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-La --présente invention concerne principalement des perfectionnements aux circuits de choix d'un appareil dé- crit antérieurement par le demandeur. Les perfectionne- ments concernent un procédé nouveau de réglage des limites des circuits à seuils qui, à leur tour, commandent l'opéra- tion de choix.
Plus spécifiquement, l'invention cencerne un circuit de choix pour un dispositif analyseur de particules à orifices multiples comprenant plusieurs canaux, et dans Lequel on améliore la validité des résultats parce qu'on prend en considération l'écart entre les comptes de particules d'un canal à l'autre et aussi l'écart des résultats de chacun @ @ port à une moye nne approchée.
Un outil fondamental pour l'analyse des articules est celui que l'on appelle aujourd'hui un "compteur de Coulter". Dans un tel dispositif, un trajet d'écoulement microscopique est établi pour une suspension de-particules dans un diluant convenable. Un tel trajet d'écoulement peut être fourni par un orifice minuscule pratiqué dans une plaquette fixée dans la paroi d'un tube de verre, et plongée dans une certaine quantité de la suspension contenue dans un vase de verre. Au moyen d'un dispositif convenable de manipulation de fluide*,on dose le débit la suspension à travers l'ouverture, en sorte d'obtenir une mesure précise du volume de suspension qui a traversé l'orifice.
En même temps qu'a lieu cet écoulement, on produit dans l'orifice
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un champ électrique en utilisant des électrodes convenables qui sont reliées à un détecteur sensible à tout changement du caractère électrique du liquide à l'intérieur de l'ori- fixe. On a trouvé que le changement du caractère électrique est de très près proportionnel au volume et, par suite, à la dimension de la particule qui le traverse.
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Le circuit de choix exposé ici est-S=rapport'er"E" trois canaux comportant chacun un .-erific-e d 1-enalyse et- des - éléments-accessoires correspondants. Spécifiquement, 'il
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y a trais-e$nauu3c-ind3quéa par-A..B t vs on peut envisager u**e permutation de trois paires Job, AC et-BC---Si l'un des canaux donne un compte -erroné en raison d'un blocage de- -son
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orifice, la différence entre les omptas-es canaux aéra considérable pour deux paires et sera minime ¯pour la troisième paire.
Manifestemerit, la troisième paire îndiquelea . xx #s.iWs, de telle sorte qu'au 0yen de circuits de logique. il est passible d'éliminer du circuit le canal anormal et de faire passer les comptes des deux autres à un dispositif établissant -une moyenne--
On peut relier des amplificateurs différentiels aux
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canaux respectifs et trois de ces ampl3fi-catsurs -auff.sant pour couvrir les permutations des paires- Comme il doit y avoir une limite pratique au champ de variations admissibles
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des signaux de comparaison, un circuit#a-sel fait suite à chaque amplificateur. -On règle le n1l!;
eji1L..seniJ... à une certaine valeur dont on discutera en détail dans la suite, et c' est à cette partie du circuit de choix que -se rapporte
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particulièrement l'invention. <3iaquef&ig que le signal de comparaison dépasse ce niveau, le fait sera indiqué par l'éts
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du signal de sortie du circuit à seuil. Des éléments de logique perçoivent les signaux de sortie des circuits à seuils et---font fonctionner des commutateurs qui font passer les' signaux de comptes totalisés au dispositif qui établit la moyenne.
S' les systèmes de particules que l'on soumet au comptage varient dans leur somme sur des gammes éten- dues, il peut arriver qu'un réglage manuel des niveaux de seuil conduise à une inexactitude sensible, à moins que les niveaux de seuil soient règles si bas qu'un nombre excessif de déterminations soit rejeté. On considérera --'eux cas extrêmes pour représenter ce point.
Si l'on utilise l'appareil pour compter des particules dans un système dont le nombre total de particules comptées au cours de la période de comptage soit en moyenne de 50.000 et si la différence entre les canaux A et B est de 500 particules, la différence ne représente qu'un pour cent du compte moyen et les deux iniormations statistiques seraient certainement acceptables en sorte qu'on serait disposé à les faire intervenir toutes deux dans le calcul du nombre moyen de particules dans les échantillons soumis à la césure* Si,cependant, on utilisait l'appareil pour cempter des particules dans un système dans lequel le nombre total des particules comptées dans la période de comptage est d'en moyenne 5000 particules,
et Si il y a entre les canaux A et B une différence du même nombre de particules que dans le premier ces, à savoir de 500 particules, la différence des comptes est alors de dix pour cent et on n'acceptera pas volontiers les deux comptes pour en faire la moyenne.
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Manifestement, alors, un niveau de seuil fixé ré- pondant à une différence totale entre comptes sana considé- ration de la valeur moyenne du compte est une source po- tentielle d'erreur et d'inexactitude si la différence est trop grande et diminue l'intérêt de l'appareil si elle eet trop petite.
On a trouvé que si les niveaux des circuits à seuils du dispositif de choix sont réglés suivant une fonction parabolique qui dépend de la valeur moyenne des comptes soumis-à comparaison-, on cbtiendra les résultats statis- tiques optimaux. Le nombre des comptes rejetés sera minimal et le nombre des comptes utilisés sera maximal. L'invention envisage ce procédé de commande.
La fonction parabolique en question est : (1) eo = K e1 où eo est le signal de sortie du circuit parabolique. ei est le sigual d'entrée du circuit parabolique.
K est une certaine constante.
Ainsi, si-les circuits paraboliques reçoivent leurs signaux d'entrée des signaux dé comptes totalisés de canaux et si--- leurs sorties sont relié3s aux circuits à seuils, les niveaux des seuils varient en fait comme l'écart des différences basées sur des facteurs que l'on décrira.
A propos de l'écart mentionné ici, on se réfère à une-valeur ou à un indice statistique s que l'on utilise dans la construction des circuits pour obtenir le choix nécessaire par le réglage du niveau de seuil. Cet indice est en rapport étroit avec un indice connu en statistique sous le nom "d'écart-type" permettant de prévoir où se
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situera, par rapport à la moyenne vraie, une mesure donnée d'un système. D'après des études connues, il y a une probabilité de 0,68 pour que toutes les mesures tombent dans l'étendue-de plus ou moins la racine carrée de la valeur moyenne vraie, et de 0,95 pour que toutes les mesures tom- bent dans i'étendue de plue ou moins deux fois la racine carrée de la valeur moyenne--vraie.
Par conséquent, si 11-on- fait varier la limite de tous les niveaux de seuils suivant s, chaque fois que la différence entre deux comptes tombe dans l'étendue de la limite, il y a 68 pour cent de chances pour que les comptes soient valides et acceptables. En por- tant la limite à 2s ou aura des résultats-moins précis, puisque davantage de comptes seront acceptés, bien que présentant des écarts beaucoup plus grands, et il y aura ainsi plus de chances qu'ils en comprennent qui ne sont pas valides.
Une réalisation importante de la ferme d'exécution préférée de l'invention est un appareil qui fait varier les zeuils automatiquement suivant l'indice s ou une fraction ou un multiple de cet indice, en sorte que l'appareil fasse un chcix automatique pour avoir le maximum tie résultats valides quelle que soitla variation de la valeur effective du vrai cospte de chaque système de particules soumis aux mesures. Un tel appareil peut prendre différentes formes comportant des circuits de commande parabolique.
