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} OUtil de forme "diamailt,6h:::" ',:. :.>:,.......,.."....:,..: '.:''
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La présente invention a pour objet un procédé d .abricat.on dtauti7.a de forme, atest à,-dira de façonnage, -
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diamantés du genre décrit brevet principal, destinés
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:; 8Lt ç Grilla B dB précision, par taille intérieure en
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creux, de profils complexes dans des matériaux durs,
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"> exemple carbures frittes, céramique électrotechnique, fer-
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rites et analogues, en vue du façonnage par contact de
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meule s à affûter ne contenant pas de diamant, et organes
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analogues.
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Les objets en matériaux très durs, par exexple carbures frittes,, sont en général façonnés comme suit : z.-::
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;on Les meule point par point sur des rectifieuses copier
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à l*aide de meules diamantées angulaires cours
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cette opération, la meule n'entre en'contact avec le matériau que par une partie étroite de sa circonférence.
La partie active de la circonférence -des meules angulaires . est à section en forme de triangle à-angle au sommet variable.
- Comme on le voit en considérant en ¯coupe tranaver- sale la partie active de chaque meule diamantée, toute la partie active de cette meule se compose d'un mélange de grains abrasifs de diamant et d'un liant approprié.
Il s'agit donc là d' un mélange non homogène comportant deux constituants essentiellement différents. Du fait . de l'usure subie par les grains de diamant qui entrent en contact avec la pièce à façonner, c'est-à-dire les grains situés au sommet de la partie inactive,les dimen- sions et par conséquent, la forme des.meules angulaires se modifient, de sorte qu'il faut constamment leur res- tituer la forme précise voulue. Le rhabillage de telles meules est assez difficile et n'est possible que pour les meules peu profondes et de forme relativement simple.
Etant donné que, dans ces meules, les.grains de diamant sont répartis en un.certain nombre de couches, leur rha- billage entraîne une perte de diamant. C'est là aussi - une raison pour laquelle on n'utilise'pas d'autres meu- les qu'angulairea pour le façonnage au¯diamant, ces meu- les permettant d'opérer le meulage point-par point.
Quand on utilise ces meules, la perte-subie au rhabillage est minimale.- Toutefois, pour ce procédé de meulage, il fallu concevoir des rectifieuses à 'spéciales guidant l'outil de tonne simple de manière à ce qu'il opère le façonnage désiré en meulant par le sommet de
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*::.,t." - If ,L ,-.. ---a*' - ., -:".,' .,..... a circonférence Le meulage- par 1 -proche point par *.,,,¯.
",,,.-.'.7.,..,-."-;...:.,-"..-.,..., ,-...> ;i,'..Z:;".-,,..,.,'--..,.;..-,'.'.l--, .....t.à, - - qi. par point exige temps : peut
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détacher, par meulage par ce procédé ou'une fraction
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r- , C'est pourquoi '."-'-,."*,' ....,- -,Pàr 1 "1- --,.. .. -.. 1.-.....;.,,* bzz riz , -.* ...'i.-, ,.." ., ,.. 1. . - ,' . ,-,..,.rom..éd4;.."j,bii,''e, ' 't "*"*' qu'un usage assez limité- caroure* frittes, par exemple, .,- ... u-mat*4iï*au:-;dü"..7,*,-*'C outils de forma complexe
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tels que matrices et poinçons de presse en cuivre. Un problème analogue se pose non seulement dans l'utilisation
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- d'outils rotatifs, mais aussi dans t .., 1 ." *:l ... , j .. f ' , f ' , ' , q ..C: matr es t - eL J- po.çôts ¯ W . de . rese : J r .. , n éuivr t3a :a: r' f. P â4Jli° ¯ ara .::, te se p?se rôa eu:emeiit¯.I:aüs lc.
