"Dispositif de fixation réglable pour barreau-support de balustrade"
La présente invention concerne un dispositif de fixation règlable pour barreau-support de balustrade et, notamment, pour barreau-support de balustrade de balcon.
Les balustrades de balcon préfabriquées, par exemple réalisées en aluminium, sont généralement reliées au sol par des barreaux-supports espacés de 1 à 2 mètres. Les barreaux doivent être fixés au sol et être maintenus <EMI ID=1.1>
vers l'extérieur important, pouvant varier entre CO et
300 kgf selon les pays.
Cette fixation doit être réglable dans toutes les directions de l'espace pour permettre un bon alignement et une bonne verticalité de la balustrade, le règlage devant compenser les défauts d'horizontalité du sol au lieu de fixation. Il arrive, en effet, souvent que ce sol présente des irrégularités, ou encore soit incliné sur l'horizontale pour permettre l'écoulement des eaux.
De plus, il est intéressant de réaliser, sur une dalle donnée, un balcon de largeur maximale, et pour y parvenir
il est nécessaire de réduire au maximum le débordement vers l'intérieur des barreaux-supports.
On connaît actuellement un certain nombre de dispositifs de .fixation réglable qui essaient de répondre à toutes les conditions précitées :
Une première solution consiste à disposer, entre le pied au barreau-support et le sol, des cales pouvant être de deux types : soit des cales dont les deux faces sont parallèles, pouvant exister en différentes épaisseurs, soit des cales en forme de coin. Cependant, ce procédé est peu commode et peu précis, et il ne permet pas d'effectuer un véritable règlage.
Dans d'autres fixations connues, le pied du barreausupport, fixé au sol par des vis, s'appuie sur le sol en trois points. Sur ces trois points d'appui, deux sont constitués par des vis de réglage qui permettent de donner <EMI ID=2.1> peut causer des dommages importants. De plus, il est nécessaire de répartir sur le ciment la passion exercée pa� les trois points d'appui et il faut donc compléter le dispositif par des cales intermédiaires de grande taille et d'épaisseur importante.
Pour remédier à ces inconvénients, on a déjà proposé des barreaux-supports dont le pied est fixé au sol par des moyens à vis, avec interposition d'une cale, le réglage se
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les fixations connues de ce type, le pied du barreau-support comporte une surface sphérique prenant appui sur une surface sphérique complémentaire formée à la partie supérieure de la cale, ce qui permet de donner toute inclinaison au barreausupport. La fixation est assurée par une vis dont l'axe passe par le centre des deux surfaces sphériques. Cette solution est satisfaisante du point de vue purement géométrique, puisque le barreau-support est alors muni d'une véritable articulation à rotule, cependant elle présente dans la pratique des inconvénients :
Ainsi, lors du montage du barreau-support sur sa cale, le contact par surfaces sphériques offre une trop grande liberté de mouvement, si bien que, même pour une orientation correcte du barreau, la cale risque d'être mal orientée par rapport au pied du barreau, ce qui peut conduire à des
<EMI ID=4.1> d'oeuvre peu qualifiée risque donc de conduire à des résultats indésirables. En outre, la position centrale de
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plus particulièrement aux efforts dirigés vers l'extérieur.
Dans tous les dispositifs connus, la condition primordiale qui est de résister à un effort vers l'extérieur n'est pas respectée. Des essais effectués récemment montrent que, pour résister à l'effort imposé, les fixations précitées ne donnent pas satisfaction, à moins d'être reculées loin du bord de la dalle, pour éviter que le ciment, situé en avant de la première armature de la dalle, ne soit sollicité par un effort direct. Cela réduit d'une bonne quantité la surface utilisable du balcon si l'on conserve la forme actuellement donnée aux pieds des barreaux-supports.
La présente invention vise à remédier à l'ensemble des inconvénients indiqués ci-dessus. Elle a donc pour but de fournir un dispositif de fixation permettant un règlage dans les meilleures conditions, et résistant aux efforts vers l'extérieur sans réduire la surface utilisable du balcon.
