BE632057A - - Google Patents

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BE632057A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C21METALLURGY OF IRON
    • C21CPROCESSING OF PIG-IRON, e.g. REFINING, MANUFACTURE OF WROUGHT-IRON OR STEEL; TREATMENT IN MOLTEN STATE OF FERROUS ALLOYS
    • C21C5/00Manufacture of carbon-steel, e.g. plain mild steel, medium carbon steel or cast steel or stainless steel
    • C21C5/28Manufacture of steel in the converter
    • C21C5/30Regulating or controlling the blowing
    • C21C5/34Blowing through the bath

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Manufacturing & Machinery (AREA)
  • Materials Engineering (AREA)
  • Metallurgy (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Carbon Steel Or Casting Steel Manufacturing (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



   Il Prooédé de   fabrioation     d'acier   à partir de fonte". 



  Priorité de la demande de orevet déposée en Alleage 
La fabrication de l'acier à partir de fonte Martin, c'est-à-dire de fonte ayant à peu près la composition suivante: 
3,5 à 4,5% de 0 
0,7 à 4,0% de Mn 
0,3 à 1,3% de Si 
0,08%d P ou plue   0,06$   de S au maimum a lieu habituellement dune des fours marin-Siemens. En outre, on connaît la fabrication d'acier à partir de fonte Martin par u   procède     d'affinage   a soufflage par en haut. Dans ce   procédé,   

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 on insuffle, par des tuyères refroidie à l'eau, de l'oxygène à 99,55 de pureté sur le bain situé dans un   creuset.   



   La fabrication de l'acier à partir de fonte   Thomas,   c'est- à-dire de fonte   composée   environ de 
3,4 à 4,0% de 0 
0,8 à 1,3% de Mn 
0,3 à 0,6% de Si 
1,3 à 2,0% de P 
0,04 à 0,08% de 8 a lieu habituellement par affinage, dans un   convertisseur   à revêtement basique à soufflage par le   fond,   avec de l'air ou un vent de soufflage enrichi en oxygène jusqu'à environ 40%. 



  On ne peut pas utiliser des teneurs en oxygène plus élevées pour des raisons de conservation des fonds de   convertisseur*   
Gomme, dans   un   très grand nombre d'aoiéries, on doit fabriquer de   l'acier   aussi bien à partir de fonte Martin que de fonte Thomas, il est nécessaire d'utiliser, pour le traite- ment de la fonte Martin et de la fonte Thomas, des installations différentes. Habituellement, de telles aciéries   comprennent   d'une part une installation Martin-Siemens ou une   installation   d'affinage à soufflage par en haut et, d'autre part, une instal- lation Thomas.

   L'appareillage, les frais d'entretien et les frais de main-d'oeuvre d'une telle installation d'aciérie en deux par- ties sont   considérables.   Le même état de choses existe lorsqu'une installation d'aciérie fonctionne uniquement par le procédé   d'affinage   à soufflage par en haut et qu'on traite ainsi dans un creuset aussi bien de la fente Martin que,   d'après   un procédé   modifia   de la fonte contenant jusqu'à environ 2% de phosphore, car, pour le traitement de ces dernières sortes de fonte, des appareillages supplémentaires, par exemple pour le soufflage de chaux finement pulvérisée avec l'oxygène, ainsi que des opéra-   tions   supplémentaires,telles que le   changement   de   scorie,

     sont 

 <Desc/Clms Page number 3> 

      néoessaires. 



   Les inconvénients mentionnés ci-dessus devaient jusqu'à présent être acceptés par l'industrie sidérurgique, oar il n'existait aucune possibilité de changer quoi que ce soit à cet état de choses. 



   C'est alors qu'intervient la présente invention. Elle a pour but de fabriquer de l'acier de qualité Martin aussi bien à partir de fonte Martin   qu'à   partir de fonte Thomas d'une manière très simple et surtout beaucoup plus économique qu'on ne le pouvait jusqu'à présent en utilisant un groupe de pro- duotion unique, à savoir un convertisseur basique   à   soufflage par le fond. 



   L'invention a pour objet un procède de   fabrication     d'acier à   partir de fonte par affinage à soufflage par le fond au moyen d'un vent dont la teneur en oxygène, pendant   l'opéra-   tion d'affinage, et par exemple momentanément seulement, est enrichie jusqu'à environ 48%/ Selon l'invention,   dans   un con- vertisseur basique à soufflage par le fond, on produit d'abord par soufflage de   l'aoier à   partir de fonte Martin, tout en amenant la   soorie   correspondante dans un état compris entre l'état pâteux et l'état solide, on laisse cette scorie dans le convertisseur après évacuation du bain de fonte à la fin du soufflage,

   on y mélange de la ohaux et l'on introduit dans le môme convertisseur de la fonte   Thomas   que l'on affine pour obtenir de l'acier* 
Pour amener la scorie à l'état pâteux mentionné ci-desus, il existe plusieurs possibilités selon l'invention et, dans le cadre des opérations décrites, on peut opérer de façon telle qu'un excès considérable de chaux soit admis dans le bain de fonte Martin.