Pur conséquent;, 1'Invention procura un procédé da ,choix peur améliorer le comptage des particules, comprenant les étapes consistant à ; faire passer les particules par plusieurs canaux logiquement en parallèle, détecter le passa-
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ge de chaque particule à travers son canal respectif, faire
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le comptw#cta1 des particules dans chaque canal, comparer différentiellement le compte de#particules -de chaque canal au compte de particules d'au moins un autre canal, et elle se caractérise en ce que 1'nn réond à au moins la prie- mière comparaison différentielle dépassant une limite de réponse variable, en ce qu'on règle cette imite de réponse
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variable en fonction de l'écart mesure relati.1',
u compte total de particules d'au moins un. canal, en ce .qu! 011 re- jette le compte d'au moins le premier canalqui fait qu'aune comparaison différentielle dépasse la limite de réponse variable, et en ce qu'on fait la moyenne, en tant que lec-
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ture finale, des comptes--totaux ans les canaux qui n'ont pas été ainsi rejetés.
L'invention prévoit encore l'emploi d'un appareil de comptage de particules dans lequel il y a au moins trois
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canaux porteurs d'impulsions discrètes engendzéed en ré- ponse au passage de particules par un trajet resserré de courant électrique, de sorte qu'en fonctionnement normal,
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chaque caLal totalise sensiblement 3-a même conte d' impulsions, respectivement ;
un système de choix pour détectel un sompte anormal de la part d ''U...'I1 quelconque des canauxpar comparaison avec les autres et pour-rejeterjle compte anormal 9 le systeme de choix comprenant ; un circuit tota-
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lisateur de comptes d'ispulsiosE.
monté dans chaque canal et arrangé pour fournir un signal de compte totalise correspondant, pusieurs comparateurs différentiels raliés chacun 8sociés à au soins un circuit totalisateur de compta d'impulsions dans un canal spécifique et relié aussi à au
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moins un autre circuit totalisateur de compte d'impulsions dans un canal différent et au plus à tous les circuits totalisateurs de comptas d'impulsions, caractérisé par le -.fait que chaque cosparateur différentiel a une limite de réponse variable et est agencé pour donner un signal de comparaison entre le signal de compte totalisé dans son canal spécifique et le signal totalisé des autres circuits de totalisation de comptes -il 1 impulsions qui ysont relies,
un réseau d'établissement de moyenne de signaux , relié aur circuits totaliseurs de comptes d'impulsions ,un circuit de commutation intercalé entre chaque circuit totalisateur de compte l'impulsions respectif et le réseau d'établisse- ment de la moyenne , et agencé pour déconnecter son canal du réseau d'établissement des moyennes lorsque ce canal donne lieu à un cempte anormal , des dispositifs de logique électronique répondant à aux signaux de comparaison pour ac- tionner le circuit de commutation dudit canal spécifique lorsque ce canal produit un signal de compte totalisé qui diffère anormalement du signal de compte totalisé des au- tres circuits totalisateurs de comptes d'impulsions ,
et un réseau de circuits pour faire varier les limites de réponse des comparateurs différentiels en fonction de l'écart mesu- ré par rapport au signal de compte totalisé d'au moins l'un des circuits totalisateurs de comptes d'impulsions dont il est question.
Les formes de réalisation préférées de l'invention seront décrites présent à titre d'exemple, en se référant aux dessins joints au présent mémoire, sur lesquels :
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Figure 1 est un schéma fonctionnel représentant un dispositif de choix avec des limites-de réponse de compara- teur différentiel variables,.suivant l'invention, le circuit,¯ dans leprésent exemple,. utilisant trois réseaux ou circuits à caractéristique parabolique pour régler les limites de réponse des comparateurs différentiels.
Figure 2 est un graphique représentant le fonctionne- ment d'un circuit de la forme générale que représente la figure 1. figure 3 est un schéma d'un réseau dont la caracté- ristique simule étroitement une caractéristique parabolique ou s'en approche, ce réseau convenant pour être utilisé dans le système suivant l'invention dans les cas où l'on a besoin d'un réseau parabolique.
Figure 4 est un graphique de la tension d'entrée en fonction du courant dans le réseau de la figure 3, montrant la synthèse de la caractéristique finale qui est représentée à la figure 5.
Figure 5 est un graphique ::le la tension d'entrée en fonction de la tension de sortie du réseau de la figure 3, mais représentant seulement la caractéristique combinée; avec courbe idéale,théoriquement,de la fonction parabolique éga- lement représentée pour montrer la validité de la simuletion.
Figure 6 est un schéma fonctionne. semblable à celui de la figure 1,montrant une autre- forme de l'invention, le système utilisant dans ce cas un réseau de circuit para- bolique unique pour régler les limites de réponse de tous les comparateurs différentiels.
Figure 7 est un graphique représentant le fonctionne-
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ment d'un système de la forme générale représentée à la figure 6; et
Figure 8 est un schéma fonctionnel fragmentaire d'une partie du système de la figure 6.
Le but de 1'invention est de procurer un système ou un circuit qui réponde au compte totalisé considéré pour établir si la différence entre deux comptes est normale ou anormale. L'explication des formes de réalisation préférées donnée sans discussion de la théorie pourrait conduire à certaines incompréhensions des définitions et des expressions utilisées ci-après. Par suite, la discussion préliminaire qui va suivre visera à établir la théorie du système, mais peut être considérée également comme précisant la terminolo- gie utilisée.
Censé l'appareil que l'on utilise est construit prin- cipalement pour coopérer avec un "compteur de Coulter", les opérations réalisables avec un compteur de Coulter sont importantes. Des particules qui passent à travers l'orifice du compteur de Cculter font l'objet d'une analyse et produisent des signaux détectables ui sont proportionnels à la dimension des particules respectives déplacées à tra- vers l'orifice et produisant ces signaux. Ces signaux peu- vent être utilisés de deux façons :ils peuvent être comptés cu peuvent être césures. Due combinaison de ces deux emplois peut être réalisée par l'emploi de circuits à seuils.
Le signal de sortie est commandé par les circuits à seuils pour accepter ou rejeter des impulsions d'amplitudes variables pour obtenir une distribution des dimensions ou une conclu- si on analogue. Dans l'appareil que 3 on expose, le seul
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produit du compteur de Coulter qui intervienne est le comptage des impulsions. Par conséquent, les schémas fonc- tionnels représentent à leur gauche des entrées qui commen- cent avec des signaux de compte , sans aucun rapport avec les dimensions.
On considère particulièrement un appareil qui fait emploi de divers orifices au lieu d'un seul. Lorsque l'un des orifices d'un groupe d'orifices non surveillés se bou- che ou commence à produire des signaux parasites.il doit être statistiquement et logiquement isolé. Des groupes d'ou- vertures d'exploration ou d'analyse sont utilisés pour dimi- nuer le temps d'analyse pour donner plus de fiabilité et de meilleuresvaleursstatistques, tout cela étant important dans un équipement automatique.Comme l'invention ne concerne que le comptage, on peut supposer que les groupes d'orifices dont il est question ici comportent des orifices de dimen- sion toujours la même .
Egalement, chaque orifice est relié à un circuit détecteur qui a très-approximativement même capacité électronique que les autres détecteurs. Le terme de dispositif producteur de signal comprend les orifices avec les circuits détecteurs qui leur sont atta- chés.
