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Les soupapes droites, cà.d. avec sme tige à 900 par rapport à l'axe de la tuyauterie. ont été largement supplantées par les soupapes inclinées.
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Cette évolution est justifiée non seulement par l'amélioratiem du passage du liquide en raison d'une perte de charge moindre, nais encore parce que les corps de soupapes obliques sont plus faciles à fabriquer par les méthodes rapides mo
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es telles que l'injection sous pression de 6tal ou de sratiére plastique.
En effet, on peut couler ou injecter le corps d'une soupape inclinée à 45 avec un outillage à noyaux rétractiles ce qui est impossible pour un corps de soupape droite dans lequel le liquide doit parcourir un trajet en forme de S.
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l'.'imrentioa présente des corps de soupapes droites faciles à fa- briquer.
Il faut remarquer que la soupape droite reste avantageuse, tout d'abord lorsqu'on désire en mécaniser l'action par un moteur, un vérin ou un
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électro-aimant, car l'encombrement et le poids de ces organes s'accowaadent mal d'une disposition inclinée et ensuite dans le cas des soupapes à plusieurs voies, car celles-ci sont peu compatibles avec l'obliquité de leur corps.
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L'invention permet d'utiliser le principe d'60tanchéiìcatiOD le plus connu, le plus simple et le plus efficace, à savoir le serrage d'un obturateur garni d'un joint souple sur un siège annulaire. Dans le cadre de l'invention, ce principe reste utilisable dans le cas de soupapes à plusieurs voies.
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Les robinets multi-directionnels de l'invention sont donc très différents dans leur principe détanchif3cation de ceux qui pré- valent actuellement c. à.d. les rotinets dans lesquels un boisseau ou un coulisseau dégage ou obture les fenêtres d'un corps. Ces robinets à fe- nêtres impliquent une construction précise et un jeu minime entre corps et organe mobile.
L'invention. au contraire, dispense de la précision, voire même de toute espèce d'usinage lorsqu'il s'agit de pièces injectées-
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.¯s"esbotte dans l'élément femelle voisin à une profandex ¯ telle qu'en fin de course d'obturateur, le siège assure l'étanchéité recherchée par cooptation avec la garniture souple dudit obturateur. Pour limiter par construction cette profondeur
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d'emboitrasent, la pièce mâle porte une batée qui coopère avec la section terminale de la pièce femelle. Cette coopération se fait éventuellement avec interposition d'un joint d'étanchéité destiné à éviter que le corps ne présente des fuites.
Dans le sein de la famille des pièces mâles, on crée deux sous-catégories de pièces : les éléments mâles d'extrémité dont une des faces présente le siège annulaire en saillie dont question ci-dessus et dont la face opposée est aveugle à l'exception d'un percement éventuel pour le passage de la tige de commande. Ce passage est généralement à garnir d'un joint d'étanchéité.
D'autre part, les éléments mâles intermédiaires qui présentent deux sièges sy-
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étricruement opposés à emboiter dans les deux éléments femelles voisins. Le pas- sage de tige dans les éléments d'extrémité sont à pourvoir des pièces nécessaires à l'étanchéité bourrage, joint torique ou soufflet.
Dans le sein de la famille femelle, on crée de même deux sous-
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catégories caractérisées par la même distinction entre éléments d'extrité et éléments intermédiaires.
En empilant des combinaisons des quatre constituants de base ci-dessus, on constitue des corps à deux, trois, quatre, cinq voies ou plus encore.
On se référera aux figures pour trouver de tels exemples.
Ainsi la fig. I représente en coupe une soupape à deux voies dans laquelle le fluide entre par l'élément femelle d'extrémité 10 que l'on a percé préalablement d'un trou 13 éventuellement garni d'un joint d'étanchéité, pour le passage de la tige coulissante. Le fluide sort par l'élément mâle d'extrémité 20 empilé sur l'élément 10. On remarque la saillie annulaire 21 de l'élément mâle 20 qui s'emboîte dans le creux de l'élément femelle 10 pour venir coopérer avec l'obturateur a dont la face inférieure est pourvue d'une garniture en matière souple.
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On note à la naissance de ce siège ammulaire 21 la présence d'un élargissement périphérique de l'élément mâle 20, qui constitue une butée d'arrêt avec pour premier rôle de limiter par construction la profondeur de l'emboitement et avec, pour second rôle, d'assurer l'étanchéité du corps en écrasant à 1'endroit du contact, un joint interposé. 19
La fig. 2 représente une soupape à trois voies dans laquelle l'entrée du fluide se fait au centre par l'élément femelle intermédiaire II, dans lequel s'emboîtent les saillies annulaires mâles 21 des deux éléments mâles d'extrémité 20 de la pile. L'obturateur 7 de la pile 3 a ses deux faces pourvues d'une garniture en matière souple, chacune de ses faces devant tour à tour assurer une étamchéité.
La fig. 3 représente une soupape qui formellement présente 5 voies mais fonctionnelément est équivalente à une soupape à 4 voies, les deux voies issues des éléments d'extrémité étant normalement connectées ensemble à la méme tuyauterie ou à la même bâche.