'tT .a;"Y : s> ,r -'..; t: " ' , . -:>, de vc s outils" :.:i .,;t. v c,;... , ,,. r, ., . ¯,: .ei,,-.±.-- -,,7..",. correspondant - " Uh autre inconvénient des outils comportant? ainsi des grains en mélange t que- Y.."y,..x,..,e ' -O 8 ' présentent à la surface # de l'outil une disposition telle que -ce Sont leurs facettes . s. r;.,-'a:,..4a:; ,^ .. r : - - . - .s ^". "..
.r.4:.ß ^^. x ..' qui sont dirigées vers x.:1,
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de l'outil, ce qui réduit leur pouvoir coupe. Les autres grains présentent, au sein du mélange non homogène, une
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5 : :w .:;: -. ' r . >: - .,:1::::: fait que les .". ,- ..--4 la couche active font "# -v partie d'un mélange non homogène, leur concentration ....
L. ¯ . Kt, . - ... ' .#. etr la surf ace active ne4peut donc $tre uniquement formée f grains de "diamant, ce qui constitue inconvénient . ,. x .. .: ..a.- du point de vue du pouvoir abrasif de l out*l"et de son aptitude à conserver '"Sa forme : -. 4 connaît d'autre part des- outils diamant es dits '..,rr"¯ t'r4.. :u;i , : sk: y, 6-" dans lesquels e grains de diamant forment a1' ' J-i.; . s .tliiiiany J %4,1.'.;.,. ,. c.Qrre.:. - ...
.,,-,-. .x<.,...- F z.-.. g !'8i11$ ;de. di.amar r .. w du ;. më;àge ::présenatzt , >.,' ,,,;,, fàce bzz, -11-1-I.",,z, oùitil ain:e:' six, 's smitz . o ' p telLé egne G'e $ranz :i l.-... i'acetLes'=' 'qui aoüt dii. ées .ysrs :'lreériëùr à iw s r -. "..-- fece etivsz --;. -.,..-'.,,?.:",.:..., ;>' .*, - . ::;.; '..!,;,. -4,.-. - 1.-"...à: ,:. bzz .-.:;..:,;e, -,l',i.:.,...'..
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;711,.-,.,, -,.. ..,: - ueXa .-.,. ," amant :
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une coucha unique à la surface de l'outil.' Toutefois, la ' disposition des grains dans cette couche unique est désavantageuse, car les grains qui se rangent par leur grosseur dans une même catégorie ont toujours des dimen- sions très différentes du fait que les diamants prennent en se fendant des formes très diverses (les dimensions minimales et maximales d'un même grain étant très diffé- rentes); en conséquence, les arêtes et les facettes des grains de diamant individuels présentent, dans la couche active unique de l'outil, une disposition telle que les différences de forme et de dimensions se manifestent sur la face active de l'outil.
Cette caractéristique affecte fâcheusement la, précision des dimensions de l'outil et aussi, en conséquence, de la pièce façonnée, notamment en cas de meulage en creux.
Pendant meulage, seuls les graina les plus sail- lants, en nombre limité, sont en contact avec la pièce et c'est seulement lorsqu'ils sont usés que les grains moins saillants entrent ultérieurement en contact avec la pièce, ce qui entraine aussi un changement de dimen- sions (ainsi que de forme), qui apparaît assez vite du fait de l'usure rapide des grains les plus proéminents.
Les outils monocouches actuellement connus présentent encore un inconvénient : c'est au sommet de leur partie active étroite, qui subit bien entende pendant meulage les plus grands efforts, que les grains de diamant sont le moins concentrés.
La présente invention a pour but de supprimer les inconvénients que présentent ces outils connus, ainsi que d'autres destinés à conférer à des matériaux les formes
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voulues, et parmet d'obtenir par moulage en creux la for- me désirée sur toute la partie moulée du matériau, même dans des matériaux dure, tels par exemple carbures frit- tés, corindon, céramique électrotechnique, ferrite* et
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analogues, sans utiliser de rectifieuse à copier spêaia-... }:ï. ; ¯:'';.-le, du moins uand on appliqua, l'ioveatioa à un outil . -'::X.-: meuler rotatif. De cette façon, 1* durée des opération -V :S--'i quint .avec les; procédés: de façonnage çonriua,-'ae- çomptâit :, en heureS. 'ne '8& :compte plus '. qu'en minutes.