Dans ce dispositif de fixation, qui est du type de ceux où le pied du barreau-support est fixé au sol par des moyens à vis, avec interposition d'un cale, il est prévu selon l'invention que la partie inférieure du pied comporte une cavité délimitée par une surface torique apte à prendre appui sur une surface torique complémentaire formée à la partie supérieure de la cale intermédiaire, l'axe de révolution
de ladite surface torique étant horizontal et parallèle au plan de la balustrade.
Pour effectuer un réglage d'inclinaison d'avant en arrière, il suffit de faire glisser le pied par rapport à
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l'axe n'est autre que l'axe de révolution de la surface torique. Au cours de ce mouvement, le pied est parfaitement guidé par la cale et aucune erreur d'orientation n'est possible, contrairement à ce qui peut se passer avec des surfaces sphériques.
Pour effectuer un réglage latéral d'inclinaison, on fait glisser les deux surfaces toriques suivant une direction transversale; le guidage n'est plus parfait d'un point de vue strictement géométrique, mais, étant donné que les surfaces toriques utilisées ne sont qu'une faible partie du tore entier et que l'inclinaison ne dépasse pratiquement
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faible rayon de courbure du tore dans le sens transversal présente plusieurs avantages : on peut ainsi donner plus d'inertie à la section du pied du barreau, et pour un déplacement angulaire donné le pied ne subit qu'un faible déplacement en longueur, déplacement qui reste visible puisque la cale est symétrique mais qui ne sera pas choquant.
Suivant une autre caractéristique importante de l'invention, les moyens à vis sont situés en arrière du plan vertical passant par l'axe de révolution de la surface torique.
En effet, pour éviter de solliciter la partie en ciment située près du bord de la dalle, il faut que la vis de fixation se trouve à la plus grande distance possible dudit bord. De nombreux essais ont déterminé qu'il fallait que cette vis soit à 140 mm du bord de la dalle pour vis <EMI ID=8.1>
De plus, cette vis située en retrait ne doit pas être dans le plan vertical passant par l'axe de révolution de la surface torique, mais en arrière de ce plan, sinon la
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preuve le calcul indiqué ci-après :
En effet, à 140 mm du bord de la dalle, le diamètre maximum admissible pour une vis est de 12 mm, et les chevilles que l'on peut introduire dans le ciment avec de telles vis supportent un effort maximum de 2 tonnes à 2,3 tonnes. Le coefficient de frottement de deux pièces métalliques l'une sur l'autre étant voisin de 0,50, voire 0,30 quand il subsiste quelques traces de graisse, ce qui est inévitable, l'effort maximal tolérable à la périphérie du tore est de : 2000 x 0,3 = 600 kgf. Cela
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extérieur du tore et la somme "hauteur de la balustrade
+ rayon extérieur du tore", si l'on veut que le sommet du barreau résiste à une poussée de 300 kgf, avec une vis dont l'axe est situé dans le plan vertical passant par l'axe
de révolution du tore.
La cale torique formerait alors une protubérance énorme, inesthétique et dangereuse, puisqu'elle aurait un rayon extérieur très grand tout en devant permettre un certain règlage angulaire.
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extérieur soit assez limité, pour que la cale permette le règlage d'inclinaison sans être trop encombrante. En plaçant la vis en arrière de l'axe de révolution du tore, son effort ajoute au frottement un couple bien orienté et il y a possibilité de diminuer le rayon extérieur du tore, donc de gagner de la place et de la matière, tout en ayant la même sécurité. On obt.ient aussi un résultat esthétique puisque l'ensemble, constitué par le pied du barreau et la cale, est équilibré et n'est pas trop encombrant. Enfin, la vis étant en arrière, le montant du barreau se rattache à la partie avant du pied, de sorte que la balustrade se trouve très avancée et ne réduit pas la surface utilisable du balcon.
De toute façon, l'invention sera mieux comprise à l'aide de la description qui suit, en référence au dessin schématique annexé représentant, à titre d'exemple non limitatif, une forme d'exécution de ce dispositif de fixation règlable pour un barreau-support de balustrade :
Figure 1 est une vue de côté montrant un barreau-support fixé par le dispositif selon l'invention; Figure 2 est une vue de face, à échelle agrandie, de ce dispositif de fixation; Figure 3 est une vue de côté,avec coupe partielle, correspondant à la figure 2;
Figure 4 montre, vu en perspective, le tore à partir duquel sont réalisées les surfaces toriques intervenant dans l'invention. <EMI ID=12.1> l'invention, svec son dispositif de fixation sur un sol 2 constitué par la dalle d'un balcon..De manière connue, ce barreau-support se compose d'un montant 2 et d'une base élargie 4 appelée dans la suite "pied", qui permet la mise
en place de moyens à vis assurant la fixation du barreau-
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entre le pied 4 et le sol 2, assure la répartition de la pression sur le ciment.
