins en contact avec celle~ci à l'intersection de ses extrémités EB- ~H avec le plan a~ial de l'ensemble passant par sa zone médiane 7 Ut autrement dit, pax son rayon médian.
En pratique, la concavité du dièdre D formé par ces pla~ls tangen-ts TB TH est tournée vers le plan de référence P'~ e-t donc, en pratique dans le sens axial allant de l'extrémité E~
radialement la plus externe à l'extrémité E~ radialement la plus interne~
~s~
1~
Uans la Corme de .r~alisation représentte en traits pleins sur les f`isurt3s, chacune des zones d'apptli Z comportc une plu~
r~:Lite dc ~`ncet:tos dlappu~ `, q~.i tou-tes globc.~lelnant inclinées pc~r rc~pport c.~u p:Lan d~ re~ére~nce P' ~t l;ou-tes ortllosonales àu plan ax:i.al cle l'en.selllbJ.e [~assant: par le rayon tnéd:ian cl'une tcl-Le 30ne cl'a~pui Z en slett3ndant sylllt3tricl~lelnt3nt dc part et d' au-tre de ce plan axial, 90nt d'inclinaisons ~l:ifferentes par rap-port au plan de réiérence P', l-3sdites facet-tcs d'appui F se succedant rad:ialerilent sur cles circonîerences de diamètres dif-férents suivant leur inclinaison.
~ n pratique, c}lacune de ces facettes d'appui ~ forme unesurf~ce simple.
Dans la forme de réalisation représen-tce, elle forme ~e surface plane.
En variante, elle peut forr.ler une surface s~héri~ue ou torique dont l'axe, qui est dans le plan axial de l'ensemble pass~nt par sa zone médiane, est, ou non, incliné par rapport à l'axe A' de la ba~ue d7appui 16.
En pratique, dans la for~e de réalisation représentée, trois facettes d'appui planes FI~ FII, ~III son* ainsi prévues pour chaque zone d'appui 2, et, dtune zone d'appui Z ~ une au-tre, les facettes d'appui F de même rang sont sur des circon~
férences d~ même diamètre.
TOutes ces facettes d t appui F sont inclinées dans le m~me sens par rapport au plan de référence P'~
En pratique, elles se rapprocllent de ce plan de référen ce P' en mame temps que de l'axe ~' de l'ensemble, Pour cllaque zone d'appui Z, la facette dlappui 1~ plus inclinée, la facette d7~ppui FI, es* celle qui s'e situe sur la circonférence de plus pe*it diamètre, et se ter~nine donc par l'extrémité E~, et la facette d'appui la moins inclinee, la fac~tte d'appui ~III, est celle qui se situe sur la circonfé-rence de plus ~rand diamètre, et se termine donc par l'extré-lnité EH1 la facette d'appui intermédiaire, la facette d'appui EII 7 ayant tute inclinaison intermédiairQ entre celle des deux précédentes~
I1 résulte de ce qui précède que la s~r~ace d'appui qu' offre cllact~e des zones d'appui Z par ses facettes d'appui F
S~70() cst globale~llent conve~e, aVeG sa conca~ito tournee vers Le plml cla referenco P'.
:Cl rosulta o~.lLeillont de cc qui preceda quc 1a rCICette cl~a~pui 1~ la moins inclinée~ `ace-tto d~appui FIII, se situe 5 au pltls près (le la couromle~ 17.
En pratique, ~ans la forlllo di~ recllisatic)n représentee, eLle est dans 1~ prolongement d~ ]a plage anntllairo 29 forl~ée par cclle~ci .`l son raccorclement a son prolongement a~ial 28~
~ n pratique,ésalement, les facettes d'appui e~trêmes ~I, I~ tan-t planes dans ce*te forme de réalisation, elles for-Lnent par elles-mcmes, pour chaque zone cl'appui Z, le,s plans tangents ci'extrenlité T~, TH correspondants dlUI1e telle ~.one d~appul Z.
I~utrenlent dit, elles se con~ondent avec ccs plans tangents d'extrélilite TB, T~Io L~anglc au centre 0 de chaque zone d~appui Z ainsi consti-tuée peut être assez réduit.
Par e~eli~ple, il peut etre de l'ordre de lOi'o Chacune des facettes d'appui F que comporte une telle zo-ne d'appui Z s'ét~nd circulairement sur toute la l~rgeur decelle-ci~
En pratique, leurs inclinaisons respectives dépendant du type de lentilles ophtaln~iques progressives à considérer,c~est-à-dire de la topographie particulière de la portion à courbure progressivement variable des ébauches semi-~inies lQ à traiter, ~ussi bien que de la gamme de courbures de base possibles pour celles-ci~
Elles n'ont donc pas à être précisées ici.
En pratique, égalementl le diaMetre intéri~ur du prolonse-ment axial 28 cle la couronne 17 est sensible~llent égal au dia-mètre e~térieur du palet que constitue une telle ébauclle se finie lQ, en étant légèrement supérieur à celui-ci.
Lorsqu'elle y est engagée par sa face linie 11, tel que schématisé en traits interroinpus sur la figure 5, une ébauclle semi-finie 10 ~I traiter se trouve donc sensib]elllent ajustée dans ce prolon~elllent a~ial 28 de la couronne 17, sans cepen dant y etre serrée.
De préference, et tel que représente, la }la-~teur du pro-;:``
longelllent axial 2c3 dc la couronne 17 est inferieur~ ~l l'opaisseur de l'e~c~uclle se~ inie 10, pour f.lciliter la lilanipu]a-t.iOYl de cette derniere, ~ n prltiquo, L'ebaucll~ semi-finio 10 ,`~ traitc3r porte des reperes, non ~isiblos sur Les f`:igures J
Il s~lffit, pour son implantation correc-te dans 1~ bngue d~appui 16 sui~an~. l'ln~ention, cle faire colnc:ider Ce9 repere~s avec les repères 30 portés par cette clernic3re.
Tel qulillustre sché~latiquement à la figure 7, l'ebauehe semi-finie 10 ainsi ulise en place par sa face flnie 11 da~s la ba~ue d'appui 16 suivant l'invention vient porter ponctuelle-ent par celle-ci sllr cilac-me des ~ones d'appui Z pré~les a cet effet sur cette ba~,ue d'appui 16, etl plus précisément, sur une facette dlappui l~` de l~ême rang de ces zones d'appui Z.
~n pratique, cor,lpte tenu des repères mis en oeuvre, ceux-ci ayant été prévus ~ cet effet, c~est par sa portion de vision cle pres VP, et, plus précisél~en-t1 par ~ point cle celle-ei si-tué sur son ulériclien principal que llébaucl1e serlli-finie 10 à
traiter vient ainsi porter sur la zone d~appui ~entl^ale 21 de la bague dlappui 16, tandis que c'est par sa portion de vision de loin VL, et, plus precisétnent, par deu~ points de celle-ci situés chacun respectivelllent de part et d~autre de ce inéridien principal, qu'elle vient conjointau~ent porter s~lr des zones d~appui latérales 22, Z~2 de cette bague dlappui 16.
Soit P les points de contact corresponclants, Pl pour la zone d~appui Zl, P2 pour la zone d'appui Z2, et P~2 pour la zone d'appui Z'2~
Ces points Pl, P2, P~ sont tous sur une même circonré
renee C, centree sllr l'a}~e A~ de l'ense~ble~ I
Ils forment les son~et3 d~un trian$1e isocele.
Soit 11 la lollsueur de la médiane principale cle ce trian-gle isocele, clest-à-dire de celle qui, i.SSlle du point Pl correspondant à la zone d'appui centrale ~1, est perpenclicu-laire au côté reliant l'un a l'autre les points P2, P'2 cor-responclant aux zones d'appui latérales Z2, 2'2, et foru~e donc conjointelllent la hauteur eorrespondante~
Si, pour une mêll~e courbure de base, l~acldition de puis-sance de la face finie 11 de l~ébauche semi~finie 10 à traiter 17 ~S~70V
arie, les points cle contact P se cleplacant radiale~.1allt, et circonférentiolle~l1Qnt, sur la :Eclcette d'appul I~` eorrespond.ln--te, n~ais, tel qne schenlatis- .i la f`:i ~gure ~ ~ la longu~ur cLe la Im~CIinnO pr:inc:i.palo du tr:inn~le i.socdlo qll'ils fo.rment ~1elnc3urc sar~ mollt constaIIte mal.~re la def`orl11a-t:ion dont ast corrala-tival11ont l~o~jot cc~ triang,le .isoce`].e.
