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BREVET D'INVENTION
John R. GREGORY
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--------------- Dispositif de protection de la partie supérieure du corps et procédé pour sa fabrication.
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--------------------------------------------------------- Inventeurs : John R. GREGORY, Gerald PARKS et
John D. DONDERO Convention Internationale : Priorité d'une demande de brevet déposée aux Etats-Unis d'Amérique le 11 mai 1983 sous le NO 493 736 aux noms des inventeurs.
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"Dispositif de protection de la partie supérieure du corps et procédé pour sa fabrication".
L'invention a pour objet un dispositif de protection de la partie supérieure du corps pour sportifs, notamment pour sportifs pratiquant un sport à déplacement rapide tel que le motocyclisme, les courses cyclistes, les courses à l'aviron, le hockey, les courses derrière motocyclettes et les sports similaires.
Les dispositifs classiques de protection de le partie supérieure du corps pour sportifs, présentent généralement des formes et des agencements différents pour assurer la protection des épaules, de la poitrine et des régions dorsales du sportif. Un grand nombre d'activités sportives nécessitent une protection de la partie supérieure du corps du type pouvant être utilisé pour le motocyclisme, les courses cyclistes, les courses nautiques, le hockey, les courses derrière motocyclettes et les sports similaires.
Il est toujours souhaitable de perfectionner les dispositifs au point de vue de la sécurité et il est extrêmement avantageux que l'utilisateur soit protégé contre tous les genres de contact physique, y compris la protection contre le risques de blessures provoquées par certaines parties du dispositif de protection lui-même. C'est pourquoi il est important que dans tous les types de dispositifs de protection, la structure du dispositif garantisse que certains types de chocs n'entraînent pas de risques de blessures du sportif par certaines parties du dispositif de protection.
Bien que la description qui suit se rapporte princi- lement au sport motocycliste, les spécialistes constateront que la présente invention peut s'appliquer tout aussi bien à d'autres sports dans lesquels le sportif est exposé à des possibilités de blessures corporelles du type similaire.
On rencontre un besoin particulier de protection de la partie supérieure du corps dans un grand nombre de sports des types mentionnés précédemment, y compris les randonnées motocyclistes en dehors des routes ou"cross country"et les courses telles que le motocross.
Dans les courses de compétition motocyclistes en dehors des routes, le besoin existe d'éviter les blessures dues à des
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accidents et de protéger le motocycliste des pierres, de la terre et d'autres débris volants soulevés par les roues de la motocyclette du coureur. On a utilisé antérieurement un certain nombre de structures pour essayer d'assurer une protection. Il s'agit notamment de plaques de poitrine, de dispositifs de protection thoraciques, de vêtements réalisés en produit fort tel que le cuir ou autre matière lourde, ainsi que de gilets. Cependant, tous les articles ci-dessus que l'on trouve dans la technique antérieure n'assurent qu'un recouvrement inférieur au recouvrement adéquat des régions supérieures critiques du corps que l'on désire protéger.
Les types de blessures qui peuvent se produire lors d'un motocross, par exemple, proviennent des pierres et d'autres débris projetés contre le corps du motocycliste. Les pierres peuvent se trouver sur le chemin du motocycliste en étant projetées par sa propre motocyclette ou par les motocyclettes se déplaçant devant lui.
Une situation encore plus dangereuse se présente lorsque le motocycliste a un accident et tombe ou est projeté de sa motocyclette lors de la course. Certaines blessures sont particulièrement inquiétantes, notamment les traumatismes de la colonne vertébrale ou de la région inférieure du dos qui, bien souvent, ne sont pas protégées par les dispositifs classiques de protection de la partie supérieure du corps.
Outre les chocs aux régions des épaules et du thorax, qui se produisent lorsque le coureur tombe d'une motocyclette en marche, il y a un risque sérieux que diverses protubérances et parties de la motocyclette elle-même blessent ou frappent le motocycliste. Il s'agit notamment du guidon, du support et d'autres parties de la motocyclette formant un objet tranchant ou pointu. Un autre risque est que le motycliste soit blessé non seulement par sa propre motocyclette, mais dans une situation de course type, d'autres motocyclistes et d'autres motocyclettes peuvent provoquer des blessures contre lesquelles le motocycliste doit être protégé.
Les dispositifs classiques de protection de la partie supérieure du corps en usage comprennent un vêtement devant être porté sous les vêtements extérieurs du sportif et présentent
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une série de couches pour assurer une protection accrue de la partie supérieure du corps. Cependant, le port d'un grand nombre de couches peut être malcommode et pesant, il peut gêner les mouvements, ce qui est très sérieux pendant les activités de courses sportives.
Il existe de nombreux dispositifs qui tentent de protéger le motocycliste contre les pierres. Cependant, aucun de ces dispositifs ne procure une protection appropriée des épaules contre l'effet d'un choc brusque. Dans bien des cas, les dispositifs classiques de protection des épaules du sportif peuvent être déformés par compression et venir directement contre l'épaule lors du choc. Ils n'ont aucune espèce d'efficacité pour diffuser ou répartir le choc et réduire la force du coup dans une région particulière quelconque du corps.
Le brevet des E. U. A. ? 3 867 726 (OWI) se rapporte à la description antérieure d'un dispositif de protection d'épaules pour joueurs de football, ce dispositif comportant un capuchon d'épaule ou épaulette relié à articulation à une partie d'épaule du dispositif et formant un logement à bride destiné à protéger l'épaule lorsqu'une force latérale est exercée contre l'épaulette. De plus, les parties correspondant à l'avant et à l'arrière du corps sont assemblées par une liaison flexible. Rien n'est prévu dans la technique antérieure pour protéger les épaules contre une force descendante, latérale ou ascendante, ni pour diffuser effectivement la force due au choc.
En outre, rien n'est prévu dans la technique antérieure pour réaliser une structure robuste et homogène en vue de protéger le sternum et la colonne vertébrale de l'utilisateur.
Le brevet des E. U. A. N03 528 106 (AUSTIN) se rapporte à la description antérieure d'un dispositif de protection d'épaules pour joueurs de football ayant pour but de limiter le mouvement descendant d'un capuchon d'épaule ou épaulette vers l'épaule de la personne qui porte le dispositif de protection, la limitation étant obtenue au moyen d'un bord intérieur de l'épaulette qui vient s'appuyer dans une rainure de la partie d'épaule. L'épaulette est directement attachée à la partie d'épaule. De même, rien n'est prévu dans la technique antérieure pour une structure unitaire, ni pour un mécanisme destiné à répartir le choc appliqué aux épaules de l'utilisateur et dirigé suivant l'une quelconque de plusieurs directions.
