BE663327A - - Google Patents

Description

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  "vachine agricole et procédé de conduite de   celle-ci"*   

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La présente invention se rapporte à une machine agricole du genre de celles dont les organes de travail sont appelés à parcourir un terrain de culture suivant des lignes déterminées,   Boit   qu'il s'agisse de lignes de plants sur lesquels les organes doivent avoir quelque action, soit qu'il s'agisse de lignes marquant les intervalles entre les lignes de plants, intervalles dans lesquels les organes de travail doivent opérer sur le terrain pour des opérations de binage, de sarclage, etc.. 



   On connait actuellement des machines agricoles du genre précité, reliées par trois points à l'arrière d'un tracteur. Un inconvénient important de ce système réside en ce que le service de la machine exige deux   personnes,l'une   sur le tracteur, l'autre sur la machine. D'autre part, l'exploitation d'une pareille machine est relativement lente et manque de précision, du fait que l'opérateur place sur la machine doit corriger chaque déplacement ou écart du tracteur, en imprimant aux organes de la machine un déplacement compensateur. 



   On connaît aussi des machines qui sont placées à l'avant du tracteur et sont fixées à celui-ci, et dans les- quelles la machine avec ses organes de travail est dirigée en agissant sur la direction du tracteur* Ce type de machine est totalement dénué de précision pour   plusieurs   raisons: l'opé- rateur assis sur le siège du tracteur, à l'arrière de celui-ci, est à très grande distance des organes de travail   qu'il     n'aper-   çoit qu'incomplètement parce qu'une partie de la machine lui est cachée par le capot et par le radiateur du tracteur. 



   D'autre part, l'obligation de rectifier la position de la machine de travail pour lui faire suivre la ligne de plants ou 

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 l'interligne ne pouvant être satisfaite que par un mouvement du      tracteur, le déportement de la machine par rapport au tracteur est trop grand et le déplacement des organes de travail ne ce   fp.it   pas suivant une droite perpendiculaire à la direction de marche du tracteur, mais suivant un arc de cercle. 



   Les inconvénients des machines connues sont évités par le procédé de conduite d'une machine agricole, qui fait l'objet de l'invention, et par une   machine   agricole suivant l'invention. 



   Le procédé suivant l'invention se caractérise essen- tiellement en ce qu'en phase de fonctionnement des organes de travail de la machine, on asservit la commande de la direction du tracteur à la commande d'un mouvement propre, par rapport au tracteur, du bâti qui porte les organes de travail. 



   L'invention concerne également une machine agricole montée en avant d'un tracteur, comportant un bâti porteur des organes de travail et dans laquelle le bâti est capable d'un mouvement propre par rapport au tracteur, de préférence d'un mouvement perpendiculaire à la direction de marche du tracteur, la machine comportant des moyens pour donner ce mouvement propre au bâti dans l'un ou l'autre des deux sens opposés avec une amplitude régable à tout instant, la machine comportant en outre un dispositif de transmission de mouvement reliant le bâti porteur des organes de travail au mécanisme de direction du tracteur.

   Ainsi, la conduite de la machine agricole et celle du tracteur peuvent être menées par un seul opérateur assis sur un siège fixé à l'avant de la   machina,en   un point d'où l'opérateur peut contrôler directement le travail effectué sur les plants ou dans l'interligne. Il 

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 suffit d'amener à proximité de ce   siège   l'extrémité de tringles ou de barres de commande agissant sur l'équipement normal du tracteur (accélérateur, freins, etc...). D'autre part, il y a synchronisation automatique entre les déplacements transversaux de la machine de travail et le mouvement de la direction du tracteur.

   L'opérateur ayant jugé nécessaire de déplacer les organes de travail,' leur imprime le   déplacement   voulu et dès lors, du fait de la liaison prévue, suivant l'invention,entre les mouvements du bâti porteur des organes de travail et les mouvements du train de direction du tracteur, ce dernier épouse le déplacement donné à la machine. 