   Si par exemple un bain nécessite 50 kg de ohaux par tonne, il est recommandé, selon lonveitonk,d'augmenter la quantité de ohaux jusqu'à environ 80 à 100   kg/t.   Il en résulte 

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 qu'à la fin du soufflage la scorie n'est liquéfiée que pour une très faible part et que la soorie pâteuse demeure dans le con- vertisseur sans difficulté opératoire lorsqu'on vide le bain   .de   fonte Martin après la fin du soufflage.   On   n'ajoute à la scorie que le complément de chaux nécessaire pour le bain Thomas, on introduit la fonte Thomas et l'on effectue le soufflage de celle-ci. 



   On peut aussi, éventuellement en combinaison avec le mode opératoire qui vient d'être décrit, pousser l'allure du convertisseur avec une faible pression de vent, environ 0,5   atmosphère   effective, après avoir vidé le bain de fonte Martin ayant subi le soufflage, tout en laissant la scorie   correspon-   dante dans le convertisseur et, pendant qu'on pousse ainsi l'al- lure, ajouter la quantité de ohaux qui manque encore pour le bain Thomas, de sorte que cette chaux se mélange bien avec la scorie restante. 



   Une autre mesure qui aide à augmenter la   viscosité   de la scorie consiste à ajouter au bain de fonte Thomas, après que son affinage est presque terminé, des produits fournissant du carbone, de préférence des matières contenant à la fois du car- bone et du fer, telles que de la fonte granulée, des briquettes de fer carburé ou autre matière analogue. Sous l'effet réduc- teur du carbone, la teneur de la scorie en oxyde de fier   agissant   comme fondant est diminuée; la fusion du fer refroidit le bain, ce qui aide également à rendre la   soorie   plus difficilement fusible.

   L'addition des matières qui viennent d'être mention- nées procure aussi un autre avantage ;si le bain est eecessi- vement soufflé ou si vers la fin du soufflage il a une tempé- rature trop élevée, deux choses qui peuvent se produire assez facilement, le bain présente une trop forte teneur en oxygène, circonstance dont l'effet défavorable sur la qualité de l'acier final ne peut pas être éliminé par les procédés habituels de 

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 désoxydation seuls.

   Aveo des bains de oe genre le carbone   ajouté   avant la coulée, par suite de sa grande affinité avec   l'oxygène,   a en outre pour effet que le produit de réaction   des   deux élé- monte, c'est-à-dire l'oxyde de carbone,   est   chasse du bain, de aorte que la teneur en oxygène de   celui-ci   est   abaissée.   La désoxydation effectuée ensuite ne conduit alors plue à une te-   neur   en alumine indésislemetn élevée dans l'acier   final.   



   Avec le procédé proposé par l'invention, que l'on peut appeler procédé combiné ou procédé jumelé, on obtient des   sien-   tages extrêmement importants de diverses sortes. 



   Avant tout, la capacité d'une aciérie Thomas cet accrue de 10 à 15% environ par ce   prooédé,   et cela grâce aux mesures suivantes: a) dans l'affinage du bain de fonte Martin, on économise, par rapport à un bain Thomas, environ 2,5 mn de soufflage sup- plémentaire par coulée; b) on supprime le   soutirage   des scories du bain de fonte Martin.

   On obtient ainsi encore une économie de 3 mn par coulée; c) grâce à la température élevée de la scorie qui reste dans le convertisseur après le soufflage du bain de fonte Martin, les réactions du bain Thomas sont plus rapides, ce qui donne encore   un*   économie de temps de soufflage d'au moins 1 un envi- ron par charge.   La   chaleur disponible peut être utilisée pour la   réduction   de minerai ou pour la fusion de ferraille. 



   Le procédé de l'invention se montre aussi très avataexu au point de vue de   l'économie   de matière.  On   économise au total environ 255 de chaux. Alors en effet que, dans l'exécution usuel- le de l'affinage de la fonte Martin et de la fonte Thomas dans des installations séparées, un total d'environ 180 kg de chaux par tonne est nécessaire, la consommation de chaux avec le procédé de l'invention n'est que de 130 à 140 kg/t environ. Au point de vue de l'économie de chaleur, ce procédé se montre très 

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 favorable oar la dépense de chaleur, qui dans le procédé Thomas usuel est nécessaire pour le chauffage et la fusion de la chaux, est en partie supprimée.

