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Perfectionnements au triage des pièces de monnaie dans les distributeurs automatiques et machines analogues. Monsieur Helmer Birkebeck NIELSEN, à Ontario Canada,
La présente invention a trait à un procédé et à un dispositif de triage de pièces de monnaie, plus particulièrement du genre utilisé dans les machines automatiques pour la vente d'articles et la prestation de services, telles que les distributeurs automatiques et les appareils à faire la monnaie, '
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Depuis l'introduction des machines autonntiques à pré
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paiement on s'est trouve en face du problème posé par ceux qui '. utilisent des pièces fausses pour tromper la machine, L'impor- -'''t.
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tance de ce problème a continuellement augmenté avec le nombre
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des machines elles-mêmes, la valeur des articles distribués et >'/, ¯ ;:.=<. l'incorporation à ces machines de mécanismes a rendre la monnaie, ''
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Le public a toujours pu trouver des pièces fausses ou des objets - en tenant lieu, tels que des rondelles et des disques provenant
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de découpages au poinçon, de tels objets présentant des oarao- tériatiques qui les font ressembler à certaines pièces courantes'4.,,,.
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Les fabricants et les utilisateurs des machines automatiques ont été contraints de surveiller en permanence la fréquente appari., ¯j',/ tion de certains types de fausses pièces et, dans chaque cas, /l')11 de mettre au point un mécanisme propre h être incorporé aux mua-
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chines pour détecter les pièces correspondantes et les rejeter. '\
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En conséquence de ces Incorporations successives de m6ca-, .".. nismes supplémentaires, les dispositifs de triage de pièces ut:t-"., lisés à l'heure actuelle dans les machines automatiques sont ' /,'/ ;=':t;
extrêmement compliqués et comportant un très grand nombre dléldl" ments, La plupart de ces dispositifs actuellement en service ;." comprennent, par exemple, des moyens pour filter la surface des "")
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pièces en vue de déceler les trous et de détecter par conséquent '
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les rondelles, qui constituent les objets les plus facilement à la portée de tout le public; ces mécanismes tateurs sont distincte d'autres propres à déceler les pièces fausses de diamètre plus ""]lj : petit ou de poids plus faible que les pièces vraies ou pièces ..',;i( authentiques, pour un passage d'introduction déterminé# A chaque'' mécanisme détecteur de pièces de caractéristiques impropres,, il jjl.#.>:t faut encore associer des moyens pour envoyer les pièces ainel (;
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retenues en dehors du passage prévu pour les places authentiques.
De plus toutes les dispositions prévues Jusqu'à ce jour pour remplir certaines des fonctions ci-dessus n'ont pas assuré une protection parfaitement satisfaisante pour l'industrie intéressée, Si l'on, considère par exemple les mécanismes tâteurs, on les' trompe fréquemment en disposant du ruban collant pour bouoher le trou sur les deux faces d'une rondelle,
Pour augmenter l'efficacité des dispositifs de triage, en fait actuellement comporter à la plupart d'entre eux des aimants disposes au voisinage immédiat de chaque passage de pièces en vue d'arrêter complètement les pièces fausses en métal fortement ma- gnétique, telles par exemple que les disques ou débouohures de poinçonnage d'acier,
et pour affecter la vitesse des autres genre: de pièces de façon, par exemple, qu'on puisse utiliser les diffé- rentes trajectoires de rebondissement à partir d'une butée dis- posée en aval de l'aimant, pour envoyer les pièces dans divers couloirs. Toutefois l'aimant ne s'est pas avéré constituer un remède universel. En effet, un dispositif de triage équipé d'ai- mante doit également comporter un mécanisme relativement complexe pour dégager les pièces fausses en métal fortement magnétique du passage dans lequel elles sont retenues et les rejeter dans un couloir de renvoi approprié.
D'autre part, certaines pièces au* thentiques, telles que la pièce canadienne de cinq cents, faite .
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y en nickels sont froment magnét1QuOB et ne permettent donc pas . d'utiliser un aimant dans le passage qui leur correspond en guise de défense contre l'introduction d'un simple disque d'acier.
De plus, les propriétés du cuivre et du bronze étant semblables à cet égard à celles de l'argent, l'aimant ne peut intervenir pour différencier des fausses pièces faites en ces métaux par rapport aux pièces authentiques d'arsenic telles que celles de dix et de-'
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vingt-cinq cents utilisées au Canada et aux Etats-Unis,
Le problème du triage efficace des pièces dans les machinée.;:, automatiques est rendu plus aigu du fait que certains ont trouvé/\ profitable de fabriquer en série des pièces fausses présentant
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une forme qu'ils savent être acceptée par les machines du genre en question.
A titre d'exemple on peut citer des disques d acte, r comportant le même diamètre et substantiellement la même épais-
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'"''\ % saur que la pièce canadienne de cinq cents* ou un disque de '" cuivré ressemblant étroitement 4 la pièce en argent de 25 cents,.
De telles pièces fausses sont utilisées directement ou même ven.-' dues au public pour être employées dans les taxiphones, les ma-,,j, chines 4 faire la monnaie, etc.,, <,"Il' La présente invention vise à permettre,d'établir un prooéd6"-efficace pour distinguer les pièces fausses des pièces authenti¯r ques et, plus particulièrement, pour séparer de telles pièces .fausses des pièces authentiques à bordure d'un type pré-déterminée ces dernières comportant un poids donné, une certaine épaisseur marginale et une certaine épaisseur au voisinage de leur péri- phérie.
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Le procédé suivant l'invention constate 4 peser chaque pincez à mesurer son épaisseur en un point voisin du bord, mais cependarit décalé vers l'intérieur d'une distance supérieure à l'épais-' seur radiale.de la bordure ou cordon périphérique de la pièce authentique, et à rejeter toutes les pièces pesant moins que le
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poids pré-déterminé de celle-ci ou présentant une épaisseur mesu- rée intérieurement à la bordure, supérieure à celle de cette pièce.
L'invention vise encore à permettre d'établir un dispositif de triage de pièces de construction simple,
Le dispositif suivant l'invention comprend essentiellement
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des parois propres à déterminer un passage pour des pièces de monnaie se déplaçant sur champ., un mécanisme de pesage monté dans le passage précité pour laisser passer une pièce de poids supérieur à une valeur déterminée et un mécanisme de mesure d'épaisseur, également disposé dans le passage précité, pour mesurer l'épaisseur de chaque pièce à l'intérieur de sa bordure, , ' ' en ne laissant passer que celles de ces pièces dont l'épaisseur : est inférieure à une limite donnée.
La présente invention repose sur le fait que les pièces authentiques comportent un corps qui porte l'empreinte de frappe et qui est entouré par une bordure, ledit corps étant mince, et d'ordinaire à son épaisseur minimale à une faible distance ra- diale de la bordure et intérieurement à celle-ci, Du fait de la plus grande quantité de métal qui déborde axialement du corps dans la partie qui forme bordure et dans les saillies dues à la frappe, une pièce authentique est plus lourde qu'une pièce fausse ,non frappée, de même diamètre et d'épaisseur constante égale à l'épaisseur minimale de la première au voisinage de sa bordure..
Par conséquent, et conformément aux idées directrices de la pré- sente invention, un disque d'épaisseur constante égale ou infé- , rieure à l'épaisseur minimale d'une pièce authentique ne prés en- ' tera pas le poids suffisant pour traverser le mécanisme de pesage comme la pièce authentique elle-même, sauf, bien entendu, si ce disque est fait en une matière de densité beaucoup plus élevée que celle de la pièce authentique, étant noté qu' ainsi qu'on l'ex- posera plus loin,
cette réserve ne pose normalement aucun pro- blème. Si au contraire on a fait comporter au disque une épaisseur constante supérieure à l'épaisseur minimale du corps de la pièce authentique pour compenser le poids de la matière de la bordure
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et des saillies de frappe de oêlle-oi et pour obtenir ainsi que ce disque soit accepté en ce qui concerne son poids, du fait de ' cette plus forte épaisseur il sera rejeté par le mécanisme de mesure,
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Le dessin annexé, donné à titre d exemple;, permettra de mieux comprendre l'invention, les caractéristiques qu'elle présente et
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les avantages qu'elle est susceptible de procurer. l')/;
Fig. 1 est une coupe à grande échelle d'une pièce authentiquer Fige 2 est une vue de face d'un dispositif suivant la pré- .
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sente invention, avec coupe suivant 11-11 (fig. 3).