   On a prévu aussi, suivant l'invention, de commander par un même volant de direction, tantôt le déplacement propre du bâti porteur des organes de travail,   -et,   simultanément par voie indirecte, le déplacement en direction du tracteur-, tantôt le mécanisme de direction du tracteur lui-mêmeLa première disposition s'utilise lorsque les organes de travail sont en activité et la seconde, lorsque les organes de travail sont relevés. Cette commande alternative peut, suivant l'invention,s'exercer avec une démultiplication différente dans chaque cas, la plus grande démultiplication étant employée quand les organes de travail sont en activité. Ceci permet de suivre les lignes de plants avec la plus grande précision. 



   Quand la machine de travail est relevée par rapport au tracteur, comme cela doit être le cas pour le déplacement sur route, ou en bout de ligne dans les champs, pour opérer un demi-tour, il convient d'embrayer le volant de direction sur le train directeur du tracteur   qu'il   commandera avec la démultiplication normale. 



   Suivant l'invention, on prévoit un lien mécanique 

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      entre les éléments de la machine qui peuvent être relevés ou abaissés et le mécanisme d'embrayage qui fait passer l'action   @   du conducteur sur le bâti porteur des organes de travail (et par voie indirecte sur le mécanisme de direction du tracteur), ou directement sur ce mécanisme de direction. 



   D'autres particularités de l'invention apparattront au cours de la description de celle-ci donnée à propos d'une bineuse, montrée à titre d'exemple. 



   L'invention est illustrée par une figure unique représentant en perspective, de façon purement schématique, les éléments essentiels d'une machine agricole conçue suivant l'invention. 



   La machine considérée ici est une bineuse com- portant une série d'organes de travail 1 montés à l'extrémité inférieure de colonnettes 2 portées par un bâti-support 3. La hauteur des outils par rapport au bâti, et leur écartement relatif peuvent être réglés par des moyens connus et non représentés. Le bâti-support est l'élément essentiel de la machine de travail qui est montée en avant du tracteur, par l'intermédiaire d'un certain nombre d'organes constituant un système porteur.

   Le système comporte essentiellement, dans la présente forme de réalisation, deux longerons 4, 5 articulés à l'une de leurs extrémités au châssis du tracteur 6 et soli- dansés à   l'avant   par des éléments transversaux comprenant une traverse antérieure   7   munie de roues 8, 9 qui, lorsque la machine est en position de travail, reposent sur le sol et un autre élément   tranversal   10 au moins dont l'utilité sera. définie plus loin. Du coté de leur attache au châssis du tracteur, les longerons 4, 5 portent des leviers 11 aux extré- mités desquels s'articulent des tiges telles que 12. Ces tiges vont à l'appareil de relevage usuel que l'on trouve sur les 

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 tracteurs agricoles et que l'on a symbolisé ici par des cylindres de commande hydraulique tels que 13.

   Lorsque l'on agit sur cette commande hydraulique, des pistons placés dans les cylindres tirent vers l'arrière les tiges 12 fixées aux leviers 11 des longerons 4,5 et provoquent le relevage de ceux-ci et de tout l'équipage qui y est fixe,   notanment   du bâti porteur 3 des organes de travail.

   Celui-ci est suspendu à l'avant à une barre 14 perpendiculaire aux longerons,fixée près des extrémités de deux profilés 15, 16 convergeant vers l'arrière en formant un triangle.La partie postérieure du bâti 
3 porteur des organes de travail est suspendue élastiquement au sommet du triangle ainsi réalisé*La suspension de la partie      antérieure du bâti à la barre se prête à une rotation autour   de   l'axe de celle-ci, et ce mouvement de rotation peut être bloqué de manière à régler   l'angle   d'incidence des outils par rapport au sol.Les extrémités antérieures des profilés 15,16, qui constituent les côtés du triangle portent, montés sur des axes parallèles à la direction de marche du tracteur, des galets non visibles mais situés derrière les points 17, 18,

   qui roulent dans un profilé en U constituant la traverse 10 dont question plus haut.De m me, le sommet du triangle porte des galets roulant dans un profilé en U 19 parallèle au profile 
10. Cette disposition autorise un déplacement du triangle et du bâti qu'il porte, dans un sens ou dans l'autre suivant une direction perpendiculaire à la direction de marche du tracteur. En d'autres termes, le déplacement du triangle le long des traverses 10 ,19 déplace les organes de travail 1 de la machine transversalement par rapport \ l'ax de   prou-.-   sion du tracteur.Le mouvement du triangle par rapport à la traverse s'obtient à l'aide   d'un   dispositif d'entraînement command par un volant de direction 20.