Ltinvent1on :'<--.";,,"'>71 '#"### ;;,1';:',,'',..,.:'t,;',,:(..,;, a a bzz,,-.. o.,,:'o,',,' ::,......-:',")':;..::..
:;}:{;'':O.fft"9' un procédé "simple , et peu coûteux cie fabrication".;-',' ;;.;'# - d'outils dia.nantés/permtttaütd1'ottenirçearsultata ',:i:'' ..' avantageux. ' '"'# -:t y :\ '#'"#'-.' '.;#'#'# '# : ' .... : Les ca''',tt1ri8tiqu'8 essentielles de. l'invention." résident d'unè"past,en"'-ce qûéJ.apartiê-activs,r exc.uaive-.': ment monocouche, de l'outil 'dia.':1àni&t par .exemple meule-.-- ' :.C¯) à rectifier, lime,'outil à tresser dé profil quelconque, - n'est pas formée d'un mélange de diamant et déliant ;
le liant relie simplement le corps porteur de l'outil et la partie active monocouche, forméeexclusivement de @
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grains de diamant, les pointes actives, de ces situant au ras de la face activede l'outil, de manière à faire saillie qu'au niveau de cette face active, même
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aux endroitâ' 3.a section de 1* outil 1 est minimale et,- . - d'autre part,- en ce que, pour. fabriquer" cet outil diamanté,'' on utilise us moule, dont l'empreinte a une forme comp3.d¯r ,.
-";:l": lI1entaie de c elle à conférer à l'outil diamanté en, cours..-.
.)fg:,¯,,'4' ":- <.:.:o," contérer à* t'outil diamanté en, cours de fabrication qu'on fabrique en liant une couche active unique de grains de diamant, régulièrement appliquée sur
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iEr..:;::';:1à paroi profilée 1.i':ÎI1 ule;' au corps'porteur de" 1 outil, V. -#'..¯' :t:i;:::};tin8éÓ 'daÍ1s ,-c : ulfJ-,v ici moyen d'un métal,'ou autre matière' J
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formant liant, qu'on introduit dans l'espace séparant les graina de diamant du corps porteur.
Les dessins annexés illustrant à titre d' exemple un mode de réalisation de l'invention. Sur ces dessins : la figure 1 est une van partielle en coupe trans- versale d'un outil diamanté; la figure 2 représente à plus grande échelle la @ partie encerclée sur la figure 1, montrant la disposition des grains dans la partie active de l'outil; la figure 3 contre en coupe transversale une pre- mière moitié d'un mouler comportant une seconde moitié symétrique, pour la fabrication d'un outil à mouler dia- mante; la figure 4 montre eu coupe transversale la moitié de moule représentée sur la figure 3,.portant sur ses parois la couche active de diamants précités;
la figure 5 montre en coupe transversale la moitié de moule représentée sur la figure 3, contenant l'outil à mouler diamanté terminé; la figure 6 montre en coupe transversale une moitié . de l'outil à mouler diamanté, séparé de la moitié de moule complémentaire représentée sur la figure 3.
On rend rugueux le corps porteur 1 de l'outil, dans les parties où il entre en contact avec le liant, en y pratiquant par moletage des cannelures d'ancrage 2 pour y faire mieux adhérer.la matière qui lui relie la couche active unique.