Comme un signal de totalisation ae compte constitue le meilleur type de caractéristique électrique que l'on puisse lire facilement au moyen d'un dispositif électrique, et comme ilappareilknvis-agé ici ne concerne que le comptage. il faut un certain système préliminaire au dispositif.d'établissement de la moyenne* pour convertir la chaîne d'impul- sions qui arrivent continuellement en un signal de compte
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totalisé.
Dans le présent exposé, ce système sera représen-
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té par un bloc simple (le bloc da "c6mptxge des impuîsions--t- et son signal de sortie sera un signal de compte totalisé,
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c'est-à-dire une tension qui sera proportionnelle au compte totalisé des impulsions obtenues du dispositif producteur de signaux. Le signal de compte totalisé est analogique, alors que le compteur de Coulter typique fournit un signal de sortie digital à ses compteurs. Si les impulsions sont toutes écrêtées à une amplitude constante et passent à un intégrateur utilisant un circuit de pompage, l'intégrateur accumulera une charge proportionnelle au nombre des impul- sions. Cette charge, divisée par la valeur de la capacité
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dans laquelle elle est acculée; donnera le signal de tensi-on-désirée.
Si le débit de la suspension à travers les erifices est constant et égal, la tension de sortie de tous les intégrateur? sera sensiblement égale à tout moment et
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au&nenra linéa2remnt. Cette 3itUBtC est figurée par iP3 e3r&=atiqes =yen5 ,. sâ ., 't 4 ' A.4y cr ls graphiques et os la. 't6 . es 3!3.il an9 la. ... '.
'Dans la présente ie::!r..'1e!l le sat 'Scana1.'I!:te possède .3uc-une .''.'a''.:."wé3,w' "'6' ,le di:r:ens:l.o.r..s os de gausse. On .x.2'G3.¯ # ze 1ans sess large por signifier le trajet entier d'in- '?' '.''t pour x: . r;. 2ospte"& "partir de l'orifice et en '*cpstiTS3K:'&-?s" :!-"!"'!ece!U'":;- les '3pli.!i.;:a'!!u's. le circuit de totalisation de compte d*isp-2ls:.'5Ea les lignes de connexin et f:Lnalement le passage 2-â di3?o3itir qui établit la moyenme. 0n se reférara 1.:
i 10± Sas dispositifs-de connutatioa et à des cir=uits de crht3t1Jn et il y aura l'un de ces circuits relié entre 2.e sireuit de totalisation d" compte
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d'impulsions et le circuit qui établit les moyennes ,en série avec celui-ci, en sorte que l'on pourrait dire que
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le dispositif de commutation est relié au canal et commande le canal Il y sura autant de CE-naux-que d'orifices et autant de signaux de comptes totalisésque de canaux.
Pour des orifices multiples, les signaux de sortie sont ramenés à une moyenne pour obtenir le compte moyen par
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canal. Par conséquent, les signaux de comptestotalists sont appliqués directement à un dispositif de réalisation de moyenne et le signal de sortie de celui-ci constitue la moyenne de tous les canaux.
Pour réaliser le choix, il est nécessaire d'établir des signaux de comparaison qui actionneront les circuits de choix. La nature de ces signaux sera décrite dans la suite, mais ici, on donnera une définition du terme "comparateur différentiel". La fonction du comparateur différen-
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tiel est d' exaine ,es--s. aazz de :;pte partir des circuits de totalisation de #.'s.y^s'y^rw.T:..T.'8 et din1isuer la '1'LâPt^z entre eux pour permettre l'exécuticn du choix. LEF ccnparsteur dielfére--tzel est a-jnté de l'une -ie deux:façons B.ifférentes-t#mais#lg'T'ésultat final vise à produire un signal de comparaison . Dans une forme de =4alisatics,considérant des groupes de trois canaux, chaque paire des paires de pe fitvF3t.0 ."s est reliée t X entrées d'us de ces comparateurs.
Ces connexions se fost d4à.--ec',emen:.- avec les circuits de totalisation de comptes d'lo::pul-sions.. Dans une seconde forme de réalisation, chaque canai est relié à un conducteur des comparateurs respectifs et l'autre conduc-
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teur 4 * entrée de chaque comparateur est ra.i- â un dispoa1-
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tif d'établissement de noyenne qui fournit un signal de
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compte moyen obtenu à partir de tous les canaux. l'éta'bl-issennent de la moyenne peut être indépendant du dispositif
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d'établissement de moyenne des sorties ou peut être réalisé en reliant les secondes-entrées de plusieurs comparateurs au dispositif de moyenne des sorties..
Les comparateurs exposés ici sont constitués de pré-
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férence de deux éléments principaux , s un amplificateur différentiel et un circuit à Ilamplîfîcateur étant capable de produire un sàgnal ào* sortie directement proportionnel à la différence absolue entre se-s deux entrées.
Ainsi, l'amplificateur est appela propreEest un générateur de :gnal-diff4enti1. La. rolir que deux canaux aient précisésent le réne -9i1Lal àe est très faible; cepeacast, il est essentiel qu'il y 7!;-ne certaine gance de diffêrecesntre Ies sicsaux.qNp comme -z*.nl-11-e-f,---,S"--,te pour justifier le rejet de l'un ou l'autre Jes #gymrgz, Ce-si pst aisoà par le à seil àJrf le 7'?& de -s*uil"Est z.<Ù,zlG ;.o'sr 'iser le sisal de or.psrason >:E-c=F>aiz e qui dt3i¯le lonc-1-e di;.ii=,r-iit- àe ch#ix. Il doit =¯i avc'lr ùr n4canisre qui change la liite 1e p02e. Ce c's.1 éci9 st le circuit à-serll D n on peut sodifier "L ar- i -?, E3 Dans l'appareil que lf 8zosra i c31 7 a, Z7 s3ilil sçut réglés autO!iati'1:?!rt 5:::! sse dei Bignaujc de CGZ2p-te des canaux.
Cn ;a#ilii? '.'s cirsoeàit pour oalcsier la 7a.leur de s ( écart .ne) et le signal de sortis àe ee circuit est utilisé alors peur àir; Tarisr 1= seui2e ?ar suite, l'équatios de la tonction e-e (1)d;J#imée. ci-dessus d0vie (2) t.tÍ1 = Y. - --####--###-- ¯
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-où eth est la tension'appliquée au circuit à niveau de seuil pour faire varier sa réponse, s est approximativement égal à la racine carrée du signal de compte totalisé-ou d'une moyenne de deux ou de plusieurs signaux de comptes totalisés,et
K est une constante.
Dans les schémas fonctionnels, on constitue un réseau de logique électrique de trois éléments logiques ET. Les circuits à seuils produisent des signaux de sortie seule- ment lorsque leurs limites de réponse respectives sont dépassées. Cela signifie qu'il n'y a pas de signal de sortie provenant d'un circuit à seuil quelconque lorsque les deux entrées à l'amplificateur différentiel qui le dessert sont sensiblement égales ou suffisamment proches l'une de l'autre pour que le signal de sortie de l'amplificateur ne dépasse pas-la limite de seuil. Le signal de comparaison provenant du circuit à seuil sera une tension représentant une grande différence entre les signaux de comptestotalisés.