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D'autres dispositifs classiques du secteur de la protection par tampon d'épaule et destinés aux joueurs de football font l'objet du brevet des E. U. A. Nô) 158 871, du brevet des E. U. A.
? 3 431 560 et du brevet des E. U. A. ? 3 981 027 qui décrivent des réalisations antérieures de structures à tampons d'épaules. Les parties de protection corporelle de ces dispositifs sont formées par des parties correspondant à l'avant et à l'arrière du corps assemblées par liaison flexible pour éliminer la limitation du mouvement. De plus, ces dispositifs prévoient systématiquement l'attache directe de la partie de capuchon d'épaule ou épaulette à la partie d'épaule pour protéger l'épaule et l'intersection musculaire entre le biceps, le triceps et le deltoid à la partie supérieure du bras, où, sans cela, l'humérus est exposé.
De tels dispositifs ne procurent pas une protection appropriée contre les blessures du sternum et de la colonne vertébrale car ils comportent une liaison flexible dans les régions du sternum et dans la région de la colonne vertébrale qui présentent des risques supplémentaires particuliers de blessures provoquées par des objets tranchants du type de ceux qui sont rencontrés par les motocyclistes. De plus, de tels dispositifs n'assurent pas une répartition appropriée d'un choc ayant lieu dans la région de l'épaule, répartition qui réduirait la force due au choc.
Rien n'est prévu dans la technique antérieure en ce qui concerne des dispositifs légers ne s'opposant pas aux mouvements nécessités par la manoeuvre de l'équipement de course, par exemple d'une motocyclette pendant un motocross. L'équipement lourd de type encombrant que l'on rencontre dans le rembourrage classique tel que celui qui est utilisé par les joueurs de football est gênant et s'oppose à l'activité du sportif de sorte que cet équipement ne peut absolument pas être utilisé de façon raisonnable pour des randonnées ou des courses. De plus, de tels dispositifs n'assurent pas la liberté de mouvement requise pour manipuler et manoeuvrer le guidon d'une motocyclette, d'une bicyclette ou d'un bateau dans les conditions d'une épreuve de compétition.
En outre, rien n'est prévu dans la technique antérieure pour faire face aux problèmes liés aux déplacements à grandes
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vitesses pouvant dépasser dans certains cas cent (100) km/h lors- qu'un écoulement d'air efficace et un mouvement de l'air orienté sont importants pour le sportif, à la fois pour réduire le plus pos- sible la résistance aérodynamique et pour assurer une ventilation appropriée. Contrairement à ce qui a lieu pour les sportifs du gen- re des joueurs de football, un sportif engagé dans un motocross, une course cycliste, une course à l'aviron ou une épreuve similaire doit rester sous tension physique pendant de longues périodes et il ne peut pas se reposer après chaque passe, chaque secousse ou chaque coup.
On doit savoir que le dispositif de protection de la partie suprieure du corps doit être porté de façon continue pendant de longues périodes lors de la course et résister à l'agression constante et à la tension due à des projections, à des débris, à la chaleur, aux chocs soudains et à des incidents similaires. Il en résulte qu'un dispositif de protection de la partie supérieure du corps de type lourd et encombrant ne présente pas une structure appropriée pour l'usage dans de telles conditions.
En outre, les dispositifs de protection d'épaules classiques font systématiquement appel à une surface extérieure souple pour adoucir les chocs éprouvés par les autres joueurs. Cependant, ce type de construction a un effet opposé à ce que l'on souhaite lors d'un motocross quand des pierres viennent frapper la partie supérieure du corps à plus de 100 km/h. Une surface souple tend à absorber la force et la quantité de mouvement correspondant au choc d'une pierre, plutôt qu'à faire rebondir la pierre ou à la dévier vivement et immédiatement à l'écart du corps de l'utilisateur. En outre, une surface extérieure souple tend à provoquer l'accumulation des pierres et des débris sur la surface en tendant à permettre le collage de ces débris qui restent sur le motocycliste.
Il en résulte un poids et un encombrement supplémentaires gênant les mouvements du motocycliste et provoquant son ralentissement.
En outre, de tels dispositifs suivant la technique antérieure sont systématiquement construits en cuir ou en une autre matière souple et flexible, mais lourde. Il n'y a aucune description dans la technique antérieure de dispositifs prévus pour obtenir la résistance maximale avec le minimum de poids. Ce poids élevé fait que
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les dispositifs de ce type ne conviennent pas pour les motocyclistes. De plus, les dispositifs de ce type comportent de nombreux pans et de nombreux assemblages et ne conviennent pas pour être portés à l'extérieur des vêtements. Ils doivent au contraire recevoir un vêtement extérieur de protection tel qu'un tricot pour maintenir le dispositif de protection en place.
Un tel dispositif antérieur de protection des épaules et de la partie supérieure du corps comporte des structures renforcées et compliquées qui sont de fabrication onéreuse en raison des conditions sévères concernant la matière et des liaisons de structures compliquées.
Outre les problèmes mentionnés précédemment et posés par les frais de fabrication accrus et le manque de durabilité dû à la nature compliquée des dispositifs, de tels dispositifs classiques de protection de la partie supérieure du corps sont souvent inconfortables pour l'utilisateur. La région du cou est bien souvent tranchante et en saillie, ce qui entraîne un inconfort. De plus, le poids de ces dispositifs suivant la technique antérieure et la chaleur du corps produite en-dessous par suite du manque de ventilation sont tout à fait indésirables.
Enfin, les dispositifs classiques de protection de la partie supérieure du corps ne constituent pas des dispositifs robustes procurant cependant une protection adéquate de la partie supérieure du corps contre les chocs soudains et les objets tranchants tout en assurant le maximum de résistance, de protection et de confort avec le poids minimal.
La présente invention a pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps donnant à l'utilisateur la liberté de mouvement maximale.
La présente invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps comportant un mécanisme de verrouillage d'épaule qui diffuse un choc exercé dans la région d'épaule dans une direction quelconque, ascendante, descendante et latérale pour répartir le choc régulièrement, en favorisant la réduction de la force d'impact et en réduisant le plus possible le traumatisme et la blessure qui en résultent.
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La présente invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps qui protège cette partie supérieure du corps contre les débris projetés et les autres matières normalement rencontrés par le sportif pendant la compétition à des vitesses élevées dans différentes conditions de topographie, de terrain et de course.
La présente invention a encore pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps qui protège le sternum et garantit la colonne vertébrale de l'utilisateur contre les chocs intenses et les impacts dûs à des objets tranchants du type que l'on peut subir pendant la participation au sport, par exemple, les supports, les guidons, les pièces de la motocyclette, les branches d'arbres, les poteaux de clôture, les pierres tranchantes et les objets similaires. La présente invention a en outre pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps qui présente une résistante suffisante pour résister aux chocs soudains et pour dévier les objets tranchants se déplaçant à grande vitesse en vue d'assurer une protection maximale de la partie supérieure du corps tout en ayant un poids minimal.