Sur la fi~ure $, et pour la v:islbi:Li-té CIQ celle-ci, les deplacements des points cle contact P on* ~ta :Large~i1ent ~xa~e res~
Cor.uile indiclue ci-de.ssus, i.ls sont supposés chac1ln resp~e-tivement rester S~lr une même face-tte c1~ppui ~l Suivant,l;1a:intellant, la courbure de base cle la I`aCa finie .ll c1e l'ébaucho serni ri.nie 10 à traiter, c'est telle ou telle des facettes cl~appui .~ qui, pour ci1aque ~one d~appui 2, et suivant les dispositi.ons décrites précédelan1ent, est concernée.
Ilais, en pratique, ~ula Illênle faeet-te d~appui ~ peut conve-nir a toute une sarl1me t réduite, de courbures de base diffél^en-tes.
C'est la ra~son pour laquelle un no~nbre limité de racet-tes d~appui F suffit ,`, couvrir llensel11ble des gallm1es de cour-bures de base usuellen1ent mises en oeuvreO
Ainsi pour une topo~raphie donnée de la face finie ll des ébauehes sen1i-finies lO à traiter, une seule bague d~appui 16 suffit.
Autrement dit, suivant l'invention, il su~fit d'une ba~ue d~appui 16 par type de lentilles ophtallIliques prosressives.
Lorsque, suivant les disposi-tions décrites précéderrlment, l'ébauel~e semi-finie lO eorrespondante est engagée par sa face finie ll dans eette ba~ue d'appui 16, l'ensembl~ est rapporte gur u~ appareil de blocage, o~, à la faveur de l'encGche 32 prévue a cet effet, il est procédé à la coulée d~un n1étal a bas point da fusion dans le volume interne délilt~ité par cette ébauche sen1i~rinie lO et cette bague d~appui 16 Le ~loc de montage 15 recherché se t.rouve ainsi I`or:ne, avec ~me implantation et une orientation déterminee par rap-port a l~ébauche serni-finie lO ~ laquelle il adhère, le plan de référence P' que forme par sa face interne l~ la couronne 17 de la bague d'appui 16 venant se confondra avec le plan de .
~ _ _ , . .. _ , .. . . _ . . ... . . . . . .
~S~70 référenca P par rapport auquel est ostimée l'orientation do l'a~e optique ~ cle cette ébauche seuli~finie 10.
L~e A' cle la ba~;ue cl'appui 16 peut alors lui~me~l~e se con~`onclrQ ~vec cet axe OptiqllO ~.
~lais il t~l on est pac3 lléCesSairelllent ainsi.
~u contraira, cot a~e opt:iquc A peut se trouver incline p~r rapport au plan <le réference pl, et dorlc par rapport au plan de référence P, 3:i clésire.
Comllle cléjà indiqué cL-dessus, si, dans la forme de ré~li sation rcprésentce, les facettes ~'appui ~ mises en oeuvre sont plancs, elles peuvent é~alemen-t être courbe 5, par eY~emple spilériques ou toriques, comme déj~`~ indiqué, ~OUI` CO~lpenSer l'effet d~ ~I certaines lois de pro~ression non linéaircs ;
dans le cas de facettes d'appui sphériques ou toriques, le rayon de la sphère ou du meridien du tore a en pratique une valeur comprise entre celle du rayon de la zone de vision de loin et celle du rayon de la zone de vision de près.
Dans la ~ariante de réalisation schél~latisée en traits interrompus ~ la fi$ure 5, chacune des zones diappui ~ compor-te uno facette d'appui FC unique7 et celle-ci est continûment courbe d'une de ses e~trét~lités E~ l à l'autre.
Pour la com~odité du tracé, on a supposé, à la fi~ure 6, que le contour correspondant de cette facette d'appui FC uni-que s'inscrivait dans le contour pol~sonal defini par les fa-cettes d'appui planes FI, FII, FIII précedentas (en étant enpratique tan~ent aussi bien a la facette d'appui intermédiai-re FII qu'aux facettes d'appui e~trê~nes FI, FIII)~
~ Iais il n'en est évidemment pas nécessairement ainsi, ce contour pou~ant par s~emple être au moins local~ment plus ou ;noins rehaussé, ou abaissé (comme représenté pour la facette d'~ppui intermediaire ~II), par rapport au préc~dent.
La facette dlappui unique courbe FC ainsi ~lise en oeuvre par chaque zone d'appui ~ peut, par exemple, ~ is non néces-sairement, ~tre sphérique ou torique~
Quoi qu'il en soit, la concavité qu'elle présente cst ~lobale~ent -tournée vers le plan de référence P', lcs plans tan~rents TB, TII ~ ses extrémités ~B~ ~H formant comme précé-de~ ent un diedre D entre eux.
1~5~i~7Cl() 1~
~ utretnent di-t, elle est globalelnent convexe, comule l'en-semble formé par les f.~cettes d'appui planes ~ II, F.lIl -prece~lentes.
Il:Lcn ~nten~ .La pr~3sente invcntloll ne so limite pas au~
formos cl~ r~alisat:ion decrl.-tcs et repr~isentees, nlais englol~e toute variante~ cl'e~cecution, no-tar~lent en ce qui conc~rne :Le nombre de zones d'appu.i mises cn oeuvre~
~ a:is, clans tOllS les cas, ct su:ivant l.'i.nvention, 1~ sur-face d'appui qu'offre chac~ne cle ces æones d'appui est globa-lement conve~e~
Par ailleurs, si, dans ce qu:i précède, :il ~ éte supposéque la surf;ce progressive conccrnée était sylnétrique par rap-port à la i~3ridienne principale du palet -traité, il n'en est pas nécessairement ainsil l'invention s'appliquant aussi bien au cas de surfaces progres~-iives dissymétriques~
De méme, cette surface n'est pas nécessairemenit une sur-face conve~c, mais peut aussi bien être une sur~ace concave.
~ n~in, au lieu de constituer direc-tei~ent par lui-mêine llébauche se~ finic d I un2 lentille ophtalulique progressive, le palet -traité peut par exei~ple constituer l'ebauche semi~
finie d'un moule propre au moulage d'une telle lentille oph-tall~ique progressive~
. ,.
La présen-te invention concerne une ba~ue d'appui pour la ixation d'un bloc de montage sur la face Einie à courbure progressivement vari~ble d'une ebauche seml-Einie d'un palet, t~l que lentille ophtalmique ou moule.
A:insl ql~'on le sait, il s'asit de lentillcs oplltalllliques dont ~le cles face~s, au moills, prcsentc une courb~re progressi-S vement variable sur une ~artie au moirls d'au moins une lignemeridicnne, polr l'ob-tention d'une addition progre~sive de puiqsance le long de celle~ci.
En pratique, il en est ainsi pour la seulc face av~nt1 convese, d'~e telle lentille ophtalmique, et celle-ci se ca-rac-térise usuellement, d'une part, par sa courbure de base, a laquelle correspond une zone de vision de loin pour le patient concerné, et, d'autre part, p~r son addition de puissancel à
laquelle correspond une zone de vision de près pour celui-ci.
Conjointelnent, la face arrière, conc~ve, des lentilles ophtalmiques prosressives est affectée aux éventuelles pres-criptio~ particulières à satisfaire p~r ailleurs pour la cor-rectio~ de vision d'~n tel patient.
Compte tenu, d'une part, des difi`icultés de réalisation dos surfaces à courbure progressirement variable, et 9 d'autre part, de la diversité, en nature et en i~tensité, des autres corrections do vision possibles, il est plus économique de réaliser un nombre réduit d~ébauches semi-finies, couvrant par leur face avant, qui en constitue alors une face fi~ie t une gnn~e déter~inée, jugée suffisante pour correspondre a l'en-semblc des cas envisageables, de courbures de base et d'addi-tions de pui~sance, et d'adapter ensuite ces ébaucl~es, par usina~e de leur face arrière, au~ diverses presqriptions a satisfaire.