Le liant 3, par exemple métal, qui ne contient dans sa section aucun grain de diamant abrasif, forme une couche homogène dont une face est en contact ,avec les cannelures
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2 du corps et dont la face opposé* a la foras que 'Ou doit finalement présenter On nole des grains
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..
abrasifs diamant aussi concentrée que possible, dans la face extérieure du liant 3, de manière i ce que les'- protubérances .inégales de ces grains s'enfoncent dans liant la différence entre la plus grande et la plus petite distance de ces protubérances inégales -un axe imaginaire X-X ayant une valeur De l'autre côté,
grains de diamant abrasifs qui constituent couche unique 5 présentent des pointes actives 4a saillant vers l'extérieur 'de manière ..se situer au de le.:- génératrice dont:
.la révolution définit la surface géométrique de Pour fabriquer des outils suivant l'invention, fabrique tout d'abord un outil de façonnage permettant
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s 'méa-ager 'par tot,irnage-7un profi intérieur dans une masse rotative. On fabrique l'outil de façonnage, dont la forme doit être rigoureusement complémentaire de celle de la
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pièce à façonner ultérieurement, d'une manière bien connue, en acier rapide avantageusement', par.
'façonnage sur une meule de surface fixée d'une manière couramment utilisée pour profiler..et. 'rectifier des meules abrasives à liant
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, vitrifié à l'aide d'urt ontil à rectifisr i3iamanté : ::0 péut aussi utiliser cette fin une meule à profiler* l'aide d'un outil de façonnage acier rapide fabriqué du cette manière.
dont l'angle de dépouille est nul, on réalise au tour 'mouler 6 dont l'empreinte présente sur toute sa périphérie, une forme rigoureusement' complémentaire de celle de l'outil celle de l'outil de façonnage. est conséquence
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d'utiliser à cet effet un tour de précision pour outilleur
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. broche montée dans des paliers coulissants, car il ne .
faut pas oublier que toute imprécision, dans le profil reporté par l'outil sur le moule 6, qu'elle résulte d'une inexactitude de l'outil de façonnage lui-même ou d'une inexactitude dans le tournage du moule 6, se transmet aussi intégralement à l'outil diamanté fabriqué suivant l'invention. Pour fabriquer le moule 6, on utilise une pièce forgée dont l'épaisseur est sensiblement double de celle de l'outil diamanté à obtenir suivant l'invention.
On prépare le semi-produit par tournage opéré sur les faces périphérique et intérieure de la pièce forgée.
On serre alors le semi-produit destiné à former le moule 6, par sa périphérie façonnée au tour, avantageuse- ment dans un mandrin à collet, faute de quoi, les efforts que lui imprime le mandrin l'affecteraient fâcheusement (lors de sa pose dans le mandrin, le semi-produit ne doit pas subir de changement de dimensions). Tout d'abord, on ménage au tour dans la surface du semi-produit une cavité 7, dont la profondeur correspond à l'épaisseur du futur outil diamanté et dont le diamètre est légèrement inférieur à celui de cet outil. En outre, on plane la surface du semi-produit.
Enfin, à l'aide de l'outil de façonnage pour tournage intérieur, on façonne par tournage en creux la paroi intérieure de la cavité 7, Le façonnage de finition ';, s'opère à un nombre d tours/minute au..si faible que possible et avec des profondeurs de coupes successives aussi faibles que possible, c'est-à-dire à une vitesse de 100 à 40 t/mn et à une profondeur de 0,05 à 0,00 mm.
11 est bon de refroidir à l'aide d'une émulsion grasse.
On perce ensuite au tour, dans la base de la cavité
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7, un trou concentrique 6 de diamètre sensiblement égal - aux 4/5 de celui de la cavité. Ce trou 8 est destiné a centrer 1* corps porteur 1 dans le moule 6 pendant fabrica- tion ultérieurs de l'outil diemanté l'invention. moule' est en matière peu coûteuse et facilement usinable, par exemple et avantageusement par une
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/ pièce forgée en alliage d'aluminium type Al+Cu+Mg '.*T:&ddition:
de. et Ti.- Etant donné que chaque ¯- moule ou modèle est en matière facilement usinable, #- #% '* T fabrication n'imprime pratiquaient pas d'usure. l'outil .