   Ce volant se présent* 

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 à la hauteur requise en face d'un siège 21 fixé au châssis du tracteur ou à la machine tout à l'avant du tracteur. Les commandes des organes de manoeuvre 22, 23, 24... du tracteur (accélérateur, embrayage, freine,   etc.*.)   sont convenablement prolongées de manière à être accessibles de ce siège. Le mouvement de rotation du volant de direction 20 est transformé en mouvement rectiligne alternatif par un pignon 26 monté sur l'extrémité de l'arbre articulé 25 du volant, et engrenant avec une crémaillère 27 dont une extrémité est fixée par une rotule   à   un potelet 28 fixé au triangle (14, 15, 16). 



  De la sorte, en faisant tourner le volant 20 à gauche,      l'opérateur déplace vers sa gauche par rapport à la direction d'avancement du tr eur, les outils de la machine, la rotation du volant en sens contraire ayant évidemment pour effet de déplacer les organes de travail dans le sens opposé. 



  Le triangle qui constitue l'un des éléments du chariot porteur des organes de travail porte d'autre part une tige 29 s'éten- dant vers le tracteur et terminée par une fourche 30 dont les branches s'étendent dans un plan perpendiculaire à cette tige, en présentant l'ouverture de la fourche vers le   bas.La   fourche 30 coiffe une barre 31 fixée à la barre de direction du tracteur agissant sur l'essieu 32 du train de roues avant, c'est-à-dire du   train   directeur du tracteur. Le déplacement vers la gauche ou vers la droite, de la tige 29, a ainsi pour effet d'entratner un pivotement de l'essieu directeur autour d'un axe vertical.

   C'est donc en agissant sur le déplacement des outils que l'on provoque le braquage des roues avant 33, 34 du tracteur dans un sens tel que le mouvement du tracteur épouse immédiatement le mouvement des outils, ce qui permet de suivre les plants avec précision; 

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 c'est-à-dire dans le cas de la machine bineuse décrite, de maintenir ces outils dans l'interligne sans risquer d'abîmer les planta. 



   Lorsque la machine doit être conduite sur route, ou lorsqu'on arrive en fin de ligne dans le champ travaillé, il convient de relever les organes de travail. La direction qui s'exerce par l'intermédiaire du volant 20 peut alors s'opérer par action directe sur le mécanisme de direction du tracteur, avec une démultiplication normale, moins poussée que celle qu'offre le système de transmission indirecte dont il a été question plus haut. Pour réaliser cette transmission directe du mouvement du volant au train directeur du tracteur, on a prévu une deuxième crémaillère 35 parallèle à la   première ,   agissant par l'intermédiaire d'un mécanisme de   transmission     @   convenable symbolisé par les barrée 36. 37 sur la barre de direction de l'essieu avant.

   La crémaillère 35 engrène avec un pignon 38 monté sur l'arbre articulé 25 du volant. 



   La solidarisation des pignons et de l'arbre commande par le volant s'obtient à l'aide d'un embrayage double classique à griffes dont le corps central 39, solidaire en rotation de l'arbre, peut coulisser le long de celui-ci sous l'action du mouvement d'une fourchette, en sorte que dans la position antérieure de ce corps, la commande de la direction s'exercera sur la première crémaillère   27,   tandis que dans l'autre position de la fourchette, cette commande s'exercera sur la crémaillère 35 la plus proche du tracteur et qui commande directement celui-ci. Le mouvement de la fourchette est commandé par un bras courbe   40   dont l'extrémité libre est fixée par un ressort   41   à une chaîne   42   attachée au châssis du tracteur.