Pour la reprise d'usilla~e qu'il est donc nécessaire d'ap-pliquer a la face arrière de telles ébauches se~ inies, ilest usuel de rapporter sur leur face avant, sui~ant un proces-sus co~nmu~ément appelé "glan-ta$e", un bloc de préhension, com-munén~ent dit bloc de montase, propre à permettre ensuite un maintien convenable sur une machine de surfaçageO
3~ Pour la réalisation d'u~ tel bloc de montage, il est usuellement procédé~ au sein d'u~ appareil de bloca~e, à la , ~. .
. ~
I
~2~,6~7~
coulée d'un n~atér:ia~ t bas point de fusion entre la race con-cernée de l't~bauc~le semi-f~ 3ie ~ traitcr c-t un moule, comlllu n~iulent appele ~a~P;ue ~l~ap7~ i, ouvert Qn cloche ~re:rs cell~-ci o La difri.e~ e, en l'esptce, e~t dotlb.l.e~
r; 'rt llt c~ ol~d~ pour Sar-~rltir .a précision ~les opera-tions ultor.iellros do surl`aça~e, et pertilettre ainsi l'obte.n-t:ion d'lme lentille ophtalmique finie ayant los caractér:i.~tiques optiques rt~quises, :i:L est indispensabl~ d'actstlrer ~e mi.se en placc precicte dc la face fi~ie de l'obauclte semi-finie .~ tra.i-to.r vis-à-vis de la basue dl~pplli LliSe Cll oeu-~r~.
Or, CO~ e indiqui3 ci-dossust ce-tte face finie est .-1 collr-bure proSressivement variablel ce qui, ~ans autre, peut rcn-dre al~atQire son applli sur .la bague d'apptli~
Il peut notat??ment en résulter l'obtention, de m~nière incontrôléc, d'un prisme plus ou moins important pour la zone de vision de près cl laquelle correspond cette courbure pro-gr~ssivement variablt3, et donc des difficultés d'apparielllent de lentilles ophtal~liques pour un ~lême patient.
~e plus, il est souhaitable qu'un mêl~e ~pp~reil dc blo-cage puisse etre utilisé pour toutes les ebauc}les se~ finiQsà traiter.
Le plus souvent, il est ~tilisé, pour ce faire, une ba-gue d'adaptatio~ dont l'~ne des faces, ou face d'appui9 est conformee a~nulairement de ~naniere a pouvoir epvuser la face ?5 ~inie d'unc ébauche semi-flnie à traiter, -tandis que l'autre est adaptée a coopérer avec le moule, ou bague d'appui, mis en oeuvre.
Une telle solution impose de disposer d'un parc important de bag~es d'adaptation de caractéristiques diff~rentes, cor-respondant, chacune respective!nent, a liensemble de la sammed'ébauches semi~finies a traiter.
~ n pratique, il faut ainsi une bague d'adaptation par courbure de base et par addition de puissance, soit, le plus fréquemment, un total d'environ trente bagues d~adaptation pour chaque -type de len-tilles ophtalmiques progressives.
9utre l'encombreme~lt de stQClsage auquel elle conduit, c~tte solution est d'autant plus onéreuse que chac~e des bagues d'adaptation ain~i ~ mettre e~ oe~re est usuelle~ent ~L~5~7~)() , .
~e b~ue :;léta.l.l.ique r~al:isée par usinase et donc c}~ere~
Pour rili:nillliser cet inconvcnicnt, il a et~ propos~i de cttre en oeuvret en subst:itution a ces ~a~uns ~I'adap-tat:ion, des arm.lt~lre.q clo montAgo rcal.isablo3 on m~ti.ere syntlletiqtlc, :~ CC"3 ~ natures c3e Illonta~e cons-tituant des pieces per~lles quj, nu mol~ent de la co~llec du ~loc de ~ontage, sont au Inoins partielleulent surmoulées par un tel bloc de mon-tage.
Bien qu'une tclle solution, qui fa.it l'o~)je-t cl~l bre~e-t :L`ranc,ais depo3é le 29 ~lai 197' sou~s lc N 72 19131 e-t p~lblie sous le N 2.1S6./l~l, ait donné et pllisse enc.ore do~mer satis-faction, elle conduit él~;alomcnt a la nécess:itc de disposer d~un parc important d'ar~lcltures de ~;~on-ta~e correspondant au~.
différentes courbures de base et add:itions de puissance .`~
respecter pour chaque type de lentillcs ophtal~lliq~les progres-si.~es~
Une autre solution déja proposéeconsiste par ailleurs anettre en oeu~re, non pl~ls des ba$ues ou arnlatures p.ropres à
l'ob-tentio~ d'une ~one d'appui circulairelllent continue pour la face finie des ébauches semi-finies ~.traiter, mais de ~0 simples plots1 qui, localement appli.qués à cette face finie, définissent pour celle~ci ~ nolnbre limité de zones d'appui convenablement reparties circulairement autour de l'a~e de l'ensemble~
En fonction de la courbure de base et de l'addition de puissance, deu~ de ces plots, ou plots compensateurs, sont ainsi appliqués a la périphérie de cette face finie, en étant chacun respectivement disposés au~ e~ct.rélnités du diame-tre horizontal de celle-ci, en sorte que l'appui dc l!ensemblc de cette face ~inie se -fait en trois points, et doI6c dans un plan~ le troisi.ème p~int, qui intervient sur une demi-couron~
ne circulaire passant par les deux ~utres, n?impltquant la ise en oeuvre d'aucun plot colllpen~ateur~
Si ell?? est économique, cette solution a pour inconvé-nient de n'assurer que suivant un demi~cercle l'appui d'une ~5 ébauche semi~finie a traiter, ce qui peut être a 1 t origine d~erreurs entraînant irrémédiablement le rebut des lentilles ophtal~iques ~inies ultérieurement obtenues.
La présente in~ention a d'~e manière ~énérale pour ~5~7~3~) objet une disposi-tion qui, tout en satisEaisant aux con-ditions ~ respecter, permet avan-tageusement d'éviter ces inconvén:ients.
La présente invention vise une bague d'appui pour ébauches semi-finies d'une lentille ophtalmique ou d'un moule pour une -telle lentille ophtalmique ayant des faces convexes progressives de courbures différentes, ladite bague d'appui comportant une pluralité de zones d'appui pour contact avec une ébauche semi-finie quelcon-que choisie parmi une pluralité d'ébauches semi-Einies différentes dans une gamme donnée, lesdites zones d'ap-pui étant réparties circulairement autour d'un axe, la-dite bague d'appui ayan-t en outre un plan de référence perpendiculaire audit axe et axialement à l'intérieur desdites zones d'appui, lesdites zones d'appui étant tou-tes globalement inclinées par rapport à ce plan de réfé-rence et chacune desdites zones d'appui s'étendant entre deux extrémités qui sont décalées tant radialement qu'axialemen-t l'une par rapport à l'autre, chacune des-dites zones d'appui ayant un plan médian passant par ledit axe et s'étendant radialement au milieu de sa zone d'ap-pui, des plans tangents aux extrémités de chacune des-dites zones d'appui et orthogonaux audit plan médian for-mant entre eux un dièdre ayant une concavité tournée vers ledit plan de référence, chacune desdites zones d'appui comportant une pluralité de facettes d'appui permettant un contact prédéterminé avec ladite ébauche semi-finie, toutes ces facettes d'appui formant globalement des in-clinaisons par rappor-t audit plan de référence et étant toutes orthogonales au plan médian de la zone d'appui correspondante, les inclinaisons de chacune des facettes d'appui de chacune desdites zones d'appui étant différen-tes les unes par rapport aux autres, lesdites facettes d'appui se succédant radialement sur des circonférences ~ ,...
_ 5 _ ~ ~5~
de diamètres di:Eferen-ts suivant leur inclinai-son, et chacune desdites zones ayant des Eace-ttes d'ap-pui extrêmes se conEondant avec les plans tangents aux extrémités correspondan-ts.
La présente invnetion est en effet Eondée sur l'observation, non révelee à ce jour pour une bague d'ap-pui, qu'en raison de la topographie même des surEaces à courbure progressivement variable, un nombre limité
de zones d'appui, disposées sur un meme cercle dont le diamètre dépend de la courbure de base de cette surface, peut suffire.