Pis* 3 est une coupe du dispositif de fige 2 suivant la ligne 111-111 de fige 2 et 4. , "1 Fig. 4 est une vue par l'arriére du dispositif de fige 2 avec , coupe suivant IV-IV (fig, 3).
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Fige 5 est une vue semblable à celle de fig. 3, mais montrant ""'" . le dispositif tel qu'il se présente lors de l'évacuation d'une pièce fausse.
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Fis. 6 est une coupe a grande échelle du mécanisme de mesure d'épaisseur suivant l'invention, cette vue correspondant a une coupe suivant VI-VI (fig. 4), avec indication d'une pièce authen- ; tique à son arrivée dans le mécanisme..
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Fis, 7 et 8 sont des vues semblables à celles'de fige 6, mais correspondant à des phases successives du passage de la pléco ,. authentique dans le mécanisme de mesure d'épaisseur, bzz ;' ' '/11 , .,¯,1t Fig. 9 est une vue semblable à celle de fige 6, main@correspondant au nom de l'arrivée dans ce mécanisme d'une P1400 fausse bzz constituée par un disque plein. ..",.É . ''fg.r ü , 1'el Fig, 10 reproduit fige 9, mais en montrant le disque b1Qqu6 >j>J.;
dans cnéeanisme mesure, ' "' dans le mécanisme de mesure* ll'l:1;(É Fige 11 est une vue semblable celle de fig, 6 ;>.". :i',J.?j$)" ";.;i>i>/.;l>.q,1.
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mais indiquant une variante du mécanisme de mesure d'épaisseur suivant l'invention.
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Fig. 12 et 14 sont des vues semblables 4 celles de fige 11 mais correspondant à des phases successives de fonctionnement du Mécanisme au passage d'une pièce authentique,
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Fig. 15 est une vue semblable à celle de fig. 11, mais mon- trant le mécanisme avec une pièce fausse bloquée à son intérieure
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PIS, l6 est une vue en élévation d'une autre forme d'exécution d'un dispositif suivant l'invention.
Fig. 17 est une vue en bout, le dispositif étant supposé regardé à partir de la droite en fige 16.
Fig. 18 en est une vue en plan. en
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Fis. 19/est une coupe .suivant XIX-XIX (fis. 16), certains organes étant supposés enlevés pour 1\ clarté du dessins Fige 20 reproduit en partie fige 19 4 une plus grande.échelle' en indiquant en outre certains organes supplémentaires.
Fig. 21 à 23 sont des coupes respectivement suivant
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XXI-XXI, XXII-XXII et XXIII-XXIII (fige l6)...
Pis, 24 est une vue.par l'arriére de la partie inférieure du dispositif de fig, 16.
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Pis, 25 est une coupe suivant XXV-XXV (fig. 24). Figo 26 est un schéma des circuits électriques utilisés dans l: le dispositif représenté en fige 24.
Fige 27 estune vue en élévation d'une variante de la partie ' supérieure du dispositif de fig. 16.
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Fige 28 est une vue en élévation par l'arriére du dispositif de fis, 27, Fige 29 en est une coupe suivant XXIX-XXIX (fige z). '" Fig. 30 et 31 sont des coupes respectivement suivant XXX-XXX et XXXI-XXXI (fig. 27).
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En fig. 1 on a représenta en C une pièce authentique coupée par un plan diamétral, Cette pièce comporte un diamètre àéh4ml N'N'É; ; ;>;j. d et elle est constituée par un corps B entouré par une bordure
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ou cordon Ro présentant une épaisseur axiale a, et une épaisEeur'Îl7"( radiale r, Le corps B comporte son épaisseur minimale b dans une
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,=,l.1:.;!. zone annulaire située immddtatement 4 l'intérieur de la borduro.."l<1 ; R.
Dans sa partie centrale l'épaisseur du corps B eat supér.eur;t; à b en raison des saillies de rrappe e sur l'une et l'autre fade , de la pièce, Dans le sens axial des saillies de frappe ne dépas' sent pas normalement autant que la bordure, On voie aisément .Î/ qu'une pièce authentique, telle que celle représentée, compor- bzz tant une bordure et une empreinte de frappe, renferme un volume
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1;gj.gj. de métal plus grand que celui d'une pièce fausse plate ou disque de même diamètre et d'épaisseur constante égale à b, la différence
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correspondant en fait au volume de la quantité de métal des bzz rex saillies e et de la partie de la bordure qui dépasse les lignes bzz d'épaisseur minimale b' et blle ; "1;-1) " h7: En fig, 2 à 5 on a indiqué en 30 le bâti d'un dispositif dd,i:i; triage de pièces de monnaie suivant la présente invention.
Le bâti 30 comporte essentiellement une paroi arrière 31, une paroi''.. mobile 32 articulée par son bord supérieur à la précédente, et
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couvercle antérieur amovible qu coopère avec - L .wl.. arrière 31 pour entourer la paroi mobile 32. Les faces on regardez respectives 34 et 35 des deux parois 31 et 32 délimitent entre ' elles un passage 36 pour des pièces de monnaie circulant sur
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champ (voir fin, 3).
Dans ce passage 36 est logé un mécanisme 37 y' de mesure d'épaisseur et un mécanisme de pesage 40 (voir plue bzz particulièrement fig, 2 et 4 ), ' 1[)iÔ La paroi arrière 31 est solidaire par ses bords latéraux 'x =<
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de deux parois 41,, tandis que son bord supérieur comporte une . paroi 42 dépassant vers l'avant et présentant le profil d'un toit (voir fig.
2). La paroi mobile 32 est articulée à la paroi arrière 31 par des goujons 43 situés suivant un même axe hori- zon@l et qui traversent les parois latérales 41 ainsi que des oreilles 44 solidaires de la paroi mobile 32, ces oreilles dépas- sant vers le haut à partir du bord supérieur de celle-ci,
Le couvercle antérieur 33 comprend une partie inférieure verticale plane 45, une partie verticale supérieure 46, également,'' plane, et une partie horizontale 47 qui raccorde les deux parties 45 et 46.
Comme Montré en fig. 3 et 5 la partie supérieure 46 est plus rapprochée de la paroi arrière 31 que la partie inférieure,
A la face intérieure 35 de la paroi mobile 32 est fixée une oreille 50 (fig. 3) qui dépasse en direction du haut. Uri ressort hélicoïdal 51 est d'autre part logé dans une dépression 52 de la' face extérieure de cet@ paroi mobile 32 pour être comprimé entro cette dernière et la partie inférieure plane 45 du couvercle,
Du fait de la réaction de ue ressort 51, l'oreille 50 est norma- lement au contact de la face intérieure de la partie supérieure
46 de ce couvercle.
Lorsque tel est le cas, les faces Intérieures
34 et 35 sont maintenues parallèles l'une à l'autre et à l'écar- tement voulu pour délimiter le passage 36,
Au voisinage de l'oreille 50 la partie supérieure 46 du cou- vercle est découpée d'une ouverture circulaire 53 propre à rece- voir à coulissement un poussoir d'éjection 54, L'extrémité inté- rieure de ce poussoir 54 porte contre l'oreille 50 et elle est solidaire d'un épaulement 55 qui l'empêche de s'échapper vers - .
' l'extérieur, cet épaulement se logeant normalement dans une creu- sure 56 qui entoure l'ouverture 53 (voir fis.5). Quand on actionne
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le poussoir 54 L partir de l'extérieur du couvercle 33, on re" / ¯ pousse la paroi mobile 32 en comprimant davantage le ressort 51 et on l'amène 4 la position de rejet des pièces fausses, pour la-
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quelle elle est écartée au maximum de la paroi arriôra' 31, comme représenté en fig, 5, 'il Comme le dispositif est prévu pour n'accepter que des pièces;
d'un type choisi déterminét il comporte une ouverture circulaire 60 disposée substantiellement au centre de la partie supérieure 46 du couvercle, et dont le diamètre est juste assez grand pour permettre l'insertion axiale de pièces ayant un diamètre au plus égal à celui du type choisit Une rampe 61 faitsaillie en direc-
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tien de l'avant sur la paroi arrière à dans l'espace situé au- Tj; dessous de l'ouverture 60, cette rampe comportant une faible in- ,1, ,., eliriaison vers le bas en direction de la zone comprise entre les.. parois 31 et 32 et qui renferme le mécanisme de mesure de ltépa4o'>e oeur des pièces (voir fin. 2).
L'extrémité inférieure 6a de la Îil :;; rampe 61 est située à une distance de la paroi latérale 41 qui est supérieure au diamètre de la pièce envixaséerde sorte que " lorsqu'une telle pièce roule sur la rampe, elle peut tomber ver- tioalement dans le mécanisme de mesure 37.