   Un ressort de rappel (non montré) agit 

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 sur la fourchette dans un sens tel que le corps central 40 engrène normalement avec le pignon 26, c'est-à-dire entraîne la direction par l'intermédiaire de la crémaillère 27, comme prévu pendant le travail de la machine,, Lors du relevage, au contraire, la chaîne 42 tire le levier courbe   40   vers l'arrière, ce qui provoque l'entrée en prise du corps 39 avec le pignon 38, et le report des actions de direction sur la crémaillère 35 et par les barres 36,37, directement à la barre de direction de l'essieu 32. 



   Un dispositif analogue dont les organes essentiels seuls sont visibles à la figure provoque l'immobilisation du chariot   (14,   15, 16) et des outils 1 par rapport aux longerons, en position de relevage.   @e   blocage s'effectue par le bascu- lement d'un vorrou 44 dans une encoche correspondante d'une plaque 43 fixée au chariot. Un ressort antagoniste non montré dégage le verrou lorsque la machine est abaissée en position de travail. 



   Il va de sol que   Ion   réalisations mécaniques présentées   ci-avant   ne le sont qu'à titre d'exemple. C'est ainsi par exemple qu'on ne sortirait pas du cadre de l'invention en   n'utilisant   qu'une crémaillère de direction ou en remplaçant la crémaillère par une chaîne galle pour autant qu'on prévoie un dispositif qui fasse agir le volant sur la direction du tracteur par l'intermédiaire du système porteur des organes de travail, lorsque ceux-ci sont abaissés, et directement sur le système de direction du tracteur, lorsque les organes de travail sont relevés. 



   Bien d'autres modifications de détail sont possibles* 
REVENDICATIONS. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1. 1. Procédé de conduite d'une machine agricole montée <Desc/Clms Page number 10> en avant d'un tracteur, caractérisé en ce qu'en phase de fonctionnement des organes de travail de la machine, on asservit la commande de la direction du tracteur à la commande d'un mouvement propre, par rapport au tracteur, du bâti qui porte les organes de travail.

   2. Procédé suivant la revendication 1, c a r a c t é - r i s é en ce qu'en phase de nonfonctionnmeent des organes de travail, amorcée par le relevage de ces derniers, on dirige le tracteur en agissant directement sur son mécanisme de direction.

   3. Procédé suivant la revendication 1 et la revendi- cation 2, caractérisé en ce qu'on utilise le mouvement de relevage du bâti qui porte les organes de travail pour passer de la commande en direction par l'intermédiaire du bâti porteur des organes de travail, au mécanisme de direction du tracteur, et pour provoquer une immobilieation par rapport au tracteur du bâti porteur des organe de travail.

   4. Machine agricole montée en avant d'un tracteur, comportant un bâti porteur des organes de travail, car a c- t é r i s é e en ce que ce bâti est capable d'un mouvement propre par rapport au tracteur, en ce que la machine comporte des moyens pour donner ce mouvement propre au bâti dans l'un ou l'autre de deux sens opposés avec une amplitude réglable à tout instant, et en ce qu'elle comporte un dispositif de transmission de mouvement reliant le bâti porteur des organes de travail au mécanisme de direction du tracteur.

   5. Machine agricole suivant la revendication 4. c a r a c t é r i s é e en ce qu'elle comporte un dispositif <Desc/Clms Page number 11> d'embrayage sélectif de l'arbre d'un volant de direction sur le mécanisme de commande du mouvement propre du bâti porteur des organes de travail et sur le mécanisme de direction du tracteur.

   6. Machine suivant les revendications 3 et 4, c a r a c t é r i s é e en ce que la direction du mouvement propre du bâti porteur des organes de travail est transversale à la direction de marche du tracteur.

   7. Machine suivant l'une quelconque des revendications 4 à 6, caractérisée en ce que le volant de direction à deux usages est commandable d'un siège placé sur la machine en avant du tracteur et d'où sont accessibles les organes de commande nécessaire à la conduite du tracteur.