La présente invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps procurant une ventilation maximale et un débit d'air maximal pour l'utilisateur.
Un but de la présente invention consiste à créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps qui offre au vent une résistance additionnelle minimale pour l'utilisateur lorsqu'il se déplace à des vitesses élevées dans une course ou dans des conditions similaires.
La présente invention a encore pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps confortable à porter pendant de longues périodes et qui ne cause qu'un minimum d'irritation ou d'autre gêne corporelle.
La présente invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps pouvant être porté extérieurement sur les vêtements de l'utilisateur,
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de manière à pouvoir être aisément porté et enlevé avec le minimum de gêne ou pouvant aussi être porté sous les vêtements de l'utilisateur.
L'invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps assurant un recouvrement accru du torse dans la partie avant du corps ainsi que dans la partie arrière du corps et assurant également une protection supplémentaire dans la région inférieure du dos.
L'invention a également pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps d'usage approprié et présentant cependant une plus longue durée de vie et une fiabilité améliorée.
L'invention a en outre pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps de fabrication simple et sûre à un prix réduit.
L'invention a encore pour but de créer un dispositif de protection de la partie supérieure du corps présentant un aspect moins encombrant et plus flatteur, ce dispositif se présentant favorablement au point de vue esthétique.
D'autres buts de l'invention ressortiront de la description complète de l'invention effectuée en liaison avec les dessins mentionnés ci-après.
A cet effet, l'invention concerne un dispositif du type ci-dessus, caractérisé en ce qu'il comporte un bouclier semirigide de partie supérieure du corps qui présente une plaque de poitrine, une plaque de dos et une partie d'épaules principale avec une partie d'épaule gauche et une partie d'épaule droite, la plaque de poitrine étant agencée pour entourer de façon ajustée la poitrine de l'utilisateur, la plaque de dos étant agencée pour entourer de façon ajustée la cage thoracique et la région inférieure du dos de l'utilisateur, la partie d'épaules étant agencée pour entourer de façon ajustée les épaules de l'utilisateur, deux rabats d'épaules étant reliés à articulation au bouclier de partie supérieure du corps de manière que chacun de ces rabats d'épaules soit positionné respectivement sur la partie d'épaule gauche et la partie d'épaule droite,
chaque rabat d'épaule étant mobile
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suivant un parcours courbe entre une position supérieure et une position inférieure, deux épaulettes étant respectivement reliées à articulation aux rabats d'épaules.
Un organe de verrouillage est associé à la partie d'épaules et au rabat d'épaule pour verrouiller le rabat d'épaule dans une position inférieure fixe, de sorte que la force d'un choc descendant exercé sur le rabat d'épaule est diffusé, ce qui réduit la force exercée sur l'épaule de l'utilisateur. Il est également prévu un organe de retenue reliant à articulation le rabat d'épaule à la partie d'épaule pour empêcher que le rabat d'épaule ou épaulette exerce une pression sur l'épaule de l'utilisateur lorsque le rabat d'épaule est dans la position supérieure à la suite d'un choc latéral.
Suivant un mode de réalisation préférentiel de l'invention, l'organe de verrouillage est constitué en ce que le rabat d'épaule comporte une nervure et que la partie d'épaule comporte une butée venant en contact avec la nervure lorsque le rabat d'épaule est dans la position inférieure. L'organe de retenue comporte une bande de liaison maintenue en place sur la face inférieure du rabat d'épaule, la bande de liaison ayant une longueur prédéterminée de manière à empêcher que le rabat d'épaule vienne frapper la partie d'épaules lorsque le rabat d'épaule est dans la position supérieure. Le rabat d'épaule peut être assemblé au moyen de rivets et la bande de liaison peut être maintenue en position au moyen de coutures et de rivets.
Suivant un mode de réalisation, la plaque de dos présente une partie centrale s'étendant longitudinalement, agencée pour recouvrir la colonne vertébrale de l'utilisateur. La plaque de poitrine comporte des nervures de renforcement d'épaisseur variable pour augmenter la résistance.
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La plaque de poitrine, la plaque de dos et l'épaulette présentent des fenêtresmunies de lames pour commander la ventilation et réduire le plus possible la résistance au vent, les lames étant inclinées vers le bas et vers l'intérieur, de sorte qu'elles viennent en position horizontale quand l'utilisateur se penche en avant lorsqu'il circule à motocyclette.
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L'épaulette est reliée à articulation au rabat d'épaule en avant de l'axe transversal du rabat d'épaule, de sorte que l'épaulette protège l'épaule et l'avant-bras de l'utilisateur.
L'invention concerne un procédé pour la fabrication d'un dispositif de protection de la partie supérieure du corps dans lequel on moule un bouclier semi-rigide en une seule pièce, couvrant la partie supérieure du corps, comportant une plaque de poitrine, une plaque de dos et une plaque d'épaules, on relie à articulation un rabat d'épaule au bouclier de partie supérieure du corps, de sorte que le rabat d'épaule peut se déplacer suivant un parcours courbe entre une position supérieure et une position inférieure, et on relie à articulation un capuchon d'épaule on épaulette au rabat d'épaule. Le rabat d'épaule est moulé pour comporter une nervure et la partie d'épaule est moulée pour comporter une butée destinée à venir en contact avec la nervure lorsque le rabat d'épaule est dans la position inférieure.
Un procédé préférentiel pour former le bouclier de partie supérieure du corps et l'épaulette est le moulage par injection. Un rembourrage est collé sur les surfaces intérieures du bouclier de partie supérieure du corps, et de la matière mousse est moulée et fixée sur l'encolure pour y constituer un rembourrage de bordure.