Ce mécanisme 37 comporte une vis 64 vissée dans un alésage
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fileté 65 de la paroi arrière 31 (voir fig, 6), L'extrémité exté<rieure 66 de cette vis est fendue, tandis que son extrémité înt4-m rieure pointue 67 définit un point de réfèrent situé dans lepassage 36 à une distance déterminée de la face intérieure 34 de' la paroi arrière 31, lequel point se trouve substantiellement
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sur le trajet du contre des pièces de monnaie. La paroi mobile 3S est percée d'une ouverture 68 en face de l'extrémité intdrleure,'- 67 de la vis 64 et elle porte une tige horizontale 70 qui est=.9
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disposée en travers de cette ouverture pour porter à rotation un cliquet 71 centré par rapport à l'axe de la Via 64.
La tige 70 est disposée sur cet axe de aorte que le cliquet 71 pivote finalement autour d'un axe géométrique 69 (fig.2) parallèle aux faces en regard 34-35 et situé dans le plan horizontal de l'extrémité intérieure pointue 67*de la vis 64.' Le cliquet 71 est chargé par rapport à la tige 70 de manière à être rappelé 4 une position de repos pour laquelle son bord inférieur vient buter contre celui de l'ouverture 68, comme montre en fig. 6. Il comporte un rebord 72, ou butée de pièces, qui lorsqu'il est à la position de repos, s'engage dans le passage 36 au niveau de l'extrémité intérieure 67 de la vis 64, ou légèrement au-dessus de celui-ci.
Ce rebord 72 est destiné à rece- voir le bord amont d'une pièce de monnaie tombant de la rampe 61, Il s'étend 4 une distance radiale l'axe géométrique 69 telle qu'il puisse basculer en passant exactement en face de l'extrémité intérieure 67 de la vis et qu'aucune pièce ne puisae passer entre cette extrémité et le dit rebord 72, En d'autres termes la distance radiale entre l'arête terminale du rebord 72 et l'axe 69 est supé- rieure à la distance entre l'extrémité 67 et le dit axe 69 moins l'épaisseur de la bordure d'une pièce authentique, Le cliquet 71 est préférablement juste assez chargé pour rester à la position de repos représentée en fig.6,
de sorte que l'action de la pièce descendant dans le passage 36 le fait tourner en sens inverse des aiguilles d'une montre en fig. 6 pour'l'amener à la position de passage de pièces de fig. 8. Au-dessus du rebord 72 et à une distance de oelui-oi supérieure de quelques centièmes de millimètres à l'épaisseur radiale r (fig,l) de la bordure d'une pièce authentique du type prévu pour le dispositif, ce cliquet comporte une saillie ou pointe dépassante 73.
La saillie 73 se trouve 4 une distance radiale de l'axe 69 de pivotement du cliquet supérieure à l'écarté'*
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Ment entre l'extrémité 67 et l'axe 69 moine l'paisseux rudiaJ.e:;,a5 d'une pièce authentique du type pour lequel le dispositif a été
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.prévu, Mais plue petite que ce même écartemnt moins l'épaisseur b du corps d'une telle pitce# Par conséquente lorsque le cliquet tourne pour arriver a la position de passage de pigées, la pointe de la saillie 73 passe en face de la pointe 67 de la vis 64 en. \
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ménageant entre les deux eàtrèmités une distance plein:
plus, ménageant entre les deux extrémités une distance a peine plus ; "à"? bzz grande que l'épaisseur b du corps de la pièce.
Le mécanisme de passage 40 comprend une rampe 75 disposée dans le passage 36 au-dessous du mécanisme de mesure d'épaisseur
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37, Cette rampe 75 est montée h rotation sur un goujon 76 tIX4 4', la paroi 32, de sorte qu'elle peut pivoter entre une position de repos (représentée en traits pleins en fig.
4) et une position de passage de pièces (indiquée en traits interrompus dans cette même figure), son axe de pivotement étant horizontal et s'étendant ' perpendiculairement au profil de la face supérieure oblique 77 de la dite rampe, La rampe 75 est agencée de manière qu'une pièce tombant à travers le mécanisme de mesure d'épaisseur, vienne buter contre son bord supérieur, roule sur sa face 77 et soit' arrêtée à son extrémité inférieure 78 par une butée 80 solidaire
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de la face 34 de la paroi mobile 32 (voir en particulier figS ' et 4),
La butée 80 est suffisamment écartée de l'extrémité infé-
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rieure 78 de la rampe pour que la pièce soit juste retenue par celle-ci lorsqu'elle est ainsi arrêtée. La rampe 75 est chargé de manière â être normalement rappelée à la position de repos pour laquelle son bord inférieur est arrêté par une butée 81 mais elle peut basculer et arriver ainsi à la position de passage,,
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lorsqu'une pl-ce présentant au moins le poids de la pièce 1, authentique est arrêtée sur son extrémité inférieure 78.
Du iiit que la partie ue la butée 80 surlaquelle vient porter la piôoi de
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monnaie se trouve au-dessus de l'extrémité intérieure 78 de la rampe 75 et est écartée par rapport à cette extrémité dans le saxo de déplacement de la pièce (comme le montrent bien fig.2 et 4), une pièce authentique usée peut rouler un peu plus loin sur la dite extré- mité 78 en raison de son diamètre légèrement moindre, pour impar- tir ainsi 4 la rampe un couple basculant plus fort qui compense dans une certaine mesure son poids plus faible.
A la position de passage de pièces, la rampe est basculée de manière que son extrémité inférieure 78 soit abaissée dans une mesure suffisante pour permettre à une pièce de passer entre celle-ci et la butée 80.
Au-dessous de la rampe 75 est disposée une autre rampe 82 solidaire de la paroi 32 et orientée vers le bas à l'opposé de la rampe 75. Cette rampe 82 comporte une fente 83 (voir en par- ticulier fig. 4) provue pour le passage d'une pièce authentique et qui est disposée de manière que les pièces libérée par la rampe 75 puissent la traversez, Comme le montrent bien fig.3 et 5, la ramp 82 présente une très grande largeur, la paroi arrière 31 comportant sur sa face extérieure un borsage 85 dans lequel est ménagée une ohambre 84 propre à recevoir en partie la dite rampe lorsque la paroi mobile 32 est à sa position normale, Lorsqu'au contraire cette paroi 32 a été amenée à sa position de rejet d'une pièce fausse, la rampe 82,
obstrue l'espace compris entre le bas de la dite paroi mobile 32 et la paroi arrière 31, au-dessous de l'extrémité inférieure de la rampe 75, ainsi qu'on peut le voir en fig.4.
La paroi mobile 32 comporte une ouverture allongée 87 située au-dessus de la rampe 75. Au couvercle 33 est fixé un organe de butée de pièces fausses établi sous la forme d'une plaquette allongée 88 ; qui s'étend dans l'ouverture 87. Ainsi, lorsque la paroi mobile 32 a basculé à la position de rejet d'une pice fausse, le bord intérieur
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de la plaquette 88 dépasse dans l'espace situé au-dessus de la rampe 75 (voir fig.5) et chasse de la surface supérieure 77 de cette rampe toute pièce qui peut s'y trouver arrêtée,
Au cours du fonctionnement une pièce introduite axialement dans l'ouverture 60 tombe sur la rampe 6l à partir de la position Ca, représentée en fig. 2;
elle roule sur cette rampe, puis tombe verticalement en direction du mécanisme de mesure d'épaisseur 37, comme indiqué en Cb en fig. 2, 4 et 6. La partie amont de la bordure de la pièce en cours de chute bute contre le rebord 72, et sous l'effet de son poids, fait basculer le cliquet 71 en direction de sa position de passage de pièce (voir fig.7). Au cours du pivotement du cliquet 71 la saillie 73 décrit un arc de cercle qui l'amène à une position de tâtage exactement en face de l'ex- trémité pointue 67 de la vis 64, précisément à l'instant où la partie du corps de la pièce située immédiatement 4 l'intérieur de la bordure se trouve à ce même emplacement, comme montré en Cd enfig.7.
Comme à ce moment l'extrémité 67 et la saillie 73:sont à une distance l'une de l'autre légèrement plus grande, par exemple de quelques centièmes de millimètres, que l'épaisseur µ de fig.1, avec une pièce authentique ou un disque présentant une épaisseur au plus égale à b, le cliquet 71 peut continuer à tourner pour arriver à la position de passage de fig.8. La pièce peut donc poursuivre sa chute verticale comme montré en Ce en fig.8.