En pratique, trois zones d'appui peuvent ain-si suffire, sans que deux d'en-tre elles soient nécessai-rement disposées aux extrémi-tés d'un meme diamèt:re.
Au contraire, elles sont de préférence répar-ties au sommet d'un triangle i.socèle dont chacun des co-tés est à l'écart du centre du cercle correspondant, en entourant celui-ci.
Quoi qu'il en soit, e-t suivant l'invention, les plans tangents aux extrémités de chacune des zones d'appui mises en oeuvre font un dièdre entre eux.
Autrement dit, l'inclinaison d'une telle zo-ne d'appui n'est pas la meme à l'une et à l'autre de ses extrémités.
En pratique, pour couvrir l'ensemble des cour-bures de base envisageables, il suffit, alors pour cha-cune des zones d'appui mises en oeuvre, d'un nombre li-mité de telles facettes d'appui, chacune de ces facet-tes d'appui pouvant indifféremment convenir à une ou plu-sieurs de telles courbures de base.
Prises conjointement ces facettes d'appui mul-tiples forment entre elles un ensemble globalement con-vexe.
Mais il s'avère meme, que de préférence, selon - 5a -~25~ 0 une deuxième forme de realisation possible de l'inven-tion, une Eacet-te d'appui unique suffit pour chacune des zones d'appui mises en oeuvre.
Cette facette d'appui unique est alors, sui-vant l'invention, continûment courbe de l'une à l'autredes extrémités d'une telle zone d'appui.
Au-trement dit, l'inclinaison d'une -telle zo-ne d'appui varie alors de manière continue d'une de ses extremités à l'autre.
Sa facette d'appui unique est en pratique une facette convexe.
Dans tous les cas, facet-tes multiples ou fa-cette unique courbe, là où il était usuel à ce jour de prévoir, pour l'appui de la face finie d'une ébauche semi-finie à traiter, une bague ou une armature de forme com-plementaire de celle de cette face et épousant donc celle-ci, il suffit, suivan-t l'invention, de facette(s) con-venablement réalisée(s) et globalement convexe(s).
Il s'avère, en effet, corrollairement, que, pour une même courbure de base, la longueur de la média-ne principale du _ _ - 7 /
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trian~gle suivant lequel se I ai t l ~ appui ~ sur Ime ba~ue cl'~ppu:i suiv~:lnt l':in~rention, de la face fi.Ilie cl'unc e~auche se~ fi~ic ~`~ tra:iter, est ~ensi.blellle~t constante, quelle que soit l~adcli--~ion do p~ s~ncc de ca:L].e-c~ point de contact a~ec chacu-ne des .~acettcs dtappui corre~pondantes se d~plaçant silllr?le~ment ~ tant radialcmcn~t, qu-3 circonrérentiellelllont, 1~3 lon~;
d'~m~ tell~ ~acctt~ d'appui, suivant l'additiosl de puissaIIce~
Il rés~lte slobalement de ce qu:i précede que~ pour une topQsraphie déterl~linée de surface à courbur~ progressivement variable, c'est-à~clire pour ~m type cléter~lin~ de lentilles ophtalmiques progressivcs, ~ne bague d~appui unique, à ~ones d'~ppui en no~bre limité, peut avanta~eusement et économique-ment satisfaire, suivant l'invention, au traitement de toute la garnme d~ébauches semi fi~ies, a courbure de base et addi-tions de puissance différentes, à prendre en considérationpour la realisation de telles lentill~s ophtalmiques prosres~
sives~
~ n ef~et, suiva~* la courbure cle base de la face finie d'u~e telle é~auche s~mi-~inie, son appui sur la bague d'appui 20 suivan* 1 ' inventi~n se f~it sur telle ou telle des facettes d'appui que ~omporge chacune des ~o~es dlappui de celle-ci, s'il s~agi* de zones d~appui à facettes d'appui mul~iples, ou en tel ou tel point de la facette d'appui de C9S xones d'appui, slil s'a~it de zones d~appui à facette d~appui unique, et, sui-vant lladdi~ion de puigsance de cette ébauche semi-~inie~ le point de contact correspondant se déplace simpiement radiale-ment et circonférentiel}ement J
Dans tou~ les cas, le contact se fait tansentiellement de manière convenable, et, eu é~ard au respect pa~ ailleurs de repères prévus a cet effet, la mise en place, sur ~e ba$ue d'appui suivant l'in~ention, d'une éb~uche semi-~inie à trai-ter peut se ~aire, d~ manière systématique, ave¢ toute la pré-cisivn souhaitable.
En particulier, il est possible~ si desiré, d'orienter cette ébauche de inanière à ce que le pla~ -tan~ent aw sol~met da sa face finie fasse par rappo~t à un plan de référQ~ce fi-xe un ansle détermi~é proportio~nel à ~on addition dQ puissan-ce.
:
7(~
~Sais, quoi qu'.il en so:it de cet angle, la precis:ion de la IlliSe en place aillsi assurée est sarante de celle ~eg car~ct~3 ristiquos opti(lue~ fin~le~llent obtonue~ après l'us.ina~c d'une ~ e ~?I)auc~
De mam~ avec une ehallcbe sem;.~ i.e decen-t.réet c'esk-A-di~e avec une ébauche sellli i~lie don-t l'axe op-ti.que est déca-le transversalcment ~ar rapport a l'a~e géonlé-t:r:itluc, il suf~it, avec la basue d'appui suivant l'invcntion, de placer une tel:Le ebauche semi-rinie sur une telle ba~ue cl'appui en l'orientant convenablement par rapport à celle-ci.
Il est alors simplen~ent observé que 1es appuis dt~ cette ébauche semi-finie clécentrée sur la bague dlappui ne se font p:Lus suivant les sommets d'un triangle isocèle, comme cela es*
au contraire en pratique le ca~ avec une ébauclle semi-finie dont l'a~e optique est confondu a~ec l'axe ~éometr1~ue~
Mais aucun reslage particulie.r n'est ensuite avantaseuse-ment à pratiquer sur la machine de surfacage ultérieure~lent mise en oeu~reO
Autrement dit, lorsque la bague dtappui utilisée pour la réalisation d'~ bloc de montase sur une ébauche se~ni-finie est une ba~ue dlappui suivant l'inYention, le régla~e d'une telle machine de surfaçage reste le même qu'il s'asisse dluna ébau-che ~emi~inic à axes op*ique et géométrique confondus ou qu'il 31 agisse d'une ébauche semi-finie décentréeO
Par ailleurs, ne mettant globalement en oeuvre que quel-ques ~acettes d'appui, et celles-ci n'étant en pratique que des surfaces simples, planes, sphériques ou toriques par exem-ple, la bague d'appui suivant l'invention est avantaseusemeut relativeme~t aisée et économique a réaliser~ i Certes, dans le brevet anslais N 1 155 719, il est dé-crit Im bloc de maintien pour l`entille ophtalmique, qui t pour contact avec une telle lentille ophtalmique, présente, convena-blement réparties circulairement, une pluralité de ~ones d'ap-pui isolées, dont chacune s1étend entre deux extré~ités déca-lées tant radialement qu'axialement l'une par rapport à l'au-tre~
Mais, outre qu'un tel bloc de maintien ne cons~titue pas une basue d'appui au sens de la présente demande, puisqu'il 8 ~s~o ne s'aSit pa9 d'une pièce à Illettre en oeuvre pour la réalisa-tion d'lm bloc(lo mol~tase~ lscl'l1no 2ies::o pl~pr~ ~suIo.rcLi.rect~-ont par ~lle~ enle le n~a:int-ien de la lent:L.1le ophtalmique lors de son sur:~aSa(~e, s~l]. est prevtl son appui sur w~e surface cyllndrique ou tor:ique~ et non pas son appui sur ~mc sur~ace aspllérique telle qu~ le constitue une ~ur~ace a courbure pro-gressivemant variabla, et, de ce ~ait, s'il ne coluporte qu'~me ~acette d'appui par ~one d'appui, il s'agi-t en pratique d'une face d'appui plane, le problème de son aclaptation ~ une ~amll1e de courbures d~ base di~férentes et/ou a des addit:ions de puissanc.e différentes ne se posant pas.