'L'absence de tension à partir du circuit de seuil est éga- lement une torse d'un signal de comparaison puisqu'elle signifie-que les conditions sont acceptables. --¯ Les circuits logiques considérés ici seront supposés être -ordinairement basés sur une logique positive ,en utili- sant des portes ET et OU , mais il sera compréhensible pour les spécialistes que l'on peut construire des..dispositifs- équivalents utilisant des portes NON-ET et NON-OU' , une logique négative,et des dispositions hybrides.
En se reportant maintenant à la figure 1, et au graphique de la figure 2, le schéma fonctionnel de la figura
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1 représente une torse de réalisation préférée de l'inven- ticn ,qui utilise trois canaux en paires permutées pour commander les limites de réponse-des comparateurs diffé-
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lî>.tifl13. Les canaux sont indiqués par A, 1) êt C.
Des signaux jie compte sont appliqués aux bornes 21, 22 et 23 tt BDn-App2iqués à des --ircuizs totalisateurs de-comptesd'impulsions 24, 26 et 28 ,respectivement, chacun d-esservaut un cana1 -3n-suppoSHn que chaque circuit de totalisa- tion de-ompte fournisse un signal de sortie qui ne diffère pas sensiblement des autres signaux de sortie, les signaux
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.ce cowptestctalixés seront des tensions apparaissant sur- les lignes--30, 32 et 34 respectivement, et apparaitront éga-
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lement mir les signe:? de connexion 36, ;8- et 40, respectiveant; qui passent par les circuits de cotrmutation 42, 44 et 46 respectivement.
Tous les commutateurs sont fermés pour permettre que leurs sorties sur les lignes-48, 50 et 52
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rr#pectivemeni soient appliquées à un dispositif de réali- sation de moyenne 54. Le dispositif 54 constituant la moyenne est montré ici commeune simple matrice formée des résistances 56, 58 et -60 ayant cloutes une borne de sortie commu- ne 62 où apparaîtra la tension de compte totalisé moyenne des trois canaux A, B et-C.
Le fait que tous les circuits de commutation 42, 44 et 46 soient fermés suppose que toutes les parties des circuits de comparaison et de choix ont trou-
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#vé#deTB-etditions acceptables
A la figure 2, les deux quantités qui sont reportées sur le graphique sont le temps pour l'axe horizontal et la tension pour l'axe vertical. Le graphique est destiné à ex-
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pliq1:er le fonctionnement du système de la fgure 1. Pour la
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simplicité, seuls les signaux de comptes totalisés des canaux
Ait B seront décrits.
Le fonctionnement continu acceptable des canaux conduit à une augmentatipn graduelle du signal de compte totalise le long de la ligne droite 64 qui com- mence par to, c'est-à-dire le temps de départ ou de dé=arra- ge d'un compte , et se continue jusqu'au temps tf qui marque la fin û'une période de comptage. A 1*instant tf, un certain dispositif de lecture répondra à la tension à la home 62 et l'appareil sera remis en état pour un au tre cycle. Si aucun des-trois canaux ne devient anormal, par exemple parce qu'il serait obturé, ils suivront tous la ligne 64. Si ceci représente la tension à la borne 62, on aura une ligne unique,théoriquement parfaitement linéaire, sauf pour les petites fluctuations dues à l'arrivée au-hasard des impul- sions de'particules.
Si cela représente les tensions sur les lignes 3C, 32 et 34 , les valeurs seront très proches les unes des autres et les lignes varieront très légèrement, si 'toutefois elles varient.
Si un canal fonctionne et 'si la suspension des particules dans un agent diluant se déplace à travers l'ori-- fice-à une vitesse constante, les impulsions qui seront produites se totaliser:nt à vitesse sensiblement constante-
Ceci est manifestement un type normal de situation et le signal de compte qui en résulte est évidemment normal- Si un tel canal vient à être subitement bloqué, et si l'écou- lement du liquide s'arrête, le signal de compte restera à la valeur qu'il avait à l'instant antérieur au blocage. Le signal serait ainsi anormal et, au lieu d'augmenter suivant une fonction linéaire, il resterait constant.
Il se peut que
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quelques particules soient entraînées à travers l'orifice et que coci élève légèrement le compte totalisé mais,la compte ne sera pas normal, puisqu'il s'écarte radicalement de ce qu'il devrait être si l'orifice était totalement dégagé .
A la figure 2,à l'instant tp, on suppose que l'ori- fice du canal 3 s'est bouché, mais-non point totalement.
La ligne 66 représente la façon dont le signal de compte provenant de ce canal augmente en valeur et ,cassa on le verra, c'est une ligne qui n'est pas teut à fait horizontale mais qui présente une pente positive représentant le fait que certaines particules passent à travers l'orifice- Il est manifeste que ce signal est anormal.
Retournant à nouveau aux figures 1 et 2, les lignes 30,32 et 34 sont reliées également à une borne centrée de chacun des trois comparateurs différentiels 68, 70 et 72 respectivement. Le comparateur 68 compare les signaux provenant des canaux A et B ;le comparateur 70 compare les signaux provenant des canaux B et Cet le comparateur 72 compare les signaux provenant des canaux A et C. Une ligne 74 s'étend à partir de la ligne 32 vers la seconde borne d'entrée du comparateur 68 ;une ligne 76 s'étend à partir de la ligne 34 vers la seconde borne d'entrée du comparateur 70 ; et une ligne 78 s'étend à partir de la ligne 30 jusqu'à le seconde entrée du comparateur 72.
Un amplificateur AB 80 a sa ligne de sortie -82 reliée à un circuit à seuil AB 84. La. sortie provenant du circuit à seuil est reliée par une ligne 86 à un réseau de logique de choix 88. De même, il y a un amplificateur BC 90 dont la
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ligne de sortie 92 est reliée à un circuit à seuil BC 94 dont la ligne de sortie 96 s'étend jusqu'au réseau de logi- que de choix 88. Egalement, un amplificateur AC 100 a sa ligne de sortie 102 reliée par l'intermédiaire d'un circuit à seuil 104 à une ligne 106 reliée au réseau de logique de choix 88.
Des lignes croisées 98, 108 et 110 sont comprises dans les connexions au réseau de logique 88, comprenant encore trois portes ET 112, 114 et 116, dont les lignes de sortie 118, 120 et 122, respectivement , s'étendent aux circuits commutateurs 42,44 et 46.
Le fonctionnement du réseau de logique 88 est fonda- mentalement le suivant:
S'il n'y a pas de signaux de sortie sur les lignes
86,96 et 106, il n'y aura pas d'entrées à l'une quelconque des portes ET et aucun signal sur les lignes de sortie 118, 120--et 122. Ainsi, les circuits de commutation 42,44 et 46 resteront dans leur état normalement fermé. Les signaux de comptestotalisésprovenant des canaux seront ramenés à une moyenne et cette moyenne apparaltra à la borne 62. Si l'un des canaux devient anormal, il y aura un signal de rence important dans chaque comparateur auquel ce signal a participé. On supposera que le canal B devient anormal, et que les canaux A et C respectivement restent normaux.
Par suite, il n'y aura pas de signal sur la ligne-106 puisqu:il n'y a pas de différence sensible entre les entrées allant au comparateur 72- Les lignes 86 et 96 auront un signal de sertie puisque le canal anormal B est comparé dans les deux cas à l'un des autres canaux pour produire ce signal de sortie. Par conséquent, seule la porte ET 114 recevra des
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signaux sur ses deux entrées 96 et 98 et par conséquent, il y aura une sortie autorisée sur la ligne 120 seulement.