Si l'on insère dans l'appareil une pièce fausse ou un disque métallique en tenant lieu, il suit évidemment le même trajet . pour arriver au mécanisme de mesure d'épaisseur 37 et il actionne. le rebord 72, comme indiqué en Sa en fig.9. Ainsi qu'on l'a exposé la charge imposée au rebord 72 fait tourner le cliquet 71 en
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direction de sa position de passage de pièces, Toutefois, si le
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,, ;> ,.< disque on la pièce fausse comporte Une épaisseur constante supé" ,.' rieure à b" la saillie 73 vient buter contre lui à une faible dis tance de son bord amont et le poids propre de ce disque fait qu'il
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est pincé entre la dite saillie bzz et l'extrémité intérieure 67 de la vis 64, comme montré en Sb en fig.10.
Ainsi un disque mé- / tallique d'épaisseur trop forte reste bloqué dans le mécanisme de mesure4 sa'périphérie reposant sur le rebord 72 et la partie ' ' de son corps située immédiatement à l'intérieur de cette péri* phérie étant pincée entre l'extrémité 67 et la saillie 73.
La seule manière suivant laquelle le disque ainsi arrêté,
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peut être libéré consiste à actionner le poussoir d'éjection 54 qui fait basculer la paroi mobile 32 dans la direction de la flèche 90 en ris, 10 pour l'amener h la position d'évacuation d'une pièce fausse représentée en fig. 5. Le disque tombe alors verticalement en face de l'extrémité supérieure de la rampe 75 et à partir du
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bas du coté droit du dispositif tel qu'on le voit en fig,2.
Les pièces :fausses qui tombent ainsi sont préférablement amenées à un couloir de renvoi ou autre dispositif approprié, non représenté,
Si la pice traverse le mécanisme de mesure d'épaisseur 37 parce quelle est authentique ou parce que son épaisseur est
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iii±4rieure à 1a, elle tombe sur l'extrémité supérieure de la rampe 75 comme montré en Ouf en fig.
2 et 4, elle roule sur la face supérieure oblique 7'7 de cette rampe et est arr8tée à l'extrémité in" férieure 78 par la butée 80, 4 la façon indiquée en Cg en fig,2, 3 et 4, 31 la pièce qui se trouve en Cg pèse au moins autant qu'une pièce authentique du type choisi, la rampe 75 bascule et
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permet h cette pièce de traverser la fente 83 de la rampe 8e, ,'h'" Les pièces qui ont ainsi traversé la Pente 83 tombent k partir de la gauche du dispositif comme montré en Ch en fig, 2, Elles sont ;'' '
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préférablement recueillies par un couloir récepteur'ou autre organ*,, similaire, non figure. " ' ;/,).Il "/1:
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Si la pièce arrêtée à l'extrémité inférieure 78 de la rampe
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75 n'est pas assez lourde pour faire basculer cette dernière, elle reste à cette position jusqu' à ce qu'on appuie sur le p ouscoir, d'éjection 54. La paroi mobile 32 bascule alors pour arriver h,s position d'évacuation des pièces fausses, représentée en fis,5),> gaz de sorte que la plaquette 88 qui dépasse a travers l'ouverture 87' ' "lj:,#"-1 vient au contact de la pibee ou disque de poids trop faible et bzz repousse celui-ci de la rampe, comme montré en Bc en i'às,5;
Cè," =tT' " *' 't'' disque ou pièce fausse tombe alors sur la rampe 2 roule vire 1à.R? droite du dispositif tel que vu en fig.2, et retombe comme décriai ci-dessus pour les pièces fausses rejetees par le mécanisme d4é \;k..y.,yA ci-deBsuB pour les piéces fausses reJetées par m4aanismo J'i ,.=<Q mesure d'épaiiseur 37, mesure d'épaisseur 37. '; "S" On voit ainsi qu'une pièce introduite dans le dispositif ne ":Ji
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peut traverser le mécanisme 37 que si elle préset;ltè dans sa 2ori '':';
144t 0 annulaire voisine du bord une épaisseur - p=6 ég .a à,1 paiset, b de la pièce authentique du type choisi et qu'elle ne peut non "'I'
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plus traverser le mécanisme de passage z+0 que si elle est au moins
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aussi lourde que celle-ci, Par conséquente si une pièce fausse est
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" ;.*;j suffisamment mince dans la zone voulue pour traverser le mëca- ^ #;s;'r nisme de mesure 37 il faut qu'elle comporte une certaine carao- " tristique pour compenser le poids supplémentaire que la piéoe"1 (1, authentique possède du-fait de sa bordure et de ses saillies de "
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frappe. Cette compensation pourrait être assurée par un certain 'le
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genre de frappe.
Mais en général le publia ne dispose pas aisé- '[)/.
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ment de disques frappés, et, en outre, jusqu'ici les fabricants,,,,
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cb fausses pièces n'ont pas jugé nécessaire de procéder à une ,.,, opération de frappe, ce qui d'ailleurs no serait pas rentable .- '/
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dans la plupart des cas, Du fait que l'ouverture 60 ne peut accepte
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zut
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des pièces de diamètre supérieur 4 celui de la pièce au- ' thentique, on ne peut non plus compenser par une augmentation de diamètre la différence de poids entre une pièce authentique et un disque d'épaisseur constante au plus égale à l'épaisseur b de celle-ci,
L'autre solution consistant à utiliser un métal de densité supérieure à celui des pièces authentiques n'est pas non plus possible du fait de la nature même du métal de ces dernières, Par exemple, les pièces de 25 et de 10 cents du Canada et des Etats-Unis sont faites en argent dont la densité est d'environ 10,5, c'est-à-dire supérieure à celle de n'importe quel métal susceptible d'être facilement trouvé dans le commerce sous forme de feuille pour une fabrication économique de pièces fausses.
Ainsi qu'on l'a indiqué plus haut, les faussaires utilisent en général le cuivre cour réaliser des disques à la dimension de ces pièces de 25 et de 10 cents, Toutefois le fait que la densité du cuivre est inférieure à 9 permet au dispositif suivant l'inven- tion de différencier les disques de cuivre des pièces d'argent, Pour citer un autre exemple, les pièces canadiennes de 5 cents sont faites en niokel et par conséquent on ne peut utiliser des aimants pour les distinguer des disques d'acier, c'est-à-dire du seul métal qu'on puisse employer de façon rentable pour la réalisation de pièces fausses d'aussi faible valeur. Toutefois la ni- ckel présente une densité supérieure à celle de l'acier et là encore ce fait assure le bon fonctionnement du dispositifsuivant l'invention.
Comme on l'a décrit plus haut, la vis 64 est vissée dans l'alésage 65 de manière que son extrémité intérieure 67 puisse être réglée par rapport à l'axe 69 en vue de faire varier l'écar- tement entre ladite extrémité 67 et la saillie 73 lorsque le cli-
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quel 71 pivote pour aller de sa position de repos à celle de pas- sage de la pièce, Cette caractéristique élimine la nécessite de tolérances de fabrication serrées et permet de.compenser l'usure
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servioe, ','llj.l/ en service.
Les essais ont démontre 'que le mécanisme de mesure d'épais ¯,11')/ seur 37 du type sus-décrit peut ainsi être aisément réglé pour déceler et arrêter une pièce fausse dont l'épaisseur ne dépasse, celle de la pièce authentique que de 3 à 5 centièmes de milimtre.
Il est toutefois permis d'estimer qu'il n'est pas nécessaire en général d'arriver à un réglage aussi fin, du fait que les métaux
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laminés normalisés s'écartant notablement de l'épaisseur b des 11/. pièces de monnaie et que la encore il s'avérerait vraisemblable" : ment non rentable de faire fabriquer des'tôles d'acier à des di-
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mensions particulières en vue de réaliser des pièces fausses pro-@,,, près à tromper un dispositif non réglé de façon précise. Pour fixer les idées par un exemple, it6p@isseur b d'une pièce coana- dienne de 5 cents en nickel est d'environ 1,47 mm, alors qu't les tôles d'acier laminé Ne 16 et 17 comportent des épaisseurs res pectives de 1,37 mm et de 1,57 mm.
Les rondelles proprement dites ne présentent évidemment pas . de problème pour le dispositif suivant l'invention, Si en effet . une telle rondelle traverse le mécanisme de mesure d'épaisseur 37,
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elle est bien trop légère pour faire basculer la rampe 75 du tel du vide qu'elle comporte en son centrât Il est également évident
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que des pièces vraies ou fausses de diantre trop faible ne pouvez actionner cette rampe.