'"'de façonnage. 'Ce dernier permet fabriquer van grand" nombre de moules identiques. Si besoin est, peut t .-7. t affûter en meulant à nouveau sa.''/au,rface'''..On''.esaS les outils de manière à pouvoir le réutiliser tout moment lorsqu'on a à fabriquer plusieurs moules ayant la ; môme forme.* ' ':\ ''-\''-'' - '';'"--'.-#.
Sntre-'teraps, on apprête corps ' porteur futur #' . outil diamanté. Pour des meules, corps présente tronçon destiné centrer dans Boule diamètre ' réduit correspondant à celui '8;"prati qu dans ;, la *- base au moule, >et tronçon présentant plu* grand dia- 3 i.mgtr,,qui doiLtre inférieur.de 5 à 1O± environ dia- -'> mètre final minimal de meule finie, hauteur égale . 1À IL la profondeur de partie profilée du moule Siaulta- 7 ¯uénrit, ori pratique ,par moletage au-tour des cannelure #¯ d'ancrage Z dans la périphérie du corps 1.
utilisa préférence, pour réaliser le corps porteur 1, les mènes ¯ liages que pour fabriquer le moule dégraisse ensuite complètement le corps porteur ainsi que moule outre, on expose partie intérieure profilée du moule
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l'action d'une solution de soude caustique pendant environ 60 secondes, puis on la rince à l'eau., Après dégraissage et séchage, on revêt la face intérieure profilée du moule
6, par badigeonnage ou par projection,-d'une couche mince d'adhésif,
de manière à ce que toute la surface de l'empreinte soit recouverte d'une pellicule aussi mince .-.que possible (quelques microns seulement) d'un adhésif séchant lentement, à faible viscosité (non représenté sur ', les dessins). Il est indiqué d'utiliser à cette fin, par exemple, une solution aqueuse à de.gomme arabique.
/'On remplit ensuite le moule 6,.disposé.verticalement, de poudre de diamant formée de grains de diamant 4
Sur la paroi profilée de l'empreinte 7 du moule en aluminium 6, on verse une certaine quantité de poudre de diamant à grain de grosseur courante prescrite pour meules diamantées. Il est essentiel d'introduire dans le moule 6 plus de poudre de diamant qu'il n'en faut pour former la couche active 5 de l'outil diamanté suivant l'invention.
Par exemple, si l'outil diamanté doit-comporter finalement sept carats de diamant, on verse dans\le moule 6 environ 'cinq fois.cette quantité. -Après ce remplissage, on fait décrire lentement un tour autour de son axe au moule 6, ,.
soutenu par exemple à la -main ou par tout support conve- , nable. Grâce à l'excès de grains de diamant, on a la '..certitude que, pendant rotation lente, du moule, la tota- .lité de la face inférieure profilée revêtue d'adhésif entre en contact avec la poudre de diamant qui s'écoule et dont les grains individuels 4 situés dans la couche la plus voisine de'cette face intérieure adhèrent à la pellicule d'adhésif ,
le poids de la poudre en excès faisant
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pénétrer chacun des grains 4 dans cette pellicule jusqu'4 la face intérieure' du moule en aluminium 6 Sous l'action conjointe de la rotation imprimée au moule 6 et du poids des grains de diamant en excès, chaque grain individuel, situé dans la couche plus basse perce la pellicule d'adhésif, par l'une des pointes vives qu'il présente naturellement,
au cours du déplacement avalanche des diverses couches de graina qui forment dans la -charge., . de poudré de diamant. instant un grain adhère pellicule d'adhésif sa position est définie la .fois par sa forme et par les positions tous les crains contigus.' Autrement dit, les grains viennent de l'avant,
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J:
,--'s', r , de 1 ' 1 arrière, de la gauche de droite, prendre appui - * ' contre les grains voisins, entre lesquels ils s'insèrent sous la pression des couches superposées, uniquement dans -
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le sens dicëulement de 3:a chargs," pax léurt:vpart.ss les plus effilées, de sorte que les graina voisins s'opposent à ce' que le. grain en cours d'insertion les franchisse par ' ses parties les plus larges.