Il nlen est pas de ~me avec la basue d'appui suivant l'invention~
De l~eme, dans le brevot all1cricain N 3 l40 568 il 5 ~ agit de zones d'appui qui sont propres a épouser une surface sphéri-que et, de surcroît, cette surface sphérique étant convexe,la facette d'appui qu'elles f~rttlent est une facette concaveS
Les caractéristiques et avantages de l'invention ressor-tiront d'ailleurs de la description qui va suivre, à titre d'e~emple, en référence aux dessins schematiques annexes sur lesquels :
la ~i$ure 1 est une vue en coupe axiale d'une ébauche semi-finie d'une le~tille ophtalmique progressive ;
la figure 2 est une vue en coupe axiale, qui, analogue à
celle de la figure l, illustre la mise en place d'un ~loc de nontage sur une telle ébauche semi-finie , la fi$ure 3 est, avec un arrachement, une vue en perspec tiYe d'une bague d'appui propre, suivant l'invention, à la coulée d'un tel bloc de tnontage ;
la figure ~ est une vue en plan de cette bague d'appui, suivant la ~lecne IV cle la fisure 3 i la figure 5 en est une vue en coupe axiale, sui~ant la lisne brisée V-V cle la fi~ure ~ ;
la fisure 6 reprend, a échelle supérieure~ le détail de la fisure 5 repéré par un encart VI sur celle-ci ;
lcs figures 7~ ~ so~t des vues en plan illustrant schélila-tique~en* l'appui, sur une telle bague d'appui, d'une ébaùche se)ni-finio à trai-ter.
s~
Tel qu'illustre par la fisurc l, l~ebauclle semi f`ini.e lO
cl~lne lentille oplltalmique prosressiv~ se pr~sonte on ~,enér.ll sous J.a :~`o.rme d~-m p.~let dont la ~`ace avnn-t l.., ~ui en cst on pra~:ique la l`ac-~ C07.1V0~, o.,t c~llc presentall~, l.e lons (lluIle des ~a.l`tiCg ~U 1110 i.n5 d l`~Ul .111 moins de ses me:r:Ldi~lls~ suT)pose dtro celui dans le plarl cl~ la ~ ure, une co~u~burc pro~srcssive-ment v~riableO
Par e~emple, et tel que represellté, la face ll de cet-te ébauche selt~ in:ie 10 peut etre slobalement spherique sur une portion VL de sa surface, supposée correspondre à ].a vision de loin du paticnt concerné, tandis que pour l'autre po:rtion VP
de cette sur~ace, supposée, elle, correspondre ~`l la vision de pres de celui-ci, elle préscnte, le lon~ all moins de son l~léri-dien principal, une courbure pro~ressi~ement variable.
Ainsi donc, et tcl que schélll~tisé en -traits interrompus sur la figure l, le lon~ de son méridien cen-tral, la portion VP de la surf`ace de la face avant ll de l~ébauclle se~ni-finie lO s'écarte progressivement de la surface sphérique constituant par ailleurs l~autre portion VL de cette surface.
Quoi qu'il en soit, la face a~ant ainsi a courbure pro-~ressivement variable ll de cette ébauche semi~finie lO cn constitue la face finie.
C'est donc sa face arrière, convexe, 12 qui est à wsiner pour les éventuelles prescriptions à respecter.
Tel que représenté, cette face arrière 12 peut être une face sphérique, de rayon R égal à celui de la portion de vi~
sion de loin VL de la face av~nt 11.
~lais une telle disposition n~est bien entelldu pas impéra-tive.
~lle est d~ailleurs sans incidence su.r la présente inven-tion.
En toute hypothese, le contour du palet formant l'ébauche selni-finie lO ainsi constituée est usuellemerlt circulaire, et la tranche correspondante 13 de ce palet est usuellement cy-lindrique, suivant des ~énératrices parallèles à l'a~e optique A de l'ensel;1bleO
Cet a~e optique A, qui es* sc}lématise en tr~its interrom-pus sur les fi~ures 1, 2, passe usuellement par le centre iL~5~ V
optique cle chacune des faces 11, 1~.
Pour l'usina~.~e dc la ~ace arricre 12, il est nécessaire de rappor-ter, sur 1~ f~ce avant 11, par coulec cl'lm nletal ~i bas point de f~lsiOl}, llII bloc d~ montase 15, to:L qu~ schémati.-S sQ on tta:i.ts. .i.rlterromp~.~s sur la :fi-rllre 2, ce bloc de montase 15 ~tlnt ~est.i~ assur~r la m:ise en place do l'ebauche sem:L-~finie 10 concernée sur une maclline cle surfaçase appropriee~
Pour un bon contrôle de cetle 1ili.5e en place, il iInpo:rte que le plan tan~,ent T au somIllet de 1~ ~`ace avant 1l., c'est-~~
dire le plan tansentl qui, perpendi.culaire .`l l'a~e op-tique ~, contient le centre optique de cet-te ~ace 11, occupe, par rap-port a Im plan de référence P, une orientation déteruIinee.
Sur la ~i^;ure 2, sur laquelle le plall tan-~rcnt T e~. lo plan de re:férence P ont été schématisés par leurs tr~c~s, en trai-t plein pour le prenier, e-t en traits interrompus pour le sccond, le plan -tansent T a éte supposé être parallèle au l~lan de réfcrence P, I1 en résulte que L'axe optique A est alors lui.-;nê~ne per~
pendiculaire ~ ce plan de référence P.
Iiais il nten est pas nécessaireIllent ainsi 7 toute autre orientation désirée pouvant etre possible~
Pour la coulée du bloc de :nontage 15, il est nécessaire de placer l'ébauclle senii-finie 10 sur une ba~ue d'appui 16.
De man7 ère co~nue en soi, la ba~ue d'appui 16 rnise en oeuvre à cet effet suivant :L'invcntion cornporte, annulairemellt, autour d'un axe A', une couronne 17.
Cct axe A~ est schématisé en traits i.nterrompus à la fi-gure 5, et il apparaît par sa trace sur la fisure 4r Du cô-té opposé à celul suivant lequel doitIvenir en ap-pui l'ébauche semi-~inie 10 ~ traiter, c'cst-à-clire vers le bas, la couronne 17 se prolonse a~ialerllent par une Jupe 1~.
A l'intérieur de la jupe lo1 la couronne 17 conIporte transversalement une sur~:face d'appui plane 19, qui s'e*end perpendiculaireMent a l'a~e Ai de l'ensernble.
Cette surface 19 cons*itue un plan de référence P' per-mettant de contrôler la positi.on de l'ensemble de la ba~-ue d'appui 16, e* donc celle de l'ebauche semi-finie 10 à traiter, dans l'appareil de bloca~e mis en oeu~re pour la coulée du .. . .
bloc de rmont~Qe lSo Pour le contrôle de llol-ientatiorl anslllairo de la ba~rue (I~aP?l~:L lG autour de 5011 .l~0 l~l dans c~t apparoil d~ ~)loca~;et la ~jup~ lS conlporto au mo:ins Imo ecllarlcrure 20 s~1r .SA trancl~e 5 " ~
Dans la rorme de realisati~n représentt3e ? deu~ éc-la~cru-res 20 sont ainsi prt~vues sur la tranclle 21 d~ cotte ~jupe :L~, en positions cliamctralelllent opposées ll~ule par rapport à llau-tre.
En outret dalls cette Lor~c cle réallsatto~, la surface ex-térieure de la jupe lS est Cll continuité avec celle cle la cou-ronne 17 dont elle rorme un prolongclllent, et~ radialemen~, son epaisseur est noindre que celle de celle-ci ? pa~ exe~uple envi~
ro~ de moitié.
Du côté opposé à la jupe 18, c'est-à-dire ~ers le haut, il est prévu, pour contact avec l'ébauche semi-~inie lO à trai-ter, ~n nombre lirnité de zones d'appui 2 ; en pratique, il est ainsi prévu trois zo~es d'appui ~l, Z2, ZIZ.
Ces æones d'appui Z sont convenable~ent réparties circu-lairement autour de l'axe A'~
Par exemple, et tel que représQnté, par rapport a l'uned'elles, la zone d'appui Zl, supposée constituer une ~.one d'appui centrale, les deux zones d'appui Z2? Z'Z, supposées constituer des zones d'appui latérales, peuven~ ê-tre disposées symétrique~ent l't~e par rapport a l'autre par rapport a un plan axial de llensemble passant par le rayon médiall de la ~o-ne d'appui centrale Zl.