Pour simplifier encore la construction du diapoaitif . epr .. sente en fis. 2 a'10 on pourrait charger suffisamment le cliquet
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71 ou lui impartir d'autre manière une force de rappel assez éle-
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vée pour qu'il ne bascule de sa position de repos (fig.6) à celle,,; de tarage (fig. 7) et à celle de passage de pièces (fig.8) que si
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le rebord 72 reçoit une charge substantiellement égale à celle :,/.).< d'une pièce authentique, Suivant une telle variante le cliquet 71 pourrait effectuer le pesage en même temps que la mesure d'épais-. seur, de sorte que le mécanisme 40 sus-décrit pourrait être supprimé.
En se dispensant ainsi d'un mécanisme de pesage séparé, l'on pourrait simplifier la construction du dispositif et diminuer son encombrement, mais il semble que cela ne puisse être réalisé sans sacrifier beaucoup de l'efficacité qu'on peut obtenir avec la forme d'exécution qui vient d'être décrite.
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Pig, 11 à 15 montrent une autre forme d'exécution du dispo'" sitif de mesure d'épaisseur 37, Da..> ces figures on a indiqué en 31a et 32a.des parois correspondant à celles 31 et 32 de la forme d'exécution précédente. Le mécanisme comprend également' , i , . ,; , une vis 6'la réglable dans un alésage taraudé 65a de la paroi Sla , . > 7, .,J cette vis comportant une pointe 67a qui dépasse dans un passage tandis que son extrémité extérieure 66a est fendue.
Il est prévu une seconde vis 100 qui peut être identique à
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la vis 64a, cette vis 100 étant disposée dans un alésage taraudé 101 de la paroi 32a. La vis 100 comporte une extrémité pointue z 102 qui dépasse dans le passage 6a. Elle est située légèrement au-dessus de la vis 611a, de sorte que les saillies formées par les, extrémités 67a et 102 des deux vis sur la face Intérieure des parois sont situées à une distance verticale l'une de l'autre qui '''!
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ne dopasse que de quelque peu l'épaisseur radiale t,d'une Pièce authentique.
Ces extrémités 67a et 102 sont toutefois situées dans"
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un même plan vertical perpendiculaire à celui des pièces, mais 1 -4 ;,& bzz lorsque les parois sla et 32a sont à leur position normale, lësôé""1 dites extrémités sont séparées l'une de 1 autre, dans le sens ho-
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rizontal, d'une distance inférieure à l'épaisseur axiale a de la, ''t ' ' bordure d'une pièce authentique, mais supérieure à cette épaisseur a moins la moitié de la différence entre ladite épaisseur a et
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'l'épaisseur minimale b du corps de la pièce Le mécanisme comprend encore une troisième via 103 montée de''
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..>g,J façon réglable dans un alésage 104 prévu au-dessus de la vis 6a,'v f ;
,.i Cette vis 103 comporte une extrémité intérieure pointue la) qui'*%
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dépasse dans le passage 36 au-dessus de l'extrémité 1/éoar- tement entre les extrémités 67a et 105 est légèrement ''inférieur au .diamètre total de la pièce authentique moins l'épaisseur radiale r de sa bordure.
Lorsqu'une pièce authentique tombe verticalement dans-le pas-
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sage 3a, sa bordure vient d'abord au contact de l'extrémité in térieure 102 de la vis 100 comme représenté en Ci en Fig,1,,'\ Cette bordure glisse sur la pointe de la vis 100 et vient alors contre 1!extrémité intérieure 67a de la vis 64a comme représentée
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en Cj en fis. 12, La bordure glisse sur cette extrémité zut eri ',v'i direction de la pointe de la vis 100. Du fait du profil conique",", des extrémités des vis, le corps de la pièce se déplace ainsi ',lg< .i .;',ljj, vers cette dernière pointe, la bordure passant maintenant au-
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dessous de celle-ci, comme représenté en Ck tïg, 13.
Comme la dir,) tance horizontale qui sépare les extrémités 67L et 102 des vis ; 64a et 100 est un peu plus grande que l'épaisseur axiale a de le ( 4.., bordure moins la moitié de la différence entre cette épaisseur is et l'épaisseur b du corps de la piboe, la bordure se dégage de ' ' l'extrémité 67j de'la vis 64a juste au moment où l'extrémité lil
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de la via 100 vient au contact du corps, immédiatement à l'inté- rieur de la bordure. La pièce peut ainsi continuer à descendre entre les vis 64a et 100, comme montré en Cl en fig.14.
Une pièce fausse ou un disque d'épaisseur constante égale à l'épaisseur axiale a de la pièce authentique vient également en premier lieu au contact de la vis 100 qui le dévie pour le taire tomber sur la vis 64a. Toutefois, comme les extrémités intérieures 67a et 102 des vis 64a et 100 sont séparées horizontalement d'une distance,moindre que l'épaisseur axiale a de la bordure, l'extré- mité intérieure 102 de ladite vis 100 vient au contact de la face du disque avant que la partie amont du bord de celui-ci ne se soit dégagée de l'extrémité intérieure 67a de la vis 64a; l'avance du disque est par conséquent bloquée, comme indiqué en Sd en fig.15.
Le contact entra la partie supérieure ou bord arrière du disque' et la pointe de la vis 103 empêche que ce disque ne puisse bas- culer vers la paroi ;la en augmentant ainsi l'espace disponible pour lui entre les extrémités 67a et 102 des vis inférieures
64a et 100.
;lien que la forme d'exécution du mécanisme de mesure d'épais- seur suivant fig.11 à 15 soit de construction quelque peu plus simple que celle précédemment décrite, on peut aisément voir , qu'elle n'est pas aussi efficace puisque son fonctionnement n'est basé que sur la moitié de la différence totale entre l'épaisseur , axiale a de la bordure et l'épaisseur minimale b du corps.
Dans la forme d'exécution représentée en fig. 16 à 26 on a indiqué en 110 la partie supérieure du dispositif et dont le rôle.. consiste a. poser des pièces de trois types différents suivant une façon très proche de celle du mécanisme 40 décrit plus haut. A cette partie supérieure 110 est fixée une partie inférieure 111.
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La partie 111 est destinée à rejeter les pièces dont l'épaisseur dépasse une limite pré-déterminée, c'est-à-dire à jouer un rôle semblable à celui du mécanisme 37 de la forme d'exécution précé- demment décrite de l'invention, Pour la clarté des explications on décrira ci-après le dispositif de fig,l6 26 en se référant aux pièces de 25, 10 et 5 cents, étant entendu que, moyennant car-. taines modifications appropriées, ce dispositif fonctionnerait tout aussi bien avec d'autres types de pièces et également avec un nom- bre différent de tels types,
Le dispositif de fig. 16 à 26 est prévu pour être logé à l'in- térieur de l'enveloppe d'une machine formant distributeur automa- tique ou appareil à faire la monnaie.
Cette machine comprend trois ouvertures d'entrée, respectivement pour chacune des pièces de monnaie sus-énoncées (pièces de 25, 10 et 5 cents). Ces ouvertures sont semblables à l'ouverture 60 de la forme d'exécution précé- dente et elles sont disposées au-dessus du dispositif, chacune étant de dimension suffisante pour recevoir une pièce de monnaie dont le diamètre n'excède pas celui du type pour lequel elle est prévue. A chaque ouverture est associé un couloir destiné à amener les pièces aux passages appropriés du dispositif.
La partie supérieure 110 comprend trois couples de parois fixes, chaque couple comportant des faces intérieures en vis à via qui délimitent un passage, Il est ainsi établi trois passages séparés 112q, 112n, 112d, propres à permettre le déplacement sur ,/,¯ champ des pièces respectives de 25 cents, 5 cents et 10 cents (voir en particulier fig.16 et 18).
Ces trois passages sont dis- posés dans des plans verticaux parallèles, mais ils sont écarta ' les uns des autres dans le sens horizontal, et, vus de l'avant du ' dispositif, ils se chevauchent dans une certaine mesure pour ré- duire l'encombrement. Leurs entrées sont convenablement espacées les unes des autres sur le tord supérieur du dispositif, comme le
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montre bien figez de manière a recevoir les pièces à partir des ...'- >j;
. couloirs sus-indlquês, Les passages 112q, 112.n 112d, comportent des parties descendantes disposées immédiatement au-dessous de,%, entrées et qui aboutissent à l'extrémité supérieure de rampes
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1159, 115n, 1151, prévues à l'intérieur desdits passages.