   En outre, tout le fer contenu dans la scorie du bain de fonte Martin est rendu utilisable dans le bain Thomas qui suit, car l'oxyde de fer contenu dans cette scorie est largement réduit par les éléments d'accompagnement de la fonte Thomas, à savoir le   silicium,   le carbone et   .le   phosphore. 



  Le rendement du procédé de l'invention est ainsi considérablement meilleur que celui de l'affinage de fonte Martin ou du procédé Thomas, pris séparément. 



   D'autre part, le phosphore contenu dans la scorie de la fonte Martin a un effet favorable sur la scorie Thomas et est transformé en phosphate vendable. la silice contenue dans la scorie de la fonte Martin est aussi favorable à la scorie Thomas elle   élève   se teneur en silice et améliore ainsi sa solubilité dans l'acide   citrique.   



   Enfin, le procédé selon l'invention procure aussi des avantages qui concernent l'acier. 



   Par la mise en oeuvre du procédé de l'invention, on obtient à partir de fonte Thomas, avec   sûreté,   un acier final ayant un degré de pureté chimique particulièrement élevé avec un maximum de 0,02% de phosphore et un maximum de 0,02% de soufre. On ob- tient aussi des teneurs en azote particulièrement basses, envi- ron 0,003% en moyenne, si l'on soumet la fonte Martin, avant de l'introduire dans le soncertessur, à un traitement de pré- affinage, qui soaisse au-dessous de 0,2% sa teneur en silicium. 



  Il est recommandé d'affiner préalablement le bain dans la cuve ou dans le mélangeur avec un vent contenant 40 à 80% d'oxygène au moyen de buses immergées refroidies à l'eau. Dans le sour- flage de la fonte Thomas, on est en mesure, suivant les désirs et le mode opératoire, d'obtenir des aciers Thomas de qualité usuelle. En général, on préférera utiliser des mesures connues en elles-mêmes pour l'amélioration de la qualité de l'acier 

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 basique obtenu par affinage au vent.

   On obtient une qualité semblable à celle de l'acier   Martin   en   soumettant   la fonte Thomas à un   pré-affinage   avant son introduction dans le   conver-   tisseur et eu   effectuant   le soufflage dans le convertisseur avec   un   vent   d'affinage   dont la teneur en   oxygène   est   moment*,    ndment enrichie jusqu'à 25 à 45$%. 



   Il est déjà connu, pour produire une scorie pauvre en fer dasn   1'affina   au vent de l'acier Thomsa, de souffiler la scorie liquide finale d'une   eharge   précédente   avec   la fonte de la   charge   saiant, jusqu'à décaraburstuiob complète et dépgsopho- ration partielle et de soutirer ensuite la   eoorie     nous   la forme d'une scorie pauvre en fer. On a aussi déjà proposé d'introduire la   scorie   à l'état liquide produite dans un four Martin dansun convertisseur Thomas comme addition de déphosphoration. 



   On a aussi déjà proposé d'introduire dans le convertie-   cour   des scories   refroidies     solides.   par exemple des scories de four Martin, pour refroidir la charge et économiser   une   partit de la chaux nécessaire.L'utilisation d'une scorie froide solide a pour inconvénient qu'on n'utilise pas la chaleur contenue dans la scorie. En outre, cette manière d'opérer   est   compliquée et coûteuse, car elle comporte des frais de transport, des frais de broyage, eto. Elle n'a donc pas trouvé   d'accès   dans la pra- tique de   l'aciérie.   



   Si cependant, d'après les propositions déjà connues, on opère en ajoutant de la scorie liquide d'un bain   Thomas,   il se produit des réactions très violentes, éventuellement   explosi-   ves.Dans tous les   cas,   il en résulte des déchets   important.,   qui abaissent le rendement.   Ces   procédés   n'ont     pu.   pour cette   raison,     s'imposer.   Au contraire, on constate qu'avec le procédé  élan l'invention, il   ne ce   produit pas de réactions   violentes   ni de   phénomènes   de projection   indésirables.   



   On a aussi eu connaissance des   tentatives   pour affiner de 

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   @   la fonte Martin dans un   convertisseur     basique   à soufflage par le fond. On a alors constaté qu'en affinant par   l'air,   la com-o bustion des éléments d'accompagnement et du fer nécessaire pour le réglage des scories donne une quantité de calories qui n'est pas suffisante à elle seule pour une exécution parfaite et ga- ratie en grosse exploitation de   l'affinage   par le vent.

   Le pro- cédé n'apparaît comme possible que si l'on utilise de la fonte physiquement chaude avec une teneur minimale de 0,5% de   silicium,   Mais également, si ces conditions sont   remplie.,   oe procédé n'est pas satisfaisant   car,   avec une telle teneur en   silice,   les   diffi-     cultes   connues de soufflage de la fonte interviennent et, par ailleurs, les aciers affinés au vent sont situés, quant   à   la   qualité      au-dessous   des aciers   Siemens-Martin   du fait de leur teneur élevée en oxygène, phosphore et azote. 