~ n pratique, les zones d'appui ~ ~orment chacune respec-tivemellt la face supérieure de plots 25 ra~ialetn¦ent en saillie vers l'axe A' de l'ense~ble par r~pport à la couronne 17 com-mu~e audit ensembleO
A leur base, ils sont reliés les uns aux autres par une collerette 26, qui, coirlme eu~, s'é-tend elle aussi radialement en saillie sur la couronne 17, en direction de l'a~e A' de l'ensembleO
Cette collerette 26, qui est sensible~nent perpendiculaire audit axe, s'étend en pratique a la base de la couronne 17,au raccordement de celle ci avec sa jupe lo~
:~5~
C'est en pratique sa surfacc inférieure qui ~or~e la sur-~acc d'appui 19 constituant le plan ~c re~s.rence P'.
~ u eard .-i :L.I courol~e 17 et a la collorette 2G, les plots 25 l~ortant ~os ZO11eS (1 ~ aP~Ui 2, sont SS'`Pa1~S~3 leg u:ns cles autres p~r clos de~-;agolIlonts 27 dont le proL.`11 axial, sensiblelllent en oquerre~l avec cependant ~me dopou.ille, est -tour~ls3 vcrs le haut, en diraction opposée a la jupe lo.
Axialoment, en sa:illie vcrs le l1aUI; par rappor-t aU~L pLots 25 portant les zones cl'appui Z, la couronne 17 co~nportc, dans la ~orme de réalisation rcprésentée, un prolonsemQnt 2~, qui sletend sensiblelIlent annulairement autour de l'axe de l'~nsem-ble, dans l:alignclnent de la ~jupe lo, et qui comlne cette der-nière, a radialemel~t une épaisseur sensiblement moitié par rap-port à celle de la couronne 17, avec sa surface e~térieure en continuité avec celle de celle~ci.
A son raccorde~nent à ce prolongement 20, la couronne 17 fOrille ~ G~ intérieur du volume délimité par celui-ci t une pla-ge a~1ulaire 2~, qui se raccorde en continu avec la face supé-rieure de chacun des plots 25 portant les zones d'appui Z, et qui est globalement inclinée par rapport au plan de référence P', en se rapprochant de ce plan référence P' en inême temps que de l'a~e A~ de l'ense~nble~
Cette pla~re annulaire 29 est inise à profit pour l'i~nplan-ta*ion de repères 30~
Il s'agit en pratique de si~lples traits, gravés radiale-rnent à la surface de la plage annulaire 29.
Trois traits 30 sont ainsi prévus.
L'un est établi au droit du rayon méridien de la zone d~appui centrale Zl, et les de~ autres sont Ch~CUn respecti-vement disposés a 90 par rapport au précedent, de part et d~autre de celui-ci~ dans llalignement 1'un d~ l'au-tre.
Localement, il est prévu dans la bague d'appui 16 ainsi constituée, au n~oins une cncoche 32, qui, pratiquée globale-ment radialement, entaille non seulement t dans la forme de réalisation représentée, la couronne 17 et son prolongement a~i~l vers le haut 28, n~ais e~core, asse~ ].argement, la colle-rette 26 presente intérieureme~* à la hase de cette couronne 17 t en recoupant ainsi transversalernen* le desa~eine~t 27 c o-r.re spondant D
Dans la ~`orme de réal:isation repr(~sentee, soule une tel le oncoche 3~ est prevl1e, en étant ser1sibLc,~ment ra~lialclIlent ~n .re~rd de la æ.ono d ' ap~ui cenl;:ra:Le :2l ~
S Los ~ones dlnppl1i Z .sont toutes ~,loba:LeIrle:rlt inclinées par rapport au plan dc re..ére:tlce :P~, en s~étendant c~1acune entre deu~; e~tretllites EE~ décalées tant radiale~Ilent qu'axi.a:le-ment l'une par rapport ~i l.'autre~
L'e~ctretrtité EII~ ou extrétnité haute, se trouvc radialemer~t lO sur une circonférence de diamel:re supérieur à celui cIc la cir-conference sur laquelle se -trouve l ' extrémité EB, ou e}~tremité
basse, et, axialemcnt ~ elle se trou~e, par rapport au plan de r~ férence P', ~i ~m niveau supérieur ~i celui de celle-ci~
En ~ratique, l ' e~;trétni té I~II d 'une zone d ~ appui Z est au 15 racco.rdetnent du plot 25 correspondant avec la couronne 17, et son extrémité EB forlne le bord libre de ce plot 25, Suivant l ' invention, les plans tan~ents TB ~ TII au.~; extremi-tés de chacune des zones d l appui ~ un e t l t auire ortho~;o-naux à un meme plan a~ial de 1~ ensemble passant par un rayon 20 me~:Lian d'une telle zone d~appui 2, font un dièdre D entre eux.
Ces plans tangents TB, Tl~ sont schématises par leur trace sur la fi~ure 6 (pour ne pas surchar~ger celle-ci par des ha-chures, le plan de coupe correspondant passe à l ~ éca:rt du plot 25 ooncerIlé; en realité il doit ~tre considére comllle passant 25 par la zone tnétliane de celui-ci) O
Ils ne contiennent pas nécessairen~ent dans la tot~lité de leur lon~;ueur le.s extrémités EB, ErI correspondantes s celles-ci n' étant pas nécessairement plar.es, et/ou ne s ' étendant pas nécessairetllent dans leur plan ; il s~a~it en ef:~et simplement de plans, ~ui, tansents donc à la zone d'appui ~ considérée, sont au nioins en contact avec celle~ci à l'intersection de ses extrémités EB- ~H avec le plan a~ial de l'ensemble passant par sa zone médiane 7 Ut autrement dit, pax son rayon médian.
En pratique, la concavité du dièdre D formé par ces pla~ls tangen-ts TB TH est tournée vers le plan de référence P'~ e-t donc, en pratique dans le sens axial allant de l'extrémité E~
radialement la plus externe à l'extrémité E~ radialement la plus interne~
~s~
1~
Uans la Corme de .r~alisation représentte en traits pleins sur les f`isurt3s, chacune des zones d'apptli Z comportc une plu~
r~:Lite dc ~`ncet:tos dlappu~ `, q~.i tou-tes globc.~lelnant inclinées pc~r rc~pport c.~u p:Lan d~ re~ére~nce P' ~t l;ou-tes ortllosonales àu plan ax:i.al cle l'en.selllbJ.e [~assant: par le rayon tnéd:ian cl'une tcl-Le 30ne cl'a~pui Z en slett3ndant sylllt3tricl~lelnt3nt dc part et d' au-tre de ce plan axial, 90nt d'inclinaisons ~l:ifferentes par rap-port au plan de réiérence P', l-3sdites facet-tcs d'appui F se succedant rad:ialerilent sur cles circonîerences de diamètres dif-férents suivant leur inclinaison.
~ n pratique, c}lacune de ces facettes d'appui ~ forme unesurf~ce simple.
Dans la forme de réalisation représen-tce, elle forme ~e surface plane.
En variante, elle peut forr.ler une surface s~héri~ue ou torique dont l'axe, qui est dans le plan axial de l'ensemble pass~nt par sa zone médiane, est, ou non, incliné par rapport à l'axe A' de la ba~ue d7appui 16.
En pratique, dans la for~e de réalisation représentée, trois facettes d'appui planes FI~ FII, ~III son* ainsi prévues pour chaque zone d'appui 2, et, dtune zone d'appui Z ~ une au-tre, les facettes d'appui F de même rang sont sur des circon~
férences d~ même diamètre.
TOutes ces facettes d t appui F sont inclinées dans le m~me sens par rapport au plan de référence P'~
En pratique, elles se rapprocllent de ce plan de référen ce P' en mame temps que de l'axe ~' de l'ensemble, Pour cllaque zone d'appui Z, la facette dlappui 1~ plus inclinée, la facette d7~ppui FI, es* celle qui s'e situe sur la circonférence de plus pe*it diamètre, et se ter~nine donc par l'extrémité E~, et la facette d'appui la moins inclinee, la fac~tte d'appui ~III, est celle qui se situe sur la circonfé-rence de plus ~rand diamètre, et se termine donc par l'extré-lnité EH1 la facette d'appui intermédiaire, la facette d'appui EII 7 ayant tute inclinaison intermédiairQ entre celle des deux précédentes~
I1 résulte de ce qui précède que la s~r~ace d'appui qu' offre cllact~e des zones d'appui Z par ses facettes d'appui F
S~70() cst globale~llent conve~e, aVeG sa conca~ito tournee vers Le plml cla referenco P'.