Pendant rotation lente moule il n'adhère l'adhésif; que .la 'couche de la charge de grains dont les grains touchent, par leurs futures pointes actives de l'outil diamanté, la face intérieure profilée du moule6, le couches supérieures de la charge déplacent en avalanche de manière amener, sur la partie
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immédiatement suivante de la /ace du aouie dans 1 sens opposé à celui de rotation, une . quantité de grain* de son dunouve- ment,
le nombre de couches superposées que comporte
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%fcharge ''diminuepr sorte .19 que l'avant- , dernière couche située le plus près de la couche de grains .: ¯ .., ¯ .
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collés et qui a déterminé la position des grains individuels dans cette couche collée, ne change de position qu'en dernier lieu, au moment où le poids des couches antérieure- ment superposées a cessé d'agir.
Autrement dit, c'est cette avant-dernière couche qui détermine les positions des grains dans la couche collée jusqu'à l'instant où elle change de position la dernière et si, en gros, ce change- ment de position intervient au bout d'un quart-ou, au maximum, d'un tiers - de la rotation du moule 6, il ne provoque en soi aucune modification de la position des grains collés, parce que le poids de couches contiguës superposées a cessé d'agir, les seules forces qui conti- nuent à s'appliquer résultant du poids, négligeable, des grains de diamant d'une couche unique. Pendant cette opération, il faut veiller à ce que la durée totale de la rotation du moule 6 ne dépasse pas 20 à 30 secondes pour une charge de granulométrie moyenne {125 à 104 microns).
Les facteurs précités contribuent à conférer aux grains de diamant, dans la couche active 5, une disposition originale qui est l'objet principal de l'invention. Du fait que les grains de diamant 4 n'épousent la face profilée du moule 6 que par leurs pointes actives 4a (et non par leurs facettes), la masse'principale de chaque '.:' grain de diamant 4 de la couche active 5 est entourée par le liant 3, la partie du grain 4 la plus grosse étant complètement enrobée dans ce liant. Il en résulte une fixation idéale des grains 4 dans le liant 3. Sur les figures 2 et 5, on voit que les parties les plus grosses des grains 4 sont écartées de la face profilée du moule 6 vers l'intérieur de ce moule.
Du fait que chaque grain 4
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est entoura avec une efficacité maximale par le liant 3, ..dans la couche,active 5, les grains 4 ne risquent pas d'être arrachée de l'outil, même sous l'effet de fortes pressions unitaires apparaissant pendant le travail de l'outil diamanté fini suivant l'invention et même après . - un long usage, alors que les pointes active$ 4a cessent d'être aiguisées et que la pression par unité de surface - apparaissant pendant la travail est fortement accrue.
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; '#;{,'# II en résulte que ltoutil diamanté 3uivaht l'invention ;¯.J '.;- conferve tous ses graina mêmeaprès usage prolongé (sans diminution de concentration), garde un grand pouvoir de- .
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coupe 4t ne subit guâré, 'de changèmsnt, de, ozè  mèàuré =. '- que l'usure s1 accuse #:>ïi&ïs:y%ï::>V-/'*Tï--: '#*-&-& z¯ --"#'" '#' 'V -y¯?--:*:\ ":: Ensuite, .on deverae'du moule 6, le s. diamant s en # ¯¯¯*¯$'J-\t - excès et on laisse l'adhésif , auquel adhèrent des graina de diamant, durcir.à l'air pendant 5 à 15 minutes environ.