On va maintenant décrire l'invention plus en détail en se référant aux dessins annexés dans lesquels : - la fig. 1 est une vue frontale en perspective d'un exemple de réalisation préférentiel d'un dispositif de protection de la partie supérieure du corps conforme à l'invention - la fig. 2 est une vue arrière en perspective de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; - la fig. 3 est une vue en élévation frontale de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; - la fig. 4 est une vue de dessus de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; - la fig. 5 est une vue arrière de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ;
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- la fig. 6 est une vue détachée de l'intérieur de la partie de plaque de poitrine de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; - la fig. 7 est une vue latérale de l'exemple de réalisation représenté sur la. fig. 1 avec un panneau latéral ; - la fig. 8 est une vue détachée de l'intérieur de la partie de plaque de dos de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; - la fig. 9 est une vue de l'exemple de réalisation en coupe suivant la ligne 9-9 de la fig. 3 ; - la fig. 10 est une vue de l'exemple de réalisation en coupe suivant la ligne 10-10 de la fig. 3 ; - la fig. 11 est une vue en perspective frontale schématique de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 montrant le rabat d'épaule en position supérieure ;
- la fig. 12 est une vue en perspective frontale schématique avec arrachement partiel du dispositif représenté sur la fig. 1, cette vue montrant le rabat d'épaule en position inférieure ; - la fig. 13 est une vue de dessus schématique de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1 ; le rabat d'épaule et l'épaulette étant retirés ; - la fig. 14 est une vue de dessus du rabat d'épaule représenté sur la fig. 11 ; - la fig. 15 est une vue en élévation frontale avec arrachement partiel de l'exemple de réalisation représenté sur la fig. 1, cette vue montrant la forme d'une fenêtre ; - la fig. 16 est une vue de l'exemple de réalisation en coupe suivant la ligne 16-16 de la fig. 15 ;
- la fig. 17 est une vue en élévation frontale d'un panneau de couverture inférieur conforme à la présente invention : - la fig. 18 est une vue latérale en coupe du panneau de couverture représenté sur la fig. 17 ; - la fig. 19 est une vue latérale d'une variante de réalisation comportant une seule partie d'épaule ; - la fig. 20 est une vue latérale d'une variante de réalisation ne comportant qu'une partie d'épaule et une partie de plaque de poitrine ;
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- la fig. 21 est une vue latérale d'une variante de réalisation ne comportant qu'une partie d'épaule et une partie de plaque de dos.
Pour la description d'un exemple de réalisation préférentiel de l'invention représenté sur les dessins, on utilisera une terminologie spécifique pour des raisons de clarté. Cependant, on ne veut pas limiter l'invention aux termes spécifiques choisis, et il est clair que chaque terme spécifique comprend tous les équivalents techniques agissant de façon similaire pour atteindre un but similaire.
Les fig. 1 à 16 des dessins représentent un dispositif 100 de protection de la partie supérieure du corps comportant un bouclier 1000 correspondant à la partie supérieure du corps, deux rabats d'épaules 2 000 et deux capuchons d'épaules ou épaulettes 3 000.
Le bouclier de partie supérieure du corps 1000 comporte une plaque de poitrine 1 200, une plaque de dos 1 400 et une plaque d'épaules 1 600, comme représenté sur la fig. 1 et la fig. 2. Le bouclier de partie supérieure du corps 1 000 est réalisé en matière semi-rigide telle que le polyéthylène ou une autre matière plastique légère et résistante appropriée. La plaque de poitrine 1 200, la plaque de dos 1 400 et la partie d'épaules 1 600 sont agencées pour entourer de façon ajustée, respectivement la poitrine, le dos et les épaules de l'utilisateur.
Le bouclier de partie supérieure du corps 1000 est, de préférence un élément homogène essentiellement réalisé en une seule pièce. La plaque de poitrine 1200, la plaque de dos 1400 et la partie d'épaules 1600 sont liées rigidement entre elles pour constituer un élément vertical essentiellement en forme de V qui entoure ainsi de façon ajustée la partie supérieure du torse et qui constitue un bouclier pour la poitrine, la cage thoracique et la région claviculaire à l'avant de l'utilisateur.
Il assure la protection des omoplates, de la région des côtes, de la colonne vertébrale et de la région inférieure du dos à l'arrière de l'utilisateur.
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La plaque de poitrine 1200, représentée sur la Fig. 3, comporte un élément plat rigide 1222 à structure pleine, de préférence réalisé en matière plastique présentant une souplesse appropriée tout en ayant une rigidité suffisante pour résister aux chocs de force importante. La structure pleine assure une protection maximale du sternum et de la région supérieure du thorax abritant le coeur et d'autres organes internes vitaux. La plaque de poitrine 1200 comporte des éléments de protection inférieurs 1224 et 1226 disposés respectivement sur les régions droite et gauche de la cage thoracique pour protéger ces régions. Une fente centrale 1228 est pratiquée pour constituer une séparation en forme de"V"renversé ayant son sommet 1230 sensiblement au point d'extrémité du sternum de l'utilisateur.
La fente s'étend approximativement sur la moitié à trois quarts et de préférence sur les deux tiers environ de la hauteur à partir du bas 1231 de la plaque de poitrine 1200 sur la moitié environ de la hauteur à partir du bas 1231 de la plaque de poitrine 1200 et les deux tiers environ de la hauteur à partir du bas de la fente 1228, il est prévu un rembourrage 1240 qui recouvre, approximativement, le tiers supérieur de la fente 1228. Le rembourrage 1240 s'étend le long de l'élément latéral de gauche 1234 et le long de l'élément latéral de droite 1236 limitant la fente en forme de"V"1228. Comme on le voit mieux en considérant la Fig. 6 conjointement avec la Fig. 3, le rembourrage 1240 comporte des parties 1242,1244 qui s'étendent en outre autour de la partie inférieure de gauche 1238 et de la partie inférieure de droite 1239 de la plaque de poitrine 1200.
Le rembourrage 1240 est constitué par une matière souple mais élastique qui est, de préférence, collée sur la face arrière 1250 de la plaque de poitrine 1200, comme cela est également représenté sur la Fig. 6.
Comme cela est représenté en outre sur la Fig. 6, le rembourrage 1242,1244 est fermement fixé le long des bordures intérieures inférieures 1262 et 1264 de la plaque de poitrine 1200. Une partie 1266 du rembourrage est fermement fixée de chaque côté de la fente 1228, ce qui constitue un rembourrage plein supplémentaire recouvrant la partie inférieure du sternum
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et le plexus solaire. Une fente 1248 pratiquée dans le rembourrage proprement dit permet une liberté de mouvement accrue de l'utilisateur lorsqu'il se tourne sur la motocyclette. Cette fente permet également un débit d'air accru.
Un élément latéral inférieur 1270 est fixé, comme représenté sur la Fig. 7, pour constituer un élément d'attache ou de fixation 1292 en vue de maintenir la plaque de poitrine fermement sur le torse de l'utilisateur.
Comme on le voit mieux sur la Fig 15 et la Fig 16, plusieurs fenêtres 1300 sont pratiquées, suivant un modèle sensiblement en forme de carré sur le côté gauche et sur le côté droit de la partie frontale de la plaque de poitrine 1200. Les fenêtres sont représentées avec une forme d'ensemble rectangulaire. Il est prévu, de préférence, une zone de fenêtres plus petites 1302 pour augmenter le plus possible le débit d'air.