¯En conséquence, le circuit de commutation 44 sera ouvert et le canal B sera logiquement en circuit ouvert en sorte que sa résisttance 58 'ne soit pas active pour produire le signal de moyenne qui se présentera la borne 62.
De préférence, les amplificateurs 80,90 et 100 sont des amplificateurs différentiels absolus produisant un signal négatif ,quelle que soit la polarité de la diffé- rence entre les deux signaux appliqués à ses entrées. Les
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n:1'teaux de Heuil des circuits à .seuils84, 94 et 104 sont eczn;*nd6s suivant le2 oignaux de cerpte totalisa moyen de Ieux canaux dan3 chaque cas.
Le circuit à seuil AB 84 a son nivenu coma-td;5 p= sa réseau parabolique 124 dont l'entrée est sur une lisne 126 et dont la sortie est sur une ligne 128. la ligne d'entrée 126 va à une borne 130 qui
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p'5& située entre les 60i3tenee dIdtablî3cement de soyenne 25± %t ÎJ4 re'14e-J respeatives:GEt ax lignes 30 et 32. ainsi, Îà ci""'? '30 I± 1"- <-'. i?1.3 tùflt"3J± QIZÀ ?.'3 :la *y<sx6 '1.:'Si ?ig'#J;ù-> .li<> 2o:--3tTt?li3c'' les lignes J0 et 32.
D* façon -par, ' 's@ >à=a b-*liz:#e 13Ô 1 a licne 1; z±<rtie 7Jc àô#3iàa pc'r 's3T"2Rer l? 17±.Jea#= '2îï -irc'ait-à- se:xil- -9=, -53 "i.y:? tï'ssye lAµ :-e2i4¯ ;==e Î=oJrne 42 et 1=s ré;7itoee#>-J d*ét81i8?'3?at i-e ccyasse 144 ,et #46 rai14ee n.-Maii±T"? 32 ot - ,r-3s?'xt?'Eent ±2&T fair la des i-id.,p;z::=; .ie .>x>.t<r.:t.;t>iiaàcdo> éiJ#3>;x ii et Un yara- %, 0 -1" 4- qa e '*<&3 eor-"33e I'? ni=<3r;u da circui t à seuil lei-4 par : f:)r::0dii!"c 1;, :la Zimo--Jc iôr3ie l'a et a 3S ligne d'entiée 15Z rei14e à *!B-s rne d'étab3issenent à* moyenna
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de signal 154 qui se trouve entre les résistances 156 et 158 reliées respectivement aux lignes 30 et 34 pour faire la
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moyenne f)p'=' signRuT ÀEL c=Lp-",4,es-totali- iésdet canaux A et C.
On considérera à présent un circuit parabolique typi- que, ± la figure 3, il est représenté comme un circuit simple qui simule une fonction parabolique avec l'exactitude suffisante pour les buts de l'invention. Une borne de gauche 160 pourrait être reliée à la ligne 152 de la figure 1, auquel cas une borne de droite 162 serait reliée à la ligne 190 également de la figure 1. La tension de signal à la borne 160 est la tension d'entrée ein et la tension de
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sortie eo appariait à la borne àâ. Ces tensions sont les - 31g;.e¯s que¯celles¯dont il est question dans l'équation. (1).
Si l'on engendrait une courbe parfaitesent paraboliques la caractéristique des tensions d'entrée et de sortie appa- raitrait comme la ligne en trait plein 164 montrée au gra- phique de la figure 5. La partie principale du roseau para-
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bolique est à gauche d'un ,. "'' :.3 ",E"-.'e." à réaction '!6? , entre les barn'5S :t8 et 160.
Il y a trcis zoura.-,.s qui se combianpÓ1rr-cQn3tituer le c cursus': total 1, s'±=ou#a=-t vers la droite de la borne V6Y .un ccurant i1 exis-tant dans une branche supérieure à travers une résistance 170, un courant i2 existant dans une branche centrale à. travers une
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résistance 172 et nn-co#gçj 1, Pxists#'E. dans la branche inférieure passant à travers uns résistance bzz. ùne r ésis- tance 176 est reliée à une orne ?78' qui. est en connexion avec la résistance 172 et une diode D pour aller à une borne 180. Par les résistances 181 et 182,la borne 180 est reliée à une borne 183 et à une source de tension +V, respectivement.
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La borne 183 est reliée à la résistance 170 et en outre à la terre à travers la résistance 184. La tension à la borne 162 est le produit-de la résistance de l'amplificaleur à réaction constituée par une résistance 816, et du courant it,
Les -valeurs des résistances d'un circuit parabolique pratique suivant la figure 3pourraient être : 170 37.4CO ohms 184 270 ohms 172 360.000 ohms 182 390 ohms 174 500.000 ohms 184 -27 ohms
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176 50.ûoo ohms 186 37.400 chns
La résistance apparente à la terre depuis la 'borne 168 est maintenue à une valeur extrêmement faible par le trajet de réaction traversant la résistance 186,en asscciation avec le .gain important de l'amplificateur 161.
L'entrée à cet amplificateur se présente sous la forme de
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des courants 1 qui SI- réponse sorrxe des co=aù.xuts 119 3 qui tcoulent en réponse à 1a tenaicx; aux résistances- j10. 172 et 174 res- ;ti7et. Cc -la résistance pro%iennide la c-OETse 'S68 la *srrs est n4gligeable en cosparaisciR calle es rué- *i=36aL<ies 170, 72 et 174, l'extrémité de droife--ài&--fhaemm=es peut tre conaidêrée co-.7-e mise à la terre et les ceurants qui s'écoulent dans les résistances sont égaux au quotient des tensions aux bornes 183, 178 et 160 par les des résistances 170, 172 et 174 respectiveCes courants sont mentrés par les lignes de la .figure' 4.
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Le Qura."1-:; -eûnstant 1, établit le niveau de départ du circuit au-dsssna de la ligne de base , en soe-qa:1 y
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ait toujours une tension de sortie même lorsque le niveau d'entrée de tension ein est nul. Pour les faibles comptes, des niveaux de seuil faibles conduiraient à un rejet con- sidérable de signaux des canaux , et par suite, il y a un avantage particulier à utiliser le réseau simulateur para- bolique en dehors du fait qu'il s'adapte plus étroitement à la courbe parabolique vraie.
Le courant i2 pour de faibles valeurs de la tension d'entrée, est égal à la tension d'entrée divisée par la ré- sistance totale des résistances 176 et 172. La diode D est polarisée en sens inverse pour cet état de choses. la tension à la borne 178 est égale à la tension d'entrée telle qu'elle est atténuée par l'action du diviseur de tension de la résistance 172 , divisée par la somme des résistances
172 et 176.
Lorsque la tension à la borne 178 dépasse celle de la borne 180 d'une quantité suffisante pour que la diode D soit conductrice, la tension à la borne 178 s'élèvera, en- core d'une petite quantité seulement puisque l'équivalent de Thévenin de la borne 180 a une résistance presque né- gligeable. Ainsi, la courbe qui représente le courant i2 présente une cassure au point où la doide D commence à conduire.