Cn place ensuite le corps porteur 1, préparé d'avance dans ,:le moule 6 disposé horizontalement et l'on.remplit l'espace . intermédiaire d'une charge fluide d'un mélange de poudres
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métalliques. Il est bon d'utiliser un mélange comportant, en volumes, deux tiers de limaille d'alliage d'aluminium du type Al+Cu+Mg, d'une granulométrie de 0,20 à 0,22 mm et d'un tiers de particules d'antimoine d'une granulométrie de 0,15 à 0,22 mm.
Ensuite, on projette dans l'espace laitue entre la paroi intérieure profilée du moule 6 et le corps 1, d'une manière connue pour le moulage en coquilles, un liant (avantageusement métallique) de nature à pénétrer la mélange de poudres métallique) et à enrober simultané-
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- 1 a nt lee graine do diamant z do maniera à lu* bncror t'or--'.
##"-;#. marnent et à rtrocordtr It couche active 5,4u"i)rllo rt'*ur
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1 du futur outil diamanté, grice aux cannelures d'ancrage 2 prévues à la périphérie du corps porteur. Dans le cas da petits outils, on peut avantageusement réaliser l'en- semble du corps porteur 1 par moulage-sous pression du liant choisi, ce qui évite d'avoir à fabriquer séparément d'avance ce corps 1. Comme liant, un.alliage de composi- tion suivante est recommandable :65%.d'alliage de zinc, par exemple du type Zn+Cu+Al, 31 à 33% de Cd et 2 à 4% de brasure d'argent connue sous le nom commercial d'Ag P 500 Cd.
En ce qui concerne le mélange de poudres métalliques ses particules individuelles jouent, pendant moulage sous pression le même rôle que les grains de diamant des couches supérieures de la charge de poudre de diamant, en fixant les grains de dipmant sur la face intérieure profilée du moule 6; autrement dit, ces particules fixent les grains de diamant 4 dans la couche active 5 dans les positions décrites plus haut, obtenues grâce à la pelli- cule d'adhésif et à la rotation lente du moule 6 pendant préparation antérieure de la couche active.
Après cette opération, on retire mécaniquement le moule original 6, par exemple en le découpant au tour et en le détachant ou encore l'usant à la meule. La face intérieure profilée du moule original 6, initialement exposée à l'action d'une solution de soude caustique, par exemple, n'adhère à aucune face de l'outil fabriqué, mais as détache au contraire en secteurs entiers.
On soumet finalement l'outil à une finition ordinaire en perçant le trou de récaption de mandrin et en usinent la face laté- rale extérieure, ainsi qu'on nettoyant par Voit humide
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la partie active diamantée située à la périphé@@e à l'aide de pierre ponce ou de tout autre corps abrasif à base de .carbure de silicium, de manière à dénuder dans la mesure nécessaire toutes les pointes actives 4a présentes à la , surface de la partie active de l'outil, .four la fabrication d'outils non rotatifs suivant l'invention, le processus - est le même, sous cette réserve que le.modèle, dans ce cas non circulaire,
ne tourne pas pendant fixation des grains de diamant à la pellicule d'adhésif, mais oscille
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-simplement '"'##¯-- '#:#>'#?'$#,'.&*'-- -Vi:V'V.- ".-'#*;'#'?## v Dans un autre' exemple'devise en oeuvre du procédé ^ ¯ ;:sûivantltiuventi.ori,rôn:¯'adopteîa-mêiaé1pxocessuâ pour;laï ':'l fabrication du "moule et ? pour, la -fixation ;des grains sur -¯.
:'v''8* face intérieure 'profilée,, mais, le raccordement, op8ré'.' dans le moule, d'une couche adhérente de grains de diamant avec le corps porteur s'effectue entièrement à froid, à l'aide d'un amalgame tel que bronze.. ; Après avoir utilisé ]:- la charge et déversé les diamants en excès, on remplit d'amalgame l'espace séparant situé entre la face intérieure du moule 6 et le corps porteur 1, ceci a l'aide d'une spatule, avantageusement à partir des deux cotés. Cette technologie présente le maximum d'intérêt quand l'amalgame utilisé comme-liant a des caractéristiques mécaniques correspondant aux propriétés de la matière à usiner.