:Cl rosulta o~.lLeillont de cc qui preceda quc 1a rCICette cl~a~pui 1~ la moins inclinée~ `ace-tto d~appui FIII, se situe 5 au pltls près (le la couromle~ 17.
En pratique, ~ans la forlllo di~ recllisatic)n représentee, eLle est dans 1~ prolongement d~ ]a plage anntllairo 29 forl~ée par cclle~ci .`l son raccorclement a son prolongement a~ial 28~
~ n pratique,ésalement, les facettes d'appui e~trêmes ~I, I~ tan-t planes dans ce*te forme de réalisation, elles for-Lnent par elles-mcmes, pour chaque zone cl'appui Z, le,s plans tangents ci'extrenlité T~, TH correspondants dlUI1e telle ~.one d~appul Z.
I~utrenlent dit, elles se con~ondent avec ccs plans tangents d'extrélilite TB, T~Io L~anglc au centre 0 de chaque zone d~appui Z ainsi consti-tuée peut être assez réduit.
Par e~eli~ple, il peut etre de l'ordre de lOi'o Chacune des facettes d'appui F que comporte une telle zo-ne d'appui Z s'ét~nd circulairement sur toute la l~rgeur decelle-ci~
En pratique, leurs inclinaisons respectives dépendant du type de lentilles ophtaln~iques progressives à considérer,c~est-à-dire de la topographie particulière de la portion à courbure progressivement variable des ébauches semi-~inies lQ à traiter, ~ussi bien que de la gamme de courbures de base possibles pour celles-ci~
Elles n'ont donc pas à être précisées ici.
En pratique, égalementl le diaMetre intéri~ur du prolonse-ment axial 28 cle la couronne 17 est sensible~llent égal au dia-mètre e~térieur du palet que constitue une telle ébauclle se finie lQ, en étant légèrement supérieur à celui-ci.
Lorsqu'elle y est engagée par sa face linie 11, tel que schématisé en traits interroinpus sur la figure 5, une ébauclle semi-finie 10 ~I traiter se trouve donc sensib]elllent ajustée dans ce prolon~elllent a~ial 28 de la couronne 17, sans cepen dant y etre serrée.
De préference, et tel que représente, la }la-~teur du pro-;:``
longelllent axial 2c3 dc la couronne 17 est inferieur~ ~l l'opaisseur de l'e~c~uclle se~ inie 10, pour f.lciliter la lilanipu]a-t.iOYl de cette derniere, ~ n prltiquo, L'ebaucll~ semi-finio 10 ,`~ traitc3r porte des reperes, non ~isiblos sur Les f`:igures J
Il s~lffit, pour son implantation correc-te dans 1~ bngue d~appui 16 sui~an~. l'ln~ention, cle faire colnc:ider Ce9 repere~s avec les repères 30 portés par cette clernic3re.
Tel qulillustre sché~latiquement à la figure 7, l'ebauehe semi-finie 10 ainsi ulise en place par sa face flnie 11 da~s la ba~ue d'appui 16 suivant l'invention vient porter ponctuelle-ent par celle-ci sllr cilac-me des ~ones d'appui Z pré~les a cet effet sur cette ba~,ue d'appui 16, etl plus précisément, sur une facette dlappui l~` de l~ême rang de ces zones d'appui Z.
~n pratique, cor,lpte tenu des repères mis en oeuvre, ceux-ci ayant été prévus ~ cet effet, c~est par sa portion de vision cle pres VP, et, plus précisél~en-t1 par ~ point cle celle-ei si-tué sur son ulériclien principal que llébaucl1e serlli-finie 10 à
traiter vient ainsi porter sur la zone d~appui ~entl^ale 21 de la bague dlappui 16, tandis que c'est par sa portion de vision de loin VL, et, plus precisétnent, par deu~ points de celle-ci situés chacun respectivelllent de part et d~autre de ce inéridien principal, qu'elle vient conjointau~ent porter s~lr des zones d~appui latérales 22, Z~2 de cette bague dlappui 16.
Soit P les points de contact corresponclants, Pl pour la zone d~appui Zl, P2 pour la zone d'appui Z2, et P~2 pour la zone d'appui Z'2~
Ces points Pl, P2, P~ sont tous sur une même circonré
renee C, centree sllr l'a}~e A~ de l'ense~ble~ I
Ils forment les son~et3 d~un trian$1e isocele.
Soit 11 la lollsueur de la médiane principale cle ce trian-gle isocele, clest-à-dire de celle qui, i.SSlle du point Pl correspondant à la zone d'appui centrale ~1, est perpenclicu-laire au côté reliant l'un a l'autre les points P2, P'2 cor-responclant aux zones d'appui latérales Z2, 2'2, et foru~e donc conjointelllent la hauteur eorrespondante~
Si, pour une mêll~e courbure de base, l~acldition de puis-sance de la face finie 11 de l~ébauche semi~finie 10 à traiter 17 ~S~70V
arie, les points cle contact P se cleplacant radiale~.1allt, et circonférentiolle~l1Qnt, sur la :Eclcette d'appul I~` eorrespond.ln--te, n~ais, tel qne schenlatis- .i la f`:i ~gure ~ ~ la longu~ur cLe la Im~CIinnO pr:inc:i.palo du tr:inn~le i.socdlo qll'ils fo.rment ~1elnc3urc sar~ mollt constaIIte mal.~re la def`orl11a-t:ion dont ast corrala-tival11ont l~o~jot cc~ triang,le .isoce`].e.
Sur la fi~ure $, et pour la v:islbi:Li-té CIQ celle-ci, les deplacements des points cle contact P on* ~ta :Large~i1ent ~xa~e res~
Cor.uile indiclue ci-de.ssus, i.ls sont supposés chac1ln resp~e-tivement rester S~lr une même face-tte c1~ppui ~l Suivant,l;1a:intellant, la courbure de base cle la I`aCa finie .ll c1e l'ébaucho serni ri.nie 10 à traiter, c'est telle ou telle des facettes cl~appui .~ qui, pour ci1aque ~one d~appui 2, et suivant les dispositi.ons décrites précédelan1ent, est concernée.
Ilais, en pratique, ~ula Illênle faeet-te d~appui ~ peut conve-nir a toute une sarl1me t réduite, de courbures de base diffél^en-tes.
C'est la ra~son pour laquelle un no~nbre limité de racet-tes d~appui F suffit ,`, couvrir llensel11ble des gallm1es de cour-bures de base usuellen1ent mises en oeuvreO
Ainsi pour une topo~raphie donnée de la face finie ll des ébauehes sen1i-finies lO à traiter, une seule bague d~appui 16 suffit.
Autrement dit, suivant l'invention, il su~fit d'une ba~ue d~appui 16 par type de lentilles ophtallIliques prosressives.
Lorsque, suivant les disposi-tions décrites précéderrlment, l'ébauel~e semi-finie lO eorrespondante est engagée par sa face finie ll dans eette ba~ue d'appui 16, l'ensembl~ est rapporte gur u~ appareil de blocage, o~, à la faveur de l'encGche 32 prévue a cet effet, il est procédé à la coulée d~un n1étal a bas point da fusion dans le volume interne délilt~ité par cette ébauche sen1i~rinie lO et cette bague d~appui 16 Le ~loc de montage 15 recherché se t.rouve ainsi I`or:ne, avec ~me implantation et une orientation déterminee par rap-port a l~ébauche serni-finie lO ~ laquelle il adhère, le plan de référence P' que forme par sa face interne l~ la couronne 17 de la bague d'appui 16 venant se confondra avec le plan de .
~ _ _ , . .. _ , .. . . _ . . ... . . . . . .
~S~70 référenca P par rapport auquel est ostimée l'orientation do l'a~e optique ~ cle cette ébauche seuli~finie 10.