Les fig. 4 et 5 illustrent d'ailleurs schématiquement l'usage de la soupape de la fig. 3 :celui-ci consiste à inverser le sens du flux dans un organe récepteur 17, par exemple un vérin hydraulique à double potion, ou encore un filtre à nettoyer à contre-courant.
Dans la ±îg. 4 la tige coulissante est en pcsitbn basse et le flux-parcourt l'organe récepteur de haut en bas. La fig. 5 correspond à la position et au mouvement inverse. Reprenant plus en détail la soupape illustrée en fig. 3 on remarque que l'entrée qui se fait par le milieu dans un élément femelle intermédiaire 11 à l'intérieur duquel coulisse un obturateur médian 8. De part et d'autre de cet élément médian 11, on a emboîté des éléments mâles intermé- diaires 22 dont les orifices sont connectés aux extrémités de l'organe récepteur dans lequel il y a lieu d'inverser le flux 17.
Viennent enfin les deux éléments d'extrémité qui sont des pièces femelles d'extrémité IO et qui sont toutes deux raccordées à la même bache ou à la même tuyauterie, le retour du fluide se faisant tantôt par l'une, tant8t par l'autre.
Les disques obturateurs 6 localisés dans les éléments d'extrémité ont une seule face garnie de matière souple, tandis que le disque obturateur 6 de l'élément central 11 possède une garniture sur ses deux faces. De plus, ce disque obturateur 8 est réalisé en matière quelque peu élastique. En effet, on a donné à la distance séparant les butées opposées 21 une longueur moindre que la course de l'ohturateur, de manière à ce que celui-ci prenne à chacune de ses fins de course la forme d'un parapluie.
Cet artifice est rendu souhai- table en raison de la difficulté de positionner correctement deux dispositifs
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de butée placé.. en série et solidaires d'une meme tige. 4--lest pour pallier à cette difficulté que l'on a prévu que l'obturateur 6 est rigide et que l'obturateur 8 8 présente de l'élasticité soit par lui-même, scit par sa liaison 4 la tige. Jans le cas particulier d'applications envisagées aux fig. 3 - 4 et 5, le gradiant de pression ajoute son effet à 3'artifice ci-dessus pour contribuer à l'étanchéité de l'obturateur médian 8 qui est poussé par la pression contre son siège, car son autre face se trouve dans une zone de pression quasi nulle en vertu de sa mise en communication avec le retour 1 la bâche.
Dans les exemples suggérés par les figures I- 2 et 3, le mode d'assemblage adapté entre les éléments de la pile consiste à prévoir des écrous fous
16 analoguesà ceux des raccords unions. L'étanchéité du corps est obtenue par le compression des joints interposés entre éléments sous l'action de ces écrous 16. Ce mode d'assemblage particulier donne à l'installateur la possibilité d'orienter à son gré les diverses conduites aboutissant à un corps de soupape.
Dans le cas des corps 22 qui sont garnis de deux écrous fous 16 l'introduction initiale de ceux-ci se heurte à une difficulté qui peut être résolue par divers artifices parmi lesquels on cite l'encliquetage des écrous derrière leur butée si la Matière de l'écrou présente de l'élasticité,ou encore la réalisation de la pièce 22 avec une de ses butées amovibles à mettre en place après l'introduction des écrous.
La fig. 6 illustre un autre exemple de mode d'assemblage qui est plus particulièrement adapté aux soupapes -le petite section. La soupape de la fig. 6 est dans son principe analogue à celle envisagée aux fige 3 - 4 et 5, mais les éléments constitutifs, au lieu de présenter un orifice taraudé femelle, sont pourvus latéralement d'une tubulure mâle conformée soit en téton porte-flexible, soit avec un filet male. Le dispositif d'assemblage de la pile consiste en un tube extérieur 13 muni d'une fente latérale suivant génératrice. Cette tente existe depuis la section terminale supérieure du tube mais s'arrête avant la section terminale inférieure. On peut ainsi introduire la pile des éléments en alignant leurs tubulures suivait la fente.
Le tube 18 est pourvu de deux bonnets terminaux 17 dont le vissage a été fait pour comprimer les joints d'étanchéité interposés entre les éléments consécutifs de la pile.
Si l'on devrait utiliser des modes d'assemblage irréversibles, le collage ou la soudure par exemple, on enfermerait les obturateurs dans des cage% dent il ne serait plus possible de les extraira
Les garnitures souples de* obturateurs s'usent peu m raison de la nature de leur fonction et l'indémcntabilité signalée be constitue pas un incom- vénient dons la majorité des cas.
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L'avantage de l'invention réside essentiellement dans le cout peu élevé des éléments constitutifs fabriqués en série sans usinage de précision. La réduction du nombre de ces éléments à quatre pièces de base joue en faveur de l'invention dans le cadre de laquelle il est pourtant loisible à 1*utilisateur de créer des pièces supplémentaires dérivées. par exemple, des pièces d'extrémité spécialement conformées pour le passage des tiges de commande et pour les accessoires d'étanchéité, bourrage, joint torique ou soufflet qui sont souhaitables à l'endroit du passage de la tige.