Ces ramez pas sont de construction semblable à celle de la rampe 75 et chacune d'elles est bien entendu changée de manière à ne pouvoir
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basculer à la position de passage de pièces, telle que représen- l'g,. tée en traits interrompus dans le cas de la rampa 115d en fig,16,f'" que lorsqu'une pièce présentant un poids au moins égal à celui de la pièce authentique (respectivement de 25, 5 et 10 cents) se trouve arrêtée à 1'extrémité inférieure de cette rampe par une
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butée correspondante, respectivement ll6q 116n et 116a.
La paroi avant de chacun des trois couples de parois qui délimitent les passages, comporte une ouverture, respectivement
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117a* 117n, et 1171 adjacente a l'extrémité inférieure de la rampe correspondante, chacune de ces ouvertures présentant un
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diamètre suffisant pour laisser passer la pièce qui lui aorrea- .z; pond, savoir la pièce de 25cents pour l'ouverture 117.%# la pièce ' de 5 cents pour l'ouverture 117n et la pièce de 10 cents pour ' l'ouverture 117d.
Dans ces ouvertures sont suspendues des parois,..
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secondaires, respectivement 11Pq, 118ri$ 118d, articulées h la paroi rixe,par axe horizontal 119, au-dessus de chaque ouverture
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considérée, chacune de ces parois mobiles se trouvant dans le même plan vertical que la paroi antérieure de chacun des couples de parois qui délimite le passage correspondant. Chacune de ces parois secondaires comporte une oreille 120 (fig,19 et 20) orientée vers l'intérieur et vers le bas, qui constitue avec elle un organe récepteur de pièces à deux branches chevauchant le passage au dessus de l'extrémité inférieure de la rampe correspondante.
La
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paroi arrière de chacun des trois passages est découpée d'une ouverture située en face de l'ouverture de la paroi antérieure
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et destinée à recevoir l'oreille 1 correspondante de façon ,,,,,lifé telle que le passage soit normalement dégagé au-dessus de la > ' '';; rampe* w 'f; bzz A la paroi arrière de chacun des passages I12,, 112n et ., 112d est articulé un levier, respectivement l219 321.,n, .21d, bzz Ces trois leviers sont de construction semblable et chacun d'eux agit de façon à assurer le dégagement automatique du passage
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quel il correspond.
On se bornera donc à décrire ci-après le 1?-/)i$' viser 121d en se référant partioulièremant à la flg. 20, Ce levier", 121d est articulé à la paroi arrière du passage 1121 par un poins situé à environ au milieu de sa longueur, cette articulation étant
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réalisée par l'intermédiaire d'un étrier 122 et d'un axe 123 ;1."' orienté dans un plan parallèle à celui du passage 112d, L'extré-'- 1" mité supérieure 124 du levier traverse une ouverture 125 pour
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dépasser normalement h l'intérieur du passage 112d.
Cette extré-"-'"., mité 124 comporte un bord biseauté 126 qui se trouve sur le th=1/"¯ jet des pièces tombant vertiaalemenb à travers le passage ll2d, ' L'extrémité opposée, ou extrémité inférieure du levier, est ,
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agencée de iaçon à se trouver au contact de l'oreille 120 de 1 t b, gane , deux branches Z1-124, A la paroi avant du passage est' .'<. "l" fixée une légère lame de ressort l30 qui maintient ainsi 6Lasti '1[.
quement la paroi secondaire 118d, dans l'ouverture de la paroi,
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antérieure précitée et qui, graee au contact existant er$5re l'o-", reille 120 et l'extrémité inférieure du levier 121à,,W'.Étient e également l'extrémité supérieure 124 de celui-ai à 1 txi,eur du passage, comme le montre 'la figuration en traits pleifs en fig,20'çll On.décrira également ci-après le ronctionnement,t.,e la partie supérieure 110 en se référant pour simplifier aux pi l:es de 10 ;) a'¯ cents, le cas de pièces de 25 et 5 cents étant évic ornent identique. Les pièces dont le diamètre ne peut être supe :ieur 4 celui'-"
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de la pièce authentique de 10 cents, pénètrent dans le passage 112d dans la partie haute du dispositif, comme indiqué en traits interrompus en fig.16.
Le bord amont de la pièce qui descend ainsi dans le passage vient porter contre le bord biseauté 126 du lovier 121d; l'énergie cinétique de la pièce fait ainsi bas- ':. ouler l'extrémité supérieure 124 de ce levier en l'écartant du passage 112d, comme représenté en traits interrompus en fig,20, Ce déplacement de l'extrémité supérieure 124 entraine le bascule-,,1 ment du levier lui-même dont l'extrémité inférieure s'enfonce dans l'ouverture prévue dans la paroi arrière en déplaçant l'oreille 120 transversalement par rapport au pabsage 112d, immédiatement au-dessus de l'extrémité inférieure de la rampe 115d.
Ce mouvement de l'oreille 120 fait bien entendu basculer l'organe à deux bran- ches qu'elle constitue avec la paroi secondaire 118d de sorte que cette dernière bascule elle-même vers l'extérieur à partir de l'ouverture 117d, comme représente en traits interrompus en fig; 19 et 20.
Lorsque la pièce en mouvement a dégage l'extrémité supérieure , 124, @'organe à deux branches revient immédiatement, sous l'effet du léger ressort de rappel 130, à la position pour laquelle il chevauche le passage, l'extrémité supérieure 124 précitée étant ramenée à l'intérieur de celui-ci. La pièce arrive alors sur l'ex- trémité supérieure de la rampe 115d, elle roule sur celle-ci et est arrêtée par la butée 116d à l'extrémité inférieure de ladite rampe, entre la paroi 118d et l'oreille 120, le tout comme montré .en traits interrompus en fig.16.
Ainsi qu'on l'a décrit plus haut en référence au mécanisme de pesage 40, si cette pièce pèse au moins autant que .la pièce authentique de 10 cents, la rampe 115d bascule sous l'effet de son poids en lui permettant de continuer
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à descende dans le passage, comme également représenté en traits interrompus en fig, 16,
Si au contraire la pièce considérée est plus légère que la pièce authentique de 10 cents, elle reste sur l'extrémité infé- rieure de la rampe 112d Jusqu'à ce qu'une autre pièce pénètre dans le passage 112d. Que.cette seconde pièce soit authentique ou fausse, elle fait à nouveau basculer l'organe à deux branohes qui. se trouve alors chevaucher la pièce trop légère 4 l'extrémité de )':
la rampe, et cette pièce trop légère est rejetée par l'ouverture .
117d, comme exposé plus haut* La pièce fausse est ainsi dégagée de l'extrémité inférieure de la rampe et expulsée par l'ouverture ' 117d comme montré en Se en fig. 20. La pièce ainsi rejetée est préférablement reçue par un couloir de renvoi ou autre monté sur l'avant du dispositif$ au-dessous des ouvertures 117q, 117n, 117d.
La seconde pièce considérée poursuit son trajet et est pesée à la façon déjà exposée,
La description ci-dessus de la partie supérieure 110 du dis- positif fait bien comprendre que celui-ci, permet de se dispenser, d'un mécanisme particulier de réjection des pièces actionné à partir de l'extérieur du distributeur ou appareil à faire la monnaie, le dispositif de triage assurant lui-même cette réjection.
En se qui concerne maintenant la partie inférieure 111 du dispositif de fig. 16 à 26, on peut voir en fig. 17, 21, 22 et 23
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que les passages ;1.123" 1l2!l' ll2d, qui évidemment ne reçoivent . ' .j"k' </)< ûy/ ? p7,a ce 4e<npieces pesant au moins autant que cellex authentiquera AMJT cents, conve%'ent tous' les tro18 pour." 4rrtver' dans,' . de 25, 5 et 10 cents conversent tous les trois poux arriver dans un même plan vertical. Sur l'arrière de cette partie inférieure ; 111 sont montés trois micro-interrupteurs 135q, 135n, 135d (voir tige 17, 18, 24 et 26).
Ces micron-interrupteurs comportent des bras d'actionnement. respectivement 136q, 136n, 136d, dont les extrémités inférieures 137q, 137n, 137d, destinées à venir au ;.
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contact des pièces, dépassent à travers des ouvertures 138q, ' ' ,k , u , . lF3g, l±, prévues dans la paroi arrière 'des passages. Les entré. mités 137â< Z711, 3,3d sont rappelées sur le trajet des pièces dans les passages 1122, 112n, Humais elles peuvent e t effacer lorsqu'elles sont repoussées par celles-ci, Lorsque l' extrdmt, .'' en question de l'un quelconque des bras 1W l&n, l3sd est "' ,., w--, ¯ - , ainsi amenée à la position de passage d'une pièce, cela a pour résultat de fermer le micro interrupteur correspondant 135q,
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1 1351.