Une série de fenêtres rectangulaires allongées 1304 est prévue au-dessous de la zone de petites fenêtres 1302. De plus, des fenêtres supérieures 1306 sont prévues immédiatement au-dessous de la partie de poitrine plane 1222 de la plaque de poitrine 1200. Comme représenté en outre sur la Fig 16, les fenêtres 1302,1304 sont munies de lames ou plaquettes 1310 inclinées vers le bas et vers l'intérieur. Les lames des fenêtres classiques sont normalement inclinées vers le bas et vers l'extérieur pour repousser l'eau et les matières similaires. Cependant, suivant la présente invention, les lames 1310 sont inclinées vers le bas et vers l'intérieur pour permettre l'entrée de l'air. Cela est très important car la ventilation maximale est une condition décisive dans les compétitions sportives.
En effet, la température du corps devient extrêmement élevée pendant les compétitions sportives, en particulier pendant les courses motocyclistes. De plus, les conditions de course et de randonnée sont telles que le dispositif de protection de la partie supérieure du corps doit être porté pendant de longues périodes dans des conditions physiques extrêmes, de sorte qu'il est essentiel d'éviter l'accumulation excessive de la chaleur du corps. En outre, en inclinant
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les ailettes ou lames 1310 comme indiqué précédemment, on obtient un débit maximal d'air de ventilation.
Il en est ainsi parce que lorsque l'utilisateur est en condition de course, il se penche systématiquement en avant de manière telle que l'axe"h"de chaque lame 1310 vient en position horizontale ou dans une autre position parallèle à la direction de marche de l'utilisateur qui se trouve sur la motocyclette ou sur un autre véhicule.
Aux vitesses élevées, telles que les vitesses dépassant 100 Kilomètres à l'heure, par la disposition des lames parallélement à la direction de marche, la surface des fenêtres est réduite le plus possible, ce qui réduit le plus possible la résistance au vent du dispositif de protection de la partie supérieure du corps ; on peut aussi avoir le débit d'air maximal et la prise d'air maximale à travers les fenêtres 1300 de la plaque de poitrine 1200. Les fenêtres supérieures 1306 n'ont pas de lames inclinées vers le bas et vers l'intérieur, mais servent d'orifices de sortie pour l'air se déplaçant, à travers la plaque de poitrine, sur la région pectorale de l'utilisateur.
Des fenêtres supplémentaires 1314, 1316 disposées sur la partie de poitrine plane 1222 au-dessus des fenêtres supérieures 1306, assurent une ventilation supplémentaire et une résistance au vent minimale, comme cela est représenté sur la Fig 3.
Suivant une caractéristique supplémentaire, il est prévu un panneau de couverture 1398 en matière appropriée telle que matière plastique. Ce panneau est représenté sur la Fig 17 et la Fig 18. Sa forme et ses dimensions sont déterminées pour permettre un ajustage sous pression. Le panneau de couverture 1398 comporte deux pattes 1399 qui s'engagent dans les deux fenêtres les plus basses 1305, comme représenté sur la Fig 15, et une fente 1397 qui s'engage sur la nervure 1307, également représentée sur la Fig 15 et la Fig 16, pour maintenir fermement en place le panneau de couverture 1398. Des moyens d'enlèvement 1395, tels que des ouvertures pour doigts, sont prévus pour permettre l'enlèvement du panneau de couverture 1398.
L'utilisateur a ainsi la possibilité d'enclencher le panneau de couverture 1398 sur les fenêtres 1300 pour empêcher le mouvement de l'air par temps froid.
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La structure de la poitrine plane comprend des zones façonnées en saillie représentées sur la fig. 9 et des variations d'épaisseur 1272 pour donner une résistance accrue à l'élément de poitrine plan 1222 qui est léger et cependant robuste.
La plaque de dos 1400, représentée sur la Fig 5, présente essentiellement une structure en une seule pièce. La partie pleine longitudinale 1402 s'étend sur la longueur de la zone centrale et est agencée pour recouvrir la colonne vertébrale de l'utilisateur. Il n'y a aucune partie assemblée par des liaisons flexibles, comme celles qui sont décrites dans les dispositifs de protection classiques. En constituant la partie centrale essentiellement en tant que structure pleine en une seule pièce, sans articulaiton, on réduit la probabilité de blessures provoquées par l'arrière à la colonne vertébrale par des objets tranchants ou durs que l'on rencontre généralement dans les courses motocyclistes.
Bien que la partie centrale pleine soit essentiellement pleine en ce sens, qu'elle ne comporte aucun pli ou fente par lesquels un objet pourrait passer, elle présente des fenêtres 1300. De même que les fenêtres de la plaque de poitrine, les fenêtres 1300 de la plaque de dos sont inclinées vers le bas et vers l'intérieur pour réduire le plus possible la résistance au vent et pour porter au maximum la ventilation de l'utilisateur lorsqu'il est en position de course.
Dans une réalisation préférentielle, la plaque de dos 1400 est façonnée pour entourer de façon ajustée le dos de l'utilisateur. Elle présente alors une plus grande largeur dans la région supérieure du dos 1412,1414 que dans la région inférieure du dos 1416,1418. On peut prévoir des fentes 1420, 1422 qui s'étendent en longueur parallèlement à la colonne vertébrale. Les fentes 1420,1422 sont longues et étroites, elles assurent la souplesse sans cependant entraîner les in. convénients d'un élément articulé. Les fentes sont recouvertes avec un rembourrage 1424,1426 qui est fixé par l'intérieur
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1450 de la plaque de dos, comme représenté sur la Fig 8. Un rembourrage supplémentaire 1452,1454 est prévu-sur la partie inférieure 1456 de la plaque de dos 1400.
Ce rembourrage est fixé par des moyens classiques tel que collage ou autre procédé classique de fixation du rembourrage sur la plaque.
La matière de rembourrage, qui est de préférence la même dans tout le dispositif, est une matière du type amortissant les chocs, souple et cependant élastique, qui procure un confort accru à l'utilisateur. Elle peut être constituée par de la mousse de polyéthylène enfermée dans un tissu robuste mais souple qui est alors fixé sur la plaque de dos. Le rembourrage 1424,1426 est fixé le long d'un élément intérieur 1428,1430, comme représenté également sur la Fig 4. De même, le rembourrage 1266 de la plaque de poitrine est fixé sur un élément intérieur bombé ou convexe 1280 de la plaque de poitrine 1200, comme cela est également représenté sur la Fig 4.
La partie d'épaules 1600 est une structure sensiblement en forme de V présentant une partie d'épaule gauche 1605 et une partie d'épaule droite 1607 agencée pour entourer de façon ajustée l'épaule gauche et l'épaule droite de l'utilisateur, comme représenté sur la Fig 4. Dans le description relative à la partie d'épaules, on se référera à la partie d'épaules 1600 qui désigne également la partie d'épaule gauche 1605 et la partie d'épaule droite 1607 en les désignant. Cette partie d'épaules est assemblée rigidement avec la plaque de poitrine 1200 et avec la plaque de dos 1400 par un assemblage rigide plein. On constitue ainsi un bouclier de partie supérieure du corps en une seule pièce.