L~e A' cle la ba~;ue cl'appui 16 peut alors lui~me~l~e se con~`onclrQ ~vec cet axe OptiqllO ~.
~lais il t~l on est pac3 lléCesSairelllent ainsi.
~u contraira, cot a~e opt:iquc A peut se trouver incline p~r rapport au plan <le réference pl, et dorlc par rapport au plan de référence P, 3:i clésire.
Comllle cléjà indiqué cL-dessus, si, dans la forme de ré~li sation rcprésentce, les facettes ~'appui ~ mises en oeuvre sont plancs, elles peuvent é~alemen-t être courbe 5, par eY~emple spilériques ou toriques, comme déj~`~ indiqué, ~OUI` CO~lpenSer l'effet d~ ~I certaines lois de pro~ression non linéaircs ;
dans le cas de facettes d'appui sphériques ou toriques, le rayon de la sphère ou du meridien du tore a en pratique une valeur comprise entre celle du rayon de la zone de vision de loin et celle du rayon de la zone de vision de près.
Dans la ~ariante de réalisation schél~latisée en traits interrompus ~ la fi$ure 5, chacune des zones diappui ~ compor-te uno facette d'appui FC unique7 et celle-ci est continûment courbe d'une de ses e~trét~lités E~ l à l'autre.
Pour la com~odité du tracé, on a supposé, à la fi~ure 6, que le contour correspondant de cette facette d'appui FC uni-que s'inscrivait dans le contour pol~sonal defini par les fa-cettes d'appui planes FI, FII, FIII précedentas (en étant enpratique tan~ent aussi bien a la facette d'appui intermédiai-re FII qu'aux facettes d'appui e~trê~nes FI, FIII)~
~ Iais il n'en est évidemment pas nécessairement ainsi, ce contour pou~ant par s~emple être au moins local~ment plus ou ;noins rehaussé, ou abaissé (comme représenté pour la facette d'~ppui intermediaire ~II), par rapport au préc~dent.
La facette dlappui unique courbe FC ainsi ~lise en oeuvre par chaque zone d'appui ~ peut, par exemple, ~ is non néces-sairement, ~tre sphérique ou torique~
Quoi qu'il en soit, la concavité qu'elle présente cst ~lobale~ent -tournée vers le plan de référence P', lcs plans tan~rents TB, TII ~ ses extrémités ~B~ ~H formant comme précé-de~ ent un diedre D entre eux.
1~5~i~7Cl() 1~
~ utretnent di-t, elle est globalelnent convexe, comule l'en-semble formé par les f.~cettes d'appui planes ~ II, F.lIl -prece~lentes.
Il:Lcn ~nten~ .La pr~3sente invcntloll ne so limite pas au~
formos cl~ r~alisat:ion decrl.-tcs et repr~isentees, nlais englol~e toute variante~ cl'e~cecution, no-tar~lent en ce qui conc~rne :Le nombre de zones d'appu.i mises cn oeuvre~
~ a:is, clans tOllS les cas, ct su:ivant l.'i.nvention, 1~ sur-face d'appui qu'offre chac~ne cle ces æones d'appui est globa-lement conve~e~
Par ailleurs, si, dans ce qu:i précède, :il ~ éte supposéque la surf;ce progressive conccrnée était sylnétrique par rap-port à la i~3ridienne principale du palet -traité, il n'en est pas nécessairement ainsil l'invention s'appliquant aussi bien au cas de surfaces progres~-iives dissymétriques~
De méme, cette surface n'est pas nécessairemenit une sur-face conve~c, mais peut aussi bien être une sur~ace concave.
~ n~in, au lieu de constituer direc-tei~ent par lui-mêine llébauche se~ finic d I un2 lentille ophtalulique progressive, le palet -traité peut par exei~ple constituer l'ebauche semi~
finie d'un moule propre au moulage d'une telle lentille oph-tall~ique progressive~
. ,.
Claims (17)
1. Bague d'appui pour ébauches semi-finies d'u-ne lentille ophtalmique ou d'un moule pour une telle len-tille ophtalmique ayant des faces convexes progressives de courbures différentes, ladite bague d'appui compor-tant une pluralité de zones d'appui pour contact avec une ébauche semi-finie quelconque choisie parmi une plu-ralité d'ébauches semi-finies différentes dans une gam-me donnée, lesdites zones d'appui étant réparties circu-lairement autour d'un axe, ladite bague d'appui ayant en outre un plan de référence perpendiculaire audit axe et axialement à l'intérieur desdites zones d'appui, les-dites zones d'appui étant toutes globalement inclinées par rapport à ce plan de référence et chacune desdites zones d'appui s'étendant entre deux extrémités qui sont décalées tant radialement qu'axialement l'une par rap-port à l'autre, chacune desdites zones d'appui ayant un plan médian passant par ledit axe et s'étendant radiale-ment au milieu de sa zone d'appui, des plans tangents aux extrémités de chacune desdites zones d'appui et or-thogonaux audit plan médian formant entre eux un dièdre ayant une concavité tournée vers ledit plan de référen-ce, chacune desdites zones d'appui comportant une plu-ralité de facettes d'appui permettant un contact prédé-terminé avec ladite ébauche semi-finie, toutes ces fa-cettes d'appui formant globalement des inclinaisons par rapport audit plan de référence et étant toutes ortho-gonales au plan médian de la zone d'appui correspondan-te, les inclinaisons de chacune des facettes d'appui de chacune desdites zones d'appui étant différentes les unes par rapport aux autres, lesdites facettes d'appui se suc-cédant radialement sur des circonférences de diamètres différents suivant leur inclinaison, et: chacune desdi-tes zones ayant des facettes d'appui extrêmes se confon-dant avec les plans tangents aux extrémités correspon-dants.
2. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle chaque zone d'appui a une de ses facettes d'appui qui est plus inclinée que ses autres facettes et qui se situe sur une desdites circonférences ayant le plus petit diamètre, et une de ses facettes d'appui qui est moins inclinée que ses autres facettes et qui se situe sur une desdites circonférences ayant le plus grand dia-mètre.
3. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle chacune des facettes d'appui forme une sur-face géométrique simple.
4. Bague d'appui suivant la revendication 3, dans laquelle ladite surface géométrique est une surfa-ce plane.
5. Bague d'appui suivant la revendication 3, dans laquelle ladite surface géométrique est une surfa-ce sphérique.
6. Bague d'appui suivant la revendication 3, dans laquelle ladite surface géométrique est une surfa-ce torique.
7. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle les zones d'appui forment la face supérieu-re de plots formées radialement en saillie vers ledit axe à partir d'une couronne qui, disposée annulairement autour de cet axe, est solidaire de ladite bague.
8. Bague d'appui suivant la revendication 7, dans laquelle lesdits plots sont séparés les uns des au-tres par des dégagements.
9. Bague d'appui suivant la revendication 7, dans laquelle lesdits plots sont réunis à leur base par une collerette solidaire de ladite bague.
10. Bague d'appui suivant la revendication 7, dans laquelle ladite couronne comporte un prolongement, qui s'étend axialement en saillie par rapport auxdits plots, et qui s'étend annulairement autour dudit axe.
11. Bague d'appui suivant la revendication 7, dans laquelle ladite couronne comporte, intérieurement, une surface d'appui plane, qui s'étend perpendiculaire-ment audit axe, et qui constitue ledit plan de référen-ce.
12. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle chacune des zones d'appui a trois facet-tes d'appui.
13. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle les facettes d'appui de chacune des zones d'appui se recoupent l'une l'autre suivant des arêtes globalement allongées circonférentiellement.
14. Bague d'appui suivant la revendication 1, comprenant des intersections, entre deux facettes d'ap-pui adjacentes de chacune des zones d'appui, formant des discontinuités dépourvues de gradins.
15. Bague d'appui suivant la revendication 2, dans laquelle la facette d'appui qui est: moins inclinée de chacune des zones d'appui fait un angle aigu avec une horizontale, et la facette d'appui qui est plus incli-née de chacune des zones d'appui fait un angle aigu avec une verticale.
16. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle il y a trois zones d'appui.
17. Bague d'appui suivant la revendication 1, dans laquelle chacune des zones d'appui sous-tend un angle de l'ordre de 10° avec ledit axe.
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| Date | Code | Title | Description |
|---|---|---|---|
| MKEX | Expiry |