Au-delà de ce point, le courant i2 est simplement égal au quotient de la tension %. la borne 178 ( qui est à peu près égale à la tension à la borne 180)par la résis- tance de l'élément 172. --- - les courants s'ajoutent pour fournir le courant i5 qui aura une caractéristique semblable à la ligne courbe brisée de la figure 5, en commençant par une tension de sortie qui est sensiblement supérieure à zéro à une valeur
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200 , qui est positive de quelques volts. la première partie de la courbe est indiquée par 202 ,la second:
partie
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par 204 , J avec-..tm-,:cude ou changement de pente 206, -se .......1oduiS8L't au mme point dans le temps que le c.i:1.a..."lgem.4-t de pente ,de i2 à la figure 4. On n'a fait aucun effort pour ajuster les graphiques des figuras 4 et 5 pour se trouver dur des axes semblables-, -et les illustrations n'ont qu'un but d'explication. Le± deux parties 202 et 204-ne s'écartent pas sensiblement de la courbe parabolique théoriquement par- faite et la tension d'ensemble eo à la borne 162 , qui est représentée par la ligne courbe brisée , est tout à fait satisfaisante pour la plupart-des cas.
les spécialistes de tels circuits observeront que la sortie du circuit de la figure 3 portera un signal négatif pour un signal d'entrés positif et il sera visible aussi que des problèmes quelcon- ques ainsi posés peuvent étre résolus par un circuit in- grseur de signaux.
Considérant à nouveau la fjgure 2, les deux courbea- 108 et 210 représentent des limites de gamme supérieure et inférieure acceptablesdans lesquelles le circuit parabolique répond au compte totalisé de moyenne et où le circuit à seuil a été réglé à des limites qui commandent des diffé- rences qui se produiront dans un signal de comparaison qui rejette ou accepte un état de compte.
Par exemple, les
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canaux peuvent être A et B de la figure 1, le comparateur#### 68 comprenant le circuit à seuil 84et le circuit parabolique associé 124. Lorsque les tensions qui'représentent les comptes totalisés Ces canaux A et b s'accroissent, leur yenne est représentée par la courbe 64 à la gauche de
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l'instant tp. le circuit à seuil 84 ne produira pas de si- gnal de sortie , à moins que l'un des comptes de canaux soit extérieur aux limites définies par les courbes 208 et 210.
Ces limitas définissent la gamme dans- laquelle B doit -se- trouver par rapport à Apour être acceptable. On comprendra que les différences peuvent être provoquées par le change- ment dans l'un ou l'autre canal ,mais que l'amplificateur 80 transformera la différence en signal négatif -qui --passera ou non par le circuit à seuil 84.
----On supposera que les orifices et les canaux A et 3 fonctionnent convenablement jusqu'à l'instant tp. et qu'à ce moment. l'erifice du canal B se bouche, en aorte qu'à ¯ partir de ce -le compte du canal B augmente à un taux anormalement réduit. 'Le signal de compte totalisé de E suit maintenant-la courbe 66. Le signal de compte totalisé du canal A continue suivant la ligne 212 qui poursuit la ligne
64. Le nouveau signal de -compte du canal B se combine au compte du canal A -et produit un signal de compte noyen qui suit une courbe 214. Le circuit parapolique fournira mainte- nant de nouvelles limites celles-ci étant proportionnelles à la racine carrée du compte moyen représenté par la courbe
214.
La différence entre les limites qui existeraient *'il n'y avait pas de-bouchage de l'orificeet celles qui seraient produites en raison du bouchage , est si petite qu'elle est pratiquement imperceptible 11 y a en fait de brusques chan- gements de pente dans les courbes 208 et 210 aux points 215 et 217 par suite du changement brusque de la pente de la courbe 64à l'instant tp.
Ces changements ne peuvent être vus :facilement.- ,même à la figura 2 très agrandie, et par consé- quent, on ne les a pas représentés.
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la moyenne nouvellement établie montrée par la cour- be 214 lait -que les limites changent, la limite supérieure suivant maintenant la courbe 216,et la limite inférieure étant maintenant une courbe 218, Tour une certaine période de temps, ces nouvelles limites ne provoqueront pas la pro- duction d'un -signal de rejet à partir du circuit à seuil, puisque le signal de différence me se portera pas au-delà de la limite , mais à l'instant tr, la courbe de compte du canal
B ,66,
s'écarte tellement de la courbe de compte 212-du canai A(ou de lacourbe moyenne 214 dans d'autres forme? de réalisation) qu'un signal de différence supérieur à la limi- te et un signal de rejet qui en résulte seront produits.
Le système de la figure fonctionne en -comparant des canaux individuels pour obtenir la tension différen- tielle. Cette différence de tension est une valeur absolue et -la limite de seuil se rapporte à la valeur moyenne en raison de la façon dont elle est obtenue. Après que la dif- férence entre deux quelconques des canaux de la figure dépasse la limite de seuil, il y aura une opération de choix, comme décrit précédemment, et le canal anormal , le canal B dans le présent cas, sera rejeté. Le compte du canal A peut encore être traité pour fournir une moyenne avec la valeur d'un autre canal pour obtenir finalement un compte moyen final à l'instant ti.
La figure 6 représente un système qui possède une grande précision et une grande aptitude de commande , en ¯particulier en ce sens que si l'un des canaux ne peut plus¯ fonctionner,et après qu'une anomalie transitoire s e s oit- produite,le système présente une particularité qui empêche la perte complète des données statistiques.
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Les lignes 30, 32 et 34 de la figure 6 sont êtes conducteurs de canaux qui s'étendent partir des circuits de totalisation de comptes d'impulsions tels que ceux mon- trés à la figure 1. Les comparateurs différentiels -de même-- numéro des figures et 6 sont équivalents, et- il 'en est ne méme des canaux désignés par A,B et C. Chacun de ces comparateurs différentiels 68; 70 et 72 a une Limite de ré- ponse variable et peut être formé des mêmes éléments qu'à la figure 1 ,, comme par exemple comporter un amplificateur différentiel à valeur absolue et un circuit -à- seuil. D'au- tres élément-s, parties de circuitset lignes ,peuvent être les mêmes qu'à la figure 1 et avoir les mêmes indices de référence.
Les bornes d'entrée des comparateurs différertiels de la figure 6 peuvent être de deux genres. Dans le pre- mier genre, on peut les arranger, comme montré à la figure 1, avec permutations des canaux A, B et C ; dans ce cas, les canaux auraient un degré d'indépendance qui a été discuté précédemment et le signal de différence engendré par les amplificateurs dans cecas dépendrait des signaux de compte de deux canaux seulement dans chaque comparateur. Le second type est t-el que le montre la figure 6 où chaque canal est comparé avec la moyenne de tous les canaux.
Comme montré, le dispositif constituant la moyenne , 54, possède une borne de sortie 220 à laquelle apparaît une moyenne des signaux de conptestotalisésdes trois canaux, en apposant que tous passent, par les commutateurs 42. 44 et 46. Une ligne 222 relie la tome 220 à chacune des lignes d'entrée 74, -76- et 78 , aux amplificateurs différentiels 80,
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90 et 100, en sorte que le compte moyen es: comparé dans chaque cas avec un compte obtenu à partir de l'un des con- iucteurs de canaux 30, 32 et 34.
Comme toutes les entrées sont comparées avec la mère référence de compte moyen, qui contient de l'information provenant de tous les autres canaux acceptables, le réseau de logique de choix correspondant au bloc 88 de la figure 1 n'est plus nécessaire.