La plaque de poitrine, la plaque de dos et la partie d'épaules peuvent être constituées par une seule pièce moulée, par exemple par un procédé classique de moulage de matière plastique par injection. Un autre procédé approprié pour constituer en une seule pièce le bouclier de partie supérieure du corps consiste à fixer la plaque d'épaules au moyen de rivets 1610, comme représenté sur la Fig 13.
Comme représenté le plus clairement sur la Fig 4 et sur la Fig 6, la partie d'épaules 1600 est de préférence
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réalisée avec la même matière que la plaque de dos et la plaque avant, de préférence une matière plastique présentant une souplesse appropriée tout en possédant une rigidité suffisante pour résister à des chocs de force importante. Un rembourrage d'encolure 1620 est placé et fixé sur la surface intérieure 1609 de la partie d'épaules, sur la partie intérieure 1290 de la plaque de poitrine 1200. La plaque de poitrine 1200 est incurvée intérieurement vers la fente 1228 dans les régions supérieures des épaules 1284,1286, comme réprésenté sur la Fig 6.
La partie d'épaules 1600 située au-dessus des régions d'épaules 1284,1286 est incurvée vers l'extérieur dans les régions 1630,1632 pour recouvrir et protéger la partie supérieure des épaules, c'est-à-dire la région claviculaire ainsi que l'omoplate. Le rembourrage d'encolure 1620 peut être constitué par une matière mousse moulée ; elle procure une protection et un confort accrus, comme cela a été exposé précédemment.
Comme représenté sur les figures 1,2 et 7, la plaque de dos 1400 peut comporter des bandes latérales 1492, 1494 sur le bord inférieur de cette plaque, ces bandes pouvant être attachées au moyen d'organes d'attache classiques 1292, 1294, représentés sous forme de boucles et portés par le panneau de bordure 1270 relié à la partie de poitrine 1200. Les bandes d'attache 1492,1494 peuvent être attachées par tout moyen approprié pouvant comprendre la couture et le rivetage ou tout autre moyen classique approprié pour assurer la liaison entre les éléments décrits ci-dessus. Les assemblages 1496,1498 comportent des boucles et des rivets disposés sur la plaque de dos 1400. Le panneau 1270 peut être assemblé avec la plaque avant 1200 au moyen de rivets 1296,1298.
Tandis que la Fig 1 et la Fig 2 représentent un exemple de réalisation du panneau de bordure 1270, la Fig 7 représente une partie de panneau latérale 1271 reliée au panneau de bordure 1270, en étant de préférence en une seule pièce avec ce panneau de bordure 1270. La partie de panneau latérale 1271 s'étend de la plaque de poitrine 1200 à la plaque de dos 1400 en recouvrant complètement le flanc de
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l'utilisateur pour procurer une protection accrue. Deux boucles 1273 peuvent être attachées à la partie de panneau latérale 1271, les bandes d'attache 1492,1494 pouvant passer dans ces boucles avant d'être attachées aux éléments 1292,1294.
En ce qui concerne la plaque de dos 1400, on doit en outre mentionner que, comme représenté sur la Fig 8, la face arrière 1450 de cette plaque présente une nervure 1440 s'étendant verticalement dans la partie centrale de la face arrière 1450. Des nervures transversales 1442 s'étendent parallèlement en une ou plusieurs rangées transversales vers le bas de la plaque de dos pour recouvrir la colonne vertébrale. Les nervures 1440,1442 procurent une résistance et une stabilité accrues à la plaque de dos et donnent une meilleure rigidité pour assurer une meilleure protection de la région de la colonne vertébrale, sans nuire aux qualités de légèreté qui sont très importantes pour la présente invention.
Comme mieux représenté sur les figures 11,12 13 et 14, le rabat d'épaule 2000 est relié à l'articulation au bouclier de partie supérieure du corps 1000. Il est prévu deux rabats d'épaules 2000 respectivement pour l'épaule gauche et pour l'épaule droite. La description ci-après se réfère à l'un des deux rabats, mais toute description et toute explication s'appliquent également à l'autre rabat d'épaule correspondant immédiatement opposé à celui qui est décrit. Le rabat d'épaule 2000 présente une section transversale sensiblement en forme de V et est façonné de façon ajustée pour venir sur la partie d'épaules 1600.
Le rabat d'épaule 2000 comporte une partie avant 2010 et une partie arrière 2012, comme représenté sur la Fig 4.
La partie avant 2010 est reliée à articulation à la plaque de poitrine 1200 au moyen d'un organe d'assemblage approprié 2014 tel que broche ou rivet. La partie arrière 2012 est reliée à la plaque de dos 1400 au moyen d'un organe d'articulation approprié 2016 tel que rivet ou broche.
Comme on le voit sur la Fig 5, le rabat d'épaule
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2000 a une épaisseur et un profil de bordure variables 2018, 2020 pour donner une rigidité et une robustesse accrues. On peut, de plus, prévoir un renforcement 2022 à l'avant et un renforcement 2024 à l'arrière pour donner une résistance accrue au rabat d'épaule et pour avoir de meilleurs caractéristiques de résistance au vent. La matière utilisée est une matirèe plastique flexible avec une certaine raideur, cette matière ayant une résistance appropriée pour résister aux chocs intenses et aux chutes du coureur tombant de sa motocyclette. Cette matière est de préférence la même que celle qui est utilisée pour l'ensemble du bouclier de partie supérieure du corps.
Le rabat d'épaule 2000 est disposé sur la partie d'épaules 1600. Le rabat d'épaule 2000 est mobile latéralement suivant un parcours courbe entre une position supérieure et une position inférieure. La position supérieure est représentée sur la figure 11, la position inférieure est représentée sur la figure 12 et est décrite de façon succincte ci-après.
Le rabat d'épaule 2000 présente une face supérieure 2040 et une face inférieure 2042. La face inférieure 2042 présente une nervure 2050 (voir Fig 14) qui s'étend de façon sensiblement parallèle au bord intérieur 2052 du rabat d'épaule 2000. La nervure 2050 constitue une partie en saillie sur la face inférieure du rabat d'épaule 2000 convenant pour venir en butée contre une autre surface. La face inférieure du rabat d'épaule présente également le côté inférieur des renforcements 22, 2024 qui donnent une résistance et une solidité accrues à la structure du rabat d'épaule.