De manière classique, le barreau-support 1 permet la
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main courante 7 et d'une sous-lisse 8 reliées par des
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Selon l'invention, la partie inférieure du pied 4 comporte une cavité délimitée par une surface torique 10 Cette surface torique prend appui sur une surface torique
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intermédiaire �.
La figure 4 permet de se faire une idée précise de ces <EMI ID=17.1>
possède un axe de révolution 14 disposé horizontalement, et parallèlement au plan de la balustrade 6. Il est défini par
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jeu important.
Suivant une autre caractéristique de l'invention, hier.'
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la partie avant du pied 4, si bien que le balcon offre le maximum de surface utilisable.
Dans une réalisation particulière de cette fixation destinée à supporter un effort de 300 kgf au sommet du
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définitivement la vis 16. Ce déplacement relatif est obtenu en déplaçant la cale 2, ce qui est permis par les dimensions
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d'avant en arrière, ce règlage étant imposé par exemple par l'inclinaison voulue de la dalle pour permettre l'écoulement des eaux. Ce premier réglage s'effectue très facilement,
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restent en contact quel que soit l'angle de rotation, et la cale .,,- 5 reste automatiquement orientée de façon convenable par rapport au pied 4. En pratique, le déplacement
t <EMI ID=23.1>
et celui � vers l'arrière de l'ordre de 4[deg.], mais toute valeur d'angle reste possible sans inconvénient géométrique.
Un second réglage s'effectue transversalement; ce règlage est rendu nécessaire par les imprécisions de la construction en ciment, et en pratique les déplacements angulaires latéraux 2( ne dépassent pas 2[deg.]. Le guidage transversal en rotation des deux surfaces toriques n'est
pas parfait, mais cette imperfection est imperceptible et
ne présente aucun inconvénient pour des angles inférieurs
à 2[deg.]. Le métal de la cale 5 peut d'ailleurs être choisi suffisamment mou pour que le contact avec le pied 4 reste parfait.
Comme il.va de soi, l'invention ne se limite pas à la seule forme d'exécution de ce dispositif de fixation règlable pour barreau-support de balustrade qui a été décrite ci-dessus à titre d'exemple non limitatif; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes de réalisation. C'est ainsi notamment, que les dimensions indiquées plus haut et les épaisseurs visibles au dessin ont été calculées en fonction d'un effort de 300 kgf, mais peuvent évidemment être modifiée! pour des efforts différents, sans que l'on s'éloigne de l'invention.
REVENDICATIONS
<EMI ID=24.1> de balustrade du type de ceux dont le pied est fixé au sol par des moyens à vis, avec interposition d'une cale, caractérisé en ce que la partie inférieure du pied comporte une cavité délimitée par une surface torique apte à prendre appui sur une surface torique complémentaire formée à la partie supérieure de la cale intermédiaire, l'axe de révolution de ladite surface torique étant horizontal et parallèle au plan de la balustrade.
"Adjustable fixing device for balustrade support bar"
The present invention relates to an adjustable fixing device for a balustrade support bar and, in particular, for a balcony balustrade support bar.
Prefabricated balcony railings, for example made of aluminum, are usually connected to the ground by support bars spaced 1 to 2 meters apart. The bars must be fixed to the ground and be maintained <EMI ID = 1.1>
towards the outside, which can vary between CO and
300 kgf depending on the country.
This fixing must be adjustable in all directions of space to allow a good alignment and a good verticality of the balustrade, the adjustment having to compensate for the defects of horizontality of the ground instead of fixing. It happens, in fact, often that this ground presents irregularities, or is inclined on the horizontal to allow the flow of water.
In addition, it is interesting to create, on a given slab, a balcony of maximum width, and to achieve this
it is necessary to reduce the overflow towards the interior of the support bars as much as possible.