Comme montré en fig, 26, ces trois micro-interrupteurs sont montés en parallèle dans un circuit unique, de sorte que la fermeture de l'un quelconque d'entre eux actionne un électroaimant 140 monté en série avec l'ensemble.de ceux-ci. Un relais temporisé 141 est lui-même monté en série avec l'électro-aimant
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l4o, ce relais étant du genre dans ,.:quel un contact s'ouvre mus,' l'action d'une résistance chauffante. Le relais 141 est prévu pour ne maintenir l'électro-aimant 140 excité que pendant un très court intervalle de temps après que le circuit ait été fermé par l'un .
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des micro-interrupteurs 15.3. 135,nj 13d-, cet intervalle de temps pouvant être par exemple d'une seconde.
Dans la réalisation constructive de la partie inférieure 111 du dispositif, 1'électro- aimant 140 et le relais temporisé 141 sont montés sur l'un des cotés des passages de pièces (voir fig. 16, 17 et 24),
L'électro-aimant 140 est prévu pour actionner un ensemble tâteur de pièces 142, Cet ensemble comprend un arbre horizontal
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143(fis. 16, 17 et 25) qui s'étend sur la largeur du dispoisitit, dans un plan parallèle au plan vertical des trois passages dans . la partie inférieure 111, L'arbre 143 est monté à rotation dans '
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des oreilles 144 qui dépassent vers l'avant sur la paroi antë- r- rieure du dispositif.
Un bras 145, fait en matière magnétique, est fixé 4 1,'une des extrémités de l'arbre 143; à la position de repos
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représentée an fis.17, l'extrémité inférieure de ce bras ce trouve en face de celle du noyau de 1'électro-aimant 140 et à une faible
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distance de cette dernière* Lorsque l'électro-aimant est excité,
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>a.,.' >3;1< bras 145 est attire fait tourner l'arbre IÀJ d'un ßaFT . bras 145 est attiré fait tourner l'arbre 143 deun petit angle, .. .." 't+" L'arbre 143 porte encore trois doigts tuteurs 1461, 146ri 14 6d (tig, 16, 17 21, 22 et 23) qui dépassent vers l'avant.
Lorsque ledit arbre est à sa position de repas, ces doigts tapeurs s'en-
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gagent dans des ouvertures .4"q, I7^n,, 1à7d découpées dans la bzz , <")<",l, paroi antérieure des passages respectifs 112g., 112n, 1l2d. Quand ' l'arbre 143 tourne sous l'effet de l'excitation de 1'élect*ro" i ' aimant l4o, ces doigts sont amenés à leur position de tatage, A "'i ctte position ils se trouvent situés par rapport aux extrémités
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des bras 1.'/151, ?.6n l36d de façon à venir au contact des pièces* dans les passages respectifs, à une distance de leur bord légère-
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ment plus grande que l'épaisseur radiale de la bordure r desp.a' authentiques, c'est-à-dire immédiatement à l'intérieur de cette bordure pour des pièces de 25, 5 et 10 cents,
comme représenté en. traits interrompus en fig.16. Immédiatement en face des extrémités '
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libres des doigts 146g, 146n, 146d la paroi arrière est percée d'alésages taraudés dans lesquels sont montées des vis ,a0g, 15on-jy 150d dont les extrémités intérieures pointues font saillie dans -, les passages 112q, 112n, 112d 4 partir de la face intérieure deze la paroi considérée.
Il résulte des explications qui précèdent qu'au cours du tâtage, lorsque l'électro-aimant 140 est excitée une pièce est momentanément pincée au voisinage de son bord entrer l'un des doigts et l'extrémité intérieure de l'une des vise
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Sur l'extrémité de l'arbre 143 opposée au bras 145 est 0a14¯1,¯/"' un autre bras 151 qui dépasse radialement (voir ±19,25), Un micro..; interrupteur 152 est monté à poste fixe sur le dispositif en face de ce bras 151, ce r'icro-interrupteur comportant un poussoir 153' ' '' ''*) agencé de façon à être actionné par le bras 151 lorsque l'arbre
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l43 tourne sous l'effet de l'électro-aimant 140, de sorte que le-. dit bras ferme alors le micro-interrupteur 152# , ';;, *54.
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,Le micro-interrupteur 152 est branché en série avec un second électro-aimant 154 (fig.26) qui se trouve ainsi excité lorsque ledit micro-interrupteur est fermé, L'électro-aimant 154 est fixé sur la paroi antérieure du dispositif, au-dessous de l'organe tâteur 142 (fig.24) et il est destiné à commander un ensemble 155 d'éjection des pièces. Cet ensemble 155 comprend un arbre 156 parallèle à l'arbre 143 et monté à rotation sur la paroi arrière dU dispositif, Sur cet arbre 156 sont calés trois déflecteurs plats 157q, 157n, 157d, l'un au moins de ceux-ci, savoir le déflecteur 157n, étant fait en une matière magnétique.
La paroi ar- rière est découpée immédiatement au-dessus de chacun des déflecteurs de manière que ces derniers puissent basculer à l'intérieur des passages respectifs 112q, 112n, 112d, comme montré en fig. 21 à 23. Ces déflecteurs sont toutefois équilibrés de façon à demeurer soit à la position engagée, soit à la position effacée représentée en traits interrompus en fige 23.
Par conséquent si les déflecteurs se trouvent à la position effacée hors des passages, ils ne peuvent être amenés à la position engagée pour couper le trajet des pièes dans ceux-ci que lorsqu'on a excité l'électroAimant 154, lequel se trouve sur l'extérieur de la paroi antérieure du dispositif, immédiatement en face du déflecteur 157 ne Comme ce dernier est fait en matière magnétique, il peut être attiré par l'électro-aimant 154 et faire ainsi tourner l'arbre 156 pour entraîner les deux autres déflecteurs qui passent alors de la position effacée à la position engagée.
Lorsque la machine est en service on règle les vis 157q, 157n, 157d, de manière que l'écartement entre leurs extrémités intérieures et les extrémités libres des doigts 146q, 146n, 146d, scit égal à l'épaisseur minimale ± des pièces authentiques res- pectives de 25,5 et 10 cents, lorsque le bras 151 a repoussé le bouton 153 pour fermer le micro-interrupteur 152.
Donc lorsqu'une pièce authentique, telle par exemple que celle de 10 cents, tombe dans la partie du passage 112d qui se trouve dans la moitié infé-
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interrupteur 135d pour exciter l'électro-aimant 140 qui attire le bras 145, Le déplacement de ce bras rapproche le doigt 146d de la vis 150d pour pincer ainsi la pièce dans la zon@ située immédiatement à l'intérieur de sa bordure, entre l'extrémité du doigt 146d et' ' celle de la vis 150d.
Du fait que la pièce est authentique, le doigt peut se rapprocher suffisamment de la vis pour provoquer la fermeture du micro-interrupteur 152 par l'intermédiaire du bras 151, L'électro-aimant 154 est donc excité pour amener les dé- ±lecteurs 157q, 157n, 157d à l'intérieur des passages.
Lorsque le relais 141 ouvre le circuit de l'éleotro-aimant 140, la pièce est abandonnée par le doigt 146d et elle tombe sur le déflecteur 157d qui la renvoie, à travers une ouverture appropriée de la paroi ar- rière, vers un couloir ou autre réceptacle non représenté, corres-, pondant aux pièces acceptées, Lorsque la pièce passe sur le talon du déflecteur 157d, elle ramené l'ensemble 155 à sa position de passage libre.
Si la pièce qui traverse ainsi le passage 112d dans la partie basse 111 du dispositif est une pièce fausse ou un simple disque' dont l'épaisseur est supérieure à celle b de la pièce authentiqua de 10 cents, elle est quand même tâtée à la façon qu'on vient de décrire, Mais comme elle est plus épaisse, le doigt 146d ne peut pas se rapprocher suffisamment de la via 150d pour provoquer la 1'/ fermeture du micro-interrupteur 152 par le bras 151. Par conséquent le dispositif déflecteur 155 n'est pas mis en action et la pièce fausse passe au droit du déflecteur 157d pour arriver dans un cou- loir de renvoi ou autre organe similaire, non représenté.
Les pièces qui descendent dans les passages 112q et 112n son(/ tâtées exactement de la même manière sauf, bien entendu, que l'opé- ration est basée sur l'épaisseur b des pièces respectives de 25 et de 5 cents. Les pièces authentiques sont renvoyées du dispositif par les déflecteurs respectifs 157q et 157n.