Comme représenté sur la Fig 13, la partie d'épaules 1600 comporte des parties de butée en saillie 1640,1642 formant une surface de butée 1650. Le tracé de la butée 1650 présente une forme correspondant à la forme de la nervure 2050, de sorte que les deux surfaces assurent un ajustage de liaison ou de verrouillage et qu'elles s'ajustent étroitement l'une à l'autre en se correspondant. La butée présente la forme d'un arc quand on la regarde de dessus, comme dans le cas de la Fig 13, cette forme correspond essentiellement à la forme en arc de la nervure 2050 représentée sur la Fig 14. Il y a lieu de signaler que le centre 1660 de l'arc constitué par la vue de dessus de la butée
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1650 est situé en un point situé en avant à une distance "d"de l'axe"x"du bouclier de partie supérieure du corps 1000, comme représenté sur la Fig 13.
Cette caractéristique de conception est importante, comme cela sera expliqué plus loin, pour le fonctionnement du dispositif.
En se référant à la Fig 11, on voit qu'un capuchon d'épaule ou épaulette 3000 est relié à articulation au rabat d'épaule 2000. L'épaulette présente une forme incurvée ou arrondie agencée lorsqu'on la porte pour recouvrir l'intersection musculaire du biceps, du triceps et du deltoïde de la partie supérieure du bras où, autrement, l'humérus serait exposé. De plus, l'épaulette recouvre l'autre extrémité de l'épaule et est réalisée en une matière similaire à celle du reste du bouclier de partie supérieure ducorps. Il s'agit d'une matière plastique rigide qui est légère tout en étant cependant suffisamment robuste pour résister aux chocs et aux coups intenses.
L'épaulette comporte des fenêtres 3010,3012 qui servent à assurer la ventilation de la région supérieure du bras, comme représenté sur la Fig 3 et la Fig 5. De même que dans le cas des fenêtres utilisées dans le bouclier de partie supérieure du corps, certaines des ouvertures ou fenêtres 3012 sont inclinées vers le bas et vers l'intérieur pour accroî- tre au maximum la ventilation et le débit d'air tout en réduisant la résistance au vent du motocycliste lorsqu'il est en position de marche et en compétition. Des bandes ou courroies d'attache 3020 peuvent être prévues pour maintenir l'épaulette en place de façon ajustée sur le bras de l'utilisateur, comme représenté sur la Fig 3.
Elles. sont en matière élastique ou en une autre matière appropriée et peuvent être attachées par couture, par des rivets ou par un autre moyen classique 3022, comme représenté sur la Fig 5. L'extrémité 3024 de l'épaulette 3000 va en se rétrécissant légèrement pour assurer un maintien en place supplémentaire de la bande sans gêner le mouvement du bras de façon notable.
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Comme représenté sur la Fig 11 et la Fig 12, l'épaulette 3000 est reliée à articulation au rabat d'épaule 2000 au moyen d'une bande de liaison souple 3100. La bande de liaison 3100 est en une matière appropriée classique quelconque qui soit souple et cependant résistante en permettant une liaison articulée entre l'épaulette 3000 et le rabat d'épaule 2000.
Un moyen de liaison approprié est obtenu en donnant à la bande de liaison 3100 la forme d'une courroie ou lanière reliée par couture ou au moyen de rivets 3102,3104 à l'épaulette 3000 et au rabat d'épaule 2000, respectivement. Comme représenté sur la Fig 4, l'emplacement de l'organe d'assemblage 3104, représenté sous forme d'un rivet, est situé en avant de l'axe latéral "X"et non pas sur cet axe latéral. En conséquence, l'assemblage par articulation est situé non pas dans la zone la plus haute ou emplacement supérieur 2078 du rabat d'épaule 2000, comme indiqué sur la Fig 3, mais plus bas dans l'emplacement 3104 du rabat d'épaule 2000. En réalisant l'assemblage de cette façon les épaulettes 3000 sont situées en avant de l'axe, comme représenté sur les figures 4,7, 9 et 10.
Cette caractéristique est décisive lors d'une course de motocross car il est essentiel que toute protection destinée à la partie supérieure du bras et à l'épaule soit agencée pour assurer la protection contre les pierres et les débris projetés et les autres causes de blessures et de chocs venant de l'avant de l'utilisateur lorsque celui-ci est engagé dans les conditions d'une course motocycliste. En conséquence, la conception de l'épaulette 3000 est telle que lorsqu'on la porte sur le bras, son bord arrière 3030 soit situé sensiblement sur l'axe"X", son bord avant 3040 étant sensiblement situé immédiatement en avant de l'os humérus du bras, ce qui assure le recouvrement de la position supérieure et de la position avant de la partie supérieure du bras. On obtient ainsi une protection frontale accrue.
Un organe de limitation ou de retenue 2100 est relié par une extrémité à la partie d'épaules 1600, sur l'élément d'attache 1602, par des moyens classiques tels qu'un rivet, son
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extrémité opposée étant reliée sur l'élément d'attache 1603 du rabat d'épaule 2000, comme cela est également représenté sur la Fig 11 et la Fig 12. Dans un exemple de réalisation préférentiel, l'élément d'attache 1603 peut être constitué par le même rivet 3104 qui est utilisé pour attacher la bande de liaison 3100 qui maintient l'épaulette 3000 sur le rabat d'épaule 2000. L'organe de retenue 2100 peut être constitué par une bande d'attache 2100 de résistance et de souplesse appropriées. Elle est de préférence constituée par une bande ou lanière en matière robuste pouvant résister à la force d'un coup ou d'un choc soudain.
La bande de liaison 2100 peut être attachée par des moyens classiques tels que coutures et rivets 1602,1603 suivant l'exemple de réalisation préférentiel.
En fonctionnement, lorsque l'utilisateur rencontre un obstacle ou une autre source de choc ou de coup soudain, un choc descendant est appliqué au rabat d'épaule 2 000, car celui-ci est en position extérieure extrême, par exemple quand l'utilisateur touche le sol s'il tombe de sa motocyclette. A ce moment, une force descendante importante est appliquée au rabat d'épaule 2000. Cela provoque un mouvement de pivotement du rabat d'épaule 2000 latéralement suivant un arc vers une position inférieure qui est représentée sur la fig. 12. Dans la position inférieure, en raison du choc soudain, la nervure 2050 du rabat d'épaule 2000 est poussée contre la butée 1650 de la partie d'épaule 1600, comme représenté sur la fig. 12.
En raison des formes conjuguées de la nervure 2050 et de la butée 1650, qui s'ajustent étroitement l'une à l'autre lorsqu'elles sont serrées ou poussées l'une contre l'autre, par exemple, par un coup, par une mise en contact brusque, par collision ou autre choc rencontré lors de la marche à motocyclette. La nervure et la butée sont alors verrouillées ensemble ou empêchées d'une autre manière de se déplacer davantage suivant l'arc. Cela met le rabat d'épaule dans une position inférieure fixe, la région d'épaule étant ainsi protégée.