A number of adjustable fixing devices are currently known which attempt to meet all of the aforementioned conditions:
A first solution consists in placing, between the base of the support bar and the ground, wedges which may be of two types: either wedges whose two faces are parallel, which may exist in different thicknesses, or wedge-shaped wedges. However, this method is inconvenient and imprecise, and it does not allow real adjustment to be carried out.
In other known fixings, the foot of the support bar, fixed to the ground by screws, rests on the ground at three points. Of these three support points, two are made up of adjustment screws which allow <EMI ID = 2.1> to be given, which can cause significant damage. In addition, it is necessary to distribute on the cement the passion exerted by pa � the three support points and it is therefore necessary to complete the device by intermediate shims of large size and substantial thickness.
To remedy these drawbacks, support bars have already been proposed, the foot of which is fixed to the ground by screw means, with the interposition of a wedge, the adjustment being
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the known fixings of this type, the foot of the support bar comprises a spherical surface resting on a complementary spherical surface formed at the upper part of the wedge, which makes it possible to give any inclination to the support bar. Fixing is provided by a screw whose axis passes through the center of the two spherical surfaces. This solution is satisfactory from a purely geometrical point of view, since the support bar is then provided with a true ball joint, however in practice it has drawbacks:
Thus, when mounting the support bar on its wedge, the contact by spherical surfaces offers too much freedom of movement, so that, even for a correct orientation of the bar, the wedge risks being incorrectly oriented relative to the foot. of the bar, which can lead to
<EMI ID = 4.1> of unskilled work may therefore lead to undesirable results. In addition, the central position of
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more particularly to efforts directed outward.
In all the known devices, the essential condition which is to resist an outward force is not respected. Tests carried out recently show that, in order to withstand the imposed force, the aforementioned fasteners are not satisfactory, unless they are moved back far from the edge of the slab, to prevent the cement, located in front of the first reinforcement of the slab, is requested by a direct force. This reduces the usable area of the balcony by a good amount if the shape currently given to the feet of the support bars is retained.
The present invention aims to remedy all of the drawbacks indicated above. Its aim is therefore to provide a fixing device allowing adjustment under the best conditions, and resistant to outward forces without reducing the usable surface of the balcony.
In this fixing device, which is of the type of those where the foot of the support bar is fixed to the ground by screw means, with the interposition of a wedge, it is provided according to the invention that the lower part of the foot comprises a cavity delimited by a toric surface capable of resting on a complementary toric surface formed at the upper part of the intermediate wedge, the axis of revolution
of said toric surface being horizontal and parallel to the plane of the balustrade.
To adjust the tilt back and forth, simply slide the foot in relation to
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the axis is none other than the axis of revolution of the toric surface. During this movement, the foot is perfectly guided by the cleat and no orientation error is possible, unlike what can happen with spherical surfaces.
To perform a lateral tilt adjustment, the two toric surfaces are slid in a transverse direction; the guidance is no longer perfect from a strictly geometric point of view, but, given that the toroidal surfaces used are only a small part of the entire torus and that the inclination practically does not exceed
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small radius of curvature of the torus in the transverse direction presents several advantages: one can thus give more inertia to the section of the base of the bar, and for a given angular displacement the base undergoes only a small displacement in length, displacement which remains visible since the wedge is symmetrical but which will not be shocking.
According to another important characteristic of the invention, the screw means are located behind the vertical plane passing through the axis of revolution of the toric surface.
Indeed, to avoid stressing the cement part located near the edge of the slab, the fixing screw must be at the greatest possible distance from said edge. Numerous tests determined that this screw should be 140mm from the edge of the screw panel <EMI ID = 8.1>
In addition, this screw located back must not be in the vertical plane passing through the axis of revolution of the toric surface, but behind this plane, otherwise the
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proof the calculation indicated below:
Indeed, at 140 mm from the edge of the slab, the maximum admissible diameter for a screw is 12 mm, and the plugs that can be introduced into the cement with such screws support a maximum force of 2 to 2 tons, 3 tons. The coefficient of friction of two metal parts one on the other being close to 0.50, or even 0.30 when there are some traces of grease, which is inevitable, the maximum tolerable force at the periphery of the torus is from: 2000 x 0.3 = 600 kgf. This
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outside of the torus and the sum "height of the balustrade
+ outer radius of the torus ", if we want the top of the bar to resist a thrust of 300 kgf, with a screw whose axis is located in the vertical plane passing through the axis
of revolution of the torus.