   8. Machine suivant les revendications 4 et 5, dans laquelle le bâti porteur des organes detravail est rolevable pour mettre les organes de travail en une position de non fonctionnement, caractérisé é een ce qu'elle comporte un mécanisme commandé par le mouvement de relevage du bâti et agissant sur le dispositif d'embrayage sélectif en un sens tel que lorsque les organes de travail s'abaissent en position de travail, ce mécanisme embraye le volant de direction sur les moyens qui donnent son mouvement propre au bâti porteur des organes de travail tandis que ce même mécanisme embraye ce volant sur le mécanisme de direction du tracteur lorsque 1'opérateur provoque le mouvement de relevage.

   9. Machine suivant l'une quelconque des revendications 4 à 8, dans laquelle il existe un dispositif propre à mettre les organes de travail hors d'activité, c a r a c t é- risée en ce qu'elle comporte un dispositif de blocage du mouvement propre du bâti porteur des organes de travail, et <Desc/Clms Page number 12> une liaison entre le mécanisme de mise hors d'activité des organes de travail et le dispositif de blocage, ayant pour effet de commander le mouvement du second par le mouvement du premier.

   10. Machine suivant la revendication 8 ou la revendi- cation 9, caractérisée en ce que le mécanisme propre à mettre hors d'activité les organes de travail comprend le mécanisme de relevage usuel existant sur les tracteurs agricoles.

   11. Machine agricole suivant l'une quelconque des revendications 4 à 10, caractérisée en ce qu'elle comprend, s'étendant dans la direction de marche du tracteur, un système porteur monté sur le châssis du tracteur en avant de celui-ci, une traverse fixée au système porteur à l'avant de la machine, un chariot porté par cette traverse et mobile par rapport à celle-ci dans l'un et l'autre sens, transversalement à la direction de marche du tracteur, un bâti porteur d'organee de travail suspendu au chariot, un dispositif d'entratnement du chariot dans l'un et l'autre sens, coopérant avec un arbre commandé par un volant de direction accessible d'un siège placé à l'avant du tracteur,

   et un mécanisme transmetteur de mouvement comportant un élément lié au chariot et un élément lié au mécanisme de direction du tracteur, ces.deux éléments pouvant coopérer pour produire, à partir du mouvement de translation du chariot, un mouvement de pivotement du train directeur du tracteur.

   12. Machine suivant la revendication 11, c a r a c- t é r i s é e en ce que le système porteur monté en avant du tracteur est constitué par au moins un longeron monté à pivotement sur le châssis du tracteur, avec un mécanisme de <Desc/Clms Page number 13> commande du mouvement de pivotement du système porteur, relié au système de relevage du tracteur. et en ce que l'arvbre de système relovage tracteur, que l'arbre @ commande mû par le volant de direction coopère sélectivement au moyen d'un embrayage double, soit avec le dispositif d'entraînement du chariot, soit avec un organe agissant sur la barre de direction du tracteur et en ce que l'organe de commande sélectif de l'embrayage est commandé par le mouvement de relevage du système porteur.

   13. Machine suivant les revendications 11 et 12, caractérisée en ce que les éléments transmetteurs de mouvement du chariot au mécanisme de direction du tracteur comprennent, d'une part une fourche liée au chariot et s'ouvrant vers le bas, d'autre part une barre horizontale liée à l'eseieu directeur du tracteur, cette fourche coiffant cette barre lors de l'abaissement des organes de travail, et s'en dégageant lorsque ces organes se relèvent.

   14. Machine suivant les revendications 12 et 13, caractérisée en ce que le chariot, d'une part, et l'élément du bâti par rapport auquel le chariot se déplace, d'autre part, portent des organes qui, par l'effet du mouvement de relevage, se compénètrent pour immobiliser le chariot et qui se dégagent l'un de l'autre lorsque l'on abaissa les organes de travail vers le sol.

   15,, Machine suivant l'une quelconque des revendications 5 à 14, caractérisée en ce que les dispositifs de direction commandés sélectivement par le volant de direction par l'intermédiaire de l'embrayage double sont à démultiplications différentes.