Par l'action de verrouillage de la nervure 2050 amenée par force contre la butée 1650, le choc exercé sur le rabat d'épaule 2000 est effectivement
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diffusé et réparti sur la surface de la totalité de la nervure 2050 et sur les points de pivotement 2014,2016 de la plaque de poitrine frontale 1200 et de la plaque de dos 1400, respectivement. Cela a pour effet de réduire efficacement le choc exercé en un point quelconque de l'utilisateur et de diffuser la force pour procurer une plus grande sécurité.
Comme représenté en outre sur la fig. 12, dans la position inférieure, l'organe de retenue 2100 n'est pas en action, mais pend librement de manière à ne pas gêner le mouvement. En assurant la liberté de mouvement pour le mouvement de pivotement du rabat d'épaule suivant son arc latéral, la liberté de mouvement est accrue au maximum, de sorte que l'inconfort ressenti est faible ou nul et que l'utilisateur n'éprouve aucun autre inconvénient.
On obtient cependant une protection maximale contre les chocs et tous les autres contacts violents. En outre, s'il se produit un choc supplémentaire quelconque, une force ou une traction sur l'épaulette 3000, l'effort correspondant est transmis, par l'intermédiaire de la bande de liaison 3100 au rabat d'épaule 2000, cet effort est alors réparti au moyen de l'action de verrouillage qui vient d'être décrite, de manière à répartir davantage et à réduire le choc qui en résulte. Un avantage important de la présente invention vis-à-vis de la technique antérieure est que l'épaulette 3000 est attachée de la façon décrite au rabat d'épaule 2000 au lieu que cette épaulette 3000 soit directement attachée à la partie d'épaule 1600, comme on le trouve habituellement dans la technique antérieure de protection de la partie supérieure du corps.
En conséquence, la présente invention procure un certain nombre d'avantages que l'on ne trouve pas ou qui ne sont pas prévus dans les dispositifs classiques de protection de la partie supérieure du corps.
Différemment, il peut se produire en marche, un choc soudain, un coup ou un contact violent agissant sur l'utilisateur du dispositif de protection de la partie supérieure du corps dans une direction ascendante ou latérale. Une telle situation est représentée sur la fig. 11 suivant laquelle le rabat d'épaule est dans la position supérieure. Une force latérale ou ascendante agit
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sur la rabat d'épaule 2000 pour le déplacer suivant un arc jusqu'à ce que l'organe de retenue 2100 soit tiré et tendu entre l'attache de partie d'épaule 1602 et l'attache de rabat d'épaule 1603.
L'organe de retenue 2100 a une longueur prédéterminée, de sorte que le rabat d'épaule est retenu et ne peut pas venir frapper par force la partie d'épaules 1600. En conséquence, l'organe de retenue empêche que le rabat d'épaule 2000 vienne comprimer l'épaule de l'utilisateur par l'intermédiaire de la partie d'épaule 1600.
Cet organe de retenue maintient le rabat d'épaule 2000 dans une position correspondant à la position supérieure. Il peut y avoir un léger engagement du rabat d'épaule 2000 contre la partie d'épaules 1600 comme représenté en 2101. Cependant, l'action de retenue est essentiellement exercée par l'organe de retenue 2100 et la force qu'il subit conjointement avec l'assemblage pivotant des points 2014,2016.
De plus, si une force ascendante ou latérale est exercée sur l'épaulette 3000 proprement dite, la bande de liaison 3100 a une longueur telle qu'un mouvement ascendant du bras de l'utilisateur et donc de l'épaulette 3000 est empêchée par la surface supérieure 3001 de l'épaulette venant heurter la surface inférieure 2042 du rabat d'épaule 2000, de sorte que le mouvement ascendant de l'épaulette subit une retenue, ce qui tend à éviter une blessure causée au bras de l'utilisateur, blessure qui pourrait avoir lieu autrement.
En outre, étant donné que l'épaulette est montée à articulation en avant de l'air transversal"x"du rabat d'épaule 2000, une protection accrue est assurée contre les chocs frontaux et les coups intenses, chocs qui sont du type normalement rencontré lors de la participation aux motocross où l'on rencontre systématiquement des obstacles et des objets tranchants immobiles.
Pour fabriquer le dispositif de protection de la partie supérieure du corps faisant l'objet de la présente description, le procédé préféré consiste à mouler le bouclier de partie supérieure du corps semi-rigide sous forme d'une plaque de poitrine, d'une plaque de dos, et de parties d'épaules. Un procédé préféré pour mouler ce bouclier est le moulage par injection en utilisant des matières plastiques appropriées ou d'autres matières à base de polyéthylène présentant la résistance et la rigidité voulues. En
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outre, le rabat d'épaule et l'épaulette sont moulés de façon similaire, de préférence par moulage par injection. Cela permet d'obtenir une structure rigide en une seule pièce, tout en réduisant le plus possible les dépenses de fabrication et de montage.
Comme mentionné précédemment, la structure de cet exemple de réalisation de l'invention permet une liberté de mouvement importante pour l'utilisateur. Elle procure une protection et une résistance élevées, tout en conservant une construction légère confortable à porter pendant de longues périodes.
En outre, on obtient une protection accrue par la construction homogène rigide en une seule pièce de la partie de protection de la partie supérieure du corps, et par le mécanisme de verrouillage décrit ainsi que par les moyens de retenue pour répartir efficacement la force du choc.
Les fig. 19,20 et 21, représentent en variante trois exemples de réalisation du mécanisme de verrouillage conforme à la présente invention, ce mécanisme comprenant seulement une partie d'épaules 1600 dans le premier exemple, une partie d'épaules 1600 et plaque de poitrine 1200 seulement dans le second exemple, une partir d'épaules 1600 et une plaque de dos 1400 seulement dans le troisième exemple. Des moyens classiques tels que bandes 996 et boucles 997 sont prévus pour attacher sûrement le dispositif au corps du sportif.
Comme cela est également représenté sur la fig. 19, la partie d'épaules 1600 de cette variante de réalisation comporte une partie avant 2014 et une partie de dos 2016'sur lesquelles on peut monter à pivot des pans avant et arrière 2010,2012 du rabatd'épaule 2000, ce montage ayant lieu au moyen d'une articulation 2014'à l'avant et d'une articulation 2016'dans le dos, se présentant de préférence sous forme de rivets. Comme représenté sur la fig. 20, seule une partie de dos 2016 de la partie d'épaules est prévue dans cet exemple de réalisation. En effet, le pan avant 2010 est relié à la plaque de poitrine 1200. Inversement, conformément à la fig. 21, seule la partie frontale 2014 de la partie d'épaules est prévue car le pan arrière 2012 est relié à la plaque de dos 1400.