The O-ring wedge would then form an enormous protuberance, unsightly and dangerous, since it would have a very large outer radius while having to allow a certain angular adjustment.
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exterior is quite limited, so that the wedge allows the tilt adjustment without being too bulky. By placing the screw behind the axis of revolution of the torus, its force adds a well-oriented torque to the friction and there is the possibility of reducing the outer radius of the torus, thus saving space and material, while having the same security. An aesthetic result is also obtained since the assembly, consisting of the base of the bar and the wedge, is balanced and is not too bulky. Finally, the screw being behind, the upright of the bar is attached to the front part of the foot, so that the balustrade is very advanced and does not reduce the usable surface of the balcony.
In any case, the invention will be better understood with the aid of the description which follows, with reference to the appended schematic drawing showing, by way of non-limiting example, an embodiment of this adjustable fixing device for a bar. - balustrade support:
Figure 1 is a side view showing a support bar fixed by the device according to the invention; Figure 2 is a front view, on an enlarged scale, of this fixing device; Figure 3 is a side view, in partial section, corresponding to Figure 2;
Figure 4 shows, seen in perspective, the torus from which are made the toroidal surfaces involved in the invention. <EMI ID = 12.1> the invention, with its device for fixing to a floor 2 consisting of the slab of a balcony. In a known manner, this support bar consists of an upright 2 and an enlarged base 4 hereinafter called "foot", which allows the setting
in place of screw means securing the bar
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between the foot 4 and the ground 2, ensures the distribution of the pressure on the cement.
Conventionally, the support bar 1 allows the
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handrail 7 and a sub-rail 8 connected by
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According to the invention, the lower part of the foot 4 comprises a cavity delimited by a toric surface 10 This toric surface bears on a toric surface
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intermediate �.
Figure 4 gives a precise idea of these <EMI ID = 17.1>
has an axis of revolution 14 arranged horizontally, and parallel to the plane of the balustrade 6. It is defined by
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important game.
According to another characteristic of the invention, yesterday. '
<EMI ID = 19.1>
the front part of foot 4, so that the balcony offers the maximum usable surface.
In a particular embodiment of this binding intended to withstand a force of 300 kgf at the top of the
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definitely the screw 16. This relative displacement is obtained by moving the wedge 2, which is allowed by the dimensions
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from front to back, this adjustment being imposed, for example, by the desired inclination of the slab to allow water to flow. This first adjustment is carried out very easily,
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remain in contact whatever the angle of rotation, and the wedge. ,, - 5 automatically remains oriented in a suitable manner with respect to the foot 4. In practice, the displacement
t <EMI ID = 23.1>
and the one � towards the rear of the order of 4 [deg.], but any angle value remains possible without geometric disadvantage.
A second adjustment is made transversely; this adjustment is made necessary by the inaccuracies of the cement construction, and in practice the lateral angular displacements 2 (do not exceed 2 [deg.]. The transverse guide in rotation of the two toric surfaces is not
not perfect, but this imperfection is imperceptible and
does not present any inconvenience for lower angles
at 2 [deg.]. The metal of the cleat 5 can moreover be chosen soft enough so that contact with the foot 4 remains perfect.
As it goes without saying, the invention is not limited to the sole embodiment of this adjustable fixing device for a balustrade support bar which has been described above by way of non-limiting example; on the contrary, it embraces all variant embodiments. It is thus in particular that the dimensions indicated above and the thicknesses visible in the drawing were calculated according to a force of 300 kgf, but can obviously be modified! for different forces, without moving away from the invention.
CLAIMS
<EMI ID = 24.1> of a balustrade of the type of which the foot is fixed to the ground by screw means, with the interposition of a wedge, characterized in that the lower part of the foot has a cavity delimited by a suitable toric surface to be supported on a complementary toric surface formed at the upper part of the intermediate wedge, the axis of revolution of said toric surface being horizontal and parallel to the plane of the balustrade.