   On a également   oharohé.   dans l'affinage des fontes en convertisseur soufflé par le fond, à enrichir le vent en oxygène, de manière à améliorer de cette façon le bilan thermique du   procéda.     L'enrichissement   en oxygène du vent est fixé de façon connue à une limite supérieure d'environ 50% pour la tenue des bains de convertisseur.

   Il a été démontré que l'affinage avec un vent d'une teneur en oxygène maximale de 50% pouvait améli- rer favorablement le bilan thermique du processus d'affinage et que les   aciers   d'une telle nature   fabriqués   à partir de fonte présentaient aussi une amélioration de qualité par rapport aux aciers affinée à   l'air.   Oar   l'acier   ainsi fabriqué n'était pas de même valeur en tous points, plus particulièrement en ce qui concerne la teneur en azote, que l'acier Martin-Siemens (Publication   "Stahl   und Missen" 1953.

   page 992) et de ce fait, l'affinage des fontes en convertisseur soufflé par le fond et à revêtement basique n'a trouvé que peu ou pas d'applications dans la pratique   technique.   la proposition conforme à   l'invention   d'affiner en acier, 

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 dans un même et seul convertisseur, aussi bien des fontes Martin que des fontes Thomas par application des mesures ci-dess dé- taillées,apporte,à cote d'autres grande avantages, un abaisse- ment conséquent du prix dans la fabrication de l'acier et n'est donc pas comparable aux procédés qui appartiennent   à la     teohni-   que antérieurement connue. 



   Il va de soi d'ailleurs que, sans sortir du cadre de l'invention, on peut apporter des modifications aux phases de   procède   qui viennent   d'être   déorites. 



   Le résumé qui va suivre et qui ne présente aucun   carac-   tère limitatif a simplement pour but d'énoncer un certain nombre de particularités principales et secondaires de l'invention, ces particularités pouvant être prises isolément ou en toutes combinaisons possibles. 



   REXUME   La présente invention comprend notamment ;   
1 ) Un procédé d'élaboration d'acier à partir de fonte par affinage au vent, avec soufflage par le fond, vent dont la teneur en oxygène, au cours du processus d'affinage, peut être enrichie jusqu'à environ 455. procédé selon lequel, à partir de fonte, l'acier est soumis   à   l'action du vent dans un   conver-     tisseur '*   revêtement basique et à soufflage par le fond, de sorte que la scorie correspondante est amenée   à   un état compris entre l'état pâteux et l'état solide, ladite   scorie   demeurant dans le convertisseur lors de l'évacuation du bain à la fin du soufflage, ladite soorie étant alors mélangée à de la chaux, puis, subséquemment,

   l'on ajoute dans le même convertisseur de la fonte Thomas que l'on affine pour obtenir de l'acier. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. 2 ) Dans un procédé du genre spécifié sous 1 ) ou d'un genre analogue, le fait que le processus d'affinage du bain est effectué en présence d'un excès considérable de chaux et de préférence de 60 à 100% par rapport à la quantité habituel- <Desc/Clms Page number 10> le et que l'on obtient ainsi une scorie extrêmement pâteuse et que cette scorie, après évacuation du bain en fin de souf- flage, fournit le complément de chaux nécessaire pour le pro- oédé Thomas, ledit procédé étant alors mis en exécution égale- ment par soufflage.
    3 ) Dans un procédé du genre spécifie nous 1 ou 2 ou d'un genre analogue, le fait que le convertisseur, après éva- cuation du bain en fin de soufflage, en présence de la soorie, est soumis à un soufflage poussé sous faible pression d'environ 0,5 atmoaohère et qu'on y ajoute alors le supplément de chaux nécessaire à l'exécution du procédé Thomas.
    4 ) Dans un procédé du genre spécifié à l'un quelconque ou plusieurs des paragraphes 1 à 3 ou d'un genre analogue, le fait que le bain, après avoir été pour l'essentiel affiné, reçoit des moyens carburants et de préférence des matières qui contiennent aussi bien du oaroone que du fer, matières telles que de la fonte granulée, des briquettes de fer carburé ou ma- tières analogues.
    5 ) Dans un procédé du genre spécifié sous 1 ou d'un genre analogue, le fait que la fonte, avunt soufflage dans le convertisseur, est soumise à un processu de pré-affinage qui .bais.. sa teneur en silicium au-dessous de 0,2%.
    6 ) Dans un procédé tel que spécifié sous 5 ou d'un genre analogue, le fait que le processus de pré-affinage est effectué dans un creuset avec une lance plongeante refroidie à l'eau, débitant de l'air enrichi en oxygène à un taux compris entre 40 et 80% et de préférence environ 70%. EMI10.1 t v "1. -. i
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