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La description qui précède fait donc bien comprendre que la ' partie inférieure 111 du dispositif est susceptible de mesurer exactement les pièces de monnaie, étant donné qu'on dispose de ' micro-interrupteurs qui peuvent répondre à des déplacements extrê- mements faibles et qu'au surplus la mesure est amplifiée par utilisation d'un bras 151 de relativement grande longueur, En outre, comme dans le cas de la partie supérieure 110, cette partie inférieure 111 n'exige aucun mécanisme qu'il faille actionner à partir de l'extérieur du distributeur ou de l'appareil à faire la monnaie pour dégager les pièces fausses de la machine,
La combinaison de la partie supérieure 110 et de la partie inférieure 111 réalise donc pour chaque type de pièce les mêmes essais que l'appareil de fig. 2.
Le dispositif 160 représenté en fig. 27 à 31 peut remplacer la partie supérieure 110 qu'on vient de décrire en permettant d'insérer toutes les pièces par une fente unique. Ce dispositif 160 comporte dans le haut un mécanisme de triage initial qui part d'une fente d'entrée unique 161 propre à recevoir sur champ des pièces de tous les types, par exemple jusqu'à 25 cents (voir en particulier fig.29). Une rampe 162 comportant une surface utile oblique orientée vers le bas à partir de la fente 161, reçoit les ' pièces introduites par cette dernière. Des parois 163 et 164 qui ' s'étendent en direction du haut à partir de la rampe, délimitent la fente 161 et définissent un passage 166 pour le trajet des pièces sur ladite rampe 162.
La paroi 164 comporte une nervure latérale 165 qui fait saillie 4 l'intérieur du passage 166 et qui se prolonge dans le sens de déplacement des pièces. L'extrémité supérieure 167 de cette nervure 165 dont les pièces sa.rapprochent lorsqu'elles descendent sur la rampe, s'écarte progressivement de la paroi 164 comme le montre bien fig.29.
La nervure 165 comporte un bord inférieur 168 parallèle à la rampe 162 et qui se trouve
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un écartement de celle-ci moindre que le diamètre d d'une pièce de 25 cents, mais bien plus grand que celui d'une pièce de 5 cents, Ainsi lorsqu'une pièce de 25 cents ou toute autre pièce d'à peu près
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1, ,,llf¯" même diamètre roule sur la. rampe 162, elle est déviée progresal- vement de la paroi 164 par contact de son bord supérieur avec ,a - ' nervure 165, jusqu'4 arriver à traverser une ouverture 170 dela
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rampe 162 (voir fia.29).
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La pièce de 25 cents ou plus grosse pièce qui traverse ainsi l'ouverture 170, est alors amenée par une courte rampe 171, prévue. sur la paroi inférieure fixe 172, vers un mécanisme de pesage 173 (voir fig.27) qui est semblable à celui prévu pour le même type
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ae pièces dans la partie haute 110 de la forme d'exécution préù4-",1 demment décrite. ,.
Le passage du mécanisme de pesage 173 .est délimité par une
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première paroi 172 et par une seconde 174 articulée a la premihôe ;,/ par l'intermédiaire d'oreilles 175, alignées suivant un même axe,' orientés vers l'extérieur et qui reposent dans des sièges appropriés prévus sur des saillies solidaires de la paroi 172.
Une rampe chargée 176 est articulée à la paroi 172 à l'intérieur du passage sus-mentionné, Au-dessus de l'extrémité inférieure de la
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, ''-'7'.' rampe 176 la paroi articulée 174 comporte une oreille latérale -- 177 orientée vers l'intérieur et vers le bas, cette oreille constituant avec ladite paroi un organe à deux branches qui chevauche .
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l'espace situé au-dessus de l'extrémité inférieure de la rampe,', ",, Un levier 180 est articulé à la paroi 172 au-dessous de la paroi -.
174, l'extrémité opposée 181 de ce levier s'engageant dans le
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passage a travers une ouverture prévue au voisinage de l'extré- mité supérieure de cette paroi 174, Cette dernière est solidaire d'une patte 182, La patte 182 dépasse extérieurement par rapport
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4 la paroi 174 pt elle comporte une partie parallèle à cette derlill niere qui chevauche le levier 180 en un point compris entre les 'j .l , - ,.i." deux extrémités de celui-ci. Par conséquent lorsqu'une pièce
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pénétrant dans le passage du mécanisme de pesage vient au contact de l'extrémité biseautée 181 du levier 180 elle fait basculer celui-ci vers l'extérieur en s'écartant de la paroi 172.
Dans ce mouvement le levier 180 bute contre la patte 182 en entraînant la paroi articulée 174, de sorte que toute pièce se trouvant arrêtée à l'extrémité inférieure de la rampe 176 est repoussée de celle-ci à la manière décrite pour la forme d'axe- oution précédente et comme montré en traits interrompus en fig, 30.
Il est prévu une seconde nervure latérale 184, semblable 4 la nervure 165 et disposée immédiatement au-dessous de celle-ci, le bord inférieur de cette nervure 184, parallèle à la rampe 162, étant toutefois à une distante de cette dernière moindre que le diamètre d d'une pièce de 5 cents, mais plus grande que celui d'une pièce de 1 cent, Cett nervure ne dépasse pas latéralement autant que la nervure 165 à partir de la paroi 164, de sorte que bien que les pièces de 5 cents et autres de diamètre plus grand ' que la pièce @e 1 cerf, mais Moindre que celui de la pièce de 25 cents, soient également déviées de ladite paroi 164, elles ne s'en écartent pas autant que lesdites pièces de 25 cents.
En d'autres termes les pièces de 5 cents et autres de diamètre du même ordre de grandeur, passent en-dessous de la nervure 165.
Il est encore prévu une cloison 185 entre le trajet ainsi suivi par les pièces de 5 cents ét l'ouverture 170 destinée au x pièces de 25 cents. Toutes les pièces ainsi déviées par la nervure 184 passent dans une ouverture 186 pour arriver à un mécanisme de pesage 187 semblable au mécanisme 173.
Au-dessous de la nervure 184 est disposée une cloison ver- ticale 190 (voir en particulier tige 27 et 28) qui, commence en ' un point situé au-dessous de l'extrémité supérieure de celle-ci.
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Cette cloison verticale comporte par rapport à laparoi 164@n écartement propre à permettre les pièces de 5 et de 1 cents de rouler entre ces deux éléments, En un point situé au-dessous de l'extrémité supérieure de cette cloison 190, celle-ci est soli- daire d'une nervure latérale 191 sur sa face opposée au trajet des pièces de 25 et de 5 cents, cette nervure comportant une extrémité supérieure qui s'écarte obliquement de la cloison et un bord infé- rieur parallèle à la rampe 162, La bord inférieur de la nervure 191 est situé, par rapport à la rampe 162, à une hauteur moindre que' le diamètre des pièces de 1 cent, mais plus grande que celui,des pièces de 10 cents, de sorte que les premières, et toute autre pièce de même diamètre,
sont déviées vers une ouverture 192 prévue .'dans la rampe 162, tandis que les autres continuent leur trajet rectiligne au-dessous de la nervure 191 pour aboutir à une ouver- ture 193. L'ouverture 192 est située extérieurement à la cloison 190 et à un écartement de celle-ci égal à l'épaisseur transversale de la nervure 191, Les pièces de 1 cent et autres de même diamètre passent directement dans la partie inférieure du dispositif, comme montré en fig. 28, tandis que celles de 10 cents et similaires tra- versent un mécanisme de pesage 194 (fig. 28) qui dat de construction semblable 4 celle du mécanisme 173.
Il est bien entendu possible d'utiliser des dispositions sem- blables à celles représentées en fig.27 et 29 pour trier en fonction! de leur diamètre les pièces insérées dans une fente unique, en combinant ces dispositions avec des dispositions du genre de fig.2.
Les pièces qui tombent des ouvertures 170, 186, 193, sont alors envoyées à des passages séparés dont chacun renferme un mécanisme de mesure d'épaisseur et un mécanisme de pesage, respectivement ' semblables aux mécanismes 37 et 40 sus-décrits.
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La présente Invention assure un triage efficace. Elle permet,'' de réaliser une construction simplifiée,
Il doit d'ailleurs être entendu que la description quiprécèdo n'a été donnée qu'à titre d'exemple et qu'elle nelimite nullement le domaine de l'invention dont on ne sortirait pas en remplaçant les détails d'exécution décrits par tous autres équivalents.