Une ligne 224 relie la borne 220à un .réseau parabclique unique 226, indiqué par , dont la sortie est reliée par une ligne 228 aux circuits à seuil 84, 94 et 104 en pas sant par les lignes d'entrée de commande de limites 128,
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138 et 150, respectivement. Par conséquent, le même circuit parabolique répond %. une moyenne de tous les signaux de cmp¯ tes totalisés disponibles pour établir le niveau de seuil qui déterminera si oui ou non les comparateurs différentiels produiront un signal de sortie comme signal de comparaison.
Cosse le circuit parabolique répond à une moyenne que
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l'en cb)1>xt par la Eosure des annaux ;le cc::ptests::rtali4s-: à 3.n 1:zàt# do "1 '" . "-'''''''' ""<. "'n des , :E?.z ¯"T' les ^ '..r".... tur3 d2744 et 46, . t'.^m'.'" f ? i.".6: un signai de soi fie sur la berne 220 à tous sionents pour le circuit parabolique pour J 'al iâ un niver..t: de seuil convenablc et ,par suite, une z licite dana la détinat1on du fait que les différences sont acceptables daas 1es é.'â'"'."i''1$'.'<.$:' différentiels.
-'-'''' 3.3 ::m ''ß:?a..''1t pour le ',"'e'r': (c....1'tra1re:Jent: à la fuigure 6) que les ligne3 de sortie à seuil 230, 232 et 234 s'étendent üirect>3r.:ent aux corrxutateurs 42,44 et 46, resec ß. v emerat cc.^.m lei caaduc te;re 1 i8, 120 et 122 de la figura 1, ai 1*un de* canaux se bloque, son commutateur
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s'ouvrira et le signal decompte totalisé de ce canal ne serait pas compris dans la sortie moyenne de la borne 220, l'appareil continuerait à donner des résultats convenables et la moyenne de deux comptes de-canaux seulement fournirait des signaux nécessaires pour-le réseau parabolique 226
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et le renvoi .es données moyennes aux amplificateurs.
En continuant avec cet ensemble de conditions supposées, si l'un des canaux ne fonctionne pas et- s'il y a un signal de différence entre les deux canaux restants qui indique un blocage, le signal de sortie des circuits a seuilscorres- pondant éliminera deux de ces canaux. Le résultat sera que la tensicr à la borne 220 tomberait à zéro , la sortie du réseau parabolique tomberait à zéro ,les circuits à seuils suraient une limite nulle et le circuit tout entier serait rendu inactif en sorte qu'aucune donnée ne pourrait être obtenue à partir du¯circuit.
Ceci serait acceptable en fait, la différence entre les deux canaux restants était
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provoquée pai un blocage , zains si elle éta4,c provoquée par -- 'âne ansEalie transitoire représentant .b s."5.:.$'i','B "l..s w une-variation statistiqre ou par un blocage inaicnifiast de courte durée qui se dégagerait :.:-.'.8.'- lIv de lui-néne, toutes les données seraient perdues à moins que l'on aitpri8-s mesures nonservé%±Féµ1- -== =- -/ "" ' -. #.
Dans le cas du circuit de la figure 1, dans lequel les circuits paraboliques ont obtenu leurs signaux d'une comparaison des paires da permutation ,cette anomalie tran- sitoire , qui s e réparerait d'elle-même, ne conduirait pas à une perte de toutes les données ; cependant,- le circuit
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ese alors plus coûteux et la précision est légeresent infe- rieure.
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Par suite, dans le système de la figure 6, au lieu de permettre aux sorties des circuits à seuilsd'aller aux
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corECtat*yurs es#passant -par 1+vé3eau-de- logique de choix, tel que le réseau 88 de la figure 1, elles passent par une matrice 231 dite "matrice à une exclusion", qui est constituée d'éléments de logique reliés convenablement de façon à empêcher une indisponibilité totale du circuit. Les lignes 230,232 et 234 sont les connexions d'entrée à la matrice à une exclusion.
Une fois qu'un canal a été jugé anormal par son circuit de seuil correspondant, la fonction de cette matrice est de bloquer les canaux restants du groupe pour une marche qui se pouraiu.Tout ce qui est nécessaire pour maintenir le est de bloquer des
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signaux quelconques allant vers son circ;aît¯4e--commutation. spZifiquem=n=, si le canal B est êlininé, les-consutateurs 42 et 46 resteront ouvarts quelles que soient les autres sorties 1'#ut-es n:irc.aita ùie seuil quelconques* Les lignes d Jo=#ie çrJx"e#iant *;e tnatrice une exeIneien 231 et T.lI-3S's '."ers les oirs''it? 18 ':E;''*:atioi: respectifs ecB'*; 23, 2Jé et 243. L'effet da cet agescenssi s*<3xpliq'@ en zonsidé- =anC le graphique 'ie la figure 7.
Pour prenire es scspte l'existence possible d'un blot cage effectif -daBa l'un des cax'ux restants, un élément de 1-éi-#K= simple =ais efficace peu être- tilis pJnrtdépas=¯¯¯ -Qer"174tat de blocege 1es canaux. Cet élément peut entre une porte ET 242 ayast trois 'ba =s d'entrée reliées par les lignes 244. 246 et 24B aux sorties respectives 86, 96 et '?C5 à=9 easparatere diif4=ent#ls Si l'un des canaux est anormal, ce canal présente un signal de sortie de comparaison
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qui fournit un signal d'entrée à la porte ET 242. On suppo- -sera- que- le canal B est exclu ; il y a alors un signal de sortie sur le conducteur 246 parce que le signal de diffé- rente constitue une comparaison entre le compte de 13 et la
Moyenne des deux comptes restants. Le commutateur 44 a été ouvert dans ces circonstances.
A présent, on supposera qu'il y ait un blocage--effectif dans la canal C et que son compte change en sorte que lorsqu'on le compare avec la moyenne de A et de C, il y ait une différence sensible qui augmente avec le temps. Comme A et C sent bloquée en fonctionne- ment, les signaui arrivent encore par les commutateurs 42 et
46 dans le dispositif d'exécution de la moyenne et fournis- sent encore des limites de seuil par l'intermédiaire du cir- cuit parabolique 226.
Comme il y a aussi une différence sen- sible entre A et la moyenne de A et de C, qui augmente éga- lement avec le temps, il y a des sorties provenant des com- parateurs différentiels respectifs ,apparaissant comme signaux d'entrée sur les lignes 244 et 248. Ainsi, les trois entrées à la porte E1 242 sont autorisées et un signal est présent sur la ligne de sortie 250 qui ouvre un commutateur normalement fermé 252 intercalée entre la borne 220 et une borne de sortie 254 pour évacuer les données d'un cycle complet.
En regardant maintenant la figure 7, l'axe vertical représente les signaux de comptage ,les limites, etc. L'axe horizontal représente le temps de comptage partant de 1'instant de démarrage tO jusqu'à l'instant de comptage final tf, ce qui peut représenter par exemple quatre secondes. La courbure et les différences de tension sont fortement eyagérées
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à des fins d'explication.
A gauche de l'instant tpB, le fonctionnement du système de la figure 6 est normal. Les trois comptes se trouvent sur sensiblement .la même courbe reetiligne 260 et ceci représente la moyence des comptes qui s'accroît avec une pente uniforme. Les limites établies par le circuit parabolique unique sont indiquées-par les courbes 262 et 264 , . marquant la limite supérieure et la limite inférieure res-
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--- --- - ---- -- - ¯ &.M pectivement.