On pourra toutaussi.bien obtenir l'effet suivant l'invention par. la technique bien connue;; de dépôt élec- trolytique. On fait tourner le moule à fabriqué de la manière décrite et rempli de la quantité nécessaire de diamants, dans un bain électrolytique, assez lentement pour que les grains de diamant contenus dans les couches
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supérieures ne se déplaçant qu'après que les grains de la première couche en contact avec la face intérieure profi- lée du moule 6 aient été pris dans le revêtement électro- lytique, par exemple en nickel, qui ae forme sur cette face intérieure.
Ensuite, on opère de manière connue l'ancrage de la totalité du grain dans le même liant et l'on dépose finalement sur la couche de nickel une couche assez épaisse, par exemple de cuivre, par dépôt électro- lytique sur la totalité de la périphérie intérieure, cette couche étant destinée à être liée par une brasure à bas point de fusion, introduite directement dans le moule 6, au corps porteur 1, qu'on insère dans ce moule une fois les opérations électrolytiques terminées dans le bain.
On peut éviter le processus lent de formation progressive bzz¯ de la première couche d'enrobage par voie électrolytique en utilisant un adhésif conducteur, et en opérant de la manière décrite pour fixer ensuite la coucha active 5 dans le moule 6. On ne forme ainsi dans le bain électrolytique que la couche de liant, à base de Ni et revêtue de Cu.
On pourra aussi fabriquer certains outils profilés suivant l'invention de la manière connue par moulage, la fabrication des moules et la fixation des grains de diamant sur leurs parois s'opérant par le procédé suivant l'invention, Quand on utilise cette technologie, la liaison entre la couche active 5 de grains de diamant et le corps porteur 1 est assurée à chaud par processus de ' compression, d'une manière connue dans l'ensemble. On peut là aussi former à partir du liant le corps porteur de l'outil futur, notamment dans le cas de petits outils.
L'avantage principal de la présente invention est
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qu'elle permet d'appliquer le procédé de moulage intérieur ou en creux fréquemment utilisé sur l'acier, avec tous ses avantagea, au façonnage de profils divers dans des matières très'dures, en utilisant l'outil rotatif suivant l'un des modes de réalisation de l'invention sans dis- positif supplémentaire ni rectifieuse à copier spéciale, ainsi qu'au façonnage de précision par contact et/ou à la rectification d'outils 4 meuler ne contenant pas de diamants, tel que limesà main et analogues. Simultané- ment,
du fait que l'outil proposé par l'invention ne comporte qu'une couche active, onn'a pas à le rhabiller après usure et il n'y a pas perte de diamants On supprime les pertes de temps entraînées, pour,les outils conrus
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il par le rhabillage.
P a r -ailleurs, l'outil'suivant l'inven- . tion possède un pouvoir abrasif nettement amélioré du fait que, sur sa face active, les diamants ne présentent que leurs pointes actives et non leurs facettes, il conserve mieux la forme désirée et sa longévité excède notablement celle des outils connus, ce résultat prove- nant de. ce que les grains de diamant sont concentrés au maximum sur.sa face active et de ce que leurs pointes zut '[*;
% actives font toutes saillie au. même niveau hors du liant, .'\ - de sorte que certains grains ne subissent' pas une usure prématurés avant que les autres grains entrent en contact avec la pièce façonnée.
En outre, la fabrication d'outils suivant l'inven- tion n'exige pas les moules coûteux nécessaires à la fabrication d'outils à plusieurs couches, la fabrication tant du moule que de l'ensemble de l'outil ne posent pas
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