- A l'instant tpB, le canal B se bloque en permanence.
La mcyenne des trois canaux change, maisles canaux A et C
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c:tinuent-à ,pr-odue le même de&ré dàxccroissement des comptes. Le compte du canal B qui ne orange pas est repré- sente par une ligne horizontale ponctuée 266 et le nouveau compte moyen des trois canaux est une courbe 268 dont la pente est inférieure à celle de la courbe 260. Une ligne brisée 270 est un prolongement de l'ancienne courbe de va- leur moyenne 260 ,représentant epproximativement la moyenne du compte des deux canaux non bloqués.
- Comme -le circuit parabolique 266 répond à la moyenne de tous les comptes à la borne 220, sa sortie est en rap- port avec la courbe da moyenne 268; par conséquent, la li- mite de rejot supérieure devient une courbe 272 et la limite inférieure devient la courbe 274. On comprendra que les cour- bes limites sont en fait des courbes paraboliques , bien que, dans un dessin exagéré tel que celui que l'on a représenté, on voie simplement qu'il s'agit de courbes.
Cette situation se poursuit jusqu'à ce que soit dépas- sée une limite dans un circuit à seuil quelconque, tous les-- circuits à seuil ayant la même limite.
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A l'instant trB, la limite inférieure au circuit à seuil 94-du canal B est dépassée par, le signal de diffé- rence produit dans l'amplificateur qui ouvre le commutateur 44 par l'intermédiaire de la matrice à une exclusion 231 et conduit à un rejetdu signal de compte provenant du canal
B. En sème temps, les deux autres canaux sont bloqués pour une marche qui se poursuit ,par la'matrice 231. Le gra- phique de la figure 7 montre ceci, où l'on voit. que la moyen- ne des canaux- A et c s'é;éve suivant une ligne 276 revenant à la pente constante moyenne à présent indiquée par une courbe- 278 qui se poursuit dans le temps aprés cela jus- qu'au prochain incident que l'on discutera.
Les courbes li- mites supérieure et inférieure nouvelles deviennent 280 et
282 respectivement ,et elles sont obtenues à partir dû-signal de compte moyen des canaux A et C et constituent sensiblement une extrapolation et une suite des limites 252 et 264 respectivement. Ceci suppose que les canaux A et C ont fonctionné normalement-dans toute la partie de la période de comptage qui s'est écoulée.
A l'instant tpC, 1 orifice du canal C se-bouche, mais non complètement-- Dès que cela se produit, le compte du canai C s'élève suivant une pente .moindre le long d'une courbe en traits mixtes 284.11 peut être efficace ou non de chasser les données du cycle suivant la nature du blocage et suivant qu'il persiste plus ou moins longtemps.
Si l'effet statistique est mauvais, II laut rejeter le cycle, mais si les données statistiques sont bonnes,c'est-à-dire restant dans les limites décrites par l'emploi du cirouit parabolique, il ne semble pas qu'il y ait une raison quelconque de rejeter complètement les données.
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La nouvelle-moyenne des données accumulées comprend à la fois A et C, ce qui-est représenté par la courbe en trait plein 286, en supposant que le compte A suit une cour- be en tracé interrompu 288 comme suite linéaire de la courbe
278. Le circuit parabolique répond à la nouvelle moyenne et à partir de l'instant tpC, les limiter nouvelles des circuits à seuils84 et 104 seront les courbes 289 et 290.
-Si- aucun compte de canal comparé avec la moyenne ne dépasse les limites des circuits seuils,'La ligne moyenne 286 recoupera le temps de compte final tf à une tension 292, qui devient le compte total moyen du cycle. Au contraire, la sortie des deux comparateurs différentiels¯ changera puisque chacun d'eux compare son propre compte de canal avec celui de la moyenne.
Les différences augmente- ront sensiblement au même taux et les deux comptes dépasse- ront leurs seuils respectifs à peu près au même moment qui, dans le cas présent, est supposé se présenter en trC peu avant la fin de la période de comptage.Si ceci se pro- duit, le cycle est invalidé , le commutateur 252 souvre à l'instant trC et lorsqu'on examine la borne de sortie 254 au moyen d'une partie de l'équipement qui suit, il n'y aura pas de signal pour représenter un compte.
Si, .-au contraire, les comptes dés canaux revenaient dans les limites après que'le cycle ait été invalidé, le commutateur 252 se refermerait et un signal apparaitrait sur la borne 254. Ceci est possible parce que la matrice à une exclusion 23' fournit une'moyen-ne des deux comptes de canaux en conservant les commutateurs 42 et 46 à l'état fermé, bien que le calculateur 252 soit ouvert pour un cer-
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tain temps.
Le signal de moyenne à la borne 220 pourrait --n'être pas d'une validité suffisante pour justifier son emploi dans l'équipement qui suit la borne 254 à l'instant - où le commutateur 252 a fonctionné; cependant, si les orifices doivent revenir au fonctionnement normal. d'une façon assez rapide et avant la fin du cycle, une sortie valida dans une mesure suffisante pourrait être obtenue.
Le critère est al durée pendant laquelle l'orifice unique bloqué des deux canaux restants reste bloqué. En pratique, il peut s'agir d'une très faible fraction de la durée tota- le.
La matrice à une exclusion 231 peut être construite de manière convenable par l'emploi d'autant -de portes ET et d'inverseurs qu'il y a de canaux, étant entendu qu'il y a autant d'entrées à chaque porte que de canaux ,comme montré à la figure 8. Le fonctionnement de cette matrice de logique peut se comprendre en étudiant la combinaison des états binaires montrés à la figure 8 ,dans laquelle *un "1" logique sur une ligne d'entrée 230, 232 ou 234 repré- sente un défaut--de fonctionnement dans le canal correspon- dant , tandis qu'un "0" logique sur une ligne de sortie
236, 238 ou 240 ouvrirait le commutateur correspondant 42,
44 ou 46.
On peut remarquer que les "0" sur toutes les lignes d'entrée 230, 232 et 234 conduiraient à des "o" sur toutes les connexions de sortie des portes 237, 239 et 241 cet état de choses représentant une Information acceptable dans les trois canaux. Comme il e st bien connu, un "0" sur même une seule entrée fait que la porte ET ait une sortie "O".
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Si le canal B était bloqué, mais que les canaux A et C fonctionnent convenablement,les entrées des lignes 230 232 et 234 seraient "0" , "1" et "0" respectivement, comme montré à la figure 8. Par conséquent, les signaux sur les lignes 237 et 241 correspondraient tous deux à "O". En raison des inverseurs associés 272 et 276, de tels "0" deviendraient des "1" et seraient appliqués en passant par les lignes de sortie 236 et 240 , aux entrées de chacune des portes 291, 293 et 295. En conséquence, toutes les en-
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trées -1, la porte d-e -ca'1al 13 293 seraient If 1 -et provoque- raient l'état '1" dns les lignes de sortie correspondantes 239.
Par suite, en raison de l'inverseur associé 274, un "0" serait fourni par sa ligne de sortie 238 aux portes 291 et 295.comme ces deux portes recevaient des entrées "0" de leurs lignes de canal 230 et 234, il n'y aurait pas de conflit logique. En conséquence, seule la ligne de sortie
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du can<1 3 2:5 porte un "0" et seul son eosrautateur 44 -3:vr@ :roni:" rejeter 108 zît7n->ux 